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Perry

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  1. Perry

    [Rafale] *archive*

    Il ne faut pas négliger non plus la possibilité d'un malaise du pilote. Ce sont des choses qui, malheureusement, peuvent arriver.
  2. L'avant-dernière photo avec les pneus en flat fait peine à voir. Effectivement, s'ils passent de ça aux Rafales, pour eux ce sera Starwars...
  3. Le problème d'Enrico Macias est que c'est un con. Il a fait tout son fond de commerce sur la chouinasserie et ses gros yeux larmoyants de victime autoproclamée. Si les Algériens n'en veulent pas, cela prouve juste qu'ils ont bon goût ! =D Plus sérieusement, il est tout à fait exact que Macias a déjà pu retourner en Algérie. Donc ses propos ne tiennent pas debout. Ensuite l'Algérie est un état souverain et ils font ce que bon leur semble. S'ils veulent déclarer Macias "persona non grata", c'est leur droit. Personnellement j'aurais préféré qu'ils l'accueillent ...et le séquestrent (mais avec un baillon pour l'empêcher de chanter) oubien le perdent dans le désert, on peut toujours rêver... Bon, les Algériens, en fins négociateurs, on fait la meilleure affaire. Les contrats sans Macias... On a pas réussi à s'en débarrasser. On s'est fait rouler ! :lol: On peut toujours essayer de le fourguer aux Lybiens. On l'accroche sous la voilure d'un Rafale à la place d'un bidon de kéro et on le fait chanter au dessus des lignes ennemies pour effrayer les vaches et les Rebelles. Ca peut marcher...
  4. Perry

    [Femmes soldats] Archive

    USAF. Trois femmes pilotes. De gauche à droite : LT. Sue Hart, LT. Brenda Scheufele, LT. Pamela Lyons Carel. Ex-VAQ-34 (aujourd'hui dissoute).
  5. Nous disposons de 1280 hommes au Tchad. 4 Mirage F1 + l'ALAT dans "Epervier". Il est indispensable que nous montrions nos griffes face à ces bachi-bouzouks Soudanais et ce, avec une bonne couverture médiatique. On ne sait pas dans quelle mesure l'armement de ces guignols n'est pas fourni par les Chinetoques (ce dont je suis sûr). Les Chinois ne rêvent que de nous dégringoler et de faire place nette pour leur petit bordel avec les Amerloques. D'ailleurs les Amerloques, s'ils pouvaient aussi... Il est particulièrement réjouissant pour quelqu'un de cynique comme moi de voir tous ces contingents de "gentils" militaires Chinois dégoulinants d'humanisme tout prêts à déferler sur la frontière pour aider tous ces "déplacés" du Darfour. "Déplacés" qui voient avec incompréhension ces mêmes Chinois qui appuient inconditionnellement le régime de Karthoum au conseil de sécurité, venir pour les... aider ? Régime de Karthoum qui envoie les milices arabes Janjawid tuer, piller, violer les populations de ces mêmes "déplacés" (entre 110 000 et 120 000 ont passé la frontière). Ce, avec l'appui bienveillant des Chinois. Cet humanisme à la sauce Cantonaise a des arrière-gouts de friture pétrolifère. On est très loin de l'humanisme maçonnique de D'Alambert ou Diderot (mais les Français sont tellement poètes...). En résumé, on a : - Plein de pétrole (réél) + des terminaux et oléoducs (en fantasme). - Les commanditaires des bourreaux qui viennent main tendue la larme à l'oeil placer des hommes en armes sous prétexte de venir en aide aux condamnés (gardons les deux dernières syllabes). - Des Français qui ne font rien ou qui, lorsqu'ils font quelquechose le font sans que personne ne sache rien, ce qui a comme effet pervers de persuader tout le monde qu'en fait... ils ne font rien (et qu'eux peuvent par contre en l'occurrence se permettre de tenter un peu plus à chaque fois). - Un président coincé entre le marteau et l'enclume pressé d'enterrer l'affaire "Arche de Zoé" pour venir supplier "Tonton Frankaoui" de chasser ces vilains rebelles venus pour le faire tomber de la plus haute branche de l'arbre et placer à sa place un clone à la botte des Chinois ou des Américains selon celui qui aura été le plus rapide. Si l'armée Française doit un jour se faire respecter, c'est maintenant et pas demain car il sera trop tard. Et on évitera si possible une gestion "à l'Ivoirienne" du dossier. Gestion qui fait encore ricaner dans nombre de chancelleries. J'espère que Sarkozy est bien conseillé sur ce coup-là parceque avec Morin... Vous êtes sûrs qu'il bosse pour nous Morin ? J'ai juste un doute.
  6. 1) Des Tournedos Italiens dans l'endroit qui leur convient le mieux, une casse. 2) Un F-16 Batave reconverti par son pilote en machine agricole pour creuser les sillons des champs de betteraves... 3) Avion personnel de Mobutu scrappé par les Portugais qui trouvaient probablement l'ornement un peu kitsch. 4) 747 d'Air Gabon sur lequel un facétieux aura inscrit "Air Pabon". Sur le nez est inscrit le nom de l'ex Président du Gabon décédé en 1967.
  7. Ils font aussi des essais sur un Sineva amélioré. Celui qui équipe les Delta et probablement le Typhoon Severstal. Seul le Dmitri Donskoy utilisera les Bulavas (mis à part les Boreï).
  8. Perry

    [Rafale] *archive*

    Celui de montrer au monde entier que le Brésil peut se le permettre et fait partie des happy few capables de déployer un PA. Très peu de pays au monde... Cela n'a pas couté si cher que cela et en terme d'impact psychologique et d'influence, c'est "priceless" !
  9. Cette fois une analyse Géostratégique de la situation. Le Pétrole, les Chinois et les Américains avec quelques Français au milieu. Je n'irais pas jusqu'à dire que l'affaire de "l'Arche de Zoé" a été orchestrée par des puissances étrangères mais c'est vrai que cela tombe mal quand on connaît la situation. TCHAD-SOUDAN - À LA CROISÉE DES DÉSIRS Le 13 avril 2006, à N'djamena. Montée sur une soixantaine de camionnettes Toyota, une colonne d'un millier d'hommes armés pénètre dans la capitale tchadienne. Embusqués, les blindés de l'armée tchadienne l'attendent. C'est un massacre. 400 morts, pour la plupart des attaquants. L'attaque est venue de l'est. L'armée française, avec ses 1250 hommes de l'opération Épervier, ses trois hélicoptères Puma et ses six Mirage F1, est intervenue. Uniquement pour fournir des renseignements et, à l'arrière, pour assurer la protection des résidents français. Voilà pour les apparences. Mais qui étaient les attaquants ? Le Président Idriss Déby affirme : " 60% des 500 prisonniers sont des Soudanais. Parmi eux, il y a cinquante policiers de Khartoum et plusieurs officiers supérieurs de l'armée soudanaise... " On perçoit l'exagération. Mais Déby parle en connaisseur. Le 1er décembre 1990, avec une colonne de guerriers de sa tribu, les Zaghawas, il renversait Hissène Habré et s'emparait du pouvoir. Il bénéficiait du soutien du Soudan et sait, d'expérience, aucune rébellion ne pouvoir venir de l'Est sans le soutien de Khartoum. Bien, mais pourquoi cette attaque ? En surface, quelque chose de bien africain. Déby a déçu ses commanditaires soudanais en n'inféodant pas le Tchad à Khartoum. Ces derniers lui en veulent et, en réponse, ont suscité l'agitation dans les rangs de sa tribu. Facile, compte tenu du fait que seul le clan rapproché du Président bénéficie des avantages financiers liés à l'accession au pouvoir. Résultat, pour beaucoup, ce sont les gens de sa tribu qui ont attaqué la capitale tchadienne, pour eux Déby, le 13 avril dernier. Le Président tchadien est donc de mauvaise foi quand il accuse les attaquants d'être soudanais. Mais les coups tordus ne s'arrêtent pas là car, Déby, de son côté, soutient l'opposition armée du Darfour contre le régime soudanais. Cependant derrière les querelles africaines, d'autres intérêts se dissimulent. En 2003, un consortium dominé par les Américains bâtissait un oléoduc pour évacuer le pétrole tchadien vers le Cameroun. Étrangement, le groupe Elf avait cédé ses intérêts sur les réserves pétrolières tchadiennes à ses concurrents d'Outre-Atlantique. On subodore là quelques hautes trahisons de la France au profit d'une puissance étrangère. Elf n'en est plus à son coup d'essai. Au Soudan, par contre, les Chinois dominent l'exploitation du pétrole dans le sud du pays. Or, on sait leurs besoins énormes et toujours en expansion en raison du développement de leur industrie. Certes, le Soudan ne couvre que 4,5% des besoins de la Chine en or noir et l'Afrique ne représente qu'un quart de sa consommation. Pékin a donc des raisons de ne pas se contenter du Soudan et de pousser plus loin sa quête de pétrole. En ce domaine, le continent noir offre l'avantage d'une forme de sécurité. Mis à part le Nigeria, il se situe, en grande partie, en dehors de la zone de turbulence islamique. Si la violence allait crescendo au Moyen-Orient, l'Afrique noire apparaîtrait donc comme une zone de production privilégiée hors risque islamique. Dans ce cadre, le Tchad est attractif. Bien sûr, ses ressources en or noir ne représentent pour le moment que des miettes, moins de la moitié de celles du Soudan. Mais, selon les experts, son sous-sol recèlerait des réserves beaucoup plus importantes. Or, détail d'importance, et comble du mauvais goût aux yeux de Pékin, N'djamena a choisi l'irrédentiste Taiwan , son ennemi juré, pour rechercher le pétrole caché. Voilà déjà une raison pour la Chine, d'être présente au Tchad, celle de supplanter son insupportable concurrent, Taiwan. Il existe une autre raison. Le Tchad est frontalier du Cameroun. Or, de ce dernier pays, on débouche sur le golfe du Biafra et les nappes de pétrole du Nigeria, du Gabon, d'Angola et du Congo Brazzaville. Une tentation, pensons-nous, a effleuré l'esprit des Chinois. Aujourd'hui, constatent-ils, les Américains ont le contrôle d'un oléoduc allant du Tchad au Cameroun. Le pétrole est ensuite acheminé par tankers vers les États-Unis. Les Chinois utilisent eux un terminal pétrolier à Port-Soudan, où l'or noir, du sud Soudan, est déversé à destination de la Chine. Ajoutant les tronçons d'oléoducs nécessaires, envisageraient-ils d'inverser le flux pétrolier, aujourd'hui tourné dans la direction de l'Amérique, vers Port-Soudan et, de là, vers la Chine ? Souhaiteraient-ils faire basculer le pouvoir au Tchad pour s'y ménager un gouvernement favorable à leurs projets ? Des rumeurs le disent. Reste à le prouver. Le colonel Jean-Louis Dufour, officier de l'armée française, affirme néanmoins que la Chine a " financé la cavalcade " des Toyota de l'opération du 13 avril contre N'djamena. De son côté, le 23 avril, le Journal du Dimanche affirmait que Mahamat Nour, le chef des attaquants, avait " travaillé dans le passé au Soudan pour une société chinoise et pétrolière. " Étranges coïncidences. Si les intérêts de la Chine apparaissent transparents, ceux des États-Unis sont non moins évidents. Washington voudrait faire cesser l'instabilité au Darfour, qui permet à cette région de servir de base d'assaut contre le Tchad et ses investissements pétroliers. La signature des accords de paix au Darfour, le 5 mai 2006 à Abuja, le démontre bien. Depuis février 2003 l'insécurité sévit dans cette région. En raison de la politique raciste de Khartoum à l'égard de la population négroïde de la région, un soulèvement armé avait éclaté. En réponse, le pouvoir central avait dépêché des milices armées, les Djandjawid. Résultat, en trois ans, on comptait 200 000 à 300 000 morts et deux millions de réfugiés pour beaucoup survivant dans des camps de toile au Tchad voisin. Les Djandjawid, la milice qui sévit contre la population du Darfour Le 8 avril 2004, sous l'égide de Déby, déjà très concerné, des accords de cessez-le-feu étaient décrétés. L'Union africaine a fini par envoyer sur place une force de maintien de la paix de 5000 hommes, appelée MUAS (Mission de l'Union africaine au Soudan). Ayant à gérer un territoire grand comme la France, elle est dépassée et l'insécurité perdure. En avril 2006 de nouveaux pourparlers prennent place à Abuja (Nigeria) entre les rebelles et les autorités soudanaises. Les États-Unis font le forcing. Robert Zoellick, sous-secrétaire d'État des États-Unis, fait le déplacement. Une présence traduisant l'importance attachée par Washington à l'affaire. Trois jours après la signature des accords, George W. Bush s'investit en personne : il manifeste son " souhait " d'assister à une mise en place rapide d'une force des Nations Unies dans le Darfour. En d'autres termes, que la communauté internationale, pacifiant le Darfour, protège les intérêts américains au Tchad. Et la France dans tout cela ? Il faut craindre qu'en Afrique, dans son pré carré, elle n'en soit réduite à assister passivement aux affrontements entre la Chine et les États-Unis pour le contrôle des ressources du continent. S'attachant à enlaidir son passé colonial, la campagne aujourd'hui orchestrée contre elle sert à propos, ceux qui veulent l'écarter du continent en jouant sur la culpabilisation des Français et leur manque de mémoire. Issu de : http://www.recherches-sur-le-terrorisme.com/Analysesterrorisme/tchad-soudan.html
  10. On l'a vu avec les sous-marins qui ont explosé à causes des torpilles au péroxyde. Quand au MESMA, un système de scooping sous le soum fait rentrer de l'eau de mer pour produire de l'oxygène.
  11. Fatima Bhutto, écrivaine pakistanaise, est la nièce de l'ancien Premier ministre. Elle ne partage pourtant pas la foi que beaucoup de ses compatriotes ont en sa tante, qui aimerait passer pour le dernier espoir de sortir son pays du régime militaire de Pervez Musharraf. Fatima Bhutto AFP Les Pakistanais vivent des temps incertains. L'état d'urgence vient d'être imposé pour la treizième fois dans le pays en tout juste soixante ans d'histoire. Des milliers d'avocats ont été arrêtés, certains ont été accusés de sédition et de trahison, le président de la Cour suprême a été limogé et une loi draconienne sur les médias – qui ordonne la fermeture de toutes les chaînes d'information privées – a été mise en place. Mais le plus bizarre dans tout ce cirque est le détournement de la cause démocratique par ma tante, Benazir Bhutto, l'ex-Premier ministre déchu à deux reprises. Le mois dernier, pendant qu'elle négociait un accord sur un partage du pouvoir avec le général Pervez Musharraf, elle a affirmé une nouvelle fois que, sans elle, la démocratie au Pakistan serait une cause perdue. Maintenant que la situation a changé, elle réclame la démission du président Musharraf et manifeste son désir de s'allier aux opposants, tout en continuant à se présenter comme le sauveur de la démocratie. Pourtant, nul n'est mieux placé qu'elle pour tirer profit de l'état d'urgence. D'autant que, comme les dirigeants des grands partis islamistes, elle a été épargnée par la violente répression qui l'a accompagné. Il est généralement admis que Mme Bhutto a été démise de ses fonctions de chef de gouvernement pour corruption. Elle et son époux, surnommé "monsieur 10 %" au Pakistan [pour la part qu'il s'octroyait sur les contrats nécessitant son accord], ont été accusés d'avoir puisé plus de 1 milliard de dollars dans les caisses de l'Etat. La justice suisse l'a également condamnée pour avoir blanchi 1 million de dollars, verdict contre lequel elle s'est pourvue en appel. D'autres affaires de corruption la concernant sont en cours en Grande-Bretagne et en Espagne. Il était particulièrement déplacé, de la part de Mme Bhutto, de demander au président Musharraf de court-circuiter l'appareil judiciaire et d'abandonner les nombreuses charges de corruption qui pèsent encore sur elle au Pakistan. Il a toutefois accepté en signant la bien mal nommée "ordonnance de réconciliation nationale". Sa collaboration avec le général a été si peu discrète que les gens surnomment désormais son parti – le Parti du peuple pakistanais – le "Parti du peuple Pervez". Même si aujourd'hui elle souhaite prendre ses distances, il est trop tard. Les promesses répétées de Mme Bhutto de mettre fin au fondamentalisme et au terrorisme au Pakistan sont difficilement crédibles, car, sous son propre gouvernement, le régime taliban qui gouvernait l'Afghanistan a été reconnu par le Pakistan – l'un des trois seuls pays au monde à l'avoir fait. Je doute également de son engagement à maintenir la paix. Mon père, Mir Murtaza Bhutto, était parlementaire et critiquait vivement la politique de sa sœur. Il a été abattu devant notre maison en 1996 dans une opération soigneusement montée par la police alors que Benazir était Premier ministre. Il y avait entre 70 et 100 policiers sur les lieux, tous les réverbères avaient été éteints et les routes coupées. Six hommes ont été abattus avec mon père. On leur a tiré dessus à bout portant et leurs corps ont été abandonnés dans la rue. Mon père était le petit frère de Benazir. Le rôle de cette dernière dans son assassinat n'a toujours pas été clairement établi, même si le tribunal réuni après sa mort sous l'autorité de trois juges très respectés a conclu qu'elle ne pouvait avoir eu lieu sans l'approbation des "plus hautes" instances politiques. Si l'on soutient Mme Bhutto, qui parle de démocratie tout en demandant à un dictateur militaire de la porter au pouvoir, on ne fera que provoquer la mort du mouvement démocratique naissant de notre pays. La démocratisation sera à jamais déligitimée, et nos progrès dans l'adoption de véritables réformes seront réduits à néant. Les Pakistanais peuvent être certains de cela. Fatima Bhutto Los Angeles Times
  12. On avait déjà la première photo mais je viens de trouver ces photos de ces systèmes de lancement-leurres en train d'être manipulés. Le problème est que la définition des satellites militaires est telle aujourd'hui que je me demande si cela suffira à leurrer qui que ce soit.
  13. Il y aura probablement trois MIRV sur les futurs Topol s'ils utilisent l'expérience acquise sur les Bulavas.
  14. Perry

    Marine chinoise en 2020

    Comme le décrit l'article de la DARPA (tiens, encore eux...) le Laser Bleu est un système de communication par rayon lumineux qui doit pouvoir relier un ensemble de lutte ASM (par exemple) dans une fusion de données entre avions, satellites, navires de surfaces, et sous-marins... Le laser bleu a semble t'il la particularité de transmettre l'information à travers l'eau au contraire des ondes radars par exemple qui ne passent pas sous l'eau. C'est pour cela que les sous-marins utilisent des sonars (ondes soniques) pour la detection. Pour communiquer, les sous-marins doivent, en gros, soit faire surface, soit larguer une bouée de surface avec cable de liaison jusqu'au sous-marin (ce qui est utilisé par tous les soums). Mais cela réduit considérablement leur marge de manoeuvre et surtout leur capacité à traiter les informations le plus vite possible. Pour communiquer en instantané, un laser bleu permet de transmettre en binaire par le biais d'un oscillateur optique para-métrique. Dans l'absolu cela permet même de communiquer avec des satellites avec une discrétion optimum. Les USA utilisent ce système et en testent actuellement une version améliorée. Cela intéresse bien sûr les Chinois mais je ne suis pas certain que les Russes acceptent le transfert de technologie sur ces systèmes qu'ils utilisent aussi mais semble t'il dans une version moins avancée que celle des Américains. J'ajoute que je suis persuadé que les Anglais utilisent le Laser Bleu sur les Astute. Appendices : The goal of the DARPA Blue Laser for Submarine Laser Communications (SLC) and Non-Acoustic Anti-Submarine Warfare (ASW) program is to develop a high wall-plug efficient, Blue Light (455nm), Solid-state Laser. Foreign submarines are quieter than ever before, and there is a pressing need for improved ASW capabilities, particularly in shallow water (above the thermocline) and littoral areas of operations. Coordination between multiple assets such as aircraft, surface ships, and submarines is critical to an effective ASW campaign. Integration of submarines into an overall ASW effort, arguably the most effective platform for wide area search and tracking, has traditionally been hampered by lack of or minimal communications to the submarine while deep. The Navy is currently investing in new and previously demonstrated techniques for communicating with submarines at speed and depth for coordinated ASW operations. These techniques most commonly use either trailing wires or towed buoys for submarine communications, which impose limitations on the submarine's maneuverability and stealth, and therefore negatively impact the submarine's ability to fully conduct ASW operations. An airborne laser which could penetrate shallow water would permit submarine communications without the restrictions of floating wires or buoys. This program is intended to develop the world's first wall-plug efficient laser that operates both at an optimum water transmission band of open ocean water and at the wavelength of a Cesium Atomic Line Filter. This laser has the potential to improve the detection depth of a NAASW lidar system by a significant factor for the same reasons it could improve submarine communications. Ici les specs des leds utilisées chez un fournisseur lambda (Dragonlasers). LD Pumped All solid state 473nm blue laser. Wavelength (nm) 473 Output power (mW) 1-100 Transverse mode TEM 00 Operating mode CW Power stability (rms, over 4 hours) <5%, <10% Warm-up time (minutes) <15 M 2 factor <1.2 Beam divergence, full angle (mrad) <1.5 Beam diameter at the aperture (mm) 2.0 Beam height from base (mm) 24.8 Spectral linewidth (nm) <0.1 Polarization ratio >100:1 Noise of amplitude (rms) 30% Point stability after warm-up (mrad) <0.05 Operating temperature (℃) 10-35 Expected lifetime (hours) 10000 Net weight of laser head (kg) 0.645 Dimensions of laser head (mm) 140.8(L)×73(W) ×46.2(H) 120(L) ×60(W) ×36(H)mm3,0.35kg (adaptor) Power supply (80-260VAC) Separated driver (LD-WL203) 100(L) ×62(W) ×55(H)mm3,0.25kg (PC board) Warranty time 1 year TTL modulation Optional,1-10kHz or higher (If request, higher rate up to 40kHz available) Analog modulation Optional,1-10kHz or higher (0max output when 05VDC signal input) "All solid state 473nm blue laser is made features of ultra compact, long lifetime, low cost and easy to operate, which is used in fluorescence sensors, Raman spectrum, laser printing, laser display, submarine communication, biomedicine, laser light show, etc." Enfin j'ajouterai que le système SOKS intéresse fortement les Chinois et les Indiens et que c'est une des raisons qui les poussent à prendre des Akulas project 971 en location/leasing. Le SOKS équipera les Yasen et les Boreï mais même si les Chinois insistent sur la fourniture de ce système, je suis presque sûr que les Russes s'y refuseront. Ces derniers ont acquis une expérience inégalable dans ce domaine.
  15. Ultra-culte, au cas ou il resterait des gens qui ne connaissent pas... Les espions par Mozinor : http://www.youtube.com/watch?v=j21NNE7LHhY Rambo par Mozinor : http://www.youtube.com/watch?v=225lZGehq2w Le KOURSK par Mozinor : http://www.youtube.com/watch?v=IgdvMD9xwo4
  16. Perry

    Le(s) PA de la Royale

    Ok, c'est plus clair. Merci mille fois g4lly.
  17. Perry

    Le(s) PA de la Royale

    Je ne comprends pas l'hérésie d'une propulsion classique... Mais il doit bien y avoir une solution logique mais je ne vois pas. D'abord un batiment à propulsion nucléaire à une très grande autonomie. Aujourd'hui on sait faire des réacteurs qui n'ont pas besoin de refuelling pendant 25 ans (voir réacteur de l'Astute Britannique). Le Gasoil est tellement cher aujourd'hui (et ça ne va pas s'arranger dans le futur) que je ne comprends pas ce choix. Si quelqu'un peux m'expliquer...
  18. Perry

    Marine chinoise en 2020

    Le prix tout d'abord. Les SNA US coutent horriblement cher à l'achat et tout aussi cher à l'entretien. Un SNA Virginia coute plus près des $2 500 000.00 USD que des deux millions. Le projet des US est nommé "Tango-Bravo". Réacteur miniaturisé, là on glosera sur le fait que quand les Français ont commencé le développement des Rubis (plus petits SNA du monde), il a fallu relever le défi technique d'un réacteur très compact. Ca ricanait du coté de Bangor mais une fois les Rubis à l'eau, les gars de chez Electric-Boat ricanaient moins... Pourquoi les Russes et les Anglais moins que les Français ? Les Russes les intéressent bien sûr. Surtout les Yasen. Mais ils sont construits sans économie grâce à l'argent du gaz et du pétrole et certaines de leurs technologies ont été barbotées aux Américains (Laser Bleu...) dans des histoires d'espionnage rocambolesques (c'est fou ce qu'on peu obtenir avec une valise de biftons au pays qui a érigé le matérialisme en mode de vie...). Leurs coques ont été pensées au début des années 80. Les Anglais alors ? Bon, les Astute sont gros, très gros. Et très chers... Quand au matériel embarqué et la technologie utilisée... cela a fait l'objet d'un bon coup de pouce des Américains. Et puis les Français sont en plein développement. La technologie étant ce qu'elle est, les progrès sont vite validés et on saute vite une étape technologique. Comme une version évoluée du SOKS avec un gros computer très costaud pour traiter toutes les données le plus vite possible. Le sous-marin "Tango-Bravo" sera de la même taille qu'un Barracuda, aura un pumpjet et un X-tail... comme le Barracuda. Pour le pump-jet pas de pb, les US connaissent. Mais le X-tail, pour l'instant, hormis les Hollandais, les Allemands et bientôt les Français (les Russes on ne sait pas), il n'y a pas grand monde qui connait. C'est pourtant un système d'avenir (mais difficile à utiliser). Le projet Tango-Bravo est mené sous l'égide de la DARPA : (USA's Defense Advanced Research Projects Agency). Dans les nouveautés on notera : une propulsion électrique plus silencieuse, un équipage réduit. Des stations de combat et sonar automatisées et dans les idées intéressantes, tout le système de lancement d'armes déjà chargé et en tubes noyés placé à l'extérieur de la coque. On réduit d'autant le volume de la chambre d'armes et des automates de chargement et on réduit la taille globale du sous-marin. Le sonar de proue devra être moitié moins volumineux que celui des Virginia tout en couvrant plus de fréquences. Les sonars de coque devront être modulables et interchangeables en fonction des missions. La battle station d'un Virginia comporte 17 marins, le Tango Bravo (ou TB pour "Technology Barriers") devra n'avoir que huit marins pour sa battle station. Un système de rétractation des Safrans et un réacteur miniaturisé si possible ou une autre source d'énergie. Le projet Tango-Bravo est en développement depuis 2004. http://www.sendspace.com/file/m6y4ww
  19. Non rien n'est récupérable. Pas même pour les scavengers. Et les GI's qui se sont fait tirer la tronche sur les carcasses pour ramener une petite photo aux copains restés aux pays sont tous aujourd'hui en train de crever dans des sanatoriums après avoir respiré des particules d'uranium apauvri contenu dans la poussière...
  20. Avec les photos c'est mieux. Excellente galerie de très belles photos du B1 après son atterrissage sur le ventre à Diego-Garcia : http://www.zianet.com/tedmorris/dg/bombers4.html
  21. Arh, ça se corse... The GAO’s report states that in February 2007 over 1,400 parts unique to the U.S. Navy’s F-14 Tomcat were sold to Iran. These sales occurred despite a blanket ban on all F-14 spares sales that had been enacted by the DoD a month before to prevent just these sort of acquisitions by the Iranian armed forces. (août 2007). Spare parts for the F-14, on display at the 2006 Iran Air Show. Photo by Reuben F. Johnson. Article complet : The Pentagon Garage Sale The ability of Iranian agents to walk out the front door of U.S. Government boneyards and used equipment depots with spare parts for the F-14 in hand has created a spate of negative publicity for the DoD’s Defense Logistics Agency (DLA). A Government Accountability Office (GAO) report released today reveals that the Pentagon agency could justifiably be charged with suffering from a severe learning disability. f14parts.jpg Spare parts for the F-14, on display at the 2006 Iran Air Show. Photo by Reuben F. Johnson. The GAO’s report states that in February 2007 over 1,400 parts unique to the U.S. Navy’s F-14 Tomcat were sold to Iran. These sales occurred despite a blanket ban on all F-14 spares sales that had been enacted by the DoD a month before to prevent just these sort of acquisitions by the Iranian armed forces. After the January decision, the department’s Defense Logistics Agency (DLA) had been ordered to update its security procedures so that any “F-14 use only” spares would be deleted from the list of items posted for sale by the Defense Reutilization and Marketing Service’s website. DRMS is charged with the re-sale of spare parts from retired or cannibalized weapon systems and is essentially the sales arm of DLA. U.S. Congressional investigators working for the GAO discovered that these F-14 parts sold off in February slipped through the cracks because DRMS failed to update the agency’s computer-based specific automated control list. That list is the filtering mechanism for keeping those components off of the agency’s website and failed to flag the parts acquired by Iran as F-14 critical items. In the 1970s, Iran became the only nation ever to receive the F-14 as an export client of the United States and has been struggling to keep them aloft for almost three decades. Since the 1979 embargo that the United States imposed on Teheran after the Islamic Revolution, all sales of spares for the Iranian F-14s have been banned. In order to circumvent the ban Iranian procurement agents operating out of front companies and using a network of middleman have managed to keep getting their hands on the parts they need. Other spares have either been reverse-engineered or the original production drawings acquired by Teheran so that Iran’s aerospace industry could manufacture their own F-14 components. Cooperation between Iran’s defense establishment and the Chinese intelligence services has been particularly helpful on both accounts. Although Iranian and Chinese agents acquired a full range of spare parts--including not just the F-14, but also the aircraft’s Hughes AIM-54 Phoenix missile and Boeing CH-47 helicopter--the GAO’s report is chiefly concerned with the sale of F-14 components. Greg Kutz runs the GAO’s special investigations division. In the report he observes that “one country with operational F-14s, Iran, is known to be seeking these parts. If such parts were publicly available, it could jeopardize national security.” Sen. Ron Wyden (D-Oregon) was interviewed by the Associated Press upon the release of this report and stated that it proves that “the Pentagon has bumbled to the point where they can't make the distinction” between those items that can be used by Iran and other hostile nations and spare parts that are of no particular strategic value. He added, “the Pentagon’s system is still riddled with holes.” Source : weeklystandard.com Les Iraniens clament aussi avoir la capacité de produire leur propres missiles Phoenix.
  22. Des vidéos "amateur" qui montreraient des F-14 Tomcats Iraniens faisant du low-fly au dessus des troupes US en Irak sur la frontière commencent à apparaitre sur des sites comme Youtube et Liveleak. En parallèle il y a une sorte de pseudo-hystérie qui se met en place depuis le mois de mars entre le département d'Etat US et le bureau du gouverneur de l'Arizona et celui du Nevada. En effet dans ces deux états se trouvent des boneyards comme celui de Davis-Monthan AFB qui sont sous admin contractuelle privée. Ca sent l'intox à plein nez. Déjà des Tomcats Iraniens en état de voler... Ce serait un véritable scoop ! "(AP)-- Federal agents seized four retired F-14 fighter jets that authorities said were improperly transferred from the Navy to two air museums and the company that produced the TV show "JAG." The Tomcats were not properly demilitarized before being transferred to private parties, according to a statement issued Tuesday by the U.S. Immigration and Customs Enforcement, which worked with the Defense Criminal Investigative Service and the Naval Criminal Investigative Service in a 17-month investigation. Under the rigorous demilitarization process, navigation, radar and other sensitive equipment are disabled so they can no longer perform military functions, said Cmdr. Dave Werner, a U.S. Navy spokesman. "In this case, it seems (the jets) didn't formally undergo the process," Werner said. Two of the jets were at the Yanks Air Museum in Chino, California, another was at the Planes of Fame Museum in Chino, and the fourth, which was acquired by Paramount Pictures, then resold to a scrap dealer, had been stored at a facility operated by Southern California Aviation at the Southern California Logistics Airport in Victorville, California. None of the jets were currently flyable, but one in Chino still has its engines and was at least superficially in very good condition, said ICE spokeswoman Virginia Kice. The other three do not have engines but were otherwise essentially whole, she said. There was no indication any of the hardware fell into the wrong hands "but it does present a vulnerability," Kice said. After-hours calls to curators at the Yanks Air and Planes of Fame museums were not immediately returned Tuesday. Efforts to reach Mark Thomson, the scrap dealer who bought the F-14 from the producer of "JAG," were unsuccessful. The Navy added F-14s to the fleet in 1972 and retired the last of them in 2006. Iran, which acquired F-14s in the 1970s when it was an ally of the United States, is the only country trying to keep the jets in the air. With little ability to produce parts on its own, Iran is aggressively pursuing several avenues to obtain U.S. spares, including contacting American aerospace supply companies or using U.S-based "front companies" to broker deals, according to an affidavit filed in support of the F-14 seizures. "The aircraft, therefore, present an extreme safety hazard to the public, with potential liability on the part of the United States Department of Navy," ICE special agent Joshua Barnett wrote in the affidavit. The four seized jets were retired from active service at the Naval Air Station at Point Mugu, California in the late 1990s. A former Naval Chief Warrant Officer told investigators he sold the F-14s to a scrap dealer without verifying they were properly demilitarized and expected the fighter jets to be destroyed, the affidavit said. "The same thing that makes these planes a source of interest for aircraft enthusiasts, their relatively pristine condition, also makes them desirable for those with less innocent motives," Robert Schoch, special agent in charge for the ICE office of investigations in Los Angeles, said in a statement. "The strict regulations governing the transfer of military aircraft are designed to reduce the likelihood that sensitive equipment and technology might fall into the hands of individuals or countries seeking to do us or our allies harm," Schoch said. The jets will be partially dismantled and taken to the military's Aerospace Maintenance and Regeneration Center in Tucson, Arizona, for storage and final demilitarization."
  23. Perry

    Republic of Korea Air Force

    Hum, par contre pour avoir déjà utilisé un Puma comme passager, le tableau de bord n'a rien à voir... Les PUMA de l'ALAT que j'ai connus étaient assez "rustiques". Ceux que le 13è RDP utilisait au Kosovo étaient par contre un peu plus modernes.
  24. Un avion ça se remplace, pas un pilote. En cas de conflit, c'est quand les pilotes viennent à manquer que ca sent le sapin. Les Japonais en savent quelque chose depuis la deuxième guerre mondiale. Ils avaient des cavernes dans les collines pleines d'avions à assembler mais plus de pilotes pour les faire voler...
  25. Perry

    Marine chinoise en 2020

    Puisqu'on parlait du 022, voici donc ce fameux bateau. Un Catamaran LCS (Littoral Combat Ship) equipé de lance-missiles. Ici l'unité 2011, la quatrième produite. Lancée au chantier naval de Shanghai-Qiuxin en 2006.
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