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Exoplanètes.


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ionisation au laser + champ magnétique, c'est la méthode proposée dans la video de la page précédente ;)

 

 

     Les puissances électriques nécessaires seront d'un gargantuesques, de 2 pas certain que le champ d'action soit suffisant a ces vitesse de déplacement ... De 3 efficacité globales en question ?

 

    Surtout quand tu as une très forte diversité de type de matière dans ce faux vidé a gérer, entre hydrogène primordial neutre, hydrogène ionisé (sont donc protons libres mais ce comportant comme un gaz) de l'hélium ionisé et du neutre aussi, mais aussi la plupart des matériaux existant sous forme de gaz et des microparticules de poussières de matériaux solides présentes de partout ... J'ai de grands doutes que tout puisse être traité

 

  Et la proposition ressemble étrangement a un dérivé simplement inversé de l'aspiration magnétique et ionique pour récupérer du carburant dans le vide spatial en le collectant via un champ magnétique ... Mais je n'ai jamais vu d'évocation auparavant de cette technique théorique de récolte de carburant de fusion en avançant dans le vide spatial serait efficace au point de récupérer 100% des atomes et des noyaux croisés en chemin dans le volume utile ou il y aurait collision sans ...

 

    Ce n'est vrai qu'un dérivé inversé de cette technique la, dont déja la première version récoltant apportait le doute qu'elle nettoie efficacement le vide dans le volume droit devant soit dans lequel on pénètre ... Alors repousser ... Et avec de nombreux autres matériaux qui y sera pas ou peu sensible comme les micro-poussières selon leur nature et leur neutralité électrique ...

 

   Et j'ai bien peur que les puissances électriques (probablement nucléaire) embarquées soit a peine suffisante pour gérer les besoins électriques vitaux, de confort, de gestion informatique car de beaux vaisseaux traversant le système solaire devront je pense bouffer de belles puissances de calculs en permanence, de liaison radio avec des antennes puissantes mais aussi et surtout  La redondance et le fonctionnement des circuits caloporteurs, et le + grand foyer probable de consommation électrique :

 

    Les embouteillages magnétiques majeurs du système de fusion de propulsion ...

 

  Bon après ça n'empêche pas de dimensionner ces réacteurs nucléaires embarqués de production d'électricité pour avoir des capacités allant au de la de ces besoins de base la, mais il faudra je pense aussi que ça colle au niveau thermique car dans le vide spatial malgré le froid intense des zones a l'ombre du solaire et s'aggravant + on va loin dans le système solaire en profondeur :  Il ne faut pas oublier qu'évacuer une forte source de chaleur comme celle générée par un réacteur nucléaire sera loin d'être évidente ...

 

   Ce qui nécessitera probablement un équilibre entre les besoins thermiques du vaisseaux et le besoin en éléctricité, si dans l'espace la chaleur s'évacue mal via des échangeurs avec le vide (bien qu'on peut avoir quand même une déperdition sur laquelle on peut compter, mais c'est pas un fleuve et la chaleur massique de l'eau a C=4 en coeff en sachant que l'air = 1) ce qui veut dire en gros :  Que la puissance thermique de chaudières nucléaires embarquées doivent correspondre un minimum avec le dimensionnement du volume du vaisseau a chauffer en rapport aux déperditions par les parois et quelques échangeurs en + pour de la dissipation ... Si par exemple ton vaisseau est calqué sur un volume ou tu peux te permettre une chaudière nuke de part exemple au pif 300 mégawatt élec, soit en gros 1000 mégawatts thermique vu que rendement a 30-35% et que ta chaudière sur ce dimensionnement tombe pile poil pour chauffer correctement tout le volume du vaisseau avec la déperdition des parois dans les zones les + froides du système solaire :

 

    Ca veut dire que vers l'orbite terrestre il te faut des échangeurs les + efficaces possibles car gros surplus thermique ...

 

   Mais ça veut dire aussi surtout que si tu as besoin pour le "bouclier magnétique" qui fait le vide devant toi de par exemple 4x cette puissance électrique ... On va avoir un gros souci pour caler 4 chaudières nucléaires de la même taille en + dans le vaisseau et garantir l'évacuation de chaleur ...

 

     Et ça marche de la même manière si au lieu de 5 chaudières tu en a que 2 ... Si c'est sur-dimensionné par rapport a la capacité de chauffer et d'évacuer la chaleur ça ne va pas, et la solution passera difficilement en érigeant des immenses échangeurs thermiques comme des ailes car tu perds tout ton bénéfice au final de ce pourquoi tu envisages ton bouclier magnétique qui aura probablement en volume efficace que le diamètre du vaisseau + quelques mètres de marge ...

 

   Perso je suis pas du tout convaincu quand a ces solutions qui même en théorie me laisse dubitatif et risque de ne pas pouvoir être assumé avec le bilan thermique du vaisseau et ceux même avec des échangeurs maximisés sur les parois extérieur coté "froid"

 

     Une chaudière nucléaire devra impérativement correspondre aux besoins thermique d'un vaisseau pour tout chauffer correctement les volumes habitables mais aussi les salles techniques qui ne peuvent pas se permettre de descendre a -200°c probablement que ce sera le moindre cm cube et cm² de carlingue a chauffer mais aussi avoir des échangeurs partout pour climatiser et réguler en se basant sur des tampons d'eau réservoir (et qui feront protection contre les radiations exagérées) donc il faudra prendre en compte qu'un vaisseau même s'il a des volumes non utilisé, ils ne pourront pas forcément recevoir des engins de productions d'électricité en + dont il deviendra rapidement impossible a évacuer la chaleur a rythme adéquat avec le bilan thermique du vaisseau qui sera complexe a gérer avec des systèmes themodynamiques de partout pour réguler et véhiculer dans les volumes a chauffer ou a tempérer ...

 

     1 chaudière nuke en + et tu transforme potentiellement ton vaisseau en four ou alors le mettre dans un lieu isolé d'un bouclier thermique mais il risque de surchauffer sur lui même au bout d'un moment ... Ce qui ne colle pas ... Car son usage sera quais permanent ...

 

    Après de toute façon il y a aussi les besoins de diviser en plusieurs chaudières le besoin de base du bilan thermique pré-calculé (des orbites solaires dans la ceinture de Kuiper aux orbites solaires terrestre et aussi des entre 2 vers Saturne & Jupiter qui sera probablement les zones ou les bilans seront les + simples a gérer sans stress)

 

   Un système nucléaire extérieur dont on serait par exemple protégé par grand bouclier thermique épais et non accessible, n'est viable que si ce système fonctionne par intermittence comme les projets de réacteurs de prop nuke du passé avec les disques a combustible ou les explosions guidées ... De tels systèmes ne pouvaient fonctionner en continu sur des dizaines de jours au vu de la faible dissipation thermique dans le vide spatial et même avec des grands échangeurs (ammoniaque, cuivre, vide spatial) ne jamais oublier que C sera bien en dessous de 1 ... (dans l'espace C en coeff de transfert de chaleur sur ce genre d'échangeurs comme sur l'ISS probablement = 0,1 par la)

 

   Qu'on se le dise bien, quand les voyages dans le système solaire profond seront possibles les réacteurs nucléaires de prod élec seront des outils vitaux a ce type d'engin ne serait ce que grace a la grande quantité de chaleur qu'ils auront a fournir en chaleur perdue par le rendement a 30% élec au reste du vaisseau, ce qui n'empêchera pas la complexité des équilibrages selon la distance du soleil entre tampons et déperdition dans le vide ... Mais un vaisseau et son besoin élec seront en relation directe avec son volume prévu et le type de mission pour + ou - avoir a complexifier le système de régulation thermodynamique

 

    Mais tout apport supplémentaire sera en déséquilibre transformant le vaisseau en four en sachant que le réacteur nuke sera en lieu forcément accessible comme dans un sous marin dans la partie habitable ... Obligatoire bien que ça présente des risques, risques qu'on sait gérer depuis les sous marins nucléaires donc pas de soucis en soi ... Mais tout surplus aura sa conséquence par rapport au dimensionnement d'origine

 

   (pour la redondance et les interventions urgentes il n'y aura pas d'autres choix comme modèle d'aménagement de vaisseau, ce sera une vrai chaudière nucléaire ...)

Modifié par alpacks
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Ou prendre une comète de mettons... 15km de long par 7 de diamètre (ce sont souvent des patatoïdes pas sphériques)

La comète est composé de neige d'eau et de méthane avec un densité de mettons... 0,3kg par dm3 (ce sont les ordres de grandeur pour ces boules de neige sale peut tassées)

 

On fout un réacteur nucléaire au milieu de la comète avec des excavatrice qui vont rentrer là dedans comme dans du beurre.

 

Au milieu de la comète la neige se sublime en vapeur d'eau au contact de la chaleur du réacteur puis, au fur et à mesure de l'augmentation de la pression au milieu de la comète: en eau.

 

L'eau va migrer en périphérie de la comète puis se transformer en glace au contact du vide spatial glacé.

 

A la fin du processus on a notre patate qui a extérieurement une couche de glace de mettons... 300m  d'épaisseur, puis un océan de 700m de profondeur puis une atmosphère pressurisé à un bar comme on aime qui aura été enrichi en oxygène via la décomposition d'une partie de l'eau en oxygène et en hydrogène dans nos réacteurs nuke.

 

Si on se débouille bien on peut même reformater notre comète en un beau cylindre bien profilé en guidant l'eau qui va geler en périphérie via des capillaires creusées à cet effet par les excavatrices.

 

On a une atmosphère (humide), de l'eau, un véritable grand lac genre Leman, du méthane, de l'oxygène, de l'hydrogène, plus des matériaux issus des impureté de la "neige" qui se sont déposés au fond de "l'océan" lorsqu'il a fondu.

Niveau gravité: on espère que la comète a une rotation initiale pas trop mal, sinon il faudra envisager d'accroitre sa rotation (ou alors reformater son diamètre pour avoir le bon bras de levier).

 

Mais c'est un bon point de départ.

 

Notre comète a une aphélie très importante (distance maxi par rapport au soleil) qui fait qu'il lui suffit d'une "pichenette" pour être éjectée du système solaire et partir sur son élan dans les espace intersidéraux.

En fait on est tombé sur un bon numéro qui a toutes les caractéristique qui vont bien, un truc qui passe dans les parages que toutes les X millier d'années (de toute façon: qui dit grande aphélie dit période très importante quoi qu'il en soit)

 

Partant de là il est clair qu'on n'a pas amené qu'un seul réacteur nuke car compte tenu de la masse du bazar: il va falloir une sacré patate pour le bouger.

En même temps on part "lancé". Et on a de l'eau, de l'hydrogène, du deutérium, du He3 et autre à gogo à éjecter ou à fusionner.

Et enfin: compte tenu de la surface habitable du morceau, on a toute la place qu'on veut pour construire un paquet d'EPR sans déranger les voisins (et de l'eau a gogo pour les refroidir)

Il faut juste bien calculer son coup pour se faire éjecter de l'attraction solaire dans la bonne direction si possible (et dans le bon plan d'écliptique tant qu'à faire...)

 

Si on arrive à une accélération linéaire de 0,05G: on atteint une vitesse de 0,1C en 700 jours! Une paille dans un tel confort aquatique... presque des vacances.

 

Et les 300m de glace qui constituent la coque extérieur peuvent assumer n'importe quoi en terme d'érosion tout en étant le bouclier idéal contre les radiations.

 

De toute façon le plus dur sera de sortir du système solaire.

Après: les effets "quantiques" liés au fait qu'il n'y a pas de matière noire mais que c'est un autre phénomène machin truc, feront que ça sera du gâteau pour traverser les immense espace vides entre les étoile.

Une fois arrivé à destination: on décélère et on se met en orbite.

 

Voilà le pitch...

Modifié par c seven
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La Nasa a annoncé aujourd'hui la découverte de 715 nouvelles exoplanètes, qui sont des planètes situées hors du système solaire, grâce au télescope spatial Kepler. Ces dernières découvertes portent le nombre d'exoplanètes confirmées à près de 1.700, sur plus de 3.600 planètes potentielles, a précisé l'agence spatiale américaine lors d'une conférence de presse.

 

La suite:

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/26/97001-20140226FILWWW00444-decouverte-de-715-nouvelles-exoplanetes.php

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Quand on aura trouvé de l'oxygène la je serais intéressé, de H2O il y en a sur chaque planète du système solaire ...

 

 

   Alors tu peux attendre longtemps dude, quand l'oxygène a haut taux sur une planète ne peut être apporté que par un seul processus possible :  Photosynthèse végétale marine ayant évoluée vers le multicellulaire a collagène comme cela s'est passé sur Terre ... Et ou le taux dans l'atmosphère a bien voulu monter après avoir oxydé tout le fer qui était dissout dans les eaux océaniques ...

 

   Après il existe bien des processus atmosphérique qui peuvent produire un peu d'oxygène, mais c'est cheap et anecdotique en apport ... (comme par exemple une planète océan qui n'abriterait pas forcément la vie mais qui aurait mis en place un complexe système nuageux d'eau évaporée, favorisant donc des systèmes d'orages violent constant et dont les éclairs frappant l'atmosphère chargée en vapeur d'eau produirait de l'oxygène par cassage moléculaire lié au passage de l'éclair dans un petit volume d'air en tube dilaté, le problème après c'est qu'un apport de ce type, serait en réalité fortement contrebalancé par le potentiel chimique des sols d'oxydation captant le moindre O2 qui traine a portée ...

 

   Mais bon il ne faut pas trop s'en faire non plus, a votre avis pour une planète tellurique comme la Terre ... Quelle est le matériau en masse le + présent dans la croute terrestre en milliads de millards de tonnes ? Beaucoup de gens feraient l'erreur en levant la main : Le silicium !

 

    Perdu ... C'est l'oxygène ... Le silicium n'étant qu'en 2 ème position, le fer en 3 ème, et l'aluminium collant aux talons du fer

 

    Les planètes telluriques sont de véritables boules de stock d'oxygène ... Car l'oxygène est l'un des matériaux de synthèse stellaire les + produits dans l'univers par les étoiles de masse moyenne (masse moyenne ça veut dire en général des étoiles sensiblement + massive que le soleil, les naines jaunes sont incapables de synthétiser de l'oxygène même a leur mort ... En général ce sont des étoiles bleues/blanches d'environ au moins 4x la masse du soleil et qui sont le type d'étoiles les + courantes dans l'univers bien que si on les comptait on s'appevrait qu'elles sont moins nombreuses pourtant que les étoiles naines (naine jaune, orange, rouges, brunes) car ce sont des étoiles a cycle court qui vivent de 1 millions d'années pour les + massives a 1/2 milliards d'années pour les bleues les + légères malgré bien + lourdes que le soleil, elles sont en sous nombre uniquement parce qu'elles meurent vite, en réalité si on compte celle disparues en mourrant elles dépassent clairement les naines en nombre ...)

 

     Et c'est pourquoi l'oxygène est si répandu dans l'univers principalement sous 2 formes : Soit sous forme d'eau produite rapidement dès que l'oxygène ionisé a peine éjecté par une étoile en mourrant rencontre de l'hydrogène primordial et a bonne t° pour fusion chimique en refroidissant, soit il se fait attraper par les métaux et carbones sous forme de poussières qui ont un potentiel électrochimique fort eux aussi ...

 

    Par contre je sais plus dans le classement des éléments a l'heure actuel les + abondants dans l'univers a quel place il est, il me semble 4 ème ou 5 ème place

 

   Mais manque de bol, sa présence en masse dans une atmosphère est hyper rare et forcément lié a la vie ... Le problème étant que si une planète a une atmosphère bien chargée en oxygène : Pourra t'on espérer y mettre les pieds alors que le moindre microbe y sera ultra virulant pour nous au niveau pathologie immédiate quand nos systèmes de défense le désigneront comme inconnu total au bataillon avec sa carte d'identité protéinique ? Ca sera tout le problème ... :'(

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  Peu logique de faire des lacs et des mers aussi calme alors que ces ébauches artistiques de représentation d'une Lune habitable autour soit d'une géante de gaz, ou d'une super terre lourde (non habitable) alors que tu aurais des mouvements de marées des masses d'eau tout simplement monstrueux  =D  >:D

 

    Ca ne marche pas comme ça hélas, mais on peut toujours rêver ...

 

    Déja que la Lune autour de la Terre provoquait a l'époque ou elle n'était qu'a 100-150 000 km de la Terre sur une orbite clairement + proche, des marées estimées au + fort de potentiellement 400 mètres de hauteur et donc provoquait toutes les 6 heures des mouvements et retrait de masse d'eau digne de Tsunami qu'on ne verra plus jamais sauf si un astéroïde de 10 km s'écrasait sur le pacifique ou l'atlantique ... (pour nous griller quelques minutes après sans même qu'on ait vu le Tsunami)

 

   Alors des mers ou des lacs sur une Lune autour d'une géante de gaz ... je n'ose imaginer le topo ... Ca va pas être beau a voir les Tsunami de boue au quotidien ... Tu peux vite oublier le décors idyllique ou alors en haute & moyenne montagne éventuellement la ou les eaux ne viennent ne viennent jamais au + fort des conjonctions gravitationnelles avec les autres Lunes comme on connait sur le système Jovien ou non seulement Jupiter étire les masses rocheuses de Io d'un coté mais la résonnance gravit d'Europa et de Ganymède aggrave le phénomène dans l'autre sens provoquant un compression décompression de la sphère de Io au point d'en faire fondre la roche par frictions majeures ...

 

    Tu imagines vite fait ce que ça induirait sur un fluide comme l'eau en surface qui bouge si facilement avec la gravité ... Des marées de plusieurs km de haut probablement ...

 

  C'est pour cela même si on peut réver en effet de Lune éventuellement habitables autour de géante de gaz en zone habitable d'une étoile, la planétologie ne l'interdit pas pour l'instant et estime que c'est bel et bien envisageable :  Il faut pas non plus rêver a des petits paradis du genre si il y a de l'eau en liquide en surface protégée par une atmosphèse épaisse comme l'atmosphère de Titan le prouve que ça existe ce genre d'atmosphère sur des Lunes ... Ca restera des mondes aptes a la vie, mais avec des environnements aquatique très hostile par des mouvements de marée monstrueux :

 

    Très probablement que si la vie y existe, c'est en zone océanique les + profondes la ou les marées malgré leur hauteur n'impactent pas la stabilité "mécanique" du milieu, et si la vie existe en surface : Elle serait alors existante que sur des zones de montagnes élevées a l'abris de ces marées dévastant tout, c'est dommage mais c'est ainsi ...

 

   Ou alors il faudrait un équilibre d'eau en surface + ou - critique ou elle est très peu présente, mais l'est en aquifère dans le sous sol, en surface des déserts ou des plantes, microbes et animaux survivent assez bien car les marées gravitationnelles faisant quotidiennement infiltrer de aquifère profond jusqu'en surface créant chaque jour mares et grandes flaques ... Mais qui dès le landemain se mettraient a courir dans le désert si pas évaporé : Oui courir :happy:  car les marées gravit ferait forcément bouger ces "mares & flaques"

 

    Ca devrait être assez incongru a voir ???  des mares qui font cassos toutes seules ???  =D  la sale blague pour l'assoiffé du désert ...

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Mais manque de bol, sa présence en masse dans une atmosphère est hyper rare et forcément lié a la vie ... Le problème étant que si une planète a une atmosphère bien chargée en oxygène : Pourra t'on espérer y mettre les pieds alors que le moindre microbe y sera ultra virulant pour nous au niveau pathologie immédiate quand nos systèmes de défense le désigneront comme inconnu total au bataillon avec sa carte d'identité protéinique ? Ca sera tout le problème ...

 

Hyper rare , mais sur des milliards de planètes ça en fait beaucoup, si on cherche suffisamment longtemps  avec les bons outils on devrait nécessairement en trouver. Ensuite, résolution de l'ONU et on envoi un message vers chaque nouvelles planète avec O2. On finira bien par nous répondre :)

 

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Les marées doivent être terrible :happy:

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   Alors tu peux attendre longtemps dude, quand l'oxygène a haut taux sur une planète ne peut être apporté que par un seul processus possible :  Photosynthèse végétale marine ayant évoluée vers le multicellulaire a collagène comme cela s'est passé sur Terre ... Et ou le taux dans l'atmosphère a bien voulu monter après avoir oxydé tout le fer qui était dissout dans les eaux océaniques ...

 

 

Rien n'interdit que ce soit un processus commun/banal à l'échelle galactique.

Tu le montres toi même dans la suite de ton exposé : Les briques du vivant se forment à partir des éléments les plus abondant dans la galaxie.

Partant, je ne serais pas spécialement étonné que l'attente ne soit pas si longue que ça.

Modifié par Kovy
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  Peu logique de faire des lacs et des mers aussi calme alors que ces ébauches artistiques de représentation d'une Lune habitable autour soit d'une géante de gaz, ou d'une super terre lourde (non habitable) alors que tu aurais des mouvements de marées des masses d'eau tout simplement monstrueux  =D  >:D

Une hypothèse:

Si le système est suffisamment  vieux, on peut supposé que la révolution et la rotation de cette lune sont synchrones (comme pour notre lune).

Plus le phénomène de marée est important, plus le ralentissement au l'accélération (dans le cas d'une rotation plus lente que la révolution) de la rotation est important.

Bien sur, la lune n'a alors plus rien d'une sphère mais un beau ballon de rugby où la "marée" est statique.

 

Le problème serait alors de savoir quand il faut se faire couper les cheveux ou éviter de se promener tard le soir.

 

Le même phénomène s'applique aussi sur la planète (la rotation de la terre ralenti globalement) mais sur une échelle de temps beaucoup plus longue et surement beaucoup plus complexe s'il y a plusieurs satellites.

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Alpacks: "C'est pour cela même si on peut réver en effet de Lune éventuellement habitables autour de géante de gaz en zone habitable d'une étoile, la planétologie ne l'interdit pas pour l'instant et estime que c'est bel et bien envisageable :  Il faut pas non plus rêver a des petits paradis du genre si il y a de l'eau en liquide en surface protégée par une atmosphèse épaisse comme l'atmosphère de Titan le prouve que ça existe ce genre d'atmosphère sur des Lunes ... Ca restera des mondes aptes a la vie, mais avec des environnements aquatique très hostile par des mouvements de marée monstrueux"

 

Une futur mission d'Orbiter autour de Titan, équipé de radars et d'instruments infrarouge permettant une résolution métrique, pourrait permettre d'en savoir un peu plus sur l'ampleur des marées á l'oeuvre sur les rivages des lacs d'hydrocarbures (parfois de la taille de grands lacs terrestres comme le lac Ontario) et d'en tirer des extrapolations pour des exolunes habitables parsemées de mer ou lacs, mais cette fois d'eau (ou à la limite, d'un mélange d'eau et amnoniaque).

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  • 1 month later...
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Le problème c'est surtout que la matière noire explique très bien ce qu'on voit actuellement. Le problème c'est qu'on a pas de moyens vraiment valables pour la détecter.

 

Et sinon, non les lois de la physique ne sont pas catégoriques, ce sont des théories scientifiques. Les modèles tournent convenablement actuellement mais on a clairement pas encore tout les éléments du puzzle. Bref en science on va avancer selon les découvertes ou la non découverte dans certains domaines.

 

Il y a d'autres théories, mais c'est pas que les scientifiques sont cloues au pilori mais simplement qu'elles sont moins solides que la théories la mieux accepte.

 

 

    Si si on commence a avoir des moyens valables pour la détecter ...

 

  Comme par exemple le rayonnement de fond dans les galaxies (attention rien a voir au rayonnement fossile du big bang) en gamma permet de révéler la présence de la matière noire ... D'ailleurs il y a eu des sujets tout récent cette semaine dans les médias de science

 

   En appliquant les lois newtoniennes sur la matière noire et sa densité supposées on s'est rendu compte qu'elle se concentre alors forcément au centre d'un objet très lourd comme une galaxie : Qu'elle soit naine ou une spirale de 2000 milliards de masse solaire comme la notre :

 

    La gravité seule de la matière baryonique normale doit imposer une influence qui contraint la matière noire de ce concentrer au centre de la galaxie

 

   Et Fermi l'a vu ces derniers mois :

 

   En observant le centre de la galaxie avec un téléscope spatial axé sur les gamma, on a vu que l'émission gamma augmentait sensiblement vers le centre de la galaxie et indépendamment de la source centrale du trou noir supermassif (ils ont retiré les gammas de cette source sur l'image obtenue) et il apparait alors un halo d'émission gamma qui serait inexeplicable sans la matière noire ...

 

     Il se pourrait bien que ce soit une preuve définitive de l'existence de la matière noire

 

   Explication, en ayant tendance a ce concentrer par gravité au centre de la galaxie a cause de la gravité de la matière "normale" plus importante dans cette zone (le bulbe est bien + dense en matière que les bras spiraux)  cela force la matière noire a ce concentrer et a être donc + dense elle aussi :

 

    Et en ce densifiant on a des taux de collisions entre les particules exotiques de la matière noire + important :  Ce qui provoque alors un flux de gamma diffus qui va en ce concentrant si on regarde dans les zones les + denses de la galaxie (soit le bulbe) et ce même si on supprime artificiellement les émissions gamma du trou noir central (facile il émet en gamma que tout les 15j a 3 semaines environ) et les puissantes étoiles a neutron qui émettent aussi :

 

    Reste un halo de gamma dans le bulbe qui ne peu alors s'expliquer que par une présence + dense de matière noire ...

 

 

   Problème, on devrait constater la même chose quand 2 galaxies entre en collision : Une émission gamma + forte la ou les 2 halos de matière noire s'entrecroisent et pourtant non

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   Problème, on devrait constater la même chose quand 2 galaxies entre en collision : Une émission gamma + forte la ou les 2 halos de matière noire s'entrecroisent et pourtant non

une sorte de champ champ électromagnétique qui fait que les particules se repoussent ?  un peu comme deux proton qui se croisent vont se repousser ...

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   On a trouvé la belle mère du cousin de la tante et du grand père par alliance de la Terre ... Super hein ? :happy:

 

 

  (l'annonce du Cern d'un Boson Z exotique (and erotic) était quand même un peu + passionnante que faire du tintamarre en première page du monde.fr pour une exoplanète lambda dont il y en a probablement encore 50 similaire dans les données de Kepler quasi les mêmes a découvrir

 

  D'autant que bon autour d'une demi-naine rouge orange je n'ose imaginer l'état radiatif des conditions autour de l'étoile (étoile probablement a cataclysme régulier bien qu'on en parle assez peu des étoiles mi naine orange mi naine rouge ...)

 

 

   L'autre truc c'est qu'elle est quand même assez loin dans sa zone de soit habitabilité ...

 

  Pour rappel Mars est en zone habitable du système solaire (et Vénus aussi !)  Et pourtant elles ne le sont pas ...

 

   Car un rapport a la distance d'une étoile pour une planète ne sera en réalité jamais une condition d'habitabilité

Modifié par alpacks
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Dans l'article du figaro :

 

 

«Il faudrait une atmosphère aussi dense que la nôtre mais composée uniquement de dioxyde de carbone pour que l'effet de serre soit suffisant au maintien d'eau liquide»

 

J'avais cru comprendre que la vapeur d'eau était un gaz a effet de serre beaucoup plus puissant que le co2, alors pourquoi uniquement du co2 ?

Modifié par Divos
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Dans l'article du figaro :

 

 

J'avais cru comprendre que la vapeur d'eau était un gaz a effet de serre beaucoup plus puissant que le co2, alors pourquoi uniquement du co2 ?

 

 

   Car il faut bien une atmosphère de base eau ou pas qui soit en capacité d'être suffisamment chaude pour que l'eau ne soit pas en glace sur l'ensemble des latitudes de la planète

 

 Imagine par exemple que l'atmosphère a une t° moyenne de -10°c :  L'eau globalement sur la planète sera tellement prise en glace a 99,99% de sa quantité disponible qu'elle ne sera pas fortement en masse en gaz dans l'atmosphère ... Car pas ou très peu d'évaporation de l'eau ...

 

   Pour compter l'eau comme GES il faut partir du postulat d'origine que ton atmosphère est suffisamment chaude pour faire évaporer de l'eau par la t° ... Si c'est trop froid il y aura qu'un très petit cycle d'évapo-condensation de l'eau elle aura tendance a rester massivement en glace en surface et a le rester

 

 

     L'eau en tant que GES est effectivement très puissante, bien + efficace que du CO² (probablement 20x + GES que du CO² a même masse) mais faut il encore pouvoir compter dessus en tant que Gaz bel et bien présent en masse dans l'atmosphère hors si la t° moyenne de l'atmosphère est négative :  L'ensemble de l'eau disponible sera figé en glace et hors cycle (ou très faible) d'évaporation

 

   En fait c'est un effet d'emballement le lien entre l'eau et le CO² en tant que GES tout les 2

 

  A partir du moment que le taux de CO² permet de chauffer suffisamment l'atmosphère de sorte a commencer a faire sérieusement évaporer l'eau :  Le seuil s'emballe tout seul et ta t° moyenne a de forte chance de brutalement gagner 15°c (une hausse énorme) voir 20°c ...

 

   Mais il peut y avoir  un emballement inverse : Une glaciation suffisamment froide pour briser le cycle d'évaporation et figer intégralement l'eau au sol en glace ou seul une remontée du CO² pourrait briser a nouveau ...

 

 

   Au niveau de la géologie terrestre, on sait par exemple qu'au cours des 2 premiers milliards d'années de son histoire, la Terre a eu 2 épisodes de glaciation si majeure et profonde qu'elle a failli devenir boule de glace définitive sans possibilité de revenir a des océans liquides ... Mais comme la Terre avait un système de tectonique des plaques récents et intenses en activité : C'est un épisode volcanique majeur libérateur de grande masse de CO² qui ont provoqué le retour a un climat pouvant dégeler l'eau en surface (et avec effet d'emballement)

Modifié par alpacks
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On peut philosopher tant qu'on veut sur l'effet de serre engendré par le CO2 sur Terre même si l'eau qui est un gaz à effet de serre bien plus puissant est présente en quantité 25 fois plus importante (0.04% contre ~1%)... mais on oublie toujours le paramètre qui fait toute la différence: la quantité totale d'atmosphère!

 

Ce qui fait l'effet de serre, c'est avant toute chose la pression atmosphérique.

 

Pour s'en convaincre, il suffit de regarder Mars avec ses 98% de CO2 où on se gèle pourtant les couilles à cause d'une pression atmosphérique qui ne représente qu'un centième de celle de la Terre. Autre contre exemple, le couches basses de l'atmosphère de Jupiter qui atteignent plusieurs milliers de degrés Celsius malgré son éloignement du Soleil.

 

Il serait stupide d'essayer d'appliquer les règles très fines qu'on croit connaitre du système terrestre... à une exoplanète dont on connait vaguement la composition en terme de proportions (donné par la couleur du spectre lumineux) sans rien savoir de cette atmosphère en valeur absolue.

 

Les annonces du type de celle faite à propos du dernier système Kepler (l'illustration notamment) sont du grand spectacle à destination des foules et des bailleurs de fonds. M'enfin, il n'est pas interdit de rêver non plus.

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