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Otages Français au Sahel


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On a les constatation médicolégales du déces des deux otages francais. L'un serait mort par balle tiré a la tete, a courte distance, laissant supposer une exécution. L'autre serait mort dans l'incendie, probablement celui du véhicule des kidnappeurs.

On en sait un peu plus. Une premiere fusillade a eu lieu avec les force de sécurité nigériane, qui ont poursuivi les kidnappeurs jusqu'à la frontière. Les militaires français poursuivant au delà de la frontière, une trentaine de militaire semble t il, intervenu par hélicoptère. On peut penser que les tirs d'arret aurait pu incendier un des vehicules - il semble qu'apres la frontiere les kidnappeur compte 3 vehicules et une douzaine de terroristes -.

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Otages tués au Niger : la version officielle mise à mal

France Info - 08:33

Des zones d’ombres subsistent sur l’intervention militaire française contre les ravisseurs de deux Français tués samedi au lendemain de leur enlèvement au Niger et dont les corps ont été rapatriés hier à Paris où a débuté leur autopsie. Le ministère nigérien de l’Intérieur a affirmé hier à l’AFP ne détenir "aucun terroriste" membre présumé d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) impliqué dans l’enlèvement des deux otages français, contrairement à ce qui avait été affirmé par Paris. Autre élément troublant : depuis le début, la France affirme que les deux otages ont été purement et simplement éliminés par leurs ravisseurs. Seulement voilà, les premiers résultats de l’autopsie des deux corps, dévoilés hier soir par l’AFP (qui cite des sources policières), font planer le doute sur cette version officielle. Le décryptage ce matin d’Étienne Monin, envoyé spécial de France Info à Niamey. Il répond à Marc Fauvelle.

Marc Fauvelle : Les premiers éléments de l’autopsie indiqueraient que l’un des otages français n’a pas été touché par balle. Est-ce que ce n’est pas la remise en cause de la version officielle ?

Étienne Monin, envoyé spécial de France Info à Niamey : Ce qu’avaient dit Alain Juppé et François Fillon c’est que les deux hommes avaient été exécutés par les ravisseurs. C’était lundi et mardi. Position étayée par un porte-parole du ministre de la Défense qui est allé jusqu’à préciser hier que l’un des otages avait été tué d’une balle en pleine tête et l’autre de deux balles dans le dos. Ce que révèle l’autopsie, c’est qu’il y a bel et bien eu tir à bout portant dans le visage d’un des jeunes Français, mais pas de trace apparente de balles sur le corps du deuxième qui à été entièrement brûlé, sans qu’on ne connaisse encore les causes de la mort. Ce qui relance l’hypothèse d’un décès pendant l’assaut provoqué par un incendie après un tir a l’arme lourde dans le réservoir.

Est-ce qu’on sait maintenant ce qui s’est passé après l’enlèvement ?

EM : Ce qu’ont sait de source française c’est que l’opération des forces spéciales se fait en fin de matinée, donc en plein jour, dans une zone semi-désertique, plus de 100km à l’intérieur du territoire malien, avec des tirs d’hélicoptères, puis des troupes au sol. Les Français visent trois véhicules. Deux d’entre eux seront retrouvés calcinés, le troisième n’a pas brûlé mais, élément surprenant, c’est un véhicule de gendarmes alors que les Français ont très vite dit qu’ils étaient seuls sur l’opération.

Hier d’ailleurs le ministre nigérien de l’Intérieur a tenu à faire entendre sa voix pour contredire le gouvernement Français...

EM : C’est l’une des zones d’ombre. Après les tirs, les Français disent avoir trouvé deux corps habillés en gendarmes, et deux blessés qui ont été fait prisonniers et qui on été remis aux autorités nigériennes. Le terme de prisonnier est contesté par les Nigériens. Ils expliquent que ce sont des gendarmes qui leur on été remis. On comprend donc qu’il y a polémique sur le rôle que chacun attribue a ces hommes, quatre gendarmes nigériens au total, découverts de l’autre coté de la frontière, au contact des terroristes. Cela pourrait être une complicité ou une course poursuite, ou un enlèvement, hypothèse avancée par un proche du ministre de l’Intérieur nigérien, mais non confirmée officiellement.

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On peut penser que les tirs d'arret aurait pu incendier un des vehicules

Ca confirme ce que je disais plus haut, on ne tire pas sur un vehicule contenant des otages... Meme avec un petit calibre, on ne sait pas quel trajet va faire la balle une fois qu'elle aura rebondi sur des element metaliques...
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Ca confirme ce que je disais plus haut, on ne tire pas sur un vehicule contenant des otages... Meme avec un petit calibre, on ne sait pas quel trajet va faire la balle une fois qu'elle aura rebondi sur des element metaliques...

encore faut il savoir dans quel véhicule se trouvent les otages (et s'il y avait 3 véhicules, des gendarmes nigerians prisonniers, les deux français, il y avait des otages dans tous les véhicules...  et donc savoir sur lesquels tirer :O) et comment faire si les otages sont répartis dans tous les véhicules

encore faut il ne pas se faire allumer depuis ce véhicule  :-[

encore faut il trouver une solution pour stopper les véhicules sans donc leur tirer dessus ... (et je ne pense pas qu'une herse, en plein milieu du désert, ça se trouve sous la patte d'un chameau (et il faudrait contraindre les véhicules à rouler dessus et non pas à coté))

et accessoirement les ordres de stopper le convoi avant qu'il ne soit hors de portée/avec trop de renforts....

ça n'a pas du être évident (surtout si les intervenant ont en mémoire le Tanit et la peur de se manquer)  :-X :-[

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REUTERS : Les corps des deux jeunes Français enlevés au Niger et tués samedi lors d'une intervention armée contre leurs ravisseurs portent des traces de balles, a dit jeudi le ministère français de la Défense.

Le porte-parole du ministère français de la Défense, Laurent Teisseire, a évoqué devant la presse les constatations initiales faites au Niger après l'opération française.

"Un des morts est décédé d'une balle dans la tête, le second avait des traces de balles et de brûlures importantes", a-t-il dit. "Les deux otages étaient entravés quand ils ont été retrouvés."

Le résultat des autopsies, réalisées à l'Institut médico-légal de Paris, n'était cependant pas encore connu jeudi en milieu de journée. Une enquête judiciaire est menée, sous l'autorité du procureur de Paris.

Le gouvernement français dit que les deux hommes ont été exécutés par leurs ravisseurs au moment de l'intervention d'une trentaine de militaires français héliportés et parachutés en territoire malien. Les ravisseurs cherchaient à gagner une zone refuge à bord de trois voitures.

Les deux jeunes Français, Vincent Delory et Antoine de Léocour, étaient entravés lorsqu'ils ont été retrouvés morts, a précisé Laurent Teisseire.

Les ravisseurs circulaient à bord de trois véhicules, un immatriculé au Bénin, un non identifié et un de la gendarmerie nigérienne. Deux des quatre activistes tués portaient l'uniforme de la gendarmerie et ont participé aux combats, a dit le porte-parole.

Deux blessés arrêtés après l'assaut portaient aussi l'uniforme de la gendarmerie et ont également combattu. Ils ont été remis aux autorités nigériennes, a-t-il précisé.

Des divergences ont semblé naître mercredi entre Paris et Niamey sur les investigations menées sur l'enlèvement, le ministre nigérien de l'Intérieur, Cissé Ousmane, contestant la qualité de "terroriste" prêtée aux blessés prisonniers par le ministre français de la Défense, Alain Juppé, le Premier ministre, François Fillon, et une source proche des forces de sécurité nigériennes.

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Otages tués au Niger. Al Qaïda revendique l'enlèvement, les forces françaises mises en cause

13 janvier 2011 à 15h42

Al-Qaïda au Maghreb (Aqmi) a donc revendiqué l'enlèvement des deux jeunes français au Niger dans un enregistrement audio envoyé à Al-Jazira. Selon l'organisation terroriste, les deux français auraient été tués durant l'assaut mené par les forces françaises. Des forces françaises qui ont également été mises en cause par un responsable nigérien qui leur attribue la mort de trois militaires durant cette opération.

Al-Qaïda au Maghreb (Aqmi) aurait donc bien commandité le rapt d'Antoine de Léocour et de Vincent Delory, deux jeunes français enlevés vendredi soir à Niamey, avant d'être retrouvés morts le lendemain au Mali, près de la frontière nigérienne. La revendication audio a été transmise à la chaîne de télévision Al-Jazira. Selon l'Aqmi, deux soldats français auraient aussi trouvé la mort lors de l'assaut.

Près de trente morts durant l'assaut, selon Al-Qaïda

Dans cet enregistrement, l'Aqmi indique que l'assaut donné par les forces françaises et nigériennes "pour sauver les otages" a été "un échec cuisant et s'est soldé par la mort des deux otages français, la mort de deux membres des forces spéciales françaises", a ajouté le porte-parole. De plus, "25 militaires nigériens ont été tués ou blessés", a-t-il poursuivi dans l'enregistrement, dont l'authenticité n'a pas pu être établie.

Les militaires nigériens tués par les forces françaises, selon un responsable nigérien

Les autorités nigériennes ont confirmé elles le nombre de trois morts dans leurs rangs. En revanche, un haut responsable gouvernemental nigérien a affirmé, ce jeudi à l'AFP, que les "militaires nigériens" retrouvés morts "poursuivaient les gens d'Al-Qaïda" et avaient été "victimes de tirs français". Et que, contrairement à ce qu'avait affirmé le ministère français de la Défense, ces victimes, qui portaient  "l'uniforme de la gendarmerie nigérienne", ne participaient pas au combat contre les forces françaises. "Les troupes nigériennes n'ont jamais combattu aux côtés d'Aqmi", a-t-il insisté. "Je ne dis pas que les militaires français ont fait exprès, mais les militaires (nigériens) dont les corps ont été ramenés par les Français à Niamey, sont morts de tirs français", a-t-il insisté.

Des impacts de balles dans les deux corps qui étaient "entravés"

Par ailleurs, l'autopsie des corps des deux otages français tués au Niger s'est déroulée hier et ce matin, sous l'autorité du parquet de Paris. Selon les premiers résultats, l'un d'eux a été tué d'une balle dans la tête, et "le corps du second portait plusieurs impacts de balles et des brûlures importantes". Les corps ont tous les deux été retrouvés "entravés".

Brûlures : l'hypothèse d'un tir sur le réservoir de la voiture pas écartée

Le premier des deux otages a été tué d'une balle dans la tête à bout portant, ce qui laisse penser à une exécution. Les causes de la mort du second restent encore à déterminer. Il était totalement brûlé, et par conséquent, des sources policières ont affirmé ne pas exclure l'hypothèse d'un tir ayant touché le réservoir de la voiture dans laquelle ils se trouvaient.

Aubry veut que le gouvernement fasse "la lumière"

La première secrétaire du Parti socialiste, Martine Aubry, a demandé ce matin au gouvernement de "faire la lumière sur ce qui s'est passé" lors de l'enlèvement des deux Français. "Nos deux jeunes compatriotes ont perdu la vie parce qu'ils étaient là où il étaient au moment où ils l'étaient et parce qu'ils étaient Français, et donc aujourd'hui, dans ce moment, bien sûr, la France a le devoir d'être unie", a-t-elle déclaré. Et d'ajouter : "Mais le gouvernement, lui, a le devoir de faire toute la lumière sur ce qui s'est passé et d'en informer l'opinion."

Edit => Source : Le Télégramme du 13/01/2011

http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/otages-tues-au-niger-al-qaida-revendique-l-enlevement-les-forces-francaises-en-cause-13-01-2011-1173742.php

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il reste des questions en suspend ?

1/ les otages étaient ils encore dans les véhicules de la phase finale assaut FS

2/ quel était le statut exact du véhicule de gendarmerie et quel était sa position dans le cortège?

3/ quel type d'armes ont été utilisés? et les deux gus soit disant blessés et remis comme agent terroriste étaient ils des gendarmes prisonniers , d'un assaut Nigérien précédent ?

pour l'instant il y a un chronologie puante dans ce merdier ! la France et le Niger disent déjà pas la même chose !

j'ai vu qu'on parlait de deux corps carbonisés?

c'est un peu le foutoir..

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c'est un peu le foutoir..

Ouais, ça sent un peu le kâkâ la fumée cette affaire.

Déjà, y'a une com' française un peu étrange.

Au départ on dit que les deux gars ont été exécutés, et point.

Ensuite on apprend que l'un d'eux présente des traces de feu.

Pour finir (provisoirement) j'entend ce matin sur Inter que le gars présentant sois-disant des "traces de feu" est en fait carbonisé ou quasi.

Ca ressemble à de la com' improvisée à la hâte pour planquer une bavure ou erreur ou faute pour gagner du temps, histoire de bétonner une version finale "politiquement correcte".

Ajoutez à ça les contradictions apportées par les Nigériens et on a tous les éléments de base pour un beau "buzz" médiatique, voire diplomatique avec le Niger et le Mali.

Pas bon ........

EDIT:

Oup's, je m'aperçois que j'ai fais de l'humour un brin douteux involontairement.

-"la fumée".

Désolé.

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Ca sent la mauvaise com' surtout... Je pense que quand une opé militaire n'est pas complètement clean, et c'est le cas à partir du moment où les otages ont été tués, on bétonne dans la prudence. Les circonstances de la mort ? "C'est à l'enquête de les déterminer". Pour les prisonniers pas prisonniers, c'était sans doute plus difficile à éviter.

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Plusieurs choses peuvent expliquer cela. D'abord l'interception s'est faite en territoire Malien sans en référer aux autorités Maliennes (pas le temps). Même si la France et le Niger ont agi de concert, il n'est pas sûr que le Mali n'aurait pas tergiversé (sait-on jamais, par exemple en demandant des visas en échange de sa collaboration... juste une idée comme ça).

Si la France peut gérer avec le Mali au niveau des affaires étrangères, il n'est pas sûr que le Niger puisse gérer aussi facilement (intrusion armée sur un territoire souverain).

Donc, soit la France a cherché à couvrir le Niger en rapatriant fissa des Gendarmes Nigériens blessés mais ayant participé à la poursuite et en les faisant passer pour des terros (histoire de mettre la pression à AQMI, genre on va cuisiner vos potes à la Chicotte et ensuite lorsqu'ils auront bavé vos planques, on vient vous faire une petite visite de courtoisie) : bluff.

Ou pas bluff, ils ont peut être serré des terros et veulent rester discrets afin de ne pas alarmer les barbichus.  

Soit la France a effectivement eu maille à partir avec des éléments de la Gendarmerie Nigérienne ayant des accointances avec AQMI et voulant une part du gateau (improbable car AQMI voulait deux Français pour faire le compte de leur enlèvement merdique sur le site d'Areva et pas pour faire du gras).

Soit la troisième voiture était un "sous-marin" d'AQMI, voiture volée avec quatre uniformes de Gendarmes Nigériens, soit volés soit obtenus par corruption (improbable car en ce cas des arabes en uniformes Nigérien, cela aurait fait tache dans le paysage local).  

Des Parachutistes du CPA-10 et du 1er RPIMA ont participé à l'interception.

Quand à AQMI, ce qu'ils voulaient c'était deux Francaouis pour faire le compte des sept terros qu'on leur a buté losqu'on cherchait Michel Germaneau avec l'armée Mauritanienne.

Comme les barbichus en sandales sont des brêles, ils ont fait un raid sur le village Areva et ont enlevé en mesure de rétorsion... cinq Français et deux étrangers (...). Comme disait la chanson de Brassens : "Quand on est con, on est con..."

Donc les voilà à la recherche de deux autres Français pour faire le compte. C'est encore raté. Malheureusement nos compatriotes sont morts et le petit jeune qui devait se marier laisse sa future belle-famille Nigérienne dans la douleur.

EDIT / Interview relatant le point de vue Nigerien - source RFI

http://www.rfi.fr/afrique/20110113-confusion%20-identit%C3%A9-%20nig%C3%A9riens-remis-%20paris-niamey-l

"C’est l’identité des deux Nigériens blessés et rapatriés sur Niamey qui est au cœur de la controverse entre la France et le Niger.

Selon le ministère français de la  Défense, ces deux individus, habillés d’un uniforme de gendarme nigérien sont des suspects. Ils ont été arrêtés à l’endroit de l’intervention des forces spéciales françaises sur le territoire malien. Et pour Paris, leur présence aux côtés des ravisseurs en fait, sans conteste, des complices des preneurs d’otages.

Pour Niamey, il en va tout autrement. Ces deux blessés nigériens sont bel et bien des gendarmes et non des terroristes. Deux autres ont d’ailleurs été tués dans les combats. Mais alors pourquoi leur présence au milieu des preneurs d’otages ?

C’est l’un des enjeux de l’enquête judiciaire qui s’est ouverte à Niamey sous l’autorité des Nigériens, en présence de magistrat et policiers antiterroristes français.

Mercredi, une source judiciaire confiait à RFI que selon les premiers éléments de l’enquête, le véhicule des gendarmes était tombé dans une embuscade en territoire malien*, Ils se seraient ainsi trouvés malgré eux associés aux ravisseurs.

La vidéo des opérations militaires devrait permettre de découvrir la vérité."

* Il faudra que l'on m'explique ce qu'ils foutaient en plein désert Malien.

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J'ai édité mon message plus haut.

oui ton Edit fait bien ressortir le rôle des gendarmes dans le véhicules , en plus si je lis bien le bilan ils tiraient depuis les 3 voitures..

par contre , j'ai toujours pas piger si les otages ont été executé sur le barrage des gendarmes ou sur celui des FS héliportés.

la vidéo peut permettre de comprendre le rôle exact des gendarmes Nigérian. et donnera une tout autre lecture à cette triste affaire.

car on peut commencer ( en étant prudent ) de soupçonner les forces Nigériennes d'avoir participé à la prise d'otages.

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http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5ggW39Dy9x72Z4vnW9D0MlxjvmPGw?docId=CNG.ee77595914a417bc7a9a3321f8badb67.f21

"Selon les témoignages de nos soldats dans le cadre de l'action, ces hommes portant des uniformes de la gendarmerie nigérienne n'avaient pas les mains entravées, portaient des armes et ont participé aux combats contre nos troupes", a déclaré le porte-parole du ministère de la Défense Laurent Teisseire.

A Niamey en revanche, un haut responsable gouvernemental nigérien a déclaré que les "militaires nigériens" retrouvés morts après l'assaut, "poursuivaient les gens d'Al Qaïda" et ont été "victimes de tirs français".

-----------

voila qui donne une meilleur lecture !

finalement les conseillés sont meilleurs que les politiques !

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ou pas

je resume

1- le MinDef declare que le Niger a dans ses mains 2 terroristes blessés

2- Le Niger dément

3- Le MinDef revient sur ses paroles et déclare que il y'a eu confusion et que les 2 hommes sont des gendarmes nigériens blessés

4- Le Mindef déclare cependant que les gendarmes nigeriens tués ont tirés sur nos troupes entrainant la riposte et leur elimination

5- Le Niger dément et indique que ses gendarmes poursuivaient les terros

6- des rapports indiquent que les gendarmes etaient insérés dans le convoi des terros

alors A : soit les gendarmes font parti du groupe des terroristes et donc le Niger a entre les mains 2 terros par procuration (donc le point 3 du MinDef devient faux mais le point A devient vrai)

soit les gendarmes collaient effectivement le convoi d'AQ (et le point 4 devient faux)

c'est très confus tout cela

explications possibles : *Le Niger se garde ses gendarmes corrompus et alqaidistes au chaud et refuse de voir la corruption dans ses rangs

** Le Niger se garde ses gendarmes corrompus au chaud et refuse de perdre la face en montrant que ses forces militaires peuvent etre noyautées par AQ

*** les gendarmes nigériens collaient vraiment aux basques des terros et dans la confusion de l'accrochage ils ont tiré sur les français qui ont riposté ou les français les ont réellement pris pour des alqaidistes et les ont délibérement ciblé

comme je disais très très confus

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comme je disais très très confus

Très confus, certes.

Surtout du côté du MinDef, qui a mené l'affaire et qui, en toute logique, doit être le mieux informé à propos de celle-ci, à partir du moment où, officiellement, ce sont les français qui ont pisté les terros, puis mené l'assaut ..... et récupéré les cadavres/blessés/suspects.

Là, y'a comme un souci.

Plus un autre du côté Niger.

Ca sent l'embrouille, d'un côté comme de l'autre.

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A la tele, ils ont montre des Puma pirate en disant que c'etait des helicopteres du meme type qui avaient ouvert le feu sur la colonne. Au 20mm pas etonnant que les voitures aient brule.

En même temps c'est la télé ils montrent ce qu'ils ont sous le coude pour mettre des images entre les pub ;)

Ce qui est terrible c'est notre incapacité a communiquer proprement. Déjà avec Germaneau c'était de la com' de merde et la rebelote ... A quoi ca sert d'essayer de planquer le bordel sous le tapis alors qu'on sait pertinament que ca va en ressortir quelques jour apres!!! Y a pas de honte a tuer un otage par accident lors de l'interception de terroriste. C'est bien sur pas le but mais le but c'est aussi de pas laisser les terroristes mener la barque tout le temps. C'est trop compliqué a dire? oui les mec sont mort au milieu de la fusillade, non on ne sait pas parfaitement si ce n'est pas de notre faute. Et non de toute facon il était hors de question de laisser les terros disparaitre car nous sommes certain qu'ils n'auraient pas rendu les otages vivant comme ils ont fait avec Germaneau! C'est quoi le but préserver les 5 autres? Je pense pas qu'AQMI s'attende a ce qu'on leur donne du blé et qu'on se casse de toute facon ... donc intercpeter ceux la ou ne pas le faire ne doit pas changer grand chose au sort des autres malheureusement.

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