Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Messages recommandés

Etats-Unis: des milliers de Vietnamiens en passe d'être expulsés

https://www.bfmtv.com/international/etats-unis-des-milliers-de-vietnamiens-en-passe-d-etre-expulses-1515273.html#xtor=AL-68

Cette nouvelle mesure de l'administration Trump concerne plus de 8.000 descendants de soldats américains ayant participé à la Guerre du Vietnam.

L'administration Trump poursuit le durcissement de sa politique migratoire. Alors que de nombreux citoyens américains d'origine hispanique se voient refuser leur demande de renouvellement de passeport près de la frontière mexicaine, près de 8.000 Vietnamiens descendants de soldats américains ayant participé à la guerre du Vietnam pourraient bientôt se voir expulser du territoire, révèle le Washington Post.

Les autorités ont en effet décidé d'accélérer le retour dans leur pays d'origine des immigrés qui bénéficient d'une carte verte mais n'ont jamais obtenu la citoyenneté américaine et qui ont, au cours de leur vie, violé les lois du pays. Le gouvernement de Donald Trump revient ainsi sur un accord signé en 2008 par l'administration Bush qui assurait qu'aucun Vietnamien qui était arrivé aux Etats-Unis avant le rétablissement des relations diplomatiques entre les deux pays en 1995 ne pourrait être renvoyé.

Un retour risqué

Pour la Maison Blanche, cette disposition n'a pas de raison de s'appliquer aux personnes qui ont été reconnues coupables d'un crime. Elle estime par ailleurs que "chaque pays a une obligation légale d'accepter ses ressortissants qui se feraient expulser de leur terre d'immigration".

Les opposants à cette réforme mettent en avant les risques encourus par les personnes concernées en cas de retour forcé au Vietnam. "La majorité de ceux qui risquent l'expulsion - souvent pour des délits mineurs - étaient des réfugiés de guerre qui s'étaient rangés du côté des Américains", explique Ted Osius, ancien ambassadeur américain au Vietnam. Ils ne sont pour la plupart jamais retournés au Vietnam depuis leur arrivée aux Etats-Unis, et n'ont plus aucun contact sur place, s'alarment les associations.

  • Confus 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Va falloir suivre d'un oeil  un gars qui s'appelle Beto O'Rourke  (démocrate) en course contre Ted Cruz au Texas, il pourrait bien le virer de sa chaise et faire passer la couleur du Texas du rouge au bleu, 

si il confirme, il pourrait se révéler  être le futur champion démocrate par son charisme. les Républicains le déteste déjà d'instinct.

 

Modifié par zx
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

35 minutes ago, zx said:

Va falloir suivre d'un oeil  un gars qui s'appelle Beto O'Rourke  (démocrate) en course contre Ted Cruz au Texas, il pourrait bien le virer de sa chaise et faire passer la couleur du Texas du rouge au bleu, 

si il confirme, il pourrait se révéler  être le futur champion démocrate par son charisme. les Républicains le déteste déjà d'instinct.

 

Du rouge au pourpre: il y a deux sénateurs par Etat. J'ai suivi O'Rourke de loin depuis plusieurs mois, et il semble avoir le vent en poupe après une longue campagne de porte à porte avec en plus un certain appui financier: il semble pour l'instant assez clean, même s'il fait tiquer les progressistes sur certains plans (finance, libre échangisme...). Les répubicains ont lâché une campagne contre lui pour un délit de fuite dans un cas d'accident où il conduisait en état d'ivresse et s'est barré de la scène. On va voir si ça prend ou pas, mais même si Cruz devait l'emporter, ce serait d'extrême justesse. Un choc au Texas.

Modifié par Tancrède
  • J'aime (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 10/07/2018 à 11:27, Armfelt a dit :

Audition de confirmation en cours pour Kavanaugh, comme futur juge de la Cour Suprême.
Les auditions sont agitées... mais à priori il a d'excellentes chances de passer :
ce qui cimentera pour 20-30 ans une Cour Suprême acquise au programme conservateur (en plus de la nomination à la chaîne de juges conservateurs)

https://www.lemonde.fr/ameriques/article/2018/09/05/les-democrates-assaillent-brett-kavanaugh-le-candidat-de-trump-a-la-cour-supreme_5350354_3222.html

Forcément, avec une telle carotte, pas étonnant que le GOP et les groupes religieux ferment les yeux sur les frasques de Trump. :dry:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

VIDEO. La nouvelle campagne de Nike avec Colin Kaepernick sème la discorde sur les réseaux sociaux

Une campagne de pub de la marque Nike sème la discorde sur les réseaux sociaux, en raison de la présence de Colin Kaepernick, footballeur américain qui a protesté contre la violence policière dont sont victimes les Afro-américains.

https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/reseaux-sociaux-polemique-autour-de-la-nouvelle-campagne-de-nike_2926759.html

Révélation

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://inthesetimes.com/article/21413/rahm-emanuel-chicago-retirement-schools-mental-health (6 septembre 2018)

Rahm Emanuel, ancien directeur de cabinet d'Obama, ne se représentera pas comme maire de Chicago.

Le 7 juillet, plus d'un millier de Chicagoens ont marché sur l'autoroute Dan Ryan dans le quartier sud de la ville, défiant la police d'État qui menaçait de les arrêter.

Les manifestants protestaient contre des problèmes tels que la violence armée qui sévissait dans le sud et l'ouest de la ville. Le maire Rahm Emanuel a publiquement soutenu cette action, croisant le fer avec le gouverneur Bruce Rauner et la police d'État au sujet de la désobéissance civile prévue.

Mais malgré le soutien annoncé du maire, d'innombrables manifestants l'ont désigné comme la cible de leur protestation et l'ont accusé d'être responsable de la violence de la ville.

Ce n'est pas sa stratégie de maintien de l'ordre ou sa position sur les lois relatives aux armes à feu qui était au centre de ses préoccupations, mais plutôt son échec - ou son refus - d'investir dans les quartiers Sud et Ouest : les quartiers afro-américains et latinos ravagés par la violence. Alors que le mouvement national lancé par les adolescents de Parkland, en Floride, s'est largement concentré sur le contrôle des armes à feu, à Chicago, les manifestants sur l'autoroute et d'innombrables autres résidents disent que la violence dévastatrice causée par les armes à feu a été causée par les actions d'Emanuel pendant son mandat à la mairie : fermer des écoles publiques, supprimer des emplois urbains, fermer des cliniques médicales et investir dans des quartiers à la mode tandis que les quartiers où les gens se débattent avec les difficultés sont délaissés.

Et puis il y a la controverse la plus notoire d'Emanuel : potentiellement dissimuler la violence de la police, comme l'a mis en évidence la fusillade de Laquan McDonald.

La violence armée et la crise des retraites à Chicago ont été les principaux problèmes mis en évidence dans une grande partie de la couverture médiatique nationale de l'annonce faite par Emanuel le 4 septembre qu'il ne se représenterait pas aux élections en 2019.

Alors que beaucoup de Chicagoens blâment clairement Emanuel pour la violence, et ce serait une tache sur n'importe quel maire, cette grille d'analyse laisse Emanuel tranquille pour les raisons plus profondes pour lesquelles tant de résidents de la ville s'opposent à lui, surtout les Afro-Américains et les Latinos qui vivent dans les quartiers où la violence est la pire.

Avant même qu'Emanuel n'entre en fonction en 2011, il s'était déjà positionné en tant que "Maire 1%", avec l'intention de remodeler Chicago pour en faire une ville mondialisée branchée et scintillante qui, pour beaucoup, n'avait pas de place pour des gens ordinaires luttant pour survivre avec des emplois mal payés, des casiers judiciaires ou  habitant dans des quartiers en ruine.

Emanuel a promis de réduire l'inefficacité et les dépenses publiques, de gérer Chicago comme une entreprise et de mettre ses finances en ordre. Et une fois au pouvoir, il s'en est occupé. Mais les personnes pauvres ayant des handicaps et des besoins en santé mentale ne font pas une entreprise rentable. Et Emanuel a toujours semblé indifférent, voire hostile, à l'idée qu'il incombe au maire de les servir et d'écouter leurs demandes.

De même, les syndicats et leurs membres - qui ont bâti la classe moyenne américaine et fait de Chicago la ville aux grandes épaules - ont été un inconvénient et un obstacle pour Emanuel, comme il l'a dit clairement dès le premier jour, en se battant à la fois avec les syndicats et les enseignants qui ont stigmatisé le rôle d'Emanuel dans une guerre de classe plus générale.

L'inégalité, la ségrégation et la violence armée sont depuis longtemps endémiques à Chicago, et les taux de fusillades mortelles étaient plus élevés dans les années 1990 qu'aujourd'hui, mais cela ne menaçait pas le pouvoir de l'ancien maire Richard M. Daley.

Beaucoup soutiennent que Daley aurait dû être tenu davantage responsable de ses efforts de privatisation et de stratification de la ville. Mais dans le style, sinon en substance, Daley respectait toujours l'idée que les travailleurs, les organisations de quartier, les syndicats et les dirigeants des groupes minoritaires étaient des acteurs qui avaient leur place à la table. Emanuel est entré en fonction avec l'arrogance des fondateurs de start-ups technologiques qu'il adore, sans avoir le temps de s'occuper de ces institutions ou des dizaines de gens ordinaires qu'elles représentent.

Lorsqu'il a été mis à rude épreuve par la grève très populaire de 2012 du Chicago Teachers Union et lorsqu'il a été contraint à un deuxième tour de scrutin en 2015 par le challenger de l'élection Jésus "Chuy" Garcia, Emanuel a répondu par des piques et des platitudes condescendantes. La plupart ne se sont pas laissés abuser par ses tentatives de jeter de l'argent dans les quartiers noirs, de serrer la main à des élèves noirs du secondaire ou d'enfiler un sweat shirt grande taille pour s'excuser d'être si abrasif.

Un commentaire d'Emanuel le mois dernier au sujet de la violence armée semblait indiquer que même ces tentatives timides de dialogue et de compréhension avec les gens ordinaires étaient devenues trop fatigantes pour le maire. Il a essentiellement affirmé que les parents et les communautés sont responsables pour mettre fin à la violence en inculquant de meilleures " valeurs " et une " boussole morale " à leurs enfants. Beaucoup ont vu les commentaires visant les parents noirs et latinos à faible revenu, qui ont du mal à s'en sortir dans le Chicago à deux vitesses de Rahm.

Modifié par Wallaby
  • Upvote (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

2 minutes ago, Wallaby said:

http://inthesetimes.com/article/21413/rahm-emanuel-chicago-retirement-schools-mental-health (6 septembre 2018)

Ce n'est pas sa stratégie de maintien de l'ordre ou sa position sur les lois relatives aux armes à feu qui était au centre de ses préoccupations, mais plutôt son échec - ou son refus - d'investir dans les quartiers Sud et Ouest : les quartiers afro-américains et latinos ravagés par la violence. Alors que le mouvement national lancé par les adolescents de Parkland, en Floride, s'est largement concentré sur le contrôle des armes à feu, à Chicago, les manifestants sur l'autoroute et d'innombrables autres résidents disent que la violence dévastatrice causée par les armes à feu a été causée par les actions d'Emanuel pendant son mandat à la mairie : fermer des écoles publiques, supprimer des emplois urbains, fermer des cliniques médicales et investir dans des quartiers à la mode tandis que les quartiers où les gens se débattent avec les difficultés sont délaissés.

 

La question du contrôle des armes, ou en tout cas la manière dont elle est abordée par les démocrates et les grands médias, est improductive en matière de résultats, et en grande partie à dessein: ils ne veulent pas qu'elle disparaisse, ils veulent plus qu'elle reste longtemps en l'état pour être un outil médiatique avec lequel frapper éternellement les républicains, qui à leur tour seront sur-représentés (médiatiquement surtout) par les plus enragés de leurs rangs. Allez demander à un habitant de Chicago, surtout des quartiers pourris, s'il souhaite plus de contrôle des armes: il n'en a le plus souvent rien à foutre, et même au contraire, vous hurlera "non" à la face, tant la nécessité (perçue et/ou réelle) quotidienne d'avoir une arme est devenue naturelle dans son environnement, faisant partie de la culture et de ce qui se transmet dans les familles. Restreindre l'accès aux armes ne fera que garantir un développement encore plus grand du commerce d'armes illégales, déjà un business florissant à Chicago, surtout au vu des législations en place localement qui ont à peu près le même effet, dans ces conditions, que la prohibition en son temps pour l'alcool. Hommes et femmes acquièrent fréquemment leur première arme à un âge très préoce dans ces zones, et vouloir y toucher serait dangereux, en plus de ne produire que des effets contre-productifs. Je ne mentionne pas cela pour prendre parti, juste pour signaler que la chose est à un certain point culturellement implantée, et que s'y attaquer est voué à soulever des réactions violentes et à entraîner des conséquences très prévisibles. Mais le fait est que les démocrates paient là des décennies de mauvaise gestion très démagogique, corrompue (Chicago est notoire pour son niveau de corruption et d'entre-soi démocrate.... Demandez au beau papa d'Obama, très implanté dans la "political machine" de l'endroit, et grand soutien de la carrière initiale de son gendre), avec à l'arrivée un tableau sur lequel Rahm a été parachuté, en parasite étranger, avec une personnalité insupportable, un ego conséquent et des solutions toutes faites destinées aux chouchous de la néo-gauche, à savoir les bobos et certains secteurs économiques (tech, médias, mode.... Les trucs "bling"), avec pour seul plan la gentrification au maximum et l'importation de nouveaux habitants pour gicler autant des anciens que possible (opération "changer de peuple", vu que l'existant fait chier). 

  • J'aime (+1) 1
  • Upvote (+1) 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 8 heures, Tancrède a dit :

Et cela menace maintenant, outre le libre débat et les plates-formes de discussion de tous types (réelles ou online), la recherche scientifique elle-même:

https://quillette.com/2018/09/07/academic-activists-send-a-published-paper-down-the-memory-hole/

Pour ceux qui seraient intéressés par le coeur de l'article, le voilà:

Citation

Instead, on September 8, Sergei and I were ambushed by two unexpected developments.

First, the National Science Foundation wrote to Sergei requesting that acknowledgment of NSF funding be removed from our paper with immediate effect. I was astonished. I had never before heard of the NSF requesting removal of acknowledgement of funding for any reason. On the contrary, they are usually delighted to have public recognition of their support for science.

The ostensible reason for this request was that our paper was unrelated to Sergei’s funded proposal. However, a Freedom of Information request subsequently revealed that Penn State WIM administrator Diane Henderson (“Professor and Chair of the Climate and Diversity Committee”) and Nate Brown (“Professor and Associate Head for Diversity and Equity”) had secretly co-signed a letter to the NSF that same morning. “Our concern,” they explained, “is that [this] paper appears to promote pseudoscientific ideas that are detrimental to the advancement of women in science, and at odds with the values of the NSF.” Unaware of this at the time, and eager to err on the side of compromise, Sergei and I agreed to remove the acknowledgement as requested. At least, we thought, the paper was still on track to be published.

But, that same day, the Mathematical Intelligencer’s editor-in-chief Marjorie Senechal notified us that, with “deep regret,” she was rescinding her previous acceptance of our paper. “Several colleagues,” she wrote, had warned her that publication would provoke “extremely strong reactions” and there existed a “very real possibility that the right-wing media may pick this up and hype it internationally.” For the second time in a single day I was left flabbergasted. Working mathematicians are usually thrilled if even five people in the world read our latest article. Now some progressive faction was worried that a fairly straightforward logical argument about male variability might encourage the conservative press to actually read and cite a science paper?

In my 40 years of publishing research papers I had never heard of the rejection of an already-accepted paper. And so I emailed Professor Senechal. She replied that she had received no criticisms on scientific grounds and that her decision to rescind was entirely about the reaction she feared our paper would elicit. By way of further explanation, Senechal even compared our paper to the Confederate statues that had recently been removed from the courthouse lawn in Lexington, Kentucky. In the interests of setting our arguments in a more responsible context, she proposed instead that Sergei and I participate in a ‘Round Table’ discussion of our hypothesis argument, the proceedings of which the Intelligencer would publish in lieu of our paper. Her decision, we learned, enjoyed the approval of Springer, one of the world’s leading publishers of scientific books and journals. An editorial director of Springer Mathematics later apologized to me twice, in person, but did nothing to reverse the decision or to support us at the time.

 

Voilà voilà.
En gros "on aime pas ce que vous dites donc votre analyse doit certainement être fausse. Non non ça nous intéresse pas d'en discuter. Par contre vous devriez vraiment vous excuser auprès des jeunes femmes impressionnables qui par votre faute vont renoncer à leurs études."

 

edit: Oh et bien entendu je ne parle pas de la suite du développement avec menaces sur la carrière du scientifique en question et sur un journal scientifique, etc, avec des mots très violents, témoignage du fanatisme du camp du bien et du progressisme, ça c'est assez évident, mais si quelqu'un en doutait:

Citation

 

As it turned out, Amie Wilkinson is married to Benson Farb, a member of the NYJM editorial board. Upon discovering that the journal had published my paper, Professor Farb had written a furious email to Steinberger demanding that it be deleted at once. “Rivin,” he complained, “is well-known as a person with extremist views who likes to pick fights with people via inflammatory statements.” Farb’s “father-in law…a famous statistician,” he went on, had “already poked many holes in the ridiculous paper.” My paper was “politically charged” and “pseudoscience” and “a piece of crap” and, by encouraging the NYJM to accept it, Rivin had “violat[ed] a scientific duty for purely political ends.”

Unaware of any of this, I wrote to Steinberger on November 14, to find out what had happened. I pointed out that if the deletion were permanent, it would leave me in an impossible position. I would not be able to republish anywhere else because I would be unable to sign a copyright form declaring that it had not already been published elsewhere. Steinberger replied later that day. Half his board, he explained unhappily, had told him that unless he pulled the article, they would all resign and “harass the journal” he had founded 25 years earlier “until it died.” Faced with the loss of his own scientific legacy, he had capitulated. “A publication in a dead journal,” he offered, “wouldn’t help you.”

*     *     *

Colleagues I spoke to were appalled. None of them had ever heard of a paper in any field being disappeared after formal publication.

 

 

Modifié par Patrick
  • Triste 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 14 minutes, zx a dit :

Les américains, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît.

Les déclarations américaines font suite à la volonté d’un procureur de la CPI d’ouvrir une enquête pour de présumés crimes de guerre commis par des soldats américains dans le conflit afghan.

Bien évidemment, les menaces sont aussi valables contre toute enquête qui viserait les israéliens dans leur conflit avec les palestiniens.

 

Modifié par TarpTent
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 22 heures, Tancrède a dit :

Alexandra Occasio Cortez, la récente coqueluche de la gauche militante qui a gagné des primaires à NY, s'est notoirement ridiculisée dans presque toutes ses interviews, de façon très Sarah palinesque, sur des sujets économiques ou sur la situation au MO.... Elle est censée être diplômée en relations internationales et en économie). 

Elle a mon âge, elle est fort mignonne. Pour ses bêtises, je n'ai trouvé que des articles de cette source: https://www.washingtonexaminer.com/opinion/alexandria-ocasio-cortez-botches-another-basic-question-about-her-platform.

Je ne connais pas ce journal et ne sais pas ce que ça vaut mais si c'est raisonnablement neutre, sa tête fonctionne à l'envers effectivement avec beaucoup de pensée magique.

Et à propos du tribalisme aux US, cet articles sur les interviews satiriques : https://www.mediaite.com/online/all-this-feigned-outrage-at-crtv-for-a-satirical-fake-interview-of-ocasio-cortez-is-laughable/

Les techniques de manipulations politiques vont loin, et il me semble bien plus loin qu'ici.

Modifié par SinopeMT
  • Merci (+1) 1
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

23 minutes ago, SinopeMT said:

Elle a mon âge, elle est fort mignonne. Pour ses bêtises, je n'ai trouvé que des articles de cette source: https://www.washingtonexaminer.com/opinion/alexandria-ocasio-cortez-botches-another-basic-question-about-her-platform.

Je ne connais pas ce journal et ne sais pas ce que ça vaut mais si c'est raisonnablement neutre, sa tête fonctionne à l'envers effectivement avec beaucoup de pensée magique.

Et à propos du tribalisme aux US, cet articles sur les interviews satiriques : https://www.mediaite.com/online/all-this-feigned-outrage-at-crtv-for-a-satirical-fake-interview-of-ocasio-cortez-is-laughable/

Les techniques de manipulations politiques vont loin, et il me semble bien plus loin qu'ici.

Aaaaah, cette polémique des interviews satiriques. J'ai adoré, savouré le niveau d'hypocrisie des médias et de la gauche en cette instance, considérant que ce qui avait été fait dans cette fausse interview était une version plutôt soft de ce que le Daily Show et ses succédanés (John Oliver, Samantha Bee), mais aussi Jimmy Kimmel et Stephen Colbert font à l'encontre de la droite (et en fait de tout ce qui n'est pas 100% d'accord avec eux ou les contredit sur un point jugé crucial) depuis des années, sur une base hebdomadaire ou quotidienne (le niveau de découpage TRES sélectif du Daily Show est très connu, à se demander comment ils trouvent encore des volontaires pour une interview.... Le désespoir d'apparaître à la télé?). 

Pour Occasio Cortez, j'ai un peu suivi, et elle est assez régulière dans ses bévues, alors qu'elle a pourtant une presse extrêmement complaisante qui cherche à tout prix à éviter les questions pièges et les sujets "hardball". Elle a par ailleurs une attitude inquiétante quand aux médias, ayant multiplié les town halls (meetings avec des militants et/ou des portions très sélectionnées de l'électorat) interdisant la présence de journalistes (pas vraiment dans la culture américaine), ce qui a poussé certains à aller voir le programme de la mouvance dont elle se réclame, les "democratic socialists of America", un parti ouvertement anticapitaliste, pour l'abolition du profit et des frontières, et dont l'essentiel des propositions semble assez incompatible avec l'Etat de droit et un gouvernement démocratique (certains le caricaturent en disant "imposer l'URSS, mais en vous demandant un vote de confirmation après avec le sourire".... Je crois surtout que c'est une bande de branleurs qui ne comprennent pas le monde et les concepts qu'ils manient, avec quelques idéologues radicaux parmi eux). Une chose est sûre, elle vient purement et simplement du milieu revendicatif, avec une idée de la gouvernance fondée exclusivement sur des indignations (dont beaucoup sont légitimes à un degré ou un autre), des morceaux d'idéologie tels que recrachés (sans avis divergent) dans les universités, et des slogans. Elle n'a aucune idée de ce dont elle parle, mais est persuadée qu'elle sait. En revanche, elle sait comment faire marcher son image jeune/jolie/de couleur/femme/quartier populaire, et sait surtout comment marche la scène du putacliquage qui nous sert à tous d'arène de débat public aujourd'hui: appeler tous ceux en désaccord des "oppresseurs privilégiés", toute critique du "harcèlement", tout avis contraire une "insulte raciste/sexiste" (et sans doute homophobe ou transphobe si elle pouvait), voire du "catcalling" (elle a authentiquement appelé ainsi une invitation à un débat par un podcasteur conservateur, essayant de monter une polémique contre lui). Quelque part, ça résume bien l'époque. 

J'imagine que si on était dans les années 30, toute cette "zeitgeist" se traduirait par une énorme violence dans les rues, mais aujourd'hui, c'est transposé online même si ça reste aussi méchant, gratuit, stupide, tribal, hypocrite et lâche. Heureusement ou malheureusement, on est dans une époque de couilles molles flemmardes, alors ça va rarement plus loin, et la violence physique est limitée aux plus excités des plus excités (ceux en capuches noires). 

  • J'aime (+1) 1
  • Upvote (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 3 minutes, Tancrède a dit :

Aaaaah, cette polémique des interviews satiriques. J'ai adoré, savouré le niveau d'hypocrisie des médias et de la gauche en cette instance, considérant que ce qui avait été fait dans cette fausse interview était une version plutôt soft de ce que le Daily Show et ses succédanés (John Oliver, Samantha Bee), mais aussi Jimmy Kimmel et Stephen Colbert font à l'encontre de la droite (et en fait de tout ce qui n'est pas 100% d'accord avec eux ou les contredit sur un point jugé crucial) depuis des années, sur une base hebdomadaire ou quotidienne (le niveau de découpage TRES sélectif du Daily Show est très connu, à se demander comment ils trouvent encore des volontaires pour une interview.... Le désespoir d'apparaître à la télé?). 

C'est bien le propos de l'article. Cette interview surdécoupé n'est pas sensée tromper son monde d'ailleurs. C'est désespérant que voir la scène online y tombe pourtant à pieds joints dedans.

 

il y a 4 minutes, Tancrède a dit :

J'imagine que si on était dans les années 30, toute cette "zeitgeist" se traduirait par une énorme violence dans les rues, mais aujourd'hui, c'est transposé online même si ça reste aussi méchant, gratuit, stupide, tribal, hypocrite et lâche. Heureusement ou malheureusement, on est dans une époque de couilles molles flemmardes, alors ça va rarement plus loin, et la violence physique est limitée aux plus excités des plus excités (ceux en capuches noires). 

HS avec les US mais je suis le procès Méric qui impliquent des gens de ces mouvances anachronique et il est marrant de voir la différence de traitement en fonction du media. Surtout ce qui m'a frappé c'est le comportement, l'attitude et les propos des antifas qui ont témoigné (ainsi que dans une moindre mesure celle de la mère de la victime), d'une brutalité et d'une violence impressionnante à leur corps défendant parce que, pour eux il est était évident qu'ils sont la vertu pure.

  • J'aime (+1) 4
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

35 minutes ago, SinopeMT said:

C'est bien le propos de l'article. Cette interview surdécoupé n'est pas sensée tromper son monde d'ailleurs. C'est désespérant que voir la scène online y tombe pourtant à pieds joints dedans.

 

HS avec les US mais je suis le procès Méric qui impliquent des gens de ces mouvances anachronique et il est marrant de voir la différence de traitement en fonction du media. Surtout ce qui m'a frappé c'est le comportement, l'attitude et les propos des antifas qui ont témoigné (ainsi que dans une moindre mesure celle de la mère de la victime), d'une brutalité et d'une violence impressionnante à leur corps défendant parce que, pour eux il est était évident qu'ils sont la vertu pure.

Plusieurs journalistes indépendants que je suis décrivent l'évolution récente des médias vue de l'intérieur: outre le changement radical de business model imposé par Internet, qui n'a pas vraiment en fait trouvé de solutions viables, ce qui a fait de l'essentiel des médias (tradis et online) des entités fragiles et/ou dans la poche de grandes boîtes s'en servant comme porte-voix, sur le plan de la GRH et des modes de travail, il y a plusieurs grandes tendances:

- le remplacement graduel, puis accéléré, des journalistes pros par des pigistes/stagiaires dans des proportions absolument dominantes. L'amateurisme règne

- une insuffisance gravissime des effectifs (et, sur le plan qualitatif, de la capacité de travail/intelligence de traitement/culture, ce qui réduit beaucoup la valeur de fait d'une heure ouvrée par individu) au regard des tâches, ce qui est inversement corrélé à l'explosion de la masse de travail à l'ère d'internet où tout le monde est passé en mode H24 et quête permanente du clic. 

- l'impact de l'idéologisation des universités et surtout des filières de sciences sociales (inclut la communication) et des humanités, premier vivier de recrutement de la presse: les stagiaires/pigistes sont pour l'essentiel des militants ultra-marqués non seulement à gauche, mais encore et surtout par une version très idéologisée de certains courants. Avec zéro expérience et recul, ou même capacité critique, pour se tempérer (surtout qu'on recrute et on maintient une main d'oeuvre jeune qui coûte pas cher).

- Non seulement les journalistes et éditeurs en viennent, mais aussi les recruteurs, si bien qu'au fil des ans, il y a eu une perte totale de diversité d'opinions dans la plupart des grands médias, mais aussi de capacité à accepter la légitimité d'autres opinions, donc la capacité au débat. Si on y ajoute les ravages du racialisme et "gender-ism" ambiant, beaucoup de recrutements se font en incluant une forte composante de choix en fonction des cases démographiques remplies (donc ça de moins pour la compétence exprimée: couleur, sexe et orientation sexuelle sont des qualités en soi maintenant). Le processus a été le même, des années 80 à aujourd'hui, dans les universités (pour le résultat qu'on connaît actuellement), et abondamment décrit par ceux qui l'ont vécu, et on le voit aussi se développer ailleurs: dans la production ciné/télé et les jeux vidéos, mais aussi dans les services GRH, com et marketing du monde corporate en général. L'ordre morale et la police de la pensée sont là.

- le putacliquage impose un rythme terrible, et s'allie au sous-effectif, à l'idéologie et à l'incompétence pour produire un niveau qualitatif très bas et favoriser la tendance de chacun à se voir comme un éditorialiste, un pamphlétaire, un tribun, un procureur sans même se préoccuper d'être d'abord un journaliste (ce que la plupart des rédactions n'ont en fait plus: la compétence n'est même plus là, ni priorisée). Essentiellement, cela suit la seule stratégie qu'on voit déployée actuellement: limiter la perte structurelle d'audience en tribalisant ce qui reste, chaque média essayant de créer sa petite bulle de réalité alternative où tout peut être affirmé sans preuve, beaucoup peut être inventé, où on peut accuser et diffamer qui ont veut sans preuve ni conséquence (vu le rythme des cycles médiatiques actuels, et la relative impuissance médiatique/juridique de chacun de nous, même de gens célèbres), et où les seuls outils sont l'indignation, l'outrage, la peur et la polémique, sans se préoccuper de savoir si c'est justifié ou si les thèses qu'on avance ont besoin d'être étayées. 

- à plusieurs reprises, j'ai entendu et lu des spécialistes décrire les rédactions et newsrooms comme gangrenée par des gens qui sont plus des activistes (genre idéologique enragé) que des journalistes. Et cette "infiltration" est aussi vraie dans les médias sociaux (ce qu'on a vu chez Google/Youtube, Facebook, Twitter...), en cette époque où tout le monde se voit et peut se voir comme un "citoyen journaliste", un polémiciste.... 

- dernier point, plutôt facteur multiplicateur des précédents: le sous-effectifs, la jeunesse, l'inexpérience moyenne, l'absence de réelles compétences, la faiblesse de la supervision ou des capacités de critique interne (souvent à dessein: il y a plus un rôle des avocats qui conseillent, mais surtout après qu'un article ou une vidéo soient sortis, au vu de la réaction), la paie minable (et le style de vie qui va avec), le stress énorme et l'absence totale de capacité d'autocritique individuelle (mentalité d'idéologues imbus de leur diplôme souvent sans valeur) et d'avis divergents créent une classe pseudo-journalistique dont il a été abondamment documenté que ses membres fonctionnent pour l'essentiel au radar à l'année, gavés de pilules et d'alcool, en dépression régulière et toujours au bord du pétage de plomb complet. Ils sont souvent en comités/équipes de travail de gens du même avis sur tout, en communication permanente avec d'autres rédactions de même opinions pour se concerter (sur des stratégies online contre tel ou tel: plusieurs réseaux de ce type ont été repérés et font régulièrement polémique) et s'exciter en circuit complètement fermé. Mais ils sont prêts à se sauter à la gorge au moindre soupçon d'entorse à la novlangue de rigueur et à la pensée correcte (dont les règles changent chaque jour), si bien qu'ils alimentent aussi leur paranoia de ce côté. 

C'est vraiment un monde à part de gens très frustrés, très en colère, pas du tout qualifiés pour ce qui est censé être leur métier (métier abandonné par leurs patrons corporate de toute façon: qui croit que Bezos a racheté le WaPo par amour du "grand journalisme"?) et extrêmement idéologisés. Ils reposent juste sur la réputation que des organes de presse prestigieux ont acquis en d'autres temps, mais, traditionnels ou non, c'est la même faune qui anime ce qui nous sert de médias de nos jours. En bonne partie, c'est une conséquence du fait que les médias, par eux-mêmes, ne sont plus un business tenable actuellement: ils reposent sur des financements moins liés à leur niveau d'activité et à leur audience qu'à l'intérêt de certains individus et organisations d'avoir des porte-voix, ce qui permet à la dite faune d'exister et d'agir. Un mélange malsain d'intérêts corporates et d'activistes. Un des trucs qui me fait pitié, c'est de voir la dernière génération de gens qui ont pu prétendre et/ou être de vrais journalistes s'accrocher encore un peu et entrer dans le nouveau moule (et en lui prêtant leurs airs de sérieux et ce qu'il leur reste de crédibilité) pour réussir à atteindre l'âge de la retraite et toucher leurs pensions à plein taux. Pour ceux d'entre eux qui ont encore un reste de conscience, voire qui y croient encore, ça doit faire mal. 

Modifié par Tancrède
  • J'aime (+1) 1
  • Merci (+1) 2
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Puisqu’on aborde ici

Le 10/09/2018 à 08:03, Gibbs le Cajun a dit :

Un article très intéressant sur cette maladie du racialisme venant des USA et qui vient nous pourrir la vie en France. 

 

 

Ils sont en avance* sur ces sujets, ce qui les amène à des situations particulières. Exemple avec « l’inclusion rider » :

« Pour ce long-métrage, le producteur a annoncé vouloir d'ores et déjà respecter l'«inclusion rider». Même si, pour l'heure, la Warner n'a pas fourni de détails sur les modalités d'application de cette clause, qui doivent être définies ultérieurement. Mais elle devrait mener à une répartition des rôles, dans les films, reflétant davantage la diversité des sociétés. Pour un film américain, figurants et techniciens compris, cela donnerait 50% de femmes dans l'équipe, 40% de minorités  ethniques, 20% de personnes handicapées et 5% de personnes LGBT . »

http://www.lefigaro.fr/cinema/2018/09/11/03002-20180911ARTFIG00029-diversiteau-cinema-l-acteur-de-black-panther-et-la-warner-vont-appliquer-l-inclusion-rider.php

 

A titre personnel, je pense que l’on discrimine bien trop les possesseurs de tortue par rapport aux propriétaires de chiens et de chats. Ils méritent leurs 5% aussi. Par contre je suis embêté pour les calculs : si l’on embauche un preneur de son muet pakistanais gay possesseur de tortue, il rentre dans toutes catégories ou bien il y a un autre quota par ailleurs ? Parce que là, on contournerait l’essence de la règle, non ?

Et puis c’est légal en entreprise de mettre en base de données les tendances sexuelles ? De s’en servir comme critère d’embauche ? Et il y aurait encore plein d’autres questions...

 

Moi je dis : vivement les prochaines manifestations sur la question des pourcentages de représentativité.

 

* dans le sens, ils poussent bien plus loin que nous ces concepts et en expérimentent de façon bien plus approfondie tous les effets de bord... voire les effets délétères.

Modifié par TarpTent
  • Haha (+1) 4
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 12 heures, SinopeMT a dit :

 

HS avec les US mais je suis le procès Méric qui impliquent des gens de ces mouvances anachronique et il est marrant de voir la différence de traitement en fonction du media. Surtout ce qui m'a frappé c'est le comportement, l'attitude et les propos des antifas qui ont témoigné (ainsi que dans une moindre mesure celle de la mère de la victime), d'une brutalité et d'une violence impressionnante à leur corps défendant parce que, pour eux il est était évident qu'ils sont la vertu pure.

"Apparemment, il y a eu un affrontement violent entre les Afghans et les Allemands. En conséquence, l’un des Allemands est mort. La cause du décès est une hémorragie cérébrale. Pour en savoir plus, une autopsie aura lieu aujourd’hui, dimanche, à 15h.

Selon les informations de WELT, la police était sur les lieux du crime six minutes après l’incident. Deux jeunes Afghans, soupçonnés d’homicide, ont été arrêtés. Un troisième Afghan, qui se trouvait également sur le terrain de jeu, n’était apparemment pas impliqué dans le différend. La victime a d’abord été conduite à l’hôpital, où son frère lui a rendu visite. Selon les informations de WELT, ce frère serait un « délinquant d’extrême droite » avec un casier judiciaire. Les Afghans sont actuellement entendus en présence d’interprètes. Dans un communiqué de presse conjoint, le parquet de Dessau-Roßlau et la police de Saxe-Anhalt Est ont confirmé le rapport WELT dimanche matin. La note disait que la victime avait 22 ans."

 

https://www.welt.de/politik/deutschland/article181471236/Streit-zwischen-Deutschen-und-Afghanen-eskaliert-ein-Mensch-stirbt.html?wtmc=socialmedia.facebook.shared.web

 

Le compte-rendu n'est pas pareil, suivant la victime. Pour la mort de l'Allemand, tué à Köthen il y a quelques jours, c'est une « bagarre » et, circonstance atténuante,  le frère (absent des événements) de la victime est d'extrême-droite et a un casier judiciaire

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

3 hours ago, Alexis said:

Ce qui est dommage, car la dame est jolie. 

 

=====> S'enfuit sans demander son reste, poursuivi par une bande de militants en furie

 

Tu l'objectifie? #metoo, espèce de phallocrate: ce commentaire est l'équivalent d'un viol physique, dans la nomenclature actuelle. Tu es trop fini! RIP Alexis. La nouvelle police spécialisée dans le harcèlement de rue (made in Schiappa-Macron: avec ça, on vient de perdre le droit moral à critiquer la police religieuse saoudienne ou iranienne) va t'épingler. 

  • Haha (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • pascal featured et locked this sujet
  • pascal unlocked this sujet
  • Akhilleus locked this sujet

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 964
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Aquaromaine
    Membre le plus récent
    Aquaromaine
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...