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NUBEALTIUS

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Tout ce qui a été posté par NUBEALTIUS

  1. Ce soir je ne boirais pas la dernière à la fin de l'entraînement de rugby.... je n'insulterais pas Erdogan pendant une semaine sur les réseaux sociaux et je ne tenterais pas de voter biden deux fois au prochaine élection US
  2. Je tenais à présenter mes excuses envers tout le forum d'avoir prononcé le nom "de celui dont on ne doit prononcer le nom" Je vais faire mon mea culpa ....
  3. "Le Covid-19 présente une «surmutation», affirme le professeur Didier Raoult" : http://www.lefigaro.fr/sciences/le-covid-19-presente-une-surmutation-affirme-le-professeur-didier-raoult-20200909 À l'IHU Méditerranée Infection, «on a beaucoup plus de données que n'importe qui au monde. Et depuis juillet, et l'apparition de ce deuxième acte », les équipes du chercheur marseillais ont constaté une «surmutation, ce qui n'est probablement pas une mauvaise nouvelle». «Il n'y a pas un seul virus. Nous, on a détecté sept mutants qui ont circulé», a indiqué le professeur. «Les mutations que nous voyons sont associés avec la dégradation des organismes (du virus). Quand ça se passe, c'est que ça va mal pour la bestiole», a-t-il précisé. Y avait longtemps hein !!!!!!
  4. Ma question était sans piège, je voulais juste comprendre à quoi correspondait "une mauvaise zone". Mais si je comprend bien une mauvaise zone est défini par le gouvernement chinois
  5. Pas le cher, c'est vrai, mais la chaire oui !!!! https://fr.m.wikipedia.org/wiki/La_Fistinière
  6. Visiblement, en plus, ç'est très simple pour visiter le Tibet. par exemple : Pour entrer au Tibet, outre un passeport valide encore au moins 6 mois, il est obligatoire d'avoir : un visa de tourisme chinois en cours de validité ; un permis d'entrée au Tibet, à se procurer par le biais d'une agence de voyage agréée basée au Tibet, détentrice d’une licence gouvernementale ; un permis de voyage pour certaines régions inacessibles. Il faut en outre suivre un itinéraire défini conjointement avec une agence. Il faut être en groupe, mais une personne peut constituer un groupe à elle seule. Dans tous les cas, elle sera obligatoirement accompagnée d'un guide et d'un chauffeur. Il est préférable d'effectuer ces démarches au moins 2 mois à l'avance. Alors pourquoi s'en priver et ainsi juger sur place ?
  7. C'est le jeu et les US ( enfin Trump) a bien participer à la fissure
  8. Visiblement elle est vu régulièrement à proximité du village d'Assigny dans le département du Cher. Visiblement ce ne serait pas une psychose
  9. Et en Savoie OUTRE notre bel étendard Rouge et blanc " de gueule et de croix d'argent", flotte aussi le drapeau Tibétain !!! https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_Karma_Ling La grande Savoie de l'Atlantique à l'Oural à l'Himalaya !!!!!
  10. Un nouvel acteur dans cette crise "Méditerranée orientale: Moscou disposé à favoriser un dialogue pour atténuer les tensions" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/mediterranee-orientale-moscou-dispose-a-favoriser-un-dialogue-pour-attenuer-les-tensions-20200908 La Russie est prête à favoriser un dialogue afin d'atténuer les vives tensions en Méditerranée orientale autour des frontières maritimes et des ressources énergétiques, a souligné mardi 8 septembre son chef de la diplomatie Sergueï Lavrov, lors d'une visite à Chypre. Joutes verbales, manoeuvres militaires et envois de navires sur zones: plusieurs pays de la région, en particulier la Grèce et la Turquie, se déchirent autour de la délimitation de leurs frontières maritimes et de la propriété des gisements d'hydrocarbures. Membre de l'Union européenne (UE), Chypre est aux premières loges. Sa zone économique exclusive (ZEE) n'est pas reconnue par la Turquie, qui y effectue ses propres prospections. «La Russie considèrerait toute nouvelle escalade inacceptable et appelle toutes les parties à résoudre leurs conflits uniquement par le dialogue, sur la base de la loi internationale», a déclaré à Nicosie Sergueï Lavrov. «Nous sommes prêts à fournir une aide pour mener ce dialogue, si toutes les parties le demandent», a-t-il ajouté. La Grèce et Chypre, soutenus notamment par la France, accusent la Turquie de violer la loi maritime internationale. Ankara estime pour sa part avoir des droits sur son «plateau continental». Le président Emmanuel Macron doit présider jeudi en Corse un sommet de sept pays du sud de l'UE, le forum Med-7, où seront abordées ces tensions. A Nicosie, où il se trouvait dans le cadre du 60e anniversaire de l'établissement des relations bilatérales entre la Russie et Chypre, Sergueï Lavrov a critiqué l'attitude américaine sur ce dossier. Washington, acteur «extérieur» à la région, «essaie de susciter des divisions et contribue aux conflits plutôt qu'à des solutions pacifiques», a-t-il estimé. «C'est une triste réalité», a ajouté le chef de la diplomatie russe, qui s'est notamment entretenu avec le président chypriote Nicos Anastasiades. Sergueï Lavrov n'a pas développé son propos, mais il intervient dans le sillage de la levée partielle par Washington d'un embargo vieux de 30 ans sur la vente d'armes à Chypre. Selon des informations de presse, l'ambassadrice américaine à Nicosie Judith Garber a exhorté en échange les autorités de l'île à fermer leurs ports aux navires militaires russes, qui y font escale pour ravitailler et permettre aux équipages de se reposer. Dans une interview accordée à l'AFP vendredi, Nicos Anastasiades a toutefois rejeté l'idée. Chypre, en tant que petit pays, se doit de maintenir «des excellentes relations avec tous les membres permanents du conseil de sécurité de l'ONU», a dit le président chypriote. Ces navires «sont toujours les bienvenus tant qu'ils ne se servent pas de nos ports pour attaquer nos voisins», a-t-il précisé. voila voila .... attendons maintenant la réaction de Washington
  11. Étrangeté des agendas, l'Allemagne voudrait abandonner le projet northstream en mesure de pression sur la Russie suite à l'empoisonnement de l'opposant Russe Alexei Navalny. Simple effet de manche ? il resterait alors Turkishstream et EastMead
  12. J'espère que ce ne sera pas qu'un vœux pieux. Et que l'UE saura rester uni dans le cas présent. Sinon ce ne sera que le début des revendications turques
  13. C'est bon hein !!! Pas de réfugié en plus
  14. Ça a quand même un relent de racket toute cette histoire, j'espère aussi que le bâton soit bien dur et pas comme les fonds versé pour faciliter l'adhésion de la Turquie à l'UE ou pour la gestion des réfugiés.... puis avec quelque milliard Erdogan pour continuer à s'armer......
  15. "La Turquie exhorte l'UE à rester «impartiale» dans sa crise avec la Grèce" : http://www.lefigaro.fr/international/la-turquie-exhorte-l-ue-a-rester-impartiale-dans-sa-crise-avec-la-grece-20200906 lol Lors d'un entretien téléphonique avec Recep Tayyip Erdogan, le président du Conseil européen Charles Michel a en retour souligné l'importance d'une désescalade entre les deux pays et appelé la Turquie à cesser les activités pouvant alimenter les tensions avec la Grèce, a indiqué un diplomate européen. La Turquie et la Grèce, toutes deux membres de l'Otan, se déchirent à propos de gisements d'hydrocarbures en Méditerranée orientale, dans une zone qu'Athènes estime relever de sa souveraineté. Durant l'entretien avec Charles Michel, le leader turc «a invité les institutions et les Etats membres de l'UE à rester équitables, impartiaux et objectifs et à agir de façon responsables sur les problématiques régionales, en particulier en Méditerranée orientale», selon la présidence turque. Le chef de la diplomatie de l'UE Josep Borrell a évoqué des sanctions contre la Turquie, comme la France. Mais cette dernière, qui a déployé des navires de guerre et des avions de combats dans la région pour soutenir la Grèce, n'a pour l'instant pas réussi à rallier d'autres pays de l'UE à sa position. Charles Michel a déclaré à M. Erdogan que «toutes les mesures - la carotte et le bâton - seront envisagées» lors du sommet fin septembre, selon le diplomate européen. Le chef de la diplomatie de l'UE Josep Borrell a évoqué des sanctions contre la Turquie, comme la France. Mais cette dernière, qui a déployé des navires de guerre et des avions de combats dans la région pour soutenir la Grèce, n'a pour l'instant pas réussi à rallier d'autres pays de l'UE à sa position. Charles Michel a déclaré à M. Erdogan que «toutes les mesures - la carotte et le bâton - seront envisagées» lors du sommet fin septembre, selon le diplomate européen. je sens qu'au final on va "Louer" la Zone à la Turquie .... Une sorte de Baillage ou de fermage
  16. https://www.google.fr/amp/s/m.20minutes.fr/amp/a/2855135 Tensions en Méditerranée : Le prochain Conseil européen pourrait décider de sanctions contre la Turquie Mis à jour le 06/09/20 à 17h23 Le prévu fin septembre sera consacré au premier chef au dossier turc et aux tensions en orientale, avec notamment l’étude de sanctions à l’égard d’Ankara, a déclaré dimanche le ministre français des Affaires étrangères. « Nous avons préparé ce dossier turc il y a quelques jours, entre ministres des Affaires étrangères à Berlin, pour énumérer la panoplie des représailles que nous pourrions engager à l’égard de la Turquie », a indiqué Jean-Yves Le Driansur France Inter. Plusieurs pays de l’Union européenne, la France en tête, connaissent de vives tensions avec la Turquie notamment sur le dossier libyen, les questions migratoires ainsi que la sécurité et les réserves de gaz en Méditerranée orientale, où Ankara est accusée de mener une politique expansionniste. « Nous disons à la Turquie : entre maintenant et le Conseil européen, faites preuve de capacité de discussion d’abord sur la Méditerranée orientale », a expliqué le chef de la diplomatie française. « C’est aux Turcs de faire en sorte que cette question (…) puisse faire l’objet d’une discussion (…). C’est possible ! », a-t-il ajouté. « A ce moment-là, on rentre dans un cercle vertueux sur l’ensemble des problèmes posés ». Le sommet aura lieu les 24 et 25 septembre La situation est devenue particulièrement volatile dans la région après un mois d’escalade, déclenchée le 10 août par le déploiement d’un navire de recherche sismique turc dans des eaux revendiquées par Athènes. Dans un signe de soutien à son partenaire grec au sein de l’UE, la France a renforcé fin août sa présence militaire en Méditerranée orientale. Et depuis des mois, les deux capitales échangent les invectives. Jean-Yves Le Drian a refusé de préciser la nature de ces éventuelles sanctions. « Il y a toute une série de mesures qui peuvent être prises. On n’est pas démuni du tout et il (le président turc Recep Tayyip Erdogan, ndlr) le sait très bien », a-t-il martelé. Mais il a évoqué en creux une batterie de sanctions économiques, accusant Recep Tayyip Erdogan de créer « un état d’esprit islamo-nationaliste » destiné à « cacher la vérité de la situation économique » en Turquie. Le Conseil européen, qui réunit les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE, se tiendra les 24 et 25 septembre.
  17. https://www.lorientlejour.com/article/1231525/la-turquie-pousse-ses-pions-au-liban.html La Turquie pousse ses pions au Liban Le 4 juillet dernier, le ministre sortant de l’Intérieur, Mohammad Fahmi, a annoncé l’arrestation de quatre individus, deux Syriens et deux Turcs, alors qu’ils tentaient de faire entrer clandestinement depuis la Turquie quatre millions de dollars, destinés selon lui à financer des « émeutes urbaines ». La semaine suivante, le site Assas media, cofinancé par son prédécesseur Nouhad Machnouk, publiait une liste complète d’ONG et de mosquées prétendument pro-turques, et affirmait que la Turquie prévoyait « d’occuper Tripoli ». De telles allégations restent difficiles à vérifier, d’autant que, contrairement à Téhéran ou Riyad, Ankara ne dispose, au pays du Cèdre, ni d’un agenda politique établi de longue date ni d’obligés au sein du Parlement ou du gouvernement (comme le Hezbollah pour l’un ou le courant du Futur et les Forces libanaises pour l’autre). Cependant, les Turcs ont lentement mais sûrement établi des réseaux et des liens à différents niveaux avec les communautés sunnites à travers le Liban. Multiples ressorts D’abord, Ankara continue à travailler au renforcement de son « soft power » au Liban en offrant des bourses d’études et en s’engageant dans des activités culturelles. Les investissements de la Turquie au Liban s’étendent à toute la communauté sunnite. Un hôpital turc doit être inauguré prochainement à Saïda tandis que des milliers de bourses universitaires ont été distribuées. Un autre champ de cette politique concerne la communauté turkmène du pays, qui compte plusieurs milliers de personnes dispersées entre le nord et l’est du Liban (auxquels il faut ajouter les réfugiés syriens). Alors que les liens avec Ankara s’étaient distendus jusqu’à il y a environ une dizaine d’années, la Turquie finance des projets par le biais de l’Agence turque de coopération, et nombre des membres de cette communauté disent ressentir davantage la présence de l’État turc que de son pendant libanais. L’octroi de la citoyenneté constitue enfin un axe majeur de cette politique. Le 8 août dernier, le ministre des Affaires étrangères, Mevlüt Çavusoglu, a ainsi déclaré, lors d’une visite à Beyrouth, que le président Erdogan lui avait donné l’instruction d’accorder la citoyenneté à tout Libanais turkmène ou d’origine turque. Selon des chiffres semi-officiels, près de 9 600 naturalisations (sur environ 18 000 demandes) avaient déjà été accordées jusqu’en 2019. Tous les demandeurs n’étaient pas d’origine turque ou turkmène, de nombreux Libanais étant notamment attirés par la stabilité turque, son mode de vie, ses séries télévisées et son régime d’exemption de visa avec le Liban. Parmi eux, certains sunnites voient dans la puissance turque une nouvelle source de fierté face à l’influence iranienne au Levant. Néanmoins, l’influence croissante de la Turquie au sein de la communauté sunnite a eu des répercussions négatives sur les relations intercommunautaires libanaises. Par exemple, les Arméniens sont de plus en plus sous pression, des milliers de manifestants pro-turcs se présentant à leurs rassemblements en agitant des drapeaux turcs et en scandant des slogans extrêmement menaçants. Des partisans de la Turquie ont aussi récemment intimidé un journaliste de la télévision arménienne qui avait critiqué Erdogan, à travers une série de vidéos, de menaces et d’insultes dirigées contre la communauté arménienne. Ces cas mettent en lumière les risques pouvant découler de la montée en puissance de la Turquie dans un pays où la plupart des minorités partagent une vision essentiellement traumatisante de la domination ottomane. Relais politiques La politique d’influence turque au Liban vise aussi à répondre à des enjeux internes. Cela a récemment été le cas lorsque des responsables turcs ont présenté la mort d’Eren Bülbül, un adolescent tué par le Parti des travailleurs du Kurdistan en 2017, comme une source d’inspiration pour une action de secours après les explosions du 4 août. La Turquie tente aussi de viser les quelques partisans de Fethullah Gülen au Liban : après l’échec de la tentative de coup d’État du 15 juillet 2016 et la répression du réseau güleniste en Turquie et ailleurs, Ankara a mobilisé ses partisans au Liban et a poussé à la démission le directeur d’une école coranique libanaise, soupçonnée d’être affiliée aux Frères musulmans dans l’ouest de Beyrouth. Selon trois sources proches du dossier, l’école avait un partenariat avec le réseau güleniste mais n’y était pas affiliée. Jusqu’à présent, Ankara s’est abstenu de soutenir un seul parti politique, comme la version libanaise des Frères musulmans, la Jamaa islamiya. Cela vise peut-être à rester au-dessus de la politique partisane et à conserver le soutien populaire auprès d’un échantillon le plus large possible de la communauté sunnite tout en entretenant les liens forts existant avec certains groupes issus des populations kurdes et arabes qui ont migré depuis la Turquie et ont obtenu la citoyenneté libanaise dans les années 1990. Certains politiciens libanais ont également établi des relations avec la Turquie, et notamment l’ancien Premier ministre Saad Hariri, qui a été témoin du mariage de la fille d’Erdogan en 2016. Cependant, l’hostilité croissante entre la Turquie et les États arabes tels que l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et l’Égypte rendra difficile le maintien de telles relations. Le chef des services de renseignements turc et confident d’Erdogan, Hakan Fidan, a également tissé des liens étroits avec le directeur de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, une figure chiite de plus en plus influente dans le pays. Néanmoins, la Turquie n’est pas intervenue directement dans la politique libanaise. Cependant, cela pourrait changer après l’explosion du port de Beyrouth. La visite du président français Emmanuel Macron au Liban à la suite de l’explosion et son initiative pour mettre fin à l’impasse politique dans le pays ont ainsi pu être en partie interprétées comme un effort visant à empêcher la Turquie de prendre un autre pied sur la Méditerranée. Dans un tweet posté le 14 août dernier, Macron a ainsi rendu compte d’un appel téléphonique avec le président américain Donald Trump où ont été évoquées les tensions en Méditerranée orientale et la situation en Libye et au Liban. Le fait de lier ces dossiers a pu être interprété comme une référence implicite aux actions turques dans les deux pays tandis qu’Erdogan a publiquement vilipendé ce qu’il considère comme une tentative de la France de restaurer son influence coloniale. Même s’il est sans commune mesure avec l’engagement de la Turquie en Libye et en Syrie, l’intérêt croissant des Turcs pour le Liban pourrait en tout cas trouver un relais local auprès de certaines parties sunnites à la recherche d’un nouveau parrain régional. Ce texte est aussi disponible en anglais et en arabe sur Diwan, le blog du Carnegie MEC. Par Mohanad HAGE ALI Chercheur et directeur de la communication du Carnegie Middle East Center. Dernier ouvrage : « Nationalism, Transnationalism, and Political Islam » (Palgrave, 2017).
  18. Et pourquoi pas!! Les turques un bien défini une ZEE avec la république de Chypre du Nord, pays non reconnu par l'´ONU et reconnu uniquement par làTirquie, donc signer un accord avec le GNA sur une zone maritime détenu par le LNA ne pose aucun problème. Ça s'appelle négocier et respecter le droit international à la sauce turque^^ Reste a la Grèce de négocier sa ZEE avec le PKK
  19. Par la même occasion il reconnaît que contrairement à ce qu'il affirme depuis le début il n'a pas le droit international derrière lui et ne compte pas de plus le respecter. Le masque est en train de tomber ( 135 € et bimmmmmm)
  20. Ou tout simplement un Gros Con En clair Etdogan exige une capitulation sans condition de la Grèce, ou plus tôt à SES conditions
  21. ACV 300 ? https://www.armyrecognition.com/europe/Turquie/vehicules_legers/TIFV/TIFV_Turquie_Description.htm
  22. https://www.google.fr/amp/s/mobile.francetvinfo.fr/replay-radio/micro-europeen/micro-europeen-grece-jusquou-ira-erdogan_4081885.amp Micro européen. Grèce, jusqu’où ira Erdogan ? José-Manuel Lamarque Dans aujourd'hui, José-Manuel Lamarque et son invitée, la journaliste grecque Alexia Kefalas, évoquent l'escalade du conflit gréco-turque. Les violations par la Turquie des territoires maritimes, aériens de la Grèce et de Chypre. La France est venue au secours de la Grèce cet été. Un conflit ancien et complexe. Un risque de guerre entre la Turquie et la Grèce ? Par deux fois, à la mi-juillet et au mois d’août, Ankara a envoyé le navire Oruç Reis en Méditerranée orientale dans le but d’explorer les fonds marins pour une recherche de gisements gaziers. Mais ce navire n’est pas parti seul, il a été escorté par des bâtiments de guerre que les insulaires ont vus croiser au large des iles grecques. Les ambitions gazières d’Ankara sont la suite du désir du président turc d’annexer des îles grecques, comme l’explique notre invitée, la journaliste Alexia Kefalas, le risque de guerre est aujourd’hui une réalité entre la Turquie et la Grèce. Il faut dire que depuis des années, Ankara n’a de cesse au quotidien de violer l’espace aérien grec. Et aujourd’hui, la flotte militaire turque viole le plateau continental grec. La crise actuelle prend sa source en 1975 comme l’a développé l’écrivain Olivier Delorme, spécialiste des Balkans et de la Grèce : "A cette époque, la première crise a été provoquée par des activités de prospection turques dans les eaux du plateau continental grec, les Premiers ministres Karamanlis et Demirel avaient convenu de recourir à l’arbitrage de la Cour de justice internationale de La Haye pour régler ce différend. Et depuis, tous les Premiers ministres grecs, jusqu’à Kyriakos Mitsotakis, dans son allocution du 12 août dernier, ont appelé à cette solution, également recommandée par le Conseil de sécurité de l’ONU, la jurisprudence de la Cour laissant présager l’attribution à la Turquie de deux ou trois couloirs entre des îles orientales grecques afin que sa Zone économique exclusive (ZEE) soit d’une superficie équivalente à ce qu’elle serait sans ces îles." Mais cet engagement fut renié par Ankara, et depuis, la Turquie nie le droit des îles en mer Egée, plus précisément dans le Dodécanèse, c’est-à-dire les îles grecques se trouvant en face de la Turquie, îles qu’Erdogan n’exclut pas d’envahir, comme l’a précisé Alexia Kefalas. Les provocations turques dans cette zone sont une escalade belliciste. D’ailleurs le "sultan" d’Ankara remet en cause les traités de Lausanne (1923) et de Paris (1947), qui avaient défini les frontières et le partage des eaux entre la Turquie et la Grèce. Les îles grecques de la Mer Egée en danger La revendication des îlots et îles grecques remonte à l’année 1990 quand Ankara adoptait une doctrine des "zones grises", et ceci, dans l’irrespect total de la convention de Montego Bay qui prévoit les droits et devoirs d’Etats côtiers, soit, la mer territoriale 12 milles marins, 21,6 km, la zone contiguë, la ZEE, zone économique exclusive, et le plateau continental, 200 milles marins, 370,42 km, où l’Etat côtier peut procéder à des exploitations minières, des forages et posséder un espace de pêche. Mais la Turquie n’a jamais signé cette convention et ne la reconnaît donc pas. Ainsi la volonté d’expansion maritime d’Erdogan est illimitée, à l’image de son programme de "Patrie bleue" voulant une extension maritime turque, coûte que coûte, soit commençant par des recherches illégales d’hydrocarbures. Les recherches turques d’hydrocarbure sans retenue Pour comprendre l’action turque depuis juillet dernier, il faut remonter dans le temps. En 1974, la Turquie envahissait Chypre, suite à la tentative de coup d’état des colonels grecs sur l’île, ce qui fera tomber leur régime dictatorial. Depuis cette date, le nord de Chypre est occupé par la Turquie, créant un état fantoche non reconnu par la communauté internationale, et spoliant les biens des Chypriotes grecs qui ont dû fuir le nord de l’île, tout comme la Turquie avait par le passé chassé les Grecs de Turquie en 1920. 1.300 000 Grecs furent expulsés, sans compter les massacres des "Grecs Pontiques" et d’Anatolie à la même époque, ce drame étant appelé en Grèce la grande catastrophe, Μικρασιατική Καταστροφή. Quand en 2004 l’Union européenne s’élargissait à 10 nouveaux états membres dont Chypre, c’est-à-dire pas seulement la République de Chypre qui se trouve au sud de l’île, mais l’ensemble de l’île, considérée comme membre de l’Union européenne, dont le nord est toujours occupé par la Turquie. Rappelons que la Turquie est un état de 82 millions d’habitants avec une puissante armée, dont le régime d’Erdogan et son parti AKP, arrivés au pouvoir en 2002 n’ont pas hésité à emprisonner tout opposant à leur pouvoir, soit les intellectuels et journalistes, l’élite de l’armée turque, de la justice et de la police. Et Olivier Delorme de rappeler que : "La Turquie est aujourd’hui en conflit plus ou moins larvé avec tous ses voisins. Elle a soutenu Daesh, blanchi l’argent de son pétrole, tiré dans le dos des Kurdes, recyclé en supplétifs ce qui reste des terroristes de Daesh et Al Qaïda pour les disséminer en Libye, dans le Caucase où l’Azerbaïdjan, poussé par Ankara, ranime la guerre contre l’Arménie – probablement aussi parmi les migrants (peu aujourd’hui sont des réfugiés) qu’elle a lancés à l’assaut des îles ou de la frontière terrestre grecques". C’est la raison pour laquelle la découverte de gisements d'hydrocarbures en Méditerranée orientale pousse la Turquie à outrepasser le droit international. La république de Chypre a signé des accords de ZEE avec le Liban et Israël, et la Grèce avec l'Italie et l'Egypte, en vue de l’exploitation de ces gisements, ces accords étant un rempart aux visées expansionnistes de la Turquie. Aujourd’hui Ankara veut s’approprier les ressources gazières grecques et chypriotes en passant en force, ce qui est une manière pour Erdogan de rassurer ses alliés nationalistes turcs, ses affidés islamistes, et de "faire oublier" la situation économique de son pays. Le paravent d’Erdogan Car la bataille pour les hydrocarbures est aussi pour le président turc un moyen de mettre de côté la situation économique de son pays. Non content de vouloir réviser les traités de Lausanne et de Paris, de ne pas respecter la convention de Montego Bay, c’est au sein même de la Turquie qu’il faut porter une grande attention. Les économistes parlent d’une contraction du PIB de la Turquie de 9,9% dernièrement, d’autres évoquent plutôt un chiffre de 10,7%. Aujourd’hui si la Turquie a connu des années de croissances, depuis 2016 le pays connaît une importante inflation, quant à la livre turque, elle ne cesse de chuter, et la balance commerciale se détériore de mois en mois. Quant aux forces armées turques, le quotidien allemand Die Welt a annoncé, citant des sources militaires turques, qu’Erdogan, aurait demandé à ses officiers généraux de couler un navire grec sans faire de nombreuses victimes, les généraux auraient refusé de le faire. L’information est troublante dans le sens où ce seraient des généraux turcs qui auraient fait fuiter cette information. Une information qui doit être rapprochée aux événements militaires en Méditerranée orientale où, reprenant des manœuvres qui avaient été ajournées pour cause de pandémie par la France et l’Italie, ces dernières ont été reprises. Ainsi, La France et l’Italie viennent en aide à la Grèce et à Chypre, et on a noté dernièrement que des incidents navals et aériens ont été évités avec des bâtiments et des chasseurs français avec la marine et l’aviation turque. La France et l’Italie sont pour l’instant les seuls partenaires européens à venir en aide à la Grèce et à la république de Chypre. Une sourde Europe Il faut dire que l’Union européenne ne s’est pas pressée pour soutenir Athènes, surtout la chancelière Angela Merkel qui s’est fait beaucoup attendre dans la condamnation des provocations turques. Idem pour le Conseil de l’Europe dont la Grèce préside en ce moment le Conseil des Ministres. Bien qu’Erdogan ait reconverti la basilique Sainte Sophie (Agia Sofia) en mosquée, alors que Sainte Sophie est classée au patrimoine mondial de l’humanité, c’est au tour d'une ancienne église orthodoxe symbolique d'Istanbul d’être reconvertie en mosquée, l’église Saint Sauveur in Chora, un joyau de l’art byzantin du Ve siècle. Et le Conseil de l’Europe ne dit rien, garde le silence, tout comme nombre d’institutions internationales. Il est vrai que le Conseil de l’Europe en charge des droits de l’homme pourrait aussi donner de la voix face au décès de l’avocate kurde d’ Ebru Timtik après 238 jours de grève de la faim en prison, accusée par le pouvoir d’Ankara "d’appartenance à une organisation terroriste" pour avoir exercé son métier d’avocat. Ebru Timkit est la quatrième personne à être décédée cette année, à la suite d’un jeûne de la mort, Helin Bölek, soliste du groupe de musique Grup Yorum, est décédée le 3 avril dernier, au bout de 288 jours de grève de la faim pour protester contre l’emprisonnement d’autres membres du groupe et l’interdiction des concerts du Grup Yorum, le 7 mai, le bassiste du Grup Yorum Ibrahim Gökçek est décédé après une grève de la faim de 323 jours. Le 24 avril, Mustafa Koçak, prisonnier politique, décédait des suites d’une grève de la faim de 296 jours. Que faudra-t-il donc au Conseil de l’Europe pour enfin réagir ? L’Europe serait-elle plus sourde que Washington ? Un divorce américain Parce que les relations turco-américaines, elles aussi, connaissent une vraie dégradation, et ce, dès le 10 août dernier, le Département d’État, aurait demandé à la Turquie de cesser immédiatement ses prospections dans la ZEE grecque, quant au président Trump, d’après la presse grecque, il aurait refusé de répondre aux appels téléphoniques d’Erdogan. Washington présente ici une position plus tranchée que l’Otan. Car ne l’oublions pas, la Grèce et la Turquie sont membres de l’Otan. Et en cette fin de semaine, le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, tentant une médiation, a déclaré que la Grèce et la Turquie étaient prêtes à négocier, une déclaration aussitôt démentie par Athènes, confirmation par le Premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, déclarant qu'il n'y aurait aucune discussion tant que des navires turcs se trouveraient dans sa ZEE. Et le secrétaire général de l’OTAN de reconnaître qu’il n’y a pas d’accord entre la Grèce et la Turquie pour une négociation vers une désescalade des tensions en Méditerranée, avec une précision de sa part, qu’il y aurait des"avancées techniques". La réponse du gouvernement grec par la voix de son porte-parole ne s’est pas fait attendre : "Soyez sérieux pour être pris au sérieux". Pour l’heure la Méditerranée orientale n’est toujours pas apaisée.
  23. Et surtout qu'appel t'il Char ?? Des Leo ? Des m60 ou m48 ( car il me semble qu'ils en ont une flopée )ou du VBI ? ou un convoi de toy avec un drapeau noir flottant par dessus ????
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