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En lien avec cette guerre russo-ukrainienne :
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Projet de rapport général "L'adaptation politique et sécuritaire de l'OTAN en réponse à la guerre menée par la Russie: prendre la mesure du nouveau concept stratégique et mettre en œuvre les décisions prises au Sommet de Madrid" : https://www.nato-pa.int/download-file?filename=/sites/default/files/2022-10/020 PC 22 F rév. 1 - CONCEPT STRATÉGIQUE OTAN - PROJET VALASEK.pdf
Le résumé (passages soulignés par mes soins) :
CitationConfrontée à la plus grave crise de sécurité sur le continent européen depuis la fin de la seconde guerre mondiale, l’OTAN doit à nouveau se réajuster et ce, de manière urgente. Adopté lors du sommet de Madrid, son nouveau concept stratégique met clairement l’accent sur la dissuasion et la défense. Cette approche transparaît également dans les décisions prises lors de ce sommet de l’OTAN, « porteur de transformations ». Au moyen du présent document, le rapporteur général invite instamment les décideurs politiques des Alliés à se montrer à la hauteur des décisions prises à Madrid et à s’appuyer sur celles-ci. Il s’agit, notamment, d’assurer une défense ferme sur le flanc est de l’OTAN et de poursuivre leur soutien à l’Ukraine. Ce projet de rapport souligne que la présence américaine sur le terrain est essentielle en ce qu’elle envoie un message politique fort aux adversaires potentiels. Mais en même temps, on ne peut attendre des États-Unis qu’ils assument plus que leur juste part du fardeau. L’ensemble des pays européens membres de l’Alliance doivent donc s’engager davantage et veiller à ce que des ressources suffisantes soient allouées, tant en faveur de la présence avancée renforcée de l’OTAN en Europe centrale et orientale qu’à son nouveau modèle de forces.
L’OTAN ne peut toutefois pas simplement rétablir son dispositif du temps de la Guerre froide. Le monde est en effet devenu beaucoup plus complexe ; la paix et la stabilité dans la région euro-atlantique se voient également menacées par la menace persistante du terrorisme, de
l’assertivité chinoise, de l’instabilité en Afrique et au Moyen-Orient, de l’érosion des dispositifs de maîtrise des armements et d’autres difficultés, telles que la propagation des technologies émergentes et perturbatrices ou encore le changement climatique. L’Alliance doit donc avoir la capacité d’effectuer des missions hors zone pour protéger les intérêts de sécurité de ses États membres, pour autant que les objectifs de ces missions soient clairement établis et étayés par des ressources adéquates. Elle doit aussi continuer à développer ses partenariats, notamment avec les organisations et les pays nourrissant les mêmes idéaux, en vue d’asseoir des normes mondiales répondant aux valeurs de la démocratie libérale. Elle ne peut - ni ne doit - accepter aucun compromis quant à l’entrée éventuelle dans l’Alliance de pays démocratiques candidats, si leur société a fait le choix de vouloir rejoindre la communauté euro-atlantique et qu’ils remplissent tous les critères d’adhésion. Pour prendre des décisions efficaces, les Alliés doivent utiliser l’OTAN à son plein potentiel comme l’enceinte principale de consultation sur les questions de sécurité et de défense et continuer à cultiver leur identité commune en tant qu’alliance de démocraties. Les parlementaires de l’OTAN ont ici un rôle crucial à jouer dans le renforcement de la cohésion de l’Alliance et le soutien en faveur de l’adaptation engagée par l’Organisation.Autres extraits (passages soulignés par mes soins) :
Citation[...]
Comme nous l’avons remarqué plus haut, le concept stratégique de 2010 manquait d’ambition sur les sujets de la défense et de la dissuasion. Les événements ultérieurs ont clairement démontré que le document aurait pu utiliser un langage plus fort sur la défense collective, comme le suggère le rapport du groupe d’experts mené par Madeleine Albright. Ce rapport définit l’obligation de protection mutuelle contre une agression armée comme priorité absolue.
[...]
La lutte contre le terrorisme demeure une des principales priorités de l’Alliance, les deux documents susmentionnés ainsi que les déclarations du
secrétaire général parlant généralement du terrorisme comme du deuxième défi auquel l’OTAN doit faire face, immédiatement après les actions agressives de la Russie. Le fait est que la Russie et le terrorisme sont les deux seules « menaces » pour la sécurité alliée à être explicitement reconnues. Conformément à cette approche à 360 degrés, la remise à plat du dispositif de dissuasion et de défense de l’OTAN ne porte pas exclusivement sur le flanc oriental : l’intention exprimée par l’OTAN de transformer sa Force de réaction, forte de 40 000 soldats, en instaurant le nouveau modèle de forces devrait améliorer de manière significative la capacité de l’Alliance à répondre aux menaces, d’où qu’elles viennent et dans tous les domaines. Le nouveau modèle de forces de l’OTAN devrait comprendre deux niveaux de forces à haut niveau de préparation : 100 000 soldats prêts à être déployés dans un délai de 10 jours (dans le cadre du modèle précédent, 40 000 hommes pouvaient l’être dans un délai de 15 jours) et 200 000 hommes qui pourront être déployés dans un délai de 30 jours (OTAN, 2022 (d)).[...]
Le concept stratégique fait comprendre que les Alliés ne se sentent plus liés par l’Acte fondateur OTAN-Russie (il précise par exemple que l’OTAN et la Russie ne sont plus « partenaires »). Au vu des violations flagrantes et répétées de l’Acte fondateur par la Russie, les dirigeants alliés devraient aller plus loin et indiquer clairement que ce document, dont les dispositions limitent le déploiement avancé de forces de l’OTAN, est désormais caduc.
[...]
Bien que les textes adoptés à Madrid ne soient pas ambitieux en ce qui concerne le flanc méridional, les Alliés devraient continuer d’y porter une attention soutenue, d’autant que les défis qui y sévissent sont liés à d’autres problèmes de sécurité auxquels l’Alliance est confrontée. Parmi ceux-ci, on peut citer les actions militaires directes et indirectes (par le biais du groupe Wagner) de la Russie, le développement par la Chine de ses leviers économique, technologique et militaire, et les incidences du changement climatique sur la sécurité qui alimentent les mouvements de population et sont génératrices d’instabilité dans la région du Sahel et au-delà.
[...]
Citation[...]
A la suite de l’agression de l’Ukraine par la Russie en 2014, les Alliés ont entrepris une série d’actions pour renforcer le pilier militaire de l’OTAN. Cependant, la redynamisation du volet politique de l’OTAN n’a pas suivi en parallèle. D’ailleurs, la période post-2014 a été caractérisée par l’essor de tendances protectionnistes et recentrées sur l’intérieur chez certains Alliés, ce qui soulève des questions sur la cohésion de l’Alliance et sur son utilité en tant que forum privilégié de consultation sur les grands sujets stratégiques de la région euro-atlantique, qu’ils soient en lien ou non avec l’OTAN. Plusieurs Alliés ont déploré le manque de consultation concernant les retraits du nord de la Syrie et d’Afghanistan, la signature du pacte AUKUS ainsi que la conclusion des négociations d’un accord commercial et d’investissement entre l’UE et la Chine (en décembre 2020). [...] Pourtant, l’OTAN et les Alliés dans leur individualité comprennent la nécessité de prendre des mesures urgentes pour soutenir la dimension politique de l’OTAN. [...] Le nouveau concept stratégique est laconique sur le renforcement de l’OTAN en tant qu’institution et ne fait que réaffirmer l’engagement « de renforcer notre unité et notre solidarité sur le plan politique, ainsi que d’approfondir nos consultations et d’en élargir le champ de manière à couvrir toutes les questions touchant à notre sécurité ».
[...]
Citation[...]
La défense collective ne peut être efficace que si elle est étayée par une résilience sociétale, c’est-à-dire par la capacité de résister et de surmonter des attaques hybrides ou cinétiques. Comme l’Assemblée l’a indiqué dans sa contribution aux discussions sur le nouveau concept stratégique, dans le nouvel environnement stratégique qui est le nôtre, la résilience devrait être considérée comme la première ligne de dissuasion et de défense. [...] L’attaque hybride menée par la Russie contre l’Ukraine en 2014 et les préoccupations croissantes exprimées face aux conditions politiques dont sont assortis les investissements chinois ont poussé l’OTAN à établir une politique plus globale sur la résilience. Lors du sommet de 2016 à Varsovie, les dirigeants alliés ont adopté un engagement en faveur d’une meilleure résilience et fixé les exigences de base pour la résilience des pays membres dans sept domaines : 1) la garantie de la continuité des pouvoirs publics et des services publics essentiels ; 2) la résilience des approvisionnements énergétiques ; 3) l’aptitude à gérer efficacement des mouvements incontrôlés de personnes ; 4) la résilience des ressources en nourriture et en eau ; 5) l’aptitude à gérer un grand nombre de victimes ; 6) la résilience des systèmes de communication civils ; et 7) la résilience des systèmes de transport.
[...]
Développer la résilience n’est pas si simple. La gouvernance, les infrastructures énergétiques et la santé continuent de relever de la responsabilité nationale. De plus, contrairement à la période de la Guerre froide, les infrastructures nationales essentielles ont été largement dénationalisées : aujourd’hui, environ 90 % des activités logistiques de l’OTAN sont assurées par des sociétés privées, et dans le domaine cybernétique, l’Organisation se repose beaucoup sur le secteur des télécommunications et les entreprises de sécurité internet pour la prestation de services et la lutte contre les cyberattaques. Si la privatisation des infrastructures matérielles et des infrastructures numériques a généré un meilleur rapport coût-efficacité, elle a aussi eu pour conséquence une moindre redondance et une diminution de la résilience (Shea, 2016).
[...]
En ce qui concerne la résilience face à la désinformation, les Alliés ont beaucoup progressé ces dernières années. La machine à propagande du Kremlin continue pourtant de mobiliser les énergies (qui restent importantes dans certains pays alliés) en faveur de l’invasion de l’Ukraine, tandis qu’elle pourrait préparer une opération sous fausse bannière pour justifier de nouvelles agressions. Les spécialistes en communication stratégique de l’Alliance doivent demeurer vigilants et être prêts à faire la lumière sur les fausses informations, y compris par le recours à des moyens militaires comme l’imagerie satellitaire et le partage de certains renseignements. La communication par les États-Unis de renseignements significatifs visant à prévenir les Alliés de l’invasion imminente de l’Ukraine par la Russie, s’est révélée efficace et a contribué à la mobilisation rapide de l’opinion publique mondiale en faveur de l’Ukraine.
[...]
Le changement climatique pourrait bien être le défi existentiel le plus difficile à relever pour l’humanité. Il agit comme un multiplicateur de menaces et est la cause profonde d’un certain nombre de défis de sécurité auxquels la communauté euro-atlantique est confrontée. Ces dernières années, le secrétaire général Stoltenberg n’a cessé d’indiquer que le lien existant entre climat et sécurité constituait un domaine d’action prioritaire pour l’OTAN ; celui-ci apparaît désormais de façon bien visible - et à juste titre - sur les écrans radar de l’Organisation. Lors du sommet 2021 de l’OTAN, les Alliés ont approuvé un plan d’action sur le changement climatique et la sécurité, dans lequel ils précisent que les phénomènes météorologiques extrêmes « mettent à l’épreuve la résilience de nos installations militaires et de nos infrastructures critiques » et déclarent que « l’OTAN intégrera des considérations relatives au changement climatique dans les travaux qu’elle mène concernant [, entre autres,] la résilience [et] la préparation du secteur civil ».
[...]
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Il y a 8 heures, MeisterDorf a dit :
Truc tout con, tu connais encore beaucoup de rampes de chargements dans des triages ou à proximité de raccordements? Moi pas... pourtant, une rampe c'est basique et ça ne demande AUCUN entretien.
Moi, j'en connais. Mais, la municipalité fait tout pour éjecter l'armée - parce que le terrain sur lequel on trouve le dispositif appartient à l'armée - et récupérer le foncier en question
Edit : Si je me souviens bien, la municipalité souhaitait récupérer une partie du terrain, ce à quoi le ministère des armées ou l'armée de terre (je ne sais plus) a répondu qu'il leur fallait plusieurs centaines de mètres de long pour charger et composer le train au plus vite en cas d'urgence.
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il y a 2 minutes, olivier lsb a dit :D'un pur point de vue citoyen, ça me pose quand même un problème de pas savoir ce qu'on fournit comme soutient. Alors même que la grande majorité des soutiens de l'Ukraine n'ont pas ces pudeurs à en faire publicité (sans forcément aller jusqu'à tout révéler).
Le système français offre au président une latitude particulièrement importante, notamment en ce qui concerne le déploiement de moyens, à l'international. Sans qu'il n'ait réellement à rendre de compte au gouvernement, aux députés et sénateurs, ou à la population. Je n'ai pas connaissance de gouvernants disposant d'autant de latitude en la matière dans les différents pays démocratiques. Cela constitue en même temps un risque et une force ; la configuration offrant notamment de la réactivité et de la discrétion.
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Il semblerait que cela s'échauffe quelque peu à la frontière serbo-kosovare.
Auparavant, il y avait eu cela : https://fr.euronews.com/my-europe/2022/10/27/la-querelle-sur-les-plaques-dimmatriculation-se-poursuit-entre-la-serbie-et-le-kosovo
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à l’instant, poti a dit :
Le patron du judiciaire a tout de suite reconnu les résultats. Ceux du législatif (Congrès et Sénat) ont fait pareil.
Ce qui tend à rassurer quant à la solidité des institutions démocratiques brésiliennes.
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il y a 4 minutes, mgtstrategy a dit :
Pas l'air fufutte les brésiliens qd meme...
Pourquoi ? Parce qu'ils pensent différemment de toi ?
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il y a 40 minutes, poti a dit :
Bolsonaro était plus adepte d'un monde unipolaire sous la coupe des US (avec les alliés européens). Lula prône le multilateralisme où le pouvoir international doit quitter les mains des occidentaux pour être davantage reparti avec les BRICS et autres pays.
Et pourtant j'ai l'impression que les relations entre le Brésil et les pays européens étaient, dans leur grande majorité, bien meilleures du temps de Lula (2003-2011) que ce qu'elles ont pu être sous Bolsonaro. Alors, certes, le contexte international n'était plus le même... mais disons que les lignes adoptées en matière de politique intérieure et de diplomatie sous Bolsonaro n'ont pas dû aider à renforcer les liens.
Par ailleurs, Celso Amorim jouissait d'une certaine reconnaissance sur la scène diplomatique. Cela avant même d'avoir été nommé au poste de ministre des affaires étrangères. Je pense qu'il a clairement contribué à l'image à l'international dont pouvait jouir le Brésil à l'époque. Je ne sais pas quelle figure Lula pressent pour assumer cette fonction. Mais pas sûr qu'il puisse trouver une figure pouvant lui apporter une telle visibilité.
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Il y a 10 heures, Banzinou a dit :
C'est également une zone très simple pour s'infiltrer niveau ukrainien, mais en revanche ça semble compliqué de faire un gros débarquement avec une tête de pont solide, car on se retrouve également à portée de l'artillerie russe.
Si débarquement il y a, ce sera vraisemblablement en complément d'autres avancées plus massives depuis le nord. Étant donné les coupures très réduites en distance à traverser, on peut d'ailleurs imaginer quelque chose d'assez léger, à base exclusive de véhicules amphibies capables de traverser des détroits et zones lagunaires. Je ne crois pas que les Ukrainiens puissent de toutes manières se permettre plus. Et l'appui d'artillerie, hors mortiers/canons légers, peut se faire depuis le continent.
Bon, s'ils peuvent se permettre d'éviter un débarquement hasardeux, je pense que les Ukrainiens l'éviteront. Mais, même sans volonté d'y aller, ce peut être un moyen de fixer un peu de forces russes de ce côté.
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il y a 6 minutes, Fusilier a dit :
Ce matin j'ai publié une vidéo avec des bunkers préfabriqués qui semblent destinés à cette zone. Curieux d'aller fortifier cette péninsule...
Ils redoutent un débarquement à plus ou moins long terme ?
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il y a 1 minute, Picdelamirand-oil a dit :
Quelques pincettes pour celui-là!
Cela traîne depuis au moins une heure. Forte présomption que ce soit un fake.
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Cela ne concerne pas directement la LPM, mais il y a tout de même des éléments qui y font écho. Une série de tweets intéressants diffusés par Vincent Lamigeon ce 28 octobre : https://twitter.com/VincentLamigeon
- Avis du député Mounir Belhamiti, rapporteur des crédits d'équipement : infos relatives aux commandes 2023 de missiles pour les trois armées, infos sur délais de livraisons de différentes munitions
- Priorités pointées par le Général Charles Beaudouin : acquisition de Himars pour combler un déficit à court terme, développement d'un obus de précision pour le caesar, initiative française/européenne en matière d'artillerie de précision de longue portée pour 2045
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Sur les comptes pro-russe, on annonce que les forces russes auraient franchi le premier rideau de défense ukrainien du côté de Pavlivka et Vuhledar :
Pour une carte présentant le front à une échelle plus large :
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il y a 46 minutes, Rob1 a dit :Un gars de Beliingcat disait récemment qu'ils n'avaient pas de "point de départ" style les suspects pour Salisbury ou Navalny qui leur permettrait de chercher des caractéristiques dans leurs bases de données pour y identifier les gars du SVR.
Sans doute faut-il voir également comment ils exploitent le big data. Dans la recherche scientifique, on note une évolution des méthodologies mobilisées à mesure que s'intensifie le recours aux méthodes de traitement big data. Pour l'exposer très caricaturalement, parce qu'en fait c'est tout de même plus complexe que cela et que cela doit varier avec les disciplines :
- traditionnellement, on émettait une hypothèse, on collectait la donnée en fonction, on constituait sa base de données en fonction, et l'on opérait le traitement statistique préalablement identifié ;
- désormais, on tend à d'abord à obtenir une masse de données ou à joindre différentes bases de données, à lancer les traitements statistiques... puis à regarder ce que l'on trouve. Si jamais quelque chose d'intéressant émerge, alors on creuse et l'on relance des traitements plus affinés si nécessaires.
Cette évolution dans le monde de la recherche soulève d'ailleurs de profonds questionnements d'ordres épistémologique et heuristique. Dans le cas de Bellingcat, pas tout à fait sûr qu'ils fonctionnent de la sorte. Mais, dans le cas d'agences telles que la NSA, étant donné notamment les capacités de traitements qu'ils ont, ils doivent pour partie procéder ainsi.
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il y a 3 minutes, Ciders a dit :A confirmer bien sûr.
On va surtout attendre d'en savoir plus sur l'état de la mer. Parce qu'on n'est pas à l'abri d'autres victimes du mauvais temps.
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Il y a 5 heures, prof.566 a dit :
Oui (St Denis, la plus grande ville des DOM TOM et sa banlieue). A noter que Ségo avait donné un passe droit à la nouvelle route du littoral malgré l'opposition du conseil écologique (ou autre instance officielle du genre)
J'imagine que c'est l'Autorité Environnementale du CGEDD. Voici l'avis rendu : http://80.69.213.183/IMG/pdf/11094-IDPP2-11-10-2919-AvisAE_RouteLittoralReunion_cle08b3c6.pdf
L'AE n'a pas capacité à s'opposer. Mais ses recommandations (lire notamment p. 3) sont dans le cas présent assez parlantes. Ah... avec Ségo, on n'est effectivement pas dans l'écologie punitive.
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L'Inde
dans Asie / Océanie
Le Rafale est désormais la figure qui permet à tout un chacun d'espérer sur cette planète.
CitationLes Tejas Mk2 à la manière du Rafale ; plus d'une douzaine de pays intéressés mais pas de premier accord
Par Sakshi Tiwari | 25 octobre 2022
Quelques jours seulement après que la société indienne Hindustan Aeronautics Limited (HAL) a obtenu l'autorisation de commencer la production de l'avion de chasse LCA Mk 2, de nouveaux rapports indiquent que plusieurs pays ont manifesté leur intérêt pour l'avion de combat léger indien.
Environ 16 pays ont approché l'Inde pour obtenir des détails sur l'avion de chasse Tejas Mk2 de nouvelle génération, a rapporté News 18 citant des responsables gouvernementaux anonymes. Le modèle de l'avion a été présenté à la Defence Expo 2022.
Le rapport ajoute que le gouvernement travaille également à l'identification d'autres agences privées pour augmenter le taux de production d'avions de combat dans un contexte de demande accrue. Le mois dernier, le Comité du Cabinet sur la sécurité (CCS), dirigé par le Premier ministre et le ministre de la Défense, a donné son aval à l'avion de combat LCA Mk2.
"Il y a un énorme effort de la part du gouvernement central pour augmenter le taux de production de l'avion, l'Inde recevant déjà des demandes de renseignements sur l'avion de 16 pays", a déclaré le Dr V Madhusudana Rao, directeur du projet LCA Mk2 à l'Agence de développement aéronautique (ADA), à News18. en marge de la DefExpo-2022. "
Le responsable a déclaré que le gouvernement avait fait pression pour réduire le coût de l'avion et une production rapide pour augmenter le potentiel d'exportation du chasseur. L'Inde cherchait à exporter ses LCA Tejas développés localement, mais sa tentative n'a pas réussi jusqu'à présent malgré des négociations à un stade avancé avec des pays comme la Malaisie.
Le chef de l'ADA a également récemment déclaré à News 18 que "HAL peut répondre aux exigences des forces armées indiennes. HAL peut être l'intégrateur principal, responsable de l'assemblage de toutes les pièces et systèmes principaux et de la réalisation des essais en vol et de la livraison.
Mais au-delà, le partenariat privé sera nécessaire. Le partenariat privé pourrait donner un coup de pouce indispensable à la fabrication d'avions entreprise par HAL.
Selon les estimations du gouvernement, l'avion sera prêt à être déployé d'ici la fin décembre 2023 et le premier prototype du chasseur prendra son envol un an plus tard en 2024. Une fois le premier vol réussi, trois autres prototypes seront être produit par la suite .
De plus, l'ensemble initial d'armes clés sera, de par sa conception, intégré à l'avion avant de conclure les essais en vol complets, y compris le missile à bout d'aile et deux à quatre missiles au-delà de la portée visuelle (BVR).
Le chef de l'ADA a également déclaré: «La fabrication de composants à long terme pour l'avion a commencé. D'ici décembre 2027, nous achèverons la conception et le développement du LCA Mark 2 avec des essais en vol complets pour les quatre prototypes et nous entrerons dans la production du LCA Mark 2 pour l'IAF ».
Le 18 juillet, le chef de l'air Vivek Ram Chaudhari a déclaré que l'armée de l'air indienne s'était déjà engagée à acheter six escadrons d'avions de combat légers Mark 2 (LCA M2). Le retrait progressif de plusieurs flottes de l'IAF une fois leur cycle opérationnel terminé d'ici 2035 a été détaillé en détail par le chef de l'IAF au début du mois.
La variante Mk2 remplacera les MiG-29, Mirage-2000 et Jaguar vieillissants de la flotte de l'armée de l'air indienne au cours des dix prochaines années.
LCA Tejas Mk2 - Bientôt disponible !
L'avion indien Tejas Mark 2A construit à Hindustan Aeronautics Limited (HAL) est un avion de combat polyvalent qui n'est pas encore sorti du hangar de HAL.
L' IAF a approuvé l'examen de conception complet (CDR) de l'avion l'année dernière. La variante Tejas Mk2 est un avion de poids moyen avec une longueur totale de 14,6 mètres, une envergure plus petite et une hauteur de 8,5 mètres et 4,86 mètres.
Le moteur GE-F414 INS6 qui équipera le Tejas Mk-2 aura une poussée estimée à 98 kN. Bien qu'il était à l'origine destiné à être un avion de combat léger, comme le montre l'image de la maquette, son puissant moteur a changé de conception pour le faire ressembler davantage à un avion de chasse de poids moyen.
Le Tejas Mk2 a une longue autonomie de 3 500 kilomètres et devrait naviguer à la vitesse de 1,8 Mach. Un moteur puissant a permis au Mark 2 de décoller avec un poids total maximum de 16,5 tonnes, qui comprenait la masse de 10 tonnes du chasseur et 6,5 pieds de charge utile externe.
La variante Mk2 de Tejas sera armée d'armes comme le Scalp, le Crystal Maze et le Spice-2000. Pour le combat air-air, il sera armé de missiles indigènes Astra Mark 1 et Mark 2.
De plus, les missiles anti-radiations Rudram, testés par le laboratoire de R&D pour la défense (DRDL) du DRDO à Hyderabad, seront inclus.
Le Tejas Mk-2 sera guidé par le radar Uttam AESA "Made in India". Selon les rapports, ce radar indigène est suffisamment avancé pour fournir un avantage concurrentiel sur les radars de fabrication israélienne précédemment installés sur les variantes précédentes de Tejas. Le radar Uttam serait également capable de détecter et de bloquer les tentatives de guerre électronique (EW) hostiles.
Le Mk2 sera équipé de canards capables de soulever 6 500 kilos de fret. Pour transporter cette charge utile, le Tejas Mark 2 comportera 11 points durs, dont un point dur de missile air-air ASRAAM sur chaque bout d'aile.
La variante Mk2 de Tejas a été conçue avec un œil sur les guerres futures où les missiles Beyond Visual Range (BVR) joueront un rôle important. La nouvelle variante est capable de transporter environ 8 à 10 missiles BVR.
De plus, la variante Mk2 de l'avion aura plus de 80% de contenu indigène, ce qui limitera potentiellement la restriction à l'exportation imposée par les composants étrangers dans l'avion.
Un expert de la défense qui a requis l'anonymat a déclaré qu'il semble que Tejas suive la voie de Rafale. Tout le monde appréciait et admirait les chasseurs Rafale, mais il n'y avait pratiquement pas d'acheteurs à ses débuts.
Une fois qu'ils ont prouvé leur courage soutenu par des négociations politiques, le Rafale est devenu l'un des avions les plus vendus au monde, abandonnant son étiquette "avion maudit". Tejas peut aller lentement, mais il a tout ce qu'il faut pour en faire un avion de combat léger idéal pour des pays comme la Malaisie, l'Argentine, etc.
https://eurasiantimes.com/indias-tejas-mk2-fighter-jet-in-demand-more-than-a-dozen/
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il y a 27 minutes, SLT a dit :
D'ailleurs, pour continuer l'anecdote, il peut être très difficile en Allemagne d'être Ingénieur R&D, car il faut souvent au minimum un doctorat pour y faire de la recherche (ce qui inclut parfois le développement aussi)
En France, si tu as un doctorat... dans pas mal de domaines, c'est limite suspect. On a tendance à ne pas vouloir reconnaître, en lien avec l'influence et le corporatisme des grandes écoles, que le doctorat peut constituer une réelle plus-value. Il y a évidemment des exceptions... certaines écoles des mines ayant d'ailleurs des capacités d'accompagnement des thèses tout à fait intéressantes. Mais, dans l'ensemble, mieux vaut ne pas avoir de doctorat. Pire encore si tu es passé par la recherche. J'ai un certain nombre de connaissances qui ont dû s'exporter, notamment en Suisse et en Allemagne, pour qu'on leur offre un poste en adéquation avec leur niveau de formation. Sûrement n'est ce pas vrai dans toutes les branches. Mais c'est un beau potentiel perdu...
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Il y a 1 heure, Pakal a dit :
De plus j'ai pu constater sur les forums que l'attrait des militaires Allemands pour le matériel US était en partie lié, consciemment ou inconsciemment, à ... des perspectives de formation aux US et donc de voyages. Alors que la Luftwaffe a eu toute les peines du monde à inciter une partie de son personnel à s'installer à Evreux
Ce n'est pas la même chose que de partir en formation pour quelques semaines... que de passer plusieurs années à l'étranger en emmenant sa famille avec soi. Il y en a que cela attire. Mais beaucoup d'autres seront rebutés à l'idée.
Par ailleurs, j'ai l'impression - mais peut-être est-ce plus vrai dans certaines régions allemandes que dans d'autres - que l'allemand est géographiquement et culturellement moins mobile que le français. Dans le contexte hexagonal, il est très courant d'aller à Paris pour faire ses études (notamment parce que la formation est finalement assez centralisée), d'aller dans un coin du pays pour débuter sa carrière professionnelle (parce que l'offre d'emplois tend à être plus concentrée sur certains pôles et certaines régions côté français que côté allemand si l'on fait abstraction des Länder de l'ex-RDA)... puis éventuellement de se poser après un certain nombre d'années (et pas forcément dans les environs du fief familial). Sans compter que nombre de fonctionnaires sont dépendants d'un Land côté allemand quand un un fonctionnaire français devra parfois aller de l'autre côté du territoire français en embarquant toute sa famille. Je serais curieux d'avoir des études chiffrées en la matière mais j'ai vraiment cette impression.
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il y a 5 minutes, olivier lsb a dit :Pas grave, au besoin, on peut toujours appeler le Général Lapin pour qu'il explique comment monter la position défensive de la butte du noisetier de Berezinavlika.
Une référence de circonstance :
Révélation- 6
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il y a 48 minutes, Patrick a dit :Hum. J'ai peut-être une solution: https://bugattibaby.com/car-model/pur-sang/
Par contre je ne sais pas si c'est ce que demande le marché.A noter qu'elle est disponible avec sellerie cuir en Gris Rafale. Ce n'est pas une blague !
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Il y a 16 heures, Claudio Lopez a dit :C'est tout le problème d'une partie de l'opinion publique allemande, de ses députés, des politiques, syndicats et du coup d'une partie de la presse aussi qui reste persuadé que ce que Airbus DS veut, Airbus DS doit donc l'obtenir ! Pourquoi ? Parce que Airbus DS est allemand donc forcément Deutsch Qualitat et que les autres pays doivent suivre le modèle de réussite et suivre naturellement le lead allemand et cela dans TOUT LES DOMAINES INDUSTRIELS ! [...]
Il y a 2 heures, Manuel77 a dit :Pour l'Allemand non intéressé, il y a des avions de ligne Airbus depuis environ 1977 (je fantasme), ils sont 50/50, ils sont nés de rien, ils fonctionnent bien, et c'est une belle réussite. Bien sûr, les Français essaient parfois de créer un maximum d'emplois chez eux, mais c'est normal. Mais ce n'est pas non plus comme si Airbus DS était particulièrement aimé, ils sont constamment critiqués.
C'est plus ou moins ce que j'allais répondre. Des échanges que j'ai pu avoir ou encore de ce que j'ai pu lire côté allemand... on ne peut pas dire qu'Airbus D&S soit toujours en odeur de sainteté. Ils sont assez souvent vus comme une entreprise prédatrice de fonds publics, dont les produits sont longs à développer et aux coûts d'entretien relativement élevés. Certains n'ont aucun problème à voir la Bundeswehr acquérir sur étagères, souvent auprès des USA, plutôt que de commander un produit à développer auprès d'Airbus D&S.
Si certains politiques allemands défendent la place d'Airbus D&S dans le SCAF, c'est notamment pour les retours en termes de propriété intellectuelle (avec notamment les applications civiles) et d'activité industrielle (c'est tout particulièrement vrai côté bavarois et au sein des syndicats). On ne se soucie d'ailleurs pas tant que cela côté allemand des aspects de souveraineté et de la capacité à avoir la main sur le produit qui nous défend. Alors que la question de l'outil industriel de défense et de maintien/développement des compétences côté français est profondément attachée à l'idée de souveraineté.
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L'enveloppe budgétaire se confirme pour les Rafale additionnels (au-delà des 6 premières unités) ainsi que l'achat de Mirage 2000 d'occasion en 2023. Apparemment, 2,9 milliards $ destinés à l'acquisition de Rafale et 734,5 millions $ à l'achat des Mirage 2000. Autrement dit, on devrait tout de même voir un nombre conséquent de Rafale voler sous les couleurs indonésiennes.
L'article, traduit automatiquement, n'est pas forcément simple à lire (d'autant plus qu'il y a pas mal de sigles)... mais il concerne pas mal la relation indonésio-française.
CitationPriorités de modernisation de la défense de Sri Mulyani, Prabowo et RI
Opinion - Alman Helvas Ali, CNBC Indonésie
27 octobre 2022 14:10
Le plan de modernisation de la défense par le biais du programme de financement des prêts étrangers (PLN) au cours de l'exercice 2022 a progressé après qu'en septembre 2022, le ministre des Finances Sri Mulyani Indrawati a publié la détermination des sources de financement (PSP) pour le ministère de la Défense (Kemhan). Le PSP a été publié à la suite de la publication par le ministre de la Planification du développement national/chef de Bappenas qui a soumis une liste révisée des plans prioritaires de prêts étrangers (DRPPLN) pour le ministère de la Défense d'une valeur de 9,6 milliards de dollars en août 2022. Comme précédemment estimé, le montant du PSP approuvé par Sri Mulyani en Ceci est inférieur au DRPPLN proposé, mais ce n'est pas un problème si vous regardez l'allocation de PLN pour le ministère de la Défense pour la période 2020-2024 de 20,7 milliards de dollars.
Cette année, Sri Mulyani a approuvé un programme PLN d'une valeur de 4,4 milliards de dollars américains pour soutenir la modernisation de la défense. Combiné avec le PSP de 7,7 milliards de dollars US de l'année dernière, l'allocation totale de PLN qui a été approuvée par Sri Mulyani est de 12,1 milliards de dollars US. Ainsi, l'allocation restante de PLN est de 8,8 milliards de dollars américains à dépenser au cours des exercices 2023 et 2024 avec l'hypothèse que le PSP d'une valeur de 12,1 milliards de dollars américains est entièrement absorbé avec les paramètres de signature d'un accord de prêt suivi d'un paiement anticipé en utilisant Rupiah Pure Fonds d'accompagnement (RMP). ). En ce qui concerne l'allocation du PSP en 2022, il y a plusieurs choses à observer.
Tout d'abord, la réalisation de deux DRPPLN. Contrairement au PSP 2021, le PSP 2022 consiste à remplir les DRPPLN 2021 et 2022 proposés par le Ministère de la Planification du Développement National/Bappenas. Sur la valeur totale de 4,4 milliards de dollars US, 244,4 millions de dollars US sont destinés à répondre au DRPPLN 2021, tandis que 4,1 milliards de dollars US sont prévus pour répondre au DRPPLN 2022. Sur les 13 activités du PSP 2022, cinq sont liées à DRPPLN 2021, qui sont tous des systèmes de soutien et ne peuvent pas être classés comme des systèmes d'armes majeurs .
Il existe cinq activités dont les sources de financement proviennent de créanciers privés étrangers (KSA), tandis que les huit autres activités utilisent des sources de financement de l'Agence de garantie des crédits à l'exportation (LPSE). La valeur des sources de financement de KSA est de 393,1 millions de dollars, tandis que le reste provient de LPSE. Ce schéma est similaire au PSP 2021 où le ministère des Finances approuve plus de sources de financement de LPSE que de KSA. Jusqu'à présent, la majorité des LPSE qui financent l'achat d'armes viennent d'Europe comme l'UKEF.
L'allocation de 4,1 milliards de dollars US de PLN pour remplir le DRPPLN 2022 ne consiste pas seulement à acquérir des systèmes de soutien, mais également à acheter des systèmes d'armes majeurs. Cependant, toutes les activités du PSP 2022 qui proviennent du DRPPLN 2022 ne sont pas destinées à l'acquisition d'armes, car il y a trois activités de réparation de systèmes d'armes principaux actuellement en service. L'utilisation de PLN pour réparer des systèmes d'armes est une chose naturelle car le budget en roupies pures de l'APBN annuel du ministère de la Défense n'est pas suffisant pour financer les réparations de systèmes d'armes tels que des navires de guerre et des avions de chasse.
Deuxièmement, la priorité d'approvisionnement. En observant le PSP 2022, la priorité de cette année pour l'approvisionnement en armes, en particulier les systèmes d'armes majeurs , est illustrée . L'armée de l'air indonésienne est une priorité pour l'achat de systèmes d'armes majeurs d'une valeur totale de 3,6 milliards de dollars pour ramener à la maison deux types d'avions de combat fabriqués par Dassault Aviation, France, alors que l'armée et la marine indonésiennes ne sont pas une priorité. Outre le remboursement de l'achat de 2,9 milliards de dollars du Rafale, il y a également 734,5 millions de PLN pour l'achat du Mirage 2000 ex-pays du Golfe. Des paiements échelonnés pour Rafale sont nécessaires car jusqu'à présent, seuls six Rafale sur 42 unités ont des contrats effectifs, tandis que les autres attendent un financement supplémentaire du ministère des Finances.
D'autre part, la priorité de PSP est de financer les grands systèmes d'armes. L'armée de l'air indonésienne assiste indirectement le ministre de la Défense Prabowo Subianto dans la réalisation de son engagement auprès du gouvernement français et de Dassault Aviation. Cela contribue également à la réalisation de l'ambition de Prabowo d'acheter le TNI avec des armes de première classe (niveau un). De plus, la PSP 2022 aidera à la crédibilité de Prabowo dans l'exercice de ses fonctions d'assistant présidentiel dans le secteur de la défense afin qu'il puisse devenir une capitale politique pour avancer à l'élection présidentielle de 2024. Plongée en classe Scorpène comme indiqué dans une conférence de presse conjointe avec les Français Ministre des Armées Florence Parly le 10 février 2022 à Jakarta.
Avec la publication du PSP 2022, le ministère de la Défense a maintenant du travail à faire pour signer immédiatement des contrats pour 13 activités qui ont été approuvées par Sri Mulyani. Sur la base du règlement gouvernemental numéro 50 de 2018 concernant les modifications du règlement gouvernemental numéro 45 de 2013 concernant les procédures d'exécution du budget des recettes et des dépenses de l'État, le RMP doit être fourni pour chaque activité financée par le PLN. Le besoin de RMP au cours de l'exercice 2023 varie théoriquement de 308 millions de dollars US à 661 millions de dollars US, en supposant que la valeur du RMP se situe entre 7 % et 15 % de la valeur totale des activités. Se référant aux données RAPBN 2023, le ministère de la Défense a reçu une allocation RMP de 5,2 billions de roupies, soit environ 339 millions de dollars américains.
Il existe actuellement au moins deux systèmes d'armes majeursPrabowo vise mais n'a pas encore reçu de PSP, à savoir le sous-marin de classe Scorpène et la frégate FREMM. Contrairement au Scorpène, le contrat frégate FREMM a été signé le 4 juin 2021, mais n'a pas encore été intégré au PSP. Ni le Scorpène ni la FREMM n'ont jamais été répertoriés dans le DRPPLN, la question est donc de savoir si les deux systèmes d'armes de fabrication européenne seront répertoriés dans le DRPPLN au cours des deux prochains exercices ou non ? Les sous-marins et les frégates obtiendront-ils une part de l'allocation restante de PLN 2020-2024 de 8,8 milliards de dollars ?- 1
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Il y a 9 heures, olivier lsb a dit :
Pic', c'est le diminutif de notre camarade Picdelamirand-oil, un peu long à écrire à chaque fois :)
En passant, il n'est pas si illogique de le rebaptiser Pic : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Pic_de_la_Mirandole
Pourquoi d'ailleurs cette référence @Picdelamirand-oil : un intérêt particulier pour cette figure humaniste ?
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Le F-35
dans Amérique
Posté(e) · Modifié par Skw
Je ne sais pas dans quelle mesure l'avion est cause de cette problématique de formation des pilotes, sachant que les Britanniques sont également spécialistes de coupes budgétaires radicales lorsqu'il faut trouver des sous, mais on peut néanmoins se poser la question :