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il y a 14 minutes, elannion a dit :

Sont ils si nombreux que ça nos SJW ? Dans le sens que oui on n'entends que. A priori ils redéfinissent pas mal le champs médiatiques et sociétal mais si rupture donc affrontement comment imaginer un seul instant que Mary rose triton ascendant chaise de jardin, 1m70 gavé de quinoa puisse faire face à John le red neck 1 m90 gavé de barbac aux hormones et possédant accessoirement suffisamment de flingues pour collez Schwarzy sur orbite ?

Quand tu veux définitivement imposer ton mode de pensée cela passe par une coercition violente qui nécessite d'être en nombre et d'être capable d'aller au charbon. . .

j'ai un doute sur nos amis progressistes. . .

 

Ils feront comme partout... Ils utiliseront les FdO et même l'armée si il le faut en en appellent aux "valeurs" contre les Nazis.

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Il y a 1 heure, elannion a dit :

Sont ils si nombreux que ça nos SJW ? Dans le sens que oui on n'entends que. A priori ils redéfinissent pas mal le champs médiatiques et sociétal mais si rupture donc affrontement comment imaginer un seul instant que Mary rose triton ascendant chaise de jardin, 1m70 gavé de quinoa puisse faire face à John le red neck 1 m90 gavé de barbac aux hormones et possédant accessoirement suffisamment de flingues pour collez Schwarzy sur orbite ?

Quand tu veux définitivement imposer ton mode de pensée cela passe par une coercition violente qui nécessite d'être en nombre et d'être capable d'aller au charbon. . .

 j'ai un doute sur nos amis progressistes. . .

J'ai eu mal aux côtes à force de rire. :laugh:

Il y a 1 heure, Conan le Barbare a dit :

Ils feront comme partout... Ils utiliseront les FdO et même l'armée si il le faut en en appellent aux "valeurs" contre les Nazis.

Manque de pot d'après des sondages une large majorité des flics aux USA refuseraient de procéder au désarmement de force de la population.

Tiens check ça:

https://www.policeone.com/gun-legislation-law-enforcement/articles/6183787-PoliceOnes-Gun-Control-Survey-11-key-lessons-from-officers-perspectives/

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31 minutes ago, Patrick said:

J'ai eu mal aux côtes à force de rire. :laugh:

Manque de pot d'après des sondages une large majorité des flics aux USA refuseraient de procéder au désarmement de force de la population.

Tiens check ça:

https://www.policeone.com/gun-legislation-law-enforcement/articles/6183787-PoliceOnes-Gun-Control-Survey-11-key-lessons-from-officers-perspectives/

C'est pas tellement sur les flingues que les dites politiques, si elles étaient mises en place par une majorité "woke", seraient centrées, entre autres parce que ne pas réellement traiter ce sujet laisse à la gauche un de leurs sujets préférés pour taper médiatiquement sur la droite, tout comme ne surtout rien faire sur la sécurité à la frontière -aujourd'hui même pointée du doigt par nombre de "grands titres" de gauche, dont le NY Times, est une constante chez les Dems: ils s'alièneraient trop de monde en faisant quelque chose, et perdraient une bonne occasion de traiter la droite de nazie régulièrement. 

Ce serait plus sur quantités de "petites" et moins petites politiques de tous les jours. 

Pour ce qui est de la violence par armes à feu, et c'est aussi ce sur quoi les flics se fondent généralement beaucoup plus que sur une supposée forte proportion d'entre eux qui serait faite de "gun nuts", il faut noter que, hors des délires de la sphère médiatique, je crois que quelque chose comme 90% ou plus des morts et blessés par armes à feu (hors des suicides, qui comptent pour plus des 2/3 des morts) le sont par des armes illégales, issues de la contrebande et de vols. Moins de 10% le sont par des armes achetées légalement en magasin (et ce pourcentage est corrélé en fait avec la violence domestique qui se termine avec l'usage d'une arme à feu) ou issues des "gun shows loopholes" (des vides juridiques soi-disant énormes dans la réglementation des expositions d'armes à feu et des ventes qui s'y produisent) qui sont essentiellement des armes du champ médiatique, sans grande réalité mesurable. Et c'est là que la gauche médiatique US a créé une impasse dans le débat, parce qu'adresser le problème reviendrait à voir que la quasi totalité de la violence par armes à feu est liée au fait criminel, et pour l'essentiel à la criminalité organisée; or, traiter ce problème reviendrait essentiellement à parler de questions avant tout ethniques, vu que la part du lion, pour ne pas dire la quasi totalité, de la criminalité organisée violente, en tout cas la part du lion, est le fait aujourd'hui de gangs noirs et latinos (y'a encore un peu de russe, une quantité limitée d'asiatique, quasiment plus d'italien, un tout petit peu de nazillon, et du biker -ces derniers étant le plus souvent multi-ethniques, avec de grands gangs de bikers latinos et asiatiques). Et adresser la question sous cet angle est tabou et vous vaut l'ostracisme permanent. D'autant plus parce que l'essentiel de cette violence, au plan géographique, se concentre dans des zones urbaines et, électoralement, presque uniquement démocrates. Donc encore moins de raison de "parler vrai". 

Un sujet édifiant dans ce registre: les "fusils d'assaut", devenus en quelques années l'emblème iconique du débat après un petit nombre de tueries dont le lobby anti-armes à feu est parvenu à faire l'axe de toute politique en "habillant" le discours à sa sauce pour nommer le problème "automatic weapons" (note: quasiment toutes les armes vendues aux USA sont des "automatic": à part des revolvers à barillets et des fusils à pompe, tout est auto) et ainsi mieux stigmatiser les armes par de telles formulations. Dans la réalité, les armes longues (pas que les AR-15, dont la désignation est devenue synonyme, dans les médias, pour toute arme à feu faite pour la tuerie de masse) comptent pour moins de 0,5% des morts par armes à feu aux USA. Mais comme c'est évidemment un outil flippant, tout le débat s'y résume, dans une volonté éditoriale calculée (sans doute aussi mêlée d'ignorance du sujet) pour assimiler toute arme à feu à ces objets qualifiés indifféremment de "automatic" ou "military style". Comment va réagir le camp d'en face? Avec confiance sur la volonté de leurs adversaires pour une discussion raisonnable? On sait qu'environs 50% des électeurs démocrates sont pour l'abolition totale des armes à feu privées, et c'est disproportionné chez les citadins (qui tendent plus à être démocrate): comment, pour les partisans du droit au port d'arme (qui sont aussi nombreux à gauche, notamment chez les minorités ethniques), croire qu'un changement légal fait avec ces gens là ne sera pas juste un coin enfoncé dans la loi pour élargissement ultérieur? La confiance, préalable nécessaire au dialogue, n'est pas là. Et rien chez ceux qui animent le débat public n'est d'ailleurs là pour aplanir les différences et commencer à la créer: ils vivent trop bien de la caricature, de l'idéologie, du racolage émotionnel, de l'invective permanente et du sensationalisme. 

Donc l'essentiel de la plate-forme contre la violence par armes à feu côté démocrate est vouée à n'être qu'une matraque médiatique pour attirer d'une part le vote bien-pensant bobo, celui des gens choqués par quelques événements horribles (or, les school shootings représentent 1% à peine des morts par armes à feu), et celui des minorités ethniques. En face, malgré le fait qu'ils pointent de bien meilleures analyses et statistiques, les républicains proposent des solutions fondées sur le "pas touche à quoique ce soit", qui ne garantit aucun progrès non plus, et ce juste pour garder leurs électeurs ruraux, idéologiques et péri-urbains. Vu le niveau de cristallisation malsaine de ce débat et de décalage total des discours et postures médiatiques par rapport à la réalité pratique, il y a peu à espérer quand à l'idée-même d'un espace de compromis utile. 

 

Modifié par Tancrède
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Il y a 4 heures, Tancrède a dit :

La plus parfaite des opérations HOMO: l'exécution d'Edward II d'Angleterre: remplit la définition à plus d'un titre :sleep:

Moi je trouve pas : on ne sait pas si il a été assassiné ou s'il s'est accidentellement tué... ce qui fait qu'au final il n'y a pas valeur d'exemple dans sa mort ("faites pas ça ou vous finirez comme lui") A titre perso je préfère une opération homo franche comme celles menées contre Charles Ier (qui méritait bien plus son destin que notre pauvre Louis) ou Nicolas II (un peu plus à l'Est).

Je note par contre avec effroi que tu peux être mal lu quand on voit que tu assimiles opération HOMO et exécution de ce roi.... ce qui, aux vues de ses mœurs...

 

Modifié par rendbo
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Il y a 7 heures, Tancrède a dit :

J'allais le dire! 

 

N'as tu pas honte de prononcer de tels mots: on est en plein milieu de "Pride Month"!!! Bordel! Toi, tu vas aller en centre de rééducation pour une session lourde de "sensitivity training". 

Mais justement ! #FiertéBarbouze

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Tiens, sur un sujet que j'affectionne et suis beaucoup:

https://www.cnbc.com/2019/06/18/sen-hawley-bill-would-revoke-cda-section-230-for-large-tech-companies.html

Beaucoup de choses dans cet article, surtout dans la façon dont le dit sujet est traité, plus que sur la substance même: dans les faits, le texte a peu de chances de jamais passer, même très amendé. Outre la différence de majorité entre les deux chambres, et l'extrême militance qui domine en ce moment dans une gauche guidée, comme la droite par le Tea Party et les Néocons en un autre temps (et encore plus dans le contexte électoral 2010, qui empêchera toute gouvernance utile encore plus qu'à l'ordinaire), il y a beaucoup, vraiment beaucoup de fric introduit dans la partie par les GAFA dont il est reporté depuis plusieurs mois qu'ils recrutent des bataillons d'avocats et élaborent des stratégies politico-légales en vue de l'inévitable débat sur leur réglementation. Mais le texte a touché un point sensible, et l'article en question, venant d'une partie tout sauf désintéressée, le montre.

L'angle choisi pour l'article est de pointer une mise en danger du business model, alors que la réalité du texte vise plutôt, et de façon assez claire, à imposer un traitement politiquement/idéologiquement neutre de la gestion des contenus en ligne, parce que, et c'est là qu'est l'os aux USA, par rapport à la façon dont ces questions se posent par chez nous (où la censure est en train de s'imposer sans grand obstacle, garantissant à terme un même blocage des débats sur internet qui est arrivé dans le champ des médias tradis de grande audience, et avec lui la non représentation d'une portion croissante de l'électorat à gauche, à droit et ailleurs; par exemple, le parti de droite dure espagnole VOX vient d'être viré de Twitter: les GAFA choisissent les partis et candidats qui peuvent parler).... Les USA ont un Premier Amendement, et, plus largement, un certain niveau de contrainte à un débat ouvert. Techniquement, les GAFA sont des entreprises privées, donc n'ont pas, stricto censu, d'obligation de ne pas censurer, mais, et c'est sans doute à cela que le débat public, le combat politique, la guéguerre législative et réglementaire, et sans doute aussi des actions en justice (le tout au niveau fédéral ET au niveau des Etats) aboutiront, la question se corse autour de la distinction entre plates-formes et publication, et sur le sujet de la lutte antitrust.

Jusqu'ici, les GAFA s'en sont tiré en agissant de fait, et de plus en plus (surtout depuis 2016) comme des publications, tout en se cachant derrière le statut de plate-forme/common carrier, auquel ils tiennent vraiment beaucoup. Comme les opérateurs téléphoniques ou les distributeurs d'eau (services qui n'ont pas le droit de discriminer), sous ce statut, ils ne peuvent être tenus pour responsables des actes, dires et choix de ceux utilisant leurs services (France Telecom ne peut être mis en cause si des terroristes ont planifié un attentat via son activité)... Mais ils vivent beaucoup de la pub, ils ont souvent une image et des axes de communication idéologisés, et une bonne partie de leur staff est très militante, sans compter qu'ils sont vulnérables aux harcèlement online par des groupes militants menaçant tout et son contraire si telle ou telle chose est dite sur leurs sites. Donc ils censurent, avant tout parce qu'ils veulent attirer et garder des annonceurs eux-mêmes en proie à des contraintes similaires, et parce qu'ils savent aussi qu'ils peuvent influer sur le débat public, peser politiquement, et par là servir leurs fins (dont certaines sont idéologiques, d'autres marchandes, d'autres de protection), et monnayer cette puissance (pour eux et d'autres). Cette orientation, qui est devenue très manifeste, tend à énerver du monde, surtout à droite et au centre, mais aussi dans certains quartiers de la gauche, sachant que d'autres n'aiment pas la tendance oligopolistique/monopolistique de ces boîtes. 

Donc les mettre en face d'un clair set de droits/devoirs comme plate-forme ou publication (régime sous lequel on est responsable de ce qu'on laisse dire/écrire dans son média) serait en soi une solution, et résoudrait beaucoup de choses actant le fait que les médias sociaux sont de facto devenus la nouvelle arène publique du temps, celle à laquelle tous doivent avoir accès pour des raisons démocratiques (les GAFA gardant le droit de monétiser ou non ce qui se dit par chez eux), sous peine de créer des inégalités lourdes et un abus de position dominante. Sous un régime de plate-forme, la seule obligation des GAFA serait de chasser des contenus illégaux ce qui, aux USA, veut dire la menace directe, le doxxing, l'incitation directe et explicite (la moins soumise à débat idéologique et à trop de partialité) à la violence (et au crime en général) et à la haine pour un nombre limité de motifs (raciaux, de sexe, de religion, d'orientation sexuelle), et des trucs comme la sexualité sur mineurs et la traite humaine. Rien de plus. En cette instance, un régime de plate-forme fait d'une entreprise une sorte d'opérateur de service public marchand, et dans ce domaine, un agent du 1er Amendement, contre lequel un gouvernement ne peut légiférer. C'est un garde-fou que l'on n'a pas vraiment en Europe où la "libre expression" est ce qu'il reste quand le "haut" a décidé de tout ce qu'il ne voulait pas voir, selon la mode et les compromis et intérêts politiciens du moment. 

Mais là, et ça vient de CNBC, donc NBC, donc un groupe média "classique" très impliqué dans le débat, d'autant plus que ce sont ceux qui se sont tout fait bouffer par les GAFA, audiences et budgets pub en tête, l'article se fait soudain "protecteur" en pointant un potentiel dommage fatal au business model des grands de l'internet. On a la larme à l'oeil devant tant d'altruisme. Le texte n'est certainement pas exempt de défauts du point de vue des opposants à la censure, notamment dans le fait qu'il risquerait de sédimenter la domination du marché qu'ont les GAFA actuellement (en enlevant tout attrait potentiel à des plates-formes plus petites qui proposeraient une liberté d'expression totale comme avantage compétitif), mais d'une manière ou d'une autre, ce débat doit avoir lieu, et s'il foire au Congrès (probable), il aura lieu dans les Etats, comme c'est déjà le cas au Texas, entre autres, il aura lieu dans la campagne présidentielle, et il aura lieu dans le système judiciaire (déjà des procès en phase initiale). Et il n'aura pas lieu que selon la césure  "droite cherchant à retrouver des lieux d'expression" vs "gauche en position dominante absolue": Elizabeth Warren, qui a actuellement trouvé un peu de vent pour sa poupe (rien de sale) dans les primaires, en a fait un item majeur de sa campagne, dans l'optique d'une lutte antitrust (parce que la censure ne la gêne absolument pas), et beaucoup à gauche n'aiment pas non plus ces quasi monopoles, notamment la gauche qui est aussi censurée par eux (particulièrement la gauche anar et anti-guerre). 

Une réponse des GAFA ne s'est pas faite attendre, par un porte parole de "l'Internet Association" qui les rassemble: "ce texte force les plates-formes à faire un choix impossible: héberger des propos répréhensibles, mais protégés par le Premier Amendement, ou perdre la protection légale qui les autorise à effacer des contenus illégaux comme ceux liés au trafic d'êtres humains ou aux extrêmismes violents. Cela ne devrait pas être un compromis acceptable". La réponse illustre l'hypocrisie totale et complète, et la façon dont les GAFA se sont habitués à l'impunité: rien dans le texte ne leur enlève la possibilité de policer des contenus illégaux (ce que la traite humaine et l'incitation à la violence sont), mais adresse leur façon très arbitraire et personnelle de se moduler à l'envi la définition de ces choses (notamment la définition de "haine" et "d'incitation à la haine", ou de "violence", qui deviennent exactement ce qu'ils veulent: ne pas appeler un transgenre "Zey/Zem/Zer" devient un appel à la haine, ou carrément un acte de violence, par exemple, et même traiter certains sujets devient interdit, ou encore un documentaire historique sur le nazisme devient un "contenu dangereux"). L'hypocrisie de la réponse illustre assez parfaitement autant l'activisme idéologique/politicien et sa façon de vider les mots de senset d'étirer des définitions à l'infini pour la convenance, que l'abus d'un statut légal pour des fins commerciales, alliance d'activisme, d'intérêt politico-financier (de pouvoir) et de pur cynisme commercial qui a déjà emporté la presse, réduite actuellement à jouer les mafias au petit pied essayant de désigner méchants et gentils sans souci de vérité pour participer au jeu politique et y opérer un racket dans l'espoir de ramener un peu d'attention publicitaire de son côté. 

C'est un des grands débats de notre temps, et il est temps qu'il commence réellement, pas de façon détournée. Certains, par ailleurs, essaient de mettre sur la table un "Internet Bill of rights" suffisamment consensuel. Affaire à suivre. A beaucoup suivre. 

1 hour ago, rendbo said:

Moi je trouve pas : on ne sait pas si il a été assassiné ou s'il s'est accidentellement tué... ce qui fait qu'au final il n'y a pas valeur d'exemple dans sa mort ("faites pas ça ou vous finirez comme lui") A titre perso je préfère une opération homo franche comme celles menées contre Charles Ier (qui méritait bien plus son destin que notre pauvre Louis) ou Nicolas II (un peu plus à l'Est).

Je note par contre avec effroi que tu peux être mal lu quand on voit que tu assimiles opération HOMO et exécution de ce roi.... ce qui, aux vues de ses mœurs...

 

Etre mal lu avec de tels termes???!!!! Les bras m'en tombent :ohmy:! Cachez cet esprit malsain que je ne saurais voir :rougitc:

Mais je faisais un peu référence à la manière supputée de son exécution :blush:

Modifié par Tancrède
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https://www.lepoint.fr/medias/la-fin-du-dessin-politique-dans-le-new-york-times-desole-les-caricaturistes-20-06-2019-2320136_260.php (20 juin 2019)

Le New York Times a fait savoir en début de semaine dernière qu'il avait pris la décision de ne plus publier de dessins politiques dans son édition internationale. Une décision prise quelques semaines après le scandale lié à la publication d'une caricature mettant en scène Donald Trump et Benjamin Netanyahu et jugée antisémite par un flot de critiques, notamment sur les réseaux sociaux.

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Il y a 23 heures, Tancrède a dit :

Comme mentionné, la principale violence est sociétale, professionnelle/réputationnelle, culturelle, médiatique.... Tu peux ruiner des réputations, blacklister (des individus, des courants d'opinion, des groupes religieux/culturels/ethniques...), pousser des quotasde "catégories protégées" (donc de fait discriminer sur base ethnique/sexe/sexualité/religion) dans tels ou tels domaines, censurer (des ouvrages, des idées, des travaux de recherche....), fermer ou ouvrir l'accès à tous les niveaux de décision (politique nationale/locale, organisations spécialisées, milieu professionnel ou associatif....), impacter les programmes d'éducation à tous les âges, donner le "la" de qui est "condamnable" ou "louable" dans la société (exactement comme le faisait la "moral majority" sous Reagan, qui avait nettement moins de puissance de feu médiatique/culturelle/sociale).... 

Certes  mais cette violence sociale peut engendre à terme de véritables drames. Ruiner la réputation de personnes peut amener à des suicides ou drames familiales. Or vu l'immunité médiatique dont il jouisse et la radicalité de leurs pensée ( aucune contestation n'est possible donc pas de critiques possibles de leurs "idées" qui vont naturellement se radicaliser) pourrait amener à une forme de violence qui n'aurait rien à envier à de la torture physique et mise à mort. Vu que dans leur système de pensée l'homme blanc est l'antéchrist combien de temps avant que ces populations blanches déjà hyper fragilisés ne soient victimes de discriminations systémiques avec comme dit plus haut des risques récurrents d'actes terribles. Si l'état ne les protège pas avec une justice biaisée et un système médiatique au ordre qui les accable ( renversement de valeurs, inversion accusatoire, etc etc) combien de temps le pacte social tiendra t-il ? D'autant plus que le mal est profond aux USA avec des inégalités (qui ont peu à voir avec les SJW, on peut pas tout leur mettre sur le dos ^^) criantes.

 

 

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Il y a 5 heures, Wallaby a dit :

https://www.lepoint.fr/medias/la-fin-du-dessin-politique-dans-le-new-york-times-desole-les-caricaturistes-20-06-2019-2320136_260.php (20 juin 2019)

Le New York Times a fait savoir en début de semaine dernière qu'il avait pris la décision de ne plus publier de dessins politiques dans son édition internationale. Une décision prise quelques semaines après le scandale lié à la publication d'une caricature mettant en scène Donald Trump et Benjamin Netanyahu et jugée antisémite par un flot de critiques, notamment sur les réseaux sociaux.

Si on commence à laisser les réseaux sociaux dicter leur loi, 1984 et le meilleur des mondes vont passer pour un agréable moment.

Modifié par Arland
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Il y a 2 heures, elannion a dit :

Certes  mais cette violence sociale peut engendre à terme de véritables drames. Ruiner la réputation de personnes peut amener à des suicides ou drames familiales. Or vu l'immunité médiatique dont il jouisse et la radicalité de leurs pensée ( aucune contestation n'est possible donc pas de critiques possibles de leurs "idées" qui vont naturellement se radicaliser) pourrait amener à une forme de violence qui n'aurait rien à envier à de la torture physique et mise à mort. Vu que dans leur système de pensée l'homme blanc est l'antéchrist combien de temps avant que ces populations blanches déjà hyper fragilisés ne soient victimes de discriminations systémiques avec comme dit plus haut des risques récurrents d'actes terribles. Si l'état ne les protège pas avec une justice biaisée et un système médiatique au ordre qui les accable ( renversement de valeurs, inversion accusatoire, etc etc) combien de temps le pacte social tiendra t-il ? D'autant plus que le mal est profond aux USA avec des inégalités (qui ont peu à voir avec les SJW, on peut pas tout leur mettre sur le dos ^^) criantes.

Le souci aux USA est le coût exorbitant d'un procès (encore plus qu'ailleurs).

Ça serait assez drôle de voir comment de telles campagnes de destruction d'un business ou d'une carrière seraient défendues en Justice dans une procédure au finish, sans settlement.

Après tout, ces groupuscules ne s’embarrassent guère (i) de la charge de la preuve, (ii) de logique, (iii), de causalité, (iv) la présomption d’innocence. Tout repose sur des interprétations tirées au maximum, le caractère prétendument implicite de ce qui est dit ou fait, la sortie de toute mise en contexte...

Faudrait comment le dossier de telles organisations tiendrait face à un procès en diffamation + faute civile avec indemnisation* à la clef et apposition d'excuses publiques (texte explicitement pré-rédigé par une équipe de com' et visée dans la décision) aux frais du condamné sur les médias utilisés sous peine d'astreintes de milliers/dizaines de milliers de dollars par demi journée d'inexécution.

Pour les campagnes de groupes, les notions d'associations de fait et de pratique en bande organisée seraient également utilement exploitables.

Naturellement c'est plus une riposte de grosse boite/cadre sup' très aisé.

*Pour une entreprise, calculée sur la marge brute d'exploitation et/ou delta du cours de bourse qui a dévissé. On n'oubliera pas la possibilité, aux USA, d'infliger des dommages et intérêts punitifs en plus du reste.

 

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L'interview de Trump sur différents sujets (Iran, Arabie Saoudite, guerre économique, immigration, politique intérieure ...) assez souvent déconcertante et fuyante.

A partir de 6:30 il y a passage sur ce qu'il pense de l'UE dans le dossier iranien...

Bon par contre c'est en anglais avec sous-titres youtube si vous désirez.

 

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https://www.thedailybeast.com/how-did-the-oregon-republican-party-get-so-crazy (25 juin 2019)

La semaine a été chargée pour les républicains de l'Oregon. Jeudi, les 11 sénateurs de l'État ont déserté pour tenter de bloquer le vote sur un projet de loi sur le changement climatique, la plupart d'entre eux se dirigeant apparemment vers l'Idaho, de l'autre côté de la frontière.

Des milices armées d'extrême droite ont proposé de les aider à lutter contre la police d'État envoyée pour les ramener au Sénat, et un sénateur a menacé de les abattre lui-même, avertissant que quiconque le pourchasserait a intérêt d'être un célibataire.

Les deux désertions au Sénat cette année s'inscrivent dans une longue tradition de refus de la part des partis minoritaires d'accepter les quorums dans le but de bloquer les projets de loi. Les législateurs démocrates du Texas ont fui l'État en 2003 pour mettre un terme à un projet de loi de redécoupage, tandis que les démocrates du Wisconsin ont quitté cet État en 2011 pour tenter de bloquer une loi visant à restreindre les droits syndicaux.

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Il y a 2 heures, Wallaby a dit :

 

Certaines réflexions sont intéressantes :

« Il ne s’agit pour l’instant que d’un moratoire [qui entrera en application début 2020], dans l’attente des conclusions de la Food and Drug Administration (FDA), l’agence de réglementation des médicaments et des aliments, sur les conséquences de la cigarette électronique pour la santé.

Mais celles-ci n’étant pas prévues avant 2022, les élus ont choisi le principe de précaution. « Nous avons passé les années 1990 à lutter contre les géants du tabac, et nous les voyons réapparaître aujourd’hui avec les e-cigarettes », a expliqué le conseiller municipal Shamann Walton. En décembre 2018, la maison mère de Marlboro, Altria Group, avait pris 35 % du capital de l’ex-start-up de San Francisco, qui contrôle 75 % du marché. »

 

« Juul, qui vient d’acheter un immeuble de vingt-huit étages à San Francisco, finance déjà la contre-attaque : un référendum qui demandera, en novembre, aux électeurs de n’interdire la cigarette électronique qu’aux moins de 21 ans. »

 

Wait and see. Même si personnellement, je ne suis pas très optimiste quant aux conclusions de la FDA, vu ce qu’elle accepte sur le sol américain

On peut toujours rêver, mais ça m’étonnerait que l’on voit une démarche similaire en France... On s'était pourtant fait les champions du principe de précaution.

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Ce qui parait assez aberrant, c'est cette situation où la cigarette dont les effets nocifs sur la santé ne sont plus à démontrer est autorisée (pour les adultes) et où le vapotage, a priori moins nocif, est interdit.

Par rapport à la dépénalisation du cannabis, cela fait aussi un contraste.

Est-ce que ce n'est pas aussi l'aveu que les mesures d'interdiction aux moins de 21 ans (dans le cas de l'alcool, du cannabis, etc...) sont en pratique inapplicables et inappliquées ?

Si tel est le cas, alors on va vers un retour de la prohibition ?

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1 minute ago, Wallaby said:

https://www.n-tv.de/politik/Biden-sackt-nach-TV-Debatte-in-Umfrage-ab-article21119721.html (2 juillet 2019)

À 22%, Joe Biden a perdu perd 10 points par rapport au précédent sondage (et même 17 points par rapport à avril), chez les électeurs démocrates, après le débat télévisé.

Comme prévu par les observateurs que j'ai lu et écouté depuis le lancement de sa campagne (j'avais fait un post à ce moment): son début de campagne verra ses meilleurs scores, et le temps révèlera ses problèmes, à savoir une propension à gaffer, un passif (qui impacte assez peu), et surtout le fait qu'il n'est en aucun cas un bon candidat en termes de capacité à faire campagne. Pas d'agressivité, pas de caractère dominant, trop lisse et plein de manières, un refus complet de toute abrasion, pas une grande capacité à réagir du tac au tac, il n'a pas vraiment un profil de chef de l'exécutif, et il a démontré une certaine tendance à se laisser marcher sur les pieds. Il a laissé Kamala Harris s'essuyer les pieds sur lui avec des conneries émotionnelles complètement aberrantes et intentionnellement fausses (la méthode Trump?), et n'a aucunement essayé d'occuper l'espace de débat, réagissant (et pas très fort) plus que "pro-agissant". Si les polémiques sur le racisme n'ont pas touché son soutien dans la population noire (il était jusqu'au débat le premier candidat, et de loin, chez eux: quid après? J'ai pas encore regardé), ce manque de caractère fondamental pourrait avoir raison de sa crédibilité dans l'ensemble. Problème: il semble le seul à incarner ce qu'une (courte) majorité de la base démocrate semble vouloir: aller plus vers le centre, être "liberal" plutôt que gauchiste, contrer la tendance actuelle d'un hyper basculement à gauche du parti, forcé par la portion militante de la dite base. Mais vu qu'il est à la ramasse.... Perso, je le vois pas avoir la ressource pour renverser la tendance, et la crédibilité pour faire entendre le point de vue modéré, à l'heure où le reste du parti semble avoir viré taré. Harris se confirme comme la chouchoute des médias woke et de l'establishment, et continue à dire n'importe quoi, puis à changer d'avis: elle flip-floppe autant que Romney en 2012. 

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il y a 14 minutes, Wallaby a dit :

À 22%, Joe Biden a perdu perd 10 points par rapport au précédent sondage (et même 17 points par rapport à avril), chez les électeurs démocrates, après le débat télévisé.

C'est pas ce qu'avait prévu @Tancrède ?

Joe Biden serait à peine moins pire qu'un vulgaire républicain pour la base "progressiste" des démocrates. Et vu que ces derniers ont une importance disproportionnée lors de la primaire, il n'a guère de chances.

Les démocrates vont vivre ce que les républicains ont du subir ces 20 dernières années avant l'émergence de Trump. Des candidats toujours plus extrêmes pour capter l'électorat le plus dur mais le plus mobilisé lors des primaires avant de se retrouver comme ds cons lors de l'élection générale. . .

Et vu le délire total des progressistes et l'absence totale de garde fous, les déclas vont être "amusantes. .. (Un fil a été crée sur ce sujet dans l''espace détente donc je vais éviter de faire doublon)

Mais juste pour le lutz voici une petite pépite

All problematic books should be burned.

If our ancestors had done this, we might have been spared the rise of fascism.

Trump va finir par passer pour une personne cultivé, censé et modératrice :bloblaugh:

Edit: grillé par le taulier du Topic ^^

Modifié par elannion
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Il y a 1 heure, elannion a dit :

 

Mais juste pour le lutz voici une petite pépite

All problematic books should be burned.

If our ancestors had done this, we might have been spared the rise of fascism.

 

 

Ce tweet reste un troll d’un humoriste canadien, si tu avais lu l’introduction au dit topic par le taulier, aka Tancrède.

Ça n’est pas une vraie déclaration.

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