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«Covid-19: Trump "va très bien" selon son médecin, une source anonyme dit le contraire»

Votre crise de foi : le médecin officiel ment forcément, ou bien la « source anonyme » est juste de la création de buzz artificiel ?

 

https://m.huffingtonpost.fr/entry/covid-donald-trump-nest-pas-sous-oxygene-et-na-plus-de-fievre-annonce-son-medecin_fr_5f789edbc5b64cf6a25103cd?utm_hp_ref=fr-homepage&ncid=other_homepage_tiwdkz83gze&utm_campaign=mw_entry_recirc

Modifié par TarpTent
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Il y a 2 heures, TarpTent a dit :

«Covid-19: Trump "va très bien" selon son médecin, une source anonyme dit le contraire»

Votre crise de foi : le médecin officiel ment forcément, ou bien la « source anonyme » est juste de la création de buzz artificiel ?

La source anonyme semble bien être Mark Meadows, directeur de cabinet de la Maison-Blanche, et qui parlait à plusieurs journalistes censément en "off". Trump a été mis sous assistance respiratoire à la Maison Blanche avant de monter dans l'hélico.

3 sénateurs sont atteints et une partie de l'équipe de campagne (Chris Christie, asthmatique, un bon quintal et la soixantaine...) : tout ce monde-là était serré en rangs d'oignons et la plupart sans masques, en extérieur certes, dans la roseraie, pour l'annonce de la nomination de la future juge à la Cour Suprème. Strike.

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Il y a 12 heures, rendbo a dit :

Si Trump est dans l'impossibilité de se présenter, comment ça se passe pour les présidentielles ? Le colistier devient tête d'affiche et on sort un nouveau colistier du chapeau ?

Ben ... en fait, il semblerait que la date du 4 novembre n'est que celle de l'ouverture des bureaux de vote. Ce qu'il faut savoir, c'est que les américains votent déjà depuis plusieurs jours, en fonction des circonstances particulières qui les touchent localement.

Le ticket serait alors Trump/Pence, quoi qu'il arrive à présent à l'un comme à l'autre.

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Trump furious at chief of staff for contradicting White House physician, sources say

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Des sources affirment que Trump est furieux que le chef de cabinet ait contredit le médecin de la Maison Blanche

(CNN)

Le président Donald Trump est furieux contre le chef de cabinet Mark Meadows après que le haut responsable de l'aile ouest ait contredit l'évaluation du médecin de la Maison Blanche samedi sur la santé du président, ont déclaré deux sources connaissant la situation à CNN dimanche.

Meadows est maintenant largement connu à la Maison Blanche comme étant la source anonyme qui a parlé aux journalistes après le briefing médical de samedi et a offert une évaluation plus désastreuse que celle du Dr Sean Conley, commandant de la Marine, peu de temps auparavant. Ce compte-rendu a d'abord été donné à un groupe de journalistes attribué à un fonctionnaire connaissant bien l'état du Président. Plus tard, l'Associated Press et le New York Times ont identifié ce fonctionnaire comme étant Meadows.

"Les constantes du Président au cours des dernières 24 heures étaient très préoccupantes et les prochaines 48 heures seront cruciales en termes de soins. Nous ne sommes toujours pas sur la voie d'un rétablissement complet", a déclaré M. Meadows aux journalistes.

M. Trump est indigné par le message bâclé de M. Meadows, selon un conseiller principal de M. Trump.

Ces derniers jours, les responsables de la Maison Blanche ont soigneusement calibré leurs déclarations sur la santé du président. La déclaration de M. Meadows, samedi, a mis fin à une période de 24 heures de messages contradictoires de l'administration qui ont soulevé des questions importantes sur la santé du président.
CNN avait précédemment rapporté que le Président était mécontent de Meadows.

Un autre fonctionnaire de la Maison Blanche a confirmé que M. Trump n'était pas satisfait de Meadows, car le chef de cabinet est maintenant considéré par les conseillers de Trump comme ayant porté atteinte à la crédibilité des briefings médicaux actuels sur la lutte du président contre le coronavirus.Conley s'était entretenu avec le président avant de donner un briefing aux membres de la presse samedi, a déclaré un fonctionnaire de la Maison Blanche. Le fonctionnaire a ajouté qu'il est peu probable que M. Conley en dise plus que ce que le Président veut dire.

Lors d'une conférence de presse sur la santé de M. Trump, dimanche, M. Conley a semblé blâmer les médias lorsqu'on lui a posé des questions sur les commentaires de M. Meadows le contredisant, en disant que les remarques de l'assistant principal avaient été "mal interprétées". "Le chef et moi travaillons côte à côte, et je pense que sa déclaration a été mal interprétée. Ce qu'il a voulu dire, c'est qu'il y a 24 heures, alors que lui et moi étions en train de surveiller le président, il y a eu cet épisode momentané de forte fièvre et cette baisse temporaire de la saturation, qui nous a incités à agir rapidement pour le faire venir ici", a déclaré M. Conley, en référence au centre médical Walter Reed.

"Heureusement, c'était vraiment un épisode limité très transitoire, quelques heures plus tard, il était de retour. Il est redevenu doux. Vous savez, nous, je ne vais pas spéculer sur ce qu'était cet épisode limité si tôt dans le cours mais il va bien", a-t-il ajouté.

M. Trump n'a pas abordé les rapports contradictoires sur son état dans une vidéo qu'il a tweeté samedi soir, bien qu'il ait reconnu que les jours à venir seraient cruciaux.
"Je veux juste vous dire que je commence à me sentir bien", a-t-il déclaré. "Vous ne savez pas pendant les prochains jours, je suppose que c'est le vrai test. Donc, nous verrons ce qui se passera au cours de ces deux prochains jours."

Dimanche, Conley a également défendu la décision de ne pas divulguer que le Président avait reçu de l'oxygène, disant qu'il voulait "refléter l'attitude optimiste de l'équipe". "J'essayais de refléter l'attitude optimiste de l'équipe, du Président, de son parcours de maladie. Je ne voulais pas donner d'informations qui pourraient orienter le cours de la maladie dans une autre direction, et ce faisant, il est apparu que nous essayions de cacher quelque chose, qui n'était pas nécessairement vrai", a-t-il déclaré. "Le fait est qu'il se porte très bien".

Cette histoire a été mise à jour dimanche avec des développements supplémentaires.

 

Modifié par Picdelamirand-oil
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il y a 27 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

"Heureusement, c'était vraiment un épisode limité très transitoire, quelques heures plus tard, il était de retour. Il est redevenu doux

FAKE NEWS ! Ce type n'a jamais été doux et il ne le sera jamais ! :biggrin:

 

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Il y a 1 heure, Arland a dit :

FAKE NEWS ! Ce type n'a jamais été doux et il ne le sera jamais ! :biggrin:

C'est pas des feuk niouz, c'est une bade translèchionne :smile:

La V.O. Fortunately, that was really a very transient limited episode, a couple hours later he was back up. Mild again

La bade translèchionne Heureusement, c'était vraiment un épisode limité très transitoire, quelques heures plus tard, il était de retour. Il est redevenu doux.

Une bèteur translèchionne Heureusement, c'était vraiment un épisode limité très transitoire, quelques heures plus tard, il était de nouveau sur pied. Fièvre modérée

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il y a 2 minutes, Alexis a dit :

C'est pas des feuk niouz, c'est une bade translèchionne :smile:

C'est pour ça j’ironisais sur cette traduction rigolote. :tongue:

à l’instant, loki a dit :

Il devrait rentrer à la maison Blanche demain.

Donc retour au boulot pour les modérateurs de Twitter dédiés à POTUS.

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il y a 58 minutes, loki a dit :

Il devrait rentrer à la maison Blanche demain.

En attendant, il a fait un tour en voiture pour saluer ses dévots qui campent devant l'hosto... et puis est rentré à l'hôpital. Conducteur et passager avant (Secret Service) sont directement "cas contact" et censés partir en quatorzaine.
Voilà, voilà...

Bon, passons aux choses sérieuses : quelqu'un a des nouvelles de Hope Hicks ?

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Un article très rigolo de Glenn Greenwald sur la réaction des MSM à propos de la maladie de trump.
La conclusion vaut le détour. :laugh:

https://theintercept.com/2020/10/04/why-are-democrats-praying-for-the-speedy-recover-of-a-fascist-dictator/

Why Are Democrats Praying for the Speedy Recovery of a “Fascist Dictator”?
People typically rejoice over, not lament, the death of someone they genuinely believe is a fascist dictator.
[...]

Modifié par Patrick
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Il y a 5 heures, Patrick a dit :

Un article très rigolo de Glenn Greenwald sur la réaction des MSM à propos de la maladie de trump.
La conclusion vaut le détour. :laugh:

https://theintercept.com/2020/10/04/why-are-democrats-praying-for-the-speedy-recover-of-a-fascist-dictator/

Why Are Democrats Praying for the Speedy Recovery of a “Fascist Dictator”?
People typically rejoice over, not lament, the death of someone they genuinely believe is a fascist dictator.
[...]

Parce que c'est encore une démocratie, parce qu'il a malgré tout une forte probabilité de s'en sortir, parce que souhaiter ouvertement sa mort choquerait des indécis prêts à basculer ?
Le même raisonnement a été tenu par toutes les chancelleries. L'hypocrisie n'est pas un délit.

Parce qu'ils ne souhaitent sincèrement pas qu'il meure, quand même, pour certains, et distinguent l'homme et l'homme-politique ?

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https://esprit.presse.fr/article/bruce-ackerman/clemenceau-contre-tocqueville-42933

Le carnaval américain revient tous les quatre ans, et dure environ deux mois. Le prétexte de ce dévergondage général des esprits est l’élection présidentielle. Ce n’est pas que chacun ne prenne la chose au sérieux. On y attache au contraire un si grand intérêt que la fête se termine bien rarement sans émeutes et sans des batailles. Mais le jeu consiste précisément à donner une forme grotesque à un acte sérieux et réfléchi. Il faut avouer d’ailleurs que l’occasion est tentante.

Le pays, divisé en deux camps, les pensées communes tournées vers deux hommes qui personnifient chaque parti, les passions s’allument. Liberté absolue de parler et d’écrire, de se moquer, d’insulter, de médire, d’exciter à la haine et au mépris de qui et de quoi que ce soit et non pas une liberté platonique, mais une liberté réelle et vivante, dont chacun use à ses risques et périls et dans la mesure qui lui convient. Tout concourt à rendre l’intérêt plus puissant dans ce grand drame où chacun veut s’attribuer un rôle.

Les uns s’éprennent de l’idée, les autres s’enflamment pour ou contre l’homme : chacun cherche et trouve un aliment à ses passions bonnes ou mauvaises, et leur donne libre carrière. L’intérêt y apporte son appoint : les politiciens se ruent d’avance à la curée et tâchent d’extorquer quelque promesse au président futur ; d’autres parient des sommes folles. Des poules s’organisent comme à une course de chevaux. Cependant les meetings vont leur train et se répètent à l’infini, avec accompagnement nécessaire d’affiches, de feux d’artifice, de musique, de processions, de transparents, de marches aux flambeaux, de chars allégoriques, de mascarades, d’illuminations, de coups de canon.

Quand la salle est pleine, on dresse un tréteau dans la rue, et quand il plie sous le poids des orateurs, on monte sur une voiture, une borne ou une chaise, et l’on s’offre un succès de tribune en se donnant le plaisir de parler à des gens qui sont de votre avis, et qui, pourvu que vous les en priiez, finissent par vous porter en triomphe, comme vous les porterez demain. Si de fortune quelque ennemi rageur est présent et qu’il se sente suffisamment appuyé par un petit groupe de camarades, alors la fête est complète. On oppose tribune à tribune.

Les deux orateurs discutent si le tempérament de l’auditoire est grave et sérieux, et si leur rhétorique ne leur grise pas trop la tête. Parfois aussi, piqués à tout propos par les interruptions continuelles d’un auditoire malveillant, ils s’irritent, s’invectivent mutuellement, et finissent quelquefois par se servir de leur piédestal pour se casser réciproquement la tête. Il faut bien du sang répandu pour que le côté brutal de la nature humaine trouve aussi son compte à ce grand débordement carnavalesque du trop-plein de toutes les passions. Ces petites saignées salutaires sont d’ailleurs le remède certain d’une pléthore toute passagère.

Et que dire de la presse, de ses attaques sans mesure, de ses médisances, de ses calomnies, de ses caricatures qui s’en prennent à la vie privée, et ne respectent absolument rien ? Il faudrait un volume pour décrire dans tous ses détails ce carnaval échevelé, dont les excès grotesques n’ont rien de bien dangereux, paraît-il, puisque le peuple qui s’y livre n’a jamais eu jusqu’ici besoin d’être sauvé par d’autres que par lui-même.

Notez d’ailleurs que je me suis attaché à ne parler que des excès, et de tout ce qui frappe les yeux de celui qui s’arrête à la superficie des choses. Sous cette écume que le vent emporte, le fleuve roule sous ses flots puissants. La volonté du peuple se manifeste souveraine, et l’ordre se fait soudain. Le vainqueur monte au Capitole, tandis que le parti vaincu ajourne et prépare sa revanche.

George Clemenceau (correspondant aux États-Unis), 4 septembre 1868, Le Temps, 23 septembre 1868

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On reparle de la conseillère du président américain Hope Hicks, à l'origine de la contamination de plusieurs personnes y compris Donald Trump

Hope Hicks épuisée après une nouvelle journée remplie de réunions

WASHINGTON — En disant qu'elle avait à peine le temps de reprendre son souffle après avoir parcouru Washington pendant près de 10 heures d'affilée, la conseillère principale de la Maison Blanche, Hope Hicks, a confié aux journalistes vendredi qu'elle était épuisée après une autre journée remplie de réunions. "Il y avait les briefings réguliers de la Maison Blanche où tous les conseillers principaux s'entassaient dans la salle, bien sûr, puis après cela, j'ai dû traverser la ville pour rencontrer le sénateur Lindsey Graham pour le déjeuner", a déclaré une Hicks épuisée, ajoutant qu'elle venait de réussir à organiser une réunion de dernière minute avec le chef de cabinet de la Maison Blanche, Mark Meadows, pour examiner un calendrier à venir lié à la campagne de réélection du président Trump avant de rencontrer le secrétaire au Trésor Steve Mnuchin et les principaux démocrates de la Chambre au sujet d'un nouveau projet de loi de relance potentiel. «J’ai reniflé toute la journée et je me sens beaucoup plus fatiguée que d’habitude, mais bon, les vendredis c'est ça. La réunion de l'après-midi avec [les conseillers de Trump] Jared Kushner, Steven Miller et Dan Scavino a duré plus longtemps que prévu, et ma tête palpitait, mais j'ai réussi à me débrouiller. J'avais assez d'essence dans le réservoir pour passer devant un bar où j'ai rencontré des journalistes pour l'une de nos petites conversations officieuses, même si je n'étais certainement pas au mieux de ma forme lorsque je suis tombée sur [le chef de la majorité du Sénat] Mitch McConnell sur mon chemin. J'espère juste que tout le monde à la pratique de la chorale n'a pas remarqué à quel point j'avais l'air fatiguée. " Hicks a déclaré aux journalistes qu'elle espérait juste avoir une bonne nuit de sommeil afin de pouvoir être prête pour une visite samedi matin à un groupe d'anciens combattants malades au Walter Reed Army Medical Center.

 

Oui, il s'agit bien de l'un des plus grands médias américains, The Onion.

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Il y a 3 heures, nemo a dit :

l'homme-politique n'est qu'une merde, l'homme mérite le respect comme tout homme.


Ça mériterait un débat philosophique.

Mais personnellement, je ne mettrai jamais le respect sur le même plan que l’obligation morale de traiter un homme « humainement » . Bref, ne pas souhaiter sa mort, quelques soient les circonstances et les actes, parfaitement d’accord parce que ça ne correspond ni à ma façon de penser, ni à mes valeurs.

Mais cela n’a pas grand chose à voir avec le respect de l’homme. Tout au plus le respect de la condition humaine, à la rigueur.

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Un « nouvel » angle d’attaque, contre Biden :

« 

"Comme vous le savez, Joe Biden faisait partie de l'administration Obama qui a négocié et mis en œuvre l'accord avec l'Iran, ce que le président Trump - et je partage son avis - considère comme le pire accord international que les États-Unis aient jamais conclu", a déclaré D. Friedman dans un extrait de l'interview posté sur Twitter.

Donald Trump avait retiré son pays de l'accord en mai 2018, estimant qu'il ne limitait pas assez le programme de missiles iraniens et qu'il n'avait pas d'impact sur l'influence menaçante de Téhéran dans la région.

"Si Biden gagne, nous assisterons à un changement de politique qui, à mon avis, sera mauvais pour la région, y compris pour Israël, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Bahreïn, le Qatar et le Koweït", a-t-il ajouté. »

https://www.i24news.tv/fr/actu/international/moyen-orient/1601873218-usa-si-biden-est-elu-cela-sera-mauvais-pour-israel-et-golfe-au-sujet-de-l-iran-david-friedman

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il y a 5 minutes, TarpTent a dit :


Ça mériterait un débat philosophique.

Mais personnellement, je ne mettrai jamais le respect sur le même plan que l’obligation morale de traiter un homme « humainement » . Bref, ne pas souhaiter sa mort, quelques soient les circonstances et les actes, parfaitement d’accord parce que ça ne correspond ni à ma façon de penser, ni à mes valeurs.

Mais cela n’a pas grand chose à voir avec le respect de l’homme. Tout au plus le respect de la condition humaine, à la rigueur.

C'est de la sémantique quand je parle de respecter l'homme je parle en effet de l'être humain et qu'il n'y a pas à se réjouir du malheur d'autrui, même de son ennemi (christianisme oblige). Si par "l'homme" t'entends sa personnalité et ses réalisations c'est pas la même.

Modifié par nemo
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il y a 4 minutes, kalligator a dit :

Je me considère comme quelqu'un de moral mais il y a des fois ou des exceptions ne me dérangerait pas. Devrait-je aller à confesse, mon père ?

Chacun est libre de penser ce qu’il veut. Pour ma part, je préfère renvoyer à Robert Badinter et à son discours en 1981, et passer mon chemin parce que c’est une question qui de mon côté est réglée depuis longtemps.

Modifié par TarpTent
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