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C'est le bordel en Grèce


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Ca les forcera à considérer et à connaître ce qu'ils achètent, donc à y réfléchir au lieu de faire, acheter et vendre des packages virtuels dont ils ne savent rien en quelques millisecondes. Faudra qu'ils lisent autre chose que les statistiques et les historiques de ventes des dits produits (rêvons un peu). Imaginez un monde où les traders seraient des investisseurs et y connaîtraient quelque chose en économie  :rolleyes:. Ou bien un monde où ils seraient ce qu'ils sont censés être, à savoir des exécutants au service de stratégies d'investissement réel, et dont la seule VA serait de savoir un peu mieux se démerder pour rafler plus de titres d'une boîte recherchée.... Un rêve? Evidemment  :'(.

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Ca les forcera à considérer et à connaître ce qu'ils achètent, donc à y réfléchir au lieu de faire, acheter et vendre des packages virtuels dont ils ne savent rien en quelques millisecondes. Faudra qu'ils lisent autre chose que les statistiques et les historiques de ventes des dits produits (rêvons un peu). Imaginez un monde où les traders seraient des investisseurs et y connaîtraient quelque chose en économie  :rolleyes:. Ou bien un monde où ils seraient ce qu'ils sont censés être, à savoir des exécutants au service de stratégies d'investissement réel, et dont la seule VA serait de savoir un peu mieux se démerder pour rafler plus de titres d'une boîte recherchée.... Un rêve? Evidemment  :'(.

Bonjour à tous

Houlà, attention danger...

Non seulement, la vente "à découvert" est utile pour ce qui est de la liquidité des titres mais attention aussi à ne pas généraliser cela à tous les marchés cette "condamnation".

Ainsi, de très nombres groupes exportateurs utilisent une forme de "vente à découvert" de devises sur le marché des changes, non pas pour spéculer mais, au contraire, pour se couvrir contre le risque de change.

Par exemple, une entreprise française vend en USD un service à une boîtes aux USA, pour se garantir contre une évolution défavorable de la parité, elle va "vendre à terme" ce montant en USD contre de l'Euro le jour même de la commande.

Elle fait donc en quelque sorte une "vente à découvert", puisqu'elle n'a pas encore les devises en poche...

Il faut faire très attention sur ce sujet:

réglementer afin d'éviter les abus, oui; mais faire n'importe quoi en interdisant tout dans un but purement politique afin de faire plaisir à Mme Michu, non!

Malheureusement, les autorités européennes (il y-a quelques mois) et maintenant Mme Merkel semblent vouloir agir dans la 2e optique...

Encore une fois: attention danger!

a+

Vorpal777

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faut faire très attention sur ce sujet:

réglementer afin d'éviter les abus, oui; mais faire n'importe quoi en interdisant tout dans un but purement politique afin de faire plaisir à Mme Michu, non!

A la différence près qu'il faut regarder les volumes respectifs de tels procédés, non seulement en global à l'année, mais en flux au jour le jour. Il peut exister bien des façons de couvrir le risque de changes, et mettre en place des dispositifs spécifiques n'a rien de compliqué en soi. En revanche, le gros des ventes à découvert sert avant tout à des manoeuvres de spéculation, de survolatilité des marchés et de sur-réactivité.

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A la différence près qu'il faut regarder les volumes respectifs de tels procédés, non seulement en global à l'année, mais en flux au jour le jour. Il peut exister bien des façons de couvrir le risque de changes, et mettre en place des dispositifs spécifiques n'a rien de compliqué en soi. En revanche, le gros des ventes à découvert sert avant tout à des manoeuvres de spéculation, de survolatilité des marchés et de sur-réactivité.

Tancrède

Encore une fois, c'est épineux.

"Il peut exister bien des façons de couvrir le risque de change"...

Hé non, pas tant que cela. Pour faire très simple (simpliste), on va rester sur les devises totalement convertibles. On a quoi comme outils accessibles aux entreprises commerciales?

  - le change à terme simple (complété des swaps cambistes),

  - les options (de la "vanilla" aux plus complexes "knock-in knockout, etc... peu accessible à l'entreprise lambda)

  - de produits "structurés" spécifique de l'ingéniérie financière (peu accessible également).

Point.

Donc, si réglementation il doit y-avoir (et crois bien que je suis convaincu que ce serait une bonne chose), je pense qu'elle doit être sélective sur non pas le "combien" (ie sur le volume), mais sur le "qui" et le "pourquoi" de l'outil.

Si on discrimine sur le "combien", on pénalise essentiellement ceux qui se couvrent contre un risque, car eux ne pourront pas avoir de sorties de secours (car moins de "technicité" ou de moyens que les institutions financières dédiées et "spéculant"-même si ce terme doit être pris avec des pincettes et des gants de protection).

a+

Vorpal777

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Sauf si tu en fais une formule définie, un outil affecté et dédié, un processus proportionné et vérifiable en fonction des volumes de vente et fait spécifiquement pour cet usage. Ca n'est pas quelque chose de très lourd à vérifier ni une sur-paperasserie prenant beaucoup de temps, l'avantage d'exportateurs étant qu'ils ont des flux de biens et services effectivement constatables.

C'est par des procédés sans doute plus raffiné et plus fluide, mais fondamentalement de ce type, qu'on discrimine le qui et le pourquoi.

Au vu des volumes respectifs, c'est une urgence.

Note bien que quand je parle des volumes auxquels il faut payer attention (je me sis peut-être mal exprimé), je disais simplement que le volume des fonds servant à des opérations purement spéculatives et de sur-volatilité des marchés, et particulièrement des changes, était infiniment supérieur à ceux servant à couvrir le risque des entreprises purement commerciales. C'était juste un constat pour dire que ce type de dispositifs nécessaires dans le principe servait dans les faits bien plus d'autres types d'opérations.

Par ailleurs, discriminer est effectivement impératif en ce que les acteurs réalisant ce type d'opérations ne séparent pas les masses d'argent respectives dans leurs mouvements.

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@Vorpal

Le probleme c'est comme parle ici de VAD a nue ... sans aucune contrepartie réelle de pret de titre - comme la VAD normale - et donc quasiment sans limite.

@Tancrede

Pour limité un peu le flux purement financier il y a toujours la solution basique de mini taxe sur chaque transactions.

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@Tancrède

Alors, sur le principe, nous sommes d'accord! =)

@G4lly

C'est effectivement le principe de la "taxe Tobin", que personnellement j'appelle de mes voeux (oui, je sais, je suis un grand rêveur), même si je ne suis pas sûr de l'efficacité d'un tel dispositif pour diminuer drastiquement le volume des transactions (et en corollaire de la vol). L'intérêt d'une telle taxe reste, à mon humble avis, dans le cash qu'elle drainerait vers les états... Et ce serait déjà énorme! ;)

a+

Vorpal777

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Les problème de la Taxe Tobin ont déjà été soulevés par Tobin lui-même et d'autres. En voici quelques-uns (je cite wikipedia au lieu de faire mon texte vu que je suis flemmard):

- les propositions de Tobin visent avant tout à limiter les effets néfastes des spéculations à court terme dans le cadre du système des changes flottants afin de prévenir une crise économique grave. Ces mesures ne visent en aucun cas à fournir aux Etats de nouvelles ressources fiscales, à financer des O.N.G. et encore moins à financer le tiers-monde, l'écologie ou la santé publique comme il a pu être présenté. Les propositions Tobin sont des mesures pragmatiques liées aux dysfonctionnement des changes flottants

- En dépit de son taux très faible, elle constituerait un frein aux échanges en général, étant donné qu'elle serait également prélevée sur des transactions de paiement et transfert non-spéculatives, du fait des entreprises fonctionnant en réseau, et des contraintes d'optimisation de trésorerie en temps réel.

- Elle accentuerait la volatilité des cours des monnaies en diminuant les transactions sur les marchés et en les rendant ainsi moins liquides

- Elle ne permettrait pas d'éviter les mouvements de capitaux de grande échelle, tels que ceux qui ont causé les crises asiatique et russe, son taux n'étant pas assez élevé pour être dissuasif

- Elle devrait être mise en place à une échelle mondiale ou continentale, ce qui implique une entente difficile à obtenir : une action isolée de quelques pays aurait des effets négatifs sur leur économie. Dans de tels cas, nombreuses sont les places désireuses d'attirer des capitaux et les intervenants en refusant d'appliquer cette taxe. En outre, selon The Economist, quand bien même elle serait mise en place à une échelle globale, il serait possible de l'éviter par de l'ingénierie financière

- Elle ferait vraisemblablement reposer le cout de la taxe non pas sur les organismes financiers ou spéculateurs mais sur les utilisateurs finaux de ces produits. En effet, les teneurs de marché doivent maintenir une activité profitable pour exister et une taxe sur les transactions de X % induirait nécessairement une augmentation de X % du spread, c'est-à-dire de la fourchette d'offre et de demande. Le prix de la taxe serait donc directement reporté sur les activités d'investissement et de couverture, vitales pour l'économie.

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Les problème de la Taxe Tobin ont déjà été soulevés par Tobin lui-même et d'autres. En voici quelques-uns (je cite wikipedia au lieu de faire mon texte vu que je suis flemmard):

- les propositions de Tobin visent avant tout à limiter les effets néfastes des spéculations à court terme dans le cadre du système des changes flottants afin de prévenir une crise économique grave. Ces mesures ne visent en aucun cas à fournir aux Etats de nouvelles ressources fiscales, à financer des O.N.G. et encore moins à financer le tiers-monde, l'écologie ou la santé publique comme il a pu être présenté. Les propositions Tobin sont des mesures pragmatiques liées aux dysfonctionnement des changes flottants

- En dépit de son taux très faible, elle constituerait un frein aux échanges en général, étant donné qu'elle serait également prélevée sur des transactions de paiement et transfert non-spéculatives, du fait des entreprises fonctionnant en réseau, et des contraintes d'optimisation de trésorerie en temps réel.

- Elle accentuerait la volatilité des cours des monnaies en diminuant les transactions sur les marchés et en les rendant ainsi moins liquides

- Elle ne permettrait pas d'éviter les mouvements de capitaux de grande échelle, tels que ceux qui ont causé les crises asiatique et russe, son taux n'étant pas assez élevé pour être dissuasif

- Elle devrait être mise en place à une échelle mondiale ou continentale, ce qui implique une entente difficile à obtenir : une action isolée de quelques pays aurait des effets négatifs sur leur économie. Dans de tels cas, nombreuses sont les places désireuses d'attirer des capitaux et les intervenants en refusant d'appliquer cette taxe. En outre, selon The Economist, quand bien même elle serait mise en place à une échelle globale, il serait possible de l'éviter par de l'ingénierie financière

- Elle ferait vraisemblablement reposer le cout de la taxe non pas sur les organismes financiers ou spéculateurs mais sur les utilisateurs finaux de ces produits. En effet, les teneurs de marché doivent maintenir une activité profitable pour exister et une taxe sur les transactions de X % induirait nécessairement une augmentation de X % du spread, c'est-à-dire de la fourchette d'offre et de demande. Le prix de la taxe serait donc directement reporté sur les activités d'investissement et de couverture, vitales pour l'économie.

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Je suis d'accord, Tancrède, sur une grosse partie de ce qui est dit ci-dessus, mais pas sur tout.

Je me permets, à mon tout petit niveau, d'être en opposition sur certains points:

  - un frein aux échanges: sans doute dans un premier temps juste après la mise en place, le temps que le marché s'adapte. Cependant, je reste persuadé qu'une fois cette période passée, les volumes recroîtront à nouveau. Les marchés sont très darwiniens et darwinistes.

  - "son taux n'est pas assez élevé pour être dissuasif": j'espère bien et ce n'est, de toutes façons, pas le but: on ne veut pas tuer les volumes ou l'activité!

  - "les états n'en profiteront pas": quoi qu'on en dise, cela reste une taxe (donc un impôt) et cela doit le rester. Donc qui se mettra le produit inhérent dans la poche? Oui, m'dame Michu, ce sont les états!

Je me permets, en outre, d'observer que les problèmes soulevés sont très "libéraux orientés". Ce n'est pas une critique, je ne me le permettrais pas, ne détenant en aucun cas la science infuse.

Néanmoins, il convient, à mon avis, de le remarquer.

a+

Vorpal777

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  • 2 weeks later...

Big Pharma blackmails Greece; halts medicine supply over cash demands

(NaturalNews) In the midst of runaway economic problem in Greece, the pharmaceutical industry has decided to blackmail the nation and halt shipments of medicines to Greece until it agrees to pay full price for the drugs. In order to cut costs during its severe debt crisis, Greece had announced it would pay drug companies 25 percent less for their products, but this loss of profit was enough to convince several pharmaceutical companies supplying key drugs to the country to initiate their own medical blockade where they simply refuse to deliver any more medicines www.naturalnews.com.

Source de l'article: http://news.bbc.co.uk/2/hi/world/europe/10193799.stm

Je suis bien désolé pour les Grecs  :'(

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C'est bizarre, mais sur ce coup là, j'ai pas l'impression qu'on va voir l'Union Européenne essayer d'accroître son pouvoir/union en proposant la formation d'une centrale d'achat unique de médicaments pour l'intégralité des membres (là les prix baisseraient largement en-deçà des 25% mentionnés  :lol:). Forcément, les pharmas ont bien plus de pouvoir auprès des instances européennes et des Etats-membres qu'un seul pays  :P.

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Sans compter que les pharmas viennent juste de se remplir les poches avec l'argent de la peur de la grippe.

Ce sont les acquis de plusieurs générations qui vont être détruits par les grosses sociétés et leurs gouvernements auprès des peuples.

Il est temps d'investir dans les plantes médicinales pour se venger des pharmas, ces monstres.

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J'y ai pensé mais les pharmaciens sont de braves gens (et les pharmaciennes très souvent jolies et gentilles).  :lol:

Remarque, avec de l'ail, tu peux vider toute une salle en moins de deux. Il suffit de trouver de l'huile essentielle d'ail et se laisser guider par l'enfant turbulent qui sommeille dans chaque personne.

Bon ben on va planter du Hashish sur le balcon

Dans le futur, quand les policiers auront été délocalisés aussi. :happy:

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J'y ai pensé mais les pharmaciens sont de braves gens (et les pharmaciennes très souvent jolies et gentilles).  :lol:

Remarque, avec de l'ail, tu peux vider toute une salle en moins de deux. Il suffit de trouver de l'huile essentielle d'ail et se laisser guider par l'enfant turbulent qui sommeille dans chaque personne.

Dans le futur, quand les policiers auront été délocalisés aussi. :happy:

Pharmacienne je ne sais pas, car un pharmacien est le propriétaire de l'officine. Les jeunes filles qqx jolies sont plutot des préparatrices en pharmacie.

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  • 1 year later...

Tout l'etat major grec vire...

Autre nouvelle surprise d'hier soir – qui a provoqué la colère de tous les partis politiques de l'opposition – et rendu très sceptiques les citoyens, a été le limogeage et la mise à la retraite de l'ensemble du Grand état-major, armée de terre, de l'Air et marine nationale, par le Ministre de la Défense, Panagiotis Beglitis. Le ministre a aussitôt mis en place une nouvelle haute hiérarchie, sans donner la moindre vraie explication. Pour un gouvernement qui vacille, nous nous demandons déjà à qui cet état-major nouveau, est censé se montrer fidèle ou docile.

Dans le métro une vieille dame a lancé à ce propos : « Ils ont peur de l'armée ou quoi, qu'on fusille tous ces politicien de haut rang et qu'on enferme les autres en rouvrant les camps de prisonniers sur les iles... ». Silence dans toute la rame.

http://www.marianne2.fr/Bravo-Herr-Papandreou-_a212028.html

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Dans le genre en total relation avec le sujet, j'ai mieux

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/11/03/97002-20111103FILWWW00574-papandreou-pret-a-retirer-le-referendum.php

Le premier ministre grec Georges Papandréou s'est dit prêt jeudi à retirer son projet de referendum sur l'euro, qui a semé la panique en Grèce et dans la zone euro, pour garantir le plan de sauvetage européen de la Grèce, selon un communiqué de ses services.

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Les jeunes filles qqx jolies sont plutot des préparatrices en pharmacie.

Non, moi je connais une pharmacie tenue par des jolies vietnamiennes.  =)

Pour Papandréou pourquoi il fait marche arrière comme ça ? Est-ce que dès le départ son idée de réferendum n'était pas sérieuse ?

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Bonne nouvelle, la consommation se maintien a de bon niveaux

http://www.caradisiac.com/Grece-on-y-trouve-plus-de-Porsche-Cayenne-que-de-personnes-capables-d-en-acheter-73852.htm#xtor=AD-20

Par exemple, dans la ville de Larisa comptant 250,000 habitants, on compte un nombre de Porsche par habitant supérieur à celui de New York ou de Londres. C'est la ville où l'on vend le plus de Porsche Cayenne par exemple. Le professeur s'étonne que cette localité agricole absorbe autant de 4x4 de Stuttgart sachant que l'agriculture n'est pas un secteur très florissant en ce moment et que la moitié des revenus des agriculteurs provient en fait des subventions de l'Europe.

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