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Otages Français au Sahel


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Urgent:16 mauritaniens membres d'un groupe terroristes abattus par des militaires maliens lors d'une tenative d'infiltration

www.cridem.org/C_Info.php?article=633853

17:06

Mali: 16 membres d'une secte islamiste tués dans le Centre (Liste des 13 mauritaniens tués)

Bamako - L'armée malienne a tué seize personnes, toutes membres d'une secte islamiste, dans le centre du Mali dans la nuit de samedi à dimanche, ont indiqué à l'AFP un responsable gouvernemental et un gendarme maliens, alors qu'un précédent bilan faisait état de 14 islamistes présumés abattus.

Seize membres de la secte Dawa dont le véhicule refusait de s'arrêter après des tirs de sommation ont été traités comme des ennemis à Diabali (région de Ségou, centre), a déclaré un responsable au ministère malien de la Sécurité. Selon un gendarme joint à Diabali, le nouveau bilan est de 16 morts. Il y a des Maliens et des Mauritaniens. Ce sont les membres d'une secte musulmane.

Malgré les tirs de sommation (lui) demandant de s'arrêter, le véhicule transportant les passagers et venant de la frontière mauritanienne a refusé et l'armée a, comme il se doit, ouvert le feu, a expliqué le gendarme.

D'autres personnes membres de cette secte, qui devaient (...) participé à une réunion la semaine dernière sur le territoire malien, ont été arrêtés, a affirmé le responsable au ministère de la Sécurité, sans donner plus de précisions.

Selon un spécialiste de l'Afrique saharo-sahélienne, la secte Dawa, originaire du Pakistan, est apparue en Afrique à la fin des années 1990. Cette secte compterait plusieurs centaines d'adeptes dans le nord du Mali, et serait présente dans plusieurs pays du Sahel dont la Mauritanie, pays voisin du Mali.

Iyag Ag Ghaly - chef d'Ansar Dine- un des groupes armés contrôlant le Nord, a été membre de la secte Dawa. Il a ensuite fondé son groupe islamiste radical, qui s'est allié d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).

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Mort de 12 mauritaniens au sein d'un groupe de prêche au Mali

Un groupe exerçant des activités de prédication, dont 12 mauritaniens, ont été tués dimanche par des forces de sécurité malienne dans ce pays.

Selon une source officielle, les autorités mauritaniennes sont en contact avec les autorités maliennes pour obtenir davantage d'informations sur les circonstances de l'affaire ainsi que pour rapatrier les dépouilles des mauritaniens tués vers le pays.

Agence Mauritanienne d'Information

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Selon Taqadoumy, la liste des 13 compatriotes qui auraient été tués se présente comme suit :

1. Lemhaba Ould Boutama (Ijimane)

2. Cheiyakh Ould Chenane (Oulad Daoud)

3. Aman Ould Eleyatt (Oulad Daoud)

4. Ahmed Ould Badi Ould Ely (Tenwajib)

5. -Mohamed Yahya Ould Mohamed Najem ( O Idriss Vassala)

6. Oumar Ould Hasni ( Oulad Idriss Vassala)

7. Badi Ould Oumbdy (Legwanit V assala)

8. Ivekou Ould Mohamed Vall (Prof à Maghtalahjar)

9. Mohamed Ould M’Haimed (Prof Nouakchott)

10. Djibril Ould Inalla (Ideidba)

11. Itawel Eyamou Ould Izibih Ould Baty (Aoulad Daoud)

12. El Wela Ould Najem (( Oulad Idriss Vassala)

13. Izidbih Ould Mohamed Vall Ould Sidi Haiballa (Aoulad Daoud)

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Urgent:l'émir adjoint d'Al Qaida au Maghreb Islamique a crevé dans un accident de voiture

www.cridem.org/C_Info.php?article=633860

09-09-2012

18:19

Urgent : Mort de l’adjoint de l’émir de la zone du Sahara à AQMI au cours d’un accident de voiture

Sahara médias a appris de sources généralement bien informées que l’adjoint de l’émir de la zone du Sahara à AQMI, Nabil Abu Alqama, est mort ce dimanche matin dans un accident de la circulation à quelque 200 kilomètre à l’ouest de la ville de Gao, au nord Mali.

Et selon cette source, Nabil Abu Alqama conduisait lui-même le véhicule dans lequel il a trouvé la mort en compagnie d’une autre personne répondant au nom de Abderrazak Al Ansari.

Abu Al Aqami, de son vrai nom Makhlouvi Nabil de nationalité algérienne a pris de l’ascendance il y a trois ans quand l’émir d’AQMI Abu Mous’ab Abdel Weddoud l’avait délégué pour suivre l’activité des brigades et la dynamiser.

Des informations faisant cas de la nomination d’Abu Alqama comme émir du Sahara en lieu et place de Yahya Jewady, alias Abu Amar, qui a quitté le Sahara depuis 2007, ont circulé récemment.

Abu alqama est un ancien membre du GSPC (Groupement salafiste pour la prédication et le combat) et avant du GIA (Groupe islamique armé).

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Urgent:le MNLA s'apprête à baiser aqmi

www.cridem.org

27-08-2012 14:03

Achat d’armes pour l’armée malienne : Cheik Modibo sort son chéquier

De sources très confidentielles, nous apprenons que le premier ministre de la transition Dr Cheik Modibo Diarra, aurait dépensé plus de 3 milliards de FCFA pour acheter des armes pour le compte du Mali. On dit également qu’il s’est personnellement engagé pour plusieurs autres milliards auprès de ses amis pour doter notre armée de matériels de dernières générations. Toute chose qui suscite la jalousie de certains chefs d’Etat africains qui ainsi le Mali se doter d’une armée hyper équipée grâce au chéquier du Premier ministre Dr Cheik Modibo Diarra.

Oh ben ils vont allez "loin" avec les 3 milliards de CFA ... Avec une calculette de conversion,  on obitent 4 500 000 euros ... Avec ça : du matos militaire dernier cri, oui tu peux en avoir : mais alors pas beaucoup !

Avec 4,5 millions d'euros : tu peux par contre équiper des milliers d'hommes avec du matos classiques russes de guerre en quantité ... Le dernier cri c'est bien beau : mais il faut beaucoup + d'argent que ça ...

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Urgent:les autorité mauritaniennes vont renforcer la surveillance des mosquées

www.cridem.org/C_Info.php?article=633908

08:31

La Mauritanie souhaite contrôler les mosquées

Le gouvernement mauritanien tente de resserrer le contrôle des lieux de culte pour lutter contre la propagation des idées extrémistes, mais ses efforts pourraient se heurter à des attitudes traditionnelles. La Mauritanie a lancé son premier recensement national des mosquées et des mahdharas.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre d'une stratégie à long terme destinée à surveiller le rôle des institutions religieuses dans le pays. "Les nouvelles tendances de l'Etat mauritanien visent à promouvoir le secteur des affaires islamiques", a déclaré le ministre des Affaires islamiques Ahmed Ould Nini lors de la réunion du 22 août de lancement de ce recensement.

Ce nouveau programme est destiné à surveiller les activités des mosquées et à contrôler le contenu des sermons du vendredi et des idées enseignées dans les mahdharas. Cette initiative vise à lutter contre les prêches extrémistes et à empêcher que des idées radicales ne viennent infiltrer la vie des étudiants de la charia qui apprennent pour l'essentiel des méthodes traditionnelles.

Il permettra à la Mauritanie d'actualiser la base de données sur les mosquées et les mahdharas, de les contrôler et d'en savoir plus sur le travail des imams et des étudiants, sur leur niveau d'étude et sur le nombre d'étrangers qui se trouvent parmi eux.

Selon le ministère, il existe 6 718 mahdharas et 5 082 écoles coraniques, qui accueillent quelque 163 912 étudiants. Le pays compte huit mille mosquées au total.

Certains analystes expliquent que l'absence de surveillance par l'Etat des institutions d'enseignement traditionnel et religieux a ouvert la voie à la formation de promotions d'extrémistes qui ont rejoint les camps terroristes au Sahara.

Cette mise à jour des données devrait ouvrir la voie à une surveillance des mosquées et des mahdharas en Mauritanie et au contrôle de leur utilisation dans les campagnes politiques après qu'elles soient virtuellement passées hors de tout contrôle de l'Etat, selon elmohit.net.

Pour tenter d'unifier les sermons du vendredi, le ministère des Affaires islamiques a organisé cette année une série de cours de formation des responsables religieux et lancé un recensement portant sur leur nombre. Mais ces efforts pourraient toutefois se heurter à une opinion conservatrice.

En 2003, le gouvernement avait tenté de faire adopter une loi innovante portant sur l'organisation des mosquées. Bien qu'adopté par le gouvernement, ce projet de loi avait été rejeté.

A l'époque, l'ancien ministre de la Culture et de l'Orientation islamique Iselmou Ould Sidi Moustaf avait été accusé de tenter de faire des mosquées opposées aux directives du gouvernement des "boulangeries" et de transformer les lieux de culte en "institutions de police".

"Les islamistes extrémistes et les radicaux religieux tentent toujours de saborder les plans du gouvernement visant à contrôler le rôle des institutions religieuses en Mauritanie", a expliqué Hamadi Ould Dah, spécialiste du terrorisme et des groupes islamistes. "Le manque d'organisation de ce secteur bénéficie à certains groupes, tandis que son organisation et le fait de ne pas autoriser certains à exploiter le rôle des institutions religieuses pour diffuser un discours extrémiste est dans l'intérêt de la société et de l'Etat."

Mohamed al-Mehdi Ould Mohamed al-Bashir, ancien employé au ministère des Affaires islamiques et de l'Education religieuse, a déclaré à Magharebia : "Le chômage des imams en Mauritanie est ce qui les a incités à se soumettre à ces mesures provocatrices."

Pour sa part, le journaliste Moulaye Ould Baheide a expliqué que les autorités craignent maintenant que les mahdharas puissent devenir des sanctuaires pour des courants politiques idéologiques susceptibles d'être facilement utilisés par les djihadistes. Cette initiative intervient après que les autorités mauritaniennes eurent souligné la négligence des mosquées et des mahdharas, et eurent pris cette décision pour tenter de contrôler les comportements de ces deux secteurs religieux, a expliqué à Magharebia Ould Baheide, employé chez mauritanid.net.

Mais le journaliste met en garde contre le fait que cette nouvelle mesure risque de ne pas être suffisante au vu de l'immunité dont bénéficient nombre d'imams de mosquées et de sheikhs de mahdharas grâce à des personnes religieusement et financièrement influentes dans ce courant politique en Mauritanie.

"Cela ne doit pas être un prétexte pour surveiller les imams ni pour faire de ces institutions des porte-paroles du discours politique", a déclaré Dah Ould Merzoug, imam d'une mosquée de Kiffa. "Les lieux de culte en Mauritanie ont toujours été éloignés de la controverse politique actuelle."

Il a ajouté que les imams mauritaniens ne sont pas opposés à cette idée, mais que "certains ont peur que l'Etat ne tente de contrôler les imams et de leur imposer sa volonté".

Pour sa part, le journaliste Rajel Ould Oumar a expliqué à Magharebia : "Il est désormais nécessaire de réglementer le rôle des mosquées et des mahdharas en Mauritanie au vu de la montée de l'extrémisme et de l'utilisation par les groupes extrémistes des mosquées pour diffuser un discours extrémiste à destination des jeunes. Mais cela doit se faire avec la plus grande souplesse, parce que les lieux de culte en Mauritanie ont un caractère sacré aux yeux d'une opinion publique conservatrice."

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*** otages:Aqmi revoit ses exigences à la baisse

www.cridem.org/C_Info.php?article=634228

17:05

Aqmi aurait modifié ses exigences pour libérer les quatre otages français qu’elle détient...

...depuis deux ans.

Des sources dignes de foi ont indiqué à ANI qu’à l’occasion du deuxième anniversaire de l’enlèvement, le 16 septembre 2010, sur le site minier d'Arlit, dans le nord du Niger, des quatre français (Daniel Larribe, Pierre Legrand, Marc Féret et Thierry Dole) par Aqmi, employés d’Areva ou de son sous-traitant, Satom, la nébuleuse islamiste a décidé de modifier ses exigences pour les libérer.

Et ces sources de préciser qu’Aqmi, qui avait remis le sort des otages français entre les mains de ben Laden avant sa mort en conditionnant leur liberté par le retrait français d’Afghanistan, a revu ses doléances pour exiger une rançon et un échange de prisonniers détenus dans des pays de la région.

Aucune précision n’a été faite sur le montant de la rançon demandée par Aqmi ni le nombre ou les noms des prisonniers dont elle souhaite la libération. Ces mêmes sources ont ajouté qu’Aqmi a informé les médiateurs de ces nouvelles exigences.

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Bin c'est pas des journalistes, donc on en parle plus en Franc et tout le monde à oublié.

Donc la pression médiatique sur les politiques pour résoudre la chose est nettement moins forte.

Et nourir un otage et se le trimbaler ça coûte. Pis avec le risque qu'il tombe malade, meurt et ne valent plus rien.

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AQMI se croit dans la même position que le Hamas lorsqu'il détenait le soldat Shalit.

Ils veulent faire le même marchandage que le Hamas a pu "négocier" vis à vis d'Israel.

Mais, ils continuent d'exiger encore des choses utopiques je suppose.

En effet, demander 90 Millions ou 10 millions  d'euros ne change rien au problème toute somme versés serait considéré comme une subvention aux terrorismes.

De plus, demander la libération de centaines de djihadistes emprisonnés dans les pays tiers, il faut arrèter de croire au pêre noel, la france n'a plus la même influence que dans les années 60/70 et ne peut pas faire pression sur ces pays.

Et même si la france le pouvait, elle ne le ferait pas. Ces djihadistes sont bien entre 4 murs.

Bref, on est pas prêt de retrouver les employés d'AREVA...

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Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) a reproché ce mercredi à la France d'avoir appelé à «envahir» le Nord-Mali, assurant que cela risquait d'aboutir à «la mort des otages» français et à «davantage de malheurs» pour la France, dans un message publié sur un site mauritanien.

Dans ce message aux familles des quatre otages enlevés en 2010 au Niger, Aqmi reproche au gouvernement français d'avoir «l'outrecuidance d'appeler à envahir le pays des musulmans maliens» et menace: «Cette initiative folle n'aura pas seulement pour conséquence la mort des otages, mais noiera la France toute entière dans les marécages de l'Azawad, ce qui aura pour conséquence pour elle et pour son peuple davantage de malheurs et de drames.»

http://www.20minutes.fr/monde/1006683-sahel-al-qaida-maghreb-islamique-menace-tuer-otages-francais

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Pour le locataire de l’Hôtel de Brienne, la situation dans le nord du Sahel, où les groupes jihadistes étendent leur emprise, n’est “pas acceptable”. “Nous ne pouvons pas laisser faire ça” a-t-il dit. “Nous ne laisserons pas faire l’évolution (…) qui aboutit à la constitution d’une espèce de sanctuaire terroriste par des bandes organisées se réclamant d’al-Qaïda au Mali” a-t-il insisté. “C’est notre sécurité qui est en jeu à moyen terme” a-t-il encore estimé.

Pour autant, a-t-il rappelé, il n’est pas question pour la France de planifier une intervention militaire directe dans cette zone. “Il y a un processus qui déjà été initié puisque le président du Mali a fait appel à ses voisins regroupés dans la Cédéao (ndlr, Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest) pour qu’ils l’aident à reconquérir le Nord” a-t-il expliqué.

A ce sujet, le chef de l’Etat malien, Dioucounda Traoré, a demandé à la Cédéao, qui met sur pied actuellement la Micema (Mission de la Cédéao au Mali) l’envoi de 5 bataillons  “à engager graduellement dans le contrôle des villes reconquises” du Nord-Mali et qui n’auront pas à prendre part aux combats. Cette requête ne fait pas l’unanimité à Bamako, où le capitaine Sanogo, responsable du coup d’Etat contre le président Amadou Toumani Touré, le 22 mars dernier, refuse toute intervention étrangère.

Quoi qu’il en soit, a rappelé M. Le Drian, “il y a une résolution de l’ONU, nous sommes légalement couverts pour qu’une initiative soit prise.” Cette dernière “revient d’abord aux Africains mais manifestement c’est en cours de gestation et ça va être évoqué par le président de la République (François Hollande, ndlr) à New York la semaine prochaine lors de l’Assemblée générale de l’ONU” a-t-il ajouté.

La suite : http://www.opex360.com/2012/09/21/mali-paris-nentend-pas-ceder-aux-menaces-daqmi/

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Urgent:Aqmi sur le qui-vive,les liquidations de chefs terroristes ont commencé et continuent

www.cridem.org/C_Info.php?article=634396

22-09-2012

09:40

Les «émirs» d'Aqmi et Mujao sur le qui-vive : Les liquidations physiques de chefs terroristes ...

...ont commencé

A l'image d'Al Qaïda, qui a perdu ses principaux chefs depuis, avant et après la neutralisation d'Oussama Ben Laden, tué par le tir d'un drone américain au Pakistan, Aqmi et Mujao subissent revers après revers. D'autres chefs terroristes, sévissant au Sahel, ne manqueront pas de connaître le même sort. Parmi les plus menacés, Ahmed Telemsi et Abou Abderrahmane Farouk, de dangereux individus sévissant dans cette partie du continent africain.

L'élimination du Saoudien Oussama Ben Laden et du Libyen Mohamed Hassan Qaid, alias Abou Yahia El Libi, théologien d'Al Qaïda, n'est pas le seul coup dur pour l’organisation terroriste. Ont été mis également hors d'état de nuire Abou Chanab, Abou Issehak Essoufi, Abou Hakim et Abou Al Qama.

L’arrestation, le 15 août, par les forces spéciales de l’Armée nationale populaire d’Abou Issehak Essoufi à Berriane, dans la wilaya de Ghardaïa, a précipité la mise hors d’état de nuire de principaux «émirs» d’Aqmi et du Mujao.

Abou Issehak Essoufi a été dépêché, rappelle-t-on, par Abdelmalek Droukdel, alias Abou Mossaâb Abdelouadoud, «émir» national d’'Aqmi, au nord du Mali, pour réconcilier plusieurs autres «émirs» qui, à l'image du différend existant entre Mokhtar Belmokhtar, alias Khaled Abou El Abbès, et Abdelhamid Abou Zeid, se livrent une guerre sans merci au nord du Mali et au Sahel.

L'arrestation de l'émissaire de Droukdel pour le Sahel a empêché la «réconciliation» entre ces «émirs» qui, depuis, sont montés d'un cran dans la guerre qu'ils se livrent l'un à l'autre. Ces données jettent un doute sur les causes réelles de la mort annoncée, il y a quelques semaines, de Nabil Mekhloufi, alias Abou Al Qama, numéro deux d’Aqmi, à 200 km de Gao, ville du nord du Mali. Ses acolytes ont annoncé que son décès était dû à «un accident de la route» survenu en plein désert nord malien. Il semble, aujourd'hui, de plus en plus vraisemblable que Abou Al Qama eut été éliminé physiquement et que sa mort ne soit pas due à «l’accident de voiture» évoqué. Aurait-il été éliminé par ses acolytes ?

L'hypothèse de «l’accident de voiture» ne tient pas la route L'arrestation d’Abou Issehak Essoufi porte un coup dur à Aqmi puisqu’elle met en échec la «réconciliation» entre «émirs» terroristes laissant la guerre ouverte entre eux. Ce que les terroristes, sévissant au nord du Mali et au Sahel, n'ignorent pas puisque le Mujao, qui détient des diplomates algériens en otages, est venu au secours d’Aqmi, menaçant l'Algérie de les exécuter si elle ne libérait pas celui qui était chargé de «réconcilier» les «émirs».

D'autres «émirs» sont menacés par des liquidations physiques, dont Ahmed Telemssi et Abou Abderrahmane Farouk. La mort d'Abou Al Qama est une autre grosse perte pour Aqmi et le Mujao puisqu’elle rend de plus en plus difficile la «réconciliation» entre les chefs terroristes.

Le rôle de l'UFL

Ces réalités affaiblissent davantage les organisations terroristes au nord du Mali. L'Unité de fusion et de liaison (UFL, services de renseignements des pays du Sahel) enregistre, quant à elle, des succès limitant davantage la liberté de mouvement des terroristes sur le terrain. La vigilance et la collecte de renseignements ont, pour ce qui est des actions plus ou moins récentes, permis l'élimination de quatre dangereux terroristes au Niger, le 6 août dernier, qui tentaient d'infiltrer le territoire nigérien dans le but de constituer des réseaux de soutien et de procéder à un enlèvement à Niamey.

L'échange efficace de renseignements entre les services membres de l'UFL a mis ce plan en échec. Par ailleurs, l'adhésion du Nigeria au mécanisme régional de lutte contre le terrorisme a anticipé les ambitions terroristes de Boko Haram, autre organisation terroriste possédant des liens avérés avec Aqmi. En un temps court, trois porte-parole de Boko Haram ont été éliminés, alors qu'un quatrième a été capturé.

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Urgent:Abou Zeid serait "fauché"

www.cridem.org/C_Info.php?article=634406

22-09-2012

11:00

Nord-Mali : Abou Zeid, l'émir d'Aqmi, est-il fauché ?

Enrôlement de jeunes au point mort, camp d'entraînement fermé... La katiba de l'émir d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Abdelhamid Abou Zeid, connaît apparemment des petits problèmes de trésorererie. D'où une pression accentuée de la part du groupe terroriste sur les autorités françaises pour qu'elles négocient la libération de leurs otages en échange d'une rançon.

L’émir d’Aqmi Abdelhamid Abou Zeid manquerait-il d’argent ? Plusieurs indices le laissent à penser. D’abord, la katiba Tarek Ibn Zayad qu’il dirige n’a plus les moyens de financer convenablement ses activités.

Pour preuve : « L’enrôlement des jeunes à Tombouctou est au point mort et le camp d’entraînement est fermé », affirme une source sécuritaire à Bamako, sous le couvert de l’anonymat. Une information confirmée par des habitants de la « Ville aux 333 saints ».

Depuis qu’Aqmi a pris le contrôle de la ville, en avril dernier, Abou Zeid - de son vrai nom Mohamed Ghadir (version algérienne) ou Abid Hamadou (version Interpol) - a dépensé beaucoup d’argent. À commencer par les subsides versés aux chefs de brigades qui lui ont fait allégeance, notamment ceux d'Ansar Eddine et certains leaders communautaires.

Gesticulations

À chaque fois qu’un nouveau groupe se place sous son autorité, Abou Zeid met la main à la poche (carburant, salaire des hommes, entretien des véhicules…). À cela s’ajoutent les autres dépenses journalières que le groupe jihadiste fait pour prendre en charge ses propres éléments à Tombouctou.

On comprend mieux pourquoi, ces derniers temps, Aqmi multiplie les gesticulations afin d'obtenir des rançons pour ses otages français, notamment, détenus au Nord-Mali. Après les vidéos publiés dans la presse et les messages menaçants à l'égard de Paris, le groupe terroriste a adressé une lettre aux familles des otages incriminant le gouvernement français.

« C’est l’attitude irresponsable de leur gouvernement et son refus d’entrer en contact avec nous qui constitue le principal obstacle à la libération de vos proches », est-il écrit dans cette missive publiée le 20 septembre par un journal mauritanien.

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on devrait surtout être plus clair :

* soit on négocie, et on file le pognon qui servira à tuer nos soldats et à kidnapper nos ressortissants... et nous serons toujours des cibles partout

* soit on ne négocie jamais (mais on se réserve le droit d'aller chercher nos gas si jamais on sait où ils se trouvent), et au bout du temps les mecs d'en face se lassent...  au final nous ne sommes plus un tiroir caisse

* soit on estime que l'otage est déjà mort, et on organise directement l'opération punitive (un otage libéré est un bonus bienvenu, mais un bonus tout de même)... et au final on nous fout la paix pour ne pas recevoir une bombe de 1000lb sur le coin de la tronche.

j'ai beau travaillé dans des pays instables, je pense que la troisième solution est la meilleure... tant qu'on a des mecs sensés en face (ce qui me semble le cas, les prises d'otages sont pour une demande de rançon, pas pour égorger le petit blanc en dansant d'un pied sur l'autre autour)

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Urgent:le Mali a enfin autorisé le déploiement ouest-africain dans le pays

www.cridem.org/C_Info.php?article=634451 et www.france24.com/fr/20120923-mali-donne-accord-deploiement-cedeao-bamako-soldats-traore-ouattara-camara-djihadistes-islamistes

16:52

Le Mali donne son accord pour un déploiement de la Cédéao à Bamako

Le gouvernement de transition malien a accepté que les forces combattantes de la Cédéao s'installent à Bamako "avec discrétion" en vue de reconquérir le nord du pays, occupé depuis cinq mois par des groupes islamistes armés.

Alors que le Mali a timidement célébré, samedi 22 septembre, le 52e anniversaire de son indépendance, les discussions pour reconquérir le Nord, occupé depuis cinq mois par des groupes islamistes armés, semblent progresser peu à peu.

Bien que le gouvernement ait expressément réclamé le soutien de la Cédéao (Communauté des États de l'Afrique de l'Ouest), aucun accord sur les conditions d’une éventuelle intervention militaire n’avait été trouvé. Mais samedi soir, le ministre malien de la Défense, Yamoussa Camara, a donné le feu vert pour le déploiement de forces ouest-africaines à Bamako, à l’occasion d’une rencontre à Abidjan avec le chef de l'État ivoirien Alassane Ouattara, président en exercice de la Cédéao.

Jusqu’à présent, les autorités maliennes avaient toujours refusé que des forces étrangères s'installent dans la capitale. Le ministre malien de la Défense a toutefois demandé que les opérations, qui pourraient mobiliser 3 000 hommes, se déroulent dans la plus grande "discrétion" afin de ne pas choquer la population.

"Il y a eu une certaine presse qui a fait courir des rumeurs selon lesquelles les Maliens ne souhaitaient pas que soit déployés à Bamako une base logistique et un PC de la Cédéao, toutes choses qui sont indispensables pour la suite des opérations. Cela n'a jamais été le cas", a assuré le ministre malien.

Fin juillet, la décision de la Cédéao de retenir au port de Conakry un chargement d'armes destinées au Mali avait suscité incompréhension et indignation d’une partie de la population malienne. Beaucoup avaient alors remis en question les motivations réelles de l’organisation. Ce qui expliquait, en partie, les réticences du Mali quant au déploiement des forces combattantes de l’Afrique de l’Ouest dans le pays.

"Nous ferons la guerre s'il ne nous reste plus d'autre choix"

Le 21 septembre, le président malien par intérim, Dioncounda Traoré, a souhaité une libération du Nord par "la négociation ou par la force". Prioritairement, il a appelé les groupes armés à entamer des "négociations sincères", "dans le respect strict de l'intégrité territoriale et de la laïcité de la République". Mais il a aussi demandé à la nation "l'union sacrée" autour de l'armée, affirmant : "Puisque nous la préparons, nous ferons la guerre s'il ne nous reste plus d'autre choix".

Les réactions des islamistes du Nord ne se sont pas faites attendre. Dans la ville de Gao, sous contrôle djihadiste, un responsable local de la sécurité, Alioune Touré, a affirmé à l'AFP sur place: "Nous acceptons la main tendue de M. Traoré à une seule condition: que le Mali applique la charia, la loi de Dieu". Des propos corroborés par les porte-paroles respectifs d'Ansar Dine et du Mujao (Mouvement pour l'unité du jihad en Afrique de l'Ouest).

Désireux d’être dissociés des djihadistes, les indépendantistes du MNLA (Mouvement national de liberation de l'Azawad) acceptent, pour leur part, de s’asseoir à la table des négociations.

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*** lutte contre terrorisme au Sahel:séminaire à Nouakchott sur le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme

www.cridem.org/C_Info.php?article=634460

23-09-2012 21:03

Démarrage d'un séminaire de sensibilisation sur le blanchiment de capitaux ...

...et le financement du terrorisme.

Les travaux du séminaire de sensibilisation et de formation sur la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme ont démarré dimanche à Nouakchott.

Le séminaire, qui est organisé par la Cellule d'Analyse d'Informations Financières relevant de la Banque Centrale de Mauritanie (CANIF) en collaboration avec l'Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime, profite à un nombre des ONGs, associations et organisations à but non lucratif, agents et coutiers en immobilier, bourses de voitures etc...

Ouvrant les travaux de cet atelier, le Gouverneur de la BCM, M. Sid'Ahmed Ould Raiss a souligné que la Mauritanie n'est pas à l'écart de la mondialisation et des problèmes socioéconomiques qui influencent profondément la vie des nations, évoquant les dangers que représentent le crime organisé transfrontalier, le trafic illicite, le détournement et le blanchiment d'argent.

Ould Raiss a précisé que les pouvoirs publics ont, conformément aux orientations de la communauté internationale, et particulièrement les recommandations du Groupe de Travail Financier, procédé à l'adoption de la loi 035/2010 relative à la lutte contre les stupéfiants et la loi n° 048/2005 relative à la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme, affirmant le renforcement des mesures tirées des lois internationales par des textes organisationnels.

Le Gouverneur a, dans ce contexte, passé en revue un nombre des conventions telles que la convention de Vienne sur le trafic illicite des drogues et stupéfiants, la convention de Palermo sur la lutte contre le crime et la convention de Mirida sur la lutte contre la corruption.

Auparavant, le conseiller de l'UNODC, M. Ludovic d'HOORE avait prononcé un mot dans lequel il a passé en revue les dangers que représentent le blanchiment d'argent et le crime intercontinental sur le développement et la stabilité des pays, abordant, dans ce cadre, les efforts menés par son institution pour éradiquer le crime dans toutes ses formes, ainsi que son appui aux efforts des pays et organisations intervenant dans ce domaine, dans le but de lutter contre le développement des réseaux spécialisés dans le blanchiment d'argent.

Il a, en outre, appelé à diagnostiquer ce phénomène pour renforcer les efforts de la communauté internationale visant à éradiquer ce fléau. Plusieurs exposés seront présentés au cours de ce séminaire qui dure 3 jours, notamment sur le concept du blanchiment de capitaux et du financement du terrorisme, la justification des efforts de lutte, vulnérabilité et risques liés à l'argent sale, le mécanismes de gel des avoirs, ou encore la présentation de l'arsenal juridique et institutionnel mauritanien.

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Urgent:de nouvelles filières jihadistes visent la France,les otages localisés

www.cridem.org/C_Info.php?article=634482 et  www.lefigaro.fr/international/2012/09/23/01003-20120923ARTFIG00211-aqmi-de-nouvelles-filieres-menacent-la-france.php

24-09-2012 10:14

De nouvelles filières djihadistes visent la France.

Depuis quelques mois, des islamistes quittent la France ou d'autres pays européens pour rejoindre le nord du Mali où s'activent les trois groupes islamistes Aqmi, Ansar Dine et Mujao.

Désignée comme le principal ennemi par Aqmi, la France a fait de la menace terroriste dans le Sahel l'un de ses grands sujets de préoccupation en politique étrangère. «La menace est devenue pressante, immédiate et multiforme», commente un diplomate français. Elle s'est même, au fil des ans, transformée en «un problème de sécurité nationale».

Les trois principaux groupes islamistes - Aqmi, Ansar Dine et Mujao (Mouvement pour l'unicité du djihad en Afrique de l'Ouest) - appartenant à la nébuleuse terroriste al-Qaida menacent désormais directement les intérêts français, en Afrique et dans l'Hexagone.

Le premier est le rejeton islamiste de la guerre civile qui a ensanglanté l'Algérie dans les années 1990. Aqmi a été progressivement marginalisé sur le sol algérien. Il n'est opérationnel que dans les montagnes de Kabylie et au nord du Mali. Le deuxième, Ansar Dine, est la version touarègue de la poussée intégriste constatée dans le Sahel comme en Afrique du Nord. Son chef, Iyad Ag Ghali, bénéficie de stocks d'armes devenus disponibles lors de la chute du régime libyen de Mouammar Kadhafi. Le troisième, le Mujao, est une excroissance de mouvements financés par la contrebande, le trafic de drogue et la vente de captifs occidentaux.

Des djihadistes européens pour le «Malistan»

Aux prises d'otages - six ressortissants français détenus dans le Sahel - s'est récemment ajouté le risque d'attentats contre les intérêts nationaux. Une attaque à l'explosif d'envergure a ainsi récemment été déjouée in extremis contre l'ambassade de France à Nouakchott, en Mauritanie. Selon une source proche du dossier, plusieurs opérations de ce type auraient été évitées de justesse depuis 2009 sur le territoire français, à Paris notamment.

Un phénomène nouveau inquiète aussi les autorités françaises: le départ de djihadistes européens pour le «Malistan». «C'est une nouvelle filière: depuis quelques mois, des islamistes quittent la France ou d'autres pays européens pour rejoindre le nord du Mali, une région où est appliquée la charia, pour défendre la terre d'islam», précise un enquêteur français. C'est au moment de leur retour en France, après avoir établi des contacts dans le Sahel et fomenté des projets d'attentat, qu'ils représentent le plus grand danger.

«Le but est de ne pas les laisser trop longtemps dans la nature, pour éviter une nouvelle affaire Merah. Mais il est très difficile de leur mettre la main dessus car ils jouent de la porosité des frontières dans la région et reviennent souvent par le Sénégal», un pays stable et touristique.

Des missiles sol-air récupérés dans les stocks d'armes libyens

Le spécialiste n'exclut pas qu'Aqmi soit désormais capable de perpétrer des attentats sur le territoire national. L'apparition de cette nouvelle filière ne remet cependant pas en cause l'ancienne route, celle du Waziristan, au nord-ouest du Pakistan, à la frontière afghane, par où transite une grande partie des djihadistes et apprentis terroristes.

Autre sujet d'inquiétude, le retour au pays, «avec armes et bagages», des mercenaires sahéliens recrutés par Kadhafi pendant la guerre de Libye. La circulation d'armes s'est accélérée dans la région avec le pillage des arsenaux libyens au moment de la chute du régime de Kadhafi, à l'été 2011. Certes, la nébuleuse terroriste ne s'est pas encore servie des missiles sol-air récupérés dans les stocks d'armes libyens.

«Ils n'ont visiblement pas encore appris à s'en servir», se félicite un diplomate, espérant que les équipements seront «périmés» avant de pouvoir être utilisés. Mais le marché libyen, prévient-il, «ne s'est pas encore tari» et les stocks d'armes n'ont pas encore été épuisés.

Les six otages français localisés

Tout en devenant plus pressante, la menace terroriste sahélienne a aussi acquis des «capacités d'attractivité régionale». Elle est désormais devenue transversale. Aqmi et les organisations qui lui sont affiliées recrutent désormais au Mali des djihadistes venus du Sénégal, du Burkina Faso, du Niger ou de Côte d'Ivoire. «Or, dix ou vingt types bien formés peuvent faire des dégâts considérables en rentrant à Abidjan ou à Dakar», prévient un magistrat. Une opération coup de poing des djihadistes à Bamako, la capitale malienne, fait également partie des scénarios redoutés.

Quant aux otages, ils sont détenus, selon un proche du MNLA, le mouvement touareg indépendantiste non religieux, dans les contreforts du massif de Tigharghar, près de la localité d'Intabdogh. «Ils sont divisés en deux groupes et naviguent dans un rayon de 50 kilomètres sous la surveillance d'une trentaine d'hommes équipés de RPG7», assure cette source

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bonjour on sais que la l'opération a venir est un risque majeur pour les otages.

Pour autant ne peut on pas y voir une opportunité dans la mesure ou si on se débrouille bien ( pas moi derrière mon ordi mais les braves du 2eme Rep) on sera susceptible d'échanger nos otages contres quelques centaines de moudjahidins qui en ce moment sont bien plus exposé vu qu'il doivent contrôler un territoire,

quand a l'époque il passait leur temps dispersé a joué a cache cache.

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bonjour on sais que la l'opération a venir est un risque majeur pour les otages.

Pour autant ne peut on pas y voir une opportunité dans la mesure ou si on se débrouille bien ( pas moi derrière mon ordi mais les braves du 2eme Rep) on sera susceptible d'échanger nos otages contres quelques centaines de moudjahidins qui en ce moment sont bien plus exposé vu qu'il doivent contrôler un territoire,

quand a l'époque il passait leur temps dispersé a joué a cache cache.

le 2e rep ?

échanger nos otages ? dans le sens on s'en fou des otages du moment qu'on bute du moudjahidin ?

donc le 2e rep je t'arrete desuite il ne s'occupe pas de ca, 1er rpima, CdO marine mais je penche plus pour du CPIS...

Et buter des otages du moment qu'on "bute" des vilains... Je pense qu'on est un peu plus développer spirituellement,humainement, et avec unpeu plus de dignité que toi.

Surtout que ces otages là ne sont pas parti se perdre tout seul et se mettre dans la gueule du loup

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Tous doux sur la dignité. on parle pas de ça ici.  encore moins de "buter des otages". 

Jai pas du être claire... On va dire ça.

Ma question était relative au possibilité , justement pour sauver les otages d'envisager une capture puis un échange d'un nombre conséquent de mecs d'alqmi,  maintenant que ceci sont contraint d’opérer un peu plus comme une armée régulière( maintient de l'ordre oblige) et moins comme une bande de maquisards contrebandiers.

Le topo sur le 2 eme rèp c'était juste pour dire que lorsque j'utilise le mot "on" pour désigné une action militaire j'oublie pas que c'est abusif et que si jai une langue pour parler jai pas un dixième des couilles qu'ont ces types.

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C'est peut etre pas forcement ce qui est mal compris mais dans les discussion de comptoir, énormément de monde pense que la légion n'est dédié qu'a faire des massacres  "en bonne et due forme" et envoyer des gens au casse pipe.

Donc ici, avec l'utopie totalement improbable d'échanger 100 mecs vs 4, ca laissait penser que l'unique chose qui comptait c’était de tuer en masse ces mecs (ce qui me déplairais pas) sans tenir compte des dangers pour les otages (ce qui déplait beaucoup plus...)

Je pense qu'une intervention est maintenant la seule chose envisageable, compte tenu de la tournure des choses...

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