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christophe 38

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Tout ce qui a été posté par christophe 38

  1. bonjour deux articles dans la presse de Mayotte, sur le Net, aujourd'hui : Cavani ou le chaos indescriptible HÉBERGEMENT : PLUS DE 1500 MIGRANTS AFRICAINS RECENSÉS À CAVANI ET CE N’EST PAS FINI, LA SITUATION DEVIENT CRITIQUE La préfecture de Mayotte a ouvert un bureau de recensement à Cavani pour compter les migrants africains dormant dans la rue dans le but de proposer des hébergements. En une journée, plus de 1500 migrants ont été recensés, révélant l'ampleur du problème. La situation, déjà critique, souligne la porosité dramatique des frontières de l'île. La préfecture de Mayotte a décidé de prendre le taureau par les cornes et de s'atteler à résoudre le problème des migrants africains dormant dans la rue à Cavani. Hier matin, un bureau de recensement a été ouvert pour compter les migrants dormant à même le bitume. Aussitôt, des bagarres ont éclaté entre les migrants qui se voyaient prioritaires dans la file. La légitimité de certains était également remise en cause par les autres, la situation conflictuelle était telle que l’intervention de la Police nationale a été nécessaire. À la fin de la journée, plus de 1500 migrants avaient été recensés, alors qu'une source proche du dossier affirmait qu'ils étaient entre 500 et 600. Forcément, des migrants ne dormant pas à Cavani sont venus essayer de bénéficier de l'opportunité d'obtenir un logement. Or, Safina Soula, du collectif "Les Forces Vives de Mayotte", a expliqué qu'il n'y avait pas d'hébergements disponibles à Mayotte, et que la solidarité nationale devait être mise en œuvre pour permettre à ces migrants de quitter l'île. Selon elle, un certain nombre de migrants dans le groupe auraient un dossier complet de demande d'asile. Selon une source proche du dossier, un ancien immeuble de bureau du conseil départemental pourrait être affecté à l’hébergement de certains migrants avec tous les problèmes occasionnés par un immeuble de bureaux abandonné car plus aux normes par ailleurs, transformé en en immeuble de logements précaires… La révélation de ces chiffres est assez terrifiante, car les autorités, de manière informelle, parlent de 5 000 à 6 000 migrants africains présents sur le département. Combien sont-ils en réalité ? Car ceux qui ont été recensés hier ne représentent pas tous ceux présents dans la file d'attente, qui, selon les témoignages, était interminable. Cette situation révèle une autre réalité de l’immigration : la porosité dramatique des frontières. Qui est réellement présent à Mayotte aujourd'hui ? Nul ne peut dire. Combien sont les migrants arrivés de manière illégale sur le département ? Nul ne peut dire. La seule réalité partagée, c'est que le problème est bien réel et que la situation est hors de contrôle. A une semaine du début de l’opération Mayotte Place Nette, une question se pose l’opération a-t-elle été correctement calibrée ? Anne-Constance Onghéna La pêche illégale dans le viseur des autorités ÉCONOMIE INFORMELLE : PLUSIEURS SECTEURS ÉCONOMIQUES DE MAYOTTE PEINENT À RÉGULER LES OPÉRATEURS QUI ÉVOLUENT EN DEHORS DES RÈGLES En ce début de semaine, les services de l’État et la Police nationale ont mené une opération de lutte contre l’économie informelle. Cette action visait à protéger le consommateur et l’économie locale, mais soulève aussi la question de l’emploi de travailleurs illégaux à Mayotte qui ne bénéficient d’aucune couverture sociale. L’opération Mayotte place nette ne fait pas que détruire des cases en tôle, elle met également l’accent sur l’économie illégale. En ce début de semaine, les services de l’État et de la Police Nationale de Mayotte ont mené une opération de contrôle des barques et des pêcheurs au port de M’tsapéré. Le résultat est sans appel. Plus d’une tonne de poissons illégaux et impropres à la consommation a été saisie, ainsi que six barques illégales, et cinq étrangers en situation irrégulière ont par la même occasion été interpellés. « Sur la totalité des glacières contrôlées, il n’y en a aucune qui respecte les normes », soulignent les Affaires maritimes. Au port de M’tsapéré, les ventes n’étaient pas déclarées, aucun numéro ne figurait sur les glacières, qui d’ailleurs n’étaient même pas réfrigérées, laissant les mouches s’accumuler sur les poissons, et il n’y avait aucun prix indiqué. Bien évidemment, les poissons saisis vont être détruits. Cette opération vise à protéger le consommateur, mais également les pêcheurs professionnels qui souffrent d’une concurrence illégale. Ceux qui respectent la réglementation et paient leurs cotisations permettent de développer l’économie locale et la filière de la pêche. Cette activité informelle impacte fortement l’économie et le développement de la pêche mahoraise. Au-delà de cette filière, de nombreux secteurs à Mayotte sont touchés par le travail illégal et dissimulé. Dans le BTP, de nombreuses personnes en situation irrégulière sont employées sur les chantiers. Les conséquences sont désastreuses. En cas d'accident du travail, la victime n'a aucune couverture sociale puisque l’employeur ne peut rien déclarer, du fait du cadre illégal. Pour rappel, durant la crise du Covid et lorsque le confinement a été mis en place, beaucoup de clandestins se sont retrouvés sans revenus, sans droits et dans une grande précarité, confrontés à la faim faute de pouvoir travailler et gagner de l’argent. Le travail illégal et dissimulé est néfaste pour le développement économique de Mayotte et laisse les travailleurs illégaux dans des conditions de grande précarité. Les entreprises légales font face à une concurrence déloyale parfois insoutenable. Anthony Maltret
  2. c'est cela il faut se rappeler que c'est un département ; les instructions viennent de Paris et des ministeres : localement, nous mettons en application (des choses inadaptées). Dans une discussion "serieuse" avec des copains (directeurs départementaux et numeros 2 de service), l'un d'eux m'a demandé, si j'étais prefet... si j'etais prefet, je donnerai instruction pour des survols de domicile en drone afin de reperer les logements insalubres, indignes dans les cours. Rapporté à la consommation d'eau, d'electricité, j'enverrai des services d'investigation verifier la nationalité et (surtout) les titres de séjour. si pas de titre de séjour, interpellation, direction le CRA et reconduite (ça, ça se fait, sans les drones.... mais) mais, la reglementation prévoit que la reconduite peut etre facturée à l'aidant au séjour... donc, facturer le retour de ses locataires. je ferai détruire, soit par le proprietaire, soit par des entreprises, au frais du proprietaire, les constructions realisées avec les clandestins (et, tant qu'à faire, celles sans permis de construire.... ça ne manque pas ou dont des étages ont été rajoutés...) sur les chantiers, je facturerai à l'employeur les charges, retraites et cotisations des employés au black (plus destruction).. et je ne manquerai pas de faire de la publicité de ces actions (pour etre dissuasif) ce qui est compliqué, c'est que Mayotte est un village : les originaires se connaissent tous, sont allés à l'école (pour ceux qui y sont allés) ensemble ; ils sont "tous" cousins. Donc, un décideur a les mains liées, soit parce qu'il doit son élection, soit parce que ce sont des parents... enfin, il y a pléthore de cat D dans les communes (ni lire ni écrire), beaucoup de cat C, peu de cat B et tres peu de cat A ; on a coutume de dire qu'il manque de l’ingénierie (c'est pour cela qu'il y a beaucoup d’études de travaux et peu de réalisation : ils ne savent pas faire) La départementalisation n'a que 12-13 ans ; ils n’étaient pas prêts et nous avons encore au moins 2 générations à attendre avant un fonctionnement "normal". en 2010, il y a eu la révision de l'état civil, qui avant, était tenu par les cadis (les curés musulmans, donc qui n'était pas fiable (c’était le cadi qui inscrivait sur des bouts de papier la date de naissance (je n'ai pas dit "le bon jour") qui choisissais le prénom.... il fallait 2 témoins, quand on n'avait pas ce papier, pour dire qu'on était né à Mayotte.... ils aiment bien l'argent... (ils l'aiment tellement que notre high score est de 57 : un individu s'est fait payer pour 57 reconnaissances de paternité à Koungou ; dans cette commune, plusieurs sont au dessus de 30-32 reconnaissances de paternité (payées entre 500 et 1500 balles par les mères qui deviennent expulsables..) depuis la dernière crise de l'eau, en 2017, où la moitié sud de l'ile avait de l'eau 1 jour sur 3, jusqu'à l'année dernière où nous avons connu le même rythme de aout à décembre, aucun travaux, aucune amélioration n'a été portée par le service des eaux (compétence municipale et/ou départementale) ; en ne prenant que 10 000 naissances par an, 6 ans... 60 000 petits qui necessite de l'eau. La préfecture, en fevrier, écrivait qu'il y avait entre 40 et 45 000 clandestins qui arrivaient annuellement ; si l'on considère qu'il y en a 20-22 000 reconduits annuellement et que TOUS reviennent, cela reviendrait à dire que, à minima, il y a 20 000 nouveaux clandestins par an... sur 6 ans, 120 000 plus les naissances... et nos "élus" ne savent pas lire le site de l’Insee... un homme une voix, nous ne pouvons pas nous substituer à eux qui sont, pour certains, des primaires... leurs intérêts ne sont pas les intérêts de la France...
  3. c'est possible depuis 20 ans, déjà.. à l'époque, un ami bossait dans un service où ils enlevaient la batterie du tel et il était déposé dans un casier, avant de monter au bureau, pour éviter d'etre pisté, d'etre écouté ("grace" à l'implant, au téléchargement d'un programme) et, maintenant, dis mois Siri.... le micro est branché en permanence...
  4. le probleme, c'est que la BMR est passée d'un effectif d'une vingtaine de collegues en 2018-2019 à 6, moins 30 à 40% de congés... ils ont les faux papiers à s'occuper, les filieres de clandestins et bien sur le travail dissimulé... trop de boulot pour pas assez de personnel
  5. je partage totalement ce point de vue : ce sont certains mahorais (parce que je ne veux pas généraliser) qui nous foutent dans la merde. je recommence (en pire) des embarcations sont en approche elles transportent toutes des migrants (puisque c'est le terme de ces gens qui ont quitté leur pays pour un avenir meilleur). elle arrivent et débarquent leur "cargaison" humaine. là, on a 2 comportements : ceux qui se sauvent, pour passer "sous les radars", qui sont "accueillis", conduits, logés et qui trouvent vite du travail ; ce sont les clandestins, des migrants économiques (et ils ne dorment ni sur les plages, ni sur les routes) ; ils restent des années... preuve qu'ils travaillent pour se nourrir. les autres attendent la PAF ou la gendarmerie, pour être interpellés et conduits au centre de rétention administrative. là, avec l'aide des associations, ils déposent un recours auprès de l'OFPRA pour demander le statut de réfugiés. Tous ne peuvent pas y prétendre : les Malgaches, les Comoriens et je crois les Somaliens ne peuvent pas : ils ne risquent pas la mort, si on les renvoie dans leur pays. le statut de réfugié est défini par la convention de Genève de 1951. Muni de ce document, le récépissé, ils sont remis en liberté ; ils ont le droit de séjourner, le temps de l'examen de leur dossier, qui va de 4 mois à plusieurs années. Ils touchent une "aide" de 10 euros par jour et par personne. Ils devraient etre logés mais il n'y a rien à leur disposition. Au bout d'un temps certain, ils sont rappelés pour l'annonce du résultat de leur demande. deux cas : accepté ; ils ont donc le statut de réfugié et, normalement, doivent se payer le billet pour aller en métropole pour y etre pris en charge ; là, la prefecture en a renvoyé (donc payé) un peu moins de 400, en fevrier mars. (nouvel appel d'air, grace au raccourci "la France nous envoie en métropole" (faux !) refusé ! ils sont interpellés et placés au CRA pendant 90 jours maximum, le temps de demander un laisser passer consulaire à leur ambassade.... qui, tres, tres, tres souvent ne reagit pas pour ne pas les récuperer... si elle reagit, nous organisons une escorte pour les ramener chez eux. si pas de reaction, ils restent 90 jours au CRA et sont remis en liberté avec une injonction de quitter le territoire (sans fric et sans papier !!!!) (donc impossible) on se trouve donc avec des milliers d'Africains qui voudraient bien partir, voire rentrer chez eux et qui ne le peuvent pas. Les Mahorais ont peur des Africains ; ces derniers viennent de pays en guerre et n'ont rien à perdre ; ils ne sont pas méchants, ni agressifs, mais, les Mahorais ne savent ou ne veulent pas se battre ; ils sont passifs et ont donc peur.
  6. j'y reviens (et, c'est mon point de vue) Les Mahorais se sont exprimés à 3 reprises pour rester français (même lors de la décolonisation). Mayotte, ce sont des riches parmi les pauvres (Les Comores, environ 30 eme pays le plus pauvre au monde, Mada, 20 eme position, Zanzibar ou Tanzanie ou Mozambique, la richesse ne ruisselle pas). Comme autre indicateur, le "SMIC" est à 57 euros à Mada (et des gens gagnent 30-32 euros par mois et survivent) ; un prof gagne 200 à 300 euros aux Comores ; ces pays ont l'école payante, les soins payants, pas de système de retraite... autant dire que nous sommes cocagne, en comparaison. Les Mahorais font de l'esclavage moderne ; Wambushu, c'est la destruction de l'habitat indigne ; nous ne mettrions pas des chevres dans les cases en tole qu'ils louent ; ils vendent l'electricité, l'eau... Une nounou est payée 200 euros par mois, une femme de ménage, 300 ; un "maçon", c'est entre 50 et 80 balles par jour, pour des journées de 10 heures... 95% des maisons ne sont pas construites par des entreprises... Plus de 50% des pecheurs sont des clandestins (et le poisson n'est pas cher). Nos patrons pecheurs sont vieux... et ils sont souvent artisans (c'est à dire que pour etre un patron pecheur, il faut etre français, etre diplomé de l'école maritime, donc savoir lire et écrire...) donc, artisan, pas besoin de tout cela. Les Mahorais, certains, logent, embauchent les clandos, depuis des années... Lesquels clandos font des enfants qui sont scolarisés. Selon le recteur, 70% des enfants qui entrent en sixième ne lisent pas le français et le parlent très mal (10% du temps, le reste, c'est langue locale). Ces enfants, dont un pourcentage important est sorti du système scolaire, coupent les routes et agressent les voyageurs, de nuit (et pas que) à coups de coupe coupe. les enfants.... 10 à 12 000 naissances par an, dont 80% sont issus de mères comoriennes, sans papier. la législation : avant 2018, il fallait que les parents, munis de papiers autorisant le séjour (c'est là qu'est l'os) présentent le dossier de l'enfant en préfecture, entre ses 13 et ses 18 ans, pour qu'il puisse (éventuellement) etre français. depuis juillet 2018, il faut que les parents, avec papiers, soient sur le territoire national depuis plus de 3 mois à la naissance de l'enfant pour qu'il soit français. Dans le futur projet de loi immigration, le délai serait porté à 12 mois, pour les deux, pour la naissance.. Donc, aujourd'hui, nous nous trouvons avec des dizaines de milliers de jeunes, qui ne sont pas français (et qui ne le seront peut être jamais), qui ne savent pas lire, écrire, compter (allez passer un permis de conduire sans ça), qui ne sont pas employables.. nous avons cela dans les rues... (merci les mahorais hospitaliers et généreux qui nous mettent dans la merde !) donc, nous sommes quelques uns à dire que nous sommes entre 600 et 650 000 habitants, là où le recensement nous dit 310 000 (évidemment, envoyer des mails à une population à 70% illettrée (les adultes, aussi) ou qui ne va pas déclarer les clandestins dans sa cour..), nous passons du simple au double..pour la consommation d'eau, la production de déchets, etc... Par ailleurs, les chiens errants sont estimés à 10 000 sur l'ile (ils sont "dressés" par les gamins, pour des combats de chiens ou pour attaquer les promeneurs) ; nous percevons mal les assoces qui s'opposent à l'élimination de ces chiens (les rares refuges se sont fait cambrioler, les clebs ont disparu ) ; une caisse avion pour envoyer le chien en métropole coute 100 balles et le voyage en avion en coute 200 ; 5 caisses de chiens, au maxi, peuvent voyager sur un vol.. personne n'est interessé pour adopter des corniauds... les donneurs de leçons vivent confortablement et ne viennent pas partager notre merde et c'est bien dommage.
  7. Bonjour, Nous disons que Mayotte est un laboratoire de ce qui pourrait se passer en métropole. Je rappelle que, dans le monde, nous sommes passés de 1,5 milliard d habitants en 1900 à 8 milliards en nov 2022. L Afrique est passée de 250 millions d habitants vers 1970 à 1.250 milliard, que la Chine a un peu plus d 1.5 milliard d habitants et qu elle s est fait dépasser par l Inde. Vous revenez en 2015-2017 et vous repensez au revenu universel sans condition que certains voulaient mettre en place.... Universel et sans condition, c est à dire que tout le monde, même les étrangers auraient pu y prétendre. Mayotte, c est la France. Donc pour les clandestins, c est aussi le paradis. Les soins sont gratuits, l école aussi et le travail au black rémunére correctement. Cela fait des années que j écris que la population clandestine est supérieure à la population légale .. Nous manquons d accords avec les pays africains pour renvoyer chez eux les migrants... Ils s entassent donc sur ce caillou
  8. la seule question que je me pose, c'est comment sortir du bourbier ??? le constat, tout le monde l'a fait. la solution....
  9. Le notre appartient à une boîte privée sous contrat
  10. On a ça, sur Mayotte pour la lutte contre l immigration clandestine en mer
  11. Pas faux, mais le pont existe depuis presque 100 ans. .. les conditions ont pu changer... Nous verrons bien si les USA le refont au même endroit et avec de piles....
  12. ils peuvent aussi faire un pont suspendu, ou alors, le meme style de pont, mais à un autre endroit...
  13. Malheureusement, les risques et les enjeux économiques ont certainement dicté ce choix. Tout n est pas perdu : en Europe, particulièrement chez nos voisins suisses, à Genève, la police possède des sonars très précis pour la recherche de corps. Ils nous ont aidés à Annecy... Pour la recherche d un noyé et en ont trouvé 7. Ce que je veux dire, c est que si, en Europe nous avons cette technologie, pas de raison qu ils n aient pas la même sur leur continent. La recherche par plongeur doit être initiée le plus tôt après l accident pour limiter l'effet de la dérive due aux courants, à la marée...
  14. christophe 38

    Les Frégates de la Royale

    sinon, il fallait aller à Maurice pour trouver un bassin et attendre qu'il soit dispo...
  15. c'est, aussi, un des interets de Mayotte... Pour l'instant, le port est limité, mais, au mouillage, sur coffre, il y a de quoi faire, interieur lagon
  16. En réponse à ta question, il y a eu une époque où... à la fin du pistolet UNIQUE en 7.65, les collegues qui avaient des armes en (au moins) 9mm ou 38/357, d'au moins 6 coups (pour les revolvers) pouvaient faire la demande pour les utiliser sur la voie publique. C'etait vers 1990, de mémoire. J'ai ainsi eu un collegue qui bossait avec moi en police secours qui avait un 44 magnum en 6 pouces, d'autres qui avaient des Colt 45. Vers 2003, le GIPN (j'étais à Marseille) avait le choix dans ses pistolets, entre Beretta, Glock et CZ... (à l'époque, en tenue, j'avais récupéré un MR73 en 4 pouces, ex GIPN... au lieu de mon RMR reglementaire ; le GIPN n'avait plus ses revolvers). donc, oui, probablement soit perso, soit dotation élargie et, pour la petite histoire, je connais un copain qui a le port d'arme et un CZ 75. dernier "détail" ; à l'époque, en congés annuels, nous devions déposer notre arme à l'armurerie (pas forcement en repos, pas forcément quand nous posions des heures supp, juste en CA). Nous en avions le port (légitime) quand nous n'étions pas en congés annuels sur notre circonscription d'emploi. Mais, nous avions aussi le port des armes que nous détenions légalement. J'étais tireur sportif avec un glock 17L et je montais à Paris, je voyageais systématiquement avec. J'avais une banane GK pour le porter (dans ce style là : https://gkpro.fr/eshop/collections/neo/raven-bag-gk-undercover/ )
  17. il courait peut etre sur son erre... en tout cas, ce qui m'interpelle, ce sont ces deux black out en si peu de temps, en chenalage où on a besoin de précision, d'etre manoeuvrant, etc... les cheveux blancs ont du pousser, sur ce coup là
  18. si tu le dis...... je le vois dans un autre sens : avec la marée et le choc de l'entrée dans l'eau, les occupants ne sont pas forcément restés à l'interieur et ont pu dériver, sous l'eau ou en surface, de nuit... Avec le choc, il y a pu avoir traumatisme... La zone a t elle des requins ? les véhicules à récuperer ? pourquoi faire ? où est l'urgence, s'ils sont vides de leurs occupants ? le temps perdu à récuperer les véhicules, les fonds dépensés pour de la tole inutilisable, versus l'interet économique de la ville et du port... nous verrons bien, d'ici une ou deux semaines les choix faits...
  19. à condition que les personnes à l'intérieur aient eu la bonne idée de rester dedans... pour que la récuperation soit la plus courte possible... parce que, dans ce que tu écris, je comprends que tant que les corps ne sont pas récupérés, les travaux ne commenceront pas .... il faut donc qu'il n'y ait pas de difficultés pour les trouver....
  20. les voitures, ce n'est pas le plus urgent... les corps qui trempent... ne seront pas réanimés... plus d'urgence de ce coté là non plus.
  21. le pilote va aller garder le mur à la frontiere mexicaine...
  22. c'est normal : un clan, c'est à dire un groupe d'individus, lors de la préhistoire, vit dans une vallée ; il cultive et si ça marche bien, s'agrandit. Il a donc besoin de plus de nourriture pour ce clan agrandi. il élargit son perimetre ; c'est vital. Et, s'il tombe sur le territoire d'un autre clan, c'est l'affrontement, la guerre, pour les ressources (nous n'avons rien changé depuis des millénaires). le victorieux s'empare des terres du perdant ; concernant les habitants, les perdants, ils ont le "choix" : soit tués, soit esclaves, soit fuir et tenter de survivre, recreer un clan plus loin ; pour les femmes, capture et moyen de faire des enfants (qui sont les enfants du groupe et pas les enfants d'une personne, comme maintenant) ; ce mélange de clan, via la femme capturée, est un moyen d'éviter la consangunité. Ce groupe, élargi au moins au nombre des femmes, peut alors continuer à prosperer (et essayer aussi de conquerir de nouvelles terres, si sa population augmente) ce que nous appelons, avec notre vocabulaire moderne esclavage et pillage (pour l'esclavage, il existe toujours en Afrique (en Lybie, les migrants en sont les victimes, en Éthiopie, les adversaires reduisent en esclavage leurs prisonniers), la Mauritanie l'a aboli dans les années 80 ) existe encore. les guerres ne sont que l'aspect "militaire" de la captation de ressources chez le voisin (ou la neutralisation d'un adversaire potentiel qui pourrait nuire plus tard)
  23. on n'est pas encore revenu à 1.5 milliard d'habitants, comme en 1900...
  24. ce qui me surprend, c'est que, grossierement, la carte des courants est connue. en partant des endroits où des débris identifiés à cet avion ont été retrouvés, et connaissant la date de disparition, il doit etre possible de réduire la zone de recherche (je ne me fais pas d'illusion sur l'efficacité : les fonds sont tres importants au milieu de l'Indien..)
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