seal33
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premier vol de l'AW249
https://theaviationist.com/2022/08/23/the-new-aw249-attack-helicopter-flies-for-the-first-time/
...l'Allemagne intéressée selon l'article.
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Il y a 3 heures, herciv a dit :
J'ai pas les mêmes chiffres voir au dessus.
j'ai comme source l'article d'Opex360 http://www.opex360.com/2022/08/16/la-force-aerienne-allemande-envoie-six-eurofighter-ef-2000-dans-la-region-indo-pacifique/
confirmation avec le site de la Bundeswehr https://www.bundeswehr.de/de/organisation/luftwaffe/team-luftwaffe-auf-uebung/rapid-pacific-2022
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Il y a 3 heures, clem200 a dit :
Le journaliste de France info a tenté un truc ce matin en interview avec un gars d'Airbus sur ce sujet
"L'A400M est un programme européen, comme l'avion de combat du futur. Allez vous réussir à lancer ce programme avec la France ?"
quelle a été la réponse?
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j'ai trouvé ça sur ce Combined Project Team (si ça a été abordé dans les différents sujets traitants du SCAF, je suis passé à coté).
https://www.pivotarea.eu/2019/09/03/future-combat-air-system-the-project-management-structure/
RévélationLa structure de gestion de projet suivante est envisagée pour gérer le projet FCAS (Future Combat Air System) : En octobre, une équipe de projet combinée (CPT) devrait commencer ses travaux à Paris (la France est le pays chef de file du FCAS). Cette CPT est composée d'une division programme et d'une division opérationnelle.
La première a pour mission de gérer les aspects techniques et administratifs du FCAS - par exemple l'évaluation technologique, le traitement des contrats, la gestion des finances et des risques. La division opérationnelle est l'endroit où les forces armées des États du projet (France, Allemagne, Espagne) peuvent faire valoir leurs exigences à l'égard du Future Combat Air System - également en consultant des experts. Pour résoudre les conflits, il devrait y avoir un comité de pilotage spécial au sein du CPT. Selon le ministère français de la Défense, un conseil de coordination de haut niveau est prévu pour les "aspects de chevauchement des projets" (j'essaie de comprendre plus précisément ce que cela signifie...). Enfin, il y aura un comité de pilotage - composé des secrétaires d'État à l'armement - qui sera responsable des décisions politico-stratégiques devant le noyau de gestion du CPT. "Avec l'industrie dure, il y a une coordination continue sur tous les niveaux de cette structure de gestion du projet " a déclaré à l'auteur un porte-parole du ministère allemand de la défense. Outre le projet FCAS avec l'Allemagne et l'Espagne, la France poursuit également un programme intitulé "Future Combat Air System / Technological Demonstration Cooperation" avec la Grande-Bretagne. Cette entreprise se concentre sur la technologie des véhicules aériens sans pilote, en se basant sur les projets de drones de ses principaux partenaires industriels - TARANIS de BAE et NEURON de Dassault.
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
quel serait l'intérêt de Dassault de na pas signer ce CPT, l'argument Allemand ne tient pas.
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https://www.thedrive.com/the-war-zone/plasans-new-combat-vehicle-is-part-dakar-buggy-part-mclaren-f1
Position de conduite centrale, remorque...copieur
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dans l'article, je comprend pas bien la différence entre le pointeur laser et l'illuminateur laser. Une idée?
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
article du jour en lien avec le post de Pic
RévélationLe ministère de la défense réfléchit à réquisitionner du matériel du secteur civil pour refaire ses stocks d’armes
La direction générale de l’armement pousse pour un texte législatif qui permettrait de réquisitionner, dans certaines circonstances, des matériaux ou des entreprises civiles à des fins militaires.
Rénovation et entretien du Caesar, un canon de 155 mm à longue portée, sur le site industriel Nexter, à Roanne (Loire), en 2018. GILLES ROLLE / REA
Alors que la guerre en Ukraine a levé le voile sur la faiblesse des stocks d’un certain nombre d’équipements militaires et de munitions dans les pays occidentaux, des discussions très avancées sont en cours, en France, sur la façon d’y remédier. Selon nos informations, des réflexions sont notamment engagées sur un texte législatif permettant la réquisition de matériaux ou de compétences d’entreprises civiles sans que la France soit formellement en guerre, comme l’encadre la loi aujourd’hui. Un projet piloté par la direction générale de l’armement (DGA) en coordination avec les industriels de la défense et plusieurs ministères.
Alors que s’ouvre, lundi 13 juin, Eurosatory, un des principaux salons mondiaux de l’armement, à Villepinte (Seine-Saint-Denis), où est attendu Emmanuel Macron, ce texte se veut inspiré du modèle américain. Depuis 1950 et la guerre de Corée, les Etats-Unis disposent d’une loi – le Defense Priorities and Allocations System Program (DPAS) – qui les autorise à réquisitionner certains secteurs à des fins de sécurité nationale. Une notion qui dépasse le simple cadre de la guerre. « Nous réfléchissons à un dispositif comme en ont les Etats-Unis », confirme Alexandre Lahousse, ingénieur général de l’armement (IGA), chef du service des affaires industrielles et de l’intelligence économique de la DGA.
Ce texte serait nécessaire en raison du fait que les entreprises de la base industrielle et technologique de défense sont essentiellement « duales », travaillant à la fois pour les secteurs civil et militaire, à l’image de Thales, Dassault Aviation, Aubert & Duval et quatre mille PME. Avec ce dispositif, l’Etat pourrait demander à certaines d’utiliser, au moins temporairement, leurs capacités de production civiles à des fins militaires.
Accélérer les cadences
Dans le cas des sociétés qui fabriquent uniquement de l’armement, l’enjeu serait d’anticiper le transfert de certaines catégories d’employés très spécialisés d’une chaîne à une autre, en développant leur polyvalence. Mais aussi d’« identifier quelles sociétés ayant des compétences proches pourraient fournir une capacité supplémentaire », détaille l’IGA Lahousse. L’Etat pourrait par exemple demander à une PME de mécanique de précision qui ne travaille pas pour le secteur de la défense de se mettre à disposition d’un industriel de l’armement pour accélérer ses cadences.
Ce « DPAS » à la française permettrait aussi d’avoir plus de leviers sur les approvisionnements en matières premières. Un dispositif de veille existe déjà sur le titane, l’acier, les métaux rares et certains composants électroniques. « Nous sommes en train de revisiter un certain nombre de nos dépendances », confirme l’IGA Lahousse. Des réflexions sont ainsi en cours pour développer le recyclage du titane. Des discussions sur l’approvisionnement en semi-conducteurs menées avec les Etats-Unis pourraient, elles, aboutir avant la fin de l’année, espère-t-on à la DGA. Certains industriels craignent que Washington ne réquisitionne des matériels pour ses propres armées. « Ils se serviront les premiers en titane », s’était ému Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation, le 30 mars, à l’Assemblée nationale.
Au-delà de l’adoption d’un nouveau texte législatif, des réflexions budgétaires sur la loi de programmation militaire (LPM) ont démarré depuis le début de la guerre en Ukraine. Un sujet particulièrement cornélien, car, malgré ses 40,9 milliards d’euros en 2022, la LPM offre très peu de marges de manœuvre. Si les Etats-Unis ont pu s’offrir une rallonge de plus de 9 milliards de dollars (8,5 milliards d’euros) pour regarnir leurs stocks d’armes, la France est engagée dans un savant jeu de Tetris pour ne pas toucher aux « gros cailloux » de la LPM. C’est-à-dire tous les grands programmes notamment liés à la dissuasion ou à la modernisation des armées, après des années de déshérence.
« Approvisionnements longs »
Les discussions actuelles pour rehausser les stocks d’armement sont, à ce titre, relativement ciblées. Elles se limitent principalement aux stocks « d’obus, de missiles, d’artillerie et les équipements du fantassin », résume l’IGA Lahousse, sans entrer dans les détails. En clair, les équipements dont la guerre en Ukraine a souligné la nécessité et la très forte consommation, même si tout engagement futur ne ressemblerait pas forcément au conflit ukrainien.
Les solutions sont par ailleurs limitées pour regagner de la « masse » en termes d’équipements et espérer tenir ainsi un conflit de longue durée au-delà de quinze jours, comme l’avait pointé un rapport parlementaire en début d’année. La France peut augmenter simplement ses stocks ou accélérer ses cycles de production. Dans le premier cas, les coûts d’achat et de stockage risquent d’être prohibitifs, sans compter la péremption de certaines munitions au bout de dix ans. Dans le second cas, il faut s’assurer que l’ensemble de la chaîne de production, de l’industriel de tête jusqu’aux petits sous-traitants, puisse suivre la cadence : une chasse aux goulets d’étranglement périlleuse. « Dassault a cinq mille fournisseurs pour son Rafale, il suffit que l’un coince pour tout bloquer », illustre Marc Chassillan, ingénieur et consultant spécialisé défense.
La solution vers laquelle se dirige la France, selon la DGA, pourrait être un compromis entre ces deux options, par le biais de ce que l’on appelle les « approvisionnements longs ». Ils permettent par exemple de stocker le corps d’un obus, pour n’avoir plus que la charge et la tête à assembler. « Cela permet de diviser par deux environ les délais de production sans être un vrai surcoût. Il s’agit plus d’une avance de trésorerie. La mise en place d’“appro long” permet de livrer rapidement des premiers lots pour couvrir le temps de montée en cadence », détaille encore l’IGA Lahousse. Un système qui pourrait être cofinancé avec l’industrie, selon lui.
Muscler les stocks
Le Caesar, canon de 155 mm à longue portée (40 km), fleuron de l’industrie dont la France a officiellement envoyé six exemplaires aux Ukrainiens (six autres seraient en cours de livraison), faute de stock suffisant – les armées en ont soixante-seize –, pourrait être fabriqué dans ces conditions d’approvisionnements longs. La société Nexter en sort moins de dix par an de son usine de Bourges pour un coût de 5 millions d’euros l’unité. Véritable puzzle de cinq cents pièces et 18 tonnes, avant la crise ukrainienne il fallait au moins neuf mois pour produire un seul de ces canons, aujourd’hui ce serait plus de deux ans.
Autre possibilité envisagée pour muscler les stocks des armées : que l’Etat investisse dans les capacités de production de certaines PME de la défense, en payant par exemple des machines-outils. Une façon d’éviter les goulets d’étranglement. Autre levier encore : les « urgences techniques ». Un dispositif créé durant la crise du Covid-19 et réactivé depuis le conflit ukrainien, selon la DGA. Il permet de réexaminer la résistance ou l’usage de certains équipements militaires pour décider d’en alléger les conditions d’utilisation, et donc gagner du potentiel. La DGA envisage enfin de relocaliser la production d’une matière comme la poudre explosive, aujourd’hui fabriquée en Pologne.
A l’inverse, la DGA n’entend pas encourager la réutilisation de matériels anciens ou déclassés, comme le font l’Allemagne ou la Suisse. « Faute de budget, l’armée française met très peu de matériels sous cocon quand ils sont déclassés. Lorsqu’elle le fait, c’est pour les utiliser comme pièces détachées, pas dans une logique de remobilisation », explique M. Chassillan. Or, le conflit ukrainien montre qu’un tel affrontement « consomme » énormément de matériels. La durée de vie d’un blindé aujourd’hui engagé dans le Donbass serait de moins de deux semaines. Un rythme intenable pour une armée européenne, qui conforte ceux préconisant le recours à des matériels déclassés.
Compétition effrénée
Du côté des industriels, le sujet des stocks suscite un large consensus. Auditionnés en mars à l’Assemblée nationale, les principaux responsables des industries de la défense semblaient prêts à fournir les efforts qui leur seraient demandés, même si tous alertaient sur les tensions liées aux approvisionnements et à la main-d’œuvre. « La compétition est effrénée et la surenchère des prix est devenue folle. Des fournisseurs proposent des prix trois fois supérieurs et disent que c’est à prendre ou à laisser », détaille Thierry Puig, délégué général adjoint défense du Groupement des industries françaises de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres.
L’effort de guerre des industriels nécessiterait dans tous les cas des commandes. « L’industrie ne peut pas faire de stocks si elle n’a pas de commandes de l’armée. Pour les missiles, par exemple, le coût des sous-ensembles [avant assemblage et installation de la charge] représente environ 80 % de la valeur totale, pointe M. Puig. Quand on parle de stocks, il ne faut pas oublier les pièces de rechange pour l’entraînement, puis la guerre. » Pour ces commandes, il faudrait toutefois que les arbitrages budgétaires soient rendus. Ceux concernant les ajustements annuels de la LPM le sont traditionnellement chaque année avant l’été, afin d’être intégrés à la loi de finances à l’automne.
Mise à jour à lundi 13 juin à 18h25 : une précédente version de cet article comportait une imprécision sur le poids du canon Caesar. Celle-ci a été corrigée.
Jean-Michel Bezat, Cédric Pietralunga et Elise Vincent
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Il y a 19 heures, DEFA550 a dit :
Je n'irai pas jusque là, parce que faut quand même pas déconner. Je pense juste, personnellement et en mon for intérieur, que cette bévue colle plutôt bien avec une rigueur généralement élastique dans ce coin de France. Voyez-y un procès d'intention si vous voulez, moi j'y vois une sorte de continuité
dans le Sud-Ouest (Mdm) ou à Cognac plus particulièrement?
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Dupuy de Lôme
dans Europe
Modernisation d'une partie des Radars il semblerait. j'ai vu passé un article la semaine dernière à ce sujet mais je ne retrouve pas.
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Il y a 2 heures, Coriace a dit :
Article sur le SCAF dans Lemonde.
Je me suis arrêté à la deuxième ligne, un gros THERE IS NO ALTERNATIVE. Ils n'ont vraiment plus aucun arguments.
RévélationSystème de combat aérien du futur : « Nous avons une responsabilité historique »
Guillaume Faury, président exécutif d’Airbus, évoque le SCAF, projet lancé en 2017, qui doit succéder aux avions de combat Rafale et EurofighterTyphoon à l’horizon 2040.
Lancé en 2017 par la France et l’Allemagne, rejointes depuis par l’Espagne, le système de combat aérien du futur (SCAF) doit succéder aux avions de combat Rafale et EurofighterTyphoon à l’horizon 2040. Fin mars, Paris et Madrid se sont dits« préoccupés » par les retards pris par ce projet jugé primordial, mais bloqué par des rivalités entre Airbus et Dassault Aviation, comme l’a reconnu son PDG, Eric Trappier, en mars.
Ce programme n’est-il pas compromis par les tensions entre Airbus et Dassault Aviation ?
Mais nous devons y arriver ! Il n’y aura pas de SCAF national, aucun pays européen n’en a les moyens, que ce soit en ingénierie ou en financement. Nous avons donc une responsabilité historique. Nous avons besoin d’un partenaire fort comme Dassault Aviation dans le système de combat aérien, qui compte sept piliers. Nous sommes parvenus à un accord sur six des sept piliers (drones, cloud de combat, moteur, simulation, capteurs, furtivité), mais ce n’est pas encore le cas pour l’avion de combat, le septième pilier.
Nous avons construit le partage des tâches et des responsabilités, mais nous ne l’avons pas encore finalisé par un contrat signé. Dans un programme, on met en commun les résultats, qui doivent être disponibles pour tout le monde. Or, le SCAF est dans une phase où coexistent encore l’Eurofighter (Airbus et ses partenaires) et le Rafale (Dassault Aviation). Nous sommes en compétition commerciale, et il est normal que dans la phase 1B (préparation du démonstrateur), nous nous entendions sur le partage des informations et que nous gardions les résultats relativement séparés.
Mais il faudra aussi être certain que dans la phase de développement, à partir de 2027, il y aura un partage complet des résultats entre nos deux groupes. Cela nécessite aussi une volonté des politiques, qui doivent se positionner. Des changements récents sont intervenus en Allemagne et nous sommes en période électorale en France, ce qui entraîne un peu d’attentisme. Mais je suis convaincu que l’on parviendra à un accord.
Ces avions pourront-ils être interopérables avec des F-35 américains sur un théâtre d’opérations ?
C’est l’une des raisons pour lesquelles c’est important de faire le SCAF maintenant. L’OTAN a une vision du futur cloud de combat (données, cyber, cryptage…). Pour garantir l’interopérabilité, il est important que les standards que nous allons développer pour répondre aux impératifs militaires européens soient discutés et définis à l’OTAN avec les Américains pour construire des standards communs. Si nous ne sommes pas en mesure d’exposer notre vision maintenant, on nous imposera les standards des concurrents et on sera obligé de s’adapter sans que l’on n’ait voix au chapitre.
Le Royaume-Uni, l’Italie et la Suède développent aussi un système de combat aérien, Tempest. Ne faudra-t-il pas les rapprocher ?
Aujourd’hui, il faut poursuivre le SCAF. Pour franchir les prochaines étapes, je pense que l’équipe de trois, France, Allemagne et Espagne, suffit. Il faut aller vite. Augmenterons-nous l’équipe à un moment donné ? Sans doute. Nous verrons par la suite.
Les exportations ne risquent-elles pas d’être limitées en raison d’une politique plus restrictive de l’Allemagne en matière d’armements ?
Le traité d’Aix-la-Chapelle, en 2019, a posé les bases d’une approche commune en termes d’exportation d’armement entre la France, l’Allemagne, rejoints par l’Espagne, et qui préfigure les accords que nous devrons signer pour le SCAF et d’autres programmes d’avenir développés en partenariat. Mais sur bien d’autres sujets, l’Allemagne a, en effet, une politique plus restrictive que la France et peu prévisible. Les politiques ont été changeantes par le passé et ont causé certaines difficultés à Airbus. Il faut changer cela, en respectant bien sûr les règles des grandes alliances que les pays européens ont dans le monde. Nous avons besoin d’une politique stable qui donne de la visibilité et nous permette d’exporter au-delà de l’Europe, dont la taille est trop réduite pour assurer la compétitivité de notre base industrielle, notamment face aux Américains.
Jean-Michel Bezat et Dominique Gallois
Petite sortie dans la presse Française de Guillaume Faury dans l'entre deux tours.
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Il y a 13 heures, Ardachès a dit :
… En même temps, si je me met à sa place (si,si), tu « récupères » des « infos » assez sensibles et qui ne peuvent provenir que « d’insiders », pour un journaliste c’est du miel.
C’est pratiquement exclu qu’il ne soit pas en « mission commandé » … où on se sert de lui pour faire passer un message … à qui ? Où il a été manipulé -à dessein- en balançant de supposé problème afin d’intoxiquer… mais qui ?
Merci @ARMEN56 d’être apparu
Un petit résumé de cette histoire avec D.Merchet? je n'ai rien vu passer.
Son blog n'est plus actualisé depuis un moment au vu de l'actualité depuis au moins le début d'année.
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Mais la DRM « fait du renseignement militaire sur les opérations, pas sur l'intentionnalité », qui est en charge de "l'intentionnalité" alors? questions aux spécialistes renseignement. La DGSE?
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il y a 20 minutes, Obelix38 a dit :
N'ayant pas accès à l'article, il faudrait savoir si cette limite de 30 vient de Cabirol lui-même ou d'un officiel, parce-que ça fait une sacrée différence !
RévélationComment les Etats-Unis ont imposé le choix du F-35 à l'Allemagne
L'achat de l'avion de combat américain F-35 par l'Allemagne est semble-t-il désormais inéluctable. Si cette décision a de quoi surprendre et qu'elle est irritante, elle ne sera pas pour autant une machine de guerre contre le programme européen, le système de combat aérien du futur (SCAF) lancé par la France, l'Espagne et l'Allemagne. Tout va notamment dépendre du nombre d'appareils américain achetés et quelles seront la ou les missions des F-35. Le nouveau chancelier allemand Olaf Scholz a donné trois pistes lors d'un discours majeur prononcé devant le Bundestag le 27 février sur la politique de défense de l'Allemagne. Trois pistes où il avait assuré que sa priorité était de construire la prochaine génération d'avions de combat "avec des partenaires européens et la France en particulier". Ce qui est une déclaration très importante pour la pérennité de ce programme, et au-delà, la souveraineté de l'Europe en matière d'aviation de combat.
Et en même temps, Olaf Scholz avait indiqué qu'il voulait continuer de développer les capacités cruciales de guerre électronique sur l'Eurofighter et qu'il considérait le F-35 comme la plateforme pouvant porter la B61, la bombe nucléaire de l'OTAN. "Pour le partage nucléaire, nous procurerons en temps utile un remplaçant moderne des avions Tornado obsolètes, a déclaré Olaf Scholz. L'Eurofighter doit être activé pour la guerre électronique. L'avion de chasse F-35 entre en ligne de compte en tant qu'avion porteur". La nouvelle coalition a ainsi confirmé la volonté de l'Allemagne de poursuivre sa mission nucléaire au sein de l'OTAN. En outre, "l'Allemagne a cette conviction que pour être un bon partenaire du partage nucléaire (Nuclear Sharing) dans le cadre de l'OTAN et pour bénéficier d'une protection nucléaire de l'OTAN et des Américains, une plateforme américaine est un élément de garantie supplémentaire", décrypte-t-on l'état d'esprit allemand pour La Tribune.
En 2020, l'Allemagne avait choisi le F-18, en 2022, elle va finalement acheter le F-35. Pourquoi ce revirement ? Derrière ce choix, l'ombre logique des Etats-Unis. Washington a su imposer à l'Allemagne l'acquisition de F-35 en remplacement des vieux Tornado. Les appareils américains serviront à accomplir la mission nucléaire octroyée à l'armée de l'air allemande dans le cadre du partage nucléaire ("Nuclear Sharing"), un concept dans la politique de dissuasion nucléaire de l'OTAN, qui implique les pays membres sans armes nucléaires dans la planification de l'utilisation d'armes nucléaires. C'est aussi le cas de la Belgique, des Pays-Bas, de l'Italie et de la Turquie.
Pour exécuter cette mission nucléaire, le F-18 doit subir des modifications importantes pour porter la B61. En outre, l'Allemagne aurait été le seul pays à être équipé de cet appareil alors que le F-35 est en passe d'être qualifié à porter l'arme nucléaire de l'OTAN en Italie et en Belgique. "C'est sûr que les Américains ont utilisé cet argument comme un levier", explique-t-on à La Tribune. Les Américains ont donc utilisé cette arme massive pour forcer la main aux Allemands, qui devraient utiliser le F-35 que pour des missions nucléaires. Dans ce cadre-là, précise-t-on, Berlin devrait logiquement commander une trentaine de F-35. Mais pas plus.
Capacités de guerre électronique
Au-delà de 30 F-35, cela voudrait dire que l'avion de combat de Lockheed Martin serait affecté à d'autres missions. Il menacerait aussi bien la volonté de Berlin de garder des capacités de guerre électronique que le développement du SCAF. Pourtant, l'Allemagne avait décidé initialement d'acheter 45 F-18 de Boeing, dont des F-18 Growler pour la guerre électronique. Ce n'est plus le cas aujourd'hui puisque les Allemands souhaitent investir dans des capacités souveraines et ainsi garder leur savoir-faire dans la guerre électronique dans le cadre du programme SCAF. "Cette compétence de guerre électronique va être très importante en franco-allemand pour le SCAF", assure-t-on à La Tribune
Si le F-35 se cantonne à des missions nucléaires, il n'entrera "pas en concurrence avec le SCAF, à condition quand même que le programme européen soit lancé à peu près au même moment" que l'achat des avions de combat de Lockheed Martin, assure-t-on à La Tribune. Les actes suivront-ils les déclarations ? Et une fois les décisions de l'Allemagne annoncées, il faudra alors regarder le nombre d'avions achetés, identifier quelles seront les missions de ces avions, si l'Allemagne continue à développer ses compétences en matière de guerre électronique et, enfin, observer la concomitance des calendriers F-35 et SCAF.
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Il y a 17 heures, seal33 a dit :
Depuis au moins 2 jours (hier et aujourd'hui) via https://globe.adsbexchange.com, 2 C17 Indiens, en provenance direct d'Inde, direction la Pologne pour l'un (proche de la frontière UK) la Slovaquie pour l'autre.
Pour un pays qui ne prend pas parti dans le conflit ça fait beaucoup de vols (au moins 4 de ce que j'ai compté) en direction d'un camp.Opération d’évacuation il semblerait. Les pays correspondent.
https://www.lemonde.fr/international/article/2022/03/05/ukraine-l-inde-tente-d-evacuer-ses-ressortissants-pris-au-piege-du-conflit_6116270_3210.html#xtor=AL-32280270-[default]-[ios]
RévélationGuerre en Ukraine : l’Inde tente d’évacuer ses ressortissants pris au piège du conflit
Plus de 20 000 ressortissants indiens se trouvaient en Ukraine avant l’offensive russe. La plupart ont quitté le pays mais plusieurs milliers d’étudiants seraient encore bloqués dans des zones de conflit.
L’appel de l’ambassade d’Inde en Ukraine, lancé mercredi 2 mars à ses ressortissants, a suscité l’effroi. Ecrit en lettres capitales, il appelait tous les étudiants indiens se trouvant toujours à Kharkiv à « évacuer immédiatement » la ville située dans l’est de l’Ukraine, quitte à parcourir une dizaine de kilomètres à pied. La mort d’un étudiant en médecine, la veille, à Kharkiv, avait déjà profondément ému le pays : Naveen, 21 ans, a été victime d’un bombardement russe mardi, alors qu’il était sorti acheter des provisions. Un autre a été blessé par balles dimanche, lorsqu’il tentait de fuir la capitale, Kiev.
Avant l’offensive russe, plus de 20 000 Indiens se trouvaient en Ukraine. La plupart sont des étudiants en médecine issus de la classe moyenne ayant choisi ce pays, notamment car ce cursus y est plus abordable qu’en Inde. Les témoignages poignants de ces milliers d’étudiants, bloqués dans des conditions difficiles, continuent d’affluer. Et leurs proches implorent le gouvernement de les ramener sains et saufs.
« Evacuez-nous, s’il vous plaît. Nous voulons rentrer chez nous », supplie Mohammed Mehtab Reza, un étudiant en quatrième année de médecine bloqué à Soumy, dans l’est de l’Ukraine, à une quarantaine de kilomètres de la frontière russe. Le jeune homme, contacté jeudi par téléphone, affirme être sans nouvelles de son ambassade depuis quatre jours. « On ne peut pas quitter la ville, les chars sont dans les rues, on entend les tirs et les attaques aériennes », poursuit-il, en larmes, avant de raccrocher pour se mettre à l’abri en sous-sol.
Indiens et Nigérians pris à partie
Le premier ministre indien, Narendra Modi, et le président russe, Vladimir Poutine, se sont entretenus par téléphone, mercredi, au sujet de l’évacuation des citoyens indiens. La partie russe « essaye notamment d’organiser une évacuation d’urgence d’un groupe d’étudiants indiens de Kharkiv via un couloir humanitaire » vers la Russie, selon le Kremlin. Les autorités russes ont affirmé que ces étudiants étaient retenus de force en Ukraine et utilisés comme des boucliers humains. Une accusation démentie par l’Inde, qui a salué l’aide apportée par les autorités ukrainiennes.
Une grande partie des Indiens d’Ukraine et plus de 10 000 autres ont été ramenés en Inde depuis la Roumanie, la Hongrie, la Pologne ou encore la Slovaquie, dans le cadre d’une vaste opération d’évacuation baptisée Ganga. Quatre ministres du gouvernement de Narendra Modi ont été dépêchés lundi dans ces pays limitrophes de l’Ukraine pour coordonner les efforts de rapatriement.
« Personne de l’ambassade n’était présent pour nous aider à quitter l’Ukraine, où nous étions coincés », affirme Harsh Goel, un étudiant à l’université nationale de médecine d’Ivano-Frankivsk, dans l’ouest de l’Ukraine. « J’ai pris un bus et ensuite j’ai marché environ 20 kilomètres pour traverser la frontière jusqu’en Roumanie. J’ai vu des militaires s’en prendre à des étudiants indiens et nigérians », raconte-t-il alors qu’il s’apprête à rentrer en Inde.
Le sort de ces étudiants pourrait-il influencer la position de New Delhi dans cette guerre ? Jusque-là, l’Inde n’a jamais condamné explicitement l’agression de la Russie. « Il est peu probable que l’Inde dénonce publiquement la Russie et l’évacuation des étudiants est une question pratique qui n’y changera rien »,estime Harsh Pant, à la tête du programme d’études stratégiques de l’Observer Research Foundation, à New Delhi.
L’Inde demeure une alliée historique de la Russie, qui est son premier fournisseur de matériel militaire. Mais ces dernières années, le géant sud-asiatique s’est rapproché des Etats-Unis et de l’Europe, ses partenaires dans l’Indo-Pacifique. « L’Inde a besoin à la fois de la Russie et de l’Occident pour faire face à sa rivale chinoise », résume Harsh Pant. Une position d’équilibriste que New Delhi tente de maintenir, alors que les Etats-Unis le poussent à adopter une position plus claire sur l’Ukraine.
Le président américain, Joe Biden, a tenu jeudi un sommet virtuel du Quad, cette alliance qui réunit les Etats-Unis, le Japon, l’Australie et l’Inde, et dont l’objectif est de contrer l’influence de la Chine dans l’Indo-Pacifique. Le communiqué commun publié à l’issue de la rencontre ne comprenait toujours pas de condamnation claire de l’invasion russe de l’Ukraine.
Des militants de la gauche radicale brûlent des effigies de Vladimir Poutine et Joe Biden, lors d’une manifestation pour exiger l’évacuation des étudiants indiens en Ukraine et le retrait des troupes russes. BIKAS DAS / AP
Mercredi, l’Inde s’était à nouveau abstenue de voter la résolution de l’Assemblée générale de l’ONU déplorant l’agression russe et exigeant le retrait de ses forces militaires d’Ukraine. « Dans ses prises de position, l’Inde mentionne désormais le respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale des Etats, et cela s’adresse à la Russie », souligne néanmoins Harsh Pant, qui rappelle que l’Inde envoie également de l’aide humanitaire en Ukraine.
Le ministère des affaires étrangères estime qu’il pourrait encore rester 2 000 à 3 000 ressortissants indiens en Ukraine et assure que les vols se poursuivront jusqu’à ce que la dernière personne soit évacuée. En route vers sa ville natale de Muzaffarnagar, dans l’Uttar Pradesh, Harsh Goel, l’étudiant en médecine, envoie encore un message sur WhatsApp : « Priez pour les Ukrainiens et les étudiants qui sont toujours bloqués. »
Ravi Pinto(New Delhi, correspondance)
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il y a une heure, Desty-N a dit :
conformément à l'accord prit apres l'AUKUS de la part des USA de soutenir l'initiative
Tu as des sources là dessus?
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Il y a 4 heures, Zalmox a dit :
Deux B-52 ont été aperçus faisant des ronds au-dessus de Buzău (Roumanie) il y a 4 heures.
(Un ami qui s'y connait en avions et ne pouvait pas les confondre les a aperçu et vu que les vols n'étaient pas sur Flightradar).
L'emplacement de la ville :
ils étaient visible sur ADS-B Exchange ;)
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Depuis au moins 2 jours (hier et aujourd'hui) via https://globe.adsbexchange.com, 2 C17 Indiens, en provenance direct d'Inde, direction la Pologne pour l'un (proche de la frontière UK) la Slovaquie pour l'autre.
Pour un pays qui ne prend pas parti dans le conflit ça fait beaucoup de vols (au moins 4 de ce que j'ai compté) en direction d'un camp.
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Il y a 5 heures, Joab a dit :
Je ne me remets toujours pas de cette rhétorique de dénazification. Il veut dire quoi par là? Changer le président ukrainien Juif russophone? C'est vraiment obscène.
Je pense que depuis le départ il parle des milices d'extrême droite qui ont eu des leurs dans le gouvernement. Je trouvais l'allusion étrange aussi mais le reportage de Paul Moreira offre un point de vue à ce sujet
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n'est il pas temps (au regarde de la situation en Europe notamment) d'en finir avec l'opération Sentinelle?
y a t'il eu des discussions à l'assemblée ou en commission défense en ce sens ?
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200 hommes pour la bataille de l'aéroport c'est énorme si c'est avéré.
Un deuxième assaut héliporté quia aurait permis le posé d'avion de transport.
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il y a 18 minutes, Ciders a dit :
Ceux dont on a dit qu'ils se trouvaient à Kiev la veille ou même le jour du début des frappes ? Aucune idée.
j'avais relevé leur arriver dans le vers 2-3h du matin juste avant le début de l'invasion. un peu risquer quand même, si les Russes avaient taper durement l'aéroport.
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il y a eu un post faisant mention du rapatriement des forces de Wagner en Afrique (et ailleurs?) pour les utiliser en Ukraine.
Des infos la dessus?
NH-90 et Cougar
dans Hélicoptères militaires
Posté(e)
c'était pas plus interessant de récupérer les machines intacts, pour grossir un parc en Allemagne, France, Espagne...?