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le san paolo a des pbs récurents de chaudières il y a eu même un accident qui a tué deux marins brésiliens...

Les chaudières de l'ex Foch on presque l'âge de celles de la Jeanne ...

Pour le PAN cet article s'inscrit dans la lignée des soucis détectés sur le premier jeu d'hélices qui ont amenés la rupture de pale il y 8 ans.

Bcp de navires vibrent à certaines vitesses notamment en raison de la cavitation un des exemple les plus célèbres fut le paquebot Normandie

Le Pb du CDG c'est qu'il est lourd et que sa propulsion et surtout sa transmission travaillent en limite de potentiel pour donner au navire une vitesse opérationnelle moyenne acceptable.

Le navire est petit il a la carène du Foch don't forget et dedans il faut caser deux réacteurs leur protection radiologique et la transmission. Les réacteur sont groupés au centre (enceinte de confinement oblige) il y a un groupe turbo reducteur derriere mais un autre est DEVANT l'enceinte avec les longueurs de ligne d'arbre et les contraintes que çà implique...

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Les réacteur sont groupés au centre (enceinte de confinement oblige) il y a un groupe turbo reducteur derriere mais un autre est DEVANT l'enceinte avec les longueurs de ligne d'arbre et les contraintes que çà implique...

OKAYYYYYYYYY. :O

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/amiral-forissier-non-la-marine-n-a-pas-le-moral-dans-les-godasses-24-04-2009-350511.php

Très remonté, l'amiral Pierre-François Forissier, chef d'état-major de la Marine. Lors de sa première visite à la base aéronavale de Lann-Bihoué, nous l'avons interrogé.

Plusieurs rapports parlementaires ont pointé ces dernières années les restrictions budgétaires, les mauvaises évaluations des programmes d'équipement des armées, leurs retards et leurs surcoûts. Le dernier rapport (Le Télégramme du 16 avril) évoque même des difficultés à remplir certaines missions. La Marine a-t-elle encore les moyens de remplir les siennes ?

Amiral Forissier : "Je suis dans la Marine depuis 37 ans et cela fait 37 ans que j'entends dire que nous n'avons pas assez de moyens, pas assez d'argent... La France n'est pas l'Amérique. Aujourd'hui, je remplis toutes les missions assignées par le livre blanc de la Défense et le président de la République (...) On est toujours en train de dire que dans un monde idéal, tout pourrait être mieux... La morosité, stop ! Non ! Notre matériel n'est certes pas tout neuf, mais on fait le mieux qu'on peut avec ce que l'on a."

En savez-vous un peu plus sur l'avarie qui cloue le Charles-de-Gaulle à quai ? Quand pourra-t-il reprendre la mer ?

"Les avaries ne sont pas des choses scandaleuses ! Quand plus de la moitié de la flotte du Vendée Globe est victime de casse, on ne dit rien. Quand un navire de la Marine nationale casse, on crie au scandale ! Un bateau, ça casse tous les jours. Et tous les jours on répare. Je voudrais qu'on arrête de dire que la Marine va mal et qu'elle a le moral dans les godasses (...) Les dégradations ont été identifiées. Elles ne concernent qu'une pièce mécanique. Nous savons la changer. Mais nous voulons savoir pourquoi cela s'est produit. Il n'est pas question de reprendre la mer en prenant le risque que ce problème se produise à nouveau. Nous repartirons quand nous aurons toutes les garanties. Cela prend du temps."

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"Les avaries ne sont pas des choses scandaleuses ! Quand plus de la moitié de la flotte du Vendée Globe est victime de casse, on ne dit rien. Quand un navire de la Marine nationale casse, on crie au scandale ! ."

Ca, c'est vraiment une réponse stupide. Bravo Forissier !  =(

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Mais nous voulons savoir pourquoi cela s'est produit

C'est bien là le problème...

On se doute bien pourquoi çà s'est produit, vu son déplacement et sa puissance le CDG sollicite énormément la propulsion.

Le GROS pb est de trouver la solution adéquate pour absorber les contraintes mécaniques et installer CETTE SOLUTION dans un espace réduit (les compartiments turbines-réducteurs) calculé au plus juste vu la taille du bâtiment et les contraintes liées à la protection des deux réacteurs.

et là çà va pas être de la tarte....

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N 'éxagèrons rien messieurs...

D'autant plus que notre navaliste DCNS a un bon carnet de commande et quelques prospects à l'export pouvant aboutir. Que le Gouvernement n'a pas laissé tomber STX France en prennant 33 % de part, puis commander un troisième BPC, voire peut-être le n°4 si le chantier n'a pas de PdC correct.

Ce qu'il faut, c'est que le PA2 soit lancé à Saint-Nazaire avec DCNS. Point barre !  :lol: Et que l'ATM de notre PAN CdG puisse être court et rapidement résolu. Il y a à qualifier des pilotes. Pendant, ce temps-là, rien n'empêche aussi l'AVIA d'expédier en Afghanistan des SEM et Rafale pour délivrer de l'armement sur les insurgés.

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  • 1 month later...

D'après l'interview non l'essentiel avait été fait juste après l'IPER avant que l'on découvre les pbs de propulsion.

En septembre il y aura 13 jeunes pilotes sortant des écoles à former à l'appontage sur SEM Rafale et E2 (6 appontages chacun), ainsi que 8 pilotes SEM et 2 E2 C à qualifier appontage nuit 2 autres SEMistes doivent être qualifiés Rafale ...

Tel est le programme pour le Charles en septembre

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ça peut entrainer une perte de compétence sérieuse des pilotes ou pas ?

Ca entraine déjà de gros probleme de formation des nouveaux pilotes! C'est d'ailleurs en partie pour cela qu'on orgnaise des échange avec les portes avions US... pérenniser l'entrainement "in situ", néammoins un CVN n'est pas un CdG ...

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  • 4 months later...

Mme Marguerite Lamour, rapporteure. L’évolution des ressources humaines sera délicate à gérer, près de 6 000 emplois devant être supprimés d’ici à 2015. Or, le format actuel de la marine résulte déjà d’un grand effort de rationalisation engagé depuis plusieurs années et vous devez, pour préserver la capacité opérationnelle des forces, renouveler sans cesse de très petits effectifs, dotés de compétences rares et très spécifiques, faisant l’objet d’une forte évasion vers le secteur civil.

Dans ce contexte, pensez-vous que vous pourrez tenir les objectifs annuels de réduction des emplois militaires qui vous sont fixés ? Ne serait-il pas plus raisonnable de vous laisser fixer le calendrier de déflation des effectifs ?

La LPM renvoie l’essentiel de la modernisation des équipements de la marine, quels que soit le degré d’urgence, à une seconde phase de programmation, comprise entre 2015 et 2020. En outre, le ralentissement du rythme de production des programmes en cours, tels que les FREMM et les sous-marins nucléaires d’attaque, retardera d’autant les délais de livraison. Cet étalement des dates de livraison ne risque-t-il pas de susciter des ruptures capacitaires temporaires ainsi que des réductions de format préjudiciables aux missions de la marine ?

La LPM renvoie à 2011-2012 la décision de construire un second porte-avions. Nous sommes nombreux ici à considérer que la France ne peut pas faire l’impasse sur ce programme. Reste à savoir de quelle façon nous nous doterons de ce second porte-avions. Mettra-t-on à profit la période actuelle pour reprendre la réflexion sur le mode de propulsion ? Fait-on travailler les industriels sur les solutions techniques les plus économiques et les plus rapides ? Serait-il imaginable de disposer d’un bâtiment pour la prochaine IPER du Charles-de-Gaulle, qui devrait finalement avoir lieu en 2016 ou 2017 ?

Le Grenelle de la mer aidant, le démantèlement des bateaux, sujet sur lequel j’ai eu l’occasion de rédiger un rapport d’information en 2007 lors de l’affaire du Clemenceau, prend une importance croissante, et c’est heureux. Quels moyens la marine compte-t-elle consacrer à cette activité ? Ne pourrions-nous pas envisager un travail commun avec la filière civile, à l’échelle européenne ?

Amiral Pierre-François Forissier

Les incidents que nous avons connus cette année démontrent, s’il en était besoin, la nécessité d’un second porte-avions, sujet sur lequel nous ne sommes plus liés aux Britanniques. Nous travaillons avec les industriels pour définir des solutions aussi économiques innovantes et efficaces que possible en raisonnant en coûts complets pendant toute la durée de vie du bateau. Nous verrons si la propulsion nucléaire constitue une solution réalisable dans des conditions économiques satisfaisantes. Lorsque l’heure du choix sera venue, nous présenterons les choix envisageables à coûts / efficacité convenables au Président de la République.

Grâce à la triste affaire du Clemenceau, nous avons maintenant acquis une bonne maîtrise de la question de la déconstruction, que nous avions, je dois l’avouer, sous-estimée. Notre objectif est de mettre à la disposition du monde industriel français notre retour d’expérience et de faire mieux la prochaine fois. Il reste que la marine n’a pas vocation à se transformer en déconstructeur de navires. Nous attendons donc que les industriels fassent des propositions. Il serait naturellement souhaitable que la déconstruction coûte le moins cher possible à l’État, voire rien du tout, ce qui n’est pas absurde compte tenu de la valeur des matériaux à bord des bateaux. Comme nous ne sommes plus dans une phase d’appel d’offres, nous avons entamé avec les industriels des discussions qui faciliteront le partage des retours d’expérience et aideront nos partenaires à nous faire des propositions économiquement intéressantes.

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Le problème étant que le réveil a la fâcheuse habitude de prendre du retard chaque année... Heureusement, on n'en parle que lorsqu'il devrait sonner.

J'ai les mêmes doutes que Pascal, j'attends de voir, d'autant qu'en 2011 on sera pas loin d'une élection et que le sujet peut servir avec certains électorats ou comme peau de banane pour le suivant.

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http://www.assemblee-nationale.fr/13/cr-cdef/09-10/c0910008.asp#P3_69

Alors que la première IPER – indisponibilité périodique pour entretien et réparation – du porte-avions Charles-de-Gaulle s’était remarquablement déroulée grâce à la mobilisation de l’ensemble des acteurs – équipage, services de soutien de la marine, industriels maîtres d’œuvre et sous-traitants –, le porte-avions a subi une avarie sur un arbre de transmission, qui a provoqué son arrêt de mars à septembre. Après enquête, il est apparu que l’avarie résultait de la conjonction d’un sous-dimensionnement au moment de la conception et d’une erreur de fabrication de la pièce de rechange installée pendant l’IPER.

La détection rapide du problème, grâce au professionnalisme exemplaire de l’équipage et de l’industriel, a permis d’arrêter à temps le bâtiment et d’éviter la catastrophe : cet incident aurait pu causer des avaries considérables et faire des victimes humaines. D’une certaine façon, nous avons eu de la chance dans notre malheur. Il n’en demeure pas moins que cet incident a beaucoup perturbé la remontée en puissance du groupe aéronaval et la requalification des pilotes, qui a aujourd’hui repris.

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  • 1 month later...

http://www.info-grece.com/modules.php?name=News&file=article&sid=5008

Le porte-avions français "Charles-de-Gaulle" mouillera dans la baie du Phalère (banlieue balnéaire d'Athènes) le 3 décembre et fera une escale du 4 au 8 décembre à Souda en Crète à l'occasion d'un exercice aéronaval commun entre la Grèce et la France.

Le "Charles-de-Gaulle", qui vient d'achever une période d'entretiens de plusieurs mois après 6 années d'activité, effectue un exercice en Méditerranée du 23.11 au 11.12, le point d'orgue de sa remontée en puissance.

Un communiqué jeudi de l'état-major des forces armées a informé de la coopération et du co-entraînement de la Marine nationale française avec l'armée de l'air grecque et la Marine nationale grecque, dans le cadre de la coopération bilatérale de défense, entre les 1er et 8 décembre.

Ce choix de la Grèce, pour sa première sortie, se veut dans la ligne du partenariat stratégique voulu par le président français, Nicolas Sarkozy, dans le cadre de la "nouvelle alliance" qu'il avait proposée lors de sa visite officielle en Grèce en 2008.

Le "Charles-de-Gaulle" est le seul porte-avions européen, et il permet le déploiement d'une force aérienne à grand rayon d'action. C'est un bâtiment à la pointe de la technologie pouvant catapulter un avion toutes les 30 secondes et jusqu'à 20 avions en moins de 12 minutes. 1.900 hommes sont à bord, ainsi que 40 avions, dont les "Rafale F3".

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