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Messages posté(e)s par Skw

  1. Quand on sait ce qu'est le collectivisme en terme de liberté pour les paysans, et ce que ça a donné dans l'histoire, je trouve toujours très drôle qu'on arrive à associer libertaire avec ce terme, et le communisme en général.  :wacko:

     

    Si leur référence est Murray Bookchin, ils sont plus proches de l'anarcho-communisme que du trotskisme, du léninisme ou autre formes de communisme sociétal. En d'autres termes, ils seraient davantage centrés sur l'associationnisme que sur le collectivisme. Pour faire vite, le refus d'un seul membre de la communauté prévaut sur la majorité qui aurait pu s'établir et c'est donc le consensus qui est à rechercher. Murray Bookchin a d'ailleurs développé sa réflexion anarcho-communiste en réaction à un trotskisme qu'il considérait trop coercitif. 

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  2. Accessoirement si tu fais un sondage chez les retraité ou les bientôt retraité sur la probabilité qu'il y a qu'il ne touche plus de retraite ou quelle soit très largement décoté ... ceux ci scotomisent complétement, et te répondent que ce n'est pas possible qu'ils ne laisseront pas faire etc. en gros que c'est absolument impossible. Et quand tu les pousses dans leurs retranchement, ils te répondent que la retraite sera financé comme toujours par la dette, ou par un retour au franc et a la planche a billet qui leur a tant réussi.

     

    Lorsque Villepin souhaita faire adopter le CPE/CNE, le clivage générationnel était saisissant dans les sondages. L'idée, c'était probablement de tenter de réformer le pays en ciblant les jeunes tout en évitant de taper dans le gras de l'électorat. Pourtant, au même moment, se posait la question du système de financement de nos retraites... qui n'est toujours pas vraiment traité depuis. A noter que les syndicats - hormis les syndicats lycéens et étudiants - s'étaient d'ailleurs bien plus mobilisés contre la réforme des retraites que contre le CPE/CNE... C'est étonnant, non ?

     

    Il est désolant de constater que nos principales ambitions de réforme, dans ce pays, sont censées valoir pour la génération d'après. On comprend mieux notre soif d'endettement lorsque l'on observe notre logique de réformes.

  3.  

    Tu as raison.  Poser le problème en termes de générations c'est une impasse théorique et pratique.  Le fond de l'affaire, qui dépasse le cas des retraités, c'est les politiques économiques qui privilégient les rentes (financières) sur la logique productive.

     

    Je ne nie pas l'influence électorale des un et des autres.  Mais, si ça peut peser sur certains "politiques" , penser que ça peut influencer la dynamique économique... Comme si les politiques pouvaient réellement influencer les stratégies RH des entreprises, au-delà de la marge.

     

    Tu semble opposer privilège à la rente et logique productive... Les deux vont très bien de paire. L'intérêt du retraité disposant d'un certain capital c'est de pouvoir jouir d'une certaine rente et d'avoir des produits très bon marché. Ce qu'il faut éviter, c'est donc qu'il y ait inflation, dévaluation des actifs et que les salaires augmentent. L'idée de compétitivité économique tant vantée dans certains pays est à l'avantage en premier lieu des populations disposant déjà d'un certain capital. 

     

     

    Par ailleurs, les différences face à l'emploi, entre les jeunes diplômes et ceux non diplômés, sont elles qu'il est assez difficile de ramener ça à un pb de génération. D'ailleurs, sur l'autre bord d'âge, on retrouve le même phénomène. Voir le tx de chômage des diplômés / cadres comparé aux catégories ouvriers non diplômés.  Alors, oui, quand on est jeune, sans diplôme, sans un réseau familial et/ou capital culturel , on beaucoup de risques d'être dans la merde  Comme son père d'ailleurs. Et si l'on voulait raffiner on pourrait décliner en fonctions de territoires...

     

    Doit-on comprendre que les chiffres montrant une balance plutôt favorable aux populations âgées qu'aux populations de -25 ans sur la dernière décennie s'expliqueraient pas une moindre qualification des jeunes ? Je ne vois pas où tu souhaites en venir avec ta démonstration. Ou plutôt, une fois encore, je crois ne pas te suivre.

  4. Tu as raison.  Poser le problème en termes de générations c'est une impasse théorique et pratique.  Le fond de l'affaire, qui dépasse le cas des retraités, c'est les politiques économiques qui privilégient les rentes (financières) sur la logique productive.

     

    J'ai beau être en accord avec le commentaire de True_Cricket,* je ne te suis pas. La question générationnelle est bien une composante importante, pour ne pas dire la composante majeure, du problème. Jamais les +60 n'ont un tel poids, électoral et autre, dans la prise de décision et l'orientation des politiques publiques. Les politiques monétaires, les politiques fiscales, les politiques du travail et de l'emploi, la géopolitique intraeuropéenne sont impactées, plus ou moins directement, par cette influence croissante que peuvent avoir les +60 dans les urnes et dans l'opinion publique.

     

    * Cette idée que la réduction des injustices intergénérationnelles passe par une plus grande solidarité entre nations européennes me paraît fumeuse, surtout quand on sait l'ardoise qu'auront à régler les futures générations grecques ou même allemandes et françaises... et que la France s'est endettée et fait donc reposer l'efforts sur les générations futures pour venir en aide à la Grèce ! Quelle blague !

     

     

    Les retraités, les Allemands en particulier, en bénéficient dans la mesure où ils bénéficient des effets de l'épargne (c'est pourquoi il faudrait analyser par catégories sociales et pas par généralités) 

     

    Sauf que le problème n'est pas le même quand on jouit d'une épargne en étant retraité que lorsque l'on jouit d'une épargne en étant encore productif. Il n'est pas non plus le même quand on a de l'épargne et que l'on compte sur le système public pour participer à l'instruction des enfants que quand on a la même épargne et que les enfants ont déjà quitté la maison. Le problème n'est pas non plus le même quand on a de l'épargne et que l'on peut se barrer à l'étranger un certain nombre de mois dans l'année que lorsque l'on a de l'épargne mais que l'on est fixé géographiquement.* Cette dimension générationnelle m'apparaît donc primordiale, ce sans parler des représentations du monde qui différent selon les classes d'âges. 

     

    * Petit détour, à un échelon géographique inférieur mais assez révélateur de cet aspect générationnel : Pas mal de travaux en économie spatiale, réalisés notamment aux USA mais aussi en des contextes plus européens, démontrent l'influence du facteur générationnel, au-delà des simples aspects catégorie sociale et niveau de revenus. Les populations déménagent en fonction du cycle de la vie et cherchent à avoir le meilleur rapport entre fiscalité et aménités ou services fournis en fonction du cycle de la vie. Certes, cette poursuite du meilleur rapport entre fiscalité et aménités ou services fournis, que Charles Tiebout qualifie de "vote avec les pieds", est mue par différents facteurs, mais si l'on étudie les parcours résidentiels des foyers, la dimension générationnelle s'avère souvent flagrante.

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  5. Je pense que il faudrait faire tomber Schlaube de son siège handicapé ....   il touchera du doigt ce que ça fait que de devoir ramper   à cause des mesures d'autérité qu'il veut voir imposer au autres.....et il reviendra vite à la raison. Mais bon plus il y a de SSchlaube en Prusse et moins je suis Européens.... (en plus ce Prussien il est né à Fribourg ....)

     

    Schaüble est sans doute psychorigide,* mais il semble se soucier de ce que deviendra l'argent des contribuables allemands une fois mise entre les mains d'un gouvernement qui jusqu'à présent n'a pas toujours joué franc-jeu. Il y a sûrement de la posture politique chez Schaüble, surtout que cela lui permet de s'affirmer par rapport à Merkel, mais j'aimerais bien voir nos politiques porter autant d'intérêt aux deniers publics et à leurs devenirs. Je dis cela sans être pourtant un fervent de la position de Schaüble. 
     
    * Quand on parle de pognon, il y a bien plus psychorigides que les Prussiens. Du côté du Baden-Württemberg, même si davantage du côté de la Schwaben Alb que de la Forêt Noire, on a la réputation de savoir ce que vaut un sou et des efforts qu'il a fallu consentir pour l'obtenir. Ce n'est pas pour rien si c'est de ce coin de l'Allemagne que sont parties la plupart des révoltes paysannes.
     

     

    De  temps en temps il est nécessaire de taper du point sur la Table sans aller chercher Midi à Quatorze heures. On a pas fait l'Europe et/ou l'Euro pour devenir esclave des marchés  sauf dans l'idée de quelque uns.

     

    On a fait l'Europe pour s'interdire de remettre en cause nos fonctionnements erratiques ? 
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  6. Ça a existé en Europe de l'Ouest. C'était un instrument de tyrannie. C'était aussi un moyen de se venger de l'employé qu'on aime pas, de le condamner au chômage, l'empêcher de changer de boulot, ou de briser toute velléité syndicale ou révéler des convictions politiques : à l'époque l'indiquer dans le carnet permettait de marquer la personne à vie.

     

    Ce fut même un moyen de contrôle des mobilités. D'ailleurs, cela faisait pas mal penser aux contrôles des mobilités que l'on imposait aux populations noires libres dans les colonies (Colonie du Cap notamment) pour s'assurer que celles-ci viennent travailler pour un salaire de misère, ce généralement alors que les systèmes esclavagistes étaient remis en cause ou sur le point de l'être. En outre, c'est un outil qui sied pas mal aux défenseurs d'une conception corporatiste de l'économie... Tu m'étonnes !

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  7. Die Linke est issu de l'ancien Parti Communiste de l'Allemagne de l'Est (cela t'éclaire peut être son discours)

     

    Rappelons que Die Linke proposait d'inviter Poutine au Bundestag pour commémorer les 70 ans de l'armistice de la Seconde Guerre mondiale et remercier les Russes de les avoir libérer du fascisme... Cela aurait également été l'occasion de remercier la Russie pour ces magnifiques années de vie démocratique offertes à l'Allemagne de l'Est.

     

    Cela dit, Wagenknecht tape juste lorsqu'elle pointe les incohérences d'une Merkel qui réclame à la Grèce de rembourser ce qu'elle doit au contribuable allemand alors qu'elle joua un rôle important dans cette manoeuvre qui fit d'une dette privée une dette publique.

  8. Sinon, pendant que l'Allemagne est intransigeante avec la Grèce, une partie (65%) de la dette Autrichienne due a l'affaire de la banque HGAA vient d'etre effacée...

    La banque en faillite a ete nationalisee, la dette fut transmise au Land de Carinthie, puis a l'etat Autrichien.

    http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/et-pendant-ce-temps-l-autriche-restructure-sa-dette-491019.html

     

    Ils ont au moins eu la bonne idée de nationaliser la banque... On a connu des pays aux moeurs un peu différentes.

  9. Bonsoir, je cherche à connaître l'auteur d'une citation qui en gros disait cela : "La France ne mérite pas sa Marine de guerre " .

    Il me semble que s'est un anglais.

     

    Winston Churchill avant Mers el-Kébir ?  :happy:

  10. Vu que je lis pas mal de choses en ce moment, j'ai un peu tendance à mélanger les sources, mais il me semble que c'est dans ce document qu'est évoquée une différence de cultures entre d'un côté Américains et de l'autre Britanniques&Français. Les premiers ont tendance à jouer sur la supériorité numérique et à tout faire pour avoir cette supériorité. Les seconds, étant donné une certaine habitude à lutter en infériorité dans le cadre de guerres coloniales, n'accorderaient pas la même importance à cet aspect numérique. Je n'ai pas assez de recul pour appréhender cette lecture au mieux, mais cela me semble assez intéressant à creuser comme idée.

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  11. Sauf qu'on a pas les détails sur la dette ici ... étalement, annulation partiel, ni sur les "investissement" de 35 milliards réclamés.

     

    Les différents représentant européens n'étaient pas forcément contre un réaménagement de la dette* ou le principe d'un plan d'aide. En revanche, ils souhaitaient au préalable que la Grèce mette enfin en place des réformes... Les Grecs n'ont eu de cesse d'accuser les créanciers et partenaires européens pour les coupes budgétaires, mais c'est oublier de dire que ceux-là souhaitaient surtout voir la Grèce lever l'impôt, mettre fin aux situations d'exception et rendre son économie plus compétitive.** Bon, on peut ensuite se poser des questions quant à la traduction concrète de ces mesures. Qu'est ce qu'un taux de 23 % dans la restauration sachant que l'on est dans un pays qui fait de la carte bleue un concept essentiellement abstrait ?

     

    * On en parlait déjà en février dernier de la possibilité d'un réaménagement, l'idée d'une restructuration étant plus compliquée car non permise par les statuts. Mais un réaménagement peut avoir en termes financiers les mêmes effets qu'une restructuration. 

    ** Mais il est parfois plus facile de faire des coupes dans les budgets que de toucher à la vraie racine du problème. C'est en cela qu'une fuite vers l'endettement s'avère anti-révolutionnaire. Elle est l'alternative à la remise en cause de dysfonctionnements profonds.

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  12. Pendant des années, EADS avait un informateur au Ministère de l'Économie autrichien. Il vient de se faire alpaguer et pourrait finir derrière les barreaux :

    http://www.sueddeutsche.de/wirtschaft/eurofighter-in-oesterreich-maulwurf-im-ministerium-1.2550232

     

    On aimerait entendre Tom Enders, qui était assez disert lorsque fut révélé l'espionnage de sociétés européennes par la NSA avec l'aide du service fédéral de renseignement allemand  :cool:

  13. La Grèce doit remettre d'ici ce soir, minuit, son programme de réformes à ses partenaires européens. Le document sera ensuite examiné par les créanciers et soumis samedi aux ministres de finances de la zone euro. Apparemment, des techniciens français seraient aux côtés des rédacteurs grecs...

     

    ... Il en est fini des espoirs grecs  :happy:

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  14.  

    Je sais bien. La Loi ALUR (Loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové) de 2014 a d'ailleurs fait du PLU intercommunal la norme et du PLU communal l'exception. Mais disons que les collectivités territoriales avaient et ont encore tendance à faire du SCoT (schéma de cohérence territoriale) là où elles devraient faire des PLUi. La loi ALUR est normalement venu rectifier cela, en interdisant notamment de faire un SCoT sur le périmètre d'une seule intercommunalité. Mais comme toujours, en matière d'urbanisme, il y a toujours une inertie, étant donné que nombre de documents ont été approuvés sous les anciennes règles et que l'on laisse un certain délai aux collectivités et établissements publics pour se mettre à jour.

     

     

    Même dans le temps, années 90 quand j'étais CM et membre de la commission d'urbanisme d'une commune de 15000 hb, le PLU (sais plus si c'était le même nom à l'époque) était travaillé en intercommunal (dans ce cas, syndicat intercommunal) par la force des choses, plein de trucs étaient partagés gérés en commun. Je crois me souvenir que l'on avait même intégré, dans la réflexion, des communes hors syndicat, mais de facto incluses dans le bassin d'activités / déplacements, etc...

     

    Le PLU a été instauré - en remplacement des POS (plans d'occupation des sols) - par la Loi SRU (Solidarité et Renouvellement Urbain) de 2000. Il y a eu quelques POS intercommunaux, mais là encore, il s'agissait d'exceptions.

     

    Apparemment, en 2010 : 49 PLU intercommunaux sur le territoire hexagonal. (source : http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-71827qe.htm) Ce doit être davantage désormais, surtout que le ministère offre des financements à qui veut se lancer dans l'élaboration de PLUi, mais il y a une vraie réticence chez les élus communaux, ceux-là peinant assez souvent à traiter de questions urbaines à un échelon supérieur.

  15. Un PLU peut être défini au niveau d'un agglo, voir sur des périmètres beaucoup plus larges, en agglomérant des zones périurbaines et/ou sur des bassins incluant des zones rurales , intégrant des problématiques de transport, des zones de chalandise, etc...

     

    Des PLU intercommunaux, il ne doit pas y en avoir des masses. Les maires voient en ces PLU intercommunaux une manipulation du diable qui vise à les destituer de leurs compétences en matière d'urbanisme. Ensuite, rien n'empêche de fusionner différents secteurs géographiques du cadastre. D'ailleurs, les producteurs de PLU s'appuient assez régulièrement sur les cadastres - quand bien même certains mériteraient une lourde actualisation - pour établir ces documents d'urbanisme. 

  16. Oui mais ce sont en fait des plan dérivé qui servent a cela, même si en pratique ces géré par les même personne de la même commune. Si tu va en mairie tu va d'un coté te retrouver avec les vieille feuille cadastrale toute moisi mesuré au décamètre avec une projection "terrain" et d'un autre coté un super plan de gestion des risques numérisé dans le SIG dernier cri en 3D etc. mais tu n'as pas de lien direct entre les deux documents, sauf qu'ils sont mis a jour de manière symétrique. Meme chose pour le PLU qui s'interesse au la constructibilité etc. Le PLU c'est matériellement un autre plan! Tu peux te retrouver avec des commune ou le PLU est intégré dans un SIG et le cadastre encore en feuille dessiné a la main projeté "à l'américaine". Dans les cas parcellaire complexe c'est pas évident du tout de superposer les deux d'ailleurs.

     

    Si la commune a un PLU, c'est déjà que tu es en terre civilisée. Beaucoup en sont encore au POS ou à la carte communale. En revanche, les coins du territoire hexagonal n'étant pas encore couvert par un cadastre dématérialisé doivent être rares, sachant les efforts entrepris par la DGFP et nombre de conseils généraux en la matière. Il me semble que l'ensemble du territoire hexagonal doit être couvert ou pas loin. En revanche, le travail de vectorisation n'est sans doute pas totalement achevé sur certains coins. Et le vrai problème, c'est surtout l'actualisation des données. On peut numériser et vectoriser, mais si les données d'origine sont surannées...

  17. Les infos sont contradictoires, d'un côté on dit que c'est un fiasco. mais par ailleurs il semble que certaines régions disposent d'un cadastre électronique...

    https://e-justice.europa.eu/content_land_registers_in_member_states-109-el-maximizeMS-fr.do?member=1

    http://cadastre.pagesperso-orange.fr/Fichiers/97Grec.pdf

     

    En fait, on peut tout à fait avoir un cadastre électronique sans pour autant que les données soient fiables, ce qui pose problème lorsque l'on veut s'appuyer sur celui-ci dans une optique fiscale ou judiciaire. Pas mal ta référence d'Etudes foncières. Dès que j'aurai un peu de temps, je ferai une petite recherche bibliographique sur le sujet et creuserai la question.

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  18. Les lords of war afghans se frottent les mains : dans un contexte de conflits entre forces afghanes et talibans aux alentours de Kunduz, les populations cherchent à s'armer pour assurer leur sécurité. Bien des différends se règlent à l'arme à feu, le forfait pouvant ensuite facilement être mis sur le dos des talibans. Aux dires d'un de ces commerçants en armement, le prix de la AK47 aurait presque triplé en huit semaines. Certains empruntent pour acheter leur kalash. 

     

    http://www.afghanistan-today.org/en/articles/politics/2056/Kunduz-residents-take-up-arms-as-Chahar-Darah-is-wrestled-from-the-Taliban-by-Afghan-forces.htm

  19. Finalement le Typhoon ne va pas entrer en concurrence avec le F-35 ? Un des deux ne risque-t-il pas d'être de trop ? 

     

    Normalement, ils devraient être particulièrement complémentaires. Mais avec la tendance que peut avoir le F-35 à siphonner tous les crédits, il peut effectivement y avoir une concurrence, non pas opérationnelle mais budgétaire. 

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