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Tout ce qui a été posté par NUBEALTIUS

  1. La traduction du turc en français donne la même traduction que du turc en anglais à prendre au sens littéral
  2. "Syrie : l'ONU évoque des crimes de guerre dans les zones sous contrôle turc" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/syrie-l-onu-evoque-des-crimes-de-guerre-dans-les-zones-sous-controle-turc-20200918
  3. C'est bien pour ça que j'ai précisé "un sytème "
  4. Puis c'est aussi un gros appel du pied à l'Allemagne qui a vu un redéploiement de force US hors ses frontières sous l'impulsion de Trump. Angela attend certainement des jours meilleurs après les élections US, mais ça donne aussi une alternative. Sans compter le départ de UK de l'UE qui representait avec la France le potentiel de projection militaire de l'UE
  5. C'est surtout essayer de forcer la création d'un système de défense européenne autonome ne dépendant pas systématiquement de l'OTAN. C'est l'occasion de démontrer à certain pays retissant que c'est possible avec petite démonstration à l'appuie
  6. "«Face à la menace turque, la France s’engage sur la voie de l’indépendance géostratégique»" : http://www.lefigaro.fr/vox/monde/face-a-la-menace-turque-la-france-s-engage-sur-la-voie-de-l-independance-geostrategique-20200917
  7. "Méditerranée : Erdogan s'en prend à Macron le qualifiant d'«ambitieux incapable»" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/mediterranee-erdogan-s-en-prend-a-macron-le-qualifiant-d-ambitieux-incapable-20200917 Le président turc Recep Tayyip Erdogan s'en est pris jeudi à son homologue français Emmanuel Macron, le qualifiant d'«ambitieux incapable» en raison de son ferme soutien à la Grèce dans la crise qui l'oppose à la Turquie en Méditerranée orientale. » LIRE AUSSI - Quelle est la source des tensions entre la Grèce et la Turquie qui menacent la sécurité régionale? Lors d'une vidéo conférence avec les dirigeants locaux de son parti, le président turc a justifié sa politique étrangère musclée et s'en est pris particulièrement au chef de l'État français qui a multiplié récemment les critiques à son encontre. «Pourquoi la Turquie est-elle en Syrie, en Libye, en Méditerranée orientale, se demandent certains. (...) Si la Turquie renonce à tout, la France pourrait-elle se débarrasser du désordre que l'ambitieux incapable qui la dirige a provoqué et embrasser une politique de bon sens?», a-t-il affirmé. Les relations entre Paris et Ankara se sont considérablement détériorées ces dernières semaines en raison du soutien apporté par la France à la Grèce dans le conflit qui l'oppose à la Turquie en Méditerranée orientale. La Turquie revendique le droit d'exploiter des gisements d'hydrocarbures dans une zone maritime qu'Athènes estime relever de sa souveraineté. Les deux pays ont montré leurs muscles à coups de déclarations martiales, de manœuvres militaires et d'envois de navires sur zone. La France a clairement affiché son soutien à la Grèce en déployant des navires de guerre et des avions de combat dans la région, une initiative vivement dénoncée par le président turc. Le ton entre les deux pays est monté la semaine dernière lorsque le chef de l'État français a déclaré que «le peuple turc qui est un grand peuple mérite autre chose», dans une apparente allusion aux actions du gouvernement turc et leurs conséquences. M. Erdogan a aussi accusé jeudi les pays de la région et l'Union européenne de tendre «les pièges» envers à la Turquie et d'avoir leurs propres «calculs» concernant la région. «Avec le soutien de notre nation, nous allons continuer à faire ce qui est bon, juste et bénéfique pour notre pays», a-t-il déclaré. » À VOIR AUSSI - Erdogan va-t-il provoquer une guerre en Méditerranée ?
  8. C'est un livre rouge à la place de livre blanc ?????
  9. "L'hydroxychloroquine est-elle très utilisée dans le monde, comme l'affirme Didier Raoult ?" : http://www.lefigaro.fr/sciences/l-hydroxychloroquine-est-elle-tres-utilisee-dans-le-monde-comme-l-affirme-didier-raoult-20200917 <strong>LA VÉRIFICATION</strong> - Le professeur marseillais a assuré devant les sénateurs que 4,6 milliards de personnes vivent dans un pays où ce traitement est recommandé contre le Covid. Vraiment ? LA QUESTION. Comme il l'avait déjà fait au mois de juin devant la commission parlementaire sur la gestion de la crise sanitaire, le Pr Didier Raoult a de nouveau défendu l'intérêt de l'hydroxychloroquine contre le Covid-19 lors de son audition au Sénat mardi, quand bien même l'immense majorité des médecins s'accordent aujourd'hui à dire que la molécule n'est pas efficace contre la maladie. En réponse au sénateur et médecin Bernard Jomier qui a égrainé une longue liste des pays déconseillant désormais l'utilisation de ce traitement contre le Covid - liste que le chercheur marseillais a récusée -, il a ainsi fait valoir que «4,6 milliards de gens vivent dans des pays dans lesquels on recommande l'hydroxychloroquine». Avant de lancer peu après : «les publications sur l'usage de l'hydroxychloroquine montrent que ça diminue entre 30 et 50% la mortalité ; elles sont en train de s'accumuler, ça n'arrête pas de sortir, il en sort tous les jours, vous verrez bien !» Qu'en est-il ? Dans quels pays ce traitement est-il effectivement recommandé ? Que dit la science sur son efficacité ? VÉRIFIONS. Souvenons-nous : le 27 mai dernier, un décret avait conduit à l'interdiction de prescrire cette molécule à l'hôpital et en ville en dehors des essais cliniques en France. La mesure avait provoqué la colère de certains médecins généralistes comme d'une partie de la population. Mais la France n'est pas le seul pays à déconseiller l'hydroxychloroquine comme traitement du Covid. Les États-Unis, l'Italie, l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Espagne, la Belgique, les Pays-Bas, la Corée du Sud, le Japon, l'Israël, le Canada, l'Afrique du Sud, le Brésil, le Chili, la Colombie, le Mexique, l'Argentine, la Côte d'Ivoire, l'Indonésie, l'Australie... La liste des pays où l'hydroxychloquine n'est pas (ou plus) recommandée par les autorités sanitaires locales - et ce quelle que soit la gravité de l'infection - est longue. Même la Chine, qui a pourtant été le premier pays à s'y intéresser, déconseille désormais formellement l'utilisation d'hydroxychloroquine, avec ou sans azithromycine (un antibiotique), dans ses dernières recommandations publiées fin août. Idem pour l'Organisation mondiale de la Santé et l'Agence européenne du médicament. Une minorité de pays continue toutefois à autoriser ce traitement pour les personnes atteintes du Covid. C'est le cas du Maroc, du Sénégal, ou encore de l'Iran par exemple. Dans d'autres pays, comme en Algérie et en Tunisie, les recommandations ne sont pas claires. Reste que sur les cinq États les plus peuplés au monde - dont l'Union européenne - seul un recommande encore l'hydroxychloroquine : l'Inde. Si ce traitement était vraiment efficace, pour quelle raison ces pays, qui sont pour la plupart de grands acteurs en matière de recherche médicale, le refuseraient à leur population ? L'hypothèse selon laquelle la firme pharmaceutique Gilead exercerait une pression pour éclipser l'hydroxychloroquine au profit de son médicament coûteux, le remdesivir, ne tient plus. Selon une information révélée le 16 septembre par l'Agence de presse médicale (APM news), Gilead vient de retirer sa demande de remboursement du remdesivir en France. Et pour cause: le médicament n'a pas fait la preuve de son efficacité contre le Covid, comme l'a rappelé mardi devant les sénateurs l'infectiologue Yazdan Yazdanpanah, accusé de conflits d'intérêts avec Gilead par Didier Raoult en juin dernier. Il faut en venir à l'évidence : si l'hydroxychloroquine n'est plus utilisée dans la majorité des pays, c'est parce qu'elle n'a pas montré d'efficacité contre le Covid. Sur une centaine d'études réalisées depuis le mois de février, seules une dizaine ont été faites dans les règles de l'art (randomisation des patients, distribution du traitement en double aveugle). «Elles sont unanimes: l'hydroxychloroquine n'est pas efficace, que ce soit en prévention, au début de la maladie, en traitement des formes peu sévères ou très graves, avec ou sans azithromycine», rapporte Matthieu Roustit*, professeur de pharmacologie et responsable de l'unité de pharmacologie clinique au CHU de Grenoble. Au contraire, «elle est associée à une augmentation de la durée d'hospitalisation et à un risque accru du recours à la ventilation mécanique invasive ou le décès», souligne la Société française de pharmacologie et de thérapeutique, qui tient à jour un état des lieux des connaissances. L'affirmation selon laquelle l'hydroxychloroquine diminuerait de 30 à 50% la mortalité est donc totalement fausse. » LIRE AUSSI - «Pr Raoult: les conflits d’intérêts ont-ils coulé la chloroquine?» «En revanche, quand on regarde les études à risque de biais extrême, qui sont plutôt des études observationnelles dont font partie les études conduites à l'IHU de Marseille, là on trouve des effets positifs mais il y a des biais majeurs», expliquait mardi aux sénateurs Dominique Costagliola, directrice de recherche à l'Inserm. Pour évaluer l'efficacité d'un traitement, il n'y a pas 36 manières de faire : il faut prendre deux groupes de personnes homogènes, donner au hasard à l'un le traitement d'intérêt, à l'autre un placebo (ou bien le traitement de référence). Sans cela, comment savoir si l'effet observé est bien attribuable au médicament ou à autre chose ? Surtout dans une maladie comme le Covid-19 dont on guérit spontanément dans l'immense majorité des cas ? Ce principe ne date pas d'hier. Au début du 19e siècle, le médecin français Claude Bernard l'avait déjà adopté, comme le rappelle la revue Prescrire (seule revue médicale indépendante en France) dans son dernier numéro: «Un médecin qui essaye un traitement et qui guérit ses malades est porté à croire que la guérison est due à son traitement. Tous les jours on peut se faire les plus grandes illusions sur la valeur d'un traitement si on n'a pas recours à l'expérience comparative. » Comme il l'a expliqué aux sénateurs, Didier Raoult refuse catégoriquement d'appliquer cette méthode. «Comme médecin moi je ne peux pas dire à un malade : 'écoutez je vais vous donner un truc, je ne sais pas s’il y a un traitement dedans ou pas et je vais vous tirer au sort'. Je ne sais pas le faire. Je n'ai jamais su le faire et je ne le ferai pas». Un argument a priori louable, si l'on part du principe que le médicament est efficace. Mais quand on ne sait pas ? Selon Matthieu Roustit, «ce qui n'est pas éthique, c'est d'exposer des malades à des traitements qui ne sont pas validés, qui comportent potentiellement des risques, surtout si le bénéfice est nul, même dans une situation d'urgence». Avec cette logique, n'importe quel laboratoire pharmaceutique pourrait donc mettre sur le marché un nouveau médicament, sans avoir fait la preuve de son efficacité et de son innocuité. Ce serait à la fois absurde et dangereux. » LIRE AUSSI - L'hydroxychloroquine est «inutile» contre le Coronavirus, selon un essai clinique majeur De l'avis de tous les scientifiques (sans exception) que nous avons interrogés ces six derniers mois, les études menées à l'IHU sur l'hydroxychloroquine sont inexploitables. L'un des derniers exemples en date : une étude (non randomisée, sans double aveugle) chez des résidents d'Ehpad. Le taux de mortalité est moins important chez les patients traités par le cocktail azithromycine et hydroxychloroquine. Mais comme l'étude ne précise pas le profil des patients traités (proportions de femmes qui, on le sait, sont moins à risque que les hommes, âge, comorbidités etc.), il est en réalité impossible de conclure quoi que ce soit... Dernier point : même si l'hydroxychloroquine est un vieux médicament, cela ne veut pas pour autant dire qu'il ne comporte pas d'effets indésirables. «La majorité des études montrent un surcroît d'effets indésirables chez les patients traités, même si ceux-ci ne sont pas forcément graves», souligne le pharmacologue. Au premier semestre 2020, l'Agence française de sécurité du médicament (ANSM) a tout de même enregistré 192 cas d'effet indésirables graves (notamment cardiaques) imputés à l'hydroxychloroquine, dont 7 décès. C'est plus que pour n'importe quel médicament testé contre le Covid, comme le montre un rapport publié fin mai. Une absence de bénéfice d'un côté, des effets indésirables rares mais potentiellement graves de l'autre : «il n'y a pas lieu de continuer à faire des études avec l'hydroxychloroquine, avec ou sans azithromycine, dans la Covid», assène Dominique Costagliola. *Matthieu Roustit déclare n'avoir aucun lien d'intérêt avec l'industrie pharmaceutique. U
  10. https://www.google.fr/amp/s/mobile.francetvinfo.fr/monde/turquie/presidentielle-turque-qui-a-vote-pour-qui-en-france_2818739.amp En France, il a obtenu 65,3% des suffrages, soit 77 289 voix. Le président turc sortant, Recep Tayyip Erdogan, réélu dès le premier tour, dimanche 24 juin, a été plébiscité par la diaspora turque de l'Hexagone, selon le quotidien turc Hurriyet (en anglais). Taux de participation estime à 50% https://www.rtbf.be/info/monde/detail_la-diaspora-turque-a-majoritairement-vote-pour-erdogan-avec-de-grandes-disparites-entre-pays?id=9955048 en Belgique Près de 91,5% des votes ont été dépouillés, et l'actuel président turc est crédité de 59,6%, une victoire plus nette qu'en Turquie, où il obtient 52,6% des voix (99,7% des urnes dépouillées). Le taux de participation domestique a atteint les 86,3%, mais il est bien plus bas à l'étranger où il frôle les 50%. https://www.courrierinternational.com/article/vu-dallemagne-linquietant-succes-derdogan-dans-la-diaspora-turque S’ils n’ont été qu’un sur deux [parmi 1,4 million d’inscrits] à se déplacer jusqu’au bureau de vote, les électeurs de la communauté turque en Allemagne ont néanmoins apporté un soutien écrasant à Recep Tayyip Erdogan [avec 64,8 % des suffrages] et à son parti nationaliste islamiste, l’AKP [avec 55,7 %]. Les chiffres par pays : https://www.hurriyet.com.tr/secim/24-haziran-2018-secimleri/yurtdisi-cumhurbaskanligi-secim-sonuclari et là pour te donner un ordre d'idée à quoi correspond le taux de participation global des français de l'étranger a la dernière présidentiel est de 44% Donc non on est pas dans une "participation très minoritaire"
  11. Ou si je parlé de centaine de milliers ?????
  12. C'est d'ailleurs pour ça qu'ils ont soutenu majoritairement Erdogan aux dernières élections turques avec des taux de votes pour l'AKP ou Erdogan supérieur à la Turquie^^ .....œillères.....
  13. Un prise de conscience tardive par nos politique, ou plus tôt un refus de voir certaine chose. Cela ne va peut pas changer grand chose mais les annonces de PR au sujet du séparatisme et du communautarisme vise directement cette problématique
  14. Dans une communauté tu vas rarement à l'encontre de celle-ci. Au risque d'être catalogué comme non fréquentable, voir un dangereux opposant avec les éventuelles répercussions lors du retour au pays. C'est une communauté fonctionnant en grande autonomie et très fermé. Donc oui tu peux avoir des non croyant mais il est quand même de bon ton d'aller à la mosquée entendre la bonne parole en provenance de Turquie ( la diyanet) il faut avoir en tête que même les propos de la diaspora sur les réseaux sociaux sont surveillés
  15. Dans la diaspora tu as intérêt d'être religieux pour ne ne pas être désigné comme un mauvais turque. Une collègue d'origine turc classait ses compatriotes sur le fait qu'ils aillent ou non à la mosquée ( turque bien sûr )..... ça en dit long. "Méditerranée: Erdogan pour un dialogue avec «une approche constructive»" : http://www.lefigaro.fr/international/mediterranee-erdogan-pour-un-dialogue-avec-une-approche-constructive-20200916 Le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé mercredi 16 septembre que le différend avec la Grèce en Méditerranée orientale pouvait être réglé par un dialogue «constructif» tout en affichant sa détermination à défendre les intérêts de la Turquie dans cette zone. » LIRE AUSSI - Quelle est la source des tensions entre la Grèce et la Turquie qui menacent la sécurité régionale? Lors d'une vidéoconférence avec la chancelière allemande Angela Merkel dont le pays joue les intermédiaires entre la Turquie et la Grèce, Erdogan a affirmé que «les désaccords en Méditerranée orientale peuvent être résolus à travers des négociations, pourvu qu'elles soient menées avec une approche constructive basée sur l'équité», selon la présidence turque. Mais il a aussi assuré que son pays «continuera à mettre en oeuvre une politique déterminée et active pour défendre ses droits» dans ce secteur, selon la même source. La Turquie et la Grèce se disputent des zones en Méditerranée orientale potentiellement riches en gaz naturel. La tension s'était aggravée fin août, lorsque les deux pays ont effectué des manoeuvres militaires rivales. La crise est au programme d'un sommet européen les 24 et 25 septembre à Bruxelles. La Grèce est soutenue dans cette crise par plusieurs pays européens, notamment la France. Ankara a assuré lundi que le retour au port la veille d'un de ses navires de recherche déployé en Méditerranée orientale, l'Oruc Reis, au centre de tensions avec la Grèce, était motivé par des travaux de maintenance de routine et ne constituait pas une reculade. À VOIR AUSSI - Erdogan va-t-il provoquer une guerre en Méditerranée ? Mercredi, Ankara a prolongé jusqu'au 12 octobre les travaux de recherche menés par un autre navire turc, le Yavuz, au large de Chypre malgré les protestations internationales. En visite à Nicosie, le président du Conseil européen Charles Michel a exprimé mercredi l'engagement de l'Union européenne à défendre les droits de Chypre dans son bras de fer avec la Turquie à propos des droits d'exploration gazière en Méditerranée. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a pour sa part mis en garde la Turquie mercredi contre toute tentative d'«intimidation» de ses voisins dans le conflit gazier en Méditerranée orientale.
  16. La vidéo : https://m.facebook.com/haiastan.fr/videos/360385631633049/
  17. Ça je le souhaite sincèrement. Mais cela risque de prendre des années et avec un risque en cas d'intégration à l'UE de retour en arrière en terme de politique intérieure turque, Est ce que ça vaut la peine de tenter le diable ? On a déjà beaucoup de mal à piloter l'UE à 27 et les dernières tension vont laisser des traces indélébiles. On donne des milliards à la Turquie pour préparer ce pays à l'adhésion à l'UE et n'on sait même pas comment sont réellement utilisé ces fonds. N'est ce pas le moment de claquer la porte au nez à la Turquie en mettant tout sur le dos de Erdogan ?
  18. Penses tu vraiment que même si Erdogan passait l'arme à gauche cela changerait du jour au lendemain ce qui a été semé pendant 20 ans d'AKP et un nationaliste latant depuis le début du 20 eme siècle ? Si c'est ce qu'attend L'Allemagne c'est sacrément optimiste non ?
  19. on ne peut pas dire que l'allamagne aura marqué un soutien clair et franc à l'intervention de la France dans les tensions en MEDOR. Certainement plus simple de se poser en médiateur et limiter les risques. Pour l'instant on est quand même dans les discours et grandes propositions sans passage à l'acte. Les tensions semblent retomber avec la Turquie mais c'est juste la fin du premier acte pour Erdogan. Je jugerais de la fiabilité de l'Allemagne envers la défense des pays membres de l'Europe dans les actes suivants. l'europe parlez 27 mais avec un élan donné par moteur franco/allemand . Ou alors ce moteur Franco allemand n'existe pas dans l'UE cadre de la politique étrangère de l'UE.
  20. «Face à Erdogan, la France ne peut plus compter sur l’Otan, ni sur l’Allemagne» Paul Sugyle 15/09/2020 à 12:08 FIGAROVOX/ENTRETIEN - Pour l’essayiste, Hadrien Desuin, la crise en Méditerranée opposant la Grèce et la Turquie révèle que la France ne peut plus compter sur l’Otan dont la Turquie est membre ni sur l’Allemagne pour protéger les frontières maritimes de l’Europe. Publié , mis à jour le 15/09/2020 à 17:59 Le navire turc Oruç Reis. AFP Hadrien Desuin est responsable des questions internationales à la fondation du pont-neuf. FIGAROVOX.- La France a-t-elle raison de soutenir résolument la Grèce et Chypre face à la Turquie, au risque de compromettre ses relations avec l’Allemagne? Hardien DESUIN.- En ces temps difficiles, nous avons la flatteuse impression que la France sauve l’honneur de l’Europe. Les pays du nord et de l’est du continent sont aux abonnés absents, obnubilés qu’ils sont par leur désir de refouler la Russie avec l’aide des États-Unis. Dans cette traditionnelle rivalité américano-russe, la Turquie se situe habilement entre les deux. Forte de cette position centrale, elle se permet de jouer les matamores en Méditerranée avec une arrogance vis-à-vis de la France inédite. Elle devrait toutefois se rappeler que, si ses forces conventionnelles sont peut-être quantitativement supérieures aux nôtres, la France est une puissance nucléaire qui ne supportera pas d’être agressée. » LIRE AUSSI - «Erdogan veut rentrer dans l’histoire comme celui qui parachève la conquête de 1453» La Turquie viole régulièrement et systématiquement la souveraineté maritime et terrestre de la Grèce et de Chypre, exactement comme la Chine viole la souveraineté de ses voisins en mer de Chine orientale. L’Asie du Sud-est peut nous paraître légitimement éloignée, mais la Méditerranée nous concerne directement. Si la France et ses alliés méditerranéens n’agissaient pas maintenant, on laisserait progressivement la Turquie s’autoproclamer gardienne de nos frontières maritimes. Or la liberté et le droit en Méditerranée ne peuvent pas être concédées à un autocrate islamiste en pleine dérive nationaliste et religieuse. L’Allemagne cherche une position d’arbitre qui n’est d’aucune utilité dans ces moments de tensions extrêmes où l’Europe joue sa survie et sa crédibilité. L’Allemagne est depuis 1945, une puissance pacifiste et c’est heureux. Ne cherchons pas à tout prix à la remilitariser. Elle est malheureusement otage de sa forte minorité turque. Si d’aventure, elle s’alignait sur la diplomatie militaire française, Angela Merkel mettrait le feu à ses propres terres. Il se trouve que Berlin préside pour six mois l’Union européenne et que la présidente de la commission européenne est une ancienne ministre de la défense allemande, très proche de Merkel. C’est un autre élément à prendre en compte. L’Allemagne cherche une position d’arbitre qui n’est d’aucune utilité dans ces moments de tensions extrêmes où l’Europe joue sa survie et sa crédibilité. Au contraire, renvoyer dos à dos la France et la Turquie est un mauvais coup de la part de nos alliés allemands. Mais au moins cette crise permet-elle de reconnaître qui sont nos vrais amis et sur qui on peut compter en cas de coup dur. Certainement pas l’OTAN, dont la Turquie est membre. Est-ce un nouveau coup porté au projet d’une diplomatie européenne? Il n’y a jamais eu de diplomatie européenne proprement dite. Il ne peut d’ailleurs pas en avoir. Des coalitions ad hoc sur tel ou tel sujet ou tel ou tel programme sont possibles et souhaitables comme l’excellente initiative française Med 7 l’a montré samedi à Ajaccio. Mais n’oublions jamais que la construction européenne a renoncé à toute ambition stratégique dès sa fondation. Elle s’est même construite pour cela. Son objectif, dès la fin des années 40, est de maintenir la puissance américaine sur son sol, justement pour ne plus jamais avoir à connaître ou faire la guerre. Hormis la France du général de Gaulle, les autres pays européens se sont mis d’accord pour déléguer leur direction politique et militaire à leur envahissant protecteur américain. L’impensée de l’Union européenne, c’est que les États-Unis puissent nous laisser à notre sort comme ils l’avaient fait en 1914 et en 1940. Or l’Amérique se lasse depuis des décennies d’assurer sa coûteuse tutelle en Europe. Bien qu’elle en profite pour refouler la puissance militaire russe, elle voudrait plus d’argent et moins de discussions avec les alliés. Si nous laissions Erdogan avancer, ne serait-ce que de quelques kilomètres, c’est toute la Méditerranée et les Balkans qui pourraient basculer. Faut-il prendre au sérieux les menaces d’Erdogan? Erdogan est un pur populiste. Il a toujours fonctionné à l’invective et à l’outrance publique pour conserver sa popularité dans les classes populaires. Or il se trouve en difficulté sur à peu près tous les fronts, 20 ans après son arrivée au pouvoir. Ses conquêtes en Syrie et ses opérations en Libye sont un défouloir, plus ou moins réussi, qui a pour but de détourner l’opinion publique des échecs économiques et politiques de son président. Au passage, Erdogan fait miroiter un destin grandiose à son peuple , celui de lui redonner le poids qu’il avait à son apogée, au XVIème siècle. Or la livre turc est au plus bas, il a perdu la municipalité d’Istanbul, son ancien premier ministre et conseiller diplomatique, Ahmet Davutoglu attaque son bilan et son hégémonie. Erdogan est donc de plus en plus dépendant de la frange la plus nationaliste et la plus extrémiste de la politique turque, le MHP, et en arrière plan, les très influents « Loups gris ». Erdogan est donc de plus en plus dépendant de la frange la plus nationaliste et la plus extrémiste de la politique turque, le MHP, et en arrière plan, les très influents «Loups gris». Cet islamo-nationalisme turc qui exalte à la fois la grandeur du califat ottoman mais aussi l’unité et la centralisation militaire construite sous Mustafa Kemal, est évidemment à prendre avec le plus grand sérieux. Il ne faut pas minimiser ce que le président turc a fait de Sainte-Sophie et de Saint-Sauveur. L’islamisation de l’Europe est son programme. L’épuration ethnique et religieuse en Turquie a connu des précédents avec les Arméniens, les Grecs et les Kurdes. Si nous laissions Erdogan avancer, ne serait-ce que de quelques kilomètres, c’est toute la Méditerranée et les Balkans qui pourraient basculer.
  21. https://www.google.fr/amp/s/m.20minutes.fr/amp/a/2862279 PROCES Ain : Un extrémiste pro-Turquie jugé pour « appel à la haine et incitation à la violence » Le 24 juillet, la communauté arménienne de Décines organisait un rassemblement qui a été perturbé par l’arrivée de plusieurs militants turcs armés de barres de fer Un rassemblement de la communauté arménienne, organisé dans le Rhône, a été perturbé cet été par des militants pro-Turquie, venus en découdre avec des barres de fer. Si la situation a été maîtrisée par la police, quatre suspects ont été arrêtés. L’un d’eux, soupçonné d’être l’instigateur du mouvement, sera jugé jeudi dans l’Ain pour « incitation à la haine ». La communauté arménienne de Décines-Charpieu, près de Lyon, n’avait jamais vu ça. Le 24 juillet, des extrémistes pro- Turquie armés de barres de fer ont voulu attaquer ses membres et cela a failli dégénérer. Ahmet Cetin, l’un d’entre eux sera jugé jeudi devant le tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse pour « incitation à la violence ou à la haine raciale ». L’homme, interpellé le 17 août dans l'Ain, où il réside, comparaîtra libre. Ce 24 juillet, les assaillants se sont mis à crier « Où sont les Arméniens ? Où sont les Arméniens ? », raconte à l’AFP Raffi Tanzilli, président régional du Comité pour la défense de la cause arménienne (CDCA). Et d’ajouter : « Franchement, j’ai organisé de nombreux rassemblements et manifestations, mais là j’ai vraiment eu peur que ça tourne en bataille rangée ». « Loups gris » Cinq cents personnes, dont une poignée d’élus, avaient été réunies à Décines (Rhône) par le CDCA pour protester contre « l’agression turco-azerbaïdjanaise » à la frontière nord-arménienne, théâtre de plusieurs affrontements meurtriers cet été. Sur la place, le rassemblement a vite été troublé par des détonations de mortiers. Puis les participants ont reçu des appels les prévenant d’une menace : l’arrivée, à deux rues de là, de « Loups gris », surnom des ultranationalistes turcs. Plusieurs témoins racontent avoir vu des militants masqués, munis de barres à mine et d’armes blanches, mais le dispositif policier, mis en place, a permis d’empêcher la confrontation avec des jeunes d’origine arménienne, eux aussi prêts à en découdre. Quelques véhicules sont endommagés et la vitrine d’une cordonnerie arménienne visée par des tirs de mortiers, mais la catastrophe a été évitée. L’affaire, largement passée sous les radars de la presse nationale, s’est soldée par l’interpellation de quatre militants pro Turquie. Ces derniers ne seront pas poursuivis, regrette la communauté arménienne. Confirmation n’a pu être obtenue du parquet. Le présumé instigateur, ex-candidat aux législatives de 2017 Mais, rapidement, un des initiateurs de cette « descente » anti-arménienne a été identifié. Natif d’Oyonnax, Ahmet Cetin, farouche partisan du président Recep Tayyip Erdogan, multipliait depuis plusieurs mois les appels anti-kurdes et anti-arméniens sur les réseaux sociaux, et il s’est filmé même ce 24 juillet dans les rues de Décines. Dans une autre vidéo, filmée le même jour par un riverain, on l’entend donner instruction à ses camarades de « jeter (leurs) couteaux » à la vue des forces de l’ordre. A l’appui de la plainte du CDCA, figure notamment une vidéo récente où il affirme en turc : « Que le gouvernement me donne 2.000 euros et une arme, et je ferai ce qu’il y a à faire où que ce soit en France ». « On a engagé des poursuites parce qu’on est extrêmement préoccupé, confie Jules Boyadjian, président du CDCA. Les «Loups gris» prennent de nombreuses initiatives en Europe. On l’a récemment vu en Autriche et en Allemagne. Une action décomplexée provoquée par Erdogan, qui appelle à demi-mot des partisans à l’étranger à la confrontation. » Ex-candidat aux élections législatives 2017 dans l’Ain sous l’étiquette du Parti égalité et justice proche d’Erdogan, Ahmet Cetin a été condamné en 2018 à trois ans d’inéligibilité par le Conseil constitutionnel pour ne pas avoir déposé de comptes de campagne. A Bourg-en-Bresse, il risque cette fois un an de prison ferme.
  22. Hééééé les copains !!!!! "Didier Raoult s’emporte devant le Sénat" : http://www.lefigaro.fr/politique/didier-raoult-s-emporte-devant-le-senat-20200915 RÉCIT - Le professeur marseillais a refusé la confrontation avec deux scientifiques contradicteurs. L’audition de Didier Raoult devant la commission d’enquête du Sénat était très attendue. Elle s’est révélée une fois de plus assez étrange, comme souvent avec le professeur marseillais. L’absence de contradicteurs spécialisés n’a pas aidé. À l’origine, les sénateurs espéraient pouvoir le faire débattre avec l’éminente épidémiologiste Dominique Costagliola et l’infectiologue Yazdan Yazdanpanah, membre du Conseil scientifique. Las, le microbiologiste a refusé. «Il y a des limites à ma convivialité», a-t-il expliqué lors de son propos liminaire. «Je vous demande de me pardonner de ne pas parler avec des gens qui m’insultent», faisant implicitement référence à une tribune l’accusant (sans le nommer directement, mais l’attaque est très clairement dirigée contre lui) de fraude dans Libération, cosignée par la première. «Je n’ai jamais fraudé de ma vie», a-t-il soutenu devant les sénateurs, reconnaissant que «des erreurs sont passées», et qu’il devait y avoir «2 à 4 % d’erreurs dans les papiers que j’ai faits (3 500 publications selon son propre décompte, NDLR)». L’audition s’est ensuite poursuivie dans son style désormais caractéristique, mélangeant les précisions techniques inutilement détaillées (pour impressionner son auditoire néophyte?), la fausse modestie («je ne suis qu’un pauvre humain», «je suis un être très pragmatique et pratique», «vous n’avez qu’un pauvre professeur marseillais devant vous», etc.) et les accusations, à la fois vagues et sévères (souvent légitimes) sur la gestion de la crise sanitaire par les autorités (en particulier le retard pris dans les capacités de dépistage). » LIRE AUSSI - Covid-19: «Je ne sais pas ce que le virus va devenir», dit Raoult La recette est ensuite un peu toujours la même: prétendre qu’il est le seul en France (voire dans le monde…) à avoir observé vraiment les malades, à disposer de chiffres fiables sur l’épidémie et la symptomatologie, et à essayer de soigner les gens. Des milliers de médecins en France manquent de s’étrangler à chaque fois, ou le font sur les réseaux. À l’écouter, il serait le premier à avoir découvert que l’anosmie et l’agueusie sont de symptômes très spécifiques du Covid-19 ; que la maladie est liée à de nombreux problèmes de coagulation ; que l’hypoxie des patients ne s’accompagne souvent pas de la gêne respiratoire que l’on constate habituellement dans les syndromes de détresse respiratoire aiguë traditionnels ; etc. Sans personne pour le corriger ou le bousculer parmi les rapporteurs du Sénat, Didier Raoult développe son laïus, justifie de n’avoir pas mené d’essai en double aveugle sur son traitement «miracle», la combinaison hydroxychloroquine et azithromycine, au motif qu’il ne se verrait pas donner un potentiel placebo à un malade alors qu’il a un traitement qui marche. Sauf que ce traitement, justement, ne fonctionne pas si bien que ça. » LIRE AUSSI - Covid-19: les hôpitaux risquent-ils d’être saturés? Le sénateur Bernard Jomier (PRG), médecin généraliste de formation, a tout de même le courage de poser la question qui fâche. Pourquoi les autorités sanitaires de si nombreux pays déconseillent-elles massivement l’hydroxychloroquine (États-Unis, Grande-Bretagne, Italie, Belgique, Allemagne Brésil, Portugal, Chine, Japon, Australie, Canada, Suisse, Corée du Sud)? Raoult s’énerve. «Vous avez des informations avec lesquelles je ne suis pas d’accord. (…) Vous ne pouvez pas me dire à moi que vous savez mieux que moi. (…) Chacun son métier, les vaches seront bien gardées.» À tort ou à raison, le Conseil scientifique mis en place par le président de la République pour éclairer les décisions gouvernementales sur le Covid-19 a été l’objet de nombreuses critiques. Entendu par la commission d’enquête du Sénat lundi, son président Jean-François Delfraissy a plus que tout autre fait les frais de ces attaques répétées. S’il ne s’en est pas plaint devant les sénateurs, assurant «avoir les épaules» pour les encaisser, il a tenu à rappeler que l’instance était «collégiale». Il avait d’ailleurs choisi d’être accompagné de plusieurs membres lors de cette audition, qui ont chacun eu un temps de parole. Le Pr Delfraissy a rappelé en préambule que le Conseil ne constituait en aucun cas un nouveau «pouvoir médical» qui viendrait concurrencer les pouvoirs législatif, judiciaire ou exécutif. «Nous ne décidons rien, c’est le politique qui décide», a-t-il martelé, soulignant l’indépendance et l’autonomie dont le Conseil avait bénéficié. Par ailleurs, «nous ne sommes pas une structure pérenne», a-t-il argumenté, soulignant que le comité, mis en place par le politique, avait souhaité sa propre dissolution le 9 juillet. Ce n’est qu’à la demande expresse des parlementaires que les scientifiques ont accepté de poursuivre leur mission, avec une date butoir fixée actuellement au 30 octobre. Masques, dépistage, immunité, gouvernance le président du Conseil scientifique n’a éludé aucune question, constatant que la France «n’était pas prête à afronter un tel tsunami». Il a fallu «construire une doctrine, une philosophie, en se fondant autant que faire se peut sur des données scientifiques.» Données qui n’étaient pas nécessairement disponibles au début de la crise. «La science se construit avec des incertitudes», a-t-il justifié. «Deux pas en avant, un pas en arrière, il y a des hésitations.» Ce qui a légitimement pu nourrir chez certains l’impression que l’on ne savait pas bien où on allait. Ce qui n’était pas complètement faux, loin de là.
  23. "Prix Nobel de la Paix: «Les succès diplomatiques de Trump sont en général sous-estimés»" : http://www.lefigaro.fr/vox/monde/prix-nobel-de-la-paix-les-succes-diplomatiques-de-trump-sont-en-general-sous-estimes-20200911 "Proposé pour le Nobel de la paix par un élu norvégien, Trump est ravi" : http://www.lefigaro.fr/international/propose-pour-le-nobel-de-la-paix-par-un-elu-norvegien-trump-est-ravi-20200910 ce monde part en sucette ..... "Trump reconnaît qu'il s'entend mieux avec les dirigeants «durs et méchants»" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/trump-reconnait-qu-il-s-entend-mieux-avec-les-dirigeants-durs-et-mechants-20200914
  24. Est ce que le Shom prend en compte les ZEE ?
  25. L'autre truc ? Le traité de Lausanne de 1923 puis le traité de Paris Les signataires coté allié: Union des républiques socialistes soviétiques les États-Unis d'Amérique le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, la République française la République de Pologne ,la République fédérative populaire de Yougoslavie la République populaire d'Albanie la République tchécoslovaque le Royaume de Grèce les signataires coté Axe: l'Italie le Royaume de Roumanie la République de Hongrie la République populaire de Bulgarie la République de Finlande.
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