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Tout ce qui a été posté par NUBEALTIUS

  1. "Des combattants de Syrie et de Libye déployés dans le conflit du Karabakh, selon Moscou" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/des-combattants-de-syrie-et-de-libye-deployes-dans-le-conflit-du-karabakh-selon-moscou-20200930 Des combattants de Syrie et de Libye ont été déployés dans la zone de conflit au Nagorny Karabakh, région séparatiste azerbaïdjanaise en proie depuis quatre jours à des combats meurtriers, a dénoncé mercredi 30 septembre la diplomatie russe. » LIRE AUSSI - Pourquoi l'Arménie et l'Azerbaïdjan s'affrontent dans le Haut-Karabakh «Des combattants des groupes armés illégaux, notamment de Syrie et de Libye, sont en train d'être déployés dans la zone de conflit au Nagorny Karabakh pour participer aux combats», a-t-elle affirmé, se disant «profondément préoccupée par des processus susceptibles de provoquer une escalade des tensions dans le conflit» et dans toute la région. La Russie appelle les «dirigeants des pays concernés à prendre des mesures efficaces pour empêcher le recours à des terroristes et des mercenaires étrangers dans ce conflit et pour leur retrait immédiat de la région», a souligné la diplomatie russe dans un communiqué. L'Arménie a accusé la Turquie, qui soutient Bakou, d'envoyer des «mercenaires» au Karabakh. L'Azerbaïdjan a démenti ces allégations, retournant l'accusation contre Erevan.
  2. "Karabakh: Moscou propose d'accueillir des pourparlers Arménie-Azerbaïdjan" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/karabakh-moscou-propose-d-accueillir-des-pourparlers-armenie-azerbaidjan-20200930
  3. "L'Azerbaïdjan va combattre jusqu'au «retrait total» des Arméniens du Karabakh" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/l-azerbaidjan-va-combattre-jusqu-au-retrait-total-des-armeniens-du-karabakh-20200930 Le président azerbaïdjanais a juré mercredi 30 septembre de poursuivre les opérations militaires jusqu'au retrait des forces arméniennes du Nagorny Karabakh, région séparatiste soutenue par Erevan, théâtre d'un conflit armé sanglant depuis quatre jours. » LIRE AUSSI - Pourquoi l'Arménie et l'Azerbaïdjan s'affrontent dans le Haut-Karabakh «Nous avons une seule condition, le retrait total, inconditionnel et sans délai des forces armées de l'Arménie de notre terre. Si le gouvernement de l'Arménie accepte cette condition, les combats s'arrêteront, le sang arrêtera de couler», a dit le président Ilham Aliev après avoir rendu visite à des militaires blessés dans un hôpital. «Nous voulons rétablir notre intégrité territoriale, nous le faisons et allons le faire», a-t-il ajouté, selon des images diffusées à la télévision. Plus tôt, la diplomatie azerbaïdjanaise avait fait savoir aux médiateurs du conflit, le Groupe de Minsk (Russie, Etats-Unis, France) constitué au sein de l'OSCE, que Bakou était déterminé à combattre. Tant que «nous ne voyons pas clairement les troupes arméniennes quitter le territoire de l'Azerbaïdjan, nous continuerons notre opération militaire légitime», a indiqué la représentation azerbaïdjanaise à l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe. La partie azerbaïdjanaise a estimé qu'un retrait inconditionnel était le seul moyen «pour l'actuel génération d'Arméniens d'éviter une perte massive de vies humaines».
  4. Tu penses que si il y a nettoyage ethnique l'Azerbadjan va l'annoncer haut et fort ???
  5. Sinon : "Macron préoccupé par des messages «guerriers» de la Turquie sur le Karabakh" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/macron-preoccupe-par-des-messages-guerriers-de-la-turquie-sur-le-karabakh-20200930 Arf encore grillé par @Alexis
  6. A propos Restutor Orientis, il avait pas été viré du forum ( avec différent pseudo) pour propagande turque ????
  7. Et tout ça grâce a un fleuron de l'industrie Europeene !!!! L'A400M
  8. Et 3 eme possibilité, c'est pas un loupé car la Turquie estime qu'aucune opposition militaire venant de l'est ou de l'ouest n'est pas à craindre dans cette zone géographique
  9. "Karabakh : la Turquie déterminée à aider l'Azerbaïdjan à recouvrer «ses terres occupées»" : http://www.lefigaro.fr/international/karabakh-la-turquie-determinee-a-aider-l-azerbaidjan-a-recouvrer-ses-terres-occupees-20200929 Les combats se poursuivent ce mardi entre séparatistes arméniens et l'Azerbaïdjan. La présidence de la Turquie a annoncé être déterminée à aider l'Azerbaïdjan à recouvrer «ses terres occupées». Depuis le début des affrontements dimanche 27 septembre, dans cette enclave séparatiste peuplée majoritairement d'Arméniens, la Turquie, alliée de Bakou, a affiché son soutien à l'Azerbaïdjan, qui cherche à reprendre le contrôle du Nagorny Karabakh. » LIRE AUSSI - Conflit Arménie-Azerbaïdjan : un soldat arménien tué Affirmant que l'Azerbaïdjan «cherche simplement à assurer la sécurité des populations civiles près de la ligne de front et à libérer ses terres occupées», il a estimé que «le monde ne peut pas se permettre de placer sur un même pied d'égalité l'agresseur et la partie lésée au nom d'un soi-disant principe de neutralité». » LIRE AUSSI - La Russie appelle la Turquie à œuvrer pour la paix au Karabakh Les déclarations de la présidence turque interviennent peu après que le Kremlin a appelé Ankara à s'abstenir à «mettre de l'huile sur le feu» et œuvrer pour la paix au Nagorny Karabakh, où les combats ont fait près de 100 morts depuis dimanche. L'Union européenne a jugé lundi 28 septembre la situation au Karabakh «très préoccupante» et toute ingérence dans cette région «inacceptable».
  10. "Karabakh : des combats féroces se poursuivent, nouvelle offensive de Bakou" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/karabakh-des-combats-feroces-se-poursuivent-nouvelle-offensive-de-bakou-20200929 Des combats féroces opposant l'Azerbaïdjan aux séparatistes arméniens du Nagorny Karabakh se poursuivaient mardi matin, Bakou passant à une nouvelle offensive, à quelques heures d'une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU. Depuis dimanche, les forces de l'enclave séparatiste, soutenue politiquement, militairement et économiquement par l'Arménie, et celles de l'Azerbaïdjan s'affrontent dans les combats les plus meurtriers depuis 2016. » LIRE AUSSI - Nagorny Karabakh : que se passe-t-il entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan ? «Les forces arméniennes ont riposté à une offensive azerbaïdjanaise dans plusieurs secteurs de la ligne de front et l'ennemi a subi d'importantes pertes» humaines, a indiqué mardi le ministère arménien de la Défense. L'Azerbaïdjan «a procédé à des tirs d'artillerie massifs visant les positions arméniennes et se prépare à une nouvelle attaque», a écrit sur Facebook le porte-parole du ministère Artstroun Hovhannissian. Pour sa part, le ministère azerbaïdjanais de la Défense a affirmé avoir riposté à une «tentative arménienne de contre-attaquer pour regagner les positions perdues» au Nagorny Karabakh et a fait état des «combats féroces» ayant sévi durant la nuit. Mardi matin, «les forces azerbaïdjanaises ont poursuivi une offensive contre la ville de Fizouli, en détruisant quatre chars ennemis, un véhicule blindé et en tuant dix militaires», a assuré le ministère dans un communiqué. Le bilan officiel de ces combats meurtriers s'établissait mardi à 95 morts, dont onze civils : neuf en Azerbaïdjan et deux côté arménien. Le bilan réel pourrait être bien plus lourd, les deux camps affirmant chacun avoir tué des centaines de militaires ennemis. L'Azerbaïdjan, pays turcophone à majorité chiite, réclame le retour sous son contrôle du Nagorny Karabakh, province montagneuse peuplée majoritairement d'Arméniens, chrétiens, dont la sécession en 1991 n'a pas été reconnue par la communauté internationale. Après des semaines de rhétorique guerrière, l'Azerbaïdjan a dit avoir lancé une «contre-offensive» majeure en réponse à une «agression» arménienne, usant de son artillerie, de blindés et de bombardements aériens sur la province qui lui échappe depuis la chute de l'URSS et une guerre qui a fait 30.000 morts. Ces combats ont provoqué l'inquiétude internationale, l'ONU, la Russie, la France et les États-Unis appelant notamment à un cessez-le-feu immédiat. Le Conseil de sécurité de l'ONU doit se réunir d'urgence mardi à 21H00 GMT, à huis clos, pour évoquer la situation, selon des diplomates interrogés par l'AFP. Une guerre ouverte entre Erevan et Bakou risquerait de déstabiliser le Caucase du Sud, en particulier si la Turquie et la Russie, puissances régionales, intervenaient.
  11. "Karabakh : l'Arménie saisit d'urgence la Cour européenne des droits de l'homme" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/karabakh-l-armenie-saisit-d-urgence-la-cour-europeenne-des-droits-de-l-homme-20200928 L'Arménie a saisi lundi 28 septembre d'urgence la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) pour demander des mesures provisoires à l'encontre de l'Azerbaïdjan, les combats se poursuivant dans la région séparatiste du Nagorny Karabakh. «La cour a reçu ce matin une demande de mesures provisoires de l'Arménie, elle est en cours d'examen», a déclaré une porte-parole de la CEDH. » LIRE AUSSI - L’Azerbaïdjan et l’Arménie au bord de la guerre La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), bras judiciaire du Conseil de l'Europe qui siège à Strasbourg (est de la France), a été saisie au titre de l'article 39 de son règlement qui lui permet de prendre des mesures d'urgence lorsqu'il y a un risque imminent de dommage irréparable. «Le gouvernement arménien demande à la Cour d'indiquer au gouvernement azerbaïdjanais (...) «de cesser les attaques militaires contre les populations civiles sur toute la ligne de contact des forces armées d'Arménie et d'Artsakh , «de cesser les attaques aveugles, «de cesser de cibler la population civile ainsi que les biens civils et les agglomérations», a détaillé la CEDH dans un communiqué. À VOIR AUSSI - Haut-Karabakh: l'Arménie et l'Azerbaïdjan diffusent des vidéos des attaques Au moins 68 personnes sont mortes depuis dimanche dans les combats opposants séparatistes du Nagorny Karabakh, soutenus par l'Arménie, à l'Azerbaïdjan, selon des bilans annoncés lundi 28 septembre, des affrontements laissant craindre une guerre ouverte entre Bakou et Erevan. Cette région séparatiste azerbaïdjanaise, peuplée majoritairement d'Arméniens, échappe au contrôle de Bakou depuis une guerre au début des années 1990 qui avait fait 30.000 morts. Une guerre ouverte entre les deux pays laisse craindre une déstabilisation grave de la région, en particulier si la Turquie et la Russie, qui ont des intérêts divergents dans le Caucase du Sud, interviennent dans le conflit. L'Arménie et l'Azerbaïdjan sont membres depuis 2001 du Conseil de l'Europe, une organisation paneuropéenne de défense des droits humains et de l'État de droit.
  12. "Erdogan appelle à la fin de «l'occupation» arménienne du Karabakh" : http://www.lefigaro.fr/international/erdogan-appelle-a-la-fin-de-l-occupation-armenienne-du-karabakh-20200928 Le président turc Recep Tayyip Erdogan a appelé lundi 28 septembre à la fin de «l'occupation» arménienne du Nagorny Karabakh pour faire cesser les combats meurtriers qui y opposent séparatistes soutenus par l'Arménie et forces azerbaïdjanaises. » LIRE AUSSI - L’Azerbaïdjan et l’Arménie au bord de la guerre «Le temps est venu pour que cette crise qui a commencé avec l'occupation du Nagorny Karabakh prenne fin. Aussitôt que l'Arménie aura quitté le territoire qu'elle occupe, la région retrouvera la paix et l'harmonie», a déclaré dans un discours M. Erdogan, dont le pays est le principal soutien de l'Azerbaïdjan dans ce conflit. «Toute autre demande ou proposition non seulement serait injuste et illégale, mais reviendrait à continuer à gâter l'Arménie», a-t-il ajouté. La Turquie considère que l'Arménie «occupe» le Nagorny Karabakh par les biais des séparatistes hostiles à Bakou qui y ont autoproclamé une république en 1991 à la chute de l'Union soviétique. «La Turquie continuera à se tenir aux côtés du pays frère et ami qu'est l'Azerbaïdjan de tout notre coeur et par tous les moyens», a poursuivi le président turc, réitérant le soutien ferme apporté par son pays à Bakou dès le début de cette crise. Des dizaines de personnes sont mortes en 24 heures dans les combats opposant séparatistes du Nagorny Karabakh, soutenus par l'Arménie, à l'Azerbaïdjan, selon des bilans annoncés lundi, des affrontements faisant redouter une guerre ouverte entre ces deux pays. Cette région séparatiste azerbaïdjanaise, peuplée majoritairement d'Arméniens, échappe au contrôle de Bakou depuis une guerre au début des années 1990 qui avait fait 30.000 morts. Une guerre ouverte entre les deux pays fait craindre une déstabilisation grave de la région, en particulier si la Turquie et la Russie, qui ont des intérêts divergents dans le Caucase du Sud, interviennent dans le conflit. À VOIR AUSSI - Azerbaïdjan: l'UE juge les interférences extérieures «inacceptables»
  13. "Découverte d’un mécanisme expliquant certaines formes graves de Covid-19" : http://www.lefigaro.fr/sciences/decouverte-d-un-mecanisme-expliquant-certaines-formes-graves-de-covid-19-20200925 DÉCRYPTAGE - Deux articles publiés dans la revue américaine <i>Science </i>mettent en évidence des défauts dans la défense immunitaire<i>. </i> D’où vient la vulnérabilité des patients souffrant d’une forme sévère de Covid-19, alors que l’infection reste silencieuse ou bénigne chez une majorité de personnes? Dans deux articles scientifiques publiés hier dans la revue américaine Science, le Laboratoire de génétique humaine des maladies infectieuses de l’Institut Imagine, situé à l’hôpital Necker, apporte un premier élément de réponse à cette question essentielle. Ses études mettent en évidence, chez près de 14 % des malades hospitalisés pour un Covid-19 grave, un défaut de production ou d’action des interférons, qui participent à la défense immunitaire de première ligne face aux virus. Cette découverte pourrait à terme mener à un dépistage de ces malades, et à une évolution des traitements qui leur sont proposés. » LIRE AUSSI - Les jeunes adultes aussi peuvent présenter des formes graves «Dès le mois de février, nous avons émis l’hypothèse que le basculement dans une forme sévère n’était pas le fruit de la malchance, mais le résultat d’un déterminisme génétique et immunologique», indique le Pr Jean-Laurent Casanova, pédiatre et généticien, à la tête de ce projet de recherche international. Pour le vérifier, son équipe s’est lancée à la recherche de mutations génétiques susceptibles d’expliquer la variabilité des réactions individuelles lors d’une infection par le virus Sars-CoV-2. «Nous avons constitué un consortium international, réunissant un millier d’hôpitaux dans 50 pays», précise le scientifique. Des échantillons sanguins ont été recueillis auprès de milliers de malades hospitalisés en réanimation pour des pneumonies ou des défaillances respiratoires, mais aussi de patients asymptomatiques dans un groupe «contrôle» permettant une comparaison des résultats. Les scientifiques ont procédé à un séquençage du génome de chaque patient. Ils se sont tout particulièrement intéressés à 13 gènes, précédemment identifiés par le laboratoire comme prédisposant à des formes sévères de grippe. Cet examen a révélé chez 23 malades des mutations pouvant expliquer l’incapacité de leur organisme à produire des interférons de type I efficaces face au coronavirus. Ces molécules sont sécrétées dans les minutes qui suivent l’intrusion d’un virus dans une cellule. Leur rôle est de faire réagir la cellule infectée, de prévenir ses voisines, et donc de déclencher le processus de lutte contre le virus. Une réponse ultraprécoce qui permet de contenir la multiplication du virus. «C’est important car la gravité de la maladie est liée à l’intensité de la réplication virale, souligne le Pr Guy Gorochov, immunologiste à la Pitié-Salpétrière et chercheur à l’Inserm, qui a participé à ces études. Si l’organisme ne parvient pas à bloquer le virus très tôt, ce dernier va croître, infecter d’autres cellules et se disséminer dans l’organisme. Cela augmente le risque de réaction inflammatoire démesurée, et donc de forme grave.» Des anomalies sur ces 13 gènes perturbent la production d’interférons ou leur communication avec les cellules. C’est ce qui explique, chez 3,5 % des patients graves, une réponse immunitaire inefficace dès le début de l’infection. Ce pourcentage peut paraître très faible, mais les scientifiques estiment que le phénomène concerne une plus grande proportion de malades. Pas moins de «300 gènes ont un lien avec les interférons», explique en effet le Dr Laurent Abel, généticien et codirecteur du Laboratoire. Dans un deuxième article publié dans la revue Science, les scientifiques mettent au jour un autre mécanisme expliquant l’inefficacité des interférons. Plus inattendu, il concerne 10 % des patients souffrant de formes sévères de Covid-19. Eux n’ont aucune des mutations décrites plus haut, mais ils ont pour point commun de fabriquer des anticorps contre leurs propres interférons. «Autrement dit, l’organisme de ces malades empêche l’interféron d’approcher la cellule et d’envoyer son signal, ce qui entraîne là aussi une réplication incontrôlée du virus», précise le Pr Gorochov. Résultat intéressant: les scientifiques constatent que ces anticorps anti-interférons sont plus fréquents chez les hommes que chez les femmes. Selon le Pr Casanova, «ceci explique en partie la sévérité plus marquée de l’infection chez les hommes». Ils seraient aussi plus nombreux chez les patients âgés de plus de 65 ans. Ces études constituent une étape importante dans la compréhension des infections graves, et la mise au point de stratégies thérapeutiques. «Elles ouvrent la voie à des essais cliniques sur l’administration très précoce d’interférons de synthèse pour induire une réponse immunitaire, ou sur la plasmaphérèse afin d’enlever les anticorps anti-interférons dans le sang de ces malades», analyse le Pr Gorochov.
  14. "Ankara s'en prend à Pelosi, qui a cité la Turquie parmi les pays non-démocratiques" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/ankara-s-en-prend-a-pelosi-qui-a-cite-la-turquie-parmi-les-pays-non-democratiques-20200925 Ce qui est vraiment inquiétant pour la démocratie américaine, c'est l'ascension de Nancy Pelosi pour devenir présidente de la Chambre des représentants, compte tenu de sa flagrante ignorance», a tweeté le ministre turc des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu. «Vous allez apprendre à respecter la volonté du peuple turc», a-t-il ajouté à l'adresse de Mme Pelosi. LOL
  15. "Méditerranée: Erdogan appelle la Grèce à ne pas «gâcher» l'opportunité de dialogue" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/mediterranee-erdogan-appelle-la-grece-a-ne-pas-gacher-l-opportunite-de-dialogue-20200923 Le président turc Recep Tayyip Erdogan a appelé mercredi 23 septembre la Grèce à ne pas «gâcher de nouveau» l'opportunité de dialogue, alors que les deux pays ont opté pour l'apaisement dans la crise qui les oppose en Méditerranée orientale. » LIRE AUSSI - La pression retombe autour de la Grèce dans le face-à-face Macron-Erdogan Lors d'une visioconférence avec la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le chef de l'Etat turc a émis le souhait que «l'opportunité donnée à la diplomatie ne soit pas de nouveau gâchée par la Grèce», selon la présidence turque. Ankara et Athènes avaient annoncé mardi la prochaine reprise de négociations bilatérales après des semaines de tensions en Méditerranée orientale où les deux pays se disputent des zones potentiellement riches en gaz naturel. Pour le chef de l'Etat turc, les demandes «maximalistes» de la Grèce et de la République de Chypre, ainsi qu'une «volonté d'ignorer les droits de la Turquie et des Chypriotes turcs» sont à l'origine de la crise en Méditerranée. Le dernier round de «pourparlers exploratoires» visant à régler les différends entre Ankara et Athènes avait eu lieu en 2016. Erdogan, dont le pays accueille quelque quatre millions de réfugiés, essentiellement des Syriens, a par ailleurs appelé l'Europe à un partage «équitable de charges et de responsabilités» concernant les migrants. » LIRE AUSSI - Des navires et des soldats grecs sur le front de Kastellórizo : «Erdogan ne nous fait pas peur» Les plaintes concernant le «refoulement» par la Grèce des demandeurs d'asile et la nécessité pour l'UE d'enquêter sur ces allégations ont aussi été évoqués par le chef de l'Etat turc, selon la présidence turque. Ursula von der Leyen a estimé de son côté dans un tweet que son échange avec le président turc à propos «des développements en Méditerranée orientale et la migration» a été «très utile». La tension entre Ankara et Athènes s'était aggravée fin août, lorsque les deux pays ont effectué des manoeuvres militaires rivales. La crise est au programme d'un sommet européen qui a été reporté à début octobre, plusieurs pays, notamment la France - qui a pris fait et cause pour la Grèce dans cette crise -, ayant brandi la menace de sanctions contre la Turquie avant l'apaisement amorcé mardi.
  16. J'ai ça mais en terme de fiabilité des sources ( grecque et turque )j'ai un doute https://www.turquie-news.com/l-allemagne-pousse-la-grece-a-demilitariser-ses
  17. "La Turquie dénonce les sanctions de l'UE contre une entreprise turque dans le dossier libyen" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-turquie-denonce-les-sanctions-de-l-ue-contre-une-entreprise-turque-dans-le-dossier-libyen-20200922
  18. Je penses que ça ne vas pas durer longtemps, non plus, chez nous .... La saison va etre complexe. Le sportif c'est à la rigueur le moins grave, le plus compliqué sera la survie des clubs avec baisse de licenciés, baisse dès participations de sponsoring et des festivités avec nombre de participants plus limités....
  19. "Les sanctions contre Minsk ne doivent pas être liées à celles qui peuvent viser Ankara, selon Paris" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/les-sanctions-contre-minsk-ne-doivent-pas-etre-liees-a-celles-qui-peuvent-viser-ankara-selon-paris-20200921
  20. Pour nous vestiaires/:douches réouvert avec 3 personnes Max avec protocole de désinfection
  21. Ce serait bien dommage car dans bien des cas tes interventions permettent un reel debunkage de l'information
  22. On aura peut être bientôt une immunité de groupe dans la population des jeunes adultes alors https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/qu-est-ce-que-immunite-collective Qu'est-ce que l'immunité collective ? - Mis à jour le 9 septembre 2020 - Alors que l'épidémie de Covid-19 est actuellement en cours, il est important de faire un point sur l'immunité collective. Comment se calcule-t-elle ? A quoi sert-elle ? Voici quelques explications. L'immunité collective correspond au pourcentage d’une population donnée qui est immunisée/protégée contre une infection à partir duquel un sujet infecté introduit dans cette population va transmettre le pathogène à moins d’une personne en moyenne, amenant de fait l’épidémie à l’extinction, car le pathogène rencontre trop de sujets protégés. Cette immunité de groupe, ou collective, peut être obtenue par l’infection naturelle ou par la vaccination (s'il existe un vaccin bien entendu). Le niveau nécessaire pour passer ou rester sous le seuil d'immunité collective dépend du nombre de reproduction de base de la maladie (R0), c’est à dire du nombre moyen d’individus immunologiquement naïfs qu’un sujet va infecter après contact. Plus ce taux de reproduction de base est élevé, plus le pourcentage de sujets immunisés doit être élevé. Par exemple, le R0 de la grippe saisonnière = 2 ; de Covid-19 = 3,3 ; de la rougeole = 12-20. Le pourcentage de sujets immunisés nécessaire pour obtenir l’immunité collective est calculé comme suit : Immunité collective = 1 - 1/R0 Par conséquent, le calcul pour obtenir ce pourcentage permet d'obtenir les résultats suivants : 50 % pour la grippe, 70% pour Covid-19, 90 à 95 % pour la rougeole. Tout cela ne vaudra pour Covid-19, bien entendu, que si l’infection naturelle protège, ce qui n’est pour l'instant pas démontré, en particulier pour les sujets qui n’ont été que porteurs asymptomatiques. Enfin, le niveau d’immunité collective nécessaire pour stopper l’épidémie pourrait cependant être légèrement plus bas pour plusieurs raisons, notamment : si le nombre de contacts avec les autres est très différent selon les personnes au sein d’une même population ; si les enfants de moins de 10-12 ans sont moins susceptibles à l’infection par le nouveau coronavirus ; s’il existe une protection croisée avec les coronavirus saisonniers.
  23. C'est en pleine zone kurde. C'est suite aux accrochages avec les MP russes ?
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