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10 minutes ago, hadriel said:

Non si les modules émission et réception sont séparés. Sur un radar où les modules font émission et réception effectivement il faut rajouter ça, et la portée devient linéaire en fonction du nombre de modules.

A priori ici l'ajout de module d'émission sert essentiellement a l'entrelacement des modes ... en gros pouvoir faire correctement la veille 3D "longue portée" tout en faisant correctement la "aread defense" ...

Le souci de l'upgrade de l'Herakles c'est qu'on peut doper deux domaines en même temps ... la veille longue portée ET passer d'une "self défense" a un "area defense" ... et que le bidule devra faire les deux chose de manière concurrente et correctement. Alors que pour le moment les modes ne sont pas vraiment concurrent puisque le mode "area defense" ne sert a rien puisqu'on ne peu pas tirer dessus ... et que le mode veille longue portée non plus puisqu'on peut encore moins tirer dessus ni y faire du controle aérien. Tout ca pour dire qu'on va consommer beaucoup plus de temps antenne à faire ce qu'on veut correctement ... et que donc il y a pas vraiment de chance qu'on se laisse de temps de voir beaucoup plus loin, a supposé meme qu'on ait vraiment emis le besoin.

Parce que pour voir correctement a +550km c'est le SMART-L le bon client et c'est pas un hasard complet si l'antenne est beaucoup plus grosse.

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Il y a 12 heures, hadriel a dit :

Les radars longue portée ont le bon goût d'être basse fréquence, ce qui permet de détecter les furtifs plus facilement. Par exemple le DRBV-26D est en bande L (1 à 2GHz)

C'est pas en bande D 

Nomalement la lettre donne la bande emission D 

S pour bande S 

L pour en bande L   

Aprés la longue porté est moins utile avec la mise en reseau des radars du GAN  sans oublier que les fregates ne sont pas collé au PA mais reste autour parfois à plusieurs dizaine de miles. 

A cela il faut rajouté la presence des NH 90 en complement des E2C qui effectuent des patrouilles quotidiennes autour du GAN pour blanchir la zone. Une fregate qui se trouve à 60 nautiques devant le CDG envoie son NH 90 faire un tour à 100 nautique encore devant elle ce qui permet de laisser une certaine marge.

Normalement le GAN avec 4 Frégates arrivent à se faire une bull en 3 D de 300 Nautique autour du PA . Tout ce qui y rentre ou qui en sort est identifié classifié etc..  Par contre en cas de menace sous marinie  la bull d'écoute sonars se reduit à garder le PA hors de porté d'un éventuel tir de torpille . Si je me rappel bien c'est un truc comme  les 40 nautiques. 

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D et L c'est la même bande.

Le second D de DRBV26D ... c'est la version ... A puis B puis C puis D ... tous les DRBV sont en bande L - ou D - ... sauf le DRBV15 en bande S.

Les hélicos volent mal par mauvais temps ... et c'est un peu le bordel pour envoyer des E2 tout temps aussi ... à ce moment là seul le radar de veille longue portée permet une protection/contrôle permanentes. Par contre ça n’empêche pas forcément l'ennemi d'attaquer. C'est d'ailleurs pour ça qu'on avait développé des solution lance torpille sur missile ... permettre la lutte ASM tout temps. Mais c'était à l'époque ou on pouvait faire la guerre demain matin ...

---

Pour détection ASM c'est beaucoup plus compliqué ... ça dépend énormément des caractéristique de la masse d'eau ... en gros au mieux on sait détecter au sonar actif jusqu’à la seconde zone de convergence. Mais sans garanties qu'il n'y ait pas de trou dans la raquette.

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  • 6 months later...

Collision sans gravité pour le CDG hier. 

 

La sécurité du porte-avions Charles de Gaulle prise en défaut par un voilier -Opex360

 

[...]Ainsi, le 12 novembre, vers 7h30, dans des conditions météorologiques difficiles [état de mer 4, avec 25 nœuds de vent], et alors qu’il est actuellement en mission au large de Toulon depuis quelques jours afin de qualifier les jeunes pilotes à l’appontage [et permettre de « requalifier » les plus anciens], le porte-avions Charles de Gaulle a détecté tardivement un voilier qui s’approchait de lui. Et, malgré une manoeuvre d’urgence du navire amiral de la Marine nationale, la collision n’a pas pu être évitée.

Dans son communiqué publié pour expliquer les circonstances de cet incident, qui s’est produit à environ 40 nautiques dans le sud-est des îles d’Hyères, la préfecture maritime de la Méditerranée explique que cette collision a d’autant plus été inéluctable que le « skipper » du voilier, battant pavillon polonais, n’a pris aucune initiative de son côté pour éviter le choc contre la coque du porte-avions.

Cela étant, l’équipage de celui-ci a réagi promptement afin de porter secours au voilier en question. Une équipe d’assistance a ainsi été envoyée à son bord, après qu’un contact radio a été établi.[...]

 

ATE a rapidement sorti une petite vidéo sur l'incident où il soulève quelques points intéressants, et surtout la question à 15 milliard d'euro: Que se passerait-il en cas d'abordage hostile dans des conditions similaires...

 

 

 

Modifié par Felixcat
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  • 1 year later...
il y a une heure, Bechar06 a dit :

Au premier regard, j'ai plus vu un trou en hauteur dans l'axe... Je suis obligé  de me forcer le regard à y voir le bulbe proéminent. De fait: belles couleurs 

C'est l'éclairage par le spot, en bas à droite, qui éclaire le bas du bulbe, côté bâbord. Or, la lumière naturelle principale venant, en fait, du haut à gauche, elle éclairerait effectivement cette zone si c'était un trou. Mais justement, la lumière naturelle est chaude et dorée, quand l'artificielle est froide et blanche, ce qui permet de contrer cette inversion que le cerveau fait naturellement au premier regard.

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  • 3 months later...
  • 2 months later...

Un article sympathique sur la remise en service du CDG

REPORTAGE - Le navire amiral français se prépare à repartir en mission après huit mois d’arrêt pour entretien, au moment où les marines occidentales affrontent de nouveaux périls consécutifs à l’extension des conflits en mer.

https://www.lefigaro.fr/international/la-remontee-en-puissance-du-porte-avions-charles-de-gaulle-pare-pour-les-nouveaux-defis-geopolitiques-sur-les-mers-20240204

Révélation

«La remontée en puissance du porte-avions Charles de Gaulle, paré pour les nouveaux défis géopolitiques sur les mers»

Le fusilier marin a réussi son tir du premier coup. À tribord sur le porte-avions Charles de Gaulle, il vient de lancer son lance-amarre vers le Jacques Chevallier, comme un grappin à l’abordage. De l’autre côté, on récupère le fil. Le bâtiment ravitailleur des forces (BRF), le premier de son genre, navigue à la même allure exactement que le navire amiral de la marine française comme dans un ballet coordonné. Depuis la passerelle de navigation, l’officier de manœuvre, le capitaine de frégate Marie, suit l’opération en notant minutieusement sur la vitre chaque ordre qu’elle donne. Le droit à l’approximation n’existe pas. Les deux navires se trouvent à quelque 60 mètres l’un de l’autre. Un peu moins, dit-elle, après avoir vérifié au télémètre. Dans l’atmosphère feutrée de la passerelle, on s’agite. Un voilier a été repéré à 15 minutes. Il va falloir lui demander de dégager la route pour ne pas avoir à faire dévier de concert les deux navires de la marine nationale. Un hélicoptère a décollé.

Au large de Toulon ce dimanche matin, l’opération a valeur de test pour le Charles de Gaulle et le Jacques Chevallier. Il s’agit du tout premier ravitaillement du BRF vers le porte-avions, alors qu’il achève un déploiement de longue durée avant d’être admis au service actif… Grâce aux amarres, et un gréement déployé entre les deux navires, le transfert va pouvoir commencer: du carburant, pour les avions Rafale marine* embarqués, des vivres… Le cas échéant, il pourrait aussi rapporter des munitions. Les capacités d’emport ont été doublées. «Le “Jacques Chevallier” est plus grand que ses prédécesseurs», fait observer le pacha du porte-avions, le capitaine de vaisseau Georges-Antoine Florentin. Il permettra au porte-avions et à son groupe aéronaval de «partir plus loin et plus longtemps», dit-il et de gagner encore en autonomie, l’obsession et la priorité du commandement: le porte-avions peut tenir 45 jours en mer. En opérations, il ne navigue jamais seul. D’ailleurs pour compliquer la tâche du ravitaillement, la frégate de défense aérienne Chevalier Paul attend quelques nautiques en arrière, avant de venir se positionner à droite du BRF pour un double ravitaillement.

 

Après huit mois d’arrêt pour un «entretien intermédiaire» qui a privé la marine de son navire principal, le Charles de Gaulle est de retour à la mer depuis quelques semaines. Au printemps, il devrait repartir en opérations, d’abord en mer Méditerranée, son terrain d’action privilégié. Entre les activités de la flotte russe, les risques liés au conflit en Ukraine ou les tensions au Proche-Orient, la Méditerranée n’est plus une mer simple. «Dans un second temps», dit-on au sein de l’état-major à Paris, le porte-avions pourrait rejoindre l’océan Indien, où il est attendu. Des réflexions sont aussi envisagées pour envoyer le groupe aéronaval «au-delà», dit une source militaire, à condition que la situation politique et géopolitique le permette. La décision sera éminemment politique. Le porte-avions embarquera alors l’état-major du groupe aéronaval, c’est-à-dire la totalité des forces qui naviguent en ensemble: frégate de défense, sous-marin nucléaire des forces, bâtiment de soutien… Rebaptisé «FRStrikefor» depuis le mois d’octobre, cet état-major embarqué commandé par le contre-amiral Mallard marque la volonté de la marine de se rapprocher de l’Otan. C’est un signal adressé aux alliés.

«Exigeant, fatigant mais attachant»

Dans les coursives, chacun s’attelle à sa tâche sans penser à la suite, en se concentrant sur ses responsabilités. «On ne s’appartient pas», résume en plaisantant le commandant du groupe aérien embarqué, le capitaine de vaisseau Denis, en arborant le «planoper», la feuille de décollage des avions qui rythme la vie du bateau. Le porte-avions est constitué de mécaniques individuelles. La confiance et la subsidiarité sont essentielles pour faire fonctionner un bâtiment de 1500 personnes, voire 1800 quand toutes les flottilles et les composantes du commandement du GAN sont là. «Le porte-avions est un bâtiment exigeant, fatigant mais attachant», confirme l’officier de manœuvre Marie, que l’on croise la nuit, en train de surveiller l’appontage des avions. Elle fait partie de ceux qui ont déjà navigué à bord du porte-avions. Pour un quart des marins, il s’agira de la première mission. Le recrutement et la formation sont un enjeu permanent dans la marine tout comme la préservation des compétences. Après une longue période d’arrêt, «il va falloir être attentif», confie le padre Donatien, l’aumônier militaire à bord, qui passe son temps à «marcher» d’un pont à l’autre pour «écouter» la vie du navire. «Il faut donner des occasions de parler. On m’a demandé des interventions, sur la mort, sur la vie…», dit-il. Le contexte géopolitique change à grande vitesse et le temps du confort opérationnel, c’est-à-dire d’une supériorité garantie, est révolu.

Le porte-avions remonte en puissance. De jour comme de nuit, les pilotes reprennent leurs marques pour apponter et décoller, propulsés en l’air par l’une des deux catapultes hydrauliques de 0 à 250 km/h en deux secondes sur une distance de 75 mètres. Cette technologie américaine équipe aussi les porte-avions de l’US Navy. Elle seule permet aux avions d’emporter assez d’armements et de carburant pour durer en l’air. Au ras du sol, la figure d’un petit animal rouge aux yeux perçants a été dessinée sur la tranche, comme un clin d’œil à la fulgurance. Un nuage de vapeur recouvre le pont après chaque décollage. Les uns après les autres, ils doivent s’enchaîner en une minute comme les pontées. Ce n’est pas qu’une prouesse technique. Le porte-avions est plus vulnérable lors de ces manœuvres. Tout l’équipage y participe. «Sur le porte-avions, on passe son temps à chercher du vent», explique, en passerelle, l’officier de quart, l’enseigne de vaisseau Humbert. Sur le pont d’envol, la vitesse du vent, pris de face, doit être constante.

«En augmentant les capacités, nous restons dans le match de la compétition mondiale»

Ce jour-là, huit Rafale et un HawkEye, un avion radar qui permet d’allonger encore plus les capacités du porte-avions à surveiller son environnement, sont à bord. L’appontage se fait à vue. Les pilotes doivent retrouver leurs repères pour être opérationnels en missions. Lorsque le porte-avions sera en «blue water», c’est-à-dire en haute mer et loin des terres, il ne leur sera pas garanti de trouver un aéroport de déroutement pour se poser. Après des mois d’exercices à terre, «on perd en précision» en mer, admet avec humilité le capitaine de frégate Erwann de la flottille 11F.

Alors il faut «driller» pour mécaniser les réflexes. «Je leur laisse de l’autonomie», complète l’officier d’appontage, le capitaine de corvette Justin, qui surveille et note chaque manœuvre de chaque pilote. À la radio, les échanges sont minimums, se limitant à quelques indications lorsque le dernier essai arrive, pour que les pilotes prennent confiance. Sur le pont, les trois brins d’arrêt portent des noms issus de la mythologie grecque: Athéna, la déesse de la guerre, pour le premier et le plus difficile à atteindre, Aphrodite pour le deuxième, celui qu’il faut viser, et Andromède, pour le troisième, celui de la dernière chance.

«Les relations en mer se durcissent»

Cette semaine, de nouveaux pilotes de l’école de l’air embarquée vont effectuer leurs premiers entraînements en mer. Lorsqu’ils seront «qualifiés», ils recevront leur «nom de guerre», c’est-à-dire le surnom qui leur sert d’indicatif radio. En vol, les pilotes s’entraînent aussi à des exercices de combat aérien ou contre des navires de surface et à percer les stratégies de dénis d’accès. La combinaison est complexe entre les contraintes des avions et celle du bateau et requiert un travail d’orfèvre tacticien. «Nous faisons en sorte de manœuvrer et de nous positionner à l’endroit qui fait sens tactiquement pour tirer avantage» des moyens aériens, explique le chef des opérations Arnaud. Il faut «voir loin» et être capable de «projeter de la puissance», résume-t-on à bord. «Les relations en mer se durcissent», abonde le pacha, le commandant Florentin. Outil de signalement stratégique, le porte-avions doit s’aguerrir et se durcir. Depuis sa mise en service il y a plus de vingt ans, le porte-avions n’a cessé de se moderniser. «En augmentant les capacités, nous restons dans le match de la compétition mondiale», dit-il.

L’arrêt technique a été l’occasion d’optimiser les performances du navire et de renforcer quelques capacités. La coque a été nettoyée, permettant d’améliorer la vitesse du navire. L’hôpital a été agrandi pour mieux accueillir des blessés lourds. Deux bouilleurs ont été changés pour la production d’eau nécessaire aux catapultes et aux chaufferies atomiques. Les moyens de transmission ont été renouvelés.

Dans le hangar où sont préparées les munitions, les «Boum», surnom des équipes qui en ont la responsabilité, s’apprêtent à recevoir bientôt des bombes plus lourdes, de 500 voire 1000 kg. «Les munitions sont stockées en trois morceaux: le kit de guidage, le corps de l’arme et un kit pour augmenter la portée», explique le chef des «Boum», le lieutenant de vaisseau Éric. Le moment venu, celles-ci sont assemblées avant d’être fixées sur les Rafale, qui peuvent aussi emporter des missiles Meteor. Les «Boum» s’occupent aussi des Scalp, des Mica ou encore des missiles air-mer Exocet. Quelque part en son sein, le porte-avions est aussi capable d’emporter des armes nucléaires. Troisième composante de la dissuasion, la force aéronavale nucléaire peut mettre en œuvre, si besoin, des missiles ASMPA. Mais l’état-major n’indique jamais si le Charles de Gaulle appareille armé d’armes nucléaires.

Dans le hangar, un ancien marin a dessiné une carte de la Méditerranée à l’océan Indien. Quelqu’un y a accolé la liste des opérations précédentes du groupe aéronaval et le nombre de munitions tirées: Arromanches, Harmattan, Agapanthe… «GBU12 × 79 ; AASM × 97 ; Scalp × 8…», lit-on pour l’une des missions. Il reste de la place pour les suivantes.

 

 

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Il y a 3 heures, osuspir a dit :

Dans le hangar, un ancien marin a dessiné une carte de la Méditerranée à l’océan Indien. Quelqu’un y a accolé la liste des opérations précédentes du groupe aéronaval et le nombre de munitions tirées: Arromanches, Harmattan, Agapanthe… «GBU12 × 79 ; AASM × 97 ; Scalp × 8…», lit-on pour l’une des missions. Il reste de la place pour les suivantes.

Ce qui représente à peu près 53 tonnes de munitions.

(la soute du CdG emporte 600 tonnes d'armes, à comparer aux CVN US avec jusqu'à 3000t sur un Nimitz si mes chiffres sont bons).

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il y a 24 minutes, Hirondelle a dit :

Qu’est-ce que c’est un fisto stp?

Quand tu fais une école, un lycée ou une prépa mili plutôt marine, les promotions derrière toi sont tes fistos. On désigne de cette manière surtout ceux que tu as connu. Dans mon cas c'était le Prytanée en prépa flotte.

Modifié par herciv
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