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fanaPHIB

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  1. Bonjour Amine99, Bienvenue sur le Forum A quand une présentation des unités de l'armée marocaine? Je serais preneur d'une présentation des unités suivantes (histoire, organisation, missions, formation) : - Troupes aéroportées : les 2 brigades parachutistes (quelle est leur composition?), les bataillons commandos et paras indépendants, - Brigade Légère de Sécurité, - Garde Royale...
  2. Bonjour, Super ce sujet sur les unités spéciales marocaines A quand une présentation (histoire, organisation, missions) de chacune des ces unités peu connues en France? : Gendarmerie : GSIGR, EPIGR Sûreté Nationale : GIR, BRI, etc... Forces Armées Royales : parachutistes, commandos, BLS, etc...
  3. fanaPHIB

    Armée de Terre polonaise

    Bonjour, Merci pour ces présentations. Concernant le régiment de reconnaissance, comment sont organisées les compagnies qui le composent? Merci d'avance.
  4. fanaPHIB

    Armée de Terre polonaise

    Bonjour, Merci Lunch Time pour avoir présenté la section d'infanterie sur Rosomak dans le fil de discussion "penser l'organisation de la section d'infanterie". A quand une présentation des bataillons d'infanterie, reconnaissance, génie et des JW AGAT et NIL? Merci d'avance
  5. Le domaine du ravitaillement en vol des hélicoptères a été initié par l’US Air Force dans le cadre des missions de recherche et sauvetage au combat pendant la guerre du Vietnam. En effet, les hélicoptères devaient pénétrer loin à l’intérieur du territoire Vietnamien pour récupérer des pilotes abattus, le ravitaillement en vol s’est rapidement imposé comme une nécessité. Sikorsky HH-3E Jolly Green Giant : Version terrestre redessinée du SH-3 Seaking, le Sikorsky CH-3C est réalisé en réponse à une demande de l’USAF établie fin 1962. Le 17 juin 1963, l’USAF passe commande de 22 CH-3C. Il est certifié par la FAA et accepté par l’USAF le 30 décembre 1963. Au total, 70 CH-3C ont été construits. A partir d’octobre 1965, une vingtaine de CH-3C sont utilisés pour des missions de soutien et de sauvetage au Vietnam. En 1965, 12 CH-3C sont modifiés au standard HH-3C, avec l’installation de deux réservoirs extérieurs, le blindage des sièges pilotes et de postes de combat et l’ajout de 3 mitrailleuses M60D. A partir de décembre 1965, des essais de ravitaillement en vol d’un CH-3C sont menés par l’USAF en coopération avec l’USMC (qui fournit le ravitailleur KC-130F). Ils serviront de base pour le développement de la version HH-3E. Dans la journée du 31 mai au 1er juin 1967, deux HH-3E ont réalisé un vol sans escale New-York-Paris de 31 heures, avec 9 ravitaillements en vol successifs. 13 nouveaux HH-3E sont produits entre 1966 et 1968, tandis que 26 CH-3C et 37 CH-3E sont convertis au standard HH-3E, soit un total de 76 machines. Les CH-3E et HH-3E seront tous retirés du service entre 1991 et 1994. Par ailleurs, 16 HH-3E (sans leurs perches de ravitaillement en vol) seront cédés à la Tunisie dans les années 1995-96. Sikorsky H-53 : Bien que les HH-3E de l’Air Rescue and Recovery Service donnent satisfaction, ils n’ont pas suffisamment d’endurance pour aller chercher les pilotes abattus loin sur le territoire du Nord-Vietnam. Un hélicoptère plus puissant était nécessaire. En mars 1967, deux CH-53A modifiés de l’USMC sont testés par l’USAF sous la désignation de HH-53B. Ils sont dotés d’une perche de ravitaillement en vol, de réservoirs extérieurs, de blindages et de 3 minigun M134 pour leur autodéfense. Les premiers HH-53B sont déployés dans le Sud-Est Asiatique en septembre 1967. Au total, 8 des 15 HH-53B commandés seront livrés, les sept suivant ayant été annulés par l’USAF. Deux HH-53B seront perdus au combat. Au vu du retour d’expérience Vietnamien, une nouvelle version améliorée est développée : le HH-53C. Il est équipé de moteurs plus puissants, de réservoirs supplémentaires plus petits, de plus de blindages et de radios. Au total, 44 HH-53C sont produits, les premiers étant mis en service en août 1968. Par ailleurs, l’USAF a également utilisé 20 CH-53C (dépourvus de perche de ravitaillement en vol) pour le soutien des opérations spéciales et clandestines dans le Sud-est Asiatique. Les HH-53C sont essentiellement des appareils utilisables de jour et par beau temps. Une version tout temps est réclamée par l’USAF. En 1969, un HH-53B est équipé d’un système expérimental « Pave Low I » et testé au Vietnam, mais les appareils employés ne sont pas suffisamment fiables. En 1975, un HH-53B est doté d’un système de navigation tout temps « Pave Low II », nettement plus fiable et re-désigné YHH-53H. Huit HH-53C et le YHH-53H sont modifiés au standard HH-53H « Pave Low III » et livrés à l’USAF en 1979 et 1980. Les appareils sont dotés d’un FLIR, d’un radar de suivi de terrain, d’un radar de navigation Doppler, d’une centrale de navigation inertielle, d’un dispositif de cartographie informatisé, d’un détecteur d’alerte radar et de lance-leurres. En 1986, les HH-53H restant seront modernisés et re-désignés MH-53H. Les MH-53H se montrant particulièrement performants, l’USAF décide d’en augmenter le nombre en développant une version améliorée (intégrant notamment un GPS), le MH-53J « Pave Low III Enhanced ». Au total 10 MH-53H et 31 HH-53B, HH-53C et CH-53C sont portés à ce standard entre 1986 et 1990. Finalement, la version MH-53M « Pave Low IV », intégrant des systèmes électroniques améliorés est mise en service dans les années 1990. Le dernier MH-53M sera retiré du service en septembre 2008. Ils sont alors remplacés par l’aéronef convertible CV-22B Osprey. Boeing CH-47 : L’expérimentation d’une version ravitaillable en vol du CH-47 pour les opérations spéciales débuta dès 1985. En 1988, les premier CH-47D adaptés au ravitaillement en vol sont livrés à l’US Army. Elle fut concrétisée dès 1989 par la mise en service du MH-47D : 12 MH-47D ont été produits. La moitié est issue de reconversions de CH-47A, tandis que l’autre moitié émane de reconversions de CH-47C. Il est complété à partir de 1991 par le MH-47E, et il y eu 26 appareils équipés ainsi au total. Tous furent affectés au 160th SOAR "Nightstalkers", basés à Fort Campbell dans le Kentucky. Les modèles E sont issus de reconversions de CH-47C existants. Le MH-47E a des capacités similaires au MH-47D, mais dispose d’une plus grande autonomie (similaire au CH-47SD), et d’un radar de suivi de terrain ainsi que d’un radar anticollision. 6 MH-47E ont été livrés à la Republic of Korea Army Aviation. Le MH-47G “Special Operations Aircraft (SOA)” version, est la version du Chinook actuellement en cours de livraison à l’US Army (61 exemplaires). Il s’agit d’une extrapolation du modèle MH-47E, mais avec une avionique encore plus sophistiquée –incluant un système digital Common Avionics Architecture System (CAAS). Le système CAAS est commun à plusieurs hélicoptères, tels que les MH-60K et L, CH-53E et K, et ARH-70A. Le MH-47G incorpore également toutes les améliorations caractérisant le CH-47F. Sikorsky H-60 : En 1981, l'USAF, désireuse de remplacer ses HH-3E dans les missions de SAR et CSAR, s'intéressa au UH-60A. Elle en acheta quelques exemplaires, les équipa d'une perche de ravitaillement en vol, de réservoirs supplémentaires, remplaça les mitrailleuses M60 par des XM218. Surnommés "Credible Hawk", 98 exemplaires entrèrent en service en 1987. 82 d'entre eux furent modifiés en HH-60G Pave Hawk pour des missions SAR/CSAR en 1991, et les 16 autres en MH-60G pour les missions spéciales. L’US Army a converti 30 UH-60A au standard MH-60 A Velcro Hawk, équipés d’un FLIR et d’une perche de ravitaillement en vol, au milieu des années 80, comme mesure intérimaire en attendant la mise en service d’une version plus perfectionnée (le MH-60K). Ils ont été remis au standard UH-60A et transférés à l’Army National Guard au début des années 1990, tout en étant remplacés par d’autres intérimaires MH-60L Velcro Hawk. La version spécifiquement destinée aux opérations spéciales, le MH-60K, a fait son premier vol le 10 août 1990. Le premier exemplaire de série a fait son premier vol le 26 février 1992, 30 exemplaires ont été livrés entre 1992 et 1994. Les MH-60K et L sont progressivement remplacés par la nouvelle version MH-60M (72 exemplaires). Eurocopter AS532A2 Cougar Mk2 RESCO : L’Arabie Saoudite a commandé en 1996, 12 hélicoptères AS532A2 Cougar Mk2 RESCO, mis en service entre 1997 et 2001. Les premiers essais de ravitaillement en vol du Cougar RESCO par un KC-130H Hercules ont lieu en juin et octobre 2000. Une seconde campagne est organisée en 2006 pour qualifier les hélicoptères avec le KC-130J. Eurocopter EC725 Caracal : Eurocopter proposa l'AS532A2 à l'armée de l'air française, une nouvelle version de son Cougar destinée à la recherche et au sauvetage en zone de combat. L'armée de l'air le testa entre 1996 et 1999, jugea l'appareil insuffisant et réclama une version plus ambitieuse. Cela allait donner naissance à l'EC725, qui vola le 30 novembre 2000. L'EC725 fit sa première apparition publique le 15 janvier 2001 et la DGA le certifia en décembre 2004. L'armée de l'air française fut son client de lancement, avec les 6 premiers appareils livrés entre février 2005 et mai 2006. Ils sont en service au sein de l'EH 1/67 «Pyrénées» à Cazaux. 19 EC725 sont en service dans les armées françaises : 8 dans l’EOS3 du 4e RHFS de l’ALAT, 8 dans l’EH 1/67 et 3 au GAM 56 de l’armée de l’air. Seuls les appareils en service dans l’armée de l’air sont ravitaillables en vol. Le EC725 Caracal a été conçu pour être ravitaillable en vol, ce qui peut lui donner une autonomie allant jusqu’à 11 heures (durée maximale autorisée entre deux vérifications techniques des moteurs) au lieu de 4 heures 30 sans passagers ou 3 heures 30 avec passagers. Alors que les Cougars Mk 2 RESCO saoudiens sont qualifiés pour le ravitaillement en vol depuis l’année 2000, les EC 725 Caracal le sont plus tardivement en raison d’une moindre disponibilité des appareils en service pour les vols d’essai et de qualification, car ils sont employés intensivement en opérations. Ainsi, la DGA réalise une première campagne d’essai de l’EC 725 avec un KC-130J italien à Practica di Mare en 2007. Elle est suivie par une primo-formation des pilotes d’essai du CEAM de l’armée de l’air en Italie en 2008. Une première campagne d’essai est réalisée par le CEAM en Italie du 3 au 11 novembre 2010, suivie d’une seconde en novembre 2012. Le EC 725 Caracal est qualifié par la DGA, pour le ravitaillement en vol par KC-130J (24 juillet 2008), KC-130H (9 mars 2012) et MC-130P (13 décembre 2013). La formation des équipages de EC 725 caracal de l’EH 1/67 « Pyrénées » (et peut-être du GAM 56 « Vaucluse » ?) commence seulement en avril 2013. Elle est complétée par un exercice avec des HC-130P de l’USAF à Djibouti en 2013. Puis elle est suivie d’une deuxième campagne de formation à Cazaux en avril 2014. Agusta-Westland AW101 Merlin : La AW101 Merlin peut être dote d’une perche de ravitaillement en vol. En 2008 le Merlin HC3 de la RAF a été certifié ravitaillable en vol à la suite d’une campagne d’essai qui a démarré le 12 février. Ces essais ont été menés avec un Merlin HC3 de la RAF, un équipage de Agusta-Westland et un C-130J de l’armée de l’air italienne (“Reparto Sperimentale Volo”). Durant ces test, des contacts « secs » et « humides » ont été réalisés, tant sur la nacelle droite que la nacelle gauche du C-130J, avec diverses charges emportées à des altitudes variant entre 4000 et 5000 pieds.
  6. En dehors des MH-47E et G du 160th SOAR (airborne) de l’US Army, quelques pays dans le monde mettent en œuvre des hélicoptères birotors CH-47 Chinook au bénéfice de leurs forces spéciales. Le Royaume-Uni Le No. 7 Squadron de la RAF, met en oeuvre 6 Chinook HC2 au profit des forces spéciales dans le cadre du Joint Special Forces Air Wing sur la base RAF de Odiham. Ces hélicoptères ont soutenu le déploiement des forces spéciales britanniques en Afghanistan et en Irak, ils ont également participé aux opérations britanniques en Libye. Peu de choses sont connues des caractéristiques de ces Chinooks « spéciaux ». On peut raisonnablement supposer qu’ils sont équipés de minigun M134D, de dispositifs d’autodéfense et de blindages. Le Boeing-Vertol Chinook HC3 : En 1995, la Royal Air Force britannique pris commande de 8 HC-3, version low cost du MH-47E. Ils furent livrés en 2001, mais n’ont jamais connu le service actif, suite à de gros problèmes concernant l’avionique spécifique à ce modèle HC-3. Finalement, en 2008 débuta une opération consistant à les rééquiper en HC2, sous la dénomination de HC2A. L’Italie Le 26° Grupo REOS (Reparto Elicotteri Operazioni Speciali) “Giove” de l’armée de terre italienne met en oeuvre 4 CH-47C+ modifiés au sein de son 426°Squadroni ETM. Ils devraient être prochainement remplacés par 4 CH-47F modifiés dans le cadre de la réorganisation du 26° Grupo REOS en 3e Régiment d’hélicoptères des forces spéciales « Aldebaran ». Mis à part la présence d’un FLIR et l’armement avec 3 minigun M134D, peu de choses sont connues au sujet des CH-47F spéciaux italiens. La Corée du Sud L’armée de terre de Corée du Sud est le seul opérateur étranger connu du MH-47E « Special Operations Aircraft », avec 6 exemplaires en service pour appuyer les forces spéciales coréennes. Aucune photographie de ces MH-47E coréens n’est connue à ce jour. L’armée de l’air sud-coréenne met en œuvre 6 CH-47D modifiés, connus sous l’appellation de HH-47D et affectés au 235th Combat Search & Rescue Squadron du “6th Search and Rescue Group”, aux côtés de 7 Kamov 32 Helix. Les HH-47D sont équipés de réservoirs latéraux agrandis (comme les MH-47E et CH-47SD), d’un radar météo et d’un FLIR. Présentés à plusieurs reprises lors de journées portes ouvertes et d’exercices, ils ont été photographiés à plusieurs reprises.
  7. Bonjour, Les nageurs de combat modernes sont nés en Italie à la fin de la guerre 1918-18 avec le sabotage du cuirassé Austro-hongrois Viribus Unitis dans le port de Pola en 1918. Ils se sont développés durant la seconde guerre mondiale et ont connu une renaissance dans les années 1950-60 (reconstitution des NC italien, création des NC français et allemands). Pendant la guerre d'Algérie, les nageurs de combat du service action du SDECE français ont saboté de nombreux navires faisant du trafic d'armes avec l'Algérie. Qu'est-ce qu'une "attaque nageurs" ? Il s'agit du sabotage d'un navire au mouillage par la fixation sous sa coque d'une charge explosive après une nage d'approche en surface ou en plongée. Si les "attaques nageurs" de la seconde guerre mondiale sont bien connues, ce n'est pas le cas pour l'époque contemporaine. Voici une petite liste personnelle à compléter, que je fais débuter après la guerre d'Algérie : En juin 1967, une équipe de nageurs de combat israéliens coule un dragueur de mines égyptien dans la base navale d’Alexandrie. En septembre 1969, les nageurs de combat israéliens mènent deux attaques successives : - l’opération Escort, où des patrouilleurs lance missiles égyptiens sont coulés dans la base navale de Ras-Sadat, - l’opération Raviv, où sont coulés des navires de débarquement égyptiens transportant des chars de combat dans le port de Ras-Soder dans le Sinaï. Dans la nuit du 16 au 17 octobre 1973, deux paires de nageurs de combats israéliens se sont introduits à l’intérieur du port militaire de Port Saïd. L’une d’elles mine avec succès deux engins de débarquement égyptiens, l’autre ne reviendra jamais. Le 10 juillet 1985 dans le port d’Auckland (Nouvelle-Zélande) deux nageurs de combat de la DGSE piègent le navire Rainbow Warrior de l’ONG Greenpeace. Le navire coule dans le port (1 mort). Dans la nuit du 20 décembre 1989 deux Navy Seals sabotent un patrouilleur de la marine panaméenne dans le port de Balboa pour empêcher une éventuelle fuite du général Noriega par la mer. Le navire est coulé. Il s’agit à ce jour de la seule attaque nageur recensée effectuée par les Navy Seals. Le 12 août 2008, une équipe de nageurs de combat russes de la flotte de la Mer noire aurait détruit avec succès plusieurs patrouilleurs géorgiens au mouillage dans la rade de Poti.
  8. Ben justement, c'est bien ça le problème. On peut considérer globalement que les forces spéciales navales se composent de trois types d'unités : - des unités de commandos-marine/forces spéciales, - des unités de nageurs de combat, - des unités d'embarcations spéciales (comme les SBU de l'US Navy), chargées d'infiltrer, exfiltrer et appuyer par des navires de surface adaptés les forces spéciales. Par ailleurs, en tentant de définir ce que pourraient être les nageurs de combat, j'en suis arrivé aux conclusions suivantes: La question de la distinction entre UDT et SEAL n’est pas aisée en ce sens que les premières ont expérimenté les missions menées par les secondes. Cependant, elles répondent à l’origine à deux besoins différents. En effet, les « Underwater Demolition Team (UDT) » sont des unités de plongeurs de démolition sous-marine chargés de reconnaître les plages avant un débarquement et de détruire les obstacles (naturels ou artificiels) pouvant s’y trouver. Leur action se concentre donc le long des côtes et autour des plages. La section « RECON-DOA » du régiment San Marco italien constitue actuellement l’exemple le plus proche de la fonction de plongeur de démolition sous-marine. Les unités « Sea, Air Land (SEAL) », sont en fait des forces spéciales opérant en milieu maritime, côtier et fluvial. Les SEAL Teams sont organisés, armés et entraînés pour la guerre non conventionnelle, la contre-guérilla, les opérations clandestines en milieu aquatique et marin, ainsi que pour les actions de destruction d'objectifs, de renseignement, d'entraînement et de conseil auprès des forces militaires ou paramilitaires amies. Ainsi, leurs tâches principales concernent : la destruction d'embarcations, d'installations portuaires, de voies ferrées, ainsi que de toutes les infrastructures en milieu aquatique et marin. Sans oublier l'infiltration et l'exfiltration d'agents ou de prisonniers, la reconnaissance profonde, la surveillance des mouvements ennemis, le renseignement au profit de l'état-major, et enfin l'entraînement des forces alliées. Les nageurs de combat, sont, des unités de plongeurs autonomes spécialisées dans la reconnaissance de plages et d’objectifs côtiers, l’attaque et la destruction de navires de guerre au mouillage et d’objectifs côtiers, ainsi que l’abordage et la prise de contrôle de navire par infiltration sous-marine. Le commando Hubert français et les Incursori du COMSUBIN italiens sont les plus proches du modèle originel du nageur de combat. Si les trois types d’unités sont en fait distinctes à l’origine, l’évolution de leurs missions respectives tend à un certain brouillage de leur enveloppe d’emploi.
  9. Bonjour, Si les derniers travaux parlementaires permettent de mettre un montant sur le coût unitaire des hélicoptères NH90 achetés par les forces armées françaises, je n’arrive pas à avoir d’informations aussi précises pour d’autres hélicoptères qui viennent le concurrencer (EC725 Caracal, UH60L, UH60M, S70i, MH60R, MH60S, H92, AW101, AW139, AW149). Voici ce que j’ai trouvé pour le NH90 (Source : rapport Loi de finances 2013) : TTH 90 = 28,6 M€ NHC 90 = 42 M€ NHS 90 = 35 M€ Pouvez-vous m’aider ? Merci d’avance fanaPHIB
  10. Bonjour, Les nageurs de combat sont de petites unités d’élite, souvent intégrées dans la communauté des forces spéciales des pays qui en possèdent. Toutefois, malgré un certain nombre d’articles dans la presse spécialisée, je n’y ai trouvé aucune définition. Par ailleurs, qu’est-ce qui distingue un nageur de combat d’un plongeur des UDT (Underwater Demolition Team) ou des SEAL (Sea, Air Land) ? Pouvez-vous m’aider ? Merci d’avance fanaPHIB
  11. Waouh! Merci pour une réponse aussi rapide =D En tout cas, on est pas près de voir arriver des A330MRTT en escadron dans l'AA :-[
  12. Bonjour, Je recherche des photos des frégates turques "Berk" et "Peyk" construites au début des années 1970 et retirées du service en 2002. Si quelqun en as je suis preneur.
  13. Au fait, quelqun a-t-il une idée de combien peut coûter : - un A 330-MRTT neuf ? - la transformation d'un A330-200 en MRTT ? - la transformation d'un A310 en MRTT?
  14. fanaPHIB

    [Turboprop] de combat

    Bonjour, Je suis inscrit sur ce forum depuis quelques temps mais voci ma première contribution : 15 M€ l'unité pour le M346 c'est intéressant vu ses performances à comparer aux 21,5 M$ pour le T/A 50 coréen. Il peut faire un chasseur léger bigrement utile pour les petites forces aériennes qui n'ont pas les moyens de se payer des chasseurs de dernière génération (F16, F/A 18, Grippen, Rafale, Typhoon, voire F35) en quantités.
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