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Énergie renouvelable : 600 millions pour les biocarburants à base d'algues ?


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Technologie d'avenir pour les nouveaux carburant, eh les machin militaire, faut que ca vole, que ca roule, que ca navigue,

sans carbu ca marche plus.

J'espère qu'on suit la tendance en France, c'est un gros enjeu.

http://www.maxisciences.com/biocarburant/nergie-renouvelable-600-millions-pour-les-biocarburants-a-base-d-039-algues_art8397.html

États-Unis- Le groupe pétrolier ExxonMobil et la firme spécialisée dans le développement de biocarburants Synthetic Genomics Inc ont annoncé avoir franchi une importante étape dans la recherche sur les carburants à base d'algues. Une nouvelle installation de culture sous serre vient en effet d'être inaugurée en Californie. Un programme dans lequel quelque 600 millions de dollars pourraient être investis au cours des dix prochaines années.

Dans le cadre de leur programme de recherche et de tests sur les biocarburants à base d'algues, ExxonMobil et Synthetic Genomics Inc (SGI) vont, grâce à leur nouvelle installation de culture sous serre, simuler les conditions réelles de croissance et déterminer quelles souches d’algues sont les plus productives et quelles méthodes de production sont les plus efficaces.

Le biocarburant algal pourrait devenir "un carburant pour le transport, économiquement viable et à faibles émissions nettes de carbone", soulignent le géant pétrolier et gazier ExxonMobil et son partenaire SGI. Inaugurée le 16 juillet dernier à l’occasion d’une cérémonie au siège de SGI à La Jolla, en Californie, la nouvelle installation permet au projet de passer "du stade du laboratoire de recherche à celui du démonstrateur".

Les scientifiques souhaitent évaluer la capacité à produire ce biocarburant en grande quantité et à un prix abordable, en testant différents systèmes censés favoriser la croissance des algues, tels que des bassins à ciel ouvert et des photobioréacteurs fermés. Comme l'explique le Dr. Emil Jacobs, vice-président de la recherche et du développement d’ExxonMobil, "il s’agit d’un jalon important de la phase initiale de notre programme de développement qui vise à tester l’hypothèse selon laquelle les biocarburants à base d’algues pourraient devenir commercialement viables et contribuer de façon significative aux besoins énergétiques futurs".

La prochaine étape du programme, prévue dans le courant de l'année 2011, consistera en l’ouverture d'une l’installation-test en extérieur. En fonction des résultats des différentes étapes de recherche et de développement des biocarburants algaux, ExxonMobil envisage d'investir plus de 600 millions de dollars au cours des dix prochaines années.

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  • 2 weeks later...
  • 2 months later...

Mouai, j'suis plutôt septique, c'est "juste" 5 fois plus productif qu'une culture de bio carburant classique, sachant qu'avec les bio carburant classiques il aurait fallut 100% de la surface cultivable pour couvrir nos dépenses en pétrole dans ce cas il en faudrait 20%, avec en plus les installations à construire, faut la main d'oeuvre, l'énergie ...

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  • 2 months later...

Mouai, j'suis plutôt septique, c'est "juste" 5 fois plus productif qu'une culture de bio carburant classique, sachant qu'avec les bio carburant classiques il aurait fallut 100% de la surface cultivable pour couvrir nos dépenses en pétrole dans ce cas il en faudrait 20%, avec en plus les installations à construire, faut la main d'oeuvre, l'énergie ...

ben oui le principe de fabrication a moins d'étapes donc un meilleur rendement 

Les algues disposent de bien d’autres avantages. Outre leurs meilleurs rendements, ils peuvent pousser sur l’océan ou des eaux usées, évitant ainsi de recourir à des ressources raréfiées en eau douce pour l’irrigation.

De plus, on a découvert que les microalgues poussaient plus rapidement avec une alimentation en dioxyde de carbone, le principal gaz du réchauffement climatique. Injecté dans un photobioréacteur, le CO2 aide la plante à pousser plus vite tout en ouvrant une nouvelle porte au recyclage du CO2.

Si on installe les plantes à côté des usines ou des centrales énergétiques, voilà qui pourrait même ouvrir de nouvelles perspectives à la réduction des émissions de l’industrie.

génial
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Mouai, j'suis plutôt septique, c'est "juste" 5 fois plus productif qu'une culture de bio carburant classique, sachant qu'avec les bio carburant classiques il aurait fallut 100% de la surface cultivable pour couvrir nos dépenses en pétrole dans ce cas il en faudrait 20%, avec en plus les installations à construire, faut la main d'oeuvre, l'énergie ...

Je te vois arriver de loin avec tes cultures alternatives à base de chanvre  :lol: ;)

Moi les algues j'y crois!! ya qu'à voir les marées vertes en normandie ou baie du mont st michel, ca pousse vite bien et même trop bien... :P

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Je te vois arriver de loin avec tes cultures alternatives à base de chanvre  :lol: ;)

Moi les algues j'y crois!! ya qu'à voir les marées vertes en normandie ou baie du mont st michel, ca pousse vite bien et même trop bien... :P

Y a aucun probleme les culture d'algues ca marche ... le probleme ce sont les effets indésirables. Pour l'anecdote certains ont proposé qu'on donne les "algues vertes" a bouffer au cochon  :happy:

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Mouai, j'suis plutôt septique, c'est "juste" 5 fois plus productif qu'une culture de bio carburant classique, sachant qu'avec les bio carburant classiques il aurait fallut 100% de la surface cultivable pour couvrir nos dépenses en pétrole dans ce cas il en faudrait 20%, avec en plus les installations à construire, faut la main d'oeuvre, l'énergie ...

La bioalgue d'EADS est juste 20 fois plus productive :

6000 km² versus 100000 km² pour le biocarburant terrestre le plus rentable.. .

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  • 7 months later...

La bioalgue d'EADS est juste 20 fois plus productive :

6000 km² versus 100000 km² pour le biocarburant terrestre le plus rentable.. .

30x au dernière nouvelle  =D

Je sais, ça fait surenchère, mais c'est bien ce qui a été annoncé par le tenants du projet shamach début 2011, et comme de toute façon ils ne s'attendent pas a industrialiser les process avant 10 ans (10 ans étant le temps qu'ils demandent pour faire sauter des verrous technologiques qui concernent particulièrement les + grandes échelles de production)

On peut s'attendre a minimum le double encore, quand ils en seront a réaliser des bio-réacteurs d'essais semi industriels d'ici la

Surtout que pour ce projet la, la france a été assez maline quelque part (mais bon, je dis ça mais ça doit etre pareil chez les 3 autres acteurs de la recherche des carburants "bio-microalguaux") elle a mis a disposition du projet, les meilleurs spécialiste en france de l'outil informatique scientifique : l'INRIA

Notamment pour pas avoir a répéter des dizaines de milliers de fois, des expériences sur des milliers d'espèces de micro-algues planctoniques : ils ont mis au point pour tester toutes les espèces possibles et imaginables, des simulations informatiques d'expériences diverses de mises en stress des algues :

C'est de cette manière, qu'on est parvenu a trouver les espèces a rendements très interessants, et les meilleurs process pour les contraindre a produire des quantités de lipides intéressantes : et c'est ainsi qu'on est arrivé sur de mini expériences a des rendements en bio-réacteurs de confirmation a 30x par rapport aux surface d'aggro-carburants de référence (colza & maïs) de surface au sol occupée d'installation de bio-réacteur : ils comparent par exemple 1 hectare de colza, avec leur expérience reportée sur 1 hectare, ou l'inverse

Par contre évidemment, ces simulations ne se contentent pas que d'observer la performance d'une espèce par rapport a un process, ces simulations recherchent aussi, l'éventuelle intervention bio-technologique sur une espèce : mais la ils communiquent moins, normal : on parle d'OGM mine de rien ... Ce qui est assez logique et pas surprenant non plus :

L'ifremer tient une grande place dans ce projet, et l'ifremer sont assez connu maintenant en france, pour la bidouille génétique : notamment dans les huitres par exemple

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Effectivement les rendements n'arretent pas de croitre...

Pierre Calléja, président et fondateur de FERMENTALG, biologiste qui a déjà travaillé sur les micro-organismes dans la branche aquacole pour Ceva Santé animale, précisait récemment dans un entretien avec le Journal Sud Ouest : "Avec EIMA nous entrons dans une réelle phase d'exploitation. Grâce à ce programme sur cinq ans, nous allons mettre en place une véritable usine et différentes productions. À commencer par les compléments alimentaires comme les omégas 3 dans l'année qui vient, les molécules destinées à l'industrie cosmétique dans les trois ans et, d'ici la fin du programme, la chimie verte pour les bioplastiques. La dernière carte à jouer sera celle des biocarburants. Il suffirait seulement de 1 000 mètres carrés de microalgues cultivées dans le noir pour produire autant de biodiésel que 500 hectares de colza. Un rendement 5 000 fois supérieur, assuré, qui plus est, sans produits chimiques, sans pesticides ni rejets polluants, et jouissant d'un bon bilan carbone".

http://energiesdelamer.blogspot.com/search/label/Energie%20microalgues
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Je pense qu'on tient ici quand même une sacré alternative au "tout" pétrole pour l'avenir ...

Des pays qui n'ont pas de pétrole comme la france, avec ce type de technologie, pourraient devenir des producteurs majeurs de carburant sans soucis de matière première ! L'enjeu va devenir majeur d'ici 20 ans ...

Bon on sait que commercialement, les premiers seront de toute façon les cies aériennes (comme airfrance KLM il y a plusieurs mois l'a annoncé en faire l'investissement) très certainement car ma foi elles paraissent déterminé a produire avec des kérozènes pour pouvoir mettre a disposition sur le marché le + tot possible :

Des vols a faible impact CO², qui sera un tournant stratégique au niveau commercial, mais aussi très certainement pour une question de cout carburant qui seront forcément moindre avec cette technologie (tout dépendra après de quelle type de taxe l'état aura envie de les plomber : ce qui sera un jonglage d'équilibriste : l'état français ne pouvant pas abandonner les revenus de la TIPP et de leurs équivalents futurs avec les nouveaux carburants alternatifs)

Je pense que l'armée (française) ne peut qu'etre aussi bougrement intéressée par ce type de concept, qui sera une bonne occasion d'aller gratter des économies de budget de fonctionnement si grace a cela, avec des exploitations propres elles pourraient devenir autonome au niveau carburant ! Mieux encore : développer ces propres carburants pour elle, les possibilités sont grandes ... Dans tout les cas ne plus avoir a dépendre des stocks stratégiques de carburants pétrolifère sera un avantage certains qu'ils ne peuvent ignorer

De quoi donner des sueurs froides aux pays de l'OPEP dans l'avenir : ceci dit, rien ne leur empèchera pour nombre d'entre eux de basculer vers ces technologies aussi, sous le brevet d'un pays tiers pour en produire aussi :

Après tout, si on met de coté le besoin en eau (qui peut tourner en boucle avec très peu de pertes) ils pourront offrir des surfaces pas cher et fortement ensoleillée pour produire

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  • 1 year later...

Déterrage de topic pour une nouvelle que je ne savais pas où loger.

L'INSA, l'INRA et le CNRS planchent sur un nouveau biocarburant à Toulouse.

Grosso-modo, le but est de produire un biokerosene à partir de produits ligneux (sciure de bois, paille, chablis et autres déchets issus des forêts ruinées par quelques tempêtes récentes, etc.). Ces déchets sont fermentés, engraissant ainsi des bactéries, puis les lipides sont récupérés et hydrogénés pour produire le biocarburant.

Il s'agit donc bien d'un biocarburant, et pas d'un agrocarburant. Il n'y a donc pas de concurrence avec les filières vivrières et il est même possible d'utiliser les déchets de celle-ci si la technique va au bout de sa mise au point.

Ce produit, baptisé ProBio3 présente un intérêt suffisant pour qu'Airbus se penche dessus (tiens, d'ailleurs, pourquoi un avionneur, et pas plutôt un motoriste).

On en parle un peu partout (Air & Cosmos, 20 Minutes, etc. - http://www.20minutes.fr/article/1005311/dose-vert-carburant-aerien)

Moi, j'ai juste une question sur la phase de fermentation ... il n'y a pas un risque de production de CO2 (et d'éthanol) pendant cette phase, similaire à la fermentation de la bière ?

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tiens, d'ailleurs, pourquoi un avionneur, et pas plutôt un motoriste

  Parce que les cies aériennes ont bien + d'intéret a voir apparaitre une fillière de vols a CO² compensé/faible bilan total que les motoristes en eux même, même si les motoristes se voilent surement un peu la face : mais les cies elles manifestement pas puisqu'elles veulent toutes ou presque y investir :

Carburants potentiellement détaxés (moins cher donc) par rapport aux kérozènes pétroliers, comme on peu s'y attendre de tous gouvernements quand on introduits des carburants + écologiques ...

Potentiel de "demande" par les usagers pret a "exploser"

Valeur ajoutées sur les vols en potentielles hausses pour les tiroirs caisses ...

Nombreuses cies européennes qui d'ici a 2020 vont avoir de + en + la pression face aux trains a grande vitesse, et surtout en europe ! Mais aussi en Asie : ils leur faut pouvoir communiquer sur des vols n'émmettant guère + qu'un voyage en train a grande vitesse, notamment sur des lignes ou existeront des voyages directs en LGV de moins de 1000 km

Les cies y ont clairement intérêts ... Les motoristes moins, bien qu'ils y ont indirectement intéret eu aussi : mais ont bien moins la pression que les cies sur le court terme a 10 ans

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Peut être ... mais c'est une analyse que je ne partage pas du tout.

D'une part, je parle d'avionneurs (constructeurs) et de motoristes. Je n'évoque jamais les compagnies.

D'autre part, il me paraît rare que les compagnies (utilisateurs finaux) participent en amont à des recherches ou des études. Hors certaines compagnies nationales, pour des technologies susceptible d'augmenter la BITD, les compagnies n'ont aucun intérêt à investir dans la recherche (incertaine) pour des technologies susceptibles de fournir un avantage disponible aussi pour leurs concurrentes.

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Peut être ... mais c'est une analyse que je ne partage pas du tout.

D'une part, je parle d'avionneurs (constructeurs) et de motoristes. Je n'évoque jamais les compagnies.

D'autre part, il me paraît rare que les compagnies (utilisateurs finaux) participent en amont à des recherches ou des études. Hors certaines compagnies nationales, pour des technologies susceptible d'augmenter la BITD, les compagnies n'ont aucun intérêt à investir dans la recherche (incertaine) pour des technologies susceptibles de fournir un avantage disponible aussi pour leurs concurrentes.

A te lire, on dirait qu'AF/klm n'a jamais bouleversé l'horizon des investissements des cies aérienne début 2011 en annonçant précocement en prenant de vitesse tout le monde son association avec Algaelink (spécialiste de la culture de spiruline a grande échelle au pays bas) de monter un process industriel de kérozène agual a 2 ...

Et que depuis cette annonce : d'autres cies aériennes bien connues, ou moyennes ont été contraint elles aussi de "communiquer" dans le domaine, annonce qui a eu un effet considérable sur le paysage aérien européen en perspective de développement : même si au niveau commercial, il n'y aura rien de pret avant fin de la décennie grosso modo ...

Des premiers essais de vols avec échantillons (gros échantillons ...) de kérozène bio-algual ont été mené depuis d'ailleurs, bien qu'il n'est pas viable économiquement encore (sans process industriel il ne peut l'être)

Peut être que tu ne vois pas l'intérêt mais manifestement : d'autres l'ont vu ... !

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A te lire, on dirait qu'AF/klm n'a jamais bouleversé l'horizon des investissements des cies aérienne début 2011 en annonçant précocement en prenant de vitesse tout le monde son association avec Algaelink (spécialiste de la culture de spiruline a grande échelle au pays bas) de monter un process industriel de kérozène agual a 2 ...

Et que depuis cette annonce : d'autres cies aériennes bien connues, ou moyennes ont été contraint elles aussi de "communiquer" dans le domaine, annonce qui a eu un effet considérable sur le paysage aérien européen en perspective de développement : même si au niveau commercial, il n'y aura rien de pret avant fin de la décennie grosso modo ...

Des premiers essais de vols avec échantillons (gros échantillons ...) de kérozène bio-algual ont été mené depuis d'ailleurs, bien qu'il n'est pas viable économiquement encore (sans process industriel il ne peut l'être)

Peut être que tu ne vois pas l'intérêt mais manifestement : d'autres l'ont vu ... !

Effectivement, je n'ai pas vu l'intérêt, et je n'ai pas vu le bouleversement non plus. J'ai dû creuser un peu pour retrouver ce qu'il en était ... et c'est plus KLM qu'Air France qui a réalisé cette opération ... KLM en association avec le néerlandais AlgaeLink ...

Ce qui me ramène à cette précaution oratoire que l'avais eu le bon goût d'introduire :

Hors certaines compagnies nationales, pour des technologies susceptible d'augmenter la BITD, ...

Sur ce point, l'association KLM/AlgaeLink me paraît l'exemple type de l'association nationale défendant un intérêt technologique national (la pré-éminence du Néerlandais  AlgaeLink sur ce futur marché). C'est une opportunité pour Air France-KLM de constituer une population de test, mais je ne crois pas qu'il s'agisse réellement d'un intérêt stratégique marqué et immédiat de la part de la compagnie. J'en prend comme indice la relative carence de communication sur ce point depuis le lancement du partenariat.

Par contre, vu comment le Kero a lourdement pesé sur les résultats, trimestre après trimestre, il est probable que la compagnie finisse par chercher tous azimuts pour un carburant moins cher, qu'il soit bio, fossile, de synthèse ... ça va juste finir par être critique financièrement et la préoccupation écologique passe au second plan parmi les trois piliers du développement durable (DD = conjonction de facteurs économiques, écologiques et sociaux - je préfère la notion anglo-saxonne de "sustainable development" qui exprime mieux la contrainte liant les trois aspects, ce qui indique que l'un ne doit pas grêver les deux autres au point de remettre en cause le développement).

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