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En effet, on ne sait même pas la date au millénaire près de la prochaine glaciation.

  Tout comme il me semble que les inconnues autour des tampons macro-thermiques océaniques dont les effets sur le retardement ou l'avancement d'un changement naturel du climat me semble sont très mal connus et maitrisés ce qui laisse quand même a penser que simuler sur calculateur du climat sur xxxx(x) années c'est potentiellement prendre des exemples pas très malins, enfin science et com' politique ont rarement fait bon ménage

  Il aurait été par exemple plus judicieux de parler de résolution entre les 2 générations de calculateurs sur de la modélisation de l'accretion d'un système stellaire comme le notre sur le tourbillonnement/effondrement du gaz ... Ces simulations se faisant généralement par le suivi de xx millions d'objets représentant la matière gazeuse fluide :  plus on a un calculateur puissant, plus on peut gérer d'objets = changement net de résolution et donc de précision de la modèlisation sur calculateur

  (ou par exemple fusions de galaxies ou idem on les représente par X milliers d'objets représentant les masses stellaires majeures (amas) et le gaz, et avec ou sans matière noire et zou ... A ceci près que souvent on triche sur ces exemples la, car l'observation astronomiques permet de connaitre par plusieurs images réelles de galaxies différentes quelles sont les étapes ... Ce qui implique tricherie  un peu sur les calculateurs : On essai simplement de reproduire les étapes qu'on observe sans en capter parfois toute l'essence du pourquoi : souvent a cause du problème difficilement soluble des halos de matière noire justement difficile a évaluer)

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Des Chinois expulsés du Ghana, l'envers de la Chinafrique.

Shanglin (province du Guangxi, Chine), envoyé spécial. Zhen Minxin le répète à l'envie, il est "chanceux". En cette matinée chaude de la mi-juin, on célèbre son retour au pays. Des tranches de pastèque traînent sur la table. Au sol, pas mal de mégots de cigarette, des Gold Seal, marque inconnue en Chine et estampillée "For sale in Ghana". Le Ghana, c'est le pays qu'il a quitté dans la précipitation la veille, après seulement un an, pour retrouver Tangma, son village au milieu de collines verdoyantes.

Le voyage fut long. Il a débarqué de l'aéroport de Canton après une escale au Caire. Sa chance fut de pouvoir s'échapper et de parvenir jusqu'à l'aéroport d'Accra pour embarquer pour la Chine. Car l'Etat ghanéen est parti en guerre contre la ruée vers l'or illégale menée par plus de 12 000 migrants chinois partis des villages plantés autour de la ville de Shanglin.

Il y a quelques jours, les Chinois qui travaillaient dans la même mine que Zhen Minxin furent informés d'une descente de la police : "Nous avons tous fait de notre mieux pour nous échapper avant qu'ils ne débarquent mais beaucoup d'amis se sont fait arrêter." Faire de son mieux, c'est "acheter" un policier ghanéen, mais tous ne sont pas si aisément corruptibles : "Certains te laissent filer si tu les payes, d'autres pas, et en prison le risque est d'être rongé par les moustiques."

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« La Chine au Soudan : le défi de la non-ingérence dans un État failli » par Andrew S. Natsios, Georgetown Journal of International Affairs, été/automne 2012 : http://journal.georgetown.edu/wp-content/uploads/Natsios.pdf

Les dirigeant soudanais croient que les projets d'infrastructure géants ont le potentiel de produire une croissance économique durable si le pays reste assez stable pour retirer les bénéfices des ressources hydroélectriques et hydriques fournies par les barrages. Le gouvernement chinois s'est associé à plusieurs États du Golfe Persique pour investir dans la région pour financer ces projets. Leur investissement collectif est à haut risque au cas où le gouvernement Bashir viendrait à s'effondrer. Récemment, trois entreprises publiques chinoises dont la Sinohydro Corporation ont acquis des contrats pour construire une imposante chaine de barrages sur le Nil entre Karthoum et la frondière égyptienne. Ces entreprises ont terminé le barrage de Meroé sur le Nil, d'une capacité de 1250 MW pour 3.5 milliards de dollars, et construiront les quatre barrages plus petits d'Haut-Atbara/Siteit, Kajbar et Shreik. Tous ces barrages sont conçus pour produire de l'hydroélectricité tout en développant la culture irriguée à une échelle massive. Le plan à long terme est de créer une ressource d'alimentation sûre, ce dont les États du Golfe Persique et la Chine nécessiteront au fur et à mesure que leurs populations augmenteront.

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Ces entreprises ont terminé le barrage de Meroé sur le Nil, d'une capacité de 1250 MW pour 3.5 milliards de dollars, et construiront les quatre barrages plus petits d'Haut-Atbara/Siteit, Kajbar et Shreik. Tous ces barrages sont conçus pour produire de l'hydroélectricité tout en développant la culture irriguée à une échelle massive.

Il me semblait que la captation massive de l'eau du Nil par le Soudan était considéré comme un casus belli par les Egyptiens...

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Un article d'Al Jazeera.

http://www.aljazeera.com/indepth/opinion/2013/06/201362584334716870.html

Why China might be a better superpower

Unlike the US, China does not have a substantial history of invading and subjugating the inhabitants of far-flung lands.

Last Modified: 25 Jun 2013 14:14

Murtaza Hussain

Murtaza Hussain is a Toronto-based writer and analyst focused on issues related to Middle Eastern politics.

Until the mid-20th century, China suffered what has been termed as the "Century of Humiliation" - a period of subjugation and oppression by Western military powers (as well as the Japanese). During this time Western imperialists flooded the country with drugs, raped and murdered its subjects with impunity and - due to both insatiable greed and abject ignorance to concepts such as culture and history - wantonly desecrated the priceless monuments of ancient Chinese civilisation.

At the outset of this period - when hordes of English soldiers destroyed Beijing's ancient Summer Palace in an orgy of looting and arson - Major General Charles Gordon said, "You can scarcely imagine the beauty and magnificence of the places we burnt" - which in many ways was emblematic of the entire carnivorous project of Western imperialism in Asia, Africa and Latin America.

Today, however, Rabindranath Tagore's prophecy about China seems to have come to fruition, and the modern heirs to rapacious criminals such as Gordon now openly lament their fear of rising Chinese power.

In the place of the former colonial forces such as England and France, however, today, sits the US, the world's only remaining military superpower. While since the fall of the Soviet Union the US has been widely considered to be the preeminent nation globally, in recent years it has fallen into an observable malaise.

Due to its wars of aggression, institutionalised torture, unaccountable assassination programmes and general contempt for the rule of law, the American government has today sacrificed whatever was once considered admirable about its role in international affairs. Furthermore, it is fast sacrificing what was once most admirable about it domestically, as once-cherished civil liberties are being forfeited and its citizens are being compelled to submit to an opaque and pervasive surveillance state.

While China is far less free domestically, in international affairs the country continues to ascend both economically and in terms of international influence. It is thus worth asking, is this a positive development for the world at large? Could China be a more responsible, less violent and more constructive superpower than the US?

Historical contrasts

Over its history, the US has undoubtedly provided much for the betterment of mankind in the fields of science, arts, good governance and human development. The country continues to produce some of the most exceptional contributors in all these areas, and for all the cruel excesses of the US government the American people are among the most generous, hospitable and high-achievingpopulation in the world. The US is by no means a monolith and its impressive ideological diversity continues to be one of its enduring strengths.

However, while the US was founded on the principle of national self-determination, throughout its history, its foreign policy has been based on denying that same right to others around the globe. From the early 20th century invasions and occupations of the Philippines and Haiti, the CIA coups against democratic governments in Iran and Chile, up to the near genocidal military onslaughts against the Vietnamese and Iraqi people, the US - in a relatively short time frame - has left a trail of destruction around the world which is without parallel in human history.

While couched in the deeply cynical rhetoric of freedom and democracy, the body count left by US militarism and colonial exploitation runs to millions. It has been well-documented that what has motivated these brutally malicious policies (aside from naked greed) is a crude sense of racism and a chauvinistic belief in "Manifest Destiny" - the same ruthlessly imperialistic ideology which helped justify the holocaust committed against the indigenous people of the Americas and which drove the Atlantic slave trade.

China, despite existing as a unified country 4,000 years longer than the US, conspicuously does not have such a history of invading and subjugating the inhabitants of far-flung lands. While it has had its share of localised conflicts, there is nothing in its history - even over the many centuries during which China was as at the peak of its historical power - that is remotely comparable to the industrialised exploitation and mass-murder which has characterised the Western colonial project.

Despite being one of the wealthiest and powerful countries on earth for most of its existence, China's relationship with the outside world has traditionally been characterised more by Sino-centric inertia and peaceable exchange than by armed pillage and the export of violence to foreign lands. As surmised by the famed 19th century scholar of Buddhism, Zhang Taiyin:

"Asian countries… rarely invaded one another and treated each other respectfully with the Confucian virtue of benevolence."

While China has in many ways been torn from its traditional culture by traumatic recent encounters with Western imperialist powers and the subsequent upheavals of Mao's Cultural Revolution, the country's traditionally harmonious worldview ("harmony" being a recurring theme in Chinese political culture) is still seen in modern China's global relations.

China's peaceful rise

To achieve its foreign policy goals in Iraq, the US embarked on a decades-long campaign of violence against the Iraqi people which culminated in the brutal invasion and occupation of the country in 2003. While the US succeeded in destroying the lives of millions of innocent Iraqi civilians, it failed to create an outcome which was of benefit to it and ultimately left the country with its influence and prestige greatly eroded.

China, however, has in many ways emerged as the "winner" of the Iraq war, as it is today by far the biggest beneficiary of Iraqi crude oil contracts. In stark contrast to the US primitive and brutal approach to the country, China has used soft-power to great effect and is now the most influential commercial player in the country's oil boom.

Thanks to its efforts China is today recognised as a major investor in the future of Iraq. According to the New York Times, Chinese executives are now even impressing their Iraqi counterparts by speaking with them in flawless, Iraqi-accented Arabic.

The contrast between China's culturally sensitive approach and the contemptuous and violent attitude taken by the US in Iraq cannot be overstated. In fact, these contrasts are in many ways a reflection of the differing worldviews and historical backgrounds of the two countries.

While the US seems committed to exert imperial hegemony over the Middle East using brute military force and punitive economic blockades against civilians, China has publically committed to a policy of "peacefully rising" and has built mutually beneficial and respectful relationships throughout the region.

While Chinese polices are no less self-interested, the country's forthright pragmatism is a refreshing alternative to the blatantly cynical and manipulative moralising rhetoric of Western powers. Shallow accusations of Chinese colonialism in Africa (based on Chinese commercial investments in the region) appear borne more of Western fears of Chinese power than of legitimate concerns about African self-determination.

Evidence suggests that China's influence in Africa has been built on the basis of mutual economic interest and its investments have coincided with historically unprecedented economic growth among the people of the continent. The contrast with the unrelentingly murderous and rapacious history of actual  Western colonialism in Africa could not be starker.

A multipolar world

China today is a burgeoning player in global affairs, making forays into the Israel/Palestine conflict, taking material steps to confront environmental issues and pushing its "soft-power" approach to international relations to new lengths. In the face of its rising stature many pundits and political figures have attempted to harp upon the inevitable growing pains of any rising power and cite this as evidence of its immaturity.

While China is by no measure perfect, for years the country and its people have been unjustly demonised by those whose own hands are caked in the blood of untold number of innocents. Allegations of purported Chinese malevolence should be viewed for what they most often are - the hysterical propaganda of those who are fearful and insecure about competition for their own privileged position.

The US however should not fear the rising tide of Chinese influence. Rather, it should warmly welcome it. In a unipolar world, the US government was free to act out its most self-destructive tendencies and was devoid of any pressure to reform in order to compete with a major adversary. Indeed, the US achieved its most admirable feats when it was facing serious competition from Soviet Russia.

While China is not yet a large enough player to individually balance the US on most major issues, its status is rising. When working within the emerging "BRICS" bloc of countries, it is capable of constraining unilateral US actions. This is good for both the American and Chinese people, as the existence of a multipolar world will mean that neither government will be able to delve into unchecked excess and military adventurism.

However, as China's relationship with the US and other major powers develops, there is no doubt that the country has finally come to equal terms with its former oppressors. China's ascendance signifies the fruition of Tagore's prophecy and the long victory of the Chinese people over Western imperialism.

If China continues its remarkably successful policy of "peacefully rising" while pursuing continued self-improvement and reform, it will remain both a welcome player in global affairs and a responsible model for other aspiring world powers.

Henri K.

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"Asian countries… rarely invaded one another and treated each other respectfully

Bullshit sur le pacifisme général des asiatiques. Gengis Khan? Timur Lang? Hitoito? Sans compter la politique impérialiste des chinois sous les Ming et Qing au Vietnam et en Corée ou le mythe sur Zheng He, l'amiral explorateur qui a réclamé partout des tributs pour l'empereur et s'est immiscer dans une guerre civile à Java pour soutenir le camp pro chinois. Sous la période communiste: annexion du Tibet, intervention en Corée, Conflit avec Taiwan, Guerre avec l'Inde, guerre avec le Vietnam, avec l'URSS (île sur l'Oussouri) et plus recement conflit avec la moitié de l'Asie pacifique pour des îles inhabités. Faut pas non plus oublier les guerres civiles meurtrières notament en Chine et au Cambodge. <br>Je dis pas que les Européens se sont pas comportés comme de parfaits soudards notament en Chine, mais la Chine n'est pas un saint non plus.

While Chinese polices are no less self-interested, the country's forthright pragmatism is a refreshing alternative to the blatantly cynical and manipulative moralising rhetoric of Western powers. Shallow accusations of Chinese colonialism in Africa (based on Chinese commercial investments in the region) appear borne more of Western fears of Chinese power than of legitimate concerns about African self-determination.

Evidence suggests that China's influence in Africa has been built on the basis of mutual economic interest and its investments have coincided with historically unprecedented economic growth among the people of the continent. The contrast with the unrelentingly murderous and rapacious history of actual  Western colonialism in Africa could not be starker.

Je connais pas assez bien le sujet pour argumenter mais je dirais que c'est de la ***** aussi. (La politique colonialistes chinoise est pas bien différente de celle des occidentaux du moins d'après les témoignages de journaux locaux dans Courrier International.<br>

While China is by no measure perfect, for years the country and its people have been unjustly demonised by those whose own hands are caked in the blood of untold number of innocents. Allegations of purported Chinese malevolence should be viewed for what they most often are - the hysterical propaganda of those who are fearful and insecure about competition for their own privileged position.

Ça marche (presque)aussi si on remplace China par Western countries.
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Chine : démonstration de force militaire dans le Xinjiang.

Une impressionnante démonstration de force militaire a été organisée samedi à Urumqi, la capitale de la région chinoise en majorité musulmane du Xinjiang (nord-ouest), en proie à des troubles sanglants cette semaine, a constaté l'AFP.

Ce déploiement, avec chars et autres véhicules blindés, a eu lieu à une semaine de l'anniversaire, le 5 juillet, des émeutes à caractère ethnique entre Chinois de souche et Ouïghours, la population turcophone du Xinjiang, qui avaient fait quelque 200 morts en 2009 à Urumqi.

"Je n'avais jamais vu une chose pareille", a déclaré un habitant de la ville, distante de quelque 3.000 km de Pékin, dans l'ouest de la Chine.

Plus de cent véhicules blindés ainsi que des détachements de soldats de l'Armée populaire de libération (APL), casqués et en tenue de camouflage, barraient l'accès à la Place du Peuple, dans le centre d'Urumqi, agglomération de plus de deux millions d'habitants, nettement divisée entre sa partie chinoise et sa partie ouïghoure, ont constaté des reporters de l'AFP.

Des milliers de badauds étaient massés aux abords de la place, tentant d'apercevoir les militaires à l'exercice, dont les effectifs étaient évalués à plusieurs milliers.

Nombre d'habitants s'interrogeaient sur les raisons de cette démonstration de force qui a commencé vers 19H00 (11H00 GMT) à la surprise générale et se poursuivait encore à 20H30 (12H30 GMT).

Elle se déroule après une semaine sanglante au Xinjiang, où une attaque qualifiée de "terroriste" par les autorités chinoises a fait mercredi 35 morts à Lukqiu, à 250 km au sud-est d'Urumqi, suivie vendredi d'une émeute à Hotan, à quelque 1.500 km au sud-ouest de la capitale régionale, selon la presse officielle et Radio Free Asia, une radio financée par le gouvernement américain.

Vendredi prochain marquera le quatrième anniversaire des plus sanglants affrontements entre Chinois de souche et Ouïghours au Xinjiang depuis la révolution culturelle (1966-76), qui avaient fait quelque 200 morts, principalement parmi les "Hans", les Chinois de souche, selon le bilan officiel.

http://fr.news.yahoo.com/chine-d%C3%A9monstration-force-militaire-xinjiang-122007297.html

Plus de deux millions de Tibétains en Chine ont été relogés ou déplacés de force ces dernières années dans le cadre de politiques qui portent atteinte à leur culture traditionnelle et leur mode de vie, selon un rapport de l'ONG Human Rights Watch (HRW).

Le nombre de personnes concernées représente "plus des deux tiers de la population totale" de la Région autonome du Tibet (RAT), selon ce rapport publié jeudi. "L'échelle et la rapidité avec laquelle la population rurale du Tibet est réorganisée par des politiques de relogement ou de déplacement de masse sont sans précédent depuis l'époque de Mao", s'est indignée Sophie Richardson, directrice de HRW pour la Chine, dans un communiqué.

"Les Tibétains n'ont pas leur mot à dire dans la conception de politiques qui modifient radicalement leur mode de vie, et - dans un contexte déjà extrêmement répressif - aucun moyen de s'y opposer", a-t-elle relevé.

http://www.levif.be/info/actualite/international/chine-plus-de-deux-millions-de-tibetains-deplaces/article-4000338598925.htm

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Depuis le 29 Juin, toutes les unités anti-terroristes de la gendarmerie en province de Xinjiang sont en alerte maximale, un défilé et une prestation de serment ont eu lieu dans la ville de Urumqi, Yili, Kashi, Hotan et Aksu.

Durant la cérémonie, ils parlent de l'implication de "3 forces étrangères hostiles" qui tentent de "déstabiliser le province de Xinjiang". (Le CIA, le Mouvement d'indépendance du Turkestan oriental, et ??)

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Bullshit sur le pacifisme général des asiatiques. Gengis Khan? Timur Lang? Hitoito? Sans compter la politique impérialiste des chinois sous les Ming et Qing au Vietnam et en Corée ou le mythe sur Zheng He, l'amiral explorateur qui a réclamé partout des tributs pour l'empereur et s'est immiscer dans une guerre civile à Java pour soutenir le camp pro chinois. Sous la période communiste: annexion du Tibet, intervention en Corée, Conflit avec Taiwan, Guerre avec l'Inde, guerre avec le Vietnam, avec l'URSS (île sur l'Oussouri) et plus recement conflit avec la moitié de l'Asie pacifique pour des îles inhabités. Faut pas non plus oublier les guerres civiles meurtrières notament en Chine et au Cambodge. <br>Je dis pas que les Européens se sont pas comportés comme de parfaits soudards notament en Chine, mais la Chine n'est pas un saint non plus.

Voir aussi l'interview de Gérard Chaliand : http://www.affaires-strategiques.info/spip.php?article8069 (30 avril 2013)

Vous mettez en cause l’affirmation selon laquelle la Chine n’a pas de tradition expansionniste. Pouvez-vous nous en dire plus ?

(...)

Mais la Chine n’est pas seulement expansionniste, elle est impérialiste. Elle exerce chaque fois qu’elle a une dynastie puissante un impérium : les Etats voisins sont des tributaires. C’est le cas de la Corée, du Vietnam et de bien d’autres. L’image rassurante d’elle-même qu’elle a cherché à donner jusqu’à récemment fait partie de sa stratégie fondée sur le gant de velours.

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Le thème de la fracture informationnelle, évoqué pour la Russie ( http://www.air-defense.net/forum/index.php/topic,10011.msg725230.html#msg725230 ) est exploité par Ian Bremmer à propos de la Chine : http://thediplomat.com/2012/06/04/coping-with-a-g-zero-world/2/ (4 juin 2012) :

Quant à l'Asie, souvenons-nous aussi que les Chinois et les Américains ne naviguent pas sur le même internet. La Chine a son monde en ligne propre, incomparable, terriblement chinois, et il ne contient pas Facebook. Renren oui. Facebook non.

Les gens reçoivent beaucoup de leurs informations des réseaux sociaux, et ils tendent à rechercher les histoires qu'ils aiment et trouvent intéressantes. Ce que vous voyez et lisez dépend de qui vous êtes, combien d'argent vous avez, où vous vivez, etc. Ce n'est pas un village global. Des gens différents lisent différentes versions de la même histoire racontées dans de nombreux cas pour renforcer les différents préjugés existants.

Certes, les réseaux sociaux donnent du pouvoir à la population. Les gens sont plus libres de communiquer entre eux à l'intérieur des frontières intérieures et extérieures. Mais ce n'est une expérience démocratique que si ceux qui l'utilisent veulent la démocratie. Certains n'en veulent pas. Certains veulent des divertissements. Ou de la sécurité. Ou de la vengeance. Ou de l'excitation. Ou aller faire les courses. Les activistes anti-gouvernement utilisent ces outils pour recruter, s'organiser et s'exprimer. Certains gouvernements les utilisent pour espionner ceux qu'ils considèrent comme une menace et pour accumuler des données qu'ils puissent utiliser pour attaquer les opposants. D'autres utilisateurs sont explicitement opposés à la démocratie qu'ils considèrent comme un virus étranger qui propage la peur et le chaos.

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Prison à vie pour l'ex-ministre du Rail.

Surnommé «Monsieur 4%» en raison des pots-de-vin qu'il touchait, Liu Zhijun a été lourdement condamné pour corruption.

Bien loin du ministre flambeur aux multiples maîtresses, ce sont des images d'un petit homme amaigri aux cheveux rares, impassible au prononcé de sa condamnation, qu'a diffusées la télévision d'État chinoise lundi. Liu Zhijun a de quoi être sonné: le «tribunal populaire intermédiaire numéro 2 de Pékin» vient de le condamner à la peine de mort avec sursis pour corruption, une sanction généralement commuée en prison à vie. La privation de ses droits politiques et la confiscation de tous ses biens et avoirs ont également été ordonnées, finissant de mettre à terre l'ancien haut cadre communiste. Pour le premier grand procès de l'ère Xi Jinping, le verdict se voulait une preuve de la détermination du président à lutter contre la corruption qui gangrène le pays.

Ancien patron du puissant ministère des Chemins de fer chinois, Liu Zhijun avait été inculpé de corruption et d'abus de pouvoir en avril dernier, après avoir été expulsé du Parti communiste en février 2012. L'homme était accusé d'avoir touché des pots-de-vin et de s'être servi de son poste ministériel pour aider le président d'une entreprise d'investissement à réaliser d'énormes profits illégaux. Il aurait perçu 65 millions de yuans de pots-de-vin (8 millions d'euros environ) entre 1986 et 2011 en échange de promotions ou d'attributions de contrats, alors que la loi chinoise prévoit la peine capitale pour des infractions à partir de 100.000 yuans. L'ancien potentat du rail aurait ainsi détourné 4% du montant des nombreux contrats qu'il avait signés, selon le journal Global Times (qui dépend du Quotidien du Peuple, organe de presse officiel du Parti communiste chinois). De quoi mener grand train pour ce séducteur invétéré qui, selon le journal, aimait afficher à son tableau de chasse de nombreuses actrices.

http://www.lefigaro.fr/international/2013/07/08/01003-20130708ARTFIG00347-chine-prison-a-vie-pour-l-ex-ministre-du-rail.php

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