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NUBEALTIUS

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Tout ce qui a été posté par NUBEALTIUS

  1. Ce à quoi je te répond Droit des peuples à disposer d'eux-mêmes Tu es légaliste ? qui a révoqué l'autonomie de l'Oblast autonome du Haut-Karabagh ????
  2. Je suis d'accord, il y a eu déplacement forcé de population. En face tu as eu de 1 à 1.5 million d'arménien genocidé
  3. Je joue pas avec les mots je précise juste que depuis 30 ans ce territoire n'a pas souhaité dépendre de l'adzebajiian ( pays créer quasiment de toute pièce ) a déclaré son autonomie et a demandé à être rattaché à l'Arménie du fait d'un population a très forte majorité arménienne On est d'accord mais là nous sommes à l'aube d'un nouveau nettoyage ethnique en cas de victoire Azebaji. On compte les points en disant que c'est un donné pour un rendu ?
  4. Depuis 30 ans ??? Drôle de lecture des événements .... Et au vu des accointances avec un pays ayant pratiqué par le passé un certain nombre de genocide sur les arménien, j'ai beaucoup de mal à trouver "illegal" leur souhait d'être rattacher à l'Arménie.
  5. Effectivement ... j'ai vu une belle vidéo sur TRT ou des officiels azebadjis expliquaient que le genocide armenien n'avais jamais existé. Dés relations étroites entre la Turquie et adzerbaidjan..... Et tient un petit article de 2015 Génocide arménien : l'Azerbaïdjan, l'allié négationniste de la Turquie https://www.lepoint.fr/tiny/1-1923873 #International via @LePoint
  6. Donc au vu de ton analyse l'azebadjian est dans son bon droit. Et à eu raison de s'allier avec l'ancien bienfaiteur des arméniens ?
  7. Contre le gaspillage alimentaire, Xi Jinping demande aux Chinois de manger avec plus de modération le 13/08/2020 à 10:00 Depuis qu'une «instruction» a été publiée par le président chinois en personne, des professionnels de la restauration s'efforcent de réduire les quantités servies. Par Le Figaro avec AFP La tradition chinoise exige que soient servis à table autant de plats qu'il y a de convives plus un. Les autorités tentent désormais d'inverser la tendance. GREG BAKER / AFP Fini les banquets somptueux et les plats innombrables: les Chinois, réputés pour leur gastronomie et leur bon appétit, vont devoir se mettre à l'austérité culinaire, conformément à un ordre du président Xi Jinping contre le gaspillage alimentaire. » LIRE AUSSI - La Chine piétine la liberté de la presse à Hongkong Si la tradition exige que soient servis à table autant de plats qu'il y a de convives plus un, les fils du dragon sont désormais invités à essayer l'inverse: un plat par invité, moins un. Plusieurs associations professionnelles du secteur de la restauration dans les villes de Pékin, Wuhan et Xian tentent désormais d'imposer ce modèle «N-1». Leurs membres sont également invités à offrir sur leurs menus la possibilité de commander des portions réduites, voire des demi-portions. Ces initiatives font suite à une «instruction» publiée mardi par le président Xi Jinping en personne. L'homme fort de Pékin a jugé «choquant et inquiétant» le gaspillage alimentaire de ses compatriotes. «En dépit des bonnes récoltes engrangées par notre pays chaque année, il est nécessaire de maintenir un sens de la crise en matière de sécurité alimentaire», a averti le chef de l'État et du Parti communiste chinois. De la famine à la surconsommation Dans un rapport de 2018, l'Académie chinoise des sciences estimait à près de 100 grammes la quantité de nourriture gâchée en moyenne par personne à chaque repas. À la fin d'un repas, la politesse traditionnelle exige de laisser de la nourriture dans son assiette pour ne pas donner l'impression que l'on n'a pas eu assez à manger. Avec son essor économique, la Chine est passée en quelques décennies des périodes de famine à la surconsommation. En 2015, l'Académie des sciences agricoles évaluait à 35 millions de tonnes la quantité de nourriture gaspillée chaque année dans le pays aux 1,4 milliard d'habitants. Les réseaux sociaux ont pris le relais de la lutte anti-gaspillage. Les populaires plateformes Douyin et Kuaishou ont annoncé qu'elles fermeraient les comptes des utilisateurs qui se filment en train de s'empiffrer à l'extrême, une habitude connue sous le terme coréen de «mukbang». Mais certains internautes semblent douter des résultats de la nouvelle politique d'austérité affichée. «Il faudrait commencer par changer notre habitude nationale de vouloir en mettre plein la vue», observe un utilisateur du réseau Weibo. «On pense toujours que l'on perd la face si l'on commande un seul plat pour deux personnes».
  8. Le réalisateur ne serait par turc a tout hasard ?????
  9. https://www.google.fr/amp/s/fr-mb.theepochtimes.com/la-chine-fait-face-a-une-penurie-alimentaire-alors-que-les-secheresses-les-inondations-et-les-insectes-nuisibles-les-recoltes-1491443.html/amp La Chine fait face à une pénurie alimentaire alors que les sécheresses, les inondations et les insectes nuisibles ruinent les récoltes août 10, 2020 15:59, Last Updated: août 10, 2020 15:59 By Nicole Hao Le vice-Premier ministre chinois Hu Chunhua a récemment demandé aux gouverneurs de chaque province de Chine de veiller à ce que les superficies cultivées ne diminuent pas et que leurs rendements ne soient pas réduits cette année. le stock est au plus haut mais doit être géré si l'année n'a pas été bonne BEIJING, 24 août (Xinhua) -- Les stocks de céréales de la Chine ont été maintenu à un niveau élevé, alors que les réserves de céréales du gouvernement et les réserves de politique sont suffisantes, a annoncé lundi un responsable de l'Administration nationale des réserves alimentaires et stratégiques. Le taux de stocks de céréales de la Chine à la consommation dépasse largement le niveau d'alerte selon l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, alors que le stock de riz et de blé, deux céréales de base du pays, peut nourrir l'ensemble de la population pendant plus d'un an, a indiqué le responsable dans une interview accordée à l'Agence de presse Xinhua (Chine nouvelle). Grâce à des récoltes exceptionnelles au cours de ces dernières années, ainsi qu'aux fortes réserves de céréales, la Chine a réussi à maintenir les prix des céréales à un niveau généralement stable dans un contexte de fluctuations des prix internationaux, a noté le responsable. Le pays renforcera la protection des terres arables et stabilisera la production céréalière, tout en renforçant la gestion des réserves céréalières, a-t-il ajouté.
  10. https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/10/02/la-chine-lorgne-la-nouvelle-caledonie-et-ses-reserves-de-nickel_6054537_823448.html La Chine lorgne la Nouvelle-Calédonie et ses réserves de nickel Peu à peu, les Chinois étendent leur influence sur de nombreux pays du Pacifique. Un sujet qui s’est invité dans le débat à l’approche du référendum sur l’indépendance du Caillou qui aura lieu dimanche. A l’approche du deuxième référendum sur l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie, dimanche 4 octobre, la Chine est dans toutes les têtes. Les loyalistes agitent la menace de voir une Kanaky indépendante tomber rapidement dans l’escarcelle de Pékin. Les indépendantistes, sans nier les risques en matière d’endettement ou de déprédation des ressources halieutiques, voient dans les échanges avec la Chine une opportunité de combler la perte de revenus que représenterait la rupture avec Paris. Le sujet s’est imposé dans le débat, comme dans les opinions publiques des autres pays de la région qui voient les chalutiers chinois vider leurs zones de pêche à mesure que leur étaient attribuées des licences, ou multiplier les projets d’infrastructures plus vaniteux qu’utiles au grand public, au risque de tomber dans le piège de la dette. « C’est un vrai sujet dans la campagne référendaire, dit le député Philippe Gomès, du parti Calédonie ensemble, partisan du non. Si le oui venait à l’emporter, on sent que les Chinois seraient les bienvenus. » Les indépendantistes assument de leur côté. « Nous n’avons pas peur de la Chine. C’est la France, pas elle, qui nous a colonisés. Elle ne nous gêne pas outre-mesure. Jean-Marie Tjibaou disait il y a trente ans que l’indépendance, c’est gérer les interdépendances. Nous ne nous tournons pas que vers l’Europe, elle est loin d’ici, on ne va pas faire aujourd’hui comme si la Chine n’existait pas », dit le leader indépendantiste Roch Wamytan, président du Congrès de Nouvelle-Calédonie. Lire aussi Référendum sur l’indépendance : la Nouvelle-Calédonie de retour aux urnes A tous, la Chine apparaît désormais toute proche. A 500 km de Nouméa, une heure de vol, l’archipel des Vanuatu est devenu l’incarnation des ambitions chinoises dans le Pacifique Sud, une vitrine de ce que la République populaire peut offrir avec une rapidité inégalée, et des écueils. Les sociétés d’Etat chinoises y construisent des routes vers des régions jusqu’alors peu accessibles, Huawei installe ses réseaux de télécommunication dernier cri, mais le centre de conférences de 1 000 places à 24 millions d’euros construit, lui aussi par la Chine dans la capitale Port-Vila, est vide, et l’extension pour 46 millions d’euros prêtés par Pékin du port de la deuxième ville du pays, Luganville, inquiète l’Australie et les Etats-Unis en cas de conflit ouvert avec la Chine. « Nouvelles routes de la soie » Plus loin, les Fidji, les Tonga, les Samoa ou les îles Salomon cèdent, elles aussi, à la tentation des « nouvelles routes de la soie », le programme de prêts et d’infrastructures par lequel le président Xi Jinping pousse l’influence chinoise partout dans le monde. Cette politique s’est accélérée à mesure que se sont détériorées les relations entre Pékin et Taïwan, où se sont repliés les nationalistes à l’avènement de la Chine populaire. Depuis 2016, le continent sanctionne Taïwan pour avoir élu à sa présidence Tsai Ing-wen, particulièrement critique du Parti communiste chinois. La Chine a ouvert son chéquier pour retourner les petits Etats qui reconnaissaient encore diplomatiquement Taipei et non Pékin. Il n’en reste plus qu’une quinzaine, dont une poignée dans le Pacifique.
  11. "Au moins 64 combattants syriens proturcs morts au Nagorny Karabakh" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/au-moins-64-combattants-syriens-proturcs-morts-au-nagorny-karabakh-20201003
  12. https://www.un.org/fr/sections/un-charter/chapter-xvi/index.html c'est juste une obligation administrative envers l'ONU mais en aucun cas une reconnaissance du bien fondé ou de la validité
  13. "Le Canada enquête sur l'utilisation de sa technologie militaire en Azerbaïdjan" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-canada-enquete-sur-l-utilisation-de-sa-technologie-militaire-en-azerbaidjan-20201002 Le Canada enquête sur de possibles livraisons de matériel militaire canadien en Azerbaïdjan par la Turquie, a annoncé vendredi 2 octobre le premier ministre canadien Justin Trudeau. Selon les médias canadiens, Ottawa a délivré en mai des permis à la société canadienne L3Harris Wescam pour exporter des systèmes d'imagerie et de ciblage à un fabricant de drones turc.
  14. Cependant, le chef du gouvernement grec n’a nullement l’intention de s’en laisser conter. « L’heure est venue pour l’Europe de discuter avec courage et sincérité du genre de relation qu’elle veut vraiment avoir avec la Turquie », a-t-il déclaré. « Une chose est certaine: les provocations de la Turquie, que ce soit par ses actions unilatérales ou par sa rhétorique extrême, ne peuvent plus être tolérées », a-t-il insisté, peu après son arrivée à Bruxelles.
  15. "Nagorny Karabakh: 28 combattants syriens pro-Ankara tués depuis le début des hostilités" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/nagorny-karabakh-28-combattants-syriens-pro-ankara-tues-depuis-le-debut-des-hostilites-20201002 Au moins 28 combattants syriens pro-turcs ont péri dans les combats opposant depuis environ une semaine les séparatistes arméniens à l'armée azerbaïdjanaise, soutenue par Ankara, dans la région de Nagorny Karabakh, a indiqué vendredi 2 octobre l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). » LIRE AUSSI - Conflit dans le Karabakh: «N'allez pas à Agdam» Ces combattants, qui appartiennent à des groupes rebelles fidèles à Ankara déployés notamment dans le nord de la province syrienne d'Alep, faisaient partie des 850 envoyés par la Turquie pour prêter main fortes aux Azéris depuis la semaine dernière, a déclaré à l'AFP le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane. L'AFP a pu confirmer vendredi la mort de trois d'entre eux via leurs familles, informées de leur décès. Sur les réseaux sociaux, des photos de quatre combattants présumés morts dans les combats ont été relayées par des internautes dans le nord de la Syrie. Depuis le début des hostilités, l'Arménie accuse la Turquie d'envoyer des «mercenaires» syriens dans cette zone disputée, ce que Ankara dément. Vendredi, le président russe, Vladimir Poutine, a fait part de sa «préoccupation» quant à la présence de combattants étrangers au Karabakh. «C'est de la désinformation», a réagi le conseiller à la présidence azerbaïdjanaise, M. Hajiyev. «L'Azerbaïdjan n'a pas besoin de combattants étrangers car nous avons des forces armées professionnelles et nous avons également suffisamment de réservistes», a-t-il ajouté. Les deux camps ont largement ignoré les multiples appels depuis dimanche de la communauté internationale à faire taire les armes. Selon les bilans très partiels communiqués depuis dimanche, 190 personnes ont été tuées, parmi lesquelles 158 séparatistes arméniens. Bakou ne communique pas ses pertes militaires. Le Nagorny Karabakh, en majorité peuplé d'Arméniens, a fait sécession de l'Azerbaïdjan, entraînant une guerre au début des années 1990 qui avait fait 30.000 morts. Le front est quasi gelé depuis, malgré des heurts réguliers, notamment en 2016.
  16. En voilà un qui a peut être plus de moyen mobilisable sur le secteur et dont la situation a l'air de le crisper "Poutine «préoccupé» par les informations sur la présence de combattants étrangers au Karabakh" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/poutine-preoccupe-par-les-informations-sur-la-presence-de-combattants-etrangers-au-karabakh-20201002
  17. "La Grèce «pleinement satisfaite» par le message de l'UE à Ankara" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-grece-pleinement-satisfaite-par-le-message-de-l-ue-a-ankara-20201002
  18. "La principale ville du Karabakh «frappée» par l'Azerbaïdjan, des blessés" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-principale-ville-du-karabakh-frappee-par-l-azerbaidjan-des-blesses-20201002
  19. On aurait vu air force on eau dessus de Marseille. ( si on entend un bang dans le secteur , pas d'inquiétude, juste un rafale en interception)
  20. "Karabakh : L'Arménie prête à travailler avec des médiateurs pour un cessez-le-feu" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/karabakh-l-armenie-prete-a-travailler-avec-des-mediateurs-pour-un-cessez-le-feu-20201002
  21. Les combats entre Arméniens et Azerbaïdjanais sur le front du Nagorny Karabakh font rage vendredi 2 octobre, et les griefs se multiplient contre la Turquie, accusée d'avoir «franchi une ligne rouge» avec l'envoi de «jihadistes» en soutien à l'Azerbaïdjan. » LIRE AUSSI - Le conflit du Haut-Karabakh, nouveau défi d’Ankara à Moscou Dans la nuit, les combats ont continué, chaque camp affirmant infliger des pertes importantes à l'autre. À Stepanakert, capitale du Karabakh, les habitants ont dû se mettre à l'abri plusieurs fois de crainte de bombardements, mais aucune partie ne semble avoir pris l'avantage. Le président français Emmanuel Macron, qui entretient déjà des relations difficiles avec son homologue Recep Tayyip Erdogan a affirmé dans la nuit de jeudi à vendredi que 300 combattants «djihadistes» ont quitté la Syrie pour rejoindre l'Azerbaïdjan en passant par la Turquie. Une «ligne rouge» selon lui. La Russie avait fait état d'informations similaires, sans accuser cependant directement Ankara, avec qui elle a une relation compliquée mais pragmatique. Le premier ministre arménien Nikol Pachinian a en outre accusé la partie turque d'être impliquée militairement dans le conflit au côté de l'Azerbaïdjan avec «des véhicules militaires, des armes, ainsi que des conseillers militaires» et en transportant des «milliers de mercenaires et de terroristes» vers le front du Karabakh, dans un entretien au Figaro. Une intervention directe turque constituerait un tournant majeur et une internationalisation de ce conflit dans une région, le Caucase du Sud, où de multiples puissances sont en concurrence : Russie, Turquie, Iran, pays occidentaux... Le Nagorny Karabakh, en majorité peuplé d'Arméniens, a fait sécession de l'Azerbaïdjan, entraînant une guerre au début des années 1990 qui avait fait 30.000 morts. Le front est quasi-gelé depuis malgré des heurts réguliers, notamment en 2016. Dimanche, les combats les plus meurtriers depuis des années ont repris, les deux camps s'accusant d'avoir provoqué les hostilités. » LIRE AUSSI - Haut-Karabakh : Poutine, Macron et Trump appellent ensemble à un cessez-le-feu immédiat Depuis, l'Azerbaïdjan a juré de poursuivre ses opérations jusqu'à la reconquête du territoire ou au «retrait total» des Arméniens. Erevan et les autorités du Karabakh ont dit être tout aussi déterminés au combat. Les deux camps ont largement ignoré les appels de l'ensemble de la communauté internationale, à l'exception notable de la Turquie, de faire taire les armes, à l'instar d'une déclaration commune jeudi des présidents Emmanuel Macron, Vladimir Poutine et Donald Trump, dont les trois pays pilotent depuis le début des années 1990 la médiation de l'OSCE sur le Nagorny Karabakh. Selon Moscou, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et son homologue turc Mevlut Cavusoglu ont convenu jeudi que leurs deux pays étaient prêts à une «coordination étroite pour stabiliser la situation» au Nagorny Karabakh. Ankara ne s'est cependant pas prononcé. La Russie entretient des relations cordiales avec les deux anciennes républiques soviétiques, mais elle est plus proche de l'Arménie qui appartient à une alliance militaire dominée par Moscou. Le ministère de la Défense du Karabakh a jugé la nuit de jeudi à vendredi «plus calme» que les précédentes et indiqué que ses forces «continuaient d'infliger des pertes sérieuses à l'ennemi». Chouchane Stepanian, porte-parole de la Défense en Arménie, a assuré que l'armée azerbaïdjanaise «a échoué à percer les défenses arméniennes». Le ministère azerbaïdjanais a affirmé lui l'inverse, assurant avoir pris des positions, citant «les hauteurs de Madaguiz», dans le nord, et avoir forcé les Arméniens à la retraite dans «la direction Jebraïl-Fizouli», dans le sud. » LIRE AUSSI - Karabakh: Moscou propose d'accueillir des pourparlers Arménie-Azerbaïdjan Selon les bilans très partiels communiqués depuis dimanche, 190 personnes sont mortes : 158 soldats séparatistes, 13 civils arméniens, et 19 civils azerbaïdjanais. Bakou n'a toujours pas communiqué de pertes militaires. L'Arménie affirme ainsi que 1.280 soldats azerbaïdjanais sont morts, quand Bakou dit avoir tué au moins 1.900 militaires adverses. Jeudi, la petite ville de Martouni, située à environ 25 kilomètres du front en territoire séparatiste, a essuyé ses plus graves tirs de roquettes depuis la reprise des hostilités. Quatre civils ont été tués, selon les séparatistes, et 11 personnes blessées, dont au moins deux journalistes français du quotidien Le Monde et deux autres arméniens. » À VOIR AUSSI - Karabakh: Macron réclame «des explications» à la Turquie et interpelle l'Otan
  22. "L'ADN hérité de Néandertal peut aggraver des formes de Covid-19" : http://www.lefigaro.fr/sciences/l-adn-herite-de-neandertal-peut-aggraver-des-formes-de-covid-19-20201001 Les malades du Covid-19 portant un segment d'ADN de Neandertal, hérité d'un croisement avec le génome humain il y a quelques 60.000 ans, risquent davantage des complications sévères de la maladie, selon des chercheurs. Le codage génétique hérité de ce lointain cousin de l'espèce humaine les rend par exemple trois fois plus susceptibles d'avoir besoin d'une ventilation mécanique, selon l'étude publiée dans Nature mercredi 30 septembre. » LIRE AUSSI - Covid-19 : la France cherche des volontaires pour tester des vaccins «Il est frappant de constater que l'héritage génétique de Néandertal ait des conséquences si tragiques pendant la pandémie actuelle», a dit un des co-auteurs, Svante Paabo, directeur du département de génétique de l'Institut allemand Max Planck pour l'Évolution Anthropologique. Les chercheurs en ont conclu que si l'humain moderne et l'homme de Néandertal pouvaient avoir hérité ce fragment de gène d'un ancêtre commun il y a environ un demi-million d'années, il était plus probable qu'il ait été intégré dans le génome humain par des croisements de population plus récents. Environ 16% des Européens le portent, et à peu près la moitié de la population d'Asie du sud, avec la proportion la plus élevée (63%) au Bangladesh. Le segment de gène incriminé est quasiment absent du génome des habitants d'Asie orientale et d'Afrique.
  23. Vu les papouilles que se sont fait la Turquie et l'Azerbaïdjan durant la crise du Medor je suppute que la décision était déjà prise bien avant
  24. "Turquie: les réseaux sociaux sous contrôle accru" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/turquie-les-reseaux-sociaux-sous-controle-accru-20201001 Une loi renforçant considérablement le contrôle des autorités sur les réseaux sociaux entre jeudi en vigueur en Turquie, menaçant la présence de Twitter et Facebook dans le pays s'ils n'obéissent pas aux demandes de retrait de contenus litigieux. Le Parlement a voté cette loi en juillet, moins d'un mois après que le président Recep Tayyip Erdogan a appelé à «mettre de l'ordre» dans les réseaux sociaux, l'un des derniers espaces d'expression à échapper au contrôle du gouvernement. «La loi suscite de nombreuses inquiétudes concernant les droits humains», a commenté sur Twitter Iain Levine, responsable de département des droits humains de Facebook. Malgré leurs inquiétudes, les défenseurs des droits doutent que le gouvernement Erdogan puisse appliquer les mesures strictes prévues par la loi. «Il est impossible dans un pays comme la Turquie de supprimer les réseaux sociaux qui font tellement partie de la vie des gens», estime Emma Sinclair-Webb, directrice de Human Rights Watch en Turquie. » LIRE AUSSI - Quelle est la source des tensions entre la Grèce et la Turquie qui menacent la sécurité régionale? Selon la nouvelle législation, les réseaux sociaux, avec plus d'un million de connexions uniques par jour, comme Twitter et Facebook, devront avoir un représentant en Turquie et obéir aux tribunaux demandant le retrait de certains contenus sous 48 heures. En cas de non-respect de ces obligations, une forte réduction de leur bande passante et des amendes pouvant aller jusqu'à 40 millions de livres turques (4,3 millions d'euros) sont prévues. Ces géants du numérique sont en outre appelés à stocker en Turquie les données de leurs utilisateurs se trouvant dans ce pays, mais aucune mesure contraignante en ce sens n'a été adoptée lors du vote de la loi. Même si son compte Twitter @RTErdogan possède 16,7 millions d'abonnés, le président turc ne cache pas son aversion pour les réseaux sociaux, qu'ils avait menacé de supprimer en 2014. La même année, Ankara avait bloqué l'accès à Twitter et à YouTube après la diffusion d'enregistrements d'écoutes téléphoniques mettant Erdogan en cause dans un supposé scandale de corruption. Le chef de l'Etat turc avait déjà qualifié Twitter de «menace», estimant que le réseau social avait facilité la mobilisation pour les manifestations antigouvernementales de 2013. «L'objectif de la loi est de menacer les réseaux sociaux en leur imposant l'obéissance ou la mort», estime Mme Sinclair-Webb. Selon le dernier «rapport sur la transparence» de Twitter, la Turquie figurait au premier semestre 2019 en tête des pays demandant le retrait de contenus sur le réseau social, avec plus de 6.000 requêtes. Twitter n'a pas répondu aux questions de l'AFP sur la suite qu'il entend donner à la nouvelle loi turque. La Turquie a bloqué l'accès à 408.000 sites, 40.000 tweets, 10.000 vidéos YouTube et 6.200 partages sur Facebook en 2019, selon Sevket Uyanik, défenseur des droits en ligne. «Imaginez ce qui pourrait arriver après l'entrée en vigueur de la nouvelle loi», s'alarme-t-il. » LIRE AUSSI - Recep Tayyip Erdogan avance ses pions en Méditerranée orientale De nombreux Turcs, en particulier des jeunes, comptent sur les réseaux sociaux pour avoir accès à des informations indépendantes ou critiques, dans un paysage dominé par les médias pro-gouvernementaux. «On ne voit pas beaucoup d'infos sur la violence contre les femmes à la télévision», estime Ayse Nur Akyuz, modèle et «influenceuse», avec 47.000 abonnés sur Instagram. «Mais les infos sur les féminicides se répandent en cinq minutes sur les réseaux sociaux». «Les restrictions récentes visent à museler la contestation et à bloquer le flux d'information», affirme Mme Sinclair-Webb. Twitter et Facebook sont déjà étroitement surveillés par le gouvernement et de nombreux procès pour «insulte au chef de l'Etat» ou «propagande terroriste» ont été intentés sur la base de simples tweets. Début juillet, le président turc avait appelé à «mettre de l'ordre» dans les réseaux sociaux après que sa fille et son gendre ont été visés par des injures sur Twitter. «Vous voyez pourquoi nous sommes contre les réseaux sociaux comme YouTube, Twitter et Netflix? Pour supprimer ces immoralités. Ils n'ont pas de valeurs morales», avait-il affirmé. Mais les partisans du gouvernement se servent aussi massivement des réseaux sociaux, d'autant que les rassemblements sont interdits dans le cadre des restrictions liées au Covid-19, souligne Mme Sinclair-Webb. «Fermer les réseaux sociaux ne sera pas une décision populaire», affirme-t-elle. «Si le gouvernement applique vraiment cette loi, il se tire une balle dans le pied». » LIRE AUSSI - Erdogan, un sultan agressif qui défie l'Union européenne
  25. Pour protéger ses étudiants, Oxford rend les devoirs sur la Chine anonymes Cette décision résulte de la sévère loi sur la sécurité nationale promulguée à Hongkong au mois de juin dernier, explique « Courrier international ». Par LePoint.fr Modifié le 29/09/2020 à 06:23 - Publié le 29/09/2020 à 05:14 | Le Point.fr La loi sur la sécurité mise en place par la Chine à Hongkong se fait ressentir jusqu'aux bancs des universités les plus prestigieuses du monde. Cette loi a été instaurée en juin dernier en réponse directe au mouvement de contestation qui a vu se soulever des milliers de manifestants contre l'emprise de la Chine. Elle réprime fortement la sécession et la subversion en prévoyant des peines très sévères et donne notamment le pouvoir à la Chine d'arrêter des personnes qui ne résident pas à Hongkong, pour des actions ou des propos tenus en dehors de ce territoire. Ainsi, comme l'explique le Guardian, relayé par Courrier international, l'université britannique d'Oxford en vient à craindre pour la sécurité et la liberté d'expression de ses étudiants, en particulier ceux qui pourraient avoir un lien, de la famille ou des connaissances en Chine ou à Hongkong. C'est pourquoi, désormais, les devoirs traitant de la Chine seront totalement anonymes. Il sera également interdit d'enregistrer un cours ou de le partager avec des groupes extérieurs sous peine de mesures disciplinaires. L'anonymat sera la règle dans tous les cours concernant la Chine et les travaux de groupe seront remplacés par des entretiens individuels avec un professeur. Lire aussi Dans les rues de Hongkong : « La Chine est un monstre, réveillez-vous ! » Les étudiants protégés dans les universités américaines Au Royaume-Uni, plus de 120 000 étudiants chinois suivent un cursus dans l'enseignement supérieur. Cela représente 35 % des étudiants étrangers hors UE dans le pays. Courrier international précise que l'université d'Oxford n'est pas la seule à avoir pris ce type de mesures depuis la promulgation de la loi sur la sécurité nationale à Hongkong. Lire aussi Joshua Wong : « La Chine rend impossible de rester neutre » Des noms de code seront utilisés à la place du nom des étudiants à Princeton en cours de politique chinoise tandis que les étudiants de la Harvard Business School pourront, s'ils redoutent des représailles, éviter les discussions autour de sujets politiques sensibles.
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