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Messages posté(e)s par Skw

  1. Le livre d’Elliot Roosevelt que vous citez Skw – et que je ne connaissais pas sous ce titre de « Has he saw it » – mais sous le titre de « My father Told Me » (Mon père m’à dit), [Pourquoi ce titre ?], présenté ainsi à la presse américaine après guerre en 1945 [Dans la revue VOIR édité en Français] et préfacé par sa mère Eleanor Roosevelt qui à défendu et son fils et ce livre. Car cet ouvrage fut  l’objet d’une dure critique par les médias Américains, du fait de l’angélisme de l’auteur concernant  l’Union Soviétique.

     

    En anglais, il me semble que le titre a toujours été "As he saw it". "My father told me" est probablement la traduction littérale du titre de l'ouvrage en français. Ensuite, je ne crois avoir lu l'ouvrage qu'en diagonal et j'aurais donc bien du mal à avoir une position sur le discours tenu par Elliott Roosevelt quant à l'URSS. En revanche, en 1946, bien qu'on ne soit pas encore dans la "période maccarthyste" à proprement parlé, on commence déjà à mener la chasse aux sorcières. Certains sénateurs américains, parmi lesquels Maccarthy, accusent déjà l'administration Truman de complaisance envers les thèses communistes et certains de leurs membres d'être des communistes. Cela peut peut-être expliquer pour partie la réception de l'ouvrage côté des médias.

     

    Sinon, il est à noter que si le livre a été publié peu après la mort de Franklin Delano Roosevelt, bien des protagonistes - des différentes parties - étaient encore vivants et auraient été en mesure de réfuter la retranscription de certains échanges si jamais ceux-là avaient été faux. On a donc un document qui présente un angle de vue bien évidemment, mais qui doit relater les faits avec une certaine fidélité.

  2. Ça arrive souvent. La raison de l'inculpation c'est d'avoir démarché - et donc incité - des client belges et français. Que le démarchage se fasse par téléphone ou physiquement c'est la meme. Mais dans la plupart des cas les banques qui pratique ce genre de blanchiment envoie des émissaires pour valider en personne le deal, et souvent des mule pour transporte du "liquide".

     

    Le fameux carnet du lait d'UBS. Par contre, là où se pose peut-être la question de la territorialité - je ne suis pas un expert en la matière, loin de là - c'est que l'information judiciaire ouverte en France vise non seulement une "démarche illicite" mais également un "blanchiment en bande organisée de fraude fiscale"... Or, le blanchiment semble avoir lieu en Suisse, sans que celui-ci ne soit condamnable en droit suisse, si j'ai bien compris. La question me semble être la suivante : peut-on attaquer ce blanchiment, normalement légal en Suisse, si celui-ci est couplé à un démarchage ayant apparemment eu lieu sur le territoire français ?

  3. En relisant mes écrits cités dans le post de Gibbs, je m'aperçois que ceux-là peuvent porter à confusion : ce sont les propos rendus publics, jadis adressés à un journaliste américain ou l'un des ses fils (je ne me souviens plus bien), qui doivent dater de la fin de la décennie 1940. Roosevelt est décédé en 1945. Par contre, je ne me souviens plus de quand datent les propos originaux. Si j'ai un peu de temps, j'essaierai de retrouver ça.

     

    Ci-dessous, un extrait de "As he saw it", un ouvrage publié par Elliott Roosevelt en 1946 dans lequel il rapport certains propos et échanges de son père. Il me semble que les propos rapportés datent de 1941 : http://www.shafr.org/classroom_documents/Roosevelt%2CAsHeSawIt%2C1946.pdf

     

    PS : En fait, ce n'est pas les propos que je cherchais, mais on y voit bien néanmoins la volonté de faire tomber les barrières commerciales du côté de l'Empire colonial britannique. 

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  4.  

    François Lannuzel 10 Juin 2014 à 04h16 :

    "L'avion est trop cher, trop lourd, trop complexe, pour que la plupart des pays puissent l'acheter."

     

    Dassault devrait peut-être se mettre à la fabrication de planeurs d'attaque. Elle est là la 6ème génération !

  5. Oui, on a d'ailleurs des propos de Roosevelt, qui doivent dater de la fin de la décennie 1940 si je me souviens bien, où il explique que le colonialisme est critiquable entre autres parce qu'il est une entrave au marché commercial.

     

    En relisant mes écrits cités dans le post de Gibbs, je m'aperçois que ceux-là peuvent porter à confusion : ce sont les propos rendus publics, jadis adressés à un journaliste américain ou l'un des ses fils (je ne me souviens plus bien), qui doivent dater de la fin de la décennie 1940. Roosevelt est décédé en 1945. Par contre, je ne me souviens plus de quand datent les propos originaux. Si j'ai un peu de temps, j'essaierai de retrouver ça.

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  6. Quel rapport ? L'atterrissage est une phase critique du vol pour tout avion. Les causes possibles d'une défaillance ou d'un incident sont nombreuses, y compris celles qui ne remettent pas du tout en cause la qualité d'un appareil, comme par exemple l'absorption de corps étrangers par les réacteurs.

     

    Pour rappel, un extrait de mon précédent message : "Il faudrait en savoir davantage sur les raisons de ces crashs au décollage ou à l'atterrissage". A voir donc quelles sont les causes réelles de ces différents crashs, mais si l'avion présente quelques subtilités dans ses phases de décollage ou d'atterrissage... On a bien connu des modèles avec certains "particularismes" dira-t-on.

  7. Il faudrait en savoir davantage sur les raisons de ces crashs au décollage ou à l'atterrissage, mais ça laisse peu d'espoir à ceux qui pouvaient encore avoir ce rêve mouillé d'une version navalisée de l'Eurofighter... M'enfin, on ne peut pas interdire les rêveurs de rêver...

  8. Effectivement, Roosevelt n'aiment pas les pays colonialistes mais je ne pensent pas que s'était par compassion envers les colonisés.

     

    F.D. Roosevelt a par exemple montré publiquement une certaine attention à la cause des noirs américains. Néanmoins, il ne s'est jamais vraiment opposé aux groupes suprématistes sudistes. Ainsi, ce fut sous ses mandats que les écarts de richesses entre noirs et blancs explosèrent, ce fut également sous ses mandats que la ségrégation racio-spatiale se radicalisa fortement. Il y avait quelques ghettos noirs qui s'étaient façonnés au début du vingtième siècle, mais ces ghettos ont explosé en nombre à partir de la seconde moitié de la décennie 1930. Il y a des travaux statistiques très sérieux en la matière. La politique du logement menée par l’administration lors du New Deal a favorisé les propriétaires, essentiellement blancs, au détriment des locataires, essentiellement noirs. Les politiques de crédit et de rachat de prêts hypothécaires ont par exemple largement radicalisé le gap qui pouvait exister entre blancs et noirs. Et l'on se demande comment ces politiques auraient pu ne pas avoir été menées consciemment par l'administration Roosevelt. Eleonor Roosevelt, la femme du président regretta d'ailleurs le peu d'effort que son mari avait pu faire pour la condition des populations afro-américaines. Celles-ci devaient selon les textes bénéficier de droits et de libertés supérieurs à ceux des populations colonisées, mais dans les faits, notamment dans le Sud, les conditions n'étaient pas si différentes que cela. En certains aspects, la condition des noirs américains à cette période était même sans doute moins appréciable encore.

     

     

    Je pense plutôt qu'il connaissait le potentiel de puissance de son pays dans le futur. Et évincer les concurrents sa faisait aussi parti du plan [...] De toute façon avec l' affaire de suez on avait bien comprit qu'on ne voulait plus du retour de la GB et de la France. Je pense que s'est surtout par ce que se système était plus axé sur l' économie que le système colonial français. Les britanniques avaient un contrôle sur pas mal de choses à se niveau .

     

    Oui, on a d'ailleurs des propos de Roosevelt, qui doivent dater de la fin de la décennie 1940 si je me souviens bien, où il explique que le colonialisme est critiquable entre autres parce qu'il est une entrave au marché commercial. Tout au long de son propos, on saisit bien que la dimension commerciale de l'empire colonial britannique le dérange grandement... les points de critique qu'il avance semblent taper bien davantage sur le système britannique que sur le système français... peut-être aussi parce que la situation française était encore pire que la situation britannique. A voir si le propos n'était pas adapté à la situation géopolitique et aux ambitions en la matière. Autrement dit, cette question du libre-marché - entendre Roosevelt parler de libre-marché, elle est bien bonne ! - a peut-être été mise en avant en fonction de l'empire colonial à menacer en priorité. Si jamais, c'est l'empire français qui avait constitué une menace, peut-être Roosevelt aurait axé son propos autrement.

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  9. Puis bon avoir tenté de dissimuler l'affaire, menti à la justice américaines, plusieurs fois, fait volontairement trainer l'affaire etc. Bah sans tout ça, peut-être que le BNP n'aurait eu a payer que quelques centaines de millions, voir 1 milliard, sauf qu'il se sont payé la tronche de la justice US et que là-bas ça passe mal, donc il faut qu'ils assument.

     

    Désolé de sortir la tête de l'oreiller, mais quels sont les mensonges en question ? Merci d'avance ;)

  10. Roosevelt abhorre les régimes coloniaux, en 1941 ce qu'il espère secrètement c'est que le Japon attaque les possessions coloniales des Anglais et des Hollandais en Asie pour pouvoir mener une guerilla contre l'Empire et ce à peu de frais.

     

    Et encore, il semblait détester davantage encore le système colonial britannique. 

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  11. pour le rital je suis vert ... la tourelle n°IV de 320 mm était sous les tentes je me suis fait b... comme un bleu je n'avais pas fait attention à l'artillerie secondaire !

     

    J'ai aussi mis un moment avant de percuter qu'il y avait une quatrième tourelle à l'ombre.

  12. Le problème s'est que s'est surtout le côté pertes humaines qui a mis les américains en avant. Les britanniques ont eu moins de casse grâce à une bonne maîtrise des moyens à leur disposition. Un exemple ,les tanks amphibie US ont étaient lâché au large résultant un paquet de blindé coulé ,alors que les Britanniques ont fait débarqué leurs char amphibie au plus près des plages. On peu même observé que les parachutistes Britannique ont eu plus de succès et  assuré leur mission. Bien entendu il y a eu de la casse mais moindres en comparaison des US.

     

    Les Américains ont également eu à combattre à Omaha et sur la Pointe du Hoc, deux coins qui se sont avérés particulièrement consommateurs d'hommes... surtout que les frappes depuis la mer avaient été relativement peu efficaces. De plus, les Américains avaient deux fois plus d'unités aéroportées engagées que les Britanniques, avec des taux de mortalité en moyenne bien supérieurs à ceux des unités débarquées par mer. Qui plus est, les unités aéroportées US ont été lâchées sur des coins plus délicats.

     

    Enfin, d'un point de vue plus stratégique, les Américains ont eu tendance à privilégier la rapidité d'action. Il y avait d'ailleurs en la matière une différence de points de vue entre les deux états-majors, les Américains considérant que les Britanniques ne mettaient pas tous les moyens nécessaires pour obtenir l'avancée rapide voulue et atteindre les objectifs dans les temps. Or, aller plus vite, c'est souvent sacrifier plus d'hommes... pour peut-être épargner davantage de vies par la suite... C'est toujours compliqué à estimer.

  13. Mais peut-être certains en étaient ils restés aux faramineuses commandes de  F104 mais qui lui n'était pas réellement en service au sein de l'USAF çà fait une (très) grande différence.

     

    Si je me souviens bien, c'est justement parce que Lockheed redoutait un réduction massive de la commande du côté de l'USAF que la société a joué son va-tout en proposant de nombreux avantages pour les clients, avec notamment une participation à la fabrication.  Si jamais Lockheed n'avait pas été dans une situation aussi bancale à l'époque, sans doute la société n'aurait-elle jamais proposé une telle offre. Autrement dit, le rapport de force n'était pas le même.

     

    En outre, avec le F-35, censé remplacer la très grande majorité des aéronefs US, le Pentagone ne peut pas se permettre de laisser passer n'importe quoi. Et LM sait que la Maison blanche et le Pentagone pèseront dans la balance auprès des "alliés-vassaux" si jamais le programme est mis en danger. A l'époque du F-104, en plein contexte de guerre froide, l'état major et le pouvoir politique américains avaient intérêt à ce que les pays de l'OTAN aient un avion à opposer aux soviétiques.

  14. Si les Russes voulaient définitivement pousser les Indiens à aller voir ailleurs en terme d'équipement, ils ne pouvaient pas mieux faire  :-X

     

    C'est relativement étonnant... parce que c'est précisément le moment où Poutine aurait eu besoin d'alliés. Et sur le plan international, je ne suis pas sûr que le Pakistan lui soit d'une aide aussi grande que ce que n'aurait pu l'être l'Inde. En outre, l'Inde avait justement eu tendance à prendre ses distances avec les USA. Et le Pakistan montre une certaine proximité avec la Chine, ce qui ne devrait pas réjouir plus que cela Poutine...

  15. Les marines occidentales sont dans une tendance de réduction en volume des personnels embarqués sur leurs navires et submersibles, cela notamment afin de réduire la masse salariale. Les entreprises oeuvrant dans le domaine du naval militaire l'ont d'ailleurs bien compris et proposent désormais des architectures et degrés d'équipement censés permettre cette réduction en nombre des personnels embarqués. La Fremm en est d'ailleurs un des plus illustres exemples.

     

    Néanmoins, il semblerait se dessiner une tendance inverse, ou sinon moins radicale. La US Navy cherche à revaloriser en quantité ses équipes de maintenance à bord afin de réaliser d'avantage d'opérations de maintenance en mer et ainsi réduire les semaines passées à quai pour leurs différents vaisseaux :

     

    Citation

    Navy Increases On-Board Ship Maintenance

     

    By Kris Osborn Tuesday, June 3rd, 2014 5:32 pm

     

    The Navy plans to add more maintenance personnel to ship crews and perform more maintenance activities on-board ships as they are deployed in order to reduce the costs and time needed at the shipyard upon their return, service leaders said.

     

    Naval Sea Systems Command leader Vice Adm. Willy Hilarides pointed out that 78-percent of the Navy’s 289 ships will still be in the water in ten years, a circumstance which underscores the importance of maintenance and modernization. The demand for Navy ships is expected to increase and budgets are likely to remain challenged, making ship maintenance even more important, he said.

    Adding maintenance personnel to ship crews helps reverse the impacts of a decade-old plan called “optimal manning” which sought to reduce crew sizes with a sharper warfighting focus and improved on-board technology.

    “We went through a period where we said we are going to downsize the size of the crews, saying we’re really going tighten that up and make them just about warfighting. I would say we probably went a little too far — so we’re putting back into the engineering departments of those ships,” said Hilarides.

    The idea is to man ships with enough personnel so that sailors can learn how to maintain their own ship to a large degree, Hilarides explained.

    For example, sailors on board a ship would be able to repair a broken fire pump by replacing the bearings, seals and properly aligning the pump, he added.

    Placing more maintenance personnel aboard ships helps the Navy by better sustaining ships and further refining technical skills and training for sailors who are engineers and mechanics, Hilarides explained.  In addition, performing maintenance work at sea greatly reduces the shipyard maintenance costs.

    The Navy is still building and upgrading ships with a mind to increasing efficiency of personnel on  board and lowering costs, meaning there are instances where next-generation technology or improved automation will reduce the need for  personnel on-board certain ships.

    This is the case with the Ford-class aircraft carriers and Zumwalt-class destroyers, both of which are engineered with new technology including much more automation compared to their predecessor vessels; more automation translates into a reduced crew size which lowers operational and sustainment costs for the ship.

    The Ford-class aircraft carriers are slated to carry a crew of about 5,200 sailors if you include the air wing, a number that is about 800 sailors less than Nimitz-class carriers which preceded them.  Even though there may be fewer sailors on-board a Ford-class carrier, the mixture of sailors assigned to the ship is likely to ensure that there are sufficient engineers and mechanics on-board to perform the requisite maintenance functions.

    As a result, lowering costs by having more maintenance personnel on board and making ships more efficient in terms of their crew size are mutually-reinforcing efforts, Navy officials said.

    One analyst said adding engineers to ship crews could help the Navy get through a time of strained budgets.

    “It stands to reason that there is a category of things that are reasonably easy to fix if you have mechanics on the ships. There’s a lot of pressure on the Navy right now due to flat budgets and rising personnel costs,” said Benjamin Friedman, research fellow in defense and homeland security studies at the Cato Institute, a Washington D.C.-based think tank.

     

    Source : http://www.dodbuzz.com/2014/06/03/navy-increases-on-board-ship-maintenance/

     

  16. On se demande pourquoi la justice s'est réveillé apres la bataille ... visiblement les autorité de régulation et les pouvoirs publics étaient bien contents de voir l'argent couler a flot. C'est cette hypocrisie que je condamne, le laisser faire parce que ca arrange bien tout le monde, et ensuite de désigner un seul bouc émissaire alors que tout le monde en a croqué.

     

    Que la justice se réveille après la bataille, c'est d'une certaine manière assez logique : la justice fonctionne le plus souvent en cas de préjudices reconnus. Par contre, oui, les autorités de régulation (m'enfin, celles-ci sont le plus souvent structurées pour ne pas réguler grand chose) et les pouvoirs publics n'ont pas fait grand chose. On a même vu des personnalités politiques encourager cette politique des subprimes... Sur ce point, je partage tout à fait ta position.

  17. Ça m'a fait réagir aussi. Plutôt que de misogynie faudrait parler de sexisme, même avec la traduction "moins polémique", un sexisme de type vielle galanterie suranné dans ce cas. Et gros beauf dans le premier.

     

    En même temps, sans être un grand fan de Vlad, ça me fait rire de voir les gens s'offusquer pour ce sexisme quand au préalable Clinton y va allègrement dans la comparaison hitlérienne et le point Godwin... Poutine n'est d'ailleurs pas non plus un débutant en la matière... On sélectionne bien ses colères. Bientôt, on risquera bien plus d'indignation en détruisant des arbres au 155 mm qu'en commettant un génocide : "Vous voyez bien que les frappes ne sont pas chirurgicales : les arbres décimés sont à compter parmi les victimes collatérales de ces attaques censées neutraliser des cibles humaines !"

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  18. Aucun banquier ne te met le couteau sous la gorge pour acheter ce que tu ne peux pas payer ... et aucun ne te force a prendre des placement a fort risque.

     

    Certes les clients ont pour nombre d'entre eux une responsabilité claire. Néanmoins, autour de cette question des subprimes, nombreux furent tout de même les acteurs bancaires à avoir été condamnés par la justice américaine pour défauts d'information, tromperies, faux en écriture, etc.

  19. c'est incroyable la façon dont les deux journalistes se sont permis de parler

    sur un ton parfois accusatoire et un parti pris flagrant en lui nettement coupant la parole en particulier elkabach

    tous les français ne partagent bien entendu pas la position de ces deux journalistes

     

    Drôle conception de la presse et de sa relation avec les Français. Je ne suis clairement pas un fan d'Elkabach, mais pourquoi vouloir se dissocier de ces deux journalistes ? Si la presse se veut indépendante, c'est qu'elle n'est pas censée te représenter. Tu n'es donc en aucun cas associé aux méthodes de ces journalistes... ou à d'autres d'ailleurs. On aurait pu à la limite se poser la question pour des journalistes bossant sur le service public, mais là je ne vois pas...

  20.    Il y avait une offre US sur ce coup ? Ou rien (genre en gros ils ont laissé faire en considérant que c'était le meilleur achat possible)

     

    Il y avait également TKMS et Damen sur le coup. En outre, il ne faut pas oublier qu'il y a également 3 des unités qui seront construites à Alexandrie, dans le cadre d'un transfert de technologies. Sur le matériel US, le ToT c'est toujours plus compliqué.

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