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On a continuer à fournir en matériel militaire aprés Tien An Nem :evil:

Canon naval de 100, sonars, radars, aide sur leur programme de frégate furtive, ect...

Lire "Flotte de Combat 2002" ou 2004 pour plus de détails ;)

Donne moi les dates exactes de livraison de ces materiels ? Je suis a peu pres sur que les materiels mentionnes n'ont pas ete livres apres Tiananmen. Apres il est clair que les Chinois ont obtenus des licences de production avant Tiananmen et qu'ils ont allegrement depasse les limites contractuelles (exemple: helicoptere Dauphin) mais ca je vois pas trop ce qu'on peut y faire ??

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Liste de quelques matos Européens utiliser par la marine Chinoise avec date de livraisons si précisé dans "flotte de combat 2002" :arrow: Torpilles italiennes A 244 8 radars britaniques Searchwater pour des hydravions de patrouille maritine acheté en 1996 2 tourelles de 100 compact de creusot loire (dont elle a fait des copie) dans les années 80. (j'avais lut 90 :oops: ) 2 destroyer "Luda", le 106 et le 109 modernisé en 1993 avec l'aide française Copie de SACP Crotale , des Dauphins et des Super Frelons, des sonars français DUBV 43 et DUBV 23, du brouilleur Smiticar anglais... Et aide française sur des frégates en cours de construction selon un internaute chinois sur le forum de Net4war.

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C'est intéressant de voir que la chine dévellope enfin ses propres programmes, et ce dans tous les domaines. Sinon un petit bonjour à nos amis qui écrive depuis la Chine et l'étranger en général : je suis très content vous soyez là, il est toujours intéressants de connaitre l'opinion de gens habitant loin de chez nous et étant confronté à des influences différentes des notres (médias, opinions publiques...)

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  • 3 weeks later...

Bon, les amiraux US vont peut étre stopper la mise a la retraite du Tomcat ;) Ou alors directement acheter les Tu-22 aux Russes pour éviter qu'ils tombent au mains des Chinois :lol: - Ils avaient déja acheter une vingtaine de Mig 23/27 dans une des républiques ex soviets il y a une dizaine d'années pour éviter qu'ils partent on ne sait ou ;) -

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Si l'Europe décide le lever l'embargo contre la Chine au sujet de la vente d'armes ? Nos Chinois envisagent d'acquérir aussi des Rafale. De l'électronique de defense. Ils fabriquent pleins de jouets et composant micro. Donc ,ils ont les caisses pleines. Par ailleurs ,TAIWAN les titille grave quoiqu'en pensent certains dans la région et au Pentagone.

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Et ça serait tellement typique de la France de vendre à la fois à la Chine et à Taïwan 8)

Rafale contre Mirage 2000-5, faîtes vos jeux.

C'est ce qu'on appelle ne pas prendre de position politique, vendre aux deux. On avait déjà dévellopé ce sujet pour l'exemple du Pakistan (Scoprenes) et de l'Inde (peut être mirages 2000)

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En tout cas, Taiwan se fait du souci :arrow:

Idylle sino-européenne : et Taiwan ?

L’Europe a la cote en Chine. On peut en vouloir pour preuves la récente visite du Premier ministre Wen Jiabao dans cinq pays de l’Union (Allemagne, Belgique, Italie, Grande-Bretagne, Irlande) et la volée d’accords qu’il a signés à cette occasion. On peut aussi s’arrêter à un fait plus anecdotique mais qui en dit bien plus long que tous les discours officiels : l’agence de presse Chine nouvelle (Xinhua) a décidé d’établir à Bruxelles son quartier général européen. Les effectifs seront décuplés pour passer à une trentaine de correspondants permanents. De la sorte, a expliqué son président, Tian Congming, lors de l’inauguration du nouveau siège en présence de Romano Prodi et de Wen Jiabao, l’agence officielle chinoise pourra « renforcer ses informations sur l’Europe pour les rendre plus objectives, plus rapides, plus complètes et plus équitables ».

Ce choix stratégique fait on ne peut mieux écho au souhait que le commissaire européen au Commerce, Pascal Lamy, avait exprimé quelques semaines plus tôt à Shanghai en plaidant pour « une relation de qualité » entre l’UE et la Chine. Il considérait, certes, la dimension économique de cette relation en estimant que, « au-delà des chiffres de la croissance de notre commerce bilatéral, c’est en fait la qualité et le contenu de nos échanges commerciaux et économiques qui devront susciter à l’avenir l’essentiel de notre attention et de nos efforts ». La réflexion vaut, toutefois, pour l’ensemble des rapports sino-européens qui, depuis le sommet de Pékin en octobre dernier, ont gagné à la fois en profondeur et en diversité. Comme devait le dire avec un brin de lyrisme le président de la Commission européenne, Romano Prodi, en prenant congé de son hôte devant les journalistes, « entre la Chine et l’Europe, ce n’est peut-être pas encore le mariage mais ce sont des fiançailles sérieuses ».

L’intérêt de la Chine pour l’Europe n’est évidemment pas nouveau. Mais il a pris un tour nouveau avec la première visite officielle d’un chef de gouvernement chinois au siège de l’Union européenne le 6 mai dernier.

A quelques jours du sommet, le 13 octobre, Pékin publiait un document stratégique sur ses relations avec l’Union européenne. Comme le soulignait l’ambassadeur de Chine à Bruxelles, Guan Chengyuan, que la Trans European Policy Studies Association (TEPSA) avait invité le 20 novembre 2003, « c’est la première fois que la Chine élabore un tel document et le fait qu’elle a choisi l’Europe pour cette première est hautement significatif ».

S’il est assez platement intitulé, dans sa version anglaise, China’s EU Policy Paper, le texte commence par un éloge appuyé de la construction européenne, jugée « irréversible », et de la place tenue par l’Europe dans « le monde multipolaire » si cher désormais à la Chine. Le propos ne tarde pas à enflammer, cependant, dans la meilleure veine du discours politique chinois. Dès le deuxième chapitre, les auteurs du document constatent, en effet, « qu’à la fois la Chine et les Etats membres de l’UE ont chacun une longue histoire et une splendide culture, et aspirent par conséquent à plus d’échanges culturels et à une émulation mutuelle ». Au fil des sommets sino-européens, la vision commune n’a cessé, il est vrai, de gagner en ambition, passant d’une « relation durable de coopération » lors du premier sommet de 1985, à un « partenariat global » lors du troisième en 1998, et finalement à un « partenariat global et stratégique » lors du cinquième en 2003.

Le document est à cet égard d’une candeur extraordinaire en ce qu’il établit on ne peut plus clairement les priorités politiques du régime communiste : aucune tolérance pour Taiwan, que l’UE est pressée de priver de tout contact officiel ; encouragement, par contre, à coopérer avec Hongkong et Macao qui ont cessé d’être de méprisables (quoique commercialement utiles) colonies pour redevenir des entités de la république populaire de Chine ; invitation à visiter le Tibet et à favoriser son développement économique mais en respectant les lois (et donc la souveraineté) chinoises tout en ignorant « la clique du dalaï-lama » ; souplesse (réelle ou feinte) sur les droits de l’Homme à propos desquels Pékin loue l’approche européenne préconisant le dialogue. Outre les sept points du chapitre suivant qui détaillent tous les volets de la coopération économique, financière, agricole et commerciale, il faut noter un appel à multiplier les échanges d’étudiants, d’enseignants et de chercheurs.

C’est, au demeurant, l’approche que préconise aussi la Commission européenne dans son dernier document sur ses relations avec la Chine, daté du 10 septembre 2003. « Afin d’améliorer la compréhension mutuelle, y lit-on, des efforts doivent être entrepris pour promouvoir les contacts de personne à personne, par le biais d’échanges accrus dans les secteurs du tourisme, de l’éducation et de la culture. » Ces aspects ont été particulièrement soulignés lors du séjour de Wen Jiabao à Bruxelles, tant par celui-ci que par Romano Prodi.

Le sommet d’octobre à Pékin en a, il est vrai, créé les conditions pratiques. Non seulement les deux parties se sont donnés alors pour objectif de doubler leurs échanges commerciaux dans un délai de dix ans (pour passer de 100 millards à 200 milliards de dollars américains d’ici à 2013) mais elles ont signé, outre une entente sur la concertation en matière de politique industrielle, deux accords aussi importants par leur contenu concret que par leur portée symbolique. L’un consacre la participation de Pékin, à concurrence de 200 millions d’euros, au programme européen de navigation par satellite Galileo (le GNSS, concurrent des systèmes américain GPS et russe GLONASS). L’autre, dit de « destination autorisée », accorde des facilités de visa aux groupes de touristes chinois, moyennant la reconnaissance par la république populaire de Chine du droit au retour de ses ressortissants trouvés en situation illégale.

Cet accord sur le tourisme est d’une portée considérable, sur le plan économique bien sûr mais aussi social et politique. Déjà, 645 000 Chinois ont visité l’Europe en 2002. Avec l’émergence d’une classe moyenne relativement aisée en Chine, ils seront des millions demain et des dizaines de millions après-demain. L’Organisation mondiale du tourisme estime que 100 millions de Chinois voyageront à l’étranger en 2020 (dans le même temps, la Chine aura surpassé la France comme première destination touristique au monde avec 130 millions de visiteurs, soit 8% du marché mondial). Une enquête publiée à Hongkong — et financée par American Express — auprès d’un millier de citadins à Pékin, Shanghai et Canton montre que l’Europe continentale est la troisième destination de voyages à l’étranger (tant pour les affaires que pour les voyages d’agrément) après Hongkong et Singapour.

Les restrictions de visa aux Etats-Unis, où les impératifs de la lutte antiterroriste l’emportent sur l’intérêt de l’industrie touristique, rendent l’Europe encore plus attrayante, d’autant plus que l’accord sino-européen, entré en vigueur à la veille du passage de Wen Jiabao à Bruxelles, s’applique aussi aux dix nouveaux membres de l’Union. Or, les touristes chinois dépensent autant, sinon plus, que les américains ou les japonais. Par ailleurs, s’ils passent généralement comme des météores à travers quatre ou cinq capitales européennes en quelques jours, ces touristes auront pu au moins se faire une idée concrète de l’Europe et cette expérience ne peut que favoriser une meilleure compréhension mutuelle.

Cette découverte va de pair avec une pénétration plus agressive des Européens en Chine, où ils entendent afficher leur présence sur de nouveaux terrains. L’envol d’un cosmonaute chinois, en octobre dernier, a ainsi relancé l’intérêt pour l’espace. Début avril, le commissaire européen à la Recherche scientifique, Philippe Busquin, était dans la capitale chinoise pour participer à la première table ronde sino-européenne sur la politique spatiale. Il y annonçait que le partenariat dans Galileo pourrait être bientôt suivi par d’autres initiatives comme une coopération dans « des programmes d’observation de la Terre ».

Après ses collègues au Commerce et à l’Agriculture, Pascal Lamy et Franz Fischler, et avant Romano Prodi, qui y séjourna à nouveau du 13 au 16 avril pour pousser plus loin « des relations dont les deux parties s’accordent à dire qu’elles ont atteint un niveau historique », Philippe Busquin était le troisième commissaire européen à visiter la Chine en ce début 2004. L’année précédente, un nombre record de membres de la Commission s’y était rendu, sept au total : outre Romano Prodi et Pascal Lamy encore, les commissaires Poul Nielson (Coopération au développement), Erkki Liikanen (Télécommunications et Entreprises), Margot Wallström (Environnement), Mario Monti (Concurrence) et Viviane Reding (Culture et Education). On ne saurait mieux démontrer la nouvelle dimension du dialogue sino-européen qui couvre désormais un très large éventail de sujets : politique industrielle, propriété intellectuelle, concurrence, politique commerciale, coopération spatiale, utilisation pacifique de l’énergie nucléaire, aviation civile, politique douanière, tourisme, immigration clandestine et, bien sûr, droits de l’homme. Une diversité que reflètent les accords signés par Wen Jiabao et sa délégation (qui incluait plusieurs ministres) : coopération douanière, dialogue bilatéral sur la concurrence et sur le commerce, forum de discussion sur le textile, etc.

En 2004, l’UE dépassera les Etats-Unis et en 2005 le Japon au hit-parade des partenaires commerciaux de la Chine pour en devenir le premier ; elle est déjà le deuxième fournisseur de technologies de la Chine. La Chine est, pour sa part, avec des échanges dépassant 115 milliards d’euros, le deuxième partenaire de l’Europe après les Etats-Unis et avant le Japon. Quoique nettement moindre que celui de Washington (125 milliards de dollars en 2003), le déficit commercial européen avec la Chine avoisine les 50 milliards d’euros mais ce déséquilibre ne semble pas inquiéter les responsables de l’UE qui misent sur le long terme, l’approfondissement des réformes en Chine, la maturation de son économie de marché, le respect croissant des règles de l’OMC et la consommation en progression continue de la classe moyenne qui devrait largement profiter aux producteurs européens.

Les observateurs en veulent pour preuve le secteur automobile, celui qui connaît probablement l’expansion la plus impressionnante dans une Chine qui n’est certainement plus, sous l’angle des transports tout au moins, « l’empire immobile » qu’évoquait Alain Peyrefitte en narrant la déconvenue de Lord Macartney et de son ambassade en Chine à la fin du XVIIIe s. Quatrième marché mondial aujourd’hui (derrière les Etats-Unis, le Japon et l’Allemagne mais devant la France désormais), la Chine, où l’on a franchi en 2002 le cap du million de voitures vendues à des particuliers, s’élèvera au deuxième rang dans les trois à cinq ans qui viennent. Or, près de la moitié des véhicules achetés en 2003 y était de fabrication européenne, contre 10% aux voitures américaines et 40% aux japonaises. Volkswagen, qui commença à produire une voiture, la Santana, à Shanghai dès le début des années 80, espère vendre un million de voitures par an dès 2007. La Chine est d’ores et déjà son premier marché, bien avant l’Allemagne !

Les investissements européens en Chine ont progressé de près de 40% en 2003 par rapport à l’année précédente ; c’est deux fois plus que les investissements américains sur la même période. Le courant en sens inverse mérite lui aussi d’être salué. Pour l’essentiel, il ne s’agit bien sûr pas encore d’investissements chinois en Europe mais d’un afflux d’étudiants et de chercheurs. Longtemps attirés prioritairement par les Etats-Unis, les Chinois affichent de plus en plus leur curiosité pour les pays européens et pas seulement pour les plus grands ou les plus renommés. Ainsi l’Irlande, qui n’hébergeait qu’une poignée de Chinois il y a dix ans, en accueille à présent plus de 40 000 dans le cadre d’une politique d’échanges très active. Rien d’étonnant si Wen Jiabao a choisi de terminer son premier périple européen à Dublin, même s’il était courtois de saluer la présidence en exercice de l’Union lors d’un voyage programmé pour coïncider avec les premiers jours de l’élargissement et pour saluer de la sorte les progrès de la construction européenne.

Certes, l’élargissement de l’Union et l’appréciation de l’euro face au dollar faussent quelque peu les statistiques mais ces deux facteurs ne peuvent occulter une réalité objective : un intérêt sans précédent de la Chine pour l’Europe qui double, selon les mots de l’ambassadeur Guan Chengyuan, une relation bilatérale qui n’a jamais été meilleure. « Il n’y a pas de conflits d’intérêts géopolitiques entre nous et il n’y a aucun tabou dans nos discussions », déclarait-il dans sa conférence du 20 novembre 2003. Publication de référence, Far Eastern Economic Review titrait éloquemment en couverture le 12 février 2004 : « China’s Love Affair With Europe ».

Que réserve à Taipei cette histoire d’amour ? Dans la conférence de presse commune à Bruxelles, Romano Prodi n’a pas manqué de rappeler à Wen Jiabao que l’UE, tout en réaffirmant « son adhésion à la politique de la Chine unique, espérait voir une solution pacifique à la question de Taiwan ». L’île aura également pu tirer satisfaction de l’absence de consensus européen sur la levée de l’embargo sur les ventes d’armes à Pékin. Quelques grands pays, comme la France ou l’Allemagne, qui sont à la fois de grands producteurs de matériel militaire et de gros partenaires commerciaux de la Chine, y étaient pourtant favorables. D’autres estimaient qu’à quelques jours du quinzième anniversaire de la répression de Tian’anmen, le moment aurait été mal choisi. D’autres encore disent vouloir s’y opposer tant que des progrès démocratiques substantiels n’auront pas été accomplis à Pékin ou tant que la Chine ne signera pas la Convention des Nations unies sur les droits civils et politiques.

Il est douteux, cependant, que l’embargo soit encore maintenu très longtemps. D’aucuns font valoir, à Bruxelles, qu’un tel embargo aurait été levé bien plus tôt s’il n’avait pas été imposé au départ pour une durée indéterminée mais avait dû être renouvelé d’année en année. La Chine en fait une question de principe et fonde son argumentation sur la contradiction entre cette mesure qu’elle juge vexatoire, voire humiliante, et la qualité des relations sino-européennes telle qu’elle est officiellement proclamée par les dirigeants de l’UE. Dans le même ordre d’idées, les autorités de Pékin reprochent également à ceux-ci leur refus de reconnaître à la Chine le satut d’économie de marché, alors que la Russie en bénéficie depuis plusieurs années et malgré le fait que la République populaire est désormais membre de l’OMC.

Dans ce contexte, il y a tout lieu de penser que Taiwan fera les frais de l’idylle sino-européenne. Déjà, à l’assemblée générale de l’Organisation mondiale de la santé, le 17 mai, à Genève, les vingt-cinq pays de l’Union ont voté en bloc contre l’admission de l’île en qualité d’observateur, proposition qui a pourtant reçu le soutien des Etats-Unis et du Japon. Cette position, qui défie la logique humanitaire de l’UE et contredit sa politique de défense des droits de l’homme, confirme si besoin en était un rapprochement sans précédent entre Chinois et Européens que l’intérêt économique n’explique que partiellement. L’intervention américaine en Irak et la théorie de la guerre préventive qui la sous-tend ont sans aucun doute largement contribué, elles aussi, à souder la Chine et l’Europe contre la toute-puissance avouée des Etats-Unis.

Philippe Paquet

© Philippe Paquet, 2004

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un de ces 4 matins, la Chine vat se faire Taiwan, mais a mon avis, en douceur, avec juste un peu de militaire pour amuser la galerie et pour la symbolique de la chose, apres quoi, ce serat geres comme Hong Kong "un pays, deux systemes" cher a Deng Xiao Ping dont ont faites justement ce qui aurait ete son centiemes anniversaires Les chinois ne sont pas idiots et n'iront pas tuer la poule au oeufs d'or Bien que Hong Kong fasse a nouveau partie de la Chine, il faut toujours un Visa pour le chinois qui desire s'y rendre et Hong Kong a meme encore une equipe olympique presente a Athenes ! quand au Taiwanais, les 220 000 entreprises Taiwanaise presentes en Chine ont toutes leurs adresse intitules " entreprises truc, rue Machin, taiwan, republique populaire de Chine" ce que je serai plutot curieux de connaitre, est de savoir que valent nos MM40 tant vantes face a des missiles russes ou chinois qui ont le triple de portes

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Petit Hors sujet, je trouvais que les articles de ce site etaient orientés et pas tres objectif ( surtout dans l'analyse d'evenements internationaux ou politique) J'ai fais une petite recherche sur l'auteur de beaucoup d'articles (monnerat) , et il se trouve que c'est un bon neoconservateur qui ne cache pas sa sympathie pour Bush & Co, bref à prendre ce site avec du recul voila. edit: pas grand chose a voir avec cette article, merci du lien

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Au moins monnerat dans son site Helvétique secoue le cocotier de l'Europe de l'armement. et de la vieille Europe endormie :rolleyes:

C'est sûr ! pour un Suisse supposait être neutre ,il a sa préférence pour la politique du cow boy du Texas et de Donald.

Mais depuis quelques temps ,ce n'est plus le monde merveilleux de Walt Disney :lol:

Et les intentions de la Chine sont bien réelles.

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Ce site est simplement un site neoconservateur francophone, et ca tourne un peu trop souvent a des discours pro-neoconservateur-US assé loin d'une analyse sur les sujet traités ca s'approche plus il me semble de la propagande US pure et dur.

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