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pascal

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Messages posté(e)s par pascal

  1. il y a 13 minutes, Bechar06 a dit :

    simplement avec ses mitrailleuses

    SA mitrailleuse ... et quand on connais l'ergonomie particulièrement spartiate du poste du mitrailleur de sabord avec l'ANF-1, à genoux avec une crosse d'épaule ...

    Mais a priori selon les sachants c'est jouable ...

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  2. Il y a 2 heures, Arland a dit :

    C'est plus fiable de passer par la source plutôt que le dépotoir de l'humanité qu'est devenu X/Twitter et en plus pas d'inscription obligatoire :

    https://www.defense.gov/News/Speeches/Speech/Article/3710899/opening-remarks-by-secretary-of-defense-lloyd-j-austin-iii-at-the-20th-ukraine/

    https://www.defense.gov/Multimedia/Videos/videoid/916262/

    Là c'est plus dans le sens ne pas laisser/ne pas abandonner.

    Sera ce toujours le cas en novembre la est toute la question 

  3. Il y a 3 heures, casoucasou a dit :

    Pour appuyer les sources de @rogue0, je vous partage cet article de Foreign Affairs : " Time Is Running Out in Ukraine "

    https://we.tl/t-BBAEFtX5mF

    Ce que souligne cette guerre d'Ukraine, c'est que comme dans toute guerre de haute intensité, la capacité industrielle et démographique sont les deux grands piliers de la puissance. L'Occident a montré que quel que soit sa volonté de soutenir l'Ukraine dans l'effort de guerre, il n'en avait pas la capacité industrielle. J'espère que cela aidera nos politiques à se secouer sur cette question, pour l'instant on s'est payé de mot. La question est de savoir si c'est par velléité ou impuissance.

    Dans le même temps la Russie devrait surveiller du coin de l'oeil sa future capacité démographique 

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  4. il y a 44 minutes, FATac a dit :

    Le boomer, en revanche, pilote la perche pour aller la planter dans le réceptacle. Comme la position de l'avion, par rapport aux repères du ravitailleur, pose toujours le réceptacle dans le même "box", le pilotage est assez réduit et le contact peut venir sans trop de difficulté lors de l'extension de la partie terminal

    Les Américains avaient fort justement conclu qu'il était beaucoup plus simple de former  X boomers à ravitailler les avions plutôt que former X x4 pilotes à enquiller un panier qui n'en finit pas de bouger, ce d'autant que le boom offre un débit très > au drogue, sachant qu'au départ le rvt en vol était surtout destiné aux bbdiers lourds dont la quintessence était la flotte de B52

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  5. il y a 27 minutes, gustave a dit :

    D’autre part tu n’as pas l’air de réaliser qu’il n’y a pas que VP que cela amènerait à prendre des risques….

    ca me paraît évident effectivement ... En revanche l'important est de savoir pourquoi on prend des risques - certainement importants - la question n'étant pas de savoir " à qui la faute?" mais quelles seront les conséquence d'une invasion partielle de l'Ukraine pour nous pays d'Europe occidentale ... le tout sur fond de possible inaction américaine.

    Là est le débat.

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  6. Il y a 6 heures, Akhilleus a dit :

    Ca ressemble plutot à un affolement réel quand à ce qu'il se passe sur le terrain. Le discours de 2023 (les ukrainiens à Sebastopol) a quand même changé de braquet un peu partout (les ukrainiens sont en train de perdre la guerre) et Macron est le seul politique à le dire (à peu près) ouvertement (alors que ce bruit faible prend de l'ampleur dans les cercles informés depuis des semaines. Il serait intéressant d'avoir les analyses des SR des différents pays pour recouper mais les militaires estoniens, norvégiens et polonais au moins ont l'air assez d'accord sur ce dernier point

    Je pense que comme les autres il a pris la mesure de l'enjeu, mais que pour le moment il est à peu près le seul à en tirer les conséquences sommes toutes logiques reprenant en cela la réflexion fort à propos du notaire du Mexicain

    "soit on se déplace, soit on méprise ..."

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  7. Il y a 3 heures, clem200 a dit :

    Mais au final ils s'éloignent des USA ces bâtiments ? 

    Oui ils effectuent leurs traversées océaniques en pontée sur des navires de transport lourd de ce genre, ici l'USS Cole

    MV_Blue_Marlin_carrying_USS_Cole.jpg

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  8. il y a 33 minutes, Clairon a dit :

    Je l'ai déjà demandé de multiples fois, mais bon, peut-être pas possible techniquement

    Clairon

    Faut savoir à qui demander ...

    ALLEZ ROULAH !

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  9. Un élément qui va jouer dans la suite des évènements; les conditions de la réélection du Président Poutine sur des bases jusqu'alors jamais vues depuis le début de son règne à la tête de la Russie

    Article des Échos

    Citation

    Réélu avec plus de 87 % des voix, Vladimir Poutine repart à l'offensive

    Au pouvoir depuis 2000, le chef du Kremlin a remporté sa cinquième élection présidentielle avec des résultats battant tous les records, y compris de participation (75 %). Sa priorité : le conflit en Ukraine.

    Guerres et conflits

    Russie

    Vladimir Poutine à son bureau de campagne. (Gavriil Grigorov/Pool/Tass/SIPA)

    Par Benjamin Quénelle

    Publié le 18 mars 2024 à 06:29Mis à jour le 18 mars 2024 à 07:37

    Après un quart de siècle déjà au pouvoir, Vladimir Poutine vient de battre tous ses records. Le chef du Kremlin, 71 ans, a été réélu dimanche pour un nouveau mandat de six ans et devrait donc dépasser Joseph Staline en termes de longévité au pouvoir.

    Pour sa cinquième élection , il a obtenu plus de 87 % des voix, selon les derniers résultats publiés tôt ce lundi matin, sur 99 % des bulletins dépouillés. La participation est annoncée à un taux pareillement record au niveau national, frôlant les 75 %.

    Très loin devant le candidat communiste Nikolaï Kharitonov et Vladislav Davankov, représentant du parti « Nouvelles gens » orchestré par le régime pour séduire l'électorat libéral, avec quelque 4 % chacun, Vladimir Poutine fait mieux qu'à ses deux précédentes présidentielles de 2012 (64 %) et 2018 (76 %). Le chef du Kremlin, élu pour la première fois en 2000 avec 53 % des voix, gagne désormais plus de dix points supplémentaires à chaque scrutin. A ce rythme-là, il se rapprochera des 100 % en 2030 lorsque, selon la réforme constitutionnelle qu'il a lui-même orchestrée, il pourra à nouveau se présenter pour rester au pouvoir jusqu'en 2036. Il aura alors 83 ans.

    Célébration sur la place Rouge

    D'autres chiffres donnent le tournis mais s'inscrivent bien dans le narratif du Kremlin, deux ans après le lancement de son « opération militaire spéciale » en Ukraine. Dans les territoires ukrainiens occupés, de Lougansk à Zaporijia, Vladimir Poutine obtient des résultats au-delà des 90 % qui, de son propre aveu, dépassent ses attentes.

    Lire aussi :

    ANALYSE - Présidentielle en Russie : au coeur de la victoire de Poutine, le pouvoir des siloviki

    ENQUÊTE - Présidentielle en Russie : Vladimir Poutine, 25 ans de radicalisation

    La présidentielle avait été planifiée pour coïncider avec les dix ans du « rattachement » de la Crimée à la Russie. Afin de célébrer l'événement ce lundi soir sur la place Rouge, le chef du Kremlin devrait intervenir lors d'un grand concert qui, de facto, prendra aussi des allures de triomphaliste meeting de victoire électorale.

    « Personne n'a jamais réussi à faire quelque chose de semblable dans l'Histoire »

    A moins de six cents kilomètres de là, dans les régions frontalières, le conflit militaire s'est pourtant encore étendu et intensifié récemment avec, pendant les trois jours d'élections, des bombardements et des incursions armées. En territoire russe donc, au moins dix personnes ont été tuées et 68 autres blessées.

    Mais à Belgorod, région la plus touchée par les combats, Vladimir Poutine est crédité de plus de 96 % des voix. Un résultat qui, à ses yeux, est une preuve de la détermination de Moscou. « Peu importe qui veut nous intimider ou à quel point, peu importe qui veut nous écraser ou à quel point, notre volonté ou notre conscience. Personne n'a jamais réussi à faire quelque chose de semblable dans l'Histoire. Cela n'a pas fonctionné aujourd'hui et ne fonctionnera pas à l'avenir », a prévenu Vladimir Poutine lors d'une conférence de presse improvisée tard dimanche soir.

    Lire aussi :

    Présidentielle en Russie : Vladimir Poutine tire profit d'une croissance moins dégradée que prévu

    Les tensions géopolitiques, exacerbées par d'étranges incidents dans plusieurs bureaux de vote (boule de feu lancée à l'entrée, produit chimique versé dans les urnes) qui auraient été initiés depuis l'étranger, ont réussi à renforcer la popularité de Vladimir Poutine, réelle mais largement orchestrée par la propagande. Le Kremlin et ses relais, télévisés et sur les réseaux sociaux, ont développé un narratif transformant l'offensive en Ukraine en opération de « libération » face à une « agression occidentale », en combat existentiel pour défendre non seulement la « souveraineté » du pays mais aussi les « valeurs traditionnelles » face à un ouest jugé « décadent ».

    Dictature

    « Le résultat volens nolens de Poutine démontre qu'il s'agit d'une dictature. Dans aucun autre système, ce genre de résultat n'est possible. Il s'agit d'un pur référendum, pas d'élections. Le taux de participation très élevé est à lui seul la caractéristique d'un système politique anormal », prévient Andreï Kolesnikov, l'un des rares politologues indépendants encore présents en Russie. Pour le chef du Kremlin, ex-agent du KGB, mais juriste de formation, il était d'autant plus important de respecter les formes constitutionnelles que le résultat de la présidentielle doit désormais servir de base légale pour justifier ses futures politiques.

    « Le résultat est sans surprise, Poutine avait besoin de convaincre et de s'autoconvaincre du soutien de la population à la guerre et de l'acceptation de ses conséquences. Il a désormais carte blanche pour toute action qu'il décide de mener… », rappelle ainsi, à Paris, Tatiana Kastueva-Jean, du Centre Russie/Eurasie à l'Institut français des relations internationales. « Ces 'élections' ne le sont pas vraiment : toute une machine administrative travaille au simulacre pour pouvoir afficher le résultat recherché sans candidats indépendants, sans oppositions et sans liberté des médias. »

    Pressions et surveillances

    Avant et pendant le scrutin, les ressources administratives ont ainsi été massivement déployées pour doper la participation - et le score de Vladimir Poutine. Partout dans le pays, les pressions et les surveillances ont été multiples : administrations locales et entreprises publiques, dont les chefs doivent envoyer des rapports précisant qui a voté et quand, ont pendant tout le week-end rappelé chacun à ses devoirs civiques.

    Cela passe aussi par les écoles. Exemple parmi d'autres, confié aux « Echos » par une habitante d'une grande ville du centre de la Russie : « Cela fait trois jours que le responsable de la classe de ma fille poursuit tous les parents d'élèves. Sur le tchat WhatsApp des mamans, il vérifie qui a voté, demandant même pour les maris et les grands-parents. »

    « Midi contre Poutine »

    Les observateurs, eux, ont été réduits au minimum. Golos, l'ONG spécialisée dans les élections, a été interdite. Plusieurs observateurs indépendants ont été interpellés alors que, sur les réseaux sociaux, ont circulé les premières vidéos démontrant des bourrages d'urnes. « Nous pouvons voir que les dépouillements ont été effectués très rapidement. Dans un bureau de vote, cela a pris quatorze minutes ! C'est impossible si on veut bien respecter toutes les procédures », raconte aussi un observateur contacté par les « Echos » dans l'une des banlieues de Moscou.

    Dans la capitale, habituel foyer principal de la protestation anti-Kremlin, le vote pour Vladimir Poutine a d'ailleurs atteint des seuils suspects, obtenant 85 % - sur la totalité des bulletins. Dimanche, au dernier des trois jours de vote, des milliers de simples citoyens-opposants ont bravé la peur pour, en votant à 12 heures, participer à l'opération « midi contre Poutine » , lancée sur les réseaux sociaux et soutenue par la majorité des leaders de l'opposition. Objectif : créer un mouvement de masse dans les bureaux de vote et nourrir un contre-narratif face à l'élection gagnée d'avance par Vladimir Poutine. « Un acte citoyen » avant la marée électorale.

    Benjamin Quénelle (Correspondant à Moscou)

     

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    AASM

    Il faut que l'avion soit câblé avec le bus kivabien soit doté de la centrale inertielle GPS kivabien, avec le pylône kivabien ...

  10. il y a 1 minute, Nicks a dit :

    Elle date de quand cette culture d'entreprise ? Airbus était un consortium, c'est devenu une multinationale européenne sur laquelle la France n'a plus que très peu de pouvoir. Et on y a sacrifié des entreprises françaises très bien portantes, via EADS.  Regardez ce qui se passe à propos du SCAF, ça me semble édifiant...

    Ce n'est vraiment pas aussi caricatural ... surtout quand on connait les sites de Toulouse ou de Marignane ... ce qu'on y fait ce qu'on y conçoit.

    Le SCAF c'est une lutte pour avoir la grosse part d'un énorme gâteau, comme tu dirais c'est le jeux des relations internationales ....

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