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Métal_Hurlant

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Tout ce qui a été posté par Métal_Hurlant

  1. Et oui, ce sont des opposants au régime qui ont quitté la Biélorussie !
  2. Source : OSINTdefender Azerbaïdjan : exploite actuellement 2 bataillons S-300PMU2, chaque bataillon contient 8 lanceurs chacun, ils ont donc très probablement plusieurs recharges qu'ils pourraient envoyer en Ukraine, mais n'enverront probablement aucun lanceur en raison de leur conflit de longue date avec l'Arménie. Bulgarie : exploite actuellement 2 unités S-300 contenant 5 lanceurs chacune, elles prétendent également avoir un grand stock de missiles S-300 de la guerre froide qu'elles pourraient être disposées à fournir ainsi que les lanceurs si un remplacement de l'OTAN est fourni . Grèce : exploite actuellement 1 régiment S-300 sur l'île de Crète composé de 32 lanceurs et de plus de 175 missiles, puisque la Grèce est actuellement en train d'acheter des systèmes de défense aérienne plus avancés au Royaume-Uni, ils pourraient être disposés à se séparer d'un grand nombre de ces Systèmes Slovaquie : exploite actuellement 1 batterie S-300 contenant environ 2 systèmes S-300 et dispose de 48 missiles pour ce système, ils pourraient à nouveau être disposés à fournir ces systèmes/missiles à l'Ukraine si l'OTAN devait leur fournir un remplacement ou au moins Air Défense Protection pour l'instant. Tous ces pays peuvent être disposés à fournir des systèmes en fonction de la situation actuelle et s'ils sont correctement remplacés, bien qu'il existe plusieurs autres anciens pays soviétiques qui peuvent avoir des missiles en stock à fournir de la Pologne et de la Roumanie à l'Estonie et à la Lettonie.
  3. Traduction : Un autre cadeau de l'OTAN ; Les forces UA s'entraînent avec le nouveau RPG-76 Komar à usage unique, fabriqué en Pologne en grande quantité pendant la guerre froide. Bien que ceux-ci ne soient pas très efficaces contre les MBT russes modernes, ils fonctionneraient toujours contre les structures et les blindés légers.
  4. Intéressant, mais quels sont ces pays, et comment les amener en Ukr (impossible de les dissimuler comme les munitions anti chars)
  5. Ils utiliseraient leurs SU-57 pour un bombardement à basse altitude, sous la menace d'un Stinger ou autre missile du même type ?
  6. Les volontaires de quel camp ? C'est où Chernigov ?
  7. Graphique qui montre l'évolution des pertes en blindés russes :
  8. Métal_Hurlant

    ISS

    Le conflit en Ukraine va t-il est fatal à l'ISS ? https://www.lefigaro.fr/international/direct-guerre-en-ukraine-la-russie-affirme-que-les-sanctions-pourraient-provoquer-la-chute-de-la-station-spatiale-internationale-20220312 La Russie affirme que les sanctions pourraient provoquer la chute de la Station spatiale internationale Les sanctions occidentales introduites contre la Russie pourraient provoquer la chute de la Station spatiale internationale, a affirmé samedi Dmitri Rogozine, le patron de l'agence spatiale russe Roscosmos, demandant leur levée. Selon lui, le fonctionnement des vaisseaux russes ravitaillant l'ISS sera perturbé par les sanctions, affectant en conséquence le segment russe de la station, qui sert notamment à corriger l'orbite de la structure orbitale. En conséquence, cela pourrait provoquer «''l'amerrissage'' ou ''l'atterrissage'' de l'ISS pesant 500 tonnes». Cependant :
  9. A mettre en rapport avec la séquence de l'embuscade que j'ai posté page précédente. traduction : forces filmées en train de tirer dans une zone fortement peuplée. Ville de Trostyanets (nord), #Ukrainian UAV filme un système de fusée tirant à côté de la gare. armée clairement mal entraînée, car 3 pièces d'artillerie automotrices et de nombreux véhicules, y compris un camion-citerne tout autour.
  10. Fantastique réussite pour le petit hélico qui vient de réussir son 21ème vol sur la planète rouge !!
  11. Comme embuscade on peut pas faire plus simple... J'imagine la même colonne dans les rues de Kiev... (une 2ème vid avec le lien)
  12. Avec combien d'appareils on sait pas mais si ce tableau de chasse est vrai c'est pas mal :
  13. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/la-guerre-en-ukraine-revele-crument-les-lacunes-de-l-autonomie-de-l-industrie-spatiale-europeenne-905748.html La guerre en Ukraine révèle crûment les lacunes de l'autonomie de l'industrie spatiale européenne La guerre en Ukraine pointe de façon très cruelle les failles dans la stratégie d'autonomie d'accès à l'espace de l'Europe. La filière spatiale européenne est aujourd’hui à risque au moment de la transition critique entre Ariane 5 et Ariane 6. Plus d'avions russes ou ukrainiens Antonov pour transporter les satellites d'Airbus et de Thales Alenia Space (TAS), plus de lanceur Soyuz pour mettre ces satellites en orbite, plus de moteurs pour propulser ces satellites et le lanceur italien Vega C... Les dépendances de l'industrie spatiale européenne à des fournisseurs russes et ukrainiens sont mises cruellement en évidence avec la guerre en Ukraine, qui révèle des trous dans l'autonomie de la filière spatiale européenne. Et la souveraineté en matière d'accès à l'espace de l'Europe est aujourd'hui cruellement malmenée en raison des sanctions internationales imposées sur l'industrie spatiale russe à la suite de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. D'autant que Moscou a accentué certaines de ces lacunes en imposant elle aussi des mesures de rétorsion à l'Europe dans le domaine spatial, notamment avec le départ des équipes opérationnelles de Soyuz à Kourou. Un accès au pas de tir dépendant des Russes et Ukrainiens L'accès souverain européen à l'espace commence par le transport des satellites vers le pas de tir. Or, l'Europe spatiale, notamment les constructeurs de satellites Airbus et Thales, est en situation de dépendance vis-à-vis de l'Ukraine, et surtout de la Russie. La vingtaine d'An-124 (Antonov) disponibles dans le monde est détenue par seulement trois compagnies, selon un rapport parlementaire du député François Cornut-Gentille : une ukrainienne (Antonov Airlines ADB) et deux russes (une privée, Volga-Dniepr, et une société publique, Flight Unit FU-224, une émanation du ministère de la Défense russe). En outre, le plus gros avion du monde, le cargo Antonov-225 ukrainien, a été détruit au début de la guerre russo-ukrainienne par des frappes russes sur un aéroport près de Kiev, selon la société publique ukrainienne, Ukroboronprom. Airbus Space et Thales Alenia Space cherchent donc des solutions de remplacement, qui seront forcément plus chères. Ils étudient notamment le transport de leurs satellites dans des Beluga fabriqués par Airbus mais dont les soutes ne sont pas pressurisées. L'avionneur est donc en train de développer un système pour gérer la température et l'atmosphère dans la soute des Beluga pour éviter la formation de la condensation et maintenir une température stable. Ce qui protégera les satellites pendant le vol. Ce service de transport de satellites devrait être opérationnel début 2023. Cela rentre dans la stratégie de l'avionneur de lancer un nouveau service de fret aérien utilisant sa flotte de cinq Beluga ST pour offrir aux sociétés de fret et à d'autres clients une solution à leurs besoins en transport de fret hors gabarit. La flotte actuelle de Beluga est en train d'être remplacée par six Beluga XL de nouvelle génération, dont quatre sont déjà en service. Seul le laboratoire spatial européen Colombus (13 tonnes) a effectué en 2006 un vol de Brême vers le Centre spatial Kennedy en Floride en Beluga. Les deux constructeurs étudient également le transport par bateau mais ce type de transport devra être qualifié pour transporter des satellites, dont le roulis des bateaux pourrait avoir une incidence sur les capteurs des satellites. Airbus a déjà expérimenté en 2018 : trop fragile pour prendre l'avion, c'est en bateau que le satellite Aeolus, consacré à l'étude des vents, a rallié la Guyane. Europe : un accès à l'espace en question L'Europe est dans une situation extrêmement délicate concernant l'accès à l'espace. La guerre en Ukraine arrive au plus mauvais moment pour l'ESA et Arianespace avec l'arrêt des opérations commerciales du lanceur Soyuz à Kourou et à Baïkonour, où est lancé une grande partie de la constellation OneWeb. Soit au moment de la très délicate période de transition entre Ariane 5 et Ariane 6. Un véritable cauchemar pour l'Europe spatiale et Arianespace. Car il n'y a plus de places à commercialiser sur les cinq vols restants d'Ariane 5 prévus en 2022 et 2023 et des incertitudes majeures existent sur l'arrivée d'Ariane 6 en 2022 et, surtout, sur la réussite de ce nouveau lanceur. Trois satellites vont rester à quai cette année : deux satellites de la constellation Galileo en avril, le satellite espion français CSO-3 programmé en décembre et enfin le programme russo-européen, ExoMars, qui devait être lancé par un lanceur Proton depuis Baïkonour. "Les sanctions et le contexte plus large rendent un lancement (d'ExoMars) en 2022 très improbable", a expliqué l'ESA dans un récent communiqué. Par ailleurs, l'italien Avio, maître d'oeuvre des lanceurs Vega et Vega C, fait fabriquer le moteur de l'étage supérieur AVUM (Attitude and Vernier Upper Module) de Vega et Vega C en Ukraine par la société Youjnoye à Dnipro. Selon nos informations, le motoriste italien aurait sécurisé trois moteurs, qui sont en Italie, mais trois autres étaient en cours de fabrication par Youjnoye avant le début des hostilités. Les Italiens ont exprimé le vœu (pieux ?) d'aller les récupérer. Mais, selon des sources françaises, cette usine aurait été bombardée. Ce que dément Avio. En outre, selon une note de la FRS (Fondation pour la recherche stratégique), les quatre réservoirs de l'étage supérieur AVUM associés au moteur RD‑869/VG143, sont fabriqués par la société russe Babakine (localisée à Khimki dans la banlieue de Moscou), une des divisions de la NPO Lavotchkine. "Il faut noter cependant qu'ArianeGroup a également la capacité de produire ces réservoirs", a pondéré la FRS. Mais Avio, Arianespace et l'ESA vont devoir répondre assez vite à ce point critique. Car le manifeste de Vega C est rempli à ras bord (15 lancements en 2002, 2023 et début 2024) avec un premier vol de Vega C prévu en mai (LARES 2 de l'agence spatiale italienne). Puis les satellites d'observation d'Airbus, Pléiades Neo 5 et 6 prendront place à bord du lanceur en juillet ou en août prochain. Enfin, en septembre, ce sera au tour du satellite d'observation de la Terre coréen du Kari, Kompsat 7, puis du satellite d'observation thaïlandais THEOS 2 HR avant la fin de l'année. Bref, Arianespace va devoir lever beaucoup d'incertitudes avec ses clients... D'autant que jusqu'à maintenant, Soyuz était considéré comme le back-up naturel d'Ariane 6, voire de Vega C. Les nouveaux petits lanceurs (Isar, RFA One) pourraient être des "roues de secours" finalement bienvenues. Des satellites propulsés par des moteurs russes Nouveau coup dur pour les constructeurs de satellites européens. La plupart des satellites dotés d'une propulsion électrique d'Airbus et de TAS est motorisée par la société russe Fakel, spécialisée dans la propulsion électrique des engins spatiaux et installée dans l'oblast de Kaliningrad. Ce moteur permet aux satellites, après avoir été injectés à 500 km d'altitude, de rejoindre par eux-mêmes leur orbite finale. Pour autant, Airbus et TAS disposent d'un back-up avec Safran, mais qui ne les satisfait qu'à demi. Car les propulseurs plasmiques de Safran, notamment le PPS®5000, sont considérés comme "plus chers et moins performants", explique-t-on à La Tribune. En outre, Safran pourrait avoir dû mal à augmenter ses cadences pour répondre à l'ensemble de la demande de la filière. "La solution Safran n'est pas la panacée mais elle a au moins le mérite d'exister", résume-t-on à La Tribune. Autre problème pour les constructeurs de satellites, le gaz rare Xenon, dont la Russie est un producteur significatif. Airbus et Thales, qui se fournissent chez Air Liquide, ont été alertés par une possible pénurie. Le conflit en Ukraine a "des répercussions sur l'approvisionnement du marché mondial. Air Liquide dispose de plusieurs sources d'approvisionnement dans différentes zones géographiques et travaille activement à la diversification de ses sources", a expliqué à La Tribune Air Liquide, qui "travaille en étroite collaboration avec ses clients pour assurer leur approvisionnement et proposer des alternatives lorsque cela est possible". Michel Cabirol
  14. Depuis le début du conflit, on a quand même pas mal d'infos sur les combats, les pertes, le dispositif russe, ect... Mais rien sur l'état réel de l'armée Ukr après deux semaines de combat Par exemple ou sait qu'ils ont mobilisé, donc de quels effectifs en mesure de combattre disposent-ils ? Y a t-il encore une chaine de commandement qui fonctionne sur l'ensemble du pays (hors zones prises par l'ennemi)
  15. Les polonais seront heureux d'apprendre qu'une de leurs armes a abattu un SU-25 russe : traduction : La Garde nationale d'Ukraine a fourni des informations sur la façon dont le Su-25 a été abattu au-dessus de #Kharkiv le 6 mars, apparemment les MANPADS Piorun polonais nouvellement livrés ont été utilisés (y compris les optiques thermiques livrées pour le repérage), ainsi comme un 9K38 Igla d'époque soviétique.
  16. Traduction : Haut responsable américain de la défense : le Pentagone estime que la Russie effectue environ 200 sorties par jour, dont certaines n'entrent jamais dans l'espace aérien ukrainien. Certains restent en dehors de l'espace aérien ukrainien et lancent des missiles de croisière. La Russie affiche toujours une aversion au risque dans les opérations aériennes
  17. En complète contradiction avec le post de HK (voir page précédente) : https://www.lefigaro.fr/international/le-general-burkhard-craint-un-effondrement-soudain-des-forces-ukrainiennes-20220311 Le général Burkhard craint un effondrement soudain des forces ukrainiennes Pour le chef d'état-major des armées (CEMA), la victoire rapide espérée par Vladimir Poutine n'aura néanmoins pas lieu. Le constat du général Burkhard se veut lucide sur la suite du conflit. Dans un courrier adressé aux officiers généraux daté du 9 mars, le chef d'état-major des armées livre « une brève appréciation de situation sur la guerre en Ukraine ». « Pour ce qui concerne la suite des événements, je considère qu'en dépit de la remarquable résistance dont elles font preuve, les forces ukrainiennes, confrontées à la difficulté de tenir un dispositif étiré, sans réserve opérative, pourraient connaître un effondrement subit », écrit-il. La multiplication des fronts épuise aussi l'armée ukrainienne, et sa chaîne de commandement est soumise à rude épreuve. « La défense civile – ou territoriale – ne prendra pas pour autant fin, notamment dans les localités assiégées », ajoute cependant le général en annonçant le basculement inéluctable de la guerre en guérilla.
  18. Les russes utilisent des drones made in israël !!?? https://fr.wikipedia.org/wiki/IAI_Searcher
  19. Qu'est-ce qui a détruit ce BMD-2 ? On dirait qu'une charge a explosé sous lui et l'a retourné comme une crêpe :
  20. D'après ce twitt les russes tirent des obus de 152mm guidés par laser :
  21. ( avec le lien une photo pour visualiser cette antiquité) https://www.lefigaro.fr/flash-actu/un-engin-s-ecrase-a-zagreb-probablement-un-drone-sovietique-utilise-par-l-ukraine-20220311 Un engin s'écrase à Zagreb, probablement un drone soviétique utilisé par l'Ukraine Les autorités croates ont fermé l'accès à un parc à proximité de Zagreb, après qu'un engin s'y est écrasé. D'après les médias locaux, il pourrait s'agir d'un Tupolev Tu-141, un drone utilisé par l'armée ukrainienne. Un engin s'est écrasé dans la nuit de jeudi à vendredi 11 mars dans un parc de la capitale croate, Zagreb, a annoncé la police, des médias affirmant qu'il s'agit vraisemblablement d'un drone de reconnaissance de fabrication soviétique utilisé récemment par les forces ukrainiennes. Les autorités ont fermé l'accès à la zone, un parc situé à six kilomètres du centre-ville, et n'ont toujours pas donné de détails sur le type de l'engin. La police a été alertée par des habitants ayant entendu une «détonation qui a suivi la chute de l'engin», selon un communiqué. «Un cratère a été découvert dans la zone verte» du parc Jarun, bordant un lac, ainsi que «deux parachutes», selon la même source. Plusieurs voitures ont été endommagées. Des médias locaux, qui citent un expert de l'aviation militaire, affirment qu'il pourrait s'agir de l'un des Tupolev Tu-141 utilisés récemment par les forces ukrainiennes. Il s'agit d'un drone de fabrication soviétique utilisé dans les années 1970 et 1980. Ce drone atterrit à l'aide de parachutes. Zagreb se trouve à quelque 550 kilomètres à vol d'oiseau de la frontière la plus proche de l'Ukraine qui est confrontée depuis le 24 février à l'invasion des forces russes. La Croatie est membre de l'Otan depuis 2009.
  22. Une censure complète est impossible en 2022, même dans la Russie de Poutine. La population va de plus en plus prendre conscience des pertes subies Traduction automatique de l'article en russe indiqué par le lien (avec quelques faits intéressants) : https://utyug.info/new/12487/ Kuban a dit au revoir aux soldats tombés au combat contre les néo-nazis en Ukraine Dans le district de Kanevsky du territoire de Krasnodar, une cérémonie d’adieu a eu lieu avec ceux qui sont morts lors d’une opération spéciale en Ukraine. Cela a été rapporté le 8 mars par le service de presse de l’administration du district sur sa page Instagram. Accomplissant leur devoir officiel dans la bataille contre les néo-nazis d’Ukraine, l’officier Alexei Ilnitsky et le soldat Igor Khaziakhmetov ont été tués. L’armée a reçu à titre posthume l’Ordre du Courage conformément au décret du président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine. Le major Alexei Ilnitsky a servi comme commandant adjoint du bataillon d’assaut aéroporté de la 11e brigade d’assaut aéroportée de la Garde séparée. L’officier a participé à une opération antiterroriste dans la région du Caucase du Nord. Le soldat Igor Khaziakhmetov a servi comme mécanicien-chauffeur du 108e régiment d’assaut aéroporté de la Garde de Novorossiysk. Il a participé aux hostilités dans la région du Caucase du Nord et en République arabe syrienne. Plus tôt, IRON a rapporté qu’Andrei Sukhovetsky, général de division, qui a servi en tant que commandant en chef adjoint de la 41e armée interarmes du district militaire central de la Fédération de Russie, est mort pendant les hostilités en Ukraine. Il avait 47 ans. Il a été nommé commandant en chef adjoint de l’armée en 2021. Avant cette nomination, il a passé trois ans en tant que commandant de la septième division d’assaut aéroportée à Novorossiysk. Lire aussi: Au cours des batailles en Ukraine, Konstantin Zizevsky, commandant du 247e régiment d’assaut aéroporté de la Garde, colonel de la Garde, est décédé.
  23. 1. Ils peuvent bien avoir 100.000 chars ça ne sert à rien s'ils n'ont pas des équipages professionnels pour mettre dedans 2. ils ne sont déjà pas capables de faire manoeuvrer et ravitailler quelques centaines de MBT juste derrière leurs propres frontières
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