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Messages posté(e)s par 14F

  1. Je ne sais pas ce que cela vaut (extrait). Y a t'il quelqu'un qui a l'article en entier ?

    Les islamistes n'en démordent pas. Au fait, ils veulent quoi comme avions (je suppose qu'ils ne doivent pas vouloir du made in US non plus) ?

    http://tacticalreport.com/view_news/Kuwait:_Sheikh_Jaber_MP_Tabatabai_and_the_Rafale/1315

    Kuwaiti MP Waleed Tabatabai of the (Islamist) Reform and Development Bloc, who is currently visiting Beirut, is said to be expecting no Rafale deal between Kuwait and France. The following 412-word report sheds light on the subject and tells what the position of Kuwaiti Emir Sabah Al-Ahmad and Defence Minister Sheikh Jaber Al-Mubarak. It also tells what about the Rafale display in Kuwait

  2. A l'époque du déclenchement des hostilités, les marins de l'Armada étaient en formation à Landivisiau sur Super Etendard; formation qui s'est très vite arrêtée ensuite (à la demande de ?)

  3. S'il s'agit des combats aux Malouines,les argentins avaient quitté  l'aire naturelle de jeu des Mirage (haute altitude + haute vitesse). Au ras de flots, et à ces vitesses, ils sont entrés dans le domaine des Harriers, donc ce sont naturellement fait descendre...... ils auraient du rester en haut, c'est donc avant tout une victoire tactique de la RAF .

  4. @ RPD

    Encore un truc bien "tarte à la crème" des anglais pour dire à LM qu'ils ne sont pas contents ( affaire du deuxieme moteur RR, couts en hausses, délais,etc, etc) parce que le jour ou les UK achèterons des chasseurs français n'est pas encore venu.......

    Intox, c'est tout ce qu'il faut y voir

  5. confirmé.

    nom de Diou ! =D

    http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2010-05-18/paris-confiant-pour-le-rafale-apres-une-entrevue-sarkozy-lula/924/0/456238

    Publié le 18/05/2010 à 16:35 Reuters

    Paris confiant pour le Rafale après une entrevue Sarkozy-Lula

    Vos outils

       

    Le Brésil devrait prochainement confirmer son choix du Rafale français pour remplacer une partie de sa flotte d'avions de combat, a-t-on estimé mardi de source diplomatique française à la suite d'un entretien entre Nicolas Sarkozy et son homologue brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.

    Les deux chefs d'Etat, qui se rencontraient en marge d'un sommet Union européenne-Amérique latine à Madrid, ont évoqué notamment l'appel d'offres lancé par le Brésil pour l'acquisition de 36 avions de combat, a indiqué cette source.

    "On retire de cette discussion que la préférence (pour le Rafale) qui avait été exprimée par le Brésil en septembre dernier devrait être confirmée prochainement", a-t-elle déclaré.

    Brasilia doit se prononcer d'ici fin juillet  :P sur cet appel d'offres et choisir un partenaire pour une négociation exclusive.

    Yann Le Guernigou, édité par Yves Clarisse

  6. http://www.aerocontact.com/actualite_aeronautique_spatiale/ac-derniere-ligne-droite-pour-le-rafale-au-bresil~10185.html

    Dernière ligne droite pour le Rafale au Brésil

    publié le 18/05/2010 à 10:09, Matthias Blamont (Reuters)

     

    PARIS, 18 mai (Reuters) - La France espère remporter une victoire stratégique au Brésil en plaçant 36 avions de combat Rafale, mais les Etats-Unis n'ont pas dit leur dernier mot et l'élection présidentielle brésilienne du 3 octobre prochain pourrait rebattre les cartes.

    Brasilia doit se prononcer d'ici fin juillet  :O sur un appel d'offres de renouvellement de sa flotte d'avions de combat et choisir un partenaire pour une négociation exclusive.

    Aux côtés du Rafale de Dassault Aviation, le Gripen du suédois Saab et le F-18 Super Hornet de l'américain Boeing sont finalistes pour un contrat estimé à quelque cinq milliards d'euros.

    Le président Nicolas Sarkozy, très actif dans le dossier, devrait une nouvelle fois aborder la question mardi lors d'une rencontre bilatérale avec son homologue Luiz Inacio Lula da Silva, en marge d'un sommet Union Européenne-Amérique du Sud à Madrid.

    Les analystes et experts interrogés par Reuters s'accordent sur le fait que le constructeur français a de bonnes chances d'être retenu, mais ils préviennent aussi que la bataille se livrera jusqu'au dernier jour et qu'une entrée en négociation ne saurait assurer le fameux "ticket export" que Dassault attend depuis plusieurs années et après plusieurs échecs, notamment au Maroc et en Corée du Sud.

    "Les contacts entre les Brésiliens et les Français ont bien avancé, tant sur la question des transferts de technologie que de la maintenance en condition opérationnelle (MCO) mais Dassault ne veut pas réduire ses prix. Et puis il y a l'élection, et là on ne sait pas ce qui peut se passer politiquement", a déclaré à Reuters une source industrielle qui a tenu à garder l'anonymat.

    "Chaque semaine qui nous rapproche de l'élection nous inquiète un peu plus", ajoute une autre source, proche de la partie française.

    TENSIONS AVEC L'ARMÉE DE L'AIR

    Le ministre brésilien de la Défense, Nelson Jobim, s'est prononcé le 7 avril en faveur du Rafale en dépit de son coût, jugé plus élevé que celui de ses deux concurrents, tandis que le président "Lula" a exprimé sa préférence pour l'avion français à plusieurs reprises.

    Les électeurs brésiliens sont toutefois appelés aux urnes le 3 octobre pour élire un successeur au président "Lula", contraint de passer la main après deux mandats consécutifs, et, quelle que soit son étiquette politique, le futur président sera amené à s'impliquer dans le choix des avions de combat.

    "Même si le Rafale est retenu, et qu'une négociation exclusive s'engage dans les jours qui viennent, il est peu probable qu'elle aboutisse avant le passage de pouvoirs prévu fin octobre", explique une troisième source.

    Certains experts estiment même que le nouveau président pourrait exiger une pause de la négociation, voire le lancement d'un nouvel appel d'offres, car des généraux brésiliens plaident la cause du Gripen.

    "Il y a toujours des tensions entre l'armée de l'air et le gouvernement. Lula a opté pour Dassault et pour des relations industrielles avec la France, mais l'armée se fait une autre idée", fait valoir Richard Aboulafia, analyste Défense auprès du cabinet Teal Group, à Washington.

    "N'importe quel ministre de la Défense se range du côté de son gouvernement, mais le Rafale va peser sur le budget de l'armée qui privilégie le nombre d'avions et les heures de vol", poursuit-il.

    TRIPLE ENJEU

    L'arbitrage ne relève cependant pas seulement de considérations techniques. L'enjeu est stratégique, politique et économique pour le Brésil qui a fait du secteur aéronautique une de ses priorités autour de son constructeur phare Embraer.

    En sus de la question sensible du prix, la qualité des transferts de technologie proposés devrait jouer un rôle clé.

    Politiquement en revanche, le choix d'un constructeur américain pourrait s'avérer délicat pour Brasilia.

    "Il ne serait pas facile de justifier l'achat d'un appareil US dans un pays sud-américain. Les Etats-Unis ne sont pas populaires dans la région même s'ils ont une influence économique indéniable", observe François Heisbourg, conseiller spécial auprès de la Fondation pour la recherche stratégique.

    "Le choix du Gripen ou du Rafale serait bien moins difficile à faire passer dans l'opinion publique et auprès des voisins du Brésil", ajoute-t-il, un point de vue partagé par Richard Aboulafia.

    Boeing et le Pentagone resteront néanmoins très attentifs. Le porte-avions Carl Vinson de l'US Navy a effectué une visite en février à Rio de Janeiro avec des F-18 à son bord et un nouveau pacte de défense vient d'être signé entre les Etats-Unis et le Brésil, à l'image d'un accord comparable noué avec la France l'an passé.

    (Avec la contribution d'Andrea Shalal-Esa à Washington et d'Eduardo Simoes à Sao Paulo, édité par Dominique Rodriguez)

  7. @ SKW

    les brésiliens savent pertinemment que la décision sur la PAC n'est et ne peut être une décision franco-française, même s'il est vrai que la France bénéficie beaucoup de la PAC.

    A mon avis l'argument qui consisterait à conditionner l'achat d'avions de combat contre des facilités douanières sur l'agro-agri, (surtout sorti comme un lapin d'un chapeau) serait extrêmement contre-productive, parce qu'elle témoignerait définitivement de l'incapacité du Brésil a tenir des orientations stratégiques claires et des négociations loyales.

    Quand on sait les vicissitudes du round FX-2, avec son cortège d'infos/intox sur l'évéluation technique de chaque avion, la pression sur les prix, je vois mal Lula ou qui que se soit d'un peu sérieux dire : "Je ne vous achète pas vos armes, non pas pour un problème de capacité technique, ni même pour un problème de tarif, mais parce que je ne peux pas vendre mon soja ou ma canne à sucre."

    Non , décidément, je crois le process de sélection n'a que trop duré, que le suspense n'en est plus un, mais que tout le monde crois pouvoir "expliquer" les retards par de nouveaux pseudo-rebondissements.

    C'est de l'intox; "passez votre chemin" sur cette info.

    Gripen

    @ FaTac

    il faut peut y voir aussi la suite logique de la cession de la moitié des parts de BAe;les nouveaux membres de Conseil d'Administration n'ont peut être pas les mêmes vues/orientations industrielles qu'avait BAe: si un PdG n'a pas la confiance de son CA ou s'il ne souhaite pas faire ce qu'on lui demande, il saute.......

    Perso, je ne pense pas qu'il ai sauté pour sa gestion, plutôt sur des orientations financières qu'il ne souhaite pas exécuter, et pour un CEO c'est fatal.

    DOnc on verra la suite, mais à mon avis cela ne sera pas glorieux au moins dans un premier temps: ça va tailler dans les couts!!

    Gripen

    @ TMor, tout simplement parce qu'il ne peut y avoir deux CEO dans une même compagnie.

    Confirmation,

    http://www.businessweek.com/ap/financialnews/D9FAKB200.htm

    The Associated Press  April 26, 2010, 3:49AM ET

    Defense firm Saab appoints new CEO

    STOCKHOLM

    Swedish aerospace and defense firm Saab AB says it has appointed Hakan Buskhe as its new president and chief executive.

    Buskhe is currently the CEO of energy firm E.ON AG's Swedish operations and president of E.ON Nordic.

    He will take up his position with Saab on Nov. 1 at the latest.

    The 46-year-old will replace Ake Svensson, who will leave Saab on Sept. 1 to become president of the Association of Swedish Engineering Industries.

    Saab, which makes fighter jet Gripen and various weapons systems, has about 13,000 employees. It sold its automobile division with the same name to General Motors Co. in 2000, which has recently divested it to Dutch carmaker Spyker Cars NV.

    Gripen

    Un peu plus de détails de la promo...

    http://news.malaysia.msn.com/business/article.aspx?cp-documentid=4031451

    Sweden offers cut price jets to Romania

    Sweden is offering to sell Romania 24 new Gripen combat jets for the same price demanded by the United States for second-hand F-16s, Swedish officials said Thursday.

    The offer matches the number of jets offered by the United States, but does not contain ammunition like the US offer.

    Romania's Supreme Council announced in March its decision to buy 24 second-hand F-16 jets for 1.3 billion dollars, a purchase which is to be submitted to parliament for approval.

    Jerry Lindbergh, a Swedish government official in charge of defence exports, gave details of the offer at a news conference in Bucharest.

    He said Sweden could provide 24 new "fully NATO interoperable Gripen C/D fighters, including training, support, logistics and 100 percent offset for the amount of one billion euros (1.3 billion dollars)."

    The money could be paid over 15 years with low interest rates.

    Sweden's ambassador to Romania Mats Aberg said it was "Romania's sovereign right to choose the multirole jets it wanted", but to provide all information on the Swedish offer, he had sought a meeting with the parliament defence commission chairman.

    Swedish group Saab said in March it was "surprised" by Romania's choice of second hand F-16 aircraft.

    Bucharest is also considering buying 24 new F-16 jets and later 24 F-35 jets, the defence ministry said, stressing this was part of the Romanian-US "strategic partnership."

    Gripen

    Pour ceux qui ont encore un peu de liquide, qui ont un passeport roumain, il parait qu'il y a une promo en cours pour l'achat de Gripen

    Qui n'en veut de mon Gripen ? Il est beau mon Gripen !!!

    http://www.air-cosmos.com/site/afp.php?Id=100415172951.i93ypdqb.xml

    Des Gripen neufs au prix de F-16 d'occasion pour la Roumanie (officiel suédois)

    BUCAREST, 15 avr 2010 (AFP)

    L'offre de la Suède de vendre des avions Gripen à la Roumanie est au même prix que celle des Etats-Unis et comprend le même nombre d'appareils, mais neufs, ont affirmé jeudi des responsables suédois, alors que Bucarest a récemment a annoncé sa décision d'acheter des F-16 d'occasion.

    © 2010 AFP

  8. Cardiaques s'abstenir !!!!!!!!!! >:(

    http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2010-04-12/contrat-la-vente-du-rafale-au-bresil-compromise-par-un-accord-entre/1648/0/443317

    La vente du Rafale au Brésil compromise par un accord entre Brasilia et Washington ?

    Seuls les indécrottables optimistes verront dans cet événement mineur un effet du hasard : aujourd'hui même à Washington, le ministre brésilien de la Défense Nelson Jobim va signer avec son homologue américain Robert Gates un accord de défense entre leurs deux pays. Le communiqué diffusé par le Pentagone pour annoncer cet accord  , le premier dans le domaine militaire entre les deux pays depuis 33 ans, n'évoque évidemment pas le contrat en suspens pour la fourniture de 36 avions de combat, mais seulement "un grand accord pour établir le cadre formel pour plus d'engagements de militaires à militaires, ainsi que des échanges, du partage d'information et une coopération pour le développement et la recherche liés à la défense". Pour ceux qui l'auraient oublié, c'est exactement de cette manière que les États-Unis ont gagné au Maroc un contrat contre Paris. Les Français avec Rafale le croyaient gagné d'avance  ! Cette fois, le Rafale est opposé au Gripen du suédois Saab, qui a la préférence des aviateurs, et au F/A18 Super Hornet de Boeing. De fait, plusieurs indices inquiètent des industriels français concernés par la vente du Rafale au Brésil ; si ce contrat est signé, ce sont des dizaines de PME françaises de haute technologie qui vont relever la tête derrière les membres du GIE Rafale (Dassault, Thales, SNECMA). S'il ne l'est pas...

    Le 1er avril, nous écrivions que la signature du contrat était possible dans un délai rapproché . C'est tout le moins ce que des sources françaises convergentes confiaient volontiers, car la fenêtre d'opportunité la permettant au président Lula da Silva était étroite, avant que l'avancée de la campagne électorale pour les prochaines présidentielles lui interdise de signer un grand contrat. Il aurait donc fallu que le Conseil de défense prenne une décision la semaine dernière au plus tard, afin que cette éventualité se concrétise. C'est fini. Aujourd'hui, on indique de source bien informée que ce fameux Conseil de défense ne se réunira pas avant la deuxième quinzaine du mois de mai, pour désigner ce qu'on appelle dans le jargon des contrats militaires le " preferred bidder ", c'est-à-dire le vainqueur de la compétition technique.

    En roue libre

    Selon l'accord stratégique conclu entre Nicolas Sarkozy et Lula da Silva en septembre dernier, confirmé par le ministre de la Défense Nelson Jobim, le Rafale a déjà gagné. Sans doute. Mais sur le papier, dans les faits, en conformité avec les règles de la démocratie brésilienne, rien n'est encore fait ! De bonne source, on indiquait en fin de semaine dernière au point.fr, que si le Conseil de défense confirmait le choix du Rafale, il serait possible de négocier ensuite le contrat commercial et de le signer, avant l'élection. Mais on admettait que ce contrat ne serait dans tous les cas qu'un "cadre" exigeant encore des mois de négociations avant une entrée en vigueur effective. Il est donc clair que le contrat définitif, assorti des avances financières associées à d'énormes prêts bancaires garantis par la COFACE pour le compte de l'État français, n'est pas pour demain. Et qu'il ne sera pas signé par Lula da Silva mais par le prochain président en exercice. Une autre source, elle aussi très au fait de l'état d'avancement du dossier, souligne qu'un tel contrat comporte des milliers de pages, et que dans le cas des sous-marins vendus au Brésil par la société française DCNS, plusieurs mois de négociations ont été nécessaires.

    À Paris, au ministère de la Défense, on demeure très confiant. Mais, dans les milieux industriels, on se demande si la war room élyséenne, chargée du suivi de ce contrat, fait bien en ce moment tous les efforts nécessaires, alors que les Américains et les Suédois activent tous leurs réseaux, poussent leurs pions auprès de l'armée de l'air et des dirigeants brésiliens. La signature de l'accord de défense américano-brésilien n'est que la partie visible des efforts mis en oeuvre par Boeing et le Pentagone. À Paris, on feint de croire que la partie est gagnée, et on est maintenant en roue libre. Pas sûr que ce soit une attitude appropriée...

  9. J'ai trouvé ça; je ne sais pas ce que cela vaut, mais le Rafale serait déclaré comme le meilleur par la FAB pour le transfert de tech.

    Mais que le discount promis par Sarko n'est pas encore atteint dans les faits......encore un peu d'essorage du prix à venir ?????

    http://www.elnuevoherald.com/2010/04/07/691425/brasil-ratifican-preferencia-por.html

    Brasil: ratifican preferencia por avión de combate francés

    Por MARCO SIBAJA

    The Associated Press

    BRASILIA -- El ministro de Defensa, Nelson Jobim, manifestó el miércoles una preferencia por el avión francés Rafale en el proceso de renovación de la flota de cazas de combate de la Fuerza Aérea.

    Jobim declaró a la comisión de Relaciones Exteriores y Defensa de la Cámara de Diputados que el avión Rafale, de la francesa Dassault, responde mejor a la estrategia nacional de defensa brasileña que requiere una plena transferencia de tecnología en la compra de equipo militar, aunque reconoció que es el más caro de los tres en la disputa.

    En la audiencia, el ministro destacó que los otros modelos, el F-18 Súper Hornet de la estadounidense Boeing y el Gripen NG de la sueca Saab, no tienen las mismas garantías de transferencia tecnológica.

    Brasil pretende adquirir 36 aviones caza, una operación valorada en alrededor de 5 millones de dólares.

    "El Rafale garantiza que es integralmente tecnología francesa", dijo el ministro, al recordar que el gobierno de Francia aseguró la plena transferencia tecnológica y la opción para venderlo en América Latina.

    Dijo que en el caso del F-18, no hay garantías de transferencia plena porque "el gobierno americano sólo autoriza la transferencia de tecnología caso a caso en función del interés americano, según el uso que se dará a la tecnología".

    En ese sentido, recordó que Brasil sufrió restricciones de Estados Unidos para vender a Venezuela aviones militares Súper Tucanos por tener componentes estadounidenses.

    Brasil pretende producir en su territorio el avión escogido y quiere plena libertad para venderlo en el mercado de América Latina. Jobim consideró que no hay garantías de poder hacerlo en el caso del avión estadounidense.

    En el caso del Gripen, el ministro citó que la turbina tiene componentes estadounidenses y piezas de otros países europeos.

    "La Gripen (Saab) dice que la transferencia de tecnología de esas piezas debe ser discutida por Brasil con cada uno de esos países", explicó el ministro.

    Según Jobim, la discrepancia que mantiene con la Dassault es con relación al precio. Dijo que el presidente francés Nicolas Sarkozy se comprometió a obtener un descuento de 10% en el valor de la nave, pero que a la hora de recibir la propuesta de la empresa gala, la reducción fue de poco más de 1%.

    Aún así, el ministro dijo que la dirigencia de la Fuerza Aérea consideró que el Rafale es el que mejor satisface el requerimiento de transferencia tecnológica, aún cuando los tres modelos atienden igualmente la necesidad de pleno resguardo del espacio aéreo brasileño.

    La exposición del ministro a los diputados pareció eliminar cualquier duda sobre el avión que Brasil escogerá.

    "Aquí se me disiparon las dudas sobre cuál avión se escogerá, el Rafale será el escogido", manifestó en la audiencia el diputado opositor Raul Jungmann.

    No obstante, Jobim explicó que la próxima semana enviará al presidente Luiz Inácio Lula da Silva un informe que incluirá su recomendación sobre el modelo que considera más adecuado.

    Con ese informe, Lula deberá convocar el Consejo de Defensa Nacional, integrado por ministros, legisladores y miembros de las fuerzas armadas, para discutir el informe de Jobim antes decidir cuál avión será adquirido.

    Read more: http://www.elnuevoherald.com/2010/04/07/691425/brasil-ratifican-preferencia-por.html#ixzz0kQzyG6oD

  10. En ce qui me concerne, j'ai bien l'impression que les brésiliens n'ont pas encore passé tous les programmes d'essorage pour faire tomber les prix.

    Si nous "simples bloggueurs" sommes inquiets des échéances à venir, vous imaginez ceux qui sont au front: les brésiliens jouent bien avec leur actualité,"monnayent " leur(s) indécision(s), organisent bien les rôles respectifs des "méchants" (FAB) et des "gentils" (Jobim) pour bien indiquer que "on est avec vous, mais c'est pas facile mon bon Monsieur; alors encore un p'tit geste et je crois que ça débloquera la situation..."

    Les français connaissent bien les échéances politiques au Brésil, les suédois (SAAB) sont au abois et servent de lièvre évidement, donc le Brésil a ce qu'il faut pour continuer à discuter, et tant qu'il y a des concurrents qui courent, eh bien la course continue.....c'est aussi simple que cela.

  11. Je pourrais essayer vot'Rafale avant de l'acheter ?  (je rêve!!!!)

    http://www.zeenews.com/news613374.html

    New Delhi: Expanding its ties with global air powers, the Indian Air Force will carry out air-to-air exercises with France and United Kingdom this year.

    "Firstly, the 'Garud' series exercise with the French would be held in France in June and the 'Indradhanush' series with the British Royal Air Force would be held at the Kalaikunda air base in West Bengal in October," Defence Ministry sources said here.

    At the fourth edition of the 'Garud', IAF will be represented by its air superiority Sukhoi-30 fighter jets and the Il-76 heavy-lift transport aircraft in the aerial wargames with France.

    "The Il-78 mid-air refuelling aircraft, which have helped in expanding the strategic reach of the IAF, are also likely to join the Indian contingent there," they added.

    The French side is expected to field its latest Rafale fighters and various versions of the Mirage-200 fighters, sources said.

    The Rafale is being offered by the French to the IAF for its requirements for the USD 11 billion contract for 126 multi-role combat aircraft.

    The first Indo-French exercise was held in 2003 at the Gwalior air base and the second one was organised in France in 2005. The third was held at Kalaikunda air base in 2007.

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