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Avenir de Dassault?


alex...
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les projets de recherche européens ok, mais industrialiser  sans leader comme pudding des produits personne y gagne,

le prix souvent augmente, cacophonie au niveau des besoins, et peu de lisibilité des MAJ sur le long terme, et  très peu d'intérêt à l'export , le marché militaire en plus politique que le commercial, les alliances sont plus fréquentes, c'est pour ça que EADS niveau militaire à d mal à trouver sa voie, puisque EADS military n'a pas de racine industrielle comme Airbus, mais politiques! 

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Merci Pascal, Philippe et les autres pour ces rappels des réalités capitalistiques ( propriété de Dassault ), étatiques, de souveraineté ...

Finalement, ce que j'en retiens à ce stade: le schéma actuel de l'industrie aéronautique française ( Dassault, Eads .. ) serait fait pour durer et assez "optimal" compte tenu des diverses contraintes !

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Ce n'est pas aux industriels à assumer la demande de l'Etat en matière d'armement.Personne ne le fait à l'étranger où les programmes sont à 100% financés par l'Etat.La famille Dassault est le seul industriel au monde à avoir financée pour partie un programme militaire d'une telle importance.Je les comprendrais parfaitement si ils disent stop vu l'echec sur le fait d'avoir financé personnellement plus de 25% de la R&D Rafale.

Dans le principe, c'est vrai. Mais c'est presque une tradition chez Dassault de financer personnellement les programmes d'avions de combats et c'est peut-être une des raisons du succès vu que ça permet à l'industriel de produire ce qu'il sait le mieux faire et qui serra donc le plus performant (contrairement aux demandes étatiques qui ne se rendent pas compte de la complexité de leurs demande et finissent par réclamer l'impossible)

Le cas du rafale avec 25% du financement par Dassault ne me paraît pas plus impressionnant que le couple mirage 4000/2000 (le proto du 4000 développé sur fond propre, mais à l'origine le programme complet du 2000 aurait du être financé par Dassault si l'État prenait à sa charge le 4000) ou même que le F1 (développé avant la demande officielle et parallèlement aux G4/G8/F2 répondant aux demandes gouvernementales)

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Dans le principe, c'est vrai. Mais c'est presque une tradition chez Dassault de financer personnellement les programmes d'avions de combats et c'est peut-être une des raisons du succès vu que ça permet à l'industriel de produire ce qu'il sait le mieux faire et qui serra donc le plus performant (contrairement aux demandes étatiques qui ne se rendent pas compte de la complexité de leurs demande et finissent par réclamer l'impossible)

c'est en grande partie inexact ARPA ...

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La bonne nouvelle est que Dassault vient d'investir dans de nouveaux supercalculateurs ce qui signifie qu'ils investissent.

http://www.silicon.fr/dassault-aviation-met-en-place-deux-nouveaux-supercalculateurs-bull-43080.html

HS mais pas tant que ça: le cas de BULL est particulièrement intéressant.

La société était moribonde. Après une succession de dirigeants manager qui avaient décrété que "maintenant il fallait se concentrer sur les services", la société s'était retrouvé dans l'état d'un Cap Gemini minuscule en moins bien; complêtement vidée de toute substance. Une coquille vide marketing.

Et puis un beau jour, miracle: il ont décidé de sortir un super-calculateur ce qui était leur coeur de métier pour une boites d'ingénieurs, la raison de leur existence, leur légitimité.

Et là deuxième miracle: tout le monde a fait son boulot, même l'état.

Leur super-calculateur était meilleur, et l'état leur a fait gagner un marché public.

Depuis le Tera 100 vole de succès en succès et Dassault aviation vient effectivement de se doter de 2 machines cash.

Bull recrute massivement en 2011.

c'est le plus puissant super-calculateur d'Europe, tous les autres sans exception sont américain ou japonais..... et obsolètes!

Même leur nouveau logo et leur graphisme à de la gueule.

Leur site est pas mal aussi.

Le Tera 100

Image IPB

On en parle pas beaucoup à la télé de ce succès hein?....

Le coup de pouce de l'état quand il a donné sa chance aux équipe de Bull a été 1000000 de x plus efficace que tous les mécano industriels scabreux de technocrates frustrés.

Félicitation et que ça serve de leçon... y compris pour le Rafale.

 

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Dans le principe, c'est vrai. Mais c'est presque une tradition chez Dassault de financer personnellement les programmes d'avions de combats et c'est peut-être une des raisons du succès vu que ça permet à l'industriel de produire ce qu'il sait le mieux faire et qui serra donc le plus performant (contrairement aux demandes étatiques qui ne se rendent pas compte de la complexité de leurs demande et finissent par réclamer l'impossible)

Oui mais jusqu'à présent Dassault Aviation arrivait à se récupèrer sur l'exportation et les programmes français.

Aujourd'hui, l'avance faite sur le Rafale n'a générée qu'une perte sèche et 10 ans plus tard, toujours rien en vue.

Le cas du rafale avec 25% du financement par Dassault ne me paraît pas plus impressionnant que le couple mirage 4000/2000 (le proto du 4000 développé sur fond propre, mais à l'origine le programme complet du 2000 aurait du être financé par Dassault si l'État prenait à sa charge le 4000) ou même que le F1 (développé avant la demande officielle et parallèlement aux G4/G8/F2 répondant aux demandes gouvernementales)

Il ne faut pas exagérer.Un unique prototype ne représente que 10% de la valeur à payer pour le développement d'un avion complet.Et Dassault a bénéficié à l'époque de financement étrangers qui prenaient une part du risque.Le problème est que seul les EAU veulent bien aujourd'hui mais pas à n'importe quel prix. ;)

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  • 1 year later...

http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/07/12/etienne-mougeotte-va-etre-remplace-a-la-tete-du-figaro_1732628_3234.html

Etienne Mougeotte, le directeur des rédactions du Figaro, va quitter ses fonctions.  Il sera remplacé par Alexis Brézet, actuel directeur de la rédaction du Figaro Magazine, dans un délai qui n'a pas été précisé.

La nouvelle a été annoncée dans la rédaction, jeudi 12 juillet au matin. Elle a pris de court les journalistes du quotidien et l'intéressé lui-même, dans la mesure où M. Mougeotte avait assuré, le 2 juillet, qu'il était confirmé dans ses fonctions par l'actionnaire, l'industriel Serge Dassault. "Je reste, avait-il déclaré devant les responsables de la Société des journalistes (SDJ). J'ai été confirmé par l'actionnaire et j'en suis heureux. J'aime ce métier et les équipes du Figaro." A propos des bruits insistants évoquant son départ, il avait parlé à cette occasion de "rumeurs colportées par la presse".

Sous la direction de M. Mougeotte, Le Figaro s'était signalé pendant la campagne présidentielle par des « unes » particulièrement hostiles à François Hollande, au point que celui-ci avait refusé de lui accorder un entretien. M. Mougeotte assumait sans états d'âme une position pro-sarkozyste, assurant que celle-ci correspondait aux attentes des lecteurs et profitait aux ventes du quotidien.

"GROUPE INDUSTRIEL"

Depuis plusieurs mois cependant, dans l'entourage de Serge Dassault, on faisait savoir que le groupe industriel, très dépendant des commandes de l'Etat, ne pouvait se placer dans une opposition frontale en cas de victoire de François Hollande.

"Le Figaro d'aujourd'hui n'est pas du tout dans le cas de figure de 1981, soulignait alors un proche de M.Dassault. A cette époque, le groupe de presse de Robert Hersant pouvait se permettre d'adopter une position d'opposition systématique et en tirer profit en augmentant ses ventes. Dassault est un groupe industriel avant d'être un groupe de presse. »

Son successeur, Alexis Brézet, est très apprécié de la rédaction et considéré comme un bon professionnel. Ancien directeur de la rédaction de Valeurs actuelles, c'est un conservateur, décrit par un journaliste du Figaro comme représentant "une droite intelligente".

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Effectivement c'est un début pour redéfinir leur architecture et se refaire un peu la main, il est basé sur des processeur intel avec os type linux.

reste à savoir si ils feront leur processeur.  c'est néanmoins une bonne nouvelle de savoir que Bull cherche à retrouver ses racines.

Juste ce qui faut pour AD.

TERA-100 est une grappe de 4 370 serveurs rassemblant 138 368 cœurs Intel Xeon 7500 et entrainant un système d'exploitation Linux2.

Ce supercalculateur dispose de plus de 140 000 barrettes de mémoire centrale pour atteindre une capacité de 300 téraoctets de RAM et de disques durs

pour une capacité totale de 20 pétaoctets dont le débit atteint le chiffre record de 500 gigaoctets par seconde.

Super on va enfin pouvoir faire tourner Flight Simulator X avec tous les curseurs à fond

==>  O0

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  • 3 years later...

voila l'upgrade, le Tera-1000, faut bien ca,  le bigdata, les cyber guerre, les simulations, ca mange tout ca

 

J'espère que Bull se remettra à faire des processeurs de grande puissance.

 

Le CEA veut se mettre à l’heure du calcul exaflopique en 2020

 

 

http://www.usine-digitale.fr/editorial/le-cea-veut-se-mettre-a-l-heure-du-calcul-exaflopique-en-2020.N341185

 

Pour être dans le HS, beau gâchis, Bull était très bien placé dans beaucoup de domaines....., dire que le premier micro ordinateur était français mais le reste n'a pas suivi.

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et pendant se temps là nous on navigue avec windobe et gogol et c'est pas donner 

 

Pour Windaube (c'est tout de même pas mal suivant les OS), jusqu’à peu je pensais revenir vers la Pomme mais je suis toujours traumatisé  :wacko:  par mon expérience passé dans la fiabilité ... et il y a un problème d'offre.

Linux pour ceux qui savent ce doit être une bonne solution en parallèle avec Windows.

 

Pour gogol je me limite au max.

Modifié par gargouille
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Linux pour ceux qui savent ce doit être une bonne solution en parallèle avec Windows.

En fait, Linux, c'est plus facile pour ceux qui n'ont pas pris de (mauvaises) habitudes avec Windows.

Ce n'est pas plus difficile, je dirais même au contraire.

Un truc qui m'emmerde systématiquement quand je me retrouve sous windows, c'est quand je cherche un programme ; il faut connaître le nom du fournisseur ! Sur la plupart des "desktop" Linux (l'interface Homme / Machine), c'est classé par thème : Bureautique, Internet, Multimédia, Graphisme... Bref, nettement plus simple.

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Dans les années 80, Bull a fait des erreurs stratégiques dans ses choix, il considérait que la micro était un jouet à la mode

 

Et ils avaient raison ... 30 ans trop tôt :lol:

 

Je me souviens encore de la guerre mini/micro des superbe solution client serveur tres efficace ... Mais l'engin n'était malheureusement pas la du tout. L'ordinateur n'était déjà plus là comme un outil, mais comme un hochet servant a valorisé l'employé autrement qu'en salaire.

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En fait, Linux, c'est plus facile pour ceux qui n'ont pas pris de (mauvaises) habitudes avec Windows.

Ce n'est pas plus difficile, je dirais même au contraire.

Un truc qui m'emmerde systématiquement quand je me retrouve sous windows, c'est quand je cherche un programme ; il faut connaître le nom du fournisseur ! Sur la plupart des "desktop" Linux (l'interface Homme / Machine), c'est classé par thème : Bureautique, Internet, Multimédia, Graphisme... Bref, nettement plus simple.

Allez je me permets encore ce HS (le dernier  8) ).

Peut être que c'est le cas aujourd’hui, mais j'ai essayé il y a pas mal d'années avec soit disant une solution grand public....., donc pas pour l'utilisateur lambda que je suis et je n'ai jamais eu d'éco contraire.

Mais bon ça vaut la peine d’essayer de nouveau.

Modifié par gargouille
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@ g4lly: la capacité pour les futurs UCAV de collecter des informations de manière autonome sans indication fournie par un Rafale, les partager entre UCAV , les hierarchiser et en présenter une situation synthétique au Rafale qui les contrôle. Le SCAF en tant de démultiplicateur de forces est potentiellement un outil aux capacités de combat collaboratif inédites. La maitrise du Big data est clairement un enjeu du SCAF.

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