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Ca allait bien jusqu'au dernier paragraphe. Le coup des gens qu'on chasse de chez eux et qui sont contents.

Donc, ça altère tout ton texte. Navré. Très clairement, on est ici dans de la propagande.

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Le 25/05/2019 à 12:07, Jésus a dit :

Ou à Paris? Ou d'aller voir la réplique miniature de Paris en Chine?

La Chine depuis des années détruit et rase son patrimoine historique pour y construire des usines, des grattes-ciel, mais dans le même temps cherche à acquérir le patrimoine historique des autres.

Cette Chine se meurt dans une course à vouloir faire et être comme les autres, dans une course ou il n'y a que l'économie et le fric par tous les moyens qui compte avec un système politique qui ne veut pas d'oppositions à son pouvoir. On a bien du mal à voir une identité et une culture chinoise, il n'y a que du made in china de produits occidentaux ou inspirés des produits occidentaux en faisant croire que ce serait chinois.

Le grand malheur de cette Chine, c'est qu'elle n'offre pas un modèle alternatif, elle n'exporte ni des valeurs ni une culture, elle ne rayonne pas la Chine, il n'y a que le fric qui dirige tout et qui fait tout! Les chinois quand ils ont de l'argent viennent rêver en Europe devant notre Histoire (chez eux il n'y a plus rien du passé à part la grande muraille et quelques bâtiments symboliques, c'est quoi le centre ville "historique" de leurs grandes villes?) et notre héritage, rêvent de s'acheter des produits de luxes par ce que pour eux c'est une manière de nous ressembler dans ce qu'il y a de mieux, rêvent de s'acheter une belle berline allemande ou un truc qui s'en approche et vont se faire débrider les yeux en portant un beau costard bien occidental.

Quand on voit le parti au pouvoir revendiquer des terres "historiques" appartenant à la Chine, désolé mais je m'interroge, comment un pouvoir efface à ce point le patrimoine historique de son pays ou seul la misère et les oubliés de la campagne semblent encore vouloir rappeler une Chine un peu "différente", moi j'ai un peu des doutes. Les eaux polluées un peu partout car on privilégie l'entreprise qui produit des jeans à la nature...

Mais ce constat n'est pas propre à la Chine, il peut se voir en Corée ou au Japon, il commence aussi par s'étendre en Asie du Sud-Est, en Inde, faire du fric, produire pour vendre, on oublie le reste.

Moi je suis content qu'en France, dans chaque village vous y trouverez une Histoire à chaque coin de rue et il n'y a pas un état qui va venir du jour au lendemain vous expulser pour raser tout le quartier par ce qu'il a été jugé économiquement plus profitable d'y construire une route. C'est d'ailleurs ce droit à la propriété qui permet chez nous, de maintenir l'ancien, de l'entretenir, de le rénover, mais aussi à toutes ces règles d'urbanismes qui parfois emmerdent des promoteurs immobiliers mais qui imposent de garder un style "ancien", qui impose de ne pas dépasser une certaine hauteur, d'avoir des volets battants, fenêtres en bois, des couleurs uniformes etc...

La richesse d'un peuple et d'une nation, c'est cela, c'est cela qui rend notre France belle, diversifiée. Tâchons nous de réparer l'erreur des grands blocs HLM d'il y a quelques années, folies dans laquelle la Chine et d'autres sont tombés en plein dedans, ils en payeront eux aussi le prix un jour. Tâchons aussi d'éradiquer la pollution de nos eaux et de nos terres en plus de l'air, on aura un beau pays qu'on devra préserver d'un scénario à la Chinoise (mais pas que eux) même si à côté on n'a pas une croissance économique de folie.

 

 

Maintenant que vous avez déversé votre haine de la Chine et de son orientation... capitaliste... , on peut peut-être revenir à plus de raison.

Ce qu’ont fait les chinois ces 15 à 20 dernières années, raser les Hutong, majoritairement, répond autant à une démarche économique qu’à une volonté sanitaire.
Bizarrement, c’est exactement ce qu’a fait Haussmann en son temps à Paris, et personne aujourd’hui n’aurait l’idée de critiquer cette démarche. Mais comme c’était au début du 20ième Siècle, forcément, on est plus devant le fait accompli que dans l’évènement en train de se dérouler.

Bref, à Beijing par exemple, il a été décidé d’écraser la majorité des quartiers traditionnels Hutong et de n’en conserver qu’un seul (de mémoire), qui lui a été équipé de tout à l’égout et d’électricité, ce que n’avaient pas forcément les autres.

On parle évidemment de la capitale, donc la démarche est logique, tout comme le développement économique centré autour de grandes avenues - pour l’automobile - et les gratte-ciels ainsi que les centres commerciaux de luxe. Toutes choses qui ont été faites exactement à l’identique dans tout l’occident, mais également au Moyen-Orient, dans le reste de l’Orient et en Amérique. Nord ou Sud, même combat.
Bref là-dessus, ils ne font que suivre la tendance des investisseurs et de la demande, largement mondialisée.

Les gratte-ciel n’existaient pas plus dans le patrimoine architectural français, et pourtant vous ne souhaitez pas remettre en cause le quartier de la Défense ?

Parallèlement, en province, de même que l’on a Troyes qui a conservé un vieux quartier traditionnel réhabilité, les Hutong restent visibles ailleurs, tout comme les anciennes bâtisses et les petits villages.

 

Mais effectivement, la grande majorité des constructions sont en bois, ce qui ne facilite pas la tenue dans le temps, au contraire de nos châteaux-forts et cathédrales.

En Norvège, quand Oslo fut détruite par un incendie en 1600 et quelques, le roi danois accepta de payer sa reconstruction à la condition express que les bâtiments officiels soient en pierre. Aurait-on l’idée aujourd’hui de critiquer la Norvège pour n’avoir pas su conserver son patrimoine historique au coeur d’Oslo ?

La Chine n’a pas suivi cette voie et l’entretien de leur patrimoine reste un problème. Et de même qu’en France certains sites sont privilégiés par rapport à d’autres, il se passe la même chose en Chine.

 

En ce qui concerne le rayonnement culturel, d’abord il faut bien comprendre qu’ils sont 1 milliard 300 mille (on est 65 millions en France, pour rappel...), donc la perception du rayonnement et du besoin de rayonnement ne sont pas tout à fait les mêmes, ensuite leur « industrie artistique » est surtout tournée vers l'intérieur, qui est un marché bien suffisant en soi.

Est-ce qu’ils ont vocation à affronter Hollywood ? Ils y viennent petit a petit, leur puissance se développant en ce sens. Est-ce souhaitable ?

Au-delà de cette apparente faiblesse, que l’on parle de calligraphie, de musique, d’arts martiaux, de spiritualité (s), de la mythologie, des arts de la table, de l'artisanat (soieries, laques, forges, broderies, bronzes, verrerie, céramique) ou bien encore de la santé, il n’y a là aucune partie de leur patrimoine qui est négligée voire rejetée, et encore moins profondément influencée par l’occident.

Au contraire même, puisque le Japon, la Corée et le Vietnam notamment s’en sont largement inspirés historiquement. Et je ne parle même pas de la diffusion des arts martiaux, du fen shui ou de l’acupuncture et de tant d’autres éléments de la culture chinoise, largement adoptés partout dans le monde.

Bref, il est bien certain que culturellement, elle ne rayonne pas...

Peut-être que le rayonnement en question est trop subtil, qu’en-dehors du modèle rouleau-compresseur des USA, il n’y a pas d’autre voie.

Ceci étant, avec La Ceinture et le Route, la Chine est en train de se doter d’un puissant outil de diffusion culturelle (aussi, même si ce n’est pas là forcément un des objectifs premiers).

 

Maintenant, économiquement, effectivement, les chinois comme tout le monde pensent d’abord et avant tout à l’argent, à avoir une grosse voiture, à avoir de beaux vêtements, à bien vivre et à bien dépenser, si possible dans le luxe. Reprocher cela aux chinois et ne pas le faire pour les français, les russes, les qataris, les américains ou bien les australiens, ce n’est pas un peu absurde ? Parce que même dans le village paumé du fin fond de la Lozère ou près de N’Djamena, c’est exactement pareil, pour rappel.

Et de la même manière qu’en France il n’y a pas 65 millions de personnes qui ne pensent qu’à courir après le fric, il n’y en a pas 1 milliard 300 mille en Chine.

 

En fait, vous dénoncez simplement ce que tous les pays occidentaux ont fait à un moment ou un autre de leur histoire. Il se trouve que la Chine y vient plus tardivement, mais ce n’est que le simple mouvement d’évolution de nos sociétés actuelles. Et ils doivent en passer par là avant de s’inscrire dans le mouvement suivant, sauf qu’ils doivent le faire en mode accéléré.

Quand à nous, nous y végétons depuis trop longtemps, mais c’est tellement plus facile de dénoncer ceux qui nous rejoignent plutôt que notre propre immobilisme.

 

Quant à cette réflexion « Qui rêvent vraiment d'aller en voyage en Chine? On y va pour faire des affaires, rarement pour y voyager. », je vous la laisse. Vous pouvez être sectaire ou avoir des œillères ou ne pas aimer ce pays, mais ne présagez pas de ce que pensent les autres.

La Chine en 2030 devrait devenir la 1ère destination touristique au monde. Chose peu surprenante étant donnés sa surface et ses atouts, même si ce sont surtout les classes moyennes asiatiques qui représentent encore le gros des touristes.

A titre personnel, j’y suis allé pour du tourisme, et j’ai fait en sorte d’y retourner même si c’était pour une courte escale. La Chine comme n’importe quel autre pays a des singularités qui méritent d’être découvertes, approfondies, vécues.

Certes, on n’y voit pas un village traditionnel français, mais est-ce pour se retrouver chez soi que l’on visite un autre pays, ou bien est-ce justement parce que culturellement, un autre pays a tellement à nous apprendre qu’il faut s’y rendre ?

 

J’ai fait mon choix il y a longtemps. Aucun pays n’est parfait, la France en est même assez loin par certains aspects, et tous les autres pays et autres cultures méritent d’être découverts. Sans a priori, et surtout en essayant de laisser derrière notre carcan culturel.

Modifié par TarpTent
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il y a 28 minutes, Ciders a dit :

Ca allait bien jusqu'au dernier paragraphe. Le coup des gens qu'on chasse de chez eux et qui sont contents.

Donc, ça altère tout ton texte. Navré. Très clairement, on est ici dans de la propagande.

Moi je dis ce que je vois autour de moi et c'est sans appel. Après si tu as connu personnellement dans ton entourage des situations qui ont pas été malheureuse, je suis tout ouïe.
De mon coté, il y a la tante de ma femme en Chine qui a eu un cas de démolition de son appartement il y a 1 ans ou 2 ans à Tianjin. Le couple a récupéré 2.5 millions  de yuan ( je connais pas la valeur de leur logement ) et un appartement 30% moins chère du prix de marché.

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il y a 38 minutes, Ciders a dit :

Ca allait bien jusqu'au dernier paragraphe. Le coup des gens qu'on chasse de chez eux et qui sont contents.

Donc, ça altère tout ton texte. Navré. Très clairement, on est ici dans de la propagande.

Oui et non. A Pékin, quand ils ont rasé les hutong pour construire des immeubles assainis, le montant donné à chaque famille expulsée était de 10 000 francs, de mémoire (bon, ça date un peu quand même).

La plupart n’avait pas les moyens de se reloger au même endroit, pour ce que j’en ai entendu dire, mais par contre pouvait se loger bien plus décemment en banlieue par rapport à leur ancien lieu de vie, avec l’hygiène en plus.

On a toujours en Occident cette impression que la Chine traite les chinois comme des chiens. Ce n’est pas le cas. Ils ne sont pas tous jetés à la rue par un pouvoir despotique quand celui-ci décide de refondre un quartier. Après, ils ne sont pas non plus relogés dans du 5 étoiles avec vue sur Louis Vuitton, pas plus que ça ne se ferait en France. (Parce que pour rappel, en France, on peut expulser des gens de leur baraque et écraser celle-ci pour construire une route, sans pour autant qu’ils soient dédommagés du prix réel de la baraque. Je dis ça...)

Modifié par TarpTent
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il y a 12 minutes, TarpTent a dit :

Oui et non. A Pékin, quand ils ont rasé les hutong pour construire des immeubles assainis, le montant donné à chaque famille expulsée était de 10 000 francs, de mémoire (bon, ça date un peu quand même).

La plupart n’avait pas les moyens de se reloger au même endroit, pour ce que j’en ai entendu dire, mais par contre pouvait se loger bien plus décemment en banlieue par rapport à leur ancien lieu de vie, avec l’hygiène en plus.

On a toujours en Occident cette impression que la Chine traite les chinois comme des chiens. Ce n’est pas le cas. Ils ne sont pas tous jetés à la rue par un pouvoir despotique quand celui-ci décide de refondre un quartier. Après, ils ne sont pas non plus relogés dans du 5 étoiles avec vue sur Louis Vuitton, pas plus que ça ne se ferait en France. (Parce que pour rappel, en France, on peut expulser des gens de leur baraque et écraser celle-ci pour construire une route, sans pour autant qu’ils soient dédommagés du prix réel de la baraque. Je dis ça...)

Je serai très curieux de savoir vers quel période est ce que ça s'était produit. De nos jours, avec 10 000 yuan, on ne peut même pas acheter 1/5 m2 à pékin.

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Il y a 2 heures, TarpTent a dit :

En fait, vous dénoncez simplement ce que tous les pays occidentaux ont fait à un moment ou un autre de leur histoire. Il se trouve que la Chine y vient plus tardivement, mais ce n’est que le simple mouvement d’évolution de nos sociétés actuelles. Et ils doivent en passer par là avant de s’inscrire dans le mouvement suivant, sauf qu’ils doivent le faire en mode accéléré.

Certes, on n’y voit pas un village traditionnel français, mais est-ce pour se retrouver chez soi que l’on visite un autre pays, ou bien est-ce justement parce que culturellement, un autre pays a tellement à nous apprendre qu’il faut s’y rendre ?

Paris a été complètement bouleversé avec les travaux d'Haussmann, et s'il reste quelques vestiges préhaussmaniens (le Marais, Montmartre), ils sont devenus l'exception plutôt que la règle.

Il y a en Chine tout plein de villages traditionnels, dont certains qui sont inscrits sur les guides touristisques. La page suivante en propose 6 autour de Pékin : https://www.chinahighlights.com/beijing/article-ancient-villages.htm

 

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Le PDG de Huawei interviewé par Bloomberg

Billionaire Huawei Founder Defiant in Face of Existential Threat

Citation

Bloomberg News

May 27, 2019, 6:00 AM GMT+8

Huawei Technologies Co. founder Ren Zhengfei struck a defiant tone in the face of U.S. sanctions that threaten his company’s very survival.

In an interview with Bloomberg Television, the billionaire founder of China’s largest technology company conceded that Trump administration export curbs will cut into a two-year lead Huawei had painstakingly built over rivals like Ericsson AB and Nokia Oyj. But the company will either ramp up its own chip supply or find alternatives to keep its edge in smartphones and 5G.

The U.S. on May 17 blacklisted Huawei -- which it accuses of aiding Beijing in espionage -- and cut it off from the U.S. software and components it needs to make its products. The ban hamstrings the world’s largest provider of networking gear and No. 2 smartphone vendor, just as it was preparing to vault to the forefront of global technology. It’s rocking chipmakers from America to Europe as the global supply chain comes under threat. The ban could also disrupt the rollout of 5G wireless globally, undermining a standard that’s touted as the foundation of everything from autonomous cars to robot surgery.

Ren maintained Huawei had the capability to devise its own solutions -- given time. It’s been designing its own chips for years, which it now uses in many of its own smartphones. It’s even developing its own operating software to run phones and servers. The CEO however deflected questions about how quickly Huawei can ramp up those internal replacement endeavors. Failure could dent the fast-growing consumer business and even kill emergent efforts such as cloud servers.

“That depends on how fast our repairmen are able to fix the plane,” said Ren, who appeared at ease in a white jacket over a pink shirt, making light of questions about his company’s plight. “No matter what materials they use, be it metal, cloth or paper, the aim is to keep the plane in the sky.”

Ren has gone from recluse to media maven in the span of months as he fights to save the $100 billion company he founded. The 74-year-old billionaire emerged from virtual seclusion after the arrest of eldest daughter and Chief Financial Officer Meng Wanzhou as part of a broader probe of Huawei. He’s since become a central figure in a U.S.-Chinese conflict that’s potentially the most important episode to shape world affairs since the collapse of the Soviet Union. As Ren said in January, when the world’s biggest economies battle for dominion, nothing in their way will survive. His company is a “sesame seed” between twin great powers, he said.

“This may bring one of China’s national champions to its knees,’’ said Chris Lane, an analyst at Sanford C. Bernstein & Co. “If China shut down all the Apple plants, the U.S. would get very upset. This is a similar kind of move.”

Ren has had much to deal with of late. His company finds itself increasingly under fire, besieged by a U.S. effort to get key allies to ban its equipment. The U.S. assault helped crystallize fears about Huawei’s growing clout in areas from wireless infrastructure and semiconductors to consumer gadgets.

Then came the blacklist. Huawei appears to have anticipated this possibility since at least mid-2018, when similar sanctions threatened to sink rival ZTE Corp. Huawei’s said to have stockpiled enough chips and other vital components to keep its business running at least three months.

“We have made some really good chips,” said Ren, a legendary figure in his home country thanks to the way he built Huawei from scratch into a global powerhouse. “Being able to grow in the toughest battle environment, that just reflects how great we are.”

Last week, Trump said Huawei could become part of a U.S-Chinese trade deal, stirring speculation it was a bargaining chip in sensitive negotiations. But Ren said he wasn’t a politician. “It’s a big joke,” he scoffed. “How are we related to China-U.S. trade?”

If Trump calls, “I will ignore him, then to whom can he negotiate with? If he calls me, I may not answer. But he doesn’t have my number.”

In fact, Ren pulled no punches in going after a man he labeled “a great president” just months prior. “I see his tweets and think it’s laughable because they’re self-contradictory,” he quipped. “How did he become a master of the art of the deal?”

Beijing itself isn’t without options. Some speculate China might retaliate against the ban of Huawei -- which may widen to include some of its most promising AI firms -- by in turn barring America’s largest corporations from its own markets. Apple Inc. could relinquish nearly a third of its profit if China banned its products, Goldman Sachs analysts estimate.

Ren said he would object to any such move against his American rival.

“That will not happen, first of all. And second of all, if that happens, I’ll be the first to protest,” Ren said in the interview. “Apple is my teacher, it’s in the lead. As a student, why go against my teacher? Never.”

At the heart of Trump’s campaign is suspicion that Huawei aids Beijing in espionage while spearheading China’s ambitions to become a technology superpower. It’s been accused for years of stealing intellectual property in lawsuits filed by American companies from Cisco Systems Inc. and Motorola Inc. to T-Mobile US Inc. Critics say such theft helped Huawei vault into the upper echelons of technology -- but Ren laughed off that premise.

“I stole the American technologies from tomorrow. The U.S. doesn’t even have those technologies,” he said. “We are ahead of the U.S. If we were behind, there would be no need for Trump to strenuously attack us.”

Ren’s easy demeanor belies the way he’s consistently shunned attention. The army engineer-turned-entrepreneur has this year turned in a command performance in the public spotlight, particularly for someone who’s rarely spoken to foreign media since he created Huawei. The re-emergence of the reclusive CEO -- who before January last spoke with foreign media in 2015 -- underscores the depth of the attacks on Huawei, the largest symbol of China’s growing technological might. Ren again waved off speculation his company is in any way beholden to the Communist Party, though he’s declared his loyalty ultimately lies with the country’s ruling body.

U.S. lawmakers aren’t convinced. That’s why the U.S. Commerce Department cut off the flow of American technology -- from chips to software and everything in-between.

An iconic figure in Chinese business circles, the billionaire remains a uniquely placed voice in a conflict that will help define the global landscape. Ren, who says he survived the chaos of the Cultural Revolution thanks in part to his much sought-after expertise in high-precision tools, remains a big believer that Huawei’s technology will win the day.

His company today generates more sales than internet giants Alibaba Group Holding Ltd. and Tencent Holdings Ltd. combined. In 2018, Huawei overtook Apple in smartphone sales, a triumph that burnished his tech credentials. His quotes adorn the walls of the food court at Huawei’s sprawling campus on the outskirts of the southern metropolis of Shenzhen, and employees still speak of him in reverent tones. The company’s 2018 report shows he has a 1.14% stake, giving him a net worth of $2 billion, according to the Bloomberg Billionaires Index.

Ren, who survived Mao Zedong’s great famine to found Huawei in 1987 with 21,000 yuan, said Huawei will do whatever it takes to survive. It will ignore the noise while doing its business the best it can. Meanwhile, the pressure is bound to take a toll. At one point during the interview, Ren’s unflappable demeanor cracked -- if only for a minute.

“The U.S. has never bought products from us,” he said, bristling. “Even if the U.S. wants to buy our products in the future, I may not sell to them. There’s no need for a negotiation.”

Henri K.

il y a 30 minutes, rendbo a dit :

je n'arrive pas à trouver la chanson complète avec sous titre...

@Henri K. un peu d'aide ?

Désolé, je ne regarde jamais SCMP, et ce genre de choses ne m'intéresse pas non plus.

Henri K.

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https://www.scmp.com/tech/big-tech/article/3011700/tech-cold-war-how-trumps-assault-huawei-forcing-world-contemplate (26 mai 2019)

Une grande partie de l'establishment politique américain - comprenant à la fois des républicains et des démocrates de premier plan - croit maintenant qu'il est temps de réduire la taille de Huawei. En supprimant l'accès de l'entreprise chinoise à la technologie américaine critique comme le système d'exploitation Android de Google et une variété de puces américaines, les États-Unis peuvent arrêter l'expansion de Huawei à l'étranger et en même temps contrôler l'essor technologique rapide de la Chine.

Le blocus commercial de ZTE par les États-Unis l'an dernier, qui a mis à genoux le fabricant chinois de matériel de télécommunications, et les attaques actuelles contre son grand rival Huawei ne sont que les premiers coups dans une vaste guerre technologique que le gouvernement actuel est déterminé à mener, même si les deux pays en viennent à un armistice sur ce litige, selon des sources bien informées quant à la pensée politique américaine.

Même les logiciels nécessaires à la conception des puces sont actuellement monopolisés par les entreprises américaines. La Chine s'appuie en grande partie sur les logiciels d'automatisation de la conception électronique (EDA) des leaders du marché comme Cadence et Synopsys - deux sociétés américaines.

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il y a 12 minutes, Wallaby a dit :

https://www.scmp.com/tech/big-tech/article/3011700/tech-cold-war-how-trumps-assault-huawei-forcing-world-contemplate (26 mai 2019)

Une grande partie de l'establishment politique américain - comprenant à la fois des républicains et des démocrates de premier plan - croit maintenant qu'il est temps de réduire la taille de Huawei. En supprimant l'accès de l'entreprise chinoise à la technologie américaine critique comme le système d'exploitation Android de Google et une variété de puces américaines, les États-Unis peuvent arrêter l'expansion de Huawei à l'étranger et en même temps contrôler l'essor technologique rapide de la Chine.

Le blocus commercial de ZTE par les États-Unis l'an dernier, qui a mis à genoux le fabricant chinois de matériel de télécommunications, et les attaques actuelles contre son grand rival Huawei ne sont que les premiers coups dans une vaste guerre technologique que le gouvernement actuel est déterminé à mener, même si les deux pays en viennent à un armistice sur ce litige, selon des sources bien informées quant à la pensée politique américaine.

Même les logiciels nécessaires à la conception des puces sont actuellement monopolisés par les entreprises américaines. La Chine s'appuie en grande partie sur les logiciels d'automatisation de la conception électronique (EDA) des leaders du marché comme Cadence et Synopsys - deux sociétés américaines.

Tout comme Alstom avant lui, "le piège américain"...

Henri K.

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Il y a 2 heures, Henri K. a dit :

Tout comme Alstom avant lui, "le piège américain"...

Henri K.

et Bayer

Pour ces raisons mais aussi bien d'autres... il y a lieu pour l'UE de ne pas être un beni oui oui de Trump mais de prendre ses distances avec cet ancien ordre mondial.  C'est une nécessité vitale pour les européens.

Modifié par Lezard-vert
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Dommage que l'on s'en rende compte avec 40 ans de retard. Cela va être difficile de couper les très nombreuses tentacules de l'oncle Sam agrippés à l'Europe.

Pour les Chinois, cela ne va juste que les motiver à accélérer le mouvement pour essayer de supprimer leur dernières dépendances à la technologie américaine et leurs alliés. Nous sommes rentré dans le vif du sujet de cette seconde guerre froide et les USA mettront tout en œuvre pour garantir leur domination.

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https://www.scmp.com/news/china/diplomacy/article/3012049/was-moment-us-china-trade-talks-fell-apart (28 mai 2019)

Deux sources chinoises distinctes ont déclaré au South China Morning Post que les pourparlers avaient été interrompus parce que la partie américaine " n'a cessé d'ajouter de nouvelles exigences aux derniers stades des négociations ". Ils ont déclaré que " certaines d'entre elles affecteraient directement la stabilité politique et sociale de la Chine ". Pékin était particulièrement irrité par les droits de douane supplémentaires et par ce qu'il considérait comme la tentative des États-Unis de rejeter la faute sur la Chine.

"La vraie raison est que la partie américaine ne cesse de changer ses exigences, a déclaré une source. "Il y a eu tellement de changements que nous ne pouvons pas[continuer à céder]. Puis ils se sont retournés et nous ont accusés de faire marche arrière."

Il a également révélé certains des principaux points sur lesquels les deux parties n'étaient pas d'accord.
Par exemple, Washington a exigé de la Chine qu'elle " ouvre complètement son Internet "et assouplisse ses contrôles qui obligent les entreprises étrangères de cloud computing à stocker toutes leurs données en Chine.

"La Chine ne peut accepter d'ouvrir sélectivement que certaines zones. Un Internet complètement ouvert est impossible", a déclaré la source.

Un autre point litigieux a été la quantité de produits américains que la Chine doit acheter chaque année. "Les États-Unis veulent que la Chine augmente ses importations de produits américains de 100 milliards de dollars par an ", a déclaré la source. "C'est difficile d'y arriver tout de suite."

Étant donné que Washington a maintenu une interdiction étendue des exportations de haute technologie vers la Chine, le choix d'importations pour Pékin serait limité, outre les produits agricoles et le gaz naturel liquéfié.

Les deux parties n'ont pas non plus pu s'entendre sur la question de la manipulation monétaire. Bien que Pékin accepte le principe selon lequel il ne devrait pas utiliser la dépréciation de la monnaie pour obtenir des avantages commerciaux, il souhaite plus de flexibilité et de contrôle pour assurer la stabilité de son système financier. Les Etats-Unis, cependant, voulaient un système rigide qui laisse peu de marge de manœuvre. La source n'a pas donné d'autres précisions.

Plus important encore, les négociateurs américains ont exigé la mise en place d'un mécanisme de suivi,  et qu'il soit stipulé dans l'accord final que les États-Unis pourraient imposer des droits de douane sur les produits chinois s'ils n'étaient pas satisfaits de cette évolution. Certaines lois chinoises devaient également être réécrites pour tenir compte des exigences américaines.

"Ces choses sont inacceptables pour les Chinois ", a déclaré la source, ajoutant que le manque de confiance des États-Unis à l'égard de Pékin constituait un problème central.

"Pour parvenir à un accord, les deux parties doivent être en mesure de voir les choses du point de vue de l'autre partie ", a déclaré la source. "Les Américains doivent comprendre qu'il faudra du temps à la Chine pour mettre en œuvre ces changements. S'ils refusent de l'accepter et exigent des changements immédiats, alors nous ne pouvons pas continuer."

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Il y a 5 heures, Wallaby a dit :

"Ces choses sont inacceptables pour les Chinois ", a déclaré la source

Tu m'étonnes, à ce niveau là si l'article dit vrai, on tient plus des exigences après une capitulation (voire d'un diktat) que d'un "accord", surtout si ledit accord n'est que commercial...

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Il y a 3 heures, Arland a dit :

Surtout un genre d'exigences qui ont pour unique but de s'assurer qu'il n'y aura pas d'accord et balancer la faute sur l'autre, aussi fin que du Trump.

Ils savent y faire... suffit de voir les ultimatums adressés à la Serbie et à l'Irak il y a 20 ans de ça. 

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https://www.scmp.com/economy/china-economy/article/3012289/china-asks-state-media-pick-battles-carefully-long-us-trade (29 mai 2019)

La Chine espère faire appel à des voix potentiellement sympathiques dans le camp d'en face de la guerre commerciale en demandant à ses représentants gouvernementaux et aux médias d'État d'éviter d'être trop critiques et souvent inutilement critiques envers les États-Unis et leurs principaux acteurs.

Une deuxième source, qui travaille comme cadre dans une entreprise d'État, a déclaré que la réaction de Pékin à la récente escalade des tensions commerciales aux États-Unis reste "limitée" malgré une vague de commentaires nationalistes dans les médias publics chinois.

"Au moins, il n'y a personne qui crie des slogans devant l'ambassade des États-Unis ou qui essaie de casser les vitrines des magasins américains en Chine", a déclaré le dirigeant de l'entreprise publique.

En mai 1999, des citoyens chinois en colère ont crié des slogans anti-américains et lancé des pierres sur l'ambassade des États-Unis à Beijing après que des avions de l'OTAN eurent bombardé l'ambassade de Chine à Belgrade, dans l'ex-Yougoslavie, tuant trois journalistes chinois et blessant des dizaines d'autres.

Et le gouvernement chinois et les médias officiels ont continué d'éviter d'attaquer personnellement le président américain Trump malgré le mécontentement croissant à l'égard des politiques de son administration, dans l'espoir de laisser la porte ouverte à une réduction des tensions commerciales.

 

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https://www.cnbc.com/2019/05/29/dont-say-we-didnt-warn-you---a-phrase-from-china-signals-the-trade-war-could-get-even-worse.html (29 mai 2019)

Nous conseillons à la partie américaine de ne pas sous-estimer la capacité de la partie chinoise à sauvegarder ses droits et intérêts en matière de développement. Ne dites pas qu'on ne vous a pas prévenu", disait le Quotidien du Peuple dans un commentaire intitulé "Les Etats-Unis, ne sous-estimez pas la capacité de la Chine à riposter."

L'expression " Ne dites pas que nous ne vous avons pas prévenus " a été utilisée par le Quotidien du Peuple en 1962 avant la guerre frontalière de la Chine avec l'Inde et avant la guerre Chine-Vietnam de 1979.

https://www.scmp.com/week-asia/opinion/article/3011741/chinas-wrong-us-can-kill-huawei-heres-why-it-wont (27 mai 2019)

La semaine dernière, les médias continentaux étaient pleins de rhétorique nationaliste stridente sur la façon dont Huawei peut prospérer en dépit de l'interdiction américaine et de la manière dont la Chine va développer des substituts indigènes aux technologies américaines à son propre avantage économique. Aucune de ces affirmations ne résiste à l'examen.

À la fin des années 1990 et au début des années 2000, le gouvernement chinois a poursuivi un programme d'"innovation indigène" pour concevoir et fabriquer ses propres puces, investissant des milliards dans des entreprises comme Grace Semiconductor, dirigée par rien moins que Jiang Mianheng, le fils du président chinois Jiang Zemin.

Cependant, même des ressources inépuisables et un soutien politique au plus haut niveau n'ont pas réussi à faire de Grace un succès, qui a depuis été fusionnée avec une entreprise concurrente tout aussi peu enthousiasmante.

Les tentatives visant à former des champions nationaux de la puce basés sur des technologies étrangères ont également connu des difficultés. La puce mémoire DRAM Fujian Jinhua s'est effondrée l'année dernière après avoir été frappée par les contrôles à l'exportation américains à la suite d'allégations selon lesquelles elle aurait conspiré pour voler les conceptions du géant américain de la puce Micron.

Et plus de 12 ans après sa création pour produire des puces mémoire NAND, le concurrent potentiel de Samsung, Yangtze Memory Technologies, reste au moins cinq ans derrière le géant coréen. Les sceptiques disent que les patrons de la société chinoise ont fait plus de progrès dans le développement immobilier que dans la fabrication de puces.

La Chine n'a pas eu plus de succès dans le développement de logiciels. Après près de 20 ans d'efforts soutenus par l'État, la Chine n'a pas encore mis au point un système d'exploitation national pour les ordinateurs personnels capable de défier Microsoft Windows. Sa meilleure tentative à ce jour ressemble beaucoup à Windows XP, que Microsoft a abandonné il y a plus de 10 ans.

Et malgré de fréquentes déclarations audacieuses au cours de la dernière décennie, le succès dans la construction d'un système d'exploitation smartphone s'est avéré tout aussi insaisissable.

À long terme, le mieux que la Chine pourrait faire en poursuivant une telle politique serait de s'isoler sur le plan technologique. Elle pourrait créer un bloc de pays alliés en utilisant ses systèmes, ses normes et ses logiciels. Mais coupés du reste du monde, les pays de ce bloc resteraient pour toujours le parent pauvre de la technologie - à un coût d'opportunité énorme pour leur développement économique.

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il y a 53 minutes, Wallaby a dit :

À la fin des années 1990 et au début des années 2000, le gouvernement chinois a poursuivi un programme d'"innovation indigène" pour concevoir et fabriquer ses propres puces, investissant des milliards dans des entreprises comme Grace Semiconductor, dirigée par rien moins que Jiang Mianheng, le fils du président chinois Jiang Zemin.

En même temps, le niveau technologique chinois était proche d'un pays d'afrique dans les années 90. Développer des puces à ce moment la était perdu d'avance quand intel de son coté sortait des cpu qui doublait de puissance tous les 18 mois, sans compter la corruption galopante de la Chine sous la présidence de Jiang Zemin. 

Je pense qu'il ne faut pas sous estimer le progrès que la Chine est capable de faire dans ces domaines. Je rappel quand même qu'il y a énormément d'ingénieur dans les boites américaines qui sont d'origine chinoise. Nvidia a été fondé par deux américains dont l'un est d'origine taïwanais. Taiwan, c'est exactement la même culture et le même peuple que la Chine continentale.
TSMC qui est le leader technologique des fondeurs de puces actuel a été fondé par monsieur ZHANG, un américain d'origine chinois. 

De même, la Chine est déjà devant les américains dans certain secteur dont notamment les drones Dji, les systèmes de reconnaissance faciale, l'IA, donnée quantique, le 5G etc. 
Il faut aussi se dire que la domination technologique des américains qui pose problème à huawei n'est pas vraiment technologique. Les application facebook, youtube, gmail, playstore ou encore google map ne sont pas techniquement difficile à concevoir. C'est juste la diffusion, très large, de ces applications qui posent problème à la concurrence. 
Mais il ne faut pas oublier que 80% des téléphones qui sont vendu aujourd'hui dans le monde, sont fabriqué en Chine. Moi si j'étais le patron d'une société de la téléphonie chinoise, je serai sérieusement inquiet de me faire ajouter sur la liste par Trump.
Il y a la une véritable carte à jouer car si tous les acteurs chinois de la téléphonie décident de soutenir une application chinoise à l'international en y implantant une application comme wechat par exemple sans même enlever les applications américaines, cela poserai un sérieux problème à facebook.

il y a une heure, Wallaby a dit :

La semaine dernière, les médias continentaux étaient pleins de rhétorique nationaliste stridente sur la façon dont Huawei peut prospérer en dépit de l'interdiction américaine et de la manière dont la À long terme, le mieux que la Chine pourrait faire en poursuivant une telle politique serait de s'isoler sur le plan technologique. Elle pourrait créer un bloc de pays alliés en utilisant ses systèmes, ses normes et ses logiciels. Mais coupés du reste du monde, les pays de ce bloc resteraient pour toujours le parent pauvre de la technologie - à un coût d'opportunité énorme pour leur développement économique.

Il y a assez de levier entre les mains des chinois pour ne plus se contenter de se faire dicter par les américains s'il y a une politique cohérente qui est mener.

 

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