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détection ASM


jeanmi
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Je suis passe au chinois 8) :oops: j'ai beaucoup aime le carre du Wandelaar avec sa biere pression Il y avait aussi de chouette ravitaillement a la mer ou les futs de biere passait en guirlande du ravitailleur au ravitaille :lol:

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Je suis passe au chinois 8) :oops:

j'ai beaucoup aime le carre du Wandelaar avec sa biere pression

Il y avait aussi de chouette ravitaillement a la mer ou les futs de biere passait en guirlande du ravitailleur au ravitaille :lol:

J'ai comme l'impression que la bière pression à bord des bâtiments belges a laissé beaucoup de souvenirs un peu partout dans le monde :oops:

Ah oui les ravitaillements en futs de bière nétaient pas triste et puis bon comme on peu en embarquer 120 d'un coup Image IPB :D

Ravitaillement en futs de bière d'une frégate de classe Wielingen.

Image IPB

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  • 1 month later...

Source Marine Nationale : La lutte sous la mer, domaine de lutte dont la France revendique la maîtrise, spécialité de la frégate Montcalm, commence par une connaissance ciblée de "l'environnement", c'est-à-dire des paramètres d'océanographie locale et de météorologie. Les détecteurs anti-sous-marins (DEASM) effectuent des sondages bathycélérimétriques ou bathythermiques : une sonde larguée du bâtiment (ou d'un aéronef) permet de déterminer le profil de célérité du son dans l'eau ou, plus souvent, du profil de température que l'on convertit ensuite en vitesses de propagation. L'exploitation de ces profils, réalisés sur des profondeurs variant de 200 à 2 000 mètres, permet de calculer les prédictions de portées des différents senseurs acoustiques de la force navale. Un officier marinier météorologiste-océanographe (METOC) contrôle ces calculs et apporte une expertise complémentaire, prenant en compte des paramètres météorologiques, pour présenter aux tacticiens les capacités attendues des différents moyens dans les heures suivantes. En fonction de la menace attendue et des prédictions de portées acoustiques, le chef du domaine de lutte sous la mer (ASWC : Anti-Submarine Warfare Commander) planifie la disposition des unités sous son contrôle - bâtiments précieux, escorteurs, hélicoptères et avions de patrouille maritime - et leur comportement : cinématique, régime d'émission acoustique, réactions programmées aux différents événements. La traque du sous-marin peut alors commencer. Sous le contrôle de l'OLASM (officier de lutte anti-sous-marine), les opérateurs devant les sonars scrutent leurs écrans et analysent finement les échos : celui-ci a une bonne audio, mais sa faible vitesse est douteuse ; celui-là correspond à une position d'épave connue. Où est donc le vrai ? Il s'agit aussi, pour les équipes de quart au PC ASM, d'assurer la veille des détections de torpilles, d'échanger les données avec les autres mobiles ASM de la force (frégates, avisos, avions de patrouille maritime, hélicoptères), d'imposer la tactique, d'être prêt à réagir aux événements, de suivre la situation à grande échelle également de l'ensemble des mouvements de sous-marins et des activités intéressant le dessous du dioptre. Hormis les deux officiers de lutte anti-sous-marine, le METOC et une vingtaine de DEASM, le service "lutte sous la mer" comprend aussi des mécaniciens d'armes (MEARM) en charge des torpilles lourdes (L5), des torpilles aéroportées (MK46), du mécanisme sonar remorqué (MSR), des munitions et artifices ASM. Dans une optique de lutte anti-sous-marine, on distingue parmi les unités participant à la mission Agapanthe 2006, les bâtiments dits précieux (Charles de Gaulle et Somme) et les escorteurs (Montcalm, Lancaster, Cassard et Saphir) : la frégate Cassard, bien que spécialisée dans la lutte anti-aérienne, possède néanmoins un sonar de coque et des torpilles les frégates Montcalm et HMS Lancaster assurent l'ossature de la protection ASM : toutes deux possèdent un sonar de coque, un hélicoptère ASM (avec sonar, torpilles et même des bouées acoustiques pour le Merlin du Lancaster), des torpilles et des leurres, le Montcalm met en œuvre un sonar remorqué profond tandis que nos homologues anglais disposent d'un sonar passif, sous forme d'antenne linéaire remorquée le sous-marin Saphir participe largement à la protection ASM de la force, grâce aux tactiques employées et aux matériels à sa disposition : sonar de coque, antenne remorquée (sonar passif également) et torpilles filoguidées l'avion de patrouille maritime (équipé de bouées acoustiques actives et passives, de systèmes de détection électromagnétique et magnétique et possédant une vue plongeante sur tout périscope qui sortirait de l'eau) apporte parfois son concours. Il doit alors se glisser avec les hélicoptères ASM parmi les autres aéronefs de la force : Rafale, Super-Etendard, Hawkeye, Puma, Dauphin, Panther. Bref, la lutte sous la mer commence également par une coordination dans les airs. Contrairement à la lutte anti-aérienne faite d'immédiateté et de réactions automatisées dans l'action, la lutte sous la mer s'inscrit dans une durée plus longue et propice à la réflexion. La vitesse des mobiles ASM est bien faible comparée à celle des chasseurs ; la propagation acoustique, très variable, rend la détection difficile, aléatoire et la classification plus subjective. L'OLASM détient rarement la certitude absolue ; les critères de probabilité sont plutôt restrictifs et la classification "certsub" (certain submarine) repose impérativement sur la détection visuelle d'un périscope ou d'un massif par du personnel qualifié. Rien d'étonnant si ASW devient parfois "awfully slow warfare" dans le jargon des spécialistes d'autres domaines… Plus cérébrale dans l'action, la lutte sous-marine est aussi plus tactique : entre la FASM et le sous-marin, c'est le jeu du chat et de la souris. Tout comme les frégates ou aéronefs, le sous-marin calcule les prédictions de portées de l'adversaire pour déterminer les cuvettes de non-détection, les zones de meilleure écoute, les indiscrétions. Pour les deux parties, le choix est difficile et le risque assumé : se mettre en position de détecter signifie également s'exposer à la portée des senseurs de l'autre… Le sous-marin, qui travaille uniquement en réception passive, dispose d'un préavis deux fois supérieur sur le porteur d'un sonar actif, puisqu'il peut localiser l'émetteur d'une impulsion de sonar avant que celui-ci ne réceptionne le signal réfléchi par la coque sous-marine, signal parfois trop faible au retour en raison de la déperdition énergétique. La FASM de son côté peut projeter au loin un redoutable chasseur : son hélicoptère Lynx qui trempera alors son sonar dans les zones où le sous-marin est censé s'être réfugié. Tenter de deviner, voire provoquer les réactions de l'autre, faire d'une position vulnérable un piège… la lutte sous la mer s'apparente bel et bien à une partie d'échecs dans un environnement immense et instable.

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si ton Flash est actif, il se ferat detecter comme les autres.

peut etre en utilisant des infrasons il devrait etre plus discret, en fait c'est pas ca le principe de ton flasch ?

Le flash est porté par un hélicopter, que le sous-marin detecte la position de l'helicoper n'est pas un gros problème (l'inverse, en revanche est nettement plus préocupant pour le sm)

@+, Arka

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au final ton flash ne change pas grand chose pour qu'un helico ASM puisse trouver ton sous marin, il lui faut un relevement et une zone de recherche donne par la fregatte ASM, il ne peut rester en l'air que deux ou trois heures et ne passe pas son temps a balancer des boues partout un avion Patmar, pareil, il vat d'abord chercher un relevement aproximatif avec son DAM ou a l'infrarouge, ensuite seulement il vat larguer des boues donc, si tu a un SM particulierement silencieux, qui ne se promenent pas a faible profondeur et qui est amagnetique.... tu peut courrir ! meme avec ton flash :!:

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il s'agit la de recherche "offensive" generalement dans la direction que prend l'escadre ou dans la zone d'aproche suppose d'un SM il ne s'agit pas de recherche pure si le SM vient par ailleurs que dans la zone d'exclusions, ben finis bon, tu peut mettre une zone d'exclusion autour de ton escadre, mais a quelle distance irat elle portee, et meme, est il intelligent d'occuper un helico a faire des ronds autour d'une fregatte ASM, elle peut pas se debrouiller toutes seules dans les 6-10-15 nautiques qui l'entoure et envoyer l'helico sur des contacts plus lointain :?:

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il ne vat pas les suivres, mais se mettre en plein sur la route que prend l'escadre il aurat eut les infos par detection satelite ou aerienne, voila de toutes maniere, ton helico ne peut pas larguer une boues toutes les heures pendant deux semaines et sur 3000 km

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il ne vat pas les suivres, mais se mettre en plein sur la route que prend l'escadre

Et qu'est ce qu'il y a a l'avant de ton BG?

C'est sans doute la zone la plus sensible (threat matrix). Tous les senseurs vont etre orientes dans ce sens, du guet aerien aux helicos en passant par patmar et sonars embarques (VDS). Et les sous-marins d'escorte!

il aurat eut les infos par detection satelite ou aerienne, voila

Si ils sont chinois ou russes, on est peinard.

Ils n'ont jamais eu une grande resolution et ne peuvent pas faire la difference entre un gros cargo ou un pa.

Si notre ennemi est americain, euh, je ne joue pas :shock:

de toutes maniere, ton helico ne peut pas larguer une boues toutes les heures pendant deux semaines et sur 3000 km

non, mais la menace ne tiens pas sur 3000km pendant 2 semaines 8)
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Une question pour mettre tout le monde d 'accord :

Comment voulez vous reperer et empecher un Akula de tirer une salve de Torpilles Mk-40 sur le CdG ?

Exemple :

Akula est a 35km de CdG , a 300m de profondeur . Il tire 4 Mk-40s a 10 secondes d 'intervalle (sequence de tir de 40 secondes) , puis il se barre a 10 noeuds , changeant sa profondeur pour 600m .

20 minutes plus tard , CdG et son escorte detectent les Torpilles . Ils ont moins de 10 minutes pour reagir avant l 'impact ...

Reponse ?

A+

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Dis moi comment le Triomphant recoit son ordre de tir ...

En navigant en surface ??! :shock: ;)

A+

bonne question! comment un SNLE recoit ses ordres tout en restant en profondeur?

Ne doit il pas remonter à une certaine profondeur pour disposer des infos?

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A 300m de profondeur il recoit la liaison satellite?

Non.

Dis moi comment le Triomphant recoit son ordre de tir ...

En navigant en surface ??! :shock: ;)

A+

Non. Il le fait en naviguant à niveau periscópic (15/20m). À cette profondeur il élève son antenne sur la mer (une antenne très petit de RCS) et reçoit une information satellite.

Suivant la mission ordonnée, le sous-marin montera à niveau periscópic ou plusieurs fois à jour pour recevoir une information critique sur les objectifs, nouvelles tu ordonnes etc.... L'antenne seulement celle-ci sur la surface de la mer pendant quelques secondement, à la fin de la transmission le sous-marin retourne à sa profondeur opérationnelle.

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Incoming , je ne te crois pas .

Pour autant que je le sache , les SNLE utilisent une bouee qui est deployee 20m en dessous de la surface et qui recoit les messages cryptes par VLF (Very low frequency : 3-30 Khz) .

La bouee est ensuite re-treuillee a l 'interieur du SNLE .

C 'est simplement trop dangereux de grimpe en immersion periscopique ...

A+

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