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Service de Santé des Armées


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il y a 22 minutes, collectionneur a dit :

Donc toujours une enceinte militaire, Bercy n'a pas réussi a le revendre ?

Moins de problème alors.si on doit faire comme a Mulhouse.

Castaner veut le recuperer pour  y implanter une« cité du renseignement »

La maire de Paris veut y loger les SDF 

Mais pour l'instant les Sentinelles et les CRS tiennent la place. 

une centaine de personnes ont manifesté à l’appel du DAL devant l’hôpital du Val-de-Grâce pour demander la réquisition de l’établissement hospitalier pour les mal-logés.

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Il y a 3 heures, collectionneur a dit :

Et oui, une médecine militaire aussi échantillonnaire que l'ensemble des capacités échantillonaires de l'armée...

En attendant le 24 Décembre...

https://lavoiedelepee.blogspot.com/2020/03/dinde-et-kaiju-petites-economies-et.html?m=1

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Il y a 4 heures, pascal a dit :

article sans concession mais qui a le mérite de replacer l'église au milieu du village

Apres le SSA est configuré pour etre en auto releve en opex 

cartes SSA 2019

ETuKe4rWAAAWpIO?format=jpg&name=medium

 

Bon maintenant avec l'operation Resilence il va y avoir des operations qui vont s'arreter 

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Pour l'instant j'ai comme info retrait d'Irack pas de deployment Lynx reduction DAMEN au Liban à une seule AMET  

Le Dixmude ce prepare pour un deploment sur les Antilles ou la situation se dégrade 

Il est prévu qu'il embarque l'hopital de campagne de la securité civile qui sera redeployer sur la Gaudeloupe (avec des ameliorations vu les retex  2018) et un SGT Securité civile (Marin pompiers + Diferent SDIS ) 

 https://www.sfmu.org/fr/actualites/actualites-de-l-urgences/l-hopital-modulaire-et-nomade-escrim-l-experience-de-la-guadeloupe/new_id/60916

2 Hélicoptere de  ALAT et 2 dauphins de la Marine embarquerait à bord du Dixmude 

Un Falcon Medicaliser va aussi se rendre sur zone pour des EVASAN inter ilês   

Le GAN va renter à Toulon pour avoir les hélico dispo 

Les regiment du Train vont livrer les masques aux hopiteaux afin d'eviter les vols  

L' A330 MRTT reste en configuration Morphées . 

En ocean indien un A 400M va projeter du matos sur la Reunion pour le Mistral

Et un Dash SC va aller sur Mayotte avec pax medical et Matos.  

Voila les nouvelles du front  

 

Maintenant pour mettre un peu d'humour 

Pour 2021 Les Chinois nous prepare une version Covid 21 S plus

3 fois plus contagieux et mortel à base de serpents venimeux 

Les meilleurs expetes chinoises en cuisine de serpent sont sur le pont :bloblaugh:  

 

maxresdefault-7-1024x576.jpg

 

 

 

Modifié par Scarabé
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  • 2 months later...

http://www.opex360.com/2020/06/13/le-service-de-sante-des-armees-est-aujourdhui-proche-dun-point-de-rupture-previent-un-rapport-du-senat/

Quote

Le Service de santé des Armées est "aujourd'hui proche d'un point de rupture", prévient un rapport du Sénat

Durant l’épidémie de Covid-19, le Service de santé des Armées [SSA] a été fortement sollicité, ne serait-ce que dans le cadre de l’opération Résilence, lancée le 25 mars dernier. Ainsi, il a été mobilisé pour transférer des patients vers des hôpitaux qui n’étaient alors pas sous tension, accueilli des malades dans les siens et mis en oeuvre, d’abord à Mulhouse et maintenant à Mayotte, l’Élément Militaire de Réanimation du Service de santé des armées [EMR-SSA], déployé en un temps record avec l’appui du Régiment médical [RMED] de l’armée de Terre.

Au 1er mai, a témoigné le médecin chef des services hors classe (2S) Jacques Escarment, chef de l’élément militaire de réanimation à Mulhouse, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, « 321 militaires avaient participé au pôle EMR-SSA de l’opération Résilience, dont 230 du service de santé des armées, dont toutes les composantes furent mobilisées – hospitalière, médecine des forces, ravitaillement, recherche, épidémiologie, et 91 de l’armée de Terre ». Et, a-t-il précisé, « au maximum, 188 personnels ont été présents sur le site de Mulhouse, dont 136 personnels du SSA répartis en équipes équilibrées. »

Au total, à Mulhouse, l’EMR-SSA a fourni l’équivalent de 600 jours d’hospitalisation.

Représentant seulement 0,7% de l’offre de soins totale en France, les 8 hôpitaux d’instruction des armées [HIA] rescapés des dernières réformes ont réalisé 2% de l’activité de réanimation liée à la COVID-19 au niveau national. L’hôpital Bégin, établissement de référence de niveau 1 pour les risques infectieux émergent, a accueilli 30% des partients admis au sein des HIA. « Si nous ne sommes pas l’Ultima ratio de la santé publique, nous contribuons à la hauteur de nos moyens », a souligné le médecin général Édouard Halbert, chef de la cellule de crise COVID-19 du SSA, lors d’une autre audition à l’Assemblée nationale.

Par ailleurs, le SSA a mobilisé 336 internes des hôpitaux des armées et élèves de l’Ecole du Val-de-Grâce pour renforcer les équipes des hôpitaux civils et militaires. Même chose pour les infirmiers anesthésistes et de bloc opératoire.

Dans le même temps, le SSA a continué à assurer sa mission première, c’est à dire le soutien médical aux forces armées, alors même que les opérations, notamment au Sahel, n’ont pas baissé d’intensité, bien au contraire. Et la contamination d’une partie importante des marins du groupe aéronaval [en particulier parmi l’équipage du porte-avions Charles de Gaulle] est venue s’ajouter à une activité déjà forte.

« Ce sont les personnels déjà sur-engagés du SSA qui ont dû faire face, avec un taux de projection des équipes médicales de 106 % et de 200 % pour les équipes chirurgicales », précise ainsi la sénatrice Christine Prunaud, qui a rédigé avec son collègue Jean-Marie Bockel, un rapport intitulé « Redonner du souffle au SSA ». Ce dernier a été examiné, le 10 juin, par la commission sénatoriale des Affaires étrangères et des Forces armées.

Avec un effectif de 15.000 personnes et un budget d’environ 1,4 milliard d’euros par an, le SSA ne représente plus aujourd’hui que 1% de l’offre de soins en France. Et il a été frappé de plein fouet par les suppressions de postes décidées lors des précédentes Loi de programmation militaire [LPM], notamment celle ayant couvert la période 2009-14, ainsi que par la Révision générale des politiques publiques [RGPP]. Cela étant, certaines mesures pourvaient sembler adaptées à la nouvelle donne créée par la fin de la conscription.

Cependant, les déflations [-1.600 postes en cinq ans] et les coupes ont été trop loin. Ainsi, il lui manque désormais au moins 100 médecins et, comme le rappelle Mme Prunaud, il « ne tourne aujourd’hui que grâce à ses 3 000 réservistes pour assurer ses missions auprès des 31 000 militaires en opérations sur les théâtres extérieurs. »

Cette situation a d’ailleurs été au centre du dernier rapport du Haut Comité d’évaluation de la condition militaire [HCECM], lequel s’est dit « préoccupé » par l’avenir du SSA.

« Il manque par ailleurs 17 % des chirurgiens orthopédiques prévus en organisation et 10 % des chirurgiens viscéraux. Cette situation
est d’autant plus inquiétante que le service est aujourd’hui sur-engagé par rapport au contrat opérationnel qui lui a été fixé : les médecins généralistes sont à 110 ou 120 % des objectifs assignés et les chirurgiens à 200 % », avait décrit le HCECM.

Les réformes du SSA ont eu « un véritable effet de ciseaux […] : la diminution des moyens a été concomitante à l’intensification des missions en OPEX d’une part, avec à partir de 2013 l’engagement au Sahel, et en OPINT d’autre part, avec à partir de 2015, la remontée en puissance de la force opérationnelle terrestre [FOT], conséquence des attentats sur le territoire national », a rappelé Mme Prunaud.

Certes, la LPM 2019-25 actuellement en vigueur a mis un terme à la déflation des effectifs du SSA. Et elle prévoit même de les augmenter très modestement après 2023. Mais, pour le sénateur Jean-Marie Bockel, cela « paraît insuffisant ».

« Si la revue stratégique [de 2017] a bien pointé le risque d’une crise pandémique, les chiches moyens accordés par la loi de programmation militaire au SSA montrent que les conséquences n’en ont pas réellement été tirées », a fait valoir le sénateur du Haut-Rhin.

D’autant plus que, a-t-il fait observer, « face à la tension extrême sur ses moyens, le SSA est aujourd’hui proche d’un point de rupture. » Aussi, a-t-il estimé, « ses moyens et son rôle doivent être renforcés à l’occasion de l’actualisation de la LPM en 2021 ».

En outre, a continué M. Bockel, « d’autres mesures doivent être envisagées pour permettre de fidéliser des personnels sur-engagés et attirer des personnels civils en attendant la formation des futurs médecins militaires dont le nombre doit être revu à l’aune des besoins. » Aussi, a-t-il insisté, « l’actualisation de la LPM l’année prochaine sera le moment de calibrer la rénovation du SSA. »

Enfin, la féminisation du SSA pose des défis, ont souligné les deux rapporteurs. Un point qui avait déjà été soulevé dans le dernier rapport du HCECM.

« Pour ce qui est de la féminisation, c’est la question de la compatibilité des contraintes militaires avec les vies de famille, ou encore de la maternité, ce qui nous ramène en réalité à la question des effectifs. Ce sont des choses qui s’anticipent en termes d’effectifs globaux, permettant d’assumer cette dimension heureuse de la féminisation », a expliqué M. Bockel.

« Il y a a les arrêts liés à la maternité certes, mais le problème est en fait celui du manque de médecins. Pour y faire face, le SSA a recours à un nombre élevé de réservistes. Pour les femmes comme pour les hommes, cela constitue des difficultés de travail du fait d’une pression constante, dont nous sommes peut-être moins conscients par rapport à celle que subit la médecine publique de nos hôpitaux. Le problème se situe également au niveau de la rémunération », a résumé Mme Prunaud.

 

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  • 2 weeks later...
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Le Service de santé des Armées: il est temps de "redonner du souffle à un service éreinté"

Le Service de santé des armées (SSA), surengagé auprès des militaires français en opérations malgré des "moyens éreintés", est "dans une situation critique", souligne le rapport sénatorial "Suivi de l'action du service de santé des armées pendant la crise sanitaire", rapport qui réclame un renforcement de son budget.

"Pris en tenaille entre la diminution de ses moyens et l'augmentation de ses missions, le SSA est aujourd'hui dans une situation critique", soulignent les co-auteurs du rapport, Jean-Marie Bockel et Christine Prunaud, en demandant "une réévaluation de ses moyens" à l'occasion de l'actualisation de la loi de programmation militaire (LPM) prévue en 2021.

"Avec moins de 15 000 personnes et 1,4 milliard d'euros de budget, le SSA a perdu 1 611 postes en 5 ans et il manque au moins 100 médecins", souligne la sénatrice Christine Prunaud, notant que le service "ne tourne aujourd'hui que grâce à ses 2 900 réservistes" (mais 50 % d'entre eux sont appelés à partir à la retraite à court terme).

Selon les auteurs, "la situation du SSA reste fragile du fait :
- de la féminisation du corps médical (qui)pose certains défis,
- du fonctionnement quotidien des centres médicaux des armées (qui) est également marqué par un accroissement des besoins en expertise médicale d'aptitude et une intensification des activités de soutien des activités à risque, du fait de l'augmentation de la force opérationnelle terrestre et du plan Réserve 2019,
- enfin, de l'attractivité du secteur civil, particulièrement forte pour certaines spécialités hospitalières (radiologie, anesthésie-réanimation et chirurgie), (qui) favorise de nombreux départs de l'institution. La stabilisation du SSA reste donc à surveiller alors que les attentes à son égard vont croissantes."

Malgré ces coupes claires, les personnels du SSA sont très fortement sollicités pour "accompagner l'engagement intense en opérations des armées françaises", notamment au Sahel, relève le rapport. Ainsi, notent les auteurs, les équipes chirurgicales du service ont été projetées en opérations deux fois plus souvent que prévu l'an passé.

Outre le soutien médical des forces armées, qui constitue sa mission première, "le SSA a fourni une contribution significative à l'opération Résilience" chapeautant les moyens militaires mobilisés pour aider la France à faire face à la crise sanitaire: accueil de patients dans les hôpitaux d'instruction des armées (HIA), création ad hoc et déploiement d'un service de réanimation sous tente (EMR) à Mulhouse puis à Mayotte, ou encore transfert par voie aérienne de malades grâce au service de réanimation volant Morphée.

Ce rapport est disponible ici.

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2020/06/23/le-ssa-21266.html

Le rapport http://www.senat.fr/notice-rapport/2019/r19-501-notice.html

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Il y a 2 heures, kalligator a dit :

Lors d'une OPEX récente on avait signalé un nombre inquiétant de malaria...c'est peut-être lié

Ca c'est juste les imbeciles qui n'ont pas pris leur dose de cachetont. 

Ou alors ils ont vendu leur dose de chloroquine au marché noire profitant de la crise du Covid.   

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Le 24/06/2020 à 18:46, Scarabé a dit :

Ca c'est juste les imbeciles qui n'ont pas pris leur dose de cachetont. 

Ou alors ils ont vendu leur dose de chloroquine au marché noire profitant de la crise du Covid.   

Normalement le SSA fournit de la doxycycline

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  • 3 weeks later...
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Il faut sauver le soldat SSA: "La médecine de l’avant, ici et maintenant !"

Le SSA (photo AFP) continue de susciter des louanges, des interrogations, des critiques et des réflexions. Sur ce dernier point en témoigne la note du 14 juillet publiée par le centre de réflexions L'Hétairie et rédigée par Alexandre Papaemmanuel. 

L'auteur formule 12 recommandations pour préserver et renforcer "un outil qu’il ne faut pas se contenter de redécouvrir à chaque crise". Mais sa réflexion ne se limite pas à ces propositions; elle en analyse le fondement et les détaille.

La note est à consulter ici. https://www.lhetairie.fr/single-post/SSA-covid

Alexandre Papaemmanuel est bien conscient que "la matérialisation de cette "santé de l’avant" sur notre territoire national en temps de paix constitue un fait inédit matérialisé par le balai des évacuations par des moyens militaires ou le déploiement d’hôpitaux de campagnes dans nos régions". Ces moyens ont été revus à la baisse depuis le début des années 2000.

Heureusement, "après cet essorage managérial, pour la première fois depuis 25 ans, la loi de programmation militaire 2019-2025 prévoit une augmentation de postes au profit du SSA". Faut-il en conclure que le soldt SSA est sauvé?  Certes, partenariat et mutualisation renforceront les moyens. Certes, l'externalisation, choisie par les Anglo-Saxons, n'est pas à l'ordre du jour, ce qui témoigne de la volonté des gouvernants de compter sur les moyens patrimoniaux. Mais le SSA reste un outil en péril dont on connaît trop bien les fragilités et le taux d'usure. 

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2020/07/15/la-medecine-de-l-avant-ici-et-maintenant-21321.html

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  • 2 weeks later...

J'avais raté cette information : https://www.euractiv.com/section/defence-and-security/news/germany-wants-eu-hospital-trains-as-new-military-project/

Citation

L'Allemagne veut des "trains hospitaliers" européens comme nouveau projet militaire

La pandémie COVID-19 a montré la nécessité de réévaluer la perception de la menace militaire dans l'UE, a déclaré mercredi 8 juillet la ministre allemande de la défense, Annegret Kramp-Karrenbauer, en présentant les priorités de la présidence allemande du Conseil de l'UE en matière de sécurité de la défense pour les six prochains mois.

La crise sanitaire a révélé des lacunes dans la réponse de l'Union européenne à la crise, c'est pourquoi l'UE doit mieux se préparer aux pandémies ou aux événements qui font un grand nombre de blessés graves, a déclaré le ministre allemand de la défense lors d'un événement en ligne de la présidence.

Selon elle, cela pourrait être réalisé en créant un nouveau projet militaire commun de "train-hôpital" [Krankentransportzug] dans le cadre de la coopération structurée permanente de l'UE (PESCO), qui serait utilisé pour les opérations d'évacuation médicale.

L'Allemagne et la France discutent actuellement de la possibilité de développer une version ferroviaire basée sur l'avion MedEvac utilisé pour les évacuations médicales afin de servir d'outil "pour la relocalisation à travers l'Europe", a déclaré M. Kramp-Karrenbauer.

"Ce que nous imaginons, ce sont... des unités de soins intensifs roulantes, c'est-à-dire des wagons de chemin de fer qui peuvent également être convertis à cette fin et qui peuvent être attachés à n'importe quelle locomotive", a déclaré le ministre allemand de la défense.

Elle a rappelé le concept de trains médicaux qui existait déjà pendant la guerre froide. Pour donner un exemple plus actuel, la France a amené les patients des soins intensifs à des capacités de traitement gratuites avec le TGV.

La proposition allemande arrive à un moment où une série d'initiatives politiques ambitieuses sont dans une phase décisive, faisant suite à la publication de la stratégie globale de l'UE pour 2016.

Les États membres doivent relier leurs capacités "plus étroitement et plus intelligemment". "La question est de savoir où nous allons rassembler ces compétences et ainsi obtenir un certain effet de levier", a déclaré M. Kramp-Karrenbauer.

Entre mars 2018 et novembre 2019, le Conseil de l'UE a adopté quarante-sept projets PESCO, qui couvrent la formation, le développement des capacités et la préparation opérationnelle dans le domaine de la défense.

Le prochain appel à projets PESCO devrait avoir lieu en 2021, lorsque l'initiative allemande de train-hôpital pourrait être introduite, tandis qu'un examen des projets actuels est en cours pour déterminer lesquels devraient se poursuivre. Les résultats sont attendus à l'automne.

Cependant, les coupes dans le projet de budget de la défense de la Commission européenne étaient déjà à l'étude bien avant que la pandémie ne frappe l'Europe.

La nouvelle proposition de budget de l'UE a connu une amélioration par rapport aux dépenses précédemment prévues par la Commission pour les initiatives de défense de l'Union, mais reste encore loin des ambitions initiales.

[...]

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

 

Modifié par Skw
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@gally, peut-être un mix.

Quand les structures locales sont submergées par un nombre de victimes importantes (type tremblement de terre, inondations, accidents industriels, covid) prévoir quelques rames pensées en amont et rapidement adaptée à des patients "stabilisés" c'est intéressant pour désengorger les structures locales. (kit type morphée sans que le passager lambda face la différence en temps normal).

J'ai entendu des témoignages de  soigants qui temoignaient que la plateforme était avantageusement stable (bogies du TGV) plutôt spatieuse pour les equipements, programmable et prioritisable et qu'elle permet "d'optimiser" le nombres de soignants / patients. Déplacer des soigants sur des structures submergées n'a plus de sens. Cela permet de retrouver des conditions opérationnelles. 

On peut pas ignorer la part de communication, sur des solutions qu'il a fallu trouver ou réinventer. 

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9 minutes ago, Phacochère said:

Quand les structures locales sont submergées par un nombre de victimes importantes (type tremblement de terre, inondations, accidents industriels, covid) prévoir quelques rames pensées en amont et rapidement adaptée à des patients "stabilisés" c'est intéressant pour désengorger les structures locales. (kit type morphée sans que le passager lambda face la différence en temps normal).

En cas de catastrophe naturelle le rail sera aussi touché ... c'est assez fragile comme infra ...

 

9 minutes ago, Phacochère said:

J'ai entendu des témoignages de  soigants qui temoignaient que la plateforme était avantageusement stable (bogies du TGV) plutôt spatieuse pour les equipements, programmable et prioritisable et qu'elle permet "d'optimiser" le nombres de soignants / patients. Déplacer des soigants sur des structures submergées n'a plus de sens. Cela permet de retrouver des conditions opérationnelles.

Oui le train c'est agréable ... mais le système de circulation a bord n'est pas très pratique pour du soin. En pratique c'est un couloir ... assez étroit pour laisser de la place a des compartiment.

---

Dans les pays ou les soins on du mal a toucher les patients on privilégie les camions ... avec des remorque télescopique déjà aménagé qui sont immédiatement opé quand ils stationnent. En association tout un tas de remorques on obtient très rapidement un centre médical complet ... autonome en énergie ... eau potable ... gaz etc. etc.

L'avantage du camion c'est qu'il suffit de passer un coup de lame dozer devant pour ouvrir une route ^_^

Exemple de remorques télescopique. l'avantage c'est que hors crise tu peux te servir du matériel pour faciliter l’accès aux soins des personnes isolées.

1270068306-single-truck-shot-1000x647.jp

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Le 27/07/2020 à 19:01, g4lly a dit :

En cas de catastrophe naturelle le rail sera aussi touché ... c'est assez fragile comme infra ...

+1, il faudrait d'abord s'assurer de l'intégrité du réseau et/ou organiser un transport vers une zone moins sévèrement touchée.

Le 27/07/2020 à 19:01, g4lly a dit :

le train c'est agréable ... mais le système de circulation a bord n'est pas très pratique pour du soin. En pratique c'est un couloir ... assez étroit pour laisser de la place a des compartiment.

Avec un kit, on peut par exemple faire sauter toutes les rangées de sièges, la gauche, la droite selon les besoins et ancrer sur ces mêmes prises /  des attaches, des kits médicalisés.

On peut relier une rame sur groupe electro et y installer un pôle,un hôpital de campagne. L'avantage du TGV, c'est que ça roule rapidement sur ses voies réservées à l'allez et que ça roule pas trop mal sur le réseaux normal. Au plus près. 

Si on regarde ce qui a été mis en place durant le covid on parle pas de 20 rames/train type week-end du 15 Août mais quelques rames assurant des allez-retours. Cela permet de rapidement faire parvenir des moyens en Europe au titre de la solidarité tout en sachant que les unités locales maîtrisent déjà ces moyens pensées en commun.

Encore un fois, en temps normal, ils roulent pour maîtriser les coûts. 

Le camion c'est pas mal. Je sais que c'est ulilisé en médecine préventive ou pour assurer un service de santé régulier dans les endroits isolés. Le train est aussi utilisé en Russie mais la taille et la nature du réseau routier du pays s'y prêtent bien. 

 

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Ortho...
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  • 2 months later...
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La valse des plans à la con ... je réduis j'augmente ... au grè des électrions et des épidémies ... résultat il faut désormais mendier et distribuer des biftons pour recruter :bloblaugh:

Quote

Pour recruter, le Service de Santé des Armées propose aux étudiants des bourses de 5000 à 15000 euros par an

Quand elle dévoila la nouvelle feuille de route du Service de Santé des Armées [SSA], en octobre 2020, la ministre des Armées, Florence Parly, annonça la création de 100 nouveaux postes de médecins et, en conséquence, la hausse de 15% du nombre d’élèves pratriciens à l’Ecole de Santé des Armées [ESA].

Une telle mesure était bienvenue, le plan SSA 2020, qui prévoyait une réduction importante de son effectif, ayant été beaucoup trop loin, de l’avis des parlementaires et du Haut comité d’évaluation de la condition militaire [HCECM]. D’autant plus que ses moyens ne suivirent pas la remontée en puissance des armées, amorcée dès 2015. Aussi, il ne pouvait qu’etre sous-dimensionné par rapport à ses missions de suivi médical des militaires et à ses engagements opérationnels.

Ainsi, comme l’avait souligné un rapport du HCECM publié en 2019, le SSA était alors  » sur-engagé par rapport à son contrat opérationnel […] : les médecins généralistes sont à 110 ou 120 % des objectifs assignés et les chirurgiens à 200%. »

Cependant, créer cent nouveaux postes est une chose. Mais encore faut-il du temps pour former de futurs médecins et autres personnels de santé. D’où, sans doute, la raison pour laquelle le SSA a désormais recours à un dispostif mis en place en 2018, à savoir l’Allocation financière spécifique de formation [ASFS].

Cette dernière a été créée pour faciliter le recrutement des armées pour des spécialités sous tension car exigeant des compétences également très prisées par le secteur privé. Il s’agit ainsi de « lier au service de l’institution militaire des élèves ou des étudiants bénéficiaires d’une allocation financière spécifique au titre d’une formation déterminée et répondant à des besoins du ministère des Armées. »

En clair, un étudiant ayant pris l’engagement de servir au sein des armées à l’issue de ses études reçoit une bourse d’un montant allant de 4.000 à 15.000 euros par an. Cette somme varie en fonction des diplômes qu’il a déjà obtenus et des compétences acquises au cours de sa formation. Sauf erreur, l’armée de l’Air & de l’Espace a été la première à utiliser ce dispositif. Récemment, le Service de l’énergie opérationnelle [SEO – ex-Service des Essences des Armées, ndlr] a fait savoir que, cette année, il a ouvert de dispositif pour recruter des sous-officers et des militaires du rang « dans les métiers nécessitant des qualifications techniques [maintenance].

Le SSA a donc également recours à cette ASFS afin de favoriser son recrutement dans des « domaines critiques. »

« Au sein du service de santé des armées, ces allocations sont attribuées aux étudiants en médecine [phase 2 du 3e cycle des études médicales], aux étudiants masseurs-kinésithérapeutes, manipulateurs en électroradiologie, infirmiers de bloc opératoire et techniciens d’installation en matériel de santé », explique-t-il. Et de préciser que « le montant de l’allocation varie de 5000 à 15000€/an durant 1 à 4 ans d’études. »

« Les étudiants bénéficiant de cette allocation terminent leurs études dans leurs instituts, écoles, universités et s’engagent, une fois diplômés, à servir au sein du service de santé des armées pour une durée égale au double des années financées », poursuit encore le SSA.

Cela étant, il y a une obligation de résultat à la clé. En cas d’échec ou s’il décline le poste qui lui sera proposé à l’issue de ses études, il devra rembourser les sommes versées. En outre, une année redoublée ne donne pas lieu au versement de l’allocation.

Une autre moyen de recruter pour le SSA passe par la mise en place d’une unité d’enseignement optionnelle « médecine militaire » au sein des facultés de médecine. Là, l’objectif est de « valoriser les missions du Service, auprès d’un public potentiellement intéressé par les perspectives de carrières proposées : parcours d’active, de réserve ou sous contrat. »

http://www.opex360.com/2021/04/10/pour-recruter-le-service-de-sante-des-armees-propose-aux-etudiants-des-bourses-de-5000-a-15000-euros-par-an/

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Il y a 9 heures, g4lly a dit :

La valse des plans à la con ... je réduis j'augmente ... au grè des électrions et des épidémies ... résultat il faut désormais mendier et distribuer des biftons pour recruter

Pourtant, vu le nombre restant réduit  d'étudiants pris en 2ème année des études médicales, le SSA serait une option plus attractive que de partir en Roumanie ou en Belgique...

Ceci dit la mesure concernée rajoute 100 places de plus au total, ce qui n'est pas énorme (récemment la ministre vient d'annoncer 1600 places en PACES sur les 14000 et quelques prévues pour toutes les filières (et pas seulement en médecine).

Modifié par BPCs
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