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Chimera

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Tout ce qui a été posté par Chimera

  1. Alors ils sont pour la fusion mais disent qu'ils ignorent actuellement l'impact “sur nos champions nationaux”. Suis-je le seul a etre choqué par cette tribune?? On est pour, yora un impact chez Dassault, on en sait rien, mais on est pour.
  2. http://supersonique.blogs.challenges.fr/archive/2012/09/27/fusion-eads-bae-quelques-verites-a-retablir.html Fusion EADS-BAE : quelques vérités à rétablir
  3. http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120926trib000721436/eads-bae-systems-les-negociations-sur-la-parite-sont-terminees.html http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120926trib000721470/eads-bae-systems-mais-de-quoi-se-mele-l-etat-allemand-dans-cette-fusion-.html
  4. Chimera

    [Rafale]

    Cela devient effectivement un argument de poids. C'est la première fois que les US bloquent une FMS a la France de cette manière non? Qui peut s'en charger a la place de Boeing?
  5. Sauf que d'ici la un groupe US sera passé par là en promettant une bien plus belle rentabilité aux actionnaires actuels de BAE tout en protegeant la 'special relationship'!
  6. Ce qui a fait d'Astrium le 3eme du spatial, c'est pas vraiment l'européanité du groupe, on a vu ou ça nous a amené d'ailleurs (Europa), mais le succès des premiers lanceurs Ariane, des lanceurs bien français, peut etre trop a ton gout.
  7. Je n'ai jamais dit qu'il fallait tout faire dans son coin. Je remets juste en cause la gestion des négociations lorsque des grandes décisions ont du être prises et l'affaiblissement constant des intérêts français au fil des années. Mais peut être que ce n'est qu'une vision de l'esprit.
  8. Après avoir baissé ses commandes sur TOUS les programmes lancés en commun au sein d'EADS. Berlin voudrait faire jeu égal avec la France, sécuriser les emplois des sites de Cassidian qui a cruellement besoin de restructuration, avoir des garanties sur les investissements futurs, après avoir pris un malin plaisir à dégommer sur ordonnance les nombreux cadres français chez Eurocopter année après année. Nous avons été bernés à la création d'EADS avec la grande braderie de l'Aérospatiale par notre économiste en chef DSK, il va falloir nous préparer à la une nouvelle quenelle... après les transferts technologiques de Toulouse vers Hambourg (qui a maintenant autant d'employés qu'à Toulouse hors effectifs siège), après l'arnaque de la répartition de charge en fonction des commandes, les ratages de Hambourg sur l'A380, après le lobbying incessant pour que l'Allemagne augmente sa part du gâteau au sein d'Astrium, que va t'il falloir encore qu'ils obtiennent pour se sentir satisfaits? Le post de On se bat toujours pour ce qui nous manque le plus sur le blog de Merchet: http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Fusion-EADS-BAE-est-ce-une-bonne-idee-pour-la-France_a759.html
  9. L’Allemagne tente d’obtenir davantage de garanties et pousse Paris à sortir du capital d’EADS. Le projet de fusion entre EADS, maison mère d’Airbus, et le britannique BAE Systems est entré dans une zone de tension. «Le deal est en difficulté», lâche-t-on chez EADS. Parmi les nombreux dossiers à traiter, la question des droits des États français, allemand et britannique vire au bras de fer entre Paris et Berlin. «Les trois États se comparent. Aucun ne veut donner le sentiment à son opinion publique d’avoir perdu face aux deux autres», explique un proche des négociations. Comme le dit l’adage, «l’essentiel dans un mariage à trois, c’est d’être l’un des deux». Si le rapprochement EADS-BAE se réalise, Paris, Berlin et Londres se verront proposer en assemblée générale une «special share» ou action spécifique qui protège le capital en interdisant à tout actionnaire de détenir plus de 15% des titres, et impose une majorité d’Européens au conseil d’administration. De même, le président du conseil et le directeur général (CEO) seront européens. Elle évite toute prise de contrôle et protège les intérêts stratégiques relevant de la sécurité nationale. «Les États ont des droits car ce sont des États, non pas parce qu’ils sont actionnaires», résume un proche du dossier. Lagardère et Daimler insatisfaits de la parité Pour Londres, rien ne change vraiment puisque l’État, qui n’est pas présent au capital de BAE, troque sa «golden share» contre une action spécifique lui garantissant les mêmes droits. La situation est différente pour Paris et Berlin. L’opération rend caduc le pacte d’actionnaires franco-allemand - entre l’État français et le Groupe Lagardère (22,35 % ensemble) et le constructeur Daimler (22,35 % avec le pool bancaire Dedalus) - qui contrôle EADS depuis sa naissance en 2000. La fin du pacte entraîne celle des droits des actionnaires, notamment leur droit de veto sur les décisions stratégiques d’EADS. «François Hollande a demandé son avis à Merkel pour trouver un accord. Berlin, qui a zéro droit puisqu’il n’est pas directement actionnaire, essaie de profiter de l’aubaine pour obtenir davantage de garanties sur l’emploi, les investissements, les sites allemands, etc. La Chancelière pose des conditions et tient un langage différent à Paris et à Londres. Merkel s’est habilement placée au centre du jeu», explique-t-on de très bonne source. Actionnaires dilués Berlin veut proroger, au sein d’EADS-BAE, l’équilibre franco-allemand qui fut le principe fondateur d’EADS en 1999. Or, tel que présenté, le projet EADS-BAE ne convient pas à l’Allemagne, qui se sent marginalisée. Il prévoit une intégration de Cassidian, filiale défense d’EADS, dont l’activité est surtout située en Allemagne, dans BAE. Ce qui fait peser un risque sur l’emploi ainsi que sur la base industrielle allemande, explique le ministère de l’Économie allemand. Parallèlement, Thomas Enders, le président d’EADS, a décidé de faire de Toulouse, déjà siège d’Airbus, le centre névralgique du groupe. À cela s’ajoute le fait que l’État français sera le premier actionnaire d’EADS-BAE avec 9 % des intérêts économiques (contre 15 % d’EADS aujourd’hui). Les deux actionnaires privés seront également dilués: Daimler verra sa participation tomber de 15 à 9 % et le Groupe Lagardère de 7,5 % à 5 %. Or ces deux derniers veulent sortir, une fois l’Airbus A 350 XWB mis en service d’ici à mi-2014. Pour eux, l’essentiel est d’obtenir la meilleure valorisation possible, mais ils ne sont pas satisfaits de la parité retenue (60 % pour les actionnaires d’EADS, 40 % pour ceux de BAE). «Le management doit revoir sa copie», dit-on chez Lagardère. Et de rappeler que le groupe détient un droit de veto sur l’opération. C’est dans ce contexte que Berlin tente d’obtenir des concessions de la France. Idéalement, l’Allemagne souhaite voir Paris sortir totalement du capital. Avec un argument choc: nul besoin d’être actionnaire quand on est un État pour jouir de l’action spécifique. À défaut, «il faut que Berlin rachète les 15 % de Daimler directement ou indirectement. Et cela coûte 4 milliards d’euros», note un proche des discussions. La partie s’annonce serrée. Certains poussent François Hollande à se montrer conciliant comptant sur une Allemagne plus souple sur d’autres dossiers (l’Union bancaire européenne). D’autres le poussent à ne pas céder, redoutant «un bradage des intérêts français» http://bourse.lefigaro.fr/indices-actions/actu-conseils/eads-bae-berlin-engage-le-bras-de-fer-286653 Pourquoi est ce que j'ai un sentiment de déja vu? Pourquoi j'ai l'impression que ça va mal terminer cette histoire?
  10. En cas d'echec, un groupe US se positionnera sur BAe, sous l'impulsion du gouvernement britannique.
  11. Tiens, ca se réveille coté français... http://www.boursorama.com/actualites/eads-bae-fusion-entravee-par-des-obstacles-cote-francais-selon-un-quotidien-allemand-215ad713f451cfae93a5de78b8a9e94e Le journal, qui cite une source au sein du "cabinet du président de la République", évoque au rang des "obstacles décisifs" à la fusion le fait que la France "ne veut en aucun cas renoncer à sa part" dans le capital d'EADS.
  12. L’intérêt d'un fusion est notamment le transfert de technologies et savoir faire entre les différentes entités. Pouvez vous m'expliquer comment cela peut fonctionner avec ça: En revanche, coté aviation civile, BAE se régalerai: http://in.reuters.com/article/2012/09/23/bae-eads-idINL5E8KN18120120923
  13. C'est faux, faux, faux et archi faux. Le pouvoir britannique a toujours été très fortement impliqué dans les opérations de BAe. Le Foreign Office et MI6 ont agi pendant des décennies comme antenne commerciale du groupe. La collusion entre politiques britanniques et cadres dirigeants du groupe BAE a toujours été totale. Tous les contrats gagnés ces 15 dernières années l'ont été par l'appui total des institutions britanniques. Imaginer un groupe industriel comme BAE avec quelques contrats et clauses de confidentialités sur les Astute et missiles Trident et la "pleine latitude" pour le reste des opération, c'est de la pure fantaisie.
  14. Un gros actionnaire de BAE pas content du tout: Investor ire over BAE http://www.ft.com/intl/cms/s/0/eed14e84-03c1-11e2-9322-00144feabdc0.html#axzz278QQ9J3o The quaint town of Henley-on-Thames, well known for its regatta, is not usually associated with the bruising business of multibillion-euro mega-mergers and City deal-making. Yet the pretty market town, on one of the most beautiful stretches of the river Thames west of London, could play a decisive role in the success or failure of the €38bn merger planned between BAE Systems, the UK defence company, and EADS, Europe’s biggest civil aerospace group. Henley is the headquarters of Invesco Perpetual, the UK arm of Invesco Asset Management of the US, one of the biggest money managers in the world and BAE’s largest investor with 13 per cent of the company’s shares. It is possible that size of holding could be enough to block the deal. Neil Woodford, the company’s head of UK equities and a 30-year veteran in the stock-picking game, has held BAE’s shares for 25 years off and on and knows the company better than most. And he is not happy, say bankers familiar with the deal. Like many other big investors in both companies, he was angered by last week’s leak, which took them all by surprise, and is now concerned that a merger would not deliver synergies, or cost cuts, that would boost returns. There are also serious worries over government interference in the proposed new company, given the history of French and German behaviour at EADS. David Cumming, head of equities at Standard Life Investments and one of the few big investors to make a public statement, says: “It is a difficult deal politically because you’ve got political issues, not just Germany and France but also the UK [which will all have a say in the company], so we’re relatively sceptical.” A senior City banker adds: “No one saw this coming and that has upset a lot of people. The leak sparked a frantic round of meetings with investors in both BAE and EADS and Henley was the first destination for Ian King [bAE chief executive]. “We’ve been told that the meeting between Neil and King lasted several hours and got quite heated. Neil is a feisty character, who you don’t want to get on the wrong side of.” An equity strategist at a rival UK fund manager says: “Neil looks like an SAS soldier rather than a fund manager, with his muscular build [he works out twice a week] and cropped hair. You wouldn’t want to fight him verbally or physically. I suspect he gave Ian King a tough time.” Other top 10 BAE investors share Mr Woodford’s concerns. “I suspect Neil’s worries are the same as ours,” says one. “We want to know about synergies, both now in cost cuts and future synergies: will a new merged company boost growth and profits? We also want to know whether this company will be run strategically or commercially. From a strategic perspective it may make sense but commercially we are not sure whether it will make money for our investors.” For BAE shareholders, the main concerns centre on long-term prospects for dividend yields, as well as political interference. Investors who have bought BAE shares have mainly done so for the relatively high dividend yield of 5.5 per cent, which compares with 1.7 per cent for EADS. For EADS shareholders, worries are more about aligning themselves with what some say is an “inferior company” that will not necessarily open up the big US defence market where BAE has 40 per cent of its business. “We have already offloaded our shares,” says one big EADS shareholder. “We don’t like the idea of combining a commercial aerospace company with a defence company. EADS is diluting the commercial aviation story, which is a good one, with a defence story, which is a bad one.” These concerns are reflected in the share prices. EADS shares have dropped 13 per cent since the leak of the deal on September 12, while BAE shares – which should have benefited a lot more from the merger talk because it is the smaller target company – have risen a modest 3.5 per cent. A positive reaction would have been about 15 per cent, say investors. There are clearly doubts, therefore, among investors in London, Paris and Edinburgh, where many of the biggest shareholders are based, as well as Henley. “For now, we are undecided on whether we support this deal because the management and governments have not provided answers on some key questions,” says one big BAE shareholder. “We would like those answers soon but I don’t think we will get them soon. This is going to drag on.” The initial deal deadline of October 10, set by the UK takeover panel, is unlikely to be met, if this week’s meetings and the mood of many investors is a guide, he says.
  15. +20 sur le post de Tancrède :) Par contre, ça passe coté britannique: http://www.ft.com/intl/cms/s/0/d12f2050-03de-11e2-9322-00144feabdc0.html#axzz278QQ9J3o David Cameron is prepared to champion the €38bn combination of BAE Systems and EADS, after being convinced the deal would benefit the British defence company and the wider British economy. The prime minister is “broadly supportive” of the deal, according to political insiders, and sees no insurmountable barrier to BAE’s proposed link up with the European aerospace giant: “He sees the commercial logic,” said one. Mr Cameron is also prepared to explain the deal to President Barack Obama, in an attempt to reassure the US that the deal would not undermine BAE’s close relationship with the Pentagon or compromise its military secrets. Although Mr Cameron has not yet intervened in the matter, the pace of diplomatic activity will escalate after Angela Merkel, German chancellor, and French president Francois Hollande discuss the proposed merger on Saturday. Mr Cameron is likely to discuss the issue with Ms Merkel and Mr Hollande in the coming days, officials say, focusing in particular on national security and the merged company’s governance structure. If Mr Cameron is satisfied with the outline of the deal, British officials expect he would then endorse the merger in a conversation with Mr Obama. EADS and BAE, Europe’s biggest civil aerospace and weapons manufacturers respectively, want to create a European rival to Boeing of the US. EADS, owner of Airbus, would control 60 per cent of the combined company, and BAE the remainder. Although some MPs in Mr Cameron’s Conservative party are hostile to the deal because it will strengthen ties with Europe, the prime minister believes it will help BAE ride out peaks and troughs in the defence procurement cycle. Sir Jeremy Heywood, Mr Cameron’s top civil servant, is co-ordinating the government’s response to the proposed deal. Sir Jeremy is former head of UK investment banking at Morgan Stanley, which is advising BAE Systems on the deal. Bernard Gray, head of procurement at the Ministry of Defence, is also closely involved. The deal has raised the prospect that Vince Cable could be called on to address its potential public interest concerns, in which case the business secretary can instruct the Office of Fair Trading to investigate it. Mr Cable would then have to decide whether to clear the merger, refer it to the Competition Commission or clear it in return for certain divestments and guarantees. He was given a similar quasi-judicial role over Rupert Murdoch’s proposed takeover of broadcaster BSkyB two years ago, but had to step down after his impartiality was questioned. While in opposition, Mr Cable was fiercely critical of BAE over allegations of bribery by the defence group. In 2010 the company pleaded guilty to charges of false accounting and making misleading statements. J'aimerais que vous fassiez bien attention à ce qui est mis en gras dans cet article. Le conseiller de Cameron sur le dossier est un ancien président de la branche UK de la banque d'affaires Morgan Stanley. Je me demande qui conseille JY De Drian & notre président... certainement pas des spécialistes du monde de la finance. Cela montre bien que les britanniques sont concentrés sur un objectif bien précis dans cette affaire et c'est certainement pas la naïve Europe de la Défense...
  16. De l'autre coté de la manche, c'est l'inverse, les Britons trouvent qu'ils se font avoir sur le deal: BAE merger would be 'grand theft aero' for EADS, say analysts http://www.telegraph.co.uk/finance/newsbysector/industry/defence/9559355/BAE-merger-would-be-grand-theft-aero-for-EADS-say-analysts.html
  17. Daimler critique sur la fusion EADS-BAE Daimler, actionnaire de premier plan d'EADS, voit d'un oeil critique la valorisation retenue dans le cadre du projet de fusion entre EADS et BAE Systems, a dit aujourd'hui une source proche du dossier. "La réaction sur les marchés financiers illustre que la valorisation économique de l'accord est accueillie avec des réserves. Daimler en a également", a précisé la source. Daimler, qui détient directement 15% EADS et dispose de 22,5% des droits de vote du groupe, s'est refusé à tout commentaire. EADS est contrôlé par un partenariat entre Daimler et une partie française détenant également 22,5% des droits, où figurent l'Etat (15%) et Lagardère (7,5%). EADS, la maison mère d'Airbus, et le groupe britannique BAE Systems ont annoncé la semaine dernière discuter d'un rapprochement qui créerait un nouveau géant européen de l'aéronautique et de la défense, un projet motivé notamment par la baisse des dépenses de défense en Europe et aux Etats-Unis. Les actionnaires actuels de BAE détiendraient 40% du capital du nouvel ensemble et ceux d'EADS les 60% restants. Les analystes interrogés par Reuters ont estimé cette parité trop favorable à BAE compte tenu des perspectives beaucoup plus positives sur le titre EADS. http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/09/21/97002-20120921FILWWW00721-daimler-critique-sur-la-fusion-eads-bae.php
  18. Et jette donc un coup d'oeil au CAPEX/CA.... 1,87% en 2011 quand les entreprises du même secteur sont aux alentours des 6% de taux d'invest'. Ca fait peur pour une boite qui dit baser sa réussite sur la technologie.
  19. Paris seen as possible stumbling block By James Boxell in Paris All eyes have been on Paris since merger talks between Franco-German EADS and the UK’s BAE Systems became public, with the British side claiming their French counterparts were the most likely block to a deal. But even though some French government officials remain deeply unconvinced by the deal’s merits – and the country’s potential loss of influence over EADS – there is a grudging admission that it is not necessarily doomed to failure. “I really don’t think it’s a good idea for industrial reasons, more than anything. I’m not sure about BAE’s US business,” says a senior French defence official. “But it is going to be difficult to oppose politically.” That chimes with the view of Tom Enders, the German EADS chief executive, who has gambled that the deal will be backed by his French and German stakeholders. Pierre Moscovici, France’s finance minister, has made public his need to be convinced about “the strategic interest of a merger, the industrial effect, possible synergies, the governance of the entity, the future of our defence industry and employment”. But public opinion has been suprisingly muted, suggesting the EADS executives have – so far at least – managed to make the right kind of noises about protecting tens of thousands of French jobs and Toulouse-headquarted Airbus, the jewel in France’s industrial crown. The merger has been largely ignored by the non-business press, or consigned to small slots on inside pages, in marked contrast to the high level of interest across the Channel. While French officials stress that they are not the only ones to meddle in EADS’s affairs, pointing to German protests about Mr Enders shifting its headquarters to Toulouse, they also accept that Paris is indeed the biggest potential stumbling block. Extracting a coherent view from the French is made more complicated by the fact that François Hollande, the Socialist president, exerts a far looser grip on his ministers than Nicolas Sarkozy, his hyperactive right-of centre predecessor. “Much more than during the time of Sarkozy, ministers will be able to have their say on this topic,” says the defence official. As several people close to EADS say, the deal would not have been allowed by Mr Sarkozy because of his ties to Dassault, the French domestic rival to EADS. Jean-Yves Le Drian, defence minister, is thought to be at least sympathetic to the logic of a deal. But Mr Moscovici has not shown great enthusiasm, while Arnaud Montebourg, the leftwing industry minister, is a protectionist wild card. Nevertheless, the feeling in Paris is that if German officials sign up then their French counterparts could follow. That said, there are mutters about whether Mr Enders is backed fully by Angela Merkel, the German chancellor. There is also the possibility of raising about €3bn from the sale of France’s diluted 9 per cent stake in a merged BAE-EADS, useful as it tries to find more than €30bn of austerity savings. Though people involved in the talks have indicated that Paris may want to keep the holding. In common with other state actors in the negotiations, Paris is reluctant to be seen as the one spoiling the party. But it could put an effective stop to the deal by dragging its feet and making excessive demands, “as we did when we wanted to stay out of Eurofighter”, the official says. http://www.ft.com/intl/cms/s/0/997e4da2-01b3-11e2-81ba-00144feabdc0.html#axzz26rHdPGTy Quelle horreur de lire ça...
  20. C'est rassurant, des français aux abonnés absents pour défendre les intérêts de leur industrie nationale, face à des allemands qui se ménagent pour sauver Cassidian de la faillite. Des Anglais qui sentent la bonne affaire pour tirer un max de thunes de BAE... Excusez mon HS politique, mais l'activisme de l'ancien président n'aurait jamais toléré une telle situation.
  21. http://www.challenges.fr/transports-et-defense/20120913.CHA0786/fusion-eads-bae-lagardere-veut-etudier-toutes-les-conditions.html Finmeccanica se réjouit Bizarre cette réaction du groupe italien... se réjouir d'accords et d'un projet de fusion dont l'Italie est complètement exclue.
  22. A la seule différence que les EAU n'ont actuellement pas de besoin de remplacement urgent de leur flotte actuelle. Eux, leurs appareils tombent pas du ciel tous les mois.... A bon entendeur...
  23. Tactac, j'apprécie ton analyse mais là tu présentes un réorganisation optimale et fantasmagorique du secteur défense en Europe qui ne verra jamais le jour. L'intégration de DA dans EADS BAE? Peut être si les falcon de Charles, Serge et cie se crashent tous en même temps et que des Britanniques soient només à leurs places. Là ça serait envisageable. ^-^ Je veux bien être ambitieux mais là on est dans du pur délire. Je ne vois pas vraiment Britanniques et Allemands accepter par la suite l'intégration de DA car eux ils sont pragmatiques et se contre foutent des retombées industrielles en France et de l'ambition européenne dont tu nous parle. Une fois que c'est allemand, ça a tendance à le rester...
  24. Ah bon??? valider la création d'un groupe d'envergure mondiale qui faciliterait la vente de Typhoon partout dans le monde, alors même que la France lutte pour placer les Rafales de Dassault au travers de sa war room , ça te parait un manque d'ambitions toi?? La France n'a AUCUN intérêt à renforcer les positions d'EADS Cassidian et celles de BAE a l'international, si ce n'est au dépend de sa propre industrie de défense. La France a toujours eu plus d’intérêts dans la branche civile du groupe que coté systemes de defense. Il y a des dossiers biens plus urgents sur la table du président Hollande (Thales-DA-DCNS-Safran-Nexter) que celui d'EADS. EADS marche très bien comme il est, tu n'as qu'à regarder les créations d'emplois nettes effectuées par le groupe cette année en France. Quant aux opportunités américaines que BAE apporterait en cas fusion, tu n'as qu'à lire le communiqué de Boeing de ce jour. EADS n'aura rien de plus là bas que ce qu'il n'a déjà.
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