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Projets de l'Europe dans l'espace


nourdi
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Niveau liens j'ai rien a mettre sous la dent je saurais pas retrouver ou j'ai eu l'info (me semble sur plusieurs sites de sciences faudra que je regarde au niveau archives s'ils en ont) mais je suis quasi sur d'avoir vu la news ces derniers mois comme quoi l'Allemagne était passé contributeur financier numéro 1 a l'Esa après la domination française sur la question depuis le début de l'aventure ... Après c'est pas spécialement un changement de poids, mais plutot un dépassement qui doit plutot etre de l'ordre "psychologique" si la différence n'est que de quelques millions d'euros ...

Sinon c'est bien ce que je dis aussi : la France pour moi est le frein a la politique du vol habité depuis le début a moins qu'on se comprend mal ?  :lol:

Je ferais une recherche concernant cette donne budgétaire "changée" vérifier que je l'ai pas rêvé mais j'en suis quasi certains, via les news plusieurs en moisn en arrière sur Futurasciences et d'autres (déja c'est pas avec wikipédia qu'on aura la confirmation, la dernière fois j'ai vu le sujet budget la bas c'était sur la base d'un budget datant d'adan et êve)

Sur wikipedia y'a ça :http://en.wikipedia.org/wiki/European_Space_Agency#Member_countries_and_budget
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L'Agence spatiale européenne (ESA), vient de confier à Astrium, la filiale d'EADS consacrée aux services spatiaux civils et militaires, deux ambitieuses missions. La firme a été chargée de mener des études sur l'évolution du cargo spatial ATV mais aussi du laboratoire de recherches Columbus, en vue de la conception de nouveaux vaisseaux.

La firme Astrium, filiale d'EADS se targuant d'être le "numéro un européen de l'industrie spatiale", a été choisi par l'Agence spatiale européenne, l'ESA, pour mener différentes études visant à faire évoluer les technologies utilisées sur le cargo spatial ATV ainsi que sur le laboratoire spatial Columbus. Dans un communiqué, la société qui emploie 18.000 personnes en France, en Allemagne, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et en Espagne, précise que le coût de ces deux missions a été évalué à quelque 13 millions d'euros, équitablement répartis.

Selon les informations dévoilées, la première mission consistera à développer différents concepts de module de service destinés à la future capsule spatiale américaine Orion. Un module décrit à l'AFP par Gilles Debas, chef adjoint du programme ATV chez Astrium, comme "la chambre des machines" permettant de propulser et d'alimenter électriquement les vaisseaux spatiaux. Dans son communiqué, Astrium rappelle que l'ATV, le véhicule automatique de transfert européen, est depuis la mise au rebut des navettes américaines, Atlantis, Endeavour et Discovery, "le plus grand véhicule de ravitaillement de la Station spatiale internationale (ISS)", mais aussi "le plus sophistiqué".

Capable transporter plus de sept tonnes de fret, l'engin peut s'amarrer automatiquement à l'ISS ainsi qu'aux vaisseaux russes Progress-M, les seuls à assurer depuis le retrait des navettes américaines le ravitaillement de la station spatiale internationale. Les diverses solutions étudiées pour l'évolution du module de service de l'ATV viseront ainsi à "faire évoluer les technologies existantes vers une utilisation pour différentes missions futures" explique Astrium, précisant que ces travaux devraient s'achever d'ici à la fin de l'année 2012.

Quant à la seconde étude, censée être terminée au même moment, elle aura pour but d'"identifier et définir le concept de véhicule spatial autonome doté d’une polyvalence intrinsèque, également basé sur le savoir-faire et les technologies de l’ATV", indique la filiale d'EADS. Les nouvelles technologies ainsi développées au sein du laboratoire Columbus viseront à permettre au vaisseau d'accomplir de nombreuses et différentes missions. Parmi elles, le "transport vers une infrastructure en orbite terrestre basse", des "missions de service en orbite ciblant un véhicule spatial ou des débris" ou encore l’approvisionnement de plates-formes et d'habitats spatiaux autonomes.

En attendant, l'ATV actuel a encore plusieurs missions devant lui, la dernière étant fixée en 2014. Les travaux visant à faire évoluer les vaisseaux, basés sur ces études menées par Astrium, seront ensuite mis en route. Ce développement, souligne la firme européenne, "sera nécessaire pour permettre à l’Europe de s’"acquitter" envers ses partenaires de l’ISS jusqu’à l’horizon 2020".

http://www.maxisciences.com/agence-spatial-europ%e9enne/l-039-esa-confie-deux-vastes-etudes-a-astrium_art25361.html

Ca n'aura pas tardé, Thalès Alénia Space communique sur des précisions a apporter dans les médias sur ce qu'elle envisage avec l'ATV :

"ThASpace" veut mettre l'ATV sur roulettes  =D

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/thales-alenia-space-veut-mettre-des-roues-a-latv_39660/

Un ATV avec des roues

TAS souhaite donc faire évoluer l’ATV en un rover pressurisé d’exploration planétaire. Une idée loin d’être saugrenue et qui a déjà donné naissance à des prototypes de rovers d’exploration, dont un est actuellement testé chez Altec, dans les locaux turinois de TAS. Comme le rapporte Le Figaro dans un article daté du 9 juin, « nous avons 35 ans d'expérience à faire valoir dans le domaine en matière d'exploration spatiale et nous voulons continuer à développer notre savoir-faire et nos technologies », explique Vicenzo Giorgio, l'un des responsables scientifiques de Thales Alenia Space.

Cette ligne directrice conduit Thales Alenia Space à s’intéresser de très près aux activités préparatoires des étapes futures de l’exploration planétaire, bien qu’en Europe aucune décision de projet de cette nature n'ait été prise. C’est dans le cadre de Steps (Systèmes et technologies pour l'exploration spatiale) que tout ceci est fait. TAS est le chef de file d'un groupe de partenaires comprenant l'université polytechnique de Turin, l'université de Turin, l'université du Piémont oriental et 24 PME de la filière turinoise.

Futura-Sciences a eu l'occasion de voir le modèle d’essai qui a vraiment fière allure avec ses six roues motrices indépendantes les unes des autres. On a pu le voir se déplacer sur un terrain simulant un sol martien, recouvert de pouzzolane, une roche volcanique dont la consistance est voisine de celle du sol de la Planète rouge.

En conditions réelles, ce rover pressurisé sera capable d’embarquer quatre astronautes pour des missions d’exploration et jusqu’à huit si nécessaire, pour des situations d’urgence. Capable d'avancer à 15 km/h, avec des pointes à 20 km/h, il pourra rouler sur des pentes de 30 % d’inclinaison, franchir des obstacles de 50 cm et s’aventurer sur une centaine de kilomètres autour de sa base. Son système de locomotion est dimensionné pour reproduire le plus possible les conditions représentatives de la gravité réduite sur Mars.

Ce prototype doit démontrer bon nombre de technologies qui pourraient réellement être utilisées sur un rover d’exploration planétaire.

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Ils devraient se méfier parfois de leurs mots dans leurs articles : le Ccdev-2 n'a pas vraiment vocation a remplacer la navette américaine vu qu'il y a un programme pour ça (SLS) qui lui aura de véritable capacité de remplacement de la navette en tant que mode opératoire (FRET ISS lourd + crew d'installation, ou encore pourquoi pas revenir a des missions vers Hubble bien que normalement il n'y en a pas besoin au des travaux déja OVER COUTEUX dont le télescope spatial a déja bénéficié et lui ont donné des performances hors du commun)

Le Ccdev n'a vocation que d'offrir aux USA un accès a l'espace habité minimaliste pour l'ISS ou autre éventuelle future infrastructure, moins onéreux dont ils auraient du se doter déja depuis bien longtemps ... Mais bloqué par le calendrier ISS pour le FRET navette et budgets en train de se resserer

Seul SLS a réelle vocation de remplacer la navette, et même lui donner des capacités étendues d'exploration système solaire proche

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Ce projet est loin d'être fait, il peut très vite retourner au placard aussi vite qu'il est venu, si la nasa dit qu'elle n'est pas

intéressée. astrium ne sera qu'un sous traitant dans l'histoire. c'est surtout ATK qui ne

veut pas perdre ses acquis lors du développement d'ares 1.

Comme capsule, rien n'est figé la dessus, il y a  Boeing's CST-100 spacecraft, initialement prévu pour une atlas 5.

ATK & LM en font une aussi.

Au final, ce projet à peu de chances d'aboutir, pour les usa, il intègre trop de dépendance de technologies étrangères.

reste l'ESA si ils sont intéressés par un lanceur qualifié pour le vol humain. DLR serait certainement intéressé

par développer sa capsule, mais pour ca il faut beaucoup beaucoup beaucoup d'argent  :-[. Mais on parle de pacte

de croissance en ce moment. =)

Un des objectifs de liberty et de couter moins cher qu'un soyouz pour le renouvellement de l'équipage de l'ISS,

cela reste à démontrer.

Image IPB

capsule ATK,

Image IPB

.

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Le probleme, c'est les intérêts des un et des autres, c'est selon les lobbies

En parlant d'orion, la capsule est prete.  Premier vol test (sans pilote) 2014, sur une delta 4 heavy (une sacré bestiole), 2017 sur SLS

http://www.nasa.gov/exploration/systems/mpcv/michoudteam.html

ben justement je trouve que c'est dans leurs intérêt car ca permet de se mettre LM dans la poche et puis la capsule orion est réutilisable et plus grosse que les autres capsules privées donc cout global moins cher et plus de fret/passagers
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Je pense qu'ils envisagent aussi de mettre orion sur le liberty, c est la NASA qui va décider

http://www.universetoday.com/88803/construction-begins-on-the-1st-space-bound-orion-crew-module/

NASA is still deciding which rocket to use for the initial test flight – most likely a Delta 4 Heavy but possibly also the new Liberty rocket proposed by ATK and EADS.

Le choix n'est pas fait, mais ils font plein de capsules, de meme qu'ils font un gros lanceur mais ils ne savent pas sur quelle mission elle est destinée.

je trouve cela assez "marrant".

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bah si atk et astrium continuent sur leur chemin ca risque de bien aller vu que tous les composants ont déjà un bonne historique d'utilisation donc ils ont déjà une bonne expérience comparé aux truc du genre spacex qui a lancé 2 fusée

alors si en plus ca permet de faire payer l'ue, qu'est ce qu'il faut de plus ?

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Il est clair que s'ils calaient Orion sur liberty avec un booster de la navette et un étage principal ariane 5

La NASA pourrait si elle le voudrait avoir le lanceur + module le moins cher du Ccdev-2, car Orion est quand même une belle garantie d'économie d'échelle a partir du moment que les couts sont déja la pour SLS ! Et mieux encore : avoir + de vols sur Orion avant les vols habités SLS ect

Vu comme ça avec Orion ATK pourrait devenir s'il ne merdouille pas trop en couts a rallonge, se tailler une place de choix sur le Ccdev-2

Et même pourquoi pas, trouver un nouvel arrangement avec l'Europe pour avoir des étages principaux un peu moins cher en échange de places régulières sur la carrière du lanceur pour faire encore + d'économies d'échelle ect

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L'Agence spatiale européenne (ESA) a annoncé que Samantha Cristoforetti, la seule femme spationaute de l'agence venait d'être nommée pour faire partie d'une expédition spatiale programmée pour 2014. Elle rejoindra ainsi la Station spatiale internationale (ISS).

C'est une grande nouvelle pour l'Agence spatiale européenne (ESA). Alors qu'Andre Kuipers vient tout juste de revenir de la Station spatiale internationale (ISS), l'agence sait d'ores et déjà qu'un autre de ses spationautes partira bientôt pour l'espace, et pas n'importe lequel : Samantha Cristoforetti. Recrutée en 2009, celle-ci est en effet actuellement la seule femme spationaute de l'ESA (qui en a au cours de son histoire déjà compté deux) mais aussi la première Italienne spationaute.

Selon les informations communiquées par l'ESA, Samantha Cristoforetti a été nommée pour faire partie d'une expédition à destination de l'ISS qui décollera en 2014. Ce sera alors le tout premier vol spatial pour cette Italienne âgée de 35 ans. Une mission qui durera comme habituellement au moins six mois passés à bord de la station en compagnie d'autres astronautes. "C'est une grande satisfaction de voir un troisième astronaute recruté en 2009 être nommé pour participer à une mission dans l'espace", a commenté dans un communiqué Thomas Reiter, directeur des vols habités et des opérations de l'ESA.

La suite : http://www.maxisciences.com/astronaute/la-premiere-italienne-spationaute-decollera-vers-l-039-iss-en-2014_art25549.html

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(BRUXELLES2) Le projet d’achat en commun de liaisons satellite militaires va pouvoir entrer en vigueur. La cinquième signature de l’accord permet à ce projet mené sous couvert de l’Agence européenne de défense (EAD) d’entrer en vigueur et de franchir le cap de la Capacité opérationnelle initiale (IOC). Les cinq pays membres du projet – l’Italie, la France, la Pologne, la Roumanie et le Royaume-Uni – vont pouvoir former une force de frappe d’achat de créneaux satellites auprès des fournisseurs de service de communication, au lieu de d’acheter de façon séparée. Les communications satellites sont aujourd’hui un élément essentiel du champ de bataille que ce soit pour le commandement et le contrôle (C2) ou le dispositif de renseignement, de surveillance, de ciblage d’objectifs et de reconnaissance (ISTAR). Et la « demande augmente avec l’utilisation croissante des drones qui requièrent des capacités de Satcom pour le contrôle et la transmission des données des capteurs » précise-t-on à l’Agence.

http://www.bruxelles2.eu/defense-ue/capacites-milit-%e2%80%93-exercices-ue/la-cellule-dachat-des-communications-satellite-lancee.html

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  • 5 weeks later...
  • 1 month later...

Un jour les USA le regretterons a tout le temps agir ainsi de manière a ce que l'europe ne participe toujours qu'en sous fifre de l'épopée spatiale ...

Le jour ou ils n'auront vraiment plus de $$$ a mettre dans leur spatial habité, le problème étant qu'avec ce comportement constant : ils ne pourront peut être pas se tourner vers l'europe : et la, ça fera mal aux fesses que de devoir se tourner vers les chinois ou autres ...

Enfin ... C'est ainsi

Pour retourner a du spatial européen + concret et + dans son domaine habituel, l'évolution des platesformes/bus des futurs gammes de sat de communication va sensiblement s'alourdir avec le projet (bien avancé, avec des lancements effectués via un inmarsat de 12 Kw/6t mais qui n'exploite que la version minimal de la plateforme développée, lancé en 2007) l'Alphabus :

  http://fr.wikipedia.org/wiki/Alphabus_%28satellite%29

Qui prévoyait dès le départ du projet, une croissance de masse des satcoms a 8t ... Et qui penche déja pour les 9t finalement et 20 Kw de puissance élec utile ...

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Sauf erreur de ma part, 2012 est une année inquiétante pour les constructeurs Européens de Satcom. Quasiment aucun contrat à ce que je sais, gros retour de Boeing avec un bus tout électrique... Pourtant la chute de l'euro aurait du nous aider. Je crois que le Air&Cosmos de cette semaine fait le point, je vais essayer de vérifier.

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Hé bhé, on notera la progression de tir des arianes 5 de 15% environ : il y a aura eu 7 tirs en 2012 et apparemment 7 tirs programmés en 2013 aussi ...

Ce qui fait une progression nette de 1 tir, d'habitude le rythme industriel d'EADS et de tir ne permettait que 6 tirs par an, sous la forme généralement de 6 tirs absolus par an ou 5 + 7 sur 2 ans par léger décalage ... Mais la on a 2x 7 tirs de la fusée ce qui est exceptionnel

Serait la prospection du marché US avec ATK (bien qu'on sait qu'ils n'ont pas été sélectionné) qui en serait la raison ? EADS aurait potentiellement poussé sa capacité industriel pour tenter de prouver au marché US du spatial et a la NASA qu'ils étaient capable d'assumer + de lancements par an pour crédibiliser l'utilisation de l'étage principal d'ariane 5 sur le lanceur liberty ?

Car a la base, l'ESA & arianespace ont toujours affirmé qu'il était difficile voir impossible de franchir le cap des 6 tirs par an, spécifiquement a cause du rythme industriel qui ne permettait pas une cadence supérieure ...

Pour le reste, il est temps de récolter les fruits de la multiplication d'offres de lanceurs via Vega et Soyuz en avant !

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Hier, Jean-Yves Le Gall, le PDG d'Arianespace, a jugé sain et de bon augure le débat en cours sur l'avenir du lanceur européen Ariane :

http://www.maxisciences.com/fus%e9e-ariane/quel-avenir-pour-la-fusee-ariane_art26533.html

Moi je l'ai pas trouvé si "sain" que ça, quand on sait les risques extrêmement élevés que voudraient faire prendre certains a l'ESA et en conséquence a Arianespace et sa capacité de "lancer" pour le marché ...

En cherchant a nous pousser a la même erreur de transition qu'a l'époque ariane 4 > 5  sans lanceur assurant un intermédiaire "safe" pendant pas mal d'années, alors qu'a l'inverse aujourd'hui y a quand même moyen d'éviter cela : les chiffres d'affaires n'étant plus du tout les mêmes ...

Bien que la capacité d'investissement des états de l'ESA potentiellement amputée, pourtant en parallèle : les USA nous menacent directement avec SpaceX un lanceur intégralement subventionné, alors qu'en même temps ils financent un autre avenir ...

Peut être aussi, qu'il est temps que l'Europe (dans son entité globale) sonne les cloches de la vision de l'espace des états de l'UE qu'il serait temps qu'elle se secoue un peu les plumes a investir beaucoup + dans l'espace qu'elle ne le fait aujourd'hui : après tout, l'Europe est + riche que les USA et pourtant elle dépense quasi 4-5 x moins par habitants dans l'espace pour chaque euro de dépense publique disponible dans l'UE

Moi j'aurais trouvé + sain que le débat se recentre sur le projet de base, qui ne remettait absolument pas en cause industriellement ariane 5 avant au moins 2030 :  celui de se contenter de dévelloper un lanceur "moyen" a potentiel fortement modulable (sorte de mélange d'une Delta et d'une Titan) d'abord pour remplacer en priorité Soyuz Fregat comme c'était prévu, puis profiter de sa capacité modulable forte pour faire la transition avec ariane 5 ...

Et hélas, leur débat a virer entre temps : pourquoi ne pas faire dégager ariane 5 de suite au + tot ? Alors qu'on lui doit quasiment tout a cette fusée et que ME va pouvoir repositionner le lancement double sur le marché

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Un projet de surveillance radar de l'espace européen ?  Le SSA

http://www.esa.int/SPECIALS/SSA/SEMTAMRJR4G_0.html

http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=10814

L'ESA va stimuler l'expertise industrielle européenne en développant un nouveau radar expérimental dans le cadre du programme SSA (Space Situational Awareness, "Surveillance de l'Espace").

Ce radar permettra de tester de nouvelles techniques de suivi des débris spatiaux afin d'aider les opérateurs de satellites européens à écarter des risques de collision et améliorer ainsi la sûreté en orbite terrestre, un domaine dans lequel la France dispose d'une expertise reconnue.

L'ESA et l'ONERA (Office National d'Etudes et Recherches Aérospatiales) viennent de signer un contrat de 4 millions d'euros aux termes duquel l'ONERA et cinq partenaires industriels européens en Espagne, France et Suisse vont coopérer afin de concevoir un radar expérimental de surveillance de l'espace et développer un démonstrateur. Les travaux débuteront dès septembre 2012.

"Cet accord améliorera significativement les capacités et la compétitivité de l'industrie européenne dans ce domaine" se réjouit Nicolas Bobrinsky, responsable du programme préparatoire de SSA à l'ESA.

"Ce nouveau démonstrateur radar permettra de tester et de valider des techniques d'observation de débris orbitaux. L'ESA bénéficiera de la forte coopération entre les industries espagnoles, françaises et suisses."

La détection précoce des débris est cruciale pour alerter les opérateurs de satellites en cas de risque de collision et leur permettre de réaliser les manoeuvres d'évitement nécessaires.    suite sur le lien techno-science.net

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