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Service de Santé des Armées


charli
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Pour le SSA même si officiellement le commandement d'un hôpital est donné à un médecin général, la partie gestion est confiée à un colonel ou lieutenant-colonel de l'armée de terre qui est spécialisé dans la gestion administrative. Qu'un hôpital militaire coûte plus cher c'est normal, déjà du personnel militaire doit être toujours en plus pour pouvoir être projeté à l'étranger. De même certains militaires, par exemple je pense aux infirmiers, du fait de leur statut, qui leurs imposent des contraintes par rapport aux civils, sont mieux payés.

Dans certains domaines on peut améliorer la gestion mais des contraintes existent. On pourrait en fermer certains, mais ça imposerait aux hôpitaux publiques une surcharge de travail qui au vu des diminutions de personnels et de services serait difficilement supportable, ce qui à terme aurait une incidence sur la prise en charge des malades.

Donc tout n'est pas si simple et on peut le généraliser à toute l'armée.

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A un colonel ou lieutenant-colonel de l'armée de terre, Non. A un OCTASSA oui.

A titre de rappel, il y a eu un rapport d'un organisme étatique montrant que 20% à peine du corps médical partent en OPEX. Les HIA sont censés:

  • faire des interventions médicales complexes aux corps médical pour qu'il ait toute les compétences (avoir des médecins faisant de la bobologie de sert à rien, avoir des médecins expérimentés oui). Il s'agit donc d'une gestion des compétences.
  • donner des médecins (réa, chir, anesthésiste, ophtalmo etc.. ) des infirmiers aux ACA, HMC.

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La medecine militaire ce n'est pas que de l'opex ... et plein de spécialité ne sont pas présente dans le civil.

Par exemple les blessure par balle, ou les gros trauma suite a écrasement de membre sont souvent traité dans les hopitaux militaire plutot que dans les CHU parce que les hopitaux militaires on cette compétence et beaucoup moins les CHU.

Idem pour pas mal de pathologie psychiatrique, la rééducation, etc.

Le SSA s'occupe aussi de la sécurité et santé en métropole, en lien avec la sécurité civile, notament en prévention de catastrophe, contamination NRBC etc.

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S'il y a 20 % de médecin en opex, il faut déjà 20 % de médicaux en plus par rapport aux hôpitaux civils vu le rôle de service publique a assurer en permanence en France. Pour le colonel, il me semblait qu'il était de l'armée de terre, mais j'ai pu me tromper,en tout cas il y a 10 ans le personnel administratif était pour parti composé de personnels de l'armée de terre et c'est vrai il y avait quelques OCTASSA, dont certains formés à la gestion.

C'est bien cela le problème. Est-ce que le SSA doit jouer le rôle de service publique comme les hôpitaux civils?

Il y a des pour et des contres. Le pour, une partie de son financement vient de la sécurité sociale pour les actes effectués. Ne pas faire d'actes comme les CHU reviendrait à:

- diminuer son budget

- diminuer l'expertise des personnels

Mais il y a la difficulté à recruter des médecins militaire et à avoir un roulement sur le terrain.

A Eurosatory, une conférence sur les Doctrines et techniques de médicalisation de l'avant sera organisée et un pôle médecine opérationnelle de 500 m² mis en place.

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La défense de la France et des Francais en France est aussi une mission militaire! D'autant plus quand il s'agit de domaine d'excellence des médecins militaires. La médecine de crise, la traumato lourdes, les blessure spécifique aux armes de guerre, cinétique, thermique, chimique, biologiquen radiologique tout ca c'est tres utile en France aussi.

Par exemple a par les hopitaux militaire il n'y a pas de structure spécialisé pour soigner les irradiés, alors qu'on a une densité de site nucléaire en activité importante.

Accessoirement il y aussi des tache non négligeable

- de formation du personnel santé

- formation des militaire autres

- suivi médical des militaires hors OPEX

- action de prévention et controle médicaux des matériels, consommables et méthodes.

- suivi veto

- renseignement sanitaire et médical

Pour le service auprès du public non seulement ça entretien le lien armé nation, ca fait rentrer des sous, ca met a disposition du grand public des compétence tres spécifique, mais surtout ca entretien la compétence en temps de "pas crise". Le personnel médical du SSA ne se recrute et se forme pas a la sauvette ...

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Nous sommes d'accord G4lly, mais certains lecteurs ne peuvent pas l'être. Ils peuvent arguer qu'il y a trop de soutiens, trop d'hôpitaux en oubliant que le soin ne se fait pas qu'en OPEX.

Mais j'ai l'impression que les choix sont déjà pris et que certaines intox ne sont pas innocentes.

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Vaste débat, peut-être certaines spécialités peuvent être supprimées, vu qu'il n'y a plus d'appelés qui ne pouvaient qu'être soignés qu'en hôpital militaire,mais n'ont-elles pas une spécificité militaire.

Après au niveau administratif peut-être des économies peuvent être faites, mais il faudra toujours conservé du personnel projetable.

Ce qui est sûr c'est que ces chiffres n'arrivent pas au hasard et on peut s'attendre à des coupes franches j'espère que cela ne sera pas pénalisant , pour les populations militaires et civiles.

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Personnellement je pense que 6 hôpitaux sur 9 vont être fermés. Et un accord-cadre signé avec le ministère de la santé pour envoyer le personnel soignant travailler la-bas.

Les HIA restant seront là pour exercer les spécialités militaires décrites par G4lly ainsi que les soins prodigué au PR.

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Personnellement je pense que 6 hôpitaux sur 9 vont être fermés. Et un accord-cadre signé avec le ministère de la santé pour envoyer le personnel soignant travailler la-bas.

Les HIA restant seront là pour exercer les spécialités militaires décrites par G4lly ainsi que les soins prodigué au PR.

Quand un policier tombe sous les balles il est bien content de trouver des spécialiste des blessures par munition haute vélocité pas trop trop loin par exemple ;)

On a le meme probleme avec pas mal d'accident notamment de la route mais aussi sur des chantier de bâtiment TP etc. des pathologie très spécifique est en urgence, m'enfin ... moi je dis ca, une fois les équipe dissoute dans les CHR je vois mal ces compétence entretenues. Si elle le sont aujourd'hui c'est exclusivement pour la médecine de crise et de combat, meme si en pratique ca sert a d'autre en temps de paix.

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La medecine militaire ce n'est pas que de l'opex ... et plein de spécialité ne sont pas présente dans le civil.

Par exemple les blessure par balle, ou les gros trauma suite a écrasement de membre sont souvent traité dans les hopitaux militaire plutot que dans les CHU parce que les hopitaux militaires on cette compétence et beaucoup moins les CHU.

Idem pour pas mal de pathologie psychiatrique, la rééducation, etc.

Le SSA s'occupe aussi de la sécurité et santé en métropole, en lien avec la sécurité civile, notament en prévention de catastrophe, contamination NRBC etc.

peut etre que l'idée c'est que le SSA se concentre sur son coeur de métier ?

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peut etre que l'idée c'est que le SSA se concentre sur son coeur de métier ?

C'est quoi son coeur de métier?

Faudrait quand meme arreter de croire que les militaires sont juste des mercenaires destiné a faire le coup de feu a l'autre bout du monde!

A la base leur boulot c'est de défendre la France et les francais ... et en temps de paix relative "s'occuper" - protéger défendre secourir etc. - des francais en France ou ailleurs fait aussi parti du métier, d'autant plus quand cela concerne des capacité spécifique aux forces armées, et quasi pas représenté dans le SP civil, et absolument pas représenté dans le privé.

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C'est quoi son coeur de métier?

ben tu l'as dit toi meme, c'est de soigner les blessures de guerre, j'ajouterai faire le "tri" en amont en cas d'afflux brutal.

Faudrait quand meme arreter de croire que les militaires sont juste des mercenaires destiné a faire le coup de feu a l'autre bout du monde!

ben j'ai pas dit ça, la priorite c'est la baston chez nous avant la baston chez les autres.

A la base leur boulot c'est de défendre la France et les francais ... et en temps de paix relative "s'occuper" - protéger défendre secourir etc. - des francais en France ou ailleurs fait aussi parti du métier, d'autant plus quand cela concerne des capacité spécifique aux forces armées, et quasi pas représenté dans le SP civil, et absolument pas représenté dans le privé.

ben c'est ce que je dit, tant que ça concerne la baston ou ses conséquences qui peuvent pas ou mal etre traités par ailleurs, c'est son coeur de métier.

Maintenant si tu veux meme pas qu'on jette un coup d'oeil de temps en temps pour vérifier que ça a pas dérivé, faudra m'expliquer pourquoi. Crainte de sortir du train train quotidien ? crainte de la remise en question ? crainte qu'on jette le bébé avec l'eau du bain ? reflexe de la contestation systematique ?

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ben tu l'as dit toi meme, c'est de soigner les blessures de guerre, j'ajouterai faire le "tri" en amont en cas d'afflux brutal.

En fait c'est infiniment plus large que ca :) j'ai fait un bout de liste non exhaustive au dessus... des missions qui ne peuvent être sereinement externalisé.

crainte qu'on jette le bébé avec l'eau du bain?

C'est pas une crainte c'est une certitude. On vit dans un monde qui a le culte de la médiocrité et du "profit", a chaque fois qu'on parle de rentabiliser quelques choses le seul objectif c'est la baisse du cout a court terme, tous les autres intérêts n'existe pas. Au finale les pertes de compétence sont grande, quasiment irrécupérable, et coûteuse a la collectivité de manière indirecte. Construire c'est long et difficile, détruire c'est facile et instantanée, actuellement on préfère la facilité et l'instantanéité.

Apres si tu me parle de modifier la maniere dont sont administré les hopitaux militaires allons y, si veux les rentabiliser en les faisant gagner plus d'argent grace a leur soi ou a leur recherche banco, si tu veux opexalisé plus les personnel pareil d'accord a 100% ... mais fermer brutalement 6 sur 9 ... et diluer le personnel dans le néant, pour moi c'est de la destruction pure et simple de richesse.

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je comprend que c'est une crainte mais si on part dans cette optique d'office, on fait jamais rien

On peut quand meme modifier les choses sans tout détruire au préalable! prendre le temps de laisser le changement s'instiller dans l'organisation, donner de la visibilité aux acteurs etc. Je suis pas du tout convaincu de la pertinence a moyen terme de ces comportement quasi caractériel quand il s'agit de gérer l'état.

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peut etre que l'idée c'est que le SSA se concentre sur son coeur de métier ?

En lisant ton post, j'allais poser la même question que G4lly mais il ma devancé. D'après la cours des comptes, c'est:

Le Service de santé des armées (SSA) a pour mission d’assurer aux armées une couverture complète de l’ensemble de la chaîne sanitaire, de la médecine préventive aux soins immédiats, à l'hospitalisation et au suivi des patients.

Organiser le soutien médical « au plus près » des blessés a toujours constitué une spécificité française qui n’était d’ailleurs pas propre au milieu militaire. Un tel mode de fonctionnement s'appuie, dans un premier temps, sur la médicalisation immédiate des blessés qui sont, par la suite, évacués. Seuls, des personnels médicaux de statut militaire peuvent être exposés de la sorte sur des terrains d’opération. Le service de santé est chargé d’apporter un support médical à 700 blessés éventuels par jour.

Pour remplir cette mission de soutien médical hors de France en temps de crise ou de guerre, le service de santé des armées doit disposer de structures et d’effectifs propres sur le territoire national, afin de garder à sa disposition des moyens humains au statut adapté, en effectif suffisant, et détenteurs de compétences à jour.[

Ne pas faire du service public, c'est avoir des mauvais médecins car ils n'exercent pas (et avoir moins de rentrée d'argent > environ 397 M€ chaque année, en 2001 cela représentait 60,6 % % du budget).

Ne faire que du service public, c'est de pas offrir de soins aux militaires sur le terrain.

http://www.assemblee-nationale.fr/12/pdf/rap-info/i0335.pdf

Donc optimiser mais comment? Il faut un juste milieu (d'où ma question Est-ce que le SSA doit jouer le rôle de service publique comme les hôpitaux civils?).

Utiliser des réservistes alors qu'en Astan on a redécouvert que les médecins sont des militaires.

Utiliser la télémédecine, il faut des chirurgiens compétent dans les hôpitaux.

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Pour moi le SSA doit d'abord soigner les militaires et surtout dans des pathologies qui leur sont particulière (balle, explosions, syndrome psychiatrique post-traumatique...) mais comme cela ne représente pas un nombre de patient suffisants pour faire fonctionner un hôpital, son devoir est aussi d'avoir une action de service publique.

On peut développer la réserve mais cela restera à mon avis limité. De plus ça peut fonctionner pour les chirurgiens, ça me semble plus difficile pour les paramédicaux vu l'état des effectifs dans les hôpitaux. Donc il faut du personnel militaire, qui pour être opérationnel doit s'exercer en hôpital.

On peut supprimer certains hôpitaux mais cela aura des conséquence pour la santé dans les villes touchées. De même les médecins partiront sur les HIA restant, ainsi que le personnel infirmier qui est en majorité militaire, donc il sera difficile pour les hôpitaux publiques de compenser ces fermetures.

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Bon on s'en serait douté mais le tout c'est que ça soit fait intelligement. On peut pas refuser l'idée de concentrer le SSA sur son coeur de métier sous pretexte que la mise en pratique peut etre effectuée de façon stupide. On peut quand meme assumer de temps en temps que si tout le monde fait de son mieux on peut faire du bon boulot non ?

Si pour pouvoir se concentrer sur son coeur de métier il faut des activités annexes afin de maintenir un plan de charge suffisant, et bien va pour les activités annexes vu que celles-ci contribuent à atteindre l'objectif. Le tout c'est que ça ne fasse pas perdre de vue ledit objectif, chose qui arrive souvent avec le temps. C'est pour ça que toute structure doit etre réexaminée régulièrement à la lumiere du cahier des charges.

Maintenant si ça pose probleme aux civils, ça va etre aux civils de le résoudre, pas aux militaires. Bien sur il doit y avoir coordination mais faut absolument pas que ça remette en cause l'objectif du départ. Sinon on mélange tout, si on bloque tout le temps sur les interactions indirectes, on fait jamais rien et c'est le bordel.

Voilà pour les généralités, je ne connais rien au SSA  :P

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On s'en serait douté, mais il est bon de rappeler certaines choses, après l'armée ne fait pas de l'aménagement du territoire, mais ça dépend parfois. De même, elle est d'abord au service de la population. Je rappellerai que dès 2000 un grand nombre d'hôpitaux militaires ont été fermés et un format a été déterminé, peut-être est-il encore trop important, à voir.

Mais si c'est mal fait, cela aura des conséquences dramatiques sur les hommes qui sont sur le terrain, donc on ne peut pas raisonner qu'en termes comptables.

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@roland.

Tu te réfères à un coeur de métier qui est erroné, le SSA ne sert pas seulement pour soigner sur le terrain, ce n'est pas le SAMU.

présentation du 10/05/2010

http://medecine.univ-lille2.fr/pedagogie/contenu/discipl/med-militaire/ssa-operations2010.pdf

http://medecine.univ-lille2.fr/pedagogie/contenu/discipl/med-militaire/ssa.pdf

http://medecine.univ-lille2.fr/pedagogie/contenu/discipl/med-militaire/chir_guerre.pdf

http://medecine.univ-lille2.fr/pedagogie/contenu/discipl/med-militaire/chir_guerre2.pdf

Lorsque l'on parle d'épidémiologiste envoyé en Asie. Quel est à ton avis le service envoyé la-bas?

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  • 4 months later...

Cela fait la seconde fois...

Pour moi les recommandations sont clair:

*Le rapport coût-efficacité du système de formation est cependant peu satisfaisant. Le SSA dispose d’écoles de formation de ses praticiens sur-encadrées. > conclusion l'école de Bron va réduire ses effectifs en personnel administratifs.

*adossement au dispositif de santé publique, qui doit permettre une mutualisation avec les structures sanitaires civiles, et une amélioration de la gestion des établissements. La politique d’autonomie complète par rapport aux autorités civiles de santé doit être abandonnée > déjà en cours puisque les médecins militaires vont au ministère de la santé faire un "stage"

*Poursuivre l’adaptation du soutien santé aux nouvelles conditions d’emploi des forces (formation militaire, équipement, psychiatrie) ;

*Accroître la coopération avec les alliés dans le cadre des engagements en coalition ;

*Rendre compte des délais d’évacuation des blessés en opérations extérieures ;

*Ouvrir plus largement les dispositifs du service de santé aux populations civiles locales afin de garantir une activité suffisante aux praticiens militaires et développer une démarche de coopération civilo-militaire ;

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@Wolfmoy : C'est bizarre mais de ce que je vois c'est déjà le cas pour tout cela !

- La qualité de la formation est terrible, tellement bonne qu'il y a plein de futur civil qui vont y faire leurs premieres année d'étude!

- Les hopitaux militaire participe largement au systeme de santé publique civile, y a plein d'hospit' en urgence dans les hopitaux militaire surtout dans les pathologie ou ils sont particulierement bon comme la traumato lourde - hors neuro - genre accident de bagnole.

- Pour la psychatrie les service des hopitaux militaires sont souvent bien meilleur que les service civils. Bon en meme temps c'est pas dur vu le délabrement de la psychatrie dans le civil... il se trouve que de nombreux civil sont pris en charge dans les service psy militaire qui traite bien les crises des maladie moins classique que celle classiquement traité dans le public.

- Pour les délai de prise en charge des blessés y a un compte rendu sur le mamouth ... qui explique que si retard il y a c'est essentiellement a cause des difficulté d'extraire les blessé de la zone de combat pour acceder a une DZ "propre".

- Pour l'ouverture des hopitaux au civil je vois pas trop ce qui peu etre fait de plus le volume de prise en charge de civil est important dans les hopitaux militaire, j'ai plus les chiffre exacts en tete mais ca doit tourner autour de 70% en métropole, et bien plus a Djibouti ou en OM.

Par contre le rapport pointe bien que pas mal d'utilisateur du SSA ne paye pas aussi bien la formation que les soins :)

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on peux lire dans le rapport, que:

Si les rapatriements peuvent désormais être assurés dans des conditions satisfaisantes, il reste, en revanche, indispensable d’améliorer les capacités nationales d’évacuation tactique des blessés des zones de combats vers les antennes chirurgicales. L’armée de l’air manque des hélicoptères et des équipages nécessaires pour assurer des délais d’alerte courte.

Ces coopérations opérationnelles ne donnent cependant pas lieu à de vraies mutualisations, sauf avec l’Allemagne. Dans ce dernier cas, les services de santé des deux pays disposent des mêmes « boîtes neurochirurgicales », du même cahier des charges, du même fournisseur d’oxygène à 93%, des mêmes « plateformes d’intervention » et d’une liste commune de médicaments, afin de faciliter leur intégration. Des accords ont aussi été conclus en matière de transfusion sanguine. Enfin, l’équipement médical de l’hélicoptère NH 90 devrait être identique dans les deux versions de l’appareil

Une plus grande implication des équipes médico-chirurgicales militaires françaises au profit des populations locales semble pourtant souhaitable et possible. En effet, l’activité générale des équipes reste très faible sur les théâtres d’opérations : de moins d’une intervention par jour (un acte tous les trois jours au Liban) à un peu plus de trois interventions par jour au Tchad.

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