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Défense de l'espèce humaine


Alexis
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Je propose de démarrer un nouveau fil de discussion sur la défense. Une partie de la défense à laquelle on ne pense pas assez souvent à mon avis : la défense de l'espèce, et de chaque peuple, contre nos agresseurs microscopiques microbes et virus.

Quelques rappels historiques :

- La Peste Noire de 1347-1352 tua un tiers de la population européenne (et suivant certains historiens la moitié de la population française)

- La peste sous Justinien dans les années 540 a peut-être divisé la population européenne par deux

- Les maladies que portaient les Européens ont ravagé les populations d'Amérique du Sud au 16ème siècle, bien davantage que les brutalités de la conquête

- De nombreux autres exemples peuvent se trouver dans toutes les civilisations, à chaque fois avec perte d'une partie importante de la population

Ces maladies étaient souvent nouvelles, c'est-à-dire que les bacilles ou virus venaient d'apparaître par mutation. Le risque qu'une maladie nouvelle détruise le tiers ou la moitié de tel peuple, de tel continent, voire qui sait de l'espèce entière, est toujours présent aujourd'hui, comme à n'importe quelle autre époque de l'histoire :

- Bien sûr, nous disposons de moyens de détection et de défense (recherche de vaccin ou de médicament en urgence) sans commune mesure avec ceux d'il y a deux ou trois siècles.

- Mais lorsque nous luttons contre les maladies, elles mutent plus rapidement (les bactéries deviennent résistantes aux antibiotiques), et les moyens de communication modernes font qu'une maladie nouvelle pourrait se répandre rapidement à l'échelle mondiale.

Vu l'existence des forces de dissuasion nucléaire, le risque que la France soit décimée par une nouvelle maladie est sans doute plus important que le risque qu'elle soit décimée par une attaque nucléaire !

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Actuellement la grosse crainte des services de santé serrait un retour de la grippe espagnole. D’ailleurs ce serrait un pour ça que les gouvernements paniquent pour chaque petite grippe (aviaire, mexicaine …) ça sert d’exercice.

Sinon pour la France le risque d’une maladie décimant la population n’est pas très important. Déjà on a l’instit pasteur, de bonne condition d’hygiène, un bon service de santé … donc on serrait moins vulnérable qu’un autre pays, sans parler de l’éparpillement de notre population grâce à nos DOM TOM et une densité relativement faible. En plus avec la mondialisation de presque tous les échanges, il est probable que les autres pays soient aussi affecté que nous.

Même une perte de 50% de notre population ne devrait pas remettre en cause l’existence de la France si la plupart des autres pays perdent au moins le tiers de leur population.

Si on ne se limite pas à la survie de notre pays mais à celle de l’espèce humaine, il y a le Brésil (et peut-être la Guyane ?)  qui conserve des tribus d’humains qui n’ont jamais vu la civilisation et qu’on n’a pas le droit d’approcher (et donc de contaminer) Une maladie tuant la totalité de l’humanité ne devrait pas les affecter.

Enfin la seule sécurité pour protéger l’humanité serrait de coloniser une autre planète et de limiter au maximum les échanges (physiques mais aussi d’informations pour éviter un virus informatique destructeur)

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l'espèce humaine anéantie par une maladie naturelle ??

aucune chance

les maladies infectieuses avec un taux de transmission suffisant pour assurer une pandémie ont un taux de mortalité ne dépassant pas 30%

et encore c'etait à l'epoque ou il n'y avait pas d'antibiotiques (utiles pour traiter si maladie bactérienne ou pour atténuer les infections secondaires si infection virale) et pas d'antiviraux et encore plus pas de médecine (thérapies de support, infrastructures....)

actuellement il n'ya pas un seul modèle de pathogène naturel qui soit une menace pour l'espèce

d'ailleurs il n'y en a jamais eu (il y'a pour une espèce donnée toujours une fraction même minime de la population qui survie grace à une base génétique ou métagénétique qui lui permet de resister)

par contre une épidémie massive avec une forte mortalité est une menace pour un état même avec quelques % de mortalité car elle peut  detruire les infrastructures étatiques, l'appareil economique et de production, l'appareil securitaire et entrainer des desordres sociaux incontrolables

maintenant si on parle de bestioles modifiées génétiquement on change de registre et on peut très bien imaginer un virus avec un taux de mortalité très elevé (90%)

ca pourrait même etre assez facile à faire

http://www.zkea.com/archives/archive05002.html

mais comme je l'ai dis il restera toujours des individus après le première vague de décès

faisons un calcul : 6 milliards -> 90% de morts -> 600 millions de survivants

autant que deux siècles en arrière, pas une cata réelle pour l'espèce

admettons que vu le manque de nourriture, les maladies subséquantes, la désintégration sociale on descende à 60 millions d'individus on se retrouve 10 000 ans en arrière

une paille au regard de l'evolution

je rappel que la branche menant à l'espèce humaine d'aujourdhui est descendue à moins de 15 000 individus après les eruptions du super volcan de Toba il ya 75 000 ans

et pourtant nous sommes 6 Mds aujourdj'ui

alors bon pas vraiment d'inquiétude pour la survie de l'espèce ici

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  • 1 month later...

je rappel que la branche menant à l'espèce humaine d'aujourdhui est descendue à moins de 15 000 individus après les éruptions du super volcan de Toba il ya 75 000 ans

En tant que scientifique je tiens à préciser que ce n'est qu'une hypothèse, au surcroit très contestée.

Si tu veux un exemple, je peux t'en donner un beaucoup plus intéressant : la totalité de l'humanité décent à l'origine de moins d'une dizaine de femme (plus précisément, les données génétiques des mitochondries nous désignent comme descendance d'une seule femme, mais des études plus récentes montrent que quelques femmes ont pu être virées de l'équation par un phénomène de transmission masculine des mitochondries, cet événement extrêmement rare peut légèrement augmenter le chiffre de 1 à une dizaine sur l'espace de temps en question)

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Ca me rappelle le concept de premier ancêtre de l'espèce, nécessaire mais assez abstrait, dans la théorie de l'évolution telle que je l'ai vue en terminale.

M'enfin bon, si on croit les théories de l'évolution par "à-coups", le premier homo quelque-chose pourrait être une espèce de singe qui aurait eu des gènes de son développement sérieusement altérés, causant un développement très ralenti et avec une phase "adulte" peu marquée (on garde la forme du crane du foetus notamment, alors que le chez le chimpanzé ca change radicalement)

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En tant que scientifique je tiens à préciser que ce n'est qu'une hypothèse, au surcroit très contestée.

Si tu veux un exemple, je peux t'en donner un beaucoup plus intéressant : la totalité de l'humanité décent à l'origine de moins d'une dizaine de femme (plus précisément, les données génétiques des mitochondries nous désignent comme descendance d'une seule femme, mais des études plus récentes montrent que quelques femmes ont pu être virées de l'équation par un phénomène de transmission masculine des mitochondries, cet événement extrêmement rare peut légèrement augmenter le chiffre de 1 à une dizaine sur l'espace de temps en question)

Une étude sur les juifs d'europe de l'est a montré qu'ils descendent de 4 femmes au moyen-âge:

http://en.wikipedia.org/wiki/Ashkenazi_Jews#Female_lineages:_Mitochondrial_DNA

donc une dizaine c'est possible. maintenant en matière de génétique, il faut se méfier: les effets environnementaux ne sont pas négligeables. On simplifie toujours pour enseigner aux gamins...

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  • 6 months later...

Je pense que l'on y est déjà dans la fin de l’espèce humaine, sans même le savoir, dans les années ou les siècles qui viennent de nouveaux micro-organisme vont voir le jour, alors que d'autres vont disparaître et cela pas besoin d'être devin pour le savoir :  c'est l'évolution ; et c'est comme cela que fonctionne notre planète jusqu'à son dernier jour. Le problème est de savoir quand cela va arriver et c'est bien là que les ennuis commencent : aujourd'hui on classe tout dans les maladies et on cherche absolument à tout soigner (modèle unique). Mais ne fait-on pas la une grande erreur ?

A mon avis la seul chance de défendre de l’espèce humaine est de coloniser d'autres planètes dans d'autres systèmes voir d'autres galaxies, cela peu paraître stupide mais je ne vois pas d'autres moyens et si vous avez des doutes demander aux dinosaures ce qu'il en pensent ?

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Je pense que l'on y est déjà dans la fin de l’espèce humaine, sans même le savoir, dans les années ou les siècles qui viennent de nouveaux micro-organisme vont voir le jour, alors que d'autres vont disparaître et cela pas besoin d'être devin pour le savoir :  c'est l'évolution ; et c'est comme cela que fonctionne notre planète jusqu'à son dernier jour. Le problème est de savoir quand cela va arriver et c'est bien là que les ennuis commencent : aujourd'hui on classe tout dans les maladies et on cherche absolument à tout soigner (modèle unique). Mais ne fait-on pas la une grande erreur ?

A mon avis la seul chance de défendre de l’espèce humaine est de coloniser d'autres planètes dans d'autres systèmes voir d'autres galaxies, cela peu paraître stupide mais je ne vois pas d'autres moyens et si vous avez des doutes demander aux dinosaures ce qu'il en pensent ?

je répète (voir mon post au dessus) mais jamais au grand jamais une maladie infectieuse naturelle n'a occasionnée ni n'occasionnera la disparition de 100% des membres d'une espèce quelle soit animale ou végétale par le simple jeu des combinaisons génétiques assurant une survie à une frange de la population

après pour une association d'effets multifactoriels je dis pas (et encore ca a toujours porté sur des populations limitées en nombre et géographiquement)

mais pour une population globale à moins d'un effet global (impacteur, explosion de méga volcan ....) on ne peut assister à une disparition complète

inutile donc d'espèrer la disparition des suidés, des rats, des mouches, des blattes ou des humains

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Je pense que c'est plus du côté d'une impossibilité à se reproduire qu'il faut "espérer" une disparition de l'Espèce.

ca on y arrive petit à petit avec toute les saloperies balancées depuis 50 ans dans l'environnement (molécules persistantes style PCB, DDT ....) et perturbateurs endocriniens/hormonaux

on y assiste deja avec certaines populations de batraciens

quant à l'être humain la fertilité à chutée de manière significative depuis la fin des années 45 d'un point de vue médical-physiologique (en terme de quantité et qualité des cellules reproductrices ......)

c'est pas pour rien que les FIV sont passées à 8-10 % de la population souhaitant avoir des enfants en Europe et USA

mais bon là on n'aura pas une disparition spectatulaire nécessitant des ressources de police/militaire pour la gérer (encore que ...)

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  • 3 weeks later...

Définition de FIV ?

Au niveau armes biologiques, des romans spéculent sur des virus qui auraient 100 % de taux de mortalité ou qui toucheraient spécifiquement telles groupes, (les femmes dans la ''mort blanche'' de Frank Herbert : http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Mort_blanche ), est ce seulement de la fiction ?

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Définition de FIV ?

Au niveau armes biologiques, des romans spéculent sur des virus qui auraient 100 % de taux de mortalité ou qui toucheraient spécifiquement telles groupes, (les femmes dans la ''mort blanche'' de Frank Herbert : http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Mort_blanche ), est ce seulement de la fiction ?

Oui, de la fiction selon moi.

Fécondation In-Vitro

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Au niveau armes biologiques, des romans spéculent sur des virus qui auraient 100 % de taux de mortalité

je remet le lien ci dessus

C'est de l'ordre du théoriquement possible et ca deja été fait dans certains modèles : http://www.zkea.com/archives/archive05002.html

ou qui toucheraient spécifiquement telles groupes

théoriquement possible avec l'essor de la pharmacologie ciblée à l'individu (qui en est encore à son balbutiement)

En ciblant certain groupes HLA majoritaires dans certaines populations on devrait y arriver aussi (même si c'est pas du 100% safe et controlable/exclusif)

Idem avec l'essor de l'épigénétique (tel gène s'exprimant dans tel environnement alors qu'il est éteint dans l'environnement d'à coté)

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  • 8 years later...
Le 27/08/2010 à 11:11, Alexis a dit :

Je propose de démarrer un nouveau fil de discussion sur la défense. Une partie de la défense à laquelle on ne pense pas assez souvent à mon avis : la défense de l'espèce, et de chaque peuple, contre nos agresseurs microscopiques microbes et virus.

 

Quelques rappels historiques :

- La Peste Noire de 1347-1352 tua un tiers de la population européenne (et suivant certains historiens la moitié de la population française)

- La peste sous Justinien dans les années 540 a peut-être divisé la population européenne par deux

- Les maladies que portaient les Européens ont ravagé les populations d'Amérique du Sud au 16ème siècle, bien davantage que les brutalités de la conquête

- De nombreux autres exemples peuvent se trouver dans toutes les civilisations, à chaque fois avec perte d'une partie importante de la population

 

Ces maladies étaient souvent nouvelles, c'est-à-dire que les bacilles ou virus venaient d'apparaître par mutation. Le risque qu'une maladie nouvelle détruise le tiers ou la moitié de tel peuple, de tel continent, voire qui sait de l'espèce entière, est toujours présent aujourd'hui, comme à n'importe quelle autre époque de l'histoire :

- Bien sûr, nous disposons de moyens de détection et de défense (recherche de vaccin ou de médicament en urgence) sans commune mesure avec ceux d'il y a deux ou trois siècles.

- Mais lorsque nous luttons contre les maladies, elles mutent plus rapidement (les bactéries deviennent résistantes aux antibiotiques), et les moyens de communication modernes font qu'une maladie nouvelle pourrait se répandre rapidement à l'échelle mondiale.

 

Vu l'existence des forces de dissuasion nucléaire, le risque que la France soit décimée par une nouvelle maladie est sans doute plus important que le risque qu'elle soit décimée par une attaque nucléaire !

 

Citation

 

L’OMS veut mobiliser la planète contre le coronavirus

Le forum convoqué à Genève, mardi 11 et mercredi 12 février, par l’Organisation mondiale de la santé avait pour but d’accélérer la levée de fonds et la coordination internationale dans la lutte contre le coronavirus Covid-19.

Ce n’était pas arrivé depuis la crise Ebola qui a touché la RD-Congo en 2018. Durant deux jours, à Genève, l’OMS a réuni 400 scientifiques, organismes de santé publique, ministères de la santé et bailleurs de fonds du monde entier.

Un forum exceptionnel destiné à établir une « feuille de route » commune pour la coordination internationale de la réponse au coronavirus de Wuhan. « Nous avons besoin de l’intelligence collective, de la perspicacité et de l’expérience de la communauté scientifique pour répondre aux questions pour lesquelles nous n’avons pas encore de réponse », a assuré l’OMS, par le biais de son service de communication, à l’issue de la première journée de rencontres.

L’enjeu majeur est de lever des fonds

Finalement baptisé Covid-19, comme annoncé par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus mardi 11 février en fin de journée, le nouvel acronyme évite ainsi de stigmatiser une région ou un groupe de personnes, contrairement au nom Ebola, inspiré par une rivière congolaise.

L’OMS ne s’en est pas caché : l’un des enjeux principaux de ces rencontres est de lever des fonds pour accélérer la réponse au virus. L’organisation estimait avoir besoin en tout de 620 millions d’euros : 28 millions pour la coordination internationale, 588 millions pour les plans de préparation des différents pays et les opérations d’intervention, et environ 4 millions pour la recherche et l’innovation. La fondation Bill et Melinda Gates a déjà annoncé une contribution de 100 millions de dollars (91,91 millions d’euros).

Le développement d’un vaccin n’est pas l’unique levier contre le virus

Les premiers vaccins pourraient être prêts dans 18 mois, a annoncé le directeur de l’OMS, mardi 11 février. « En attendant, nous ne sommes pas sans défense. Le développement d’un vaccin est un des aspects importants, mais pas l’unique levier de lutte contre le virus », a-t-il tenu à rassurer.

Soumya Swaminathan, cheffe de l’équipe scientifique de l’OMS, a souligné, pour sa part, combien il était « essentiel que des chercheurs et fabricants de vaccins chinois soient présents au forum, cette semaine, et impliqués dans chaque étape du processus, puisque la majorité des cas se trouve actuellement en Chine ». Bien qu’encore difficiles à déterminer, les pertes causées par le Covid-19 sur l’économie chinoise se chiffreraient déjà en dizaines de milliards de dollars.

L’OMS a confirmé travailler jour et nuit sur le virus

Si les participants étaient invités par les organisateurs à ne pas s’exprimer avant mercredi 12 février au soir, autrement dit la fin de la deuxième journée de réunion, sur le contenu de celle-ci, le représentant d’une fondation caritative britannique spécialisée en médecine a assuré que l’ambiance de travail était « bonne » et que le rapport final consisterait essentiellement en un « plan d’action ciblé ». L’OMS a confirmé pour sa part travailler sur la question « 24 heures sur 24 ».

Contrairement au rôle controversé joué par l’OMS pendant l’épidémie Ebola qui avait touché l’Afrique de l’Ouest en 2014-15, l’organisation semble, avec la crise du Covid-19, avoir gagné en réputation et en légitimité. « Ces cinq dernières années, l’OMS a réussi à restaurer son autorité avec la création de nouveaux programmes d’urgence », analyse Suerie Moon, la co-directrice du Centre de Gouvernance Globale de Genève. « Dans cette crise, on a pu voir le directeur de l’OMS prendre la tête des opérations, notamment au niveau politique, puisqu’il s’est déplacé en Chine pour rendre visite au président Xi Jinping. Par ailleurs, l’OMS communique au moins une fois par jour, et parfois deux à trois fois. L’organisation a vraiment amélioré son image dans la gestion de cette épidémie ».

 

Source: La Croix

 

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