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Héliphas

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Tout ce qui a été posté par Héliphas

  1. Q (il a dit "faut que tu dormes")
  2. Je résume : _ sur le fil sérieux usa on dit des conneries _ sur le fil pas sérieux usa on dit des choses sérieuse _ sur le fil covid on parle alaitement Parfait !
  3. Ben non ils ont cassés tout ceux qui pouvait volé dans les films, donc y en a plus...
  4. Faux, y a celui utilisé dans un Die Hard qui a volé ! Quoi, les images de synthèses ça compte pas ?
  5. Blog du monde diplo : https://blog.mondediplo.net/police-etats-unis-france L'auteur Frédéric Lordon (https://fr.wikipedia.org/wiki/Frédéric_Lordon) C'est un point de vue intéressant, alors y a les biais de son bord politique, mais son point de vue mérite d'être exprimé, notamment sur la banalisation des émissions sur les polices divers et leurs méthodes. En bonus sur le coté systémique etc le défenseur des droits https://www.liberation.fr/france/2020/06/02/le-defenseur-des-droits-denonce-un-cas-de-discrimination-systemique-par-la-police_1790094?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR0IigU9-k-EeiDAyDVolNK8_mU39892bzk-Xffk9Ti2m2gsQ8m_1-c9KLk#Echobox=1591118417 (On frole le hors sujet, on est sur le sujet des USA, mais on a évoquer sur ce fil ou celui crillerie USA une comparaison entre les deux polices, d'ou ce poste, par contre peut être à terme faire un autre sujet ? Par contre, beau champs de bataille pour la modération je le crains.)
  6. Comment on fait pour voir les images de twitter sur firefox ? Car je les vois jamais c'est un peu lourd à force...
  7. Alors pour avoir lu l'article, justement il indique en quoi ce parralèle est au fond assez boiteux. Que juste compté les morts / blessé est totalement insufisant pour comparé.
  8. 1/ Alors c'est aussi très étudiés au niveau de la sociologie, de l'anthropologie et de la géographie. Donc pas vraiment les mêmes logiques. En terme de racisme institutionnel, peut on dire que les test pour pouvoir voter dans certains états ne sont pas des réglementations institutionnels pour se protéger d'un type de vote ? 2/ Comment ça ? Je veux bien des sources, car c'est assez intéressant. Les USA fournissent des statistiques sur l'origines des populations et leurs accès aux études supérieurs / CSP + ? Balayer comme ça, les logiques du racisme systémique en le cachant sur des problématiques électorale m'étonnes toujours un peu, je n'ai pas l'impression (et si quelqu'un à des sources je prends) que ce soit très porteur en terme de vote et de vision électorale.
  9. Alors là je ne suis pas en accord avec ces dires, je pense qu'il faut distingués les traits culturels, qui sont proche de l'ethnie et non de la race. Et vu que je ne suis pas forcément bon avec les mots, je vais reprendre le même livre que plus haut pour apporter la distinction entre les deux :
  10. Vu que ce terme est souvent utilisé, je suis aller chercher une définition : Racisme individuel, racisme institutionnel et racisme systémique Le recul de la légitimité du racialisme et l’adoption de législations antidiscriminatoires ont en partie modifié les modalités d’expression du racisme. Si l’expression directe, l’hostilité avouée ou la discrimination ouverte ont quelque peu reflué, les inégalités et les stratifications « raciales », elles, persistent. C’est pour analyser cette nouvelle situation qu’un certain nombre de propositions conceptuelles ont été élaborées depuis la fin des années soixante. En l’état actuel, ces notions (qui prennent généralement la forme d’une adjectivation du mot racisme), sont toutes encore en débat, ce qui fait que leur définition est encore quelque peu mouvante. Leur emploi exige donc, en chaque cas, d’être explicité. 48La distinction entre racisme individuel et racisme institutionnel (institutional racism) est venue de militants des droits civiques aux États-Unis. Ceux-ci ont fait valoir que l’inégalité structurelle des Noirs américains n’est pas seulement le fruit des préjugés, des intentions et des comportements discriminatoires de la majorité blanche (racisme manifeste), mais le produit d’un ensemble intégré de dispositifs qui assure la perpétuation du pouvoir des Blancs et défavorise systématiquement les Noirs dans la compétition (racisme caché). L’ouvrage de Carmichael et Hamilton, Black Power : The Politics of Liberation in America, publié en 1967, a ainsi inauguré une série de travaux sur le racisme en tant que structure sociale découlant de règles, de procédures et de pratiques, souvent routinières, appliquées par les institutions (terme ici entendu au sens large, incluant les organisations, les appareils bureaucratiques comme les institutions formelles). L’apport indéniable de la notion de racisme institutionnel est d’avoir mis en lumière l’imprégnation de fait du « sens de la suprématie blanche » dans le fonctionnement aveugle des institutions. Elle a aussi souligné l’extension du fait raciste – indépendamment ou à côté des formes discursives et comportementales explicitement référées à une idéologie, une doctrine, ou des préjugés – et ses effets dans la perpétuation des inégalités « raciales ». Cette notion continue de faire l’objet de nombreux débats, dans lesquels il serait trop long d’entrer ici. On notera seulement deux difficultés généralement admises. La principale est son fonctionnement logique circulaire. Le « racisme institutionnel », en effet, englobe d’une part, les comportements (individuels ou collectifs) et les processus (bureaucratiques, institutionnels), et, d’autre part, leur résultat, à savoir la stratification « socioraciale ». Du coup, causes et conséquences de l’inégalité se démontrent les unes par les autres. La seconde tient au caractère « globalisant » de la notion, qui fait toute sa vertu dénonciatrice, mais pose quelques problèmes analytiques lorsqu’il s’agit de mieux comprendre ce qui se passe au sein même des organisations. On peut en effet y trouver de la coutume institutionnelle structurellement discriminatoire (le racisme de l’institution, de fait institutionnalisé ou bureaucratisé), mais on y observe aussi, parfois de façon systématique, une application discriminatoire de règles qui ne le sont pas par elles-mêmes (que l’on songe aux contrôles plus « tatillons », aux exigences de « preuves » supplémentaires, à la non-prise en considération de certaines réclamations ou aux soupçons a priori infligés aux minoritaires) qui forme ce que l’on appelle parfois fort clairement mais un peu restrictivement « racisme de guichet », et qui relève, plus généralement, du racisme dans l’institution, parfois dans une tolérance générale (la police, la justice, la douane en offrent des exemples multiples, mais aussi nombre de services, publics ou non, tels que les organismes de sécurité sociale, les banques, les assurances, etc.). Ces deux formes de racisme distinctes, lorsqu’elles se cumulent, composent ensemble ce véritable racisme « institutionnel » ou structurel que dénoncent à raison leurs victimes. Pour dépasser l’opposition parfois jugée trop rigide entre racisme individuel et racisme institutionnel, et surtout pour montrer leur caractère cumulatif, certains auteurs ont proposé le concept de « racisme systémique ». Celui-ci est présenté comme le résultat ou, plus précisément, comme le point de rencontre entre des formes « interactionnelles » et des formes « structurelles » de racisme. Les premières sont constituées des « micro-inéquités » répétitives et corrosives, mais inattaquables juridiquement, les secondes par les règles et procédures de traitement, l’une et l’autre formes étant incorporées aux règles éthiques et socioculturelles du fonctionnement ordinaire des institutions, voire des sociétés tout entières. L’intérêt de la notion de racisme systémique est de montrer que chaque type ou mode de discrimination, potentialise les autres et de montrer la multiplicité des acteurs individuels ou collectifs qui y participent, y compris, souvent, les personnes qui en sont elles-mêmes victimes. [...] Discrimination directe et indirecte S’agissant de discrimination, on est dans l’ordre des actes, des faits et de leur interprétation plutôt que dans celui des opinions, des représentations, des stéréotypes. La distinction entre discrimination directe et indirecte, cependant, est à peu près l’équivalent « comportemental » de celle qui sépare racisme ouvert et racisme voilé. La discrimination directe est immédiate et intentionnelle : elle a pour fonction et effet de maintenir ou renforcer, sans détour ni masque, l’infériorité et la subordination des minoritaires. La discrimination indirecte, au contraire, est un traitement formellement égalitaire, mais qui a pour conséquence d’établir, d’accomplir ou d’entériner l’inégalité. On lit aussi quelquefois « discrimination volontaire » versus…. On retrouve ici le mode de fonctionnement du racisme institutionnel ou du racisme systémique : les critères discrets et routiniers, les habitus partagés qui forment le jugement et l’évaluation peuvent avoir un effet d’autant plus défavorable aux minoritaires que ceux-ci n’ont aucun moyen légitime de les contester dans leur principe. Source : de Rudder Véronique, Poiret Christian, Vourc’h François, « 2. Précisions conceptuelles et propositions théoriques », dans : , L'Inégalité raciste. L'universalité républicaine à l'épreuve, sous la direction de de Rudder Véronique, Poiret Christian, Vourc’h François. Paris cedex 14, Presses Universitaires de France, « Pratiques théoriques », 2000, p. 25-46. URL : https://www.cairn.info/l-inegalite-raciste--9782130508861-page-25.htm
  11. Ca va aider a apaiser ça : https://www.letelegramme.fr/monde/un-camion-citerne-fonce-sur-une-foule-de-manifestants-a-minneapolis-video-01-06-2020-12559773.php Au cas ou il y a un doute : Ironie
  12. Oulà on en est très loin : https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/police-municipale-effectifs-par-commune/
  13. Courrier International Publié le 31/05/2020 - 18:59 Minneapolis. Le lourd passif du policier inculpé pour la mort de George Floyd En près de 20 ans de carrière, Derek Chauvin, l’officier qui a été filmé agenouillé sur le cou de Floyd, a fait l’objet de 17 plaintes sans que sa carrière soit jamais remise en cause. Malheureusement, son cas est loin d’être “inhabituel” dans la police américaine, observe le New York Times. En près de 20 ans de service avec la police de Minneapolis, Derek Chauvin, l’officier inculpé d’homicide involontaire après la mort de George Floyd, a fait l’objet “d’au moins 17 plaintes pour faute professionnelle”, rapporte le New York Times. “Aucune n’a fait dérailler sa carrière.” Au fil des ans, alors que “les commissions d’examen civiles se succédaient”, Derek Chauvin s’est “battu avec un homme avant de le blesser grièvement après avoir tiré deux coups de feu”, il a “utilisé un langage désobligeant et dégradant avec le public”, il a été cité “dans un procès pour brutalité”. Mais, selon le quotidien new-yorkais, les seules mesures disciplinaires dont il ait fait l’objet ont été “deux lettres de blâme”. Ce n’est que lorsque Chauvin, 44 ans, a été filmé “agenouillé pendant près de neuf minutes sur le cou d’un homme noir”, George Floyd, que le policier, “qui est blanc”, a été “suspendu, licencié puis, vendredi [29 mai], accusé d’homicide involontaire”. Le plus grave, selon le New York Times, c’est que le cas de Derek Chauvin “n’est pas inhabituel”. La police de Minneapolis (Minnesota) est en effet connue pour “sa longue histoire de pratiques abusives”. Dans un autre article, le quotidien indique ainsi que, “plus tôt dans sa carrière”, son actuel chef afro-américain avait lui-même porté plainte contre sa hiérarchie, accusée de “tolérer le racisme”. La police de Minneapolis n’a jamais complètement revu la façon “dont elle donne suite aux plaintes et punit les officiers”, ajoute le New York Times : "Ces dernières années, une poignée d’entre eux seulement ont été limogés ou sévèrement punis.” Des policiers responsables de leurs actes ? Même si l’indignation du grand public s’est accrue au fil des bavures policières, il reste “notoirement difficile aux États-Unis” de tenir les agents responsables de leurs actes, observe le quotidien : C’est en partie à cause du poids politique des syndicats de police, de la réticence des enquêteurs, des procureurs et des jurys à remettre en question la décision prise par un policier en une fraction de seconde et de la grande latitude que la loi donne aux agents pour utiliser la force.” À Minneapolis, les autorités ont rapidement pris des mesures contre Derek Chauvin et trois autres officiers impliqués dans la mort de George Floyd, les limogeant un jour après la diffusion de la vidéo de l’interpellation. “Mais cela ne signifie pas que les policiers sont partis pour de bon”, affirme le New York Times. Les agents peuvent faire appel de leur licenciement, et les faits montrent que les policiers “gagnent souvent”. Le quotidien cite ainsi une étude du St. Paul Pioneer Press, qui estime qu’entre 2014 et 2019, les policiers et gardiens de prison ont été réintégrés “dans 46 % des cas”. Le genre de laxisme, qui, selon le NY Times, a “renforcé les divisions raciales en Amérique”, avec des forces de police “en grande partie blanches” accusées de partialité et de brutalité “envers les communautés noires, latinos et les autres minorités”.
  14. On est donc en train de se rendre compte que la bestiole est là depuis plus longtemps, mais sous les scanners, qu'est ce qui peut expliquer que tout d'un coups, les cas est explosé ? Une mutation ?
  15. Ce forum détruit lentement ma foi en l'humanité
  16. Je dis pas qu'ils sont trop bon, je dis être mauvais a ce point c'est gros, ils ont forcément des gens compétents dans la chaine d'organisation, de décisions etc Tout le monde peut se planter, mais a ce point, si c'est eux c'est impressionnant, ça voudrait dire que personne s'est dit "c'est pas suffisant, c'est pas si, pas ça"
  17. Clairement y a un truc pas logique dans ce "raid" intervention ou ce que vous voulez, les USA on a l'habitude de se moquer d'eux, mais soyons réaliste deux secondes, c'est loins d'être des tanches, c'est pas une vingtaine de clampins débarquant sur les côtes qui vont mettre en l'air le gouvernement, surtout tous estampillé USA ou autre. Je pense que c'est surtout de la propagande pour le régime à destination du peuple, pas le reste du monde.
  18. https://www.courrierinternational.com/article/venezuela-washington-nie-avoir-joue-un-role-dans-linvasion-dejouee-par-maduro?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1588782267&fbclid=IwAR0keYID6z_5dusUzEjOuSUB3FtvRrdRzKKVVJqYXP4kqpjaXZnnxw4o824 Washington nie avoir joué un rôle dans l’“invasion” déjouée par Maduro Courrier international - Paris Publié le 06/05/2020 - 17:36 Deux anciens soldats américains ont été arrêtés lors d’une tentative de débarquement destinée à déposer l’homme fort du Venezuela. Depuis la Floride, un troisième a expliqué que l’opération était “toujours en cours”, rapporte la presse américaine, mais le gouvernement Trump a démenti toute implication. Les États-Unis ont-ils joué un rôle dans l’incursion d’hommes armés déjouée par le Venezuela ces derniers jours ? Selon le Washington Post, la situation restait confuse le mardi 5 mai, “alors que les deux pays échangeaient des accusations mais offraient peu de nouvelles informations sur la mystérieuse mission”, décrite par le leader vénézuélien Nicolás Maduro “comme une tentative d’assassinat”. Le ministre des Affaires étrangères du Venezuela a déclaré que deux Américains, “tous deux anciens soldats des forces spéciales américaines” d’après le quotidien de Washington, ont été arrêtés et sont interrogés par les autorités vénézuéliennes. Un air de baie des Cochons ? Pour le Washington Post, il serait présomptueux de dresser un parallèle avec l’affaire de la baie des Cochons – l’invasion ratée de Cuba en 1961 par des exilés cubains secrètement soutenus par les États-Unis. Dans un autre article, le quotidien indique en effet que les analystes “doutent” que le gouvernement Trump “ait joué un rôle sérieux” dans l’encouragement du raid anti-Maduro. Le mardi 5 mai, Donald Trump a nié “toute implication américaine”, et le département d’État a déclaré qu’une “importante campagne de désinformation” était menée par le régime de Maduro, “ce qui rend difficile la distinction entre les faits et la propagande”. D’après le Washington Post, les deux Américains, ainsi que six autres personnes, ont été capturés le lundi 4 mai, lorsque le petit bateau qui les transportait “a tenté d’accoster le long des côtes vénézuéliennes”. Le dimanche 3 mai, huit autres hommes, “apparemment vénézuéliens”, ont été tués et deux ont été capturés lors d’une tentative de débarquement séparée, selon les autorités vénézuéliennes. Un porte-parole de l’armée américaine, le lieutenant-colonel Emmanuel Ortiz, a confirmé “que les deux Américains capturés, Airan Berry et Luke Denman”, étaient “d’anciens membres des forces spéciales”, indique le Washington Post. Depuis la Floride, Jordan Goudreau, un ancien Béret vert américain qui dirige une société de sécurité privée, a annoncé l’incursion dans une vidéo diffusée le dimanche 3 mai. D’après le quotidien, il a déclaré avoir le soutien “de l’opposition vénézuélienne”, notamment du chef de l’opposition, le président de l’Assemblée nationale vénézuélienne, Juan Guaidó. Mais l’entourage de ce dernier a nié avoir eu des contacts avec Goudreau “ou avoir signé un quelconque accord avec lui”. Interviewé par Bloomberg, Jordan Goudreau a affirmé que l’opération, qui mobilisait “52 hommes”, était toujours en cours : La mission principale était de libérer le Venezuela, de capturer Maduro, mais la mission à Caracas a échoué. La mission secondaire est de mettre en place des camps d’insurgés contre Maduro. Il y a déjà des camps, ils recrutent, et nous allons commencer à attaquer des cibles tactiques.” Pour le Washington Post, cette “invasion bâclée” semble en tout cas avoir représenté une menace “bien moins réelle” pour la mainmise de Maduro sur le pouvoir que le “soulèvement étouffé il y a un an”, auquel Guaidó avait participé directement.
  19. Si seulement tout le monde le savait... Si seulement...
  20. Non mais soyons clair, je savais que c'était de la m...... je voulais juste avoir des arguments contre les gens (notamment des membres du conseil municipales de ma commune) qui diffuse ça. Certains diffuse le fait qu'il faut porter des lingettes swif (anti poussières) car ça protège du virus... Je sens que cette histoire de masque va devenir le nouveau nuage de tchernobyl ^^
  21. Les masques arrives et avec les joies des postes facebooks proposant une technique de lavage : Validité scientifique de tout ça ? Bah 0 c'est du on dit absolu. Si quelqu'un a les connaissance techniques pour validé, ou dire que c'est juste ou non ça m'arrengerais, car je sens que ça va surgir souvent celui là. (puis il combine tout les truc rhétorique, argument d'autorité, source inconnu, promet un système bien plus rationnel et pragmatique que ce qui existe etc) MASQUES. > > Protocole que nous appliquons. > > Mon mari est Professeur des Universités en Microbiologie et a travaillé, entre autre, sur les procédés et paramètres de destruction des micro organismes (bactéries, virus... ) > > Pour décontaminer votre masque QUEL QU'IL SOIT (masque jetable type chirurgical à plis, FFP2 bec de canard ou bricolage, tissu) il suffit de : > > - mettre un verre d'eau dans une casserole large (20 cm de diamètre) > > - porter l'eau à ébullition (c'est très rapide) > > - mettre le masque tenu par une fourchette, une baguette en bois... au raz de la casserole dans le nuage de vapeur pendant 15 secondes minimum (voir photos). > > Cela permet de réutiliser le masque rapidement après séchage. > > De plus, pour les masques en tissu, c'est un protocole nettement plus rationnel et pragmatique (rapidité, consommation d'eau et d'énergie ) qu'un lavage à 60 ° pendant 30 minutes en machine, pour obtenir la même efficacité de destruction. C'est moins contraignant, moins destructeur pour le masque (et au moins 500 fois plus économique en eau et énergie) . > > La vapeur à 100° dénature, détruit le virus.
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