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il y a 17 minutes, papsou a dit :

Ou une fake news dans le but de démontrer que ce président a vaincu la maladie et qu'il en ressort plus fort...

Ca ne tient pas : la liste des malades dans l'entourage immédiat s'allonge d'heure en heure (et Kellyane Conway, et deux sénateurs, et un directeur d'université, etc... ). De l'intox à petite échelle, ils en sont capables, mais ça a déjà dépassé ce stade.
En outre, c'est en contradiction frontale avec le discours de Trump de cette semaine ("on a passé l'plus dur, la maladie disparaît", etc...).

Bref : hypothèse "rigolote" mais certainement fausse.

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il y a 57 minutes, capmat a dit :

Borris Jonhson, Bolsonaro, Donald Trump...

Citation

Avant Donald Trump, d’autres présidents ayant minimisé la pandémie de Covid-19 avaient déjà contracté la maladie, parfois sous une forme grave. Quel est le point commun entre Boris Johnson, Jair Bolsonaro et Donald Trump ? Ces chefs d’Etat et de gouvernement ont tous les trois été testés positifs au Covid-19 après avoir nié le danger de la pandémie.

Le Premier ministre britannique a été le premier à en payer les conséquences, le 27 mars. Après avoir misé sur une immunité collective et refusé d’arrêter de serrer la main de ses collaborateurs, Boris Johnson, 56 ans, a contracté le nouveau coronavirus. Il a dû être admis dans une unité de soins intensifs. Depuis plusieurs jours, il souffrait de toux persistante et de fièvre. A 9 000 km de Londres, le président brésilien a lui aussi été testé positif, le 7 juillet, à ce qu’il qualifiait de «grippette». Pour prouver son bon état de santé, Jair Bolsonaro, 65 ans, n’avait pas hésité à retirer son masque lors de l’annonce de la nouvelle : «Comme ça, vous pouvez voir mon visage, constater que je vais bien, que je suis tranquille et en paix !» avait lancé le leader d’extrême droite à des journalistes, aussi surpris que paniqués.

Contrairement aux 186 882 personnes décédées à ce jour des suites de la maladie dans ces deux pays (144 680 au Brésil et 42 202 au Royaume-Uni), le virus a laissé la vie sauve aux deux populistes. Les dirigeants semblent même avoir été immunisés contre la perte de popularité. Malgré sa gestion calamiteuse de la crise, le taux d’avis favorable à l’action de Bolsonaro a gagné 5 points entre juin et août, notamment grâce à la distribution d’aides sociales aux plus précaires. Du côté du 10, Downing Street, 66 % des électeurs avaient une bonne opinion du Premier ministre à la fin de sa convalescence, malgré des dizaines de milliers de morts. «Ces leaders populistes veulent être considérés comme des dirigeants capables de renverser les normes, y compris en passant par le mensonge. Ils souhaitent que le virus soit perçu comme un ennemi qu’ils sont capables de terrasser physiquement, explique Catherine Fieschi, politologue et spécialiste des populismes. Le Covid-19 apporte de l’eau à leur moulin.»

Ont-ils pour autant appris de leurs erreurs ? Au Royaume-Uni, pays le plus endeuillé d’Europe, Johnson a fait marche arrière en revenant sur sa stratégie. Face à une seconde vague de contaminations, il a annoncé début septembre l’interdiction des rassemblements de plus de six personnes. Au Brésil, qui déplore le deuxième bilan le plus meurtrier derrière les Etats-Unis, Bolsonaro n’affiche, lui, pas de remords quant à sa gestion de la crise, allant jusqu’à traiter de «dictateurs» les gouverneurs et les maires ayant pris des mesures de confinement.

Aux Etats-Unis, le test positif de Trump sonne comme un coup de tonnerre. Miné dans les sondages, il est désormais en quarantaine. A 74 ans et considéré comme obèse (110 kg pour 1,90 m en 2019), le Président combine plusieurs facteurs de risque. Et les chefs d’Etat ne sont pas tous invincibles : à 55 ans, l’ex-président burundais Pierre Nkurunziza, qui assurait que son pays était protégé par la «grâce divine», est mort le 8 juin d’un arrêt cardiaque, possiblement des suites du Covid-19.

Léa Masseguin / https://www.liberation.fr/planete/2020/10/02/de-jair-bolsonaro-a-boris-johnson-les-populistes-pris-a-leur-propre-jeu_1801289

à voir comment ça jouera sur les élections américaines...

Modifié par rendbo
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J'aime assez cette façon de penser : si la porte de devant est fermée, essaie de passer par l'arrière.

Citation

[...]  La perspective d’avoir le nom du nouveau président dans les jours suivant le scrutin s’éloigne, et chacun se penche sur les possibles recours. Donald Trump n’a ainsi pas caché vouloir prendre l’avantage à la Cour Suprême en nommant Amy Coney Barret, mais pas question d’en rester là. Selon The Atlantic, ses équipes envisagent de faire jouer l’article II de la Constitution américaine qui permet à la législature de chaque État de choisir directement les grands électeurs, en se passant donc du vote populaire. Ce qui est désigné par le terme plutôt technique de “législature”, c’est en fait la branche législative dont dispose chaque État. Elle est incarnée par deux chambres, haute et basse, ou Sénat et chambre des représentants, comme une sorte de mini Congrès, mais au niveau fédéral.

“D’après des sources nationales ainsi qu’au parti républicain, la campagne de Trump discute de plans d’urgence pour contourner les résultats des élections et nommer directement de grands électeurs fidèles dans les États où les républicains détiennent la majorité législative. Avec une justification basée sur des allégations de fraude effrénée, Trump demanderait à la législature des États d’annuler le vote populaire et d’exercer leur pouvoir de choisir directement une liste d’électeurs”, écrit The Atlantic.

[...] 

La Constitution américaine ne garantit par le droit aux citoyens de voter pour élire leur président et de fait sur la fin du 18e siècle, dans la majorité des États, les législateurs choisissaient directement les grands électeurs. En 2020 aussi? “Il faudrait que gouverneur, sénat et assemblée tombent d’accord. Ce genre de chose n’est jamais arrivée dans l’histoire récente, et sans nul doute que pour certains États, cela demanderait des ajustements législatifs. Il faudrait par ailleurs que le gouverneur rappelle les deux chambres pour une session extraordinaire”, commente pour Le HuffPost, Lonna Atkeson, professeur de science-politique, et directrice du Center for the Study of Voting, Elections and Democracy à l’université du Nouveau-Mexique.

Si la spécialiste n’exclut pas un tel événement dans la campagne actuelle, elle explique cependant qu’il interviendra forcément après le scrutin du 3 novembre. Comme elle le précise, ce n’est pas Donald Trump qui a le pouvoir de demander aux États, mais eux-mêmes qui doivent se saisir. Rien ne l’empêche cependant de faire pression, en dépit du coût politique important que représenterait la manoeuvre. ”Si cela se décide, ce sera après le 3 novembre, personne ne prendra le risque de priver de vote les citoyens. Les législatures des États ont après tout elle aussi des électeurs à choyer. La seule possibilité pour que cela arrive, je crois, c’est si par exemple au moins 20% des bulletins sont considérés comme non recevables ou ne peuvent pas être comptabilisés. Il y a peu de chances que cela arrive, mais jamais une élection n’avait été nourrie par autant d’incertitudes”, ajoute Lonna Atkeson.

Quel bénéfice pour Trump ?

Si la campagne de Trump se prépare à l’éventualité de faire pression sur les législatures, c’est aussi parce que cette stratégie à de fortes probabilités de lui donner au moins un léger avantage. Concrètement, les États où les républicains sont majoritaires dans les deux chambres et où c’est également un gouverneur républicain qui a été élu, sont au nombre de 21. Ce triplé majoritaire s’appelle une “trifecta”, précise David Schultz, professeur de Science politique à l’université de Hamline dans le Minnesota, sur The Hill. Résultat, Donald Trump pourrait compter 216 grands électeurs en sa faveur, contre 195 pour Joe Biden, les démocrates ne comptant que 15 trifectas dans l’ensemble des États-Unis.

À cela il faut ajouter pour chacun des deux camps, les États où le gouverneur et les deux chambres ne sont pas de la même majorité. Résultat, Trump gagnerait entre autres de grands électeurs dans le Kansas et le Kentucky, et Joe Biden dans le Maryland et le Massachusetts. De quoi porter le total de 230 grands électeurs en faveur du président sortant contre 216 pour son challenger.

Après ces deux premiers décomptes, les deux candidats auraient à se départager 92 grands électeurs répartis dans dix États où la majorité est partagée dans les deux chambres entre les républicains et les démocrates.

Plusieurs choix sont alors possibles, soit par un compromis soit par une répartition selon les districts. Dans tous les cas note, David Schultz, Donald Trump conserverait son avantage. Enfin, si aucune des législatures de ces dix États restants n’était en mesure de se mettre d’accord sur la façon de designer les grands électeurs, la Chambre des représentants des États-Unis prendrait alors le relai, ni Biden ni Trump n’étant en mesure d’afficher les 270 grands électeurs nécessaires pour accéder à la Maison Blanche. Chaque État disposerait d’un vote. Or relève David Schultz: “Même si les démocrates ont une majorité globale à la Chambre, les républicains maintiennent un contrôle à la majorité partisane de 26 à 22 sur les délégations du Congrès”. Trump aurait alors toutes les chances d’être réélu. Un scenario certes lointain, mais dans les faits, pas impossible.

https://va.news-republic.com/a/6879055536231285254?app_id=1239&c=sys&gid=6879055536231285254&impr_id=6879303967910856966&language=fr&region=fr&user_id=6499147509791720458

à mettre en relation avec la décision en Floride au Texas (d'autres états vont suivre je suppose), de fermer une (grande) partie des bureau de vote par correspondance à cause de la fraude massive

Citation

Le Texas restreint les modalités de son vote par correspondance

[...]

Le gouverneur républicain du Texas a annoncé jeudi 1er octobre que les électeurs qui voteront par correspondance avant la présidentielle de novembre, sans passer par la Poste, n'auront plus qu'un seul lieu par comté où déposer leur bulletin. Greg Abbott, soutien du président Donald Trump, restreint ainsi l'accès à cette pratique déjà courante et qui devrait exploser en raison de la pandémie de coronavirus. «Ces protocoles de sécurité renforcée assureront une meilleure transparence et aideront à lutter contre les tentatives de vote illégal», a déclaré Greg Abbott dans un communiqué.

Le Texas compte certains des comtés les plus peuplés du pays. Plus de 2,3 millions d'électeurs vivent ainsi dans le comté de Harris, où se trouve la ville de Houston, et où onze des douze points de dépôt vont devoir fermer. Lina Hidalgo, haute responsable du comté et démocrate, s'est opposée à cette annonce sur Twitter: «Il ne s'agit pas de sécurité mais de suppression. Les électeurs par correspondance ne devraient pas avoir à conduire 30 miles (50 km) pour déposer leur bulletin».

[...]

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-texas-restreint-les-modalites-de-son-vote-par-correspondance-20201002

 

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il y a 8 minutes, rendbo a dit :

rtie des bureau de vote par correspondance à cause de la fraude massive

fraude massive fantasmée...

il y a 1 minute, Henri K. a dit :

Qu'en pensez-vous ?

Henri K.

Foutaises. Hyper-ventilation. Agit-prop. Débilité.
Bruit.

Mais bon : en choisissant le bon juge, sur un malentendu, par des malentendants, ça peut passer !

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il y a 13 minutes, Henri K. a dit :
Qu'en pensez-vous ?

Henri K.

DeAnna Lorraine est un commentateur politique républicain. Elle a reçu 1,8% des votes lors de la primaire pour les législatives dans la circonscription de Nancy Pelosi.

Il ne faut pas surestimer sa surface politique. Je pense que ce ballon d'essai n'aura aucun impact.

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il y a 15 minutes, Henri K. a dit :

Qu'en pensez-vous ?

Henri K.

Un plan risqué (je donne pas cher du pays dont on aura prouvé que le virus s'est échappé de son labo), qui aura mis 9 mois pour toucher l'autre débile (avec un tas faramineux de victimes collatérales), avec une efficacité moindre que le Novichok nouvelle version...

Mais j'aime assez la constance de certaines personnes.

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il y a 38 minutes, rendbo a dit :

citant Dennis Van Tine, Huffington Post

Donald Trump n’a ainsi pas caché vouloir prendre l’avantage à la Cour Suprême en nommant Amy Coney Barret

Cela veut dire quoi "prendre l'avantage" si elle n'est pas confirmée à temps par le Congrès ?

https://www.bbc.com/news/election-us-2020-54390559 (2 octobre 2020)

Le calendrier de la confirmation préélectorale de Barrett allait de toute façon être serré, nécessitant une exécution quasi parfaite face aux efforts des démocrates pour perturber et retarder le processus.

Maintenant, il semble presque certain que ce vote aura lieu après celui de novembre, alors qu'il est possible que le peuple américain aura infligé à Trump et au parti républicain une défaite aux élections.

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il y a 11 minutes, rendbo a dit :

Un plan risqué (je donne pas cher du pays dont on aura prouvé que le virus s'est échappé de son labo), qui aura mis 9 mois pour toucher l'autre débile (avec un tas faramineux de victimes collatérales), avec une efficacité moindre que le Novichok nouvelle version...

Mais j'aime assez la constance de certaines personnes.

Je ne serais pas surpris que la Chine soit authentiquement médusée - bien que réjouie - par la manière dont l'occident, en général, et les USA tout particulièrement, auront géré cette crise.

De là à dire qu'elle l'ait souhaitée, il y a un pas - que dis-je ? un gouffre qu'on ne peut pas franchir.

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Il y a 1 heure, TarpTent a dit :


Que dans la débilité complotiste, on n’est plus à ça près.
Et il y en a bien que ce genre d’ânerie, si suffisamment de gens se mettaient à y croire, que ça arrangerait.

 

 

Dans tous les cas, Trump comme les autres a été diagnostiqué très tôt, et l’on sait déjà qu’une prise en charge avant même l’apparition des réactions collatérales aggravantes se révèle très efficace pour contrer les effets du virus et faciliter la guérison.
 

Donc d’ici 1 semaine, il sera sur pieds, vantera sa force herculéenne, le traitement génial forcément d’origine américaine et la tentative de sabotage des Institutions à travers lui des Démocrates, Chinois, Iraniens, Cubains et autres Russes... bref, le cirque ne va pas s’arrêter bien longtemps.

Sauf qu"en terme de tt il semblerait qy'on lui passe un protocole experimental non encore validé depuis aujourdhui (a base d'anticorps) + de remsedivir. 

Gros risque de pris pour un POTUS ou alors il va vraiment pas bien..

 

https://www.ladepeche.fr/2020/10/03/quel-est-le-traitement-experimental-utilise-pour-soigner-donald-trump-positif-au-covid-19-9114520.php

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il y a une heure, Akhilleus a dit :

Sauf qu"en terme de tt il semblerait qy'on lui passe un protocole experimental non encore validé depuis aujourdhui (a base d'anticorps) + de remsedivir. 

Gros risque de pris pour un POTUS ou alors il va vraiment pas bien..

https://www.ladepeche.fr/2020/10/03/quel-est-le-traitement-experimental-utilise-pour-soigner-donald-trump-positif-au-covid-19-9114520.php

Heu attends rappelle-moi, le Remsedivir c'est pas un truc qui ne marche pas, comme l'HCQ+azithromycine?

C'est vraiment pas bon pour la suite tout ça...

Mais si ça marche alors il va en sortir grandi. Un effet Streisand XXL.

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C'est effectivement très troublant de faire prendre un médicament expérimental qui n'a été testé que sur quelque centaine de patient depuis pas bien longtemps sur un président américain qui prétend que tout va bien dans le meilleur des mondes pour sa santé. Et comme le rappel certain journaliste, il y a déjà des médecins et du matos à la maison blanche. Donc le fait de le faire se déplacer dans un hôpital n'est pas très bon signe.

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Il y a 2 heures, Kelkin a dit :

Le remdesivir n'a démontré aucune efficacité, en effet, et par contre il est dangereux pour le foie.

C'est pas si tranché vu que ça permet de désengorger un peu les lits de réa mais effectivement c'est pas fou, il n'y a pas de réduction prouvée de la mortalité:

https://www.has-sante.fr/jcms/p_3201940/fr/evaluation-des-traitements-de-la-covid-19-la-has-publie-son-evaluation-du-remdesivir

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Il y a 6 heures, Akhilleus a dit :

Sauf qu"en terme de tt il semblerait qy'on lui passe un protocole experimental non encore validé depuis aujourdhui (a base d'anticorps) + de remsedivir. 

Gros risque de pris pour un POTUS ou alors il va vraiment pas bien..

On pourrait être dans le "ou alors" :mellow:

Une source "proche" du président aurait dit que "les 48 prochaines heures seront cruciales"

"Les constantes vitales du président au cours des dernières 24 heures ont été très préoccupantes et les prochaines 48 heures seront cruciales en ce qui concerne ses soins. Nous ne sommes toujours pas sur la voie d'un rétablissement complet", a déclaré la source aux journalistes du pool de la Maison Blanche après le briefing de ses médecins.

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il y a une heure, Alexis a dit :

On pourrait être dans le "ou alors" :mellow:

Une source "proche" du président aurait dit que "les 48 prochaines heures seront cruciales"

"Les constantes vitales du président au cours des dernières 24 heures ont été très préoccupantes et les prochaines 48 heures seront cruciales en ce qui concerne ses soins. Nous ne sommes toujours pas sur la voie d'un rétablissement complet", a déclaré la source aux journalistes du pool de la Maison Blanche après le briefing de ses médecins.

Eh et en plus Biden n'est pas sûr de ne pas être infecté lui aussi.

C'est confus ce qui arrive là-bas et ça explique.

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Faut comprendre que le vote populaire est juste une suggestion polie. Ce qui compte, c'est le vote des grands électeurs, et rien ne les oblige, mis à part le poids de la tradition, à voter pour le choix des électeurs de leur état. Donc l'invalidation soudaine d'un candidat n'est pas un problème. Ils feront bien leur tambouille de leur côté.

Et un effet, c'est le colistier qui prend la relève, et qui cherche un autre colistier du coup.

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il y a une heure, rendbo a dit :

Si Trump est dans l'impossibilité de se présenter, comment ça se passe pour les présidentielles ? Le colistier devient tête d'affiche et on sort un nouveau colistier du chapeau ?

 

« 

> Et si Donald Trump ne peut plus être candidat à la présidentielle ?

Les choses peuvent devenir rapidement compliquées. D'abord, la commission nationale des Républicains devrait proposer un remplaçant. Un processus tout sauf rapide puisque cette commission est composée de 168 membres, trois pour chaque État et territoire américains. Or le vote a déjà commencé dans plusieurs États, pas seulement par correspondance, mais aussi en personne. Il n'est pas sûr que les nouveaux bulletins de vote pour un candidat républicain de remplacement soient prêts à temps pour le 3 novembre, jour de l'élection.

Dans ce cas, il reviendrait aux gouverneurs de chaque État de décider de la suite. Sauf que la plupart n'ont rien prévu dans une telle situation.

 

> L'ultime scénario : Trump élu mais incapable de gouverner

La question deviendrait encore plus complexe si Donald Trump était élu mais dans l'incapacité d'effectuer un second mandat. La balle serait alors dans le camp des grands électeurs, ceux qui sont nommés dans chaque Etat en fonction du candidat qui a remporté le vote populaire. Ils sont la plupart du temps obligés de tenir compte du résultat du scrutin pour investir le président. Mais il n'est écrit nulle part de règle contraignante dans le cas où le vainqueur est décédé ou s'il ne peut gouverner.

La question pourrait alors être tranchée par le Congrès, qui est là pour certifier le vote des grands électeurs. Mais faute d'accord bipartisan, l'affaire pourrait bien finir devant la Cour suprême.»

 

 

https://fr.news.yahoo.com/trump-ne-peut-gouverner-ni-070252423.html?guccounter=1&guce_referrer=aHR0cHM6Ly9kdWNrZHVja2dvLmNvbS8&guce_referrer_sig=AQAAAEVtO93i25gtNn8m_aLki2BK-SBlYO0m7fyg7QKHxyaxCbo9vKEhuR-CVlg0akHYUEG-eUuYR7pgXej3hfNAcGnFkpFzCJS2bfc1wmj5LC-4J4cKTjp4dAS0PDrG3NReBRhpn1cEgg9g0pKxB4dTPj84Yfs0Uah2_vb44knOjWez

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