Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Messages recommandés

Allons, le régime est totalitaire emprunt de Stalinisme:

-Comme dit précédemment le grand Schtroumpf est l'Archétype du Fuhrer/Grand Timmonier qui est présenté par une intense propagande comme étant infaillible et détenant la sagesse absolue.

-l'imposition de travaux publics digne du goulag! Par la construction et l'entretien perpétuel d'un barrage (aussi utile que le canal de la mer blanche vu le nombre de fois où il cède).

-La mise en place d'un système d'exploitation des prolétaires(le schtroumpf bricoleur) et des paysans(schtoumpf paysan et cuisinier) qui subissent des cadences infernales sans juste rémunération au service de la Nomenklatura inutile incarnée par le Schtoumpf Paresseux/Gourmand/Grand Schtoumpf

-Un système de délation très poussé ( Le Schtoumpf à lunette menace systématiquement en disant: je le dirais au grand Schtoumpf) qui rivalise avec les services secret de feu l'URSS ou la STASI.

-Un système repressif cherchant à museler la presse(Cf le schtroumpf reporter)

-une nation raciste dénonçant  le complot Gargaméli-azraelien, notez la proximité de azrael et Israel!

-Enfin un régime violent où les milices (comme les membres de la SA) incarnés par le Schtroumpf Costaud et Farceur terrorise la populace.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Messieurs, messieurs, nous dérapons; restons sur le sujet. Les schtroumpfs sont l'idéal des communautés surivalistes américaines:

- ils vivent en autarcie

- ils sont farouchement indépendantistes

- ils détestent le gouvernement: la preuve, leur village est introuvable.... C'est pour fuir l'IRS, éviter le survol par des drones et, évidemment, l'intrusion de tout service de police fédéral quand des trucs pas catholiques se passent chez eux

- ils cultivent des plantes zarbis (de la salsepareille? Mon cul!) qui, entre autres, vous font oublier le chemin vers leur village si d'aventure vous tombez dessus. Autrement dit, y'a un labo de métamphétamines, occycontines..... Comme dans la plupart des petits bleds US. Le dealer/chimiste en chef (localement appelé grand schtroumpf, sorte de patriarche dont on suppose qu'il a le droit d'abuser sexuellement qui il veut dans le village à volonté) semble très versé dans la concoction de toutes sortes de produits dont on suppose qu'ils constituent la source de revenus principale du village (parce qu'on les voit rarement bosser ces glands là).

- ils ont une bizarre obsession pour des cérémonies musicales où tout le monde doit participer: un rituel religieux obligatoire? En tout cas pas une innocente passion pour les orchestres.  

- ils se foutent de la nature (placée par dieu pour être utilisée à outrance), vu le barrage qu'ils ne cessent de mettre en place et d'entretenir

- ils sont égalitaristes, mais évidemment, certains semblent nettement plus égaux que d'autres, vu le temps d'attention qui leur est consacré et la position éminente qu'ils semblent avoir

- ils sont anti connaissance, vu le tableau méprisant qui est fait du schtroumpf à lunettes :lol:

- ils sont en concurrence avec un petit entrepreneur local (et son chat) qui lui aussi semble concocter des produits bizarres, sans doute pour la revente: qui ne voit pas là une habituelle rivalité locale si commune dans la campagne américaine, la lutte pour les parts de marché d'alcool clandestin et de drogues de synthèse s'ajoutant à des querelles de communautés ou de familles remontant à des décennies, voire des siècles, dont personne ne connaît l'origine, et qui se règlent souvent à coup de fusil, discrètement, dans la forêt.

- Enfin qui ne voit pas la ressemblance frappante entre le grand schtroumpf et l'oncle Jesse (des Dukes of Hazard) :lol:?

Personne ne voit la tendance sectaire et les claires analogies? Messieurs, je vous le dit: la raison pour laquelle personne n'a trouvé le village des schtroumpfs en Europe (où la logique et la bibliographie semblent indiquer qu'il doit se trouver) est qu'il se trouve quelque part dans les Apalaches.... A mon avis vers la Georgie, la Virginie ou dans les Carolines.

Allons, le régime est totalitaire emprunt de Stalinisme:

-Comme dit précédemment le grand Schtroumpf est l'Archétype du Fuhrer/Grand Timmonier qui est présenté par une intense propagande comme étant infaillible et détenant la sagesse absolue.

-l'imposition de travaux publics digne du goulag! Par la construction et l'entretien perpétuel d'un barrage (aussi utile que le canal de la mer blanche vu le nombre de fois où il cède).

-La mise en place d'un système d'exploitation des prolétaires(le schtroumpf bricoleur) et des paysans(schtoumpf paysan et cuisinier) qui subissent des cadences infernales sans juste rémunération au service de la Nomenklatura inutile incarnée par le Schtoumpf Paresseux/Gourmand/Grand Schtoumpf

-Un système de délation très poussé ( Le Schtoumpf à lunette menace systématiquement en disant: je le dirais au grand Schtoumpf) qui rivalise avec les services secret de feu l'URSS ou la STASI.

-Un système repressif cherchant à museler la presse(Cf le schtroumpf reporter)

-une nation raciste dénonçant  le complot Gargaméli-azraelien, notez la proximité de azrael et Israel!

-Enfin un régime violent où les milices (comme les membres de la SA) incarnés par le Schtroumpf Costaud et Farceur terrorise la populace.

Ils l’ont fait mesdames et messieurs ! Mais oui ils l’ont fait ! Incroyable mais vrais ! Toujours plus haut, toujours plus loin, toujours plus fort : c’est Tancrède  et trfyrktrv !!  :oops:

Les enfants, si deux armoires à glace en blouse blanche et équipé de bâtons électriques se présentent à vos porte, n’opposez aucune résistance, c’est pour votre bien O0.

Maintenant cette histoire de  ville en faillite et de privatisation des services de polices me rappel un film de SF pas si loin de la réalité en fin de compte : ROBOCOP.

Mais si souvenez-vous : une ville failli, Detroit justement :O. Faisant appel à une multinational, l’OCP comme prestataire de services sécuritaire et à l’origine du policier Cyborg.

L’anticipation est vraiment un genre injustement mésestimé quand on y pense.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

"A côté de Detroit, Gotham City c'est Disneyland"

ce qui ressemble le plus à Detroit aujourd'hui, c'est la Nouvelle-Orléans après le passage de l'ouragan Katrina.

Suite : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique/a-cote-de-detroit-gotham-city-c-est-disneyland_1267650.html#bK9Eh6RA7wBh6ghj.99

Des photos de la ville : http://www.marchandmeffre.com/detroit/

Un endroit idéal pour tourner un film post-apocalyptique...

Ça met quand même fort mal à l'aise de voir ça. Et surtout, est-ce que la ville peut s'en remettre ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

- Enfin qui ne voit pas la ressemblance frappante entre le grand schtroumpf et l'oncle Jesse (des Dukes of Hazard) :lol:?

moi s'est plutôt la cousine Daisy dont je me souviens dans shérif fait moi peur  =D

sympa les photos  =D

http://lostintheseventies.blogspot.fr/2010/05/la-pin-up-de-la-semaine-n28-catherine.html

Image IPB

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ça met quand même fort mal à l'aise de voir ça. Et surtout, est-ce que la ville peut s'en remettre ?

  Tu parles, ça va devenir le terrain de jeu parfait pour une énième multiplication d'émissions de ghost-hunting sur les chaines US ...

(Snif Ghost adventures qui reprend pas avant novembre je crois ... Chui en manque  :'( )

  Tout ces immeubles et usines-ateliers abandonner = gros background énorme pour faire encore moultes émissions de cas fake d'hantise ...  :lol:

Enfin bon je dis ça, ils ont bien rasé le sanatorium de Warvely hills (le soit disant site US le + hanté de l'histoire)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je serais le DOD, j’achèterais tout et je le transformerais en un immense CENZUB, avec aucune restriction sur l'utilisation des munitions explosives (en dehors de la protection des soldats hein). Les même ROE qu'au plus fort de Fallujah, et les coups de destruction et/ou réhabilitation des bâtiments existants seront plus un problème.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Faillite de Détroit : aucune ville n'est Too Big To Fail

Publié le 21/07/2013

La ville de Détroit (Michigan) s'est déclarée en faillite. Une décision choc qui n'est pourtant pas vraiment une surprise.

Par Stéphane Montabert, depuis la Suisse.

La ville de Détroit, dans le Michigan, s'est mise en faillite jeudi.

L'effet d'annonce est très fort, mais il n'y a pourtant rien de nouveau. Les difficultés de Détroit remontent à des décennies, même si elles se sont récemment aggravées, crise financière aidant. En mars, l'Etat fédéral du Michigan recruta Kevyn Orr pour tenter de redresser la situation financière de la ville à travers un processus de restructuration de la dette de gré à gré avec les créanciers. Face à leurs refus, la mise de la ville sous la protection du Chapitre 9 devint la seule option envisageable pour éviter qu'ils ne s'emparent des biens communaux.

Techniquement, Détroit n'est pas encore réellement en faillite: il faudra trois mois et l'accord d'un juge pour que la ville renégocie ses engagements auprès de ses créanciers dans un cadre légal formel. Mais avec une dette de plus de 18 milliards de dollars et qui se creuse de plusieurs centaines de millions chaque année, on voit mal comment la ville pourrait résorber sa dette. Detroit est depuis plusieurs années à la dérive: 40% de l'éclairage public est à l'arrêt, seulement un tiers des ambulances fonctionnent, 80 000 maisons sont abandonnées, et là où l'Américain attend en moyenne 10 minutes pour un appel d'urgence (police ou médical), à Détroit, il doit patienter une heure... Mais les citoyens s'organisent.

Médiatiquement, les analyses se suivent et se ressemblent: Détroit s'est appauvrie au cours des ans, entre crise économique, délocalisation de la production automobile et perte de population, et tout cela est bien malheureux. Et bien simpliste.

La population de Détroit comportait 1,8 millions d'habitants en 1950, contre 700'000 aujourd'hui. Rien n'empêche pourtant une "petite" ville de cette taille d'être convenablement gérée, par exemple en redimensionnant les services publics au nombre d'habitants. Mais justifier les déboires de Détroit par son dépeuplement ne suscite que davantage de questions alors que les Etats-Unis passaient de 150 à 316 millions d'habitants sur la même période.

Qui est parti? Les plus entreprenants, les plus talentueux, et ceux qui en avaient les moyens. L'examen des personnes restantes est politiquement incorrect. L'ancienne Motor Town est peuplée à 80% de noirs, la plupart du temps pauvres. Quant à savoir pourquoi ceux qui sont partis ont décidé de le faire, il y a probablement autant d'explications que d'individus, mais les journalistes prendront bien soin de ne pas rappeler dans leurs reportages que la ville est sous domination démocrate depuis 1962. Il faut bien couvrir les copains...

La mise en faillite est probablement vue avec malice par certains comme un joli tour joué aux banquiers et aux investisseurs. Il est de bon ton de les détester de ce côté de l'Atlantique. Les créanciers prélèvent 42% du budget annuel de la ville au titre des intérêts sur la dette ; pourtant, les deux principaux d'entre eux (qui sont par leur intransigeance directement responsables de la mise en faillite de la ville) se trouvent être des fonds de pension chargé des retraites... des employés municipaux de Détroit ! C'est le serpent qui se mord la queue. La dispute pour les meilleurs morceaux du cadavre est la conséquence directe de promesses de prestations sociales tenues depuis des décennies, promesses toujours payées par le voisin, ce cochon de payeur. Mais le voisin n'est pas si bête, il a mis les voiles depuis longtemps.

Les autres grandes municipalités américaines dépensent en moyenne 20% de leur budget au service de la dette. Elles prennent donc le même chemin. Détroit les fera accélérer: la mise en faillite de la ville pourrait provoquer une onde de choc sur l'ensemble du marché des obligations municipales et les 3 700 milliards de dollars qu'il représente. Kevyn Orr réfute les garanties contenues dans les General Obligations, des engagements qu'on estimait "protégés du risque" parce que l'emprunteur, pensait-on, serait toujours en mesure d'augmenter les impôts pour honorer ses échéances. Au vu de la richesse moyenne de la population de Detroit et de ses taxes déjà les plus élevées du Michigan, cette approche est absurde. La gestion de la faillite de Détroit fera donc jurisprudence et pourrait bien redéfinir les niveaux de risque communément admis, renchérissant le coût de financement de toutes les municipalités américaines.

Rappelons enfin qu'on ne connaîtra les tenants et aboutissants de la faillite que lorsqu'elle aura été formellement prononcée et la structure de la dette mise à plat. On parle déjà d'une ardoise de plus d'un milliard d'euros pour les banques européennes. Les Etats-Unis ne sont plus si loin, tout d'un coup...

Après Stockton, Mammoth Lakes, San Bernardino, Harrisburg et bien d'autres communes et comtés, la crise de la dette atteint désormais des villes de premier plan. On s'efforce de présenter l'effondrement financier de Detroit comme une sorte de cas particulier, mais l'ancienne capitale du Michigan ne sera pas la dernière commune de cette importance à faire faillite, et pas qu'aux Etats-Unis.

https://www.contrepoints.org/2013/07/21/131518-faillite-de-detroit-aucune-ville-nest-too-big-to-fail

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Petit article de juillet dernier sur d'autres cas de faillite:

De nombreuses villes américaines ont fait faillite pour avoir pris des engagements intenables en surfant sur le boom immobilier. Quelles leçons pouvons-nous tirer de ces multiples faillites?

Par David Desôteaux, depuis Montréal, Québec.

Imaginez : vous habitez une ville où sévit le deuxième plus haut taux de crimes violents en Californie. Les gangs de rue font la loi dans plusieurs quartiers. Aller chercher une pinte de lait au dépanneur s’avère parfois une aventure.

Et là, vous apprenez que votre ville, pour des raisons budgétaires, va couper le quart de ses effectifs policiers. Vous regrettez soudainement le bon vieux temps où le laitier passait en camion…

Stockton, à l’est de San Francisco, vient de déclarer faillite. À 290 000 habitants, c’est la plus grosse ville à se réfugier sous la protection des tribunaux aux États-Unis. Nous devrions en tirer des leçons.

Le gros party

Au milieu des années 1990, le boom immobilier fait pleuvoir des revenus dans les coffres de Stockton. Celle-ci accorde à ses employés des conditions parmi les plus généreuses — et insoutenables — de Californie. Retraite à 50 ans pour certains, assurance médicale 100 % payée par la Ville pour l’employée et son conjoint, policiers et pompiers qui gagnent à la retraite autant que lorsqu’ils travaillaient… Bref, la totale, explique la vice-mairesse Kathy Miller, dans une série de vidéos sur YouTube.

Les gestionnaires de la Ville ne sont pas en reste. Ils partent sur une « balloune », en pensant que la bulle immobilière va durer éternellement. Développements immobiliers, aréna, mairie à 35 millions $… On n’a pas d’argent, mais on a une carte de crédit !

Soudain, paf ! La bulle immobilière éclate. La récession frappe Stockton comme une tonne de brique. Les saisies immobilières explosent, les revenus de la ville plongent. Le taux de chômage frise aujourd’hui les 20 %.

Résultat : la Ville largue le quart de ses policiers, le tiers de ses pompiers, et près de la moitié du reste des employés. Toutefois, impossible de toucher aux régimes de retraite. Stockton n’a plus d’argent, et craint de coûteuses poursuites par les syndicats (So, so, solidarité, qu’ils disent…)

En 2008, c’était au tour de Vallejo de lancer la serviette. L’auteur Michael Lewis raconte que peu avant la faillite, 80 % du budget de cette ville californienne servait à payer le salaire et les avantages sociaux des employés, surtout pompiers et policiers.

Aujourd’hui c’est Scranton, en Pennsylvanie. La ville n’a plus que 5000 $ dans son compte de banque, selon la chaîne NPR. Le maire n’a plus le choix : depuis vendredi dernier, il paye tous les employés publics… au salaire minimum !

Et nous ?

Nous ne sommes pas la Californie. Mais le destin de ces trois villes devrait, au minimum, nous servir d’avertissement. Une leçon sur ce qui arrive quand on pellette toujours les problèmes en avant. Quand une ville (ou province) refuse d’entreprendre des réformes pendant qu’il est encore temps. Qu’elle laisse des incompétents — corrompus? — gérer ses finances trop longtemps. Qu’elle s’imagine que les revenus du boom immobilier demeureront pour toujours…

Au Québec, on évalue le déficit actuariel des régimes de retraite municipaux à près de quatre milliards $. Et la dette municipale a grimpé de près de 20 % depuis deux ans (notamment dû aux dépenses d’infrastructures). Elle atteint 21 milliards $, notait récemment Peter Hadekel dans la Gazette.

Avec les taux d’intérêt anémiques qui plombent les caisses de retraite, et le vieillissement de la population, les problèmes vont empirer. Les dettes et les promesses de retraite vont nous exploser au visage un jour, nous aussi. Et tous les contribuables devront payer la facture.

Non, nous ne sommes pas la Californie. Mais ça ne nous empêche pas d’avoir la tête dans le sable. Il faudra la sortir un jour. Le plus vite sera le mieux.

http://www.contrepoints.org/2012/07/11/89885-tirer-des-lecons-des-faillites-de-villes-americaines
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

[...] Et surtout, est-ce que la ville peut s'en remettre ?

On peut toujours s'en remettre à la différence prêt que dans un tel cas cela peut prendre 50ans. Comme l'ensemble de la crise actuelle.

La première chose sera la vente des biens. Les musées des Detroit vont vendre leurs collections (notamment en art.), les propriétés de la commune seront saisies et vendu. Le problème ici est leur valeur. Cela ne va rien rapporter et face à 18Mds tu ne peux éponger la dette de la sorte.

Il va y avoir une hausse massive d'impot. La conséquence sera le départ vers la périphérie des dernières populations dynamiques, peut-être le déménagement des sièges sociaux de la ville. Pour l'avenir, la conséquence sera dramatique car plus personne ne fera le choix de s'installer dans cette ville à cause de la fiscalité (ce qui est déjà le cas depuis longtemps sur le Michigan.)

Les créanciers de la ville vont perdre leur argent. En dépit de procès, l'insolvabilité de la ville fera qu'ils ne pourront rien comparer. Parmis les créanciers, il y a les deux fonds qui gèrent les retraites de 100000 retraités de la ville. Leur porte-feuille est constitué des obligations de la ville (ce qui est une folie. On ne crée jamais de tels produits de capitalisation.). La conséquence est simple : 100000 retraités ont tout perdu avec les actifs qui ne sont pas encore à la retraite. Ceux qui ont 30ans pourront s'en sortir. Ceux qui ont plus de 50 ans ont tout perdus et ne peuvent se reconstituer quelque chose.

L'avenir se rapproche donc de la fin pure et simple.

Enfin, il va y avoir propagation (1Mds pour l'Europe) vers les emprunts des autres villes. Les interets vont augmenter et les villes aux comptes les plus raides vont pour certaines basculer en faillite. Les conséquences vont se faire ressentire sur tout le pays.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je serais le DOD, j’achèterais tout et je le transformerais en un immense CENZUB, avec aucune restriction sur l'utilisation des munitions explosives (en dehors de la protection des soldats hein). Les même ROE qu'au plus fort de Fallujah, et les coups de destruction et/ou réhabilitation des bâtiments existants seront plus un problème.

s'est pas bêtes comme solution .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 12 juillet, les responsables de la sécurité du Capitole du Texas, le siège de la Législature de l'Etat, avaient défendu aux Sénatrices d'entrer dans l'enceinte du bâtiment avec des serviettes hygiéniques ou des tampons dans leur sac.

Le motif de l'interdiction ? On craignait que ces protections féminines ne soient utilisées comme projectiles sur les parlementaires, au cours du débat - assez animé - sur l'instauration d'une loi restreignant l'accès à l'IVG dans l'Etat du Texas.

Tous les objets susceptibles de se transformer en projectiles étaient donc confisqués à l'entrée du Capitole : barres de céréales, sachets de sucre, préservatifs... Cette mesure faisait suite à la découverte de bouteilles remplies d'urine ou de matières fécales, que certains orateurs comptaient lancer sur leurs adversaires.

Seules les armes à feu étaient autorisées, sous réserve d'avoir un permis de port d'arme, car elles sont protégées par la Constitution.  :rolleyes: :lol: :lol:

http://www.gentside.com/journaliste/texas-pour-protester-contre-la-loi-anti-ivg-une-journaliste-remplace-ses-boucles-d-039-oreilles-par-des-tampons_art53111.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 12 juillet, les responsables de la sécurité du Capitole du Texas, le siège de la Législature de l'Etat, avaient défendu aux Sénatrices d'entrer dans l'enceinte du bâtiment avec des serviettes hygiéniques ou des tampons dans leur sac.

Le motif de l'interdiction ? On craignait que ces protections féminines ne soient utilisées comme projectiles sur les parlementaires, au cours du débat - assez animé - sur l'instauration d'une loi restreignant l'accès à l'IVG dans l'Etat du Texas.

Tous les objets susceptibles de se transformer en projectiles étaient donc confisqués à l'entrée du Capitole : barres de céréales, sachets de sucre, préservatifs... Cette mesure faisait suite à la découverte de bouteilles remplies d'urine ou de matières fécales, que certains orateurs comptaient lancer sur leurs adversaires.

Seules les armes à feu étaient autorisées, sous réserve d'avoir un permis de port d'arme, car elles sont protégées par la Constitution.

Respect !  :rolleyes: :lol:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Face à tout ce que les abrutis du gouvernement du Texas font et disent, entre autres choses à l'encontre d'autres Etats et villes, Lewis Black, humoriste très connu, a pris la contre-offensive dans le Daily Show (de John Stewart mais sans John Stewart cet été :lol:), au nom de New York. Au célèbre "don't mess with Texas", Black a réalisé un clip "don't fuck with New York":

http://www.thedailyshow.com/full-episodes/wed-july-17-2013-reza-aslan

A voir (comme souvent le daily show), ça défoule.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce qui est marrant et ironique dans l'histoire, c'est que pour beaucoup d'Américain New York et le Texas sont pratiquement des pays à part. Idem pour la Californie. La réaction des non texans/new yorkais aura probablement été du style "fuck 'em anyway".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Etats-Unis : Une université estime que si un violeur n'atteint pas l'orgasme, il n'y a pas viol

Aux Etats-Unis, les viols dans les milieux scolaires ou universitaires font l'objet de nombreuses polémiques, notamment quand ces histoires mettent en cause des sportifs à la carrière prometteuse. "Peut-être est-il plus important de traiter ces affaires de cette manière afin de protéger la réputation des joueurs de football. C’est répugnant", affirme Stéphanie Guerra, l'une des étudiantes.

Aux Etats-Unis, le culte du sportif est tellement énorme qu'il semble parfois prendre le pas sur la justice...

En savoir plus: http://www.gentside.com/%e9tats-unis/etats-unis-une-universite-estime-que-si-un-violeur-n-039-atteint-pas-l-039-orgasme-il-n-039-y-a-pas-viol_art53114.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Michael Hayden, ancien chef de la CIA et de la NSA a donné une interview à la revue "Australian Financial Review" : http://www.afr.com/p/national/transcript_interview_with_former_KnS7JDIrw73GWlljxA7vdK (19 juillet 2013)

Il dit ceci à propos de la Chine :

Le problème, c'est que les Chinois considèrent que l'espionage industriel d'État contre des entreprises privées relativement vulnérable est une pratique étatique communément acceptée. Ceci est tout simplement inacceptable.

Ce n'est pas un simple poil à gratter [qui irite superficiellement]. Ce n'est pas un dossier périphérique. Croyez-moi, je travaille étroitement avec le congrès et avec le gouvernement américain, et c'est le dossier dominant entre les deux pays, et il risque de miner l'ensemble des relations sino-américaines.

http://www.theatlantic.com/politics/archive/2013/07/former-cia-chief-snowdens-leak-is-a-little-like-the-boston-bombers/278066/ (24 juillet 2013)

L'auteur pense que les propos suivants tenus par Michael Hayden dans son interview à la "Australian Financial Review" sont assez forts de café :

1°) Hayden compare Snowden aux "poseurs de bombe de Boston" et le souci de transparence [démocratique]... au fondamentalisme musulman !

[Hayden :] C'est comme les poseurs de bombe de Boston. La question est de savoir à quel moment le fondamentalisme musulman atteint son point de déséquilibre et devient une authentique menace de sécurité nationale. De même, à quel moment est-ce qu'une tendance culturelle en faveur de la transparence atteint son point de déséquilibre pour devenir une menace profonde au sein de votre système ?

2°) Pour Hayden, la raison pour laquelle les Américains ne comprennent pas la NSA... est la faute aux médias !

[Hayden :] Oui, nos chaines d'info en continu ont vraiment saccagé ce sujet si durement que les Américains ne comprennent pratiquement pas quelles sont les choses que le gouvernement fait ou ne fait pas.

John W. Whitehead publie (25 juin 2013) le livre "A Government of Wolves: The Emerging American Police State" / Un gouvernement de loups: l'émergence de l'État policier américain

Image IPB

http://www.amazon.com/dp/1590799755

[présentation de l'éditeur] John W. Whitehead retrace la transition de l'Amérique depuis une société gouvernée par "Nous le Peuple" vers un État policier gouverné par le bras fort de la loi. Dans un tel environnement, la loi devient un autre instrument pour opprimer le peuple.

http://www.nytimes.com/2013/06/28/opinion/the-criminal-nsa.html?pagewanted=all&_r=0  (27 juin 2013)

L'auteure déplore que même les commentateurs réputés libéraux comme David Ignatius ou Hendrik Hertzberg aient accepté et adopté la rhétorique de la NSA pour minimiser l'illégalité des écoutes. Elle s'appuie sur la décision de la Cour Suprême de 2012 "États-Unis contre Jones" qui établit que le 4e amendement de la constitution est d'interprétation stricte.

[4e amendement:] Le droit des citoyens d'être garantis dans leurs personne, domicile, papiers et effets, contre les perquisitions et saisies non motivées ne sera pas violé, et aucun mandat ne sera délivré, si ce n'est sur présomption sérieuse, corroborée par serment ou affirmation, ni sans qu'il décrive particulièrement le lieu à fouiller et les personnes ou les choses à saisir.

http://www.nytimes.com/2013/07/07/us/in-secret-court-vastly-broadens-powers-of-nsa.html?pagewanted=all (6 juillet 2013)

La FISA (Foreign Intelligence Surveillance Court/ Cour de surveillance des services de renseignements extérieurs) est une sorte de cour suprême parallèle. Elle travaille en secret. Elle n'entend qu'une seule des parties. Ses jugements ne sont pas rendus publics. 10 de ses 11 membres ont été nommés par des présidents républicains.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

2°) Pour Hayden, la raison pour laquelle les Américains ne comprennent pas la NSA... est la faute aux médias !

Il n'a pas complètement tort non plus, la superficialité de bon nombre de reportages, une tendance à l'hyperbole dès qu'on parle de la NSA et des erreurs n'aident pas à bien informer le public.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il n'a pas complètement tort non plus, la superficialité de bon nombre de reportages, une tendance à l'hyperbole dès qu'on parle de la NSA et des erreurs n'aident pas à bien informer le public.

Conor Friedersdorf est assez elliptique, mais on peut imaginer que sa critique porte sur deux axes :

1) Lorsqu'une activité est secrète, il est inévitable que le public ne la comprenne pas. Ne pas être compris du public est le prix à payer pour toute activité secrète.

2) Tant mieux, heureusement ! Il est heureux que le public dans une nation démocratique ne comprenne pas que son propre gouvernement se livre à des activités antidémocratiques. De la même façon que le public n'a "pas compris" en 1974 que Nixon ait fait espionner le parti démocrate. Ce qui aurait été choquant eut été que le public "comprenne Nixon", ou que les médias aident Nixon à être "compris par le public".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • pascal featured et locked this sujet
  • pascal unlocked this sujet
  • Akhilleus locked this sujet

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 964
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Aquaromaine
    Membre le plus récent
    Aquaromaine
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...