Boule75 Posted December 7, 2021 Share Posted December 7, 2021 Il y a 9 heures, g4lly a dit : Normalement l'établissement informé des faits est sensé en informer le procureur de la république ... c'est pas très compliqué a faire ... les réseaux sociaux ni change rien ... or ce n'est jamais fait. Quelle bonne idée de mêler la justice à tous ça ! Elle a beaucoup de temps libre, des outils souples et adaptées, des formations adéquates... Ca me semble être le prototype de réponse de toute dernière extrémité devant rester rarissime. Et ce qui m'étonne le plus dans tout ce que vous venez de dire, c'est l'absence totale de discours vis à vis des parents par exemple. Et ce qui me semble être une évidence : les réseaux "sociaux" sont une plaie dès lors qu'ils sont dévoyés. Rien que le succès des "influenceurs" dit à quel point c'est parti en sucette. Ah ça, ça va permettre de faire du tri rapide en entretien d'embauche : - "Quel influenceur followez-vous ?" - ... - Tu suis qui sur Snap ? - Ah okok ! Tom, Jerry, Moudubou pour le maquillage. Et Supercupide pour les caisses et les vraies médecines. - Merci. Ca vous gêne pas d'être con ? Suivaaant !" Je me sens d'humeur "vieux con" ; coupez-moi tout ça, et pour de vrai : plus de téléphone en classe, plus du tout. Ils ne servent à rien. Plus de data, du wifi à la maison. +3 point de moyenne générale, directement, pour tout le monde. 1 2 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Benoitleg Posted December 7, 2021 Share Posted December 7, 2021 (edited) Il y a 11 heures, Snapcoke a dit : Moi j'ai était martyrisé pendant 3 ans d'affilié, je l'ai dit à plusieurs reprises, rien... Les années collèges ont était un enfer absolu pour moi ! Bien désolé ... Y en a qui ont essayé avec moi une fois. Je leur ai mis ca en travers de la figure (ne pas le faire avec la face en bois, c'est douloureux -c'est ma tête quand on m'embête : -) : Mais une bien bien vieille et bien bien chargée en craie, étrangement, ils ne sont pas revenus et ils doivent encore tousser de la poussière .... Edited December 7, 2021 by Benoitleg 3 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Popular Post Shorr kan Posted December 8, 2021 Popular Post Share Posted December 8, 2021 Il y a 10 heures, Boule75 a dit : ... Je me sens d'humeur "vieux con" ; coupez-moi tout ça, et pour de vrai : plus de téléphone en classe, plus du tout. Ils ne servent à rien. Plus de data, du wifi à la maison. +3 point de moyenne générale, directement, pour tout le monde. Il y a peut être un marché civil pour SPECTRA dans le brouillage et la localisation des smartphones en milieu scolaire ? 5 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
g4lly Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 8 minutes ago, Shorr kan said: Il y a peut être un marché civil pour SPECTRA dans le brouillage et la localisation des smartphones en milieu scolaire ? Des brouilleurs ça coûte peanuts ... mais ça n’empêche pas de jouer hors ligne ... 11 hours ago, Boule75 said: Quelle bonne idée de mêler la justice à tous ça ! Elle a beaucoup de temps libre, des outils souples et adaptées, des formations adéquates... Ca me semble être le prototype de réponse de toute dernière extrémité devant rester rarissime. C'est le point de vu illégal de l'EN ... félicitation ... minimiser les fait ... ne pas respecter la loi ... trouver des excuses bidon aux personnes les plus néfastes ... les laisser tout saloper ... et dégoûter tout le monde de l'EN ... après si ton but est de liquider le peu qu'il reste de l'EN continue comme ça. J'ai vu ça à l’œuvre des années quand j'étais délégué régional des parents d’élèves ... toute l'institution ... y compris les parents eux même absolument tout scotomiser ... 1 1 1 2 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Shorr kan Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 à l’instant, g4lly a dit : Des brouilleurs ça coûte peanuts ... mais ça n’empêche pas de jouer hors ligne ... Aïe ! Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
g4lly Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 1 minute ago, Shorr kan said: Aïe ! Après si tu fous dehors le moindre môme qui moufte ... ça va vite être calme en classe. 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Shorr kan Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 (edited) C'est pas possible de localiser un smartphone hors ligne en interrogeant les antennes relais ? Sous condition que ce soit legal. Edited December 8, 2021 by Shorr kan Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
g4lly Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 2 minutes ago, Shorr kan said: C'est pas possible de localiser un smartphone hors ligne en interrogeant les antennes relais ? Sous condition que ce soit legal. Sinon tu place un IMSI catcher dans la salle ... mais c'est plus cher ... et c'est a peu près aussi illégal que de ne pas informer le procureur des délits dont tu as connaissance quand tu est "fonctionnaire". Mais visiblement selon @Boule75 on est plus à la loi près pour cacher la misère sous le tapis. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Popular Post Shorr kan Posted December 8, 2021 Popular Post Share Posted December 8, 2021 (edited) il y a 6 minutes, g4lly a dit : Sinon tu place un IMSI catcher dans la salle ... mais c'est plus cher ... et c'est a peu près aussi illégal que de ne pas informer le procureur des délits dont tu as connaissance quand tu est "fonctionnaire". ... Ça ferait un projet de classe intéressant en tout cas : avec des raspberry Pi et des Arduino, fabrique un IMSI catcher ou un brouilleur pour espionner et perturber les communications de tes camarades. Le devoir comptera pour la moyenne avec à la clé un stage à la DGSE si tu attrape un apprenti djihadiste en flag Edited December 8, 2021 by Shorr kan 6 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
g4lly Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 Sinon pour comprendre que ca ne date pas d'hier ... et que ca ne s'arrange pas ... en faisant rien comme le professe @Boule75 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Kiriyama Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 (edited) Pour rebondir sur le harcèlement scolaire (sujet que j'ai vu et indirectement vécu de près en Belgique) les écoles et les élèves y sont très sensibilisés. Le problème n'est pas là. Les deux (ou trois) problèmes sont : L'incapacité de l'école à pouvoir agir concrètement. Que fait-on une fois qu'un cas de harcèlement est connu ? Retenue pour le harceleur ? Convocation des parents qui diront que leur enfant n'y est pour rien ? Donner une punition que les parents refuseront que leur enfant fasse. En fait l'école n'a pas réellement de moyen d'action légal une fois qu'un cas de harcèlement est connu, tout simplement. D'autant que le harcèlement sur les réseaux sociaux se passe aussi en dehors des heures scolaires. Est-ce que l'école est encore habilitée à intervenir, si tant est qu'elle le puisse ? Le rôle des réseaux (as)sociaux, véritable poison, surtout chez les plus jeunes (début du collègue pour vous je crois). Là encore les écoles n'ont presque aucun pouvoir légalement, même confisquer un téléphone par un professeur est limite considéré comme une violence inouie et une atteinte à l'intégrité de l'élève. La seule solution serait que les législations nationales s'adaptent, comme en Corée du Sud où les smartphone vendus aux mineurs n'ont pas accès à certaines fonctionnalités et, s'il ne tenait qu'à moi, leur vente serait interdite aux moins de 16 ans avec lourdes sanctions pour les parents dont les enfants en posséderaient illégalement. Là encore, pour les smartphones et les jeunes, les innombrables campagnes de sensibilisation sur leurs dangers n'ont aucun effet. Globalement des parents eux-mêmes souvent dépassés par les réalités d'un monde qu'ils ne comprennent pas. @Boule75 Il n'y a pas d'humeur "vieux con" dans la deuxième partie de ton message. Il y a assez d'études scientifiques qui prouvent que ces appareils ont un effet néfaste direct sur les performances scolaires, sur la sociabilisation et la santé des plus jeunes. Je ne vois pas ce qu'il y aurait de "choquant" à les interdire à l'école. Ca aurait dû être fait depuis longtemps en réalité. Pour la première partie ça n'a pas grand sens : c'est le travail de la justice d'intervenir et de punir si les lois sont enfreintes, peu importe par qui. Dès que l'intégrité morale et/ou physique de quelqu'un est menacée, même un(e) adolescent(e) il doit y avoir une réponse forte et claire. Edited December 8, 2021 by Kiriyama 1 3 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
g4lly Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 Le harcèlement scolaire n'a pas attendu les réseaux sociaux ... c'est juste pire avec. Sinon les téléphones sont interdits dans les établissement scolaire ... mais quand dans le même temps tu distribue des tablettes ou des laptop pour "apprendre" ... cherchez l'erreur. 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Wallaby Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 Le 24/11/2021 à 13:29, Wallaby a dit : Empruntant un terme à l'auteur Joseph Bottum, McWhorter appelle les prophètes de la troisième vague "les Élus". https://www.washingtonpost.com/news/volokh-conspiracy/wp/2014/12/02/book-review-of-joseph-bottum-an-anxious-age-the-post-protestant-ethic-and-the-spirit-of-america/ (2 décembre 2014) "An Anxious Age" sera probablement adéquatement décrit comme un ouvrage de sociologie religieuse - à la fois sur l'impact de la société sur la pratique religieuse (et sur l'évolution des opinions religieuses dans le temps) et sur l'impact des opinions religieuses sur la société. Ce que j'ai trouvé de plus intéressant et de plus provocateur, c'est la thèse de Bottum selon laquelle, bien qu'il semble que le noyau moral de la société américaine moderne ait été entièrement sécularisé et que la religion et les institutions religieuses ne jouent qu'un rôle minime dans la formation de ces points de vue, en fait, la bouillie diluée de points de vue moraux servie par l'élite de l'establishment (recyclage, multiculturalisme, etc.) est un vestige de l'ancienne collection de points de vues de la ligne principale du protestantisme qui a dominé la société américaine pendant des décennies, voire des siècles. Pour souligner l'importance sociologique de la religion dans la société américaine, Bottum utilise la métaphore désormais familière d'un tabouret à trois pieds pour décrire la société américaine : un équilibre entre la démocratie constitutionnelle, le capitalisme de marché libre et un réseau fort et dynamique d'institutions de la société civile où les leçons de morale sont enseignées et le capital social est construit. Aux États-Unis, les organisations de la société civile les plus importantes ont traditionnellement été la famille et les églises. Et, parmi les églises, les plus importantes étaient de loin celles que Bottum considère comme les "protestants principaux" - épiscopaliens, luthériens, baptistes (du Nord), méthodistes, presbytériens, congrégationalistes/Église unie du Christ, etc. Les données sur l'évolution de l'appartenance à ces églises sont stupéfiantes. En 1965, par exemple, plus de la moitié de la population des États-Unis déclarait appartenir à l'une des grandes églises protestantes. Aujourd'hui, en revanche, moins de 10 % de la population appartient à l'une de ces églises. De plus, ces chiffres vont probablement continuer à baisser - les églises protestantes principales affichent également l'âge moyen le plus élevé de tous les groupes religieux. Pourquoi le suicide du courant protestant principal est-il important ? Parce que pour Bottum, ces églises sont ce qui a fourni le troisième pied solide pour équilibrer la politique et les marchés dans la création d'une bonne société. En effet, Bottum considère les églises protestantes principales comme le cœur de l'exceptionnalisme américain - elles ont fourni le code moral de l'américanisme. Probité, responsabilité, honnêteté, intégrité - toutes les vertus morales qui ont constitué le socle de la société américaine et ont également limité les tendances hydrauliques et nivelantes de l'État et du marché à dévorer les sphères de la vie privée. L'effondrement de ce consensus religieux-moral a été le plus prononcé parmi les élites américaines, qui sont devenues largement indifférentes à la croyance religieuse formelle. Et dans certains cercles d'élite de gauche, il s'est transformé en une franche hostilité à l'égard de la religion - Bottum nous rappelle l'observation de Barack Obama selon laquelle les Américains des zones rurales s'accrochent aujourd'hui à leurs "fusils et à leurs bibles" par amertume face aux changements dans le monde. Pourtant, comme le note Bottum, le consensus traditionnel des élites a été remplacé par une nouvelle orthodoxie spirituelle de la "moralité". L'élite américaine (quelle que soit la définition qu'on lui donne) souscrit aujourd'hui à un ensemble d'orthodoxies sur ce qui constitue un comportement "correct" : opinions appropriées sur l'environnement, le féminisme, les droits des homosexuels, etc. Ainsi, selon Bottum, le protestantisme de la ligne principale n'a pas disparu, il a simplement évolué vers une nouvelle forme, une religion sans Dieu pour ainsi dire, dans laquelle le Sierra Club, les universités et le Parti démocrate ont supplanté les méthodistes et les presbytériens en tant qu'enseignants des valeurs appropriées. Comment cela s'est-il produit ? Bottum indique que le moment clé est l'émergence du mouvement du Social Gospel au début du 20e siècle. Mené par Walter Rauschenbusch, le mouvement du Social Gospel a dépassé la vision traditionnelle selon laquelle le christianisme s'adressait aux défauts personnels tels que le péché, mais s'est plutôt attaqué au "péché social de toute l'humanité, auquel tous ceux qui ont vécu ont contribué, et sous lequel tous ceux qui ont vécu ont souffert." Comme Bottum le résume, Rauschenbusch a identifié six péchés sociaux : "les préjugés, l'arrogance du pouvoir, la corruption de la justice à des fins personnelles, la folie [et la pensée de groupe] des foules, le militarisme et le mépris de classe". À mesure que la croyance religieuse se déplaçait de la chaire et du banc vers l'isoloir et l'activisme, le rôle de Jésus et de toute croyance religieuse devenait de plus en plus atténué. Et finalement, Bottum suggère que l'agenda politique lui-même a fini par submerger les croyances religieuses de moins en moins pertinentes qui le soutenaient initialement. Ainsi, alors que l'élite moderne semble être largement non religieuse, Bottum soutient qu'elle est l'héritière inconsciente de l'ancienne ligne protestante principale, mais qu'elle est simplement post-protestante - le même groupe démographique de personnes ayant plus ou moins les mêmes opinions et menant les mêmes batailles que les partisans du Social Gospel. Bottum explique que la genèse immédiate du livre est une expérience qu'il a vécue en 2011 lorsqu'il a été chargé d'écrire un article sur le mouvement de protestation Occupy Wall Street. Bottum a senti chez ces jeunes paumés une profonde anxiété spirituelle. Mais cette anxiété n'était pas liée à une plate-forme politique cohérente ou à un programme de réforme - au contraire, l'objectif était un "changement" vague et une affirmation de la rectitude morale des manifestants ; et, peut-être tout aussi important (comme le décrit Bottum), une anxiété d'être félicité publiquement pour leur rectitude morale. Aujourd'hui, les manifestations sur les campus, par exemple, semblent souvent être une sorte d'art de la performance, où les gestes de protestation et le fait d'être perçu comme "concerné" sont des fins en soi, car les manifestations elles-mêmes ont souvent des objectifs quelque peu incohérents (comparés, par exemple, aux manifestations contre la guerre du Vietnam). Il s'agit d'un livre extrêmement intéressant et facile à lire. Je l'ai lu presque en entier lors d'un voyage en avion depuis la Californie et le style d'écriture de Jody vous transporte sans effort. Son écriture est stylisée sans être maniérée et c'est tout simplement un plaisir absolu à lire. Il a le don de tisser ensemble des idées plus larges avec des anecdotes et des exemples de son point de vue. Il fait preuve d'une légèreté qui heurte rarement (même sur les questions controversées) et qui illumine toujours. Mais il y a une thèse qu'il ne prend pas en compte et qui, selon moi, explique en grande partie le déclin de l'importance du courant protestant principal. Il s'agit de la thèse développée par Shelby Steele dans son grand livre "White Guilt". Selon Steele, il ne suffisait pas que Coca-Cola, par exemple, prenne des mesures pour remédier à ses péchés passés, il était crucial que Coca-Cola montre qu'elle reconnaissait son héritage coupable et, en particulier, qu'elle était désormais vraiment éclairée. Mais comment y parvenir ? Selon Steele, c'est le rôle central joué par des bonimenteurs comme Jesse Jackson et Al Sharpton - ils peuvent vendre des indulgences aux entreprises, aux universités et aux autres institutions coupables pour leur permettre de démontrer qu'ils "comprennent" et acceptent leur culpabilité et qu'en se pliant à leurs exigences, Jackson peut leur donner un certificat de bonne santé morale. Ainsi, Steele affirme que ce qui se passe réellement est un effort des dirigeants de ces institutions pour se "dissocier" de leur passé trouble et des institutions homologues d'aujourd'hui qui n'ont pas le même degré d'illumination. En outre, il est crucial que les Jackson du monde fixent les conditions - en fait, plus la pénitence est absurde et ridicule, mieux c'est de ce point de vue, car les pénitences les plus ridicules permettent de démontrer plus facilement que vous acceptez votre culpabilité. Cela explique aussi pourquoi les catholiques et les évangéliques sont si exaspérants, et si menaçants, pour les élites modernes. Contrairement aux grandes églises protestantes qui étaient la voix morale de l'establishment américain, le catholicisme et les évangéliques ont toujours été des outsiders de l'establishment américain. Ils ne portent donc aucunement la culpabilité d'avoir soutenu des systèmes politiques et sociaux injustes et refusent d'agir comme eux. Ils n'ont aucune raison de se plier à l'opinion des élites. Les élites modernes pensent que toute la société américaine est à blâmer, que nous sommes donc tous coupables et que nous devons tous chercher à nous faire pardonner par le biais de la discrimination positive, de la formation obligatoire à la sensibilité et de l'obligation de recyclage. D'autres, notamment les catholiques et les évangéliques, refusent d'accepter le blâme pour un système social qu'ils n'ont joué aucun rôle dans la création ou le maintien et dont, en fait, ils étaient eux-mêmes exclus. En fin de compte, Bottum ne nous laisse pas de réponse à sa question centrale : l'Amérique, qui a si longtemps compté sur les églises protestantes pour fournir une troisième jambe morale et institutionnelle au pays, peut-elle survivre sans elles ? La maigre bouillie du consensus de l'élite post-protestante du New York Times peut-elle fournir la colle morale qui assurait la cohésion du pays ? Peut-être, ou peut-être pas - c'est la question que nous nous posons après avoir lu le livre fascinant de Bottum. 1 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Popular Post Nec temere Posted December 8, 2021 Popular Post Share Posted December 8, 2021 il y a une heure, g4lly a dit : Le harcèlement scolaire n'a pas attendu les réseaux sociaux ... c'est juste pire avec. Sinon les téléphones sont interdits dans les établissement scolaire ... mais quand dans le même temps tu distribue des tablettes ou des laptop pour "apprendre" ... cherchez l'erreur. Quand bien même je fais parti de cette génération, j'ai toujours été halluciné que l'on mettes en place cette nouvelle mode de la pédagogie numérique ou je sais pas quoi. Alors qu'il y avait déjà plein de signaux d'alerte sur l'impact néfaste qu'on les écrans sur l'apprentissage. Et après on veux forcer les familles à limiter l'accès aux téléphones ! Si je ne pensais pas que c'était juste de l'incompétence et de la conneries je me dirais que c'est malveillant à ce niveau. Et personnellement je pense que c'est bien au niveau familial qu'il y a la plus grosse défaillance. Tout ne peux pas reposer sur l'EN. Déjà qu'elle rame dans la choucroute pour faire se pourquoi elle existe alors si en plus on lui demande d'éduquer les gamins, on est pas sortie des ronces. Et c'est surtout un problème de mentalité. Comment est-il possible de faire comprendre à un enfant qu'il agit mal si les parents se vantes de souffler dans les bronches d'un prof s'il a le malheur de remettre les pieds sur terre l'enfant ou les parents ? Si le père ou la mère ne veux pas accepter que l'enfant ne peut être à son image je vois pas trop comment on peut faire. 4 2 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ciders Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 Il y a 2 heures, Shorr kan a dit : Ça ferait un projet de classe intéressant en tout cas : avec des raspberry Pi et des Arduino, fabrique un IMSI catcher ou un brouilleur pour espionner et perturber les communications de tes camarades. Le devoir comptera pour la moyenne avec à la clé un stage à la DGSE si tu attrape un apprenti djihadiste en flag Camarade, on n'arrive déjà pas à avoir des fenêtres qui ouvrent, des photocopieuses qui marchent ou des capteurs de CO2... alors des brouilleurs ? Il y a 1 heure, g4lly a dit : Le harcèlement scolaire n'a pas attendu les réseaux sociaux ... c'est juste pire avec. Sinon les téléphones sont interdits dans les établissement scolaire ... mais quand dans le même temps tu distribue des tablettes ou des laptop pour "apprendre" ... cherchez l'erreur. Pas dans la cour, en tout cas pas partout. 1 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
MIC_A Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 (edited) La démission semble totale et ça fait vraiment peur pour les générations actuelles et à venir ! J'ai constaté le déclin de l'EN voilà bien trop longtemps, mes enfants ont tous été élevé dans le respect d'autrui (pas à l'EN de s'en charger) bien qu'à mon époque scolaire, on y distillait des cours de civisme, mais la tâche essentielle revenait aux parents. Zéro déontologie, ça triche à qui mieux mieux avec ces putains de smartphone qui ont accès au Web et réseaux sociaux de mes deux qui permettent des dialogues entres élèves. Les devoirs et examens sont de fait dévoyés pour obtenir de bonnes notes et on fini par avoir par paquets de douze des diplômés totalement incompétents. Alors tant qu'à faire avec la technologie et vu que personne ne se "mouillent" pour appliquer l'interdiction avec sanctions à la clé si récidive ou brouillage si ça coute aussi cher, même problème dans les prisons au passage alors qu'un petit milliard avait été dépensé pour installer un téléphone filaire dans chaque cellule de toutes les prisons de France, comme si les délinquants ne savaient pas qu'ils seraient écouté en permanence ! Pourquoi ne pas exploiter via un logiciel intégré obligatoirement sur tout smartphone rentrant dans l'établissement qui signale son état pendant les cours avec identification du porteur. A mince, c'est une atteinte aux libertés, pourtant on fait bien pire avec ou sans le consentement des gens depuis pas mal de temps. Je m'inquiète pour mes petits enfants qui suivent la même éducation que leurs parents mais restent en déphasage total avec ce qu'ils vivent à l'école et ne comprennent pas le fossé des valeurs inculquées confrontés aux quasi sauvageons new génération dès les petites classes et des tendances à se laisser faire, bloqués par l'éducation donnée, dont les autres profitent! Sans jamais avoir gain de cause via les profs ou pion qui sont censés les surveiller et encore moins de la part des responsables d'établissements qui bottent systématiquement en touche. Ni mise à pied ni réprimandes, parents convoqués qui ne viennent pas, indignent d'avoir des enfants qui probablement tourneront mal si sous mauvaise influence. Et ce n'est que la "petite école" le collège sera déjà plus hard si rien ne s'arrange d'ici là et c'est royalement mal barré ! L'EN est devenue l'ombre d'elle même, trop de laisser faire, une mentalité de merde à tous les niveaux, qui a sapé le travail des profs qui aimaient leurs métier et heureusement ils y en a encore ! Dilués dans une masse de nouveaux arrivants, perdus, tant la tâche est immense et essayant de faire au mieux avec des petits moyens et des consignes strictes d'éviter les conflits ou ils sont avertis que leur hiérarchie ne les soutiendra pas et encore moins le Rectorat. Edited December 8, 2021 by MIC_A 1 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Shorr kan Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 Il y a 4 heures, Ciders a dit : Camarade, on n'arrive déjà pas à avoir des fenêtres qui ouvrent, des photocopieuses qui marchent ou des capteurs de CO2... alors des brouilleurs ? ... Ok, je vois. Donc pas de batteries de S300 ni de Smerch non plus pour l'EducNat du coup. Ben, tant pis. 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Boule75 Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 Il y a 7 heures, g4lly a dit : Mais visiblement selon @Boule75 on est plus à la loi près pour cacher la misère sous le tapis. Tu me caricatures. Ce dont je suis certain, c'est qu'une très vaste gamme de délits, ou quasi-délits, doivent être stoppés tôt, au plus près du terrain, par pression sociale, médiation, punition et que tout judiciariser est une impasse. Je n'ai pas dit qu'il ne fallait jamais le faire. Mais il faut d'abord que les adultes à bord fassent le taf, qu'ils éduquent. Faut-il des effectifs, des directives ? Probablement. Faut-il impliquer les parents ? Evidemment. Le tout dépend tout de même beaucoup de l'état d'esprit du corps enseignant. Et je ne vois pas comment il peut fonctionner proprement compte tenu de l'organisation actuelle (pouvoir de sanction exclusivement détenu par des inspecteurs qui voient chaque enseignant une fois tous les 6 ou 7 ans, directeurs en titre seulement. 1 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ciders Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 @Shorr kanT'es mignon, mais même si on avait les moyens... jamais ça rentrerait dans la cour de récréation ! @MIC_ATu caricatures sévère. Mais je vais être sans doute pareil : si les parents faisaient leur boulot et ne refourguaient pas une tablette et des chips à leur chiard dès ses premiers hurlements, on n'en serait pas là. L'EN n'est pas là pour rattraper l'inconséquence de tous ces gens qui font des gosses et ne comprennent pas qu'il faut s'en occuper... H24. 3 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Kiriyama Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 Non MIC_A ne caricature pas sévère, je confirme constater la même chose que lui en Belgique. 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
mudrets Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 " je confirme constater la même chose que lui en Belgique" ah bon, tu n'es pas en Suisse ? 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Nec temere Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 il y a 24 minutes, Kiriyama a dit : Non MIC_A ne caricature pas sévère, je confirme constater la même chose que lui en Belgique. Pareil même constat d'un fils de prof. De deux profs. Tous deux au collège. 2 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Alexis Posted December 8, 2021 Share Posted December 8, 2021 Il y a 9 heures, Shorr kan a dit : Il y a peut être un marché civil pour SPECTRA dans le brouillage et la localisation des smartphones en milieu scolaire ? Et qu'est-ce que tu fais après localisation ? Il faut coupler avec du Mica NG à mon avis. 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Popular Post MIC_A Posted December 8, 2021 Popular Post Share Posted December 8, 2021 @Ciders, tu plaisantes j'espère ! Si j'avais voulu caricaturer sévère, j'ai de quoi remplir un livre aussi épais qu'un dictionnaire Larousse en grand format. Qu'une proportion des enseignants ne s'investissent pas dans leur travail parce que le choix de ce métier était dicté pour d'autres raisons que le quasi "sacerdoce" dévolu à ce beau métier, vécu du temps ou nos enfants allaient à l'école et cela ne s'est pas arrangé depuis, ajouté à une hiérarchie de "pantouflards" des directives floues et un laisser faire complet ou l'autorité du prof vaut queue de chie mais à une certaine époque ça manifestait pour aller sur la voie du laisser faire. Tout devait passer par l'explication et le dialogue quand le môme en face te crache à la gueule ou pire t'agresse physiquement, banalités d'aujourd'hui. Chamboulements des programmes au gré et humeurs des ministres de tutelles à chaque changement de gouvernement ou sous la même mandature, avec évidemment des promesses/objectifs non atteints des budgets toujours plus conséquents sans changements notable et j'en passe. Je te dirais que pour ma pomme ayant travaillé comme technicien spécialisé dans pas mal de domaines techniques dans le privé, j'avais une obligation de résultat que je devais à mon client malgré nos équipements loin d'être toujours au top mais avec un savoir faire et une conscience professionnelle, on y arrivait toujours, preuves que ce n'est pas qu'un problème financier qui je l'admet aurait pu améliorer mes conditions de travail. Je ne pense pas être le seul à avoir ce genre de vécu, ici. Alors, quand on arrivera à faire ce constat dans l'EN, qui est à mes yeux trop inféodée, ou les établissements devraient tous assurer un minimum de savoir et les contrôler sérieusement avant de faire passer l'élève en classe supérieure avec notation sévère s'il le faut des établissements publics pour pousser dans cette voie et bien entendu pour y arriver disposer de moyens en rapport avec l'objectif à atteindre et pas siphonner des budgets alloués à d'autres. Mais on est en flux tendu, la limitation du nombre de classes (voulue) fait que quoi qu'il arrive, on passe en classe supérieure même si pas le niveau jusqu'à ce que ça coince. A mince, j'avais oublié, la notation n'est plus dans l'air du temps, il ne faut pas traumatiser ces chers bambins et quand ils vont débarquer dans la vrais vie du monde du travail ou c'est chacun pour sa pomme, va y avoir du suicide en masse, quoi que c'est déjà le cas mais les gens se contentent de "marches blanches" ! Dans ce pays, on croit toujours bien faire et on prends quasiment toujours faits et causes pour des gens à problèmes en fermant les yeux sur tout ce qu'ils ont pu faire, et souvent en inversant les rôles ou d'agresseurs on les fait passer pour des victimes. Je me suis toujours élevé contre ce que j'ai ressenti comme une injustice ! La peur domine, et on baisse la tête et gare à celui qui ose s'interposer, les représailles lui pendent au nez et comme seul soutien de ses collègues, il aura droit à un "je te l'avais dit" si ça se passe pas trop mal ! La même chose pour les représentants de la loi, la violence fait foi, la justice gangrénée a démissionné, les voyous en herbe ne peuvent devenir qu’extrêmement violent, vu qu'un simple rappel à la loi leurs est "imposé" ou du "sursis". Heureux ce qui vivaient loin des grandes villes mais hélas, cette violence s'est répandu jusqu'au moindre petit village classé avant de faire la une des médias. J'ai vécu des situations difficiles, ou mes interventions ont permis de sortir de l’embarras pas mal de monde malgré les coups pris mais aussi distribués, sans suites. Un copain à eu moins de chance, son agresseur à porté plainte et mon pote a été condamné, faut préciser qu'il l'avait bien amoché. Le mec à depuis changé de pays. 2 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Popular Post Ciders Posted December 8, 2021 Popular Post Share Posted December 8, 2021 Il y a 1 heure, MIC_A a dit : @Ciders, tu plaisantes j'espère ! Si j'avais voulu caricaturer sévère, j'ai de quoi remplir un livre aussi épais qu'un dictionnaire Larousse en grand format. Qu'une proportion des enseignants ne s'investissent pas dans leur travail parce que le choix de ce métier était dicté pour d'autres raisons que le quasi "sacerdoce" dévolu à ce beau métier, vécu du temps ou nos enfants allaient à l'école et cela ne s'est pas arrangé depuis, ajouté à une hiérarchie de "pantouflards" des directives floues et un laisser faire complet ou l'autorité du prof vaut queue de chie mais à une certaine époque ça manifestait pour aller sur la voie du laisser faire. Tout devait passer par l'explication et le dialogue quand le môme en face te crache à la gueule ou pire t'agresse physiquement, banalités d'aujourd'hui. Chamboulements des programmes au gré et humeurs des ministres de tutelles à chaque changement de gouvernement ou sous la même mandature, avec évidemment des promesses/objectifs non atteints des budgets toujours plus conséquents sans changements notable et j'en passe. Je te dirais que pour ma pomme ayant travaillé comme technicien spécialisé dans pas mal de domaines techniques dans le privé, j'avais une obligation de résultat que je devais à mon client malgré nos équipements loin d'être toujours au top mais avec un savoir faire et une conscience professionnelle, on y arrivait toujours, preuves que ce n'est pas qu'un problème financier qui je l'admet aurait pu améliorer mes conditions de travail. Je ne pense pas être le seul à avoir ce genre de vécu, ici. Alors, quand on arrivera à faire ce constat dans l'EN, qui est à mes yeux trop inféodée, ou les établissements devraient tous assurer un minimum de savoir et les contrôler sérieusement avant de faire passer l'élève en classe supérieure avec notation sévère s'il le faut des établissements publics pour pousser dans cette voie et bien entendu pour y arriver disposer de moyens en rapport avec l'objectif à atteindre et pas siphonner des budgets alloués à d'autres. Mais on est en flux tendu, la limitation du nombre de classes (voulue) fait que quoi qu'il arrive, on passe en classe supérieure même si pas le niveau jusqu'à ce que ça coince. A mince, j'avais oublié, la notation n'est plus dans l'air du temps, il ne faut pas traumatiser ces chers bambins et quand ils vont débarquer dans la vrais vie du monde du travail ou c'est chacun pour sa pomme, va y avoir du suicide en masse, quoi que c'est déjà le cas mais les gens se contentent de "marches blanches" ! Dans ce pays, on croit toujours bien faire et on prends quasiment toujours faits et causes pour des gens à problèmes en fermant les yeux sur tout ce qu'ils ont pu faire, et souvent en inversant les rôles ou d'agresseurs on les fait passer pour des victimes. Je me suis toujours élevé contre ce que j'ai ressenti comme une injustice ! La peur domine, et on baisse la tête et gare à celui qui ose s'interposer, les représailles lui pendent au nez et comme seul soutien de ses collègues, il aura droit à un "je te l'avais dit" si ça se passe pas trop mal ! La même chose pour les représentants de la loi, la violence fait foi, la justice gangrénée a démissionné, les voyous en herbe ne peuvent devenir qu’extrêmement violent, vu qu'un simple rappel à la loi leurs est "imposé" ou du "sursis". Heureux ce qui vivaient loin des grandes villes mais hélas, cette violence s'est répandu jusqu'au moindre petit village classé avant de faire la une des médias. J'ai vécu des situations difficiles, ou mes interventions ont permis de sortir de l’embarras pas mal de monde malgré les coups pris mais aussi distribués, sans suites. Un copain à eu moins de chance, son agresseur à porté plainte et mon pote a été condamné, faut préciser qu'il l'avait bien amoché. Le mec à depuis changé de pays. Ouais mais juste, on va arrêter deux secondes le truc et sortir des postures dont certains ici sont prêts à agiter pour défendre leurs petites idées politiques (pas toi, mais suivez mon regard). Et je vais ventiler large. Il y a un monde entre ce que dit l'EN et ce que le personnel de terrain a à gérer. Et gère. L'EN n'est pas davantage un repaire de planqués attirés par de mirifiques (LOL) conditions de travail et la sacrosainte sécurité de l'emploi, pas plus que la police n'est un repaire d'alcooliques ou le nom Lagardère une entreprise à la dérive (quoi que... si elle l'est). L'obligation de résultats ? Certes. Mais nous travaillons toujours dans l'intérêt de l'enfant, même si derrière on ne nous suit pas. Et quand je dis "on", ce n'est pas uniquement la hiérarchie aux fraises. Mais par contre, il faudrait arrêter (là encore, je parle pour tout le monde) de nous vendre le sacrosaint secteur privé qui fonctionnerait mieux, serait plus souple et plus efficace. La pression sur l'EN ? Elle vient de qui ? DE VOUS. De cette société qui exige que chacun ait un bac + 7 même s'il est con comme un caillou (attention, je n'ai rien contre les cailloux), qui refuse que son enfant aille dans une filière adaptée ("mon enfant n'est pas un mongol !") ou professionnelle et qui refusera mordicus de croire que oui le petit Dylan est bien celui qui est venu étrangler une petite de sixième parce qu'elle l'avait mal regardé et que "on" lui avait dit. Qui refuse les redoublements, les envois en filière EGPA/SEGPA, qui a poussé les filières pro à mourir parce que "le bac S, c'est l'avenir" ? LES PARENTS. Et crois bien que je suis particulièrement sensible sur ce point... parce que nous savons pertinemment ce qu'il arrive à ces enfants qui arrivent en 6è et qui vont souffrir jusqu'à ce qu'ils abandonnent le système. Pour la peur et le reste, là on sort de l'EN et on revient sur les thèmes agités régulièrement du "la France a peur", "le sentiment d'insécurité", "c'était mieux avant", "l'Etat n'existe plus, armons nous". Je ne rentrerai pas dans ce débat qui s'éteindra de lui même jusqu'à la prochaine élection. 3 1 3 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
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