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Séisme au Japon, Fukushima et conséquences


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  • 2 weeks later...

Fukushima : risque de fission nucléaire

Le réacteur n°2 de la centrale de Fukushima présenterait des signes anormaux. Tepco, l'opérateur japonais, tente d'éviter un scénario catastrophe. Risque de fission nucléaire. Tepco, l'opérateur de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima Daiichi, vient d'annoncer ce mercredi qu'un tel scénario était envisageable dans le réacteur n°2 de la centrale. Pour empêcher une nouvelle catastrophe, Tepco a commencé à injecter un mélange d'eau et d'acide borique.

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/asie/fukushima-risque-de-fission-nucleaire_1046725.html#xtor=AL-447

:O

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Fukushima: soupçons de réaction de fission nucléaire

L'opérateur de la centrale japonaise accidentée de Fukushima a annoncé mercredi avoir décelé des signes de récente réaction de fission en chaîne dans un réacteur. Ces données sont en cours de vérification par l'Agence japonaise de l'énergie nucléaire (JAEA).

La compagnie Tokyo Electric Power (Tepco) a détecté à l'intérieur du réacteur 2, endommagé lors du séisme et du tsunami du 11 mars, de faibles quantité de substances, dont la présence semble indiquer que l'uranium a subi "il y a peu de temps" une réaction de fission.

Selon Tepco, "même si une réaction de fission est en cours, elle est d'une ampleur extrêmement faible et le réacteur est dans l'ensemble dans une situation stable". L'opérateur a pris des mesures de précaution pour stopper un éventuel processus en chaîne.

Incertitudes

A Fukushima, le redémarrage impromptu (ou la poursuite) d'une réaction montre que la situation n'est pas encore maîtrisée, bien que le combustible soit refroidi et que la fusion du combustible ait été stoppée.

Tepco a dit prendre des dispositions pour renforcer également la surveillance des réacteurs 1 et 3. Trois des six réacteurs de la centrale Fukushima Daiichi ont été endommagés, de même que la piscine du quatrième, après la rupture de leur alimentation électrique et l'arrêt de leur système de refroidissement le 11 mars.

=> fission nucléaire à Fukushima, Barbus au pouvoir en Libye et en Tunisie, Israël qui veut faire la guerre à l'Iran, Grèce qui se lance dans un référendum, Union européenne sans dessus dessous, etc., etc. L'avenir sent bon... O0

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Fukushima: soupçons de réaction de fission nucléaire

L'opérateur de la centrale japonaise accidentée de Fukushima a annoncé mercredi avoir décelé des signes de récente réaction de fission en chaîne dans un réacteur. Ces données sont en cours de vérification par l'Agence japonaise de l'énergie nucléaire (JAEA).

La compagnie Tokyo Electric Power (Tepco) a détecté à l'intérieur du réacteur 2, endommagé lors du séisme et du tsunami du 11 mars, de faibles quantité de substances, dont la présence semble indiquer que l'uranium a subi "il y a peu de temps" une réaction de fission.

Selon Tepco, "même si une réaction de fission est en cours, elle est d'une ampleur extrêmement faible et le réacteur est dans l'ensemble dans une situation stable". L'opérateur a pris des mesures de précaution pour stopper un éventuel processus en chaîne.

Incertitudes

A Fukushima, le redémarrage impromptu (ou la poursuite) d'une réaction montre que la situation n'est pas encore maîtrisée, bien que le combustible soit refroidi et que la fusion du combustible ait été stoppée.

Tepco a dit prendre des dispositions pour renforcer également la surveillance des réacteurs 1 et 3. Trois des six réacteurs de la centrale Fukushima Daiichi ont été endommagés, de même que la piscine du quatrième, après la rupture de leur alimentation électrique et l'arrêt de leur système de refroidissement le 11 mars.

=> fission nucléaire à Fukushima, Barbus au pouvoir en Libye et en Tunisie, Israël qui veut faire la guerre à l'Iran, Grèce qui se lance dans un référendum, Union européenne sans dessus dessous, etc., etc. L'avenir sent bon... O0

Ben les Incas dans leur prophecy parlent d'un changement de monde (pas la fin du monde)

c'est bien le cas 

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Il y a un truc que je ne pige pas, comment le réacteur N°2 peut ré-entrer en fission, car il faut un minimum de contrôle pour arriver à la fission ça ne se fait pas tout seul, ou alors c'est un soubresaut du cœur un peu à l'image d'une bulle qui remonterait à la surface, mais c'est étrange en effet.

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C'est arrivé plusieurs fois à Tchernobyl. Un reportage montre des scientifiques de la centrale comme Valentin Kupniy, ancien directeur de la centrale, qui descendent clandestinement dans le coeur avec des compteurs et des outils de prélèvement. Ils disent que le comportement du combustible est erratique et s'emballe parfois sans que l'on comprenne vraiment pourquoi (Présence de neutrons à proximité de l'Uranium-235 à plusieurs reprises).

- "...on a frôlé à plusieurs reprises la combustion nucléaire. En 1996 je crois, nous avons eu une importante libération de neutrons... C'est à dire qu'une réaction en chaîne spontanée à l'intérieur du sarcophage avait commencé. Des évènements extraordinaires, des anomalies arrivent toujours. Voilà pourquoi il fallait y aller...".

In : "Tchernobyl - L'histoire sans fin" ARTE.

Note : les particules issues des désintégrations impactent les capteurs CCD, cela est visible sur certaines captures d'écran. Les pellicules argentiques, elles, sont voilées par le bombardement.

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Fukushima - Dernière update de Arnie Gundersen. Relevés aux USA, à Tokyo et Fukushima (prefecture). Les relevés sont alarmants. Les particules radioactives piégées (voir vidéo) en très grand nombre comprennent aussi des particules émettant des rayonnements Alpha. Les cas de cancers à venir d'ici 10 à 30 ans posent un très grave problème de société pour le Japon.

http://vimeo.com/31370998

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Fukushima 2: Pas de reaction nucleaire de fission spontannee (source NHK today 15h20 JST).

La presence de Xenon dans les gaz preleves a l'interieur de l'enceinte de la tranche 2 est desormais expliquee par la decomposition nucleaire spontannee de Curium 242 et 244, deux produits de fission usuels presents dans le combustible nucleaire usage. Les (tres faibles) quantites mesurees matchent les calculs que l'on peut faire compte tenu du taux de combustion du combustible de la tranche 2. Ceci explique aussi pourquoi aucun flux de neutrons n'avait jamais ete detecte, ce qui aurait du etre inevitablement le cas en cas de divergence des elements du coeur.

Par contre TEPCO a remarquablement bien reussi a faire peur a tout le monde en privilegiant la vitesse de publication des informations par rapport a un peu d'approfondissement des questions techniques. Il faut dire que dans les premiers jours du desastre, ils se sont fait une solide reputation de retention d'information (pas totalement immeritee a vrai dire...).

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Me disait bien une fission après fusion partiel et arrosage continu du combustible, ça paraissait vraiment improbable...  :P

Pour maintenir un état de fission déjà que c'est galère, car si on loupe un truc on risque la fusion (ou l'explosion), alors une entrée en fission soudaine je voyais mal comment c'était possible sans contrôle, la fission étant tout sauf un "état naturel" de la matière dans la nature.

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In : Tokyo Shimbun

Il est fort probable qu'un accident de criticité, c'est-à-dire une fission nucléaire incontrôlée, se soit produit dans le réacteur n° 2 de la centrale de Fukushima Daiichi. Si tel est le cas, cela prouve que les prévisions de Tepco [Tokyo Electric Power, l'opérateur du site] et du gouvernement étaient trop optimistes. Il est hors de question que nous prenions cette nouvelle à la légère, et les autorités doivent absolument faire preuve de transparence en fournissant des informations détaillées à ce sujet.

Nul ne sait aujourd'hui dans quel état se trouvent les combustibles nucléaires du réacteur n°2. Selon les estimations, ils auraient fondu et se seraient déposés au fond de la cuve sous pression, puis [après avoir percé cette dernière], ils se seraient écoulés dans l'enceinte de confinement [qui entoure la cuve]. C'est pour refroidir ces combustibles et les stabiliser que de grandes quantités d'eau y ont été déversées. Mais les mesures effectuées ces derniers jours ont révélé la présence de gaz xénon 133 et 135 dans l'enceinte de confinement. Ces gaz n'existent pas à l'état naturel ; ils sont générés par la fission nucléaire. La durée de demi-vie radioactive du xénon 135 étant de neuf heures [cinq jours pour le xénon 133], il est tout à fait possible qu'une réaction en chaîne se soit produite dernièrement, et c'est pourquoi Tepco s'est empressé d'injecter un mélange d'eau et d'acide borique [qui limite la radioactivité] dans le réacteur.

Dans le pire des scénarios, l'eau qui a été introduite afin de refroidir les combustibles pourrait entrer en ébullition et ces derniers pourraient être exposés à l'air. Il est alors à craindre que des quantités importantes de matières radioactives soient à nouveau rejetées dans l'atmosphère. L'Agence de sûreté nucléaire, qui dépend du ministère de l'Economie et de l'Industrie, affirme qu'"il n'y a pratiquement aucun risque d'incident de criticité de grande ampleur" et que "dans l'ensemble, la situation du réacteur est stabilisée". Mais peut-on vraiment la croire ? Au mois d'août, des traces de xénon 131 [un autre produit de fission nucléaire] avaient déjà été relevées, et l'Agence de sûreté nucléaire les avait considérées comme de simples "résidus de l'accident nucléaire [survenu au mois de mars]". Cependant, les résultats des mesures récentes montrent que la situation demeure extrêmement instable.

La première chose à faire est de fournir des explications précises aux populations qui vivent dans les environs de la centrale. Etant donné que l'interdiction relative à la zone située entre 20 et 30 km autour de la centrale a été levée [au mois de septembre], des habitants y sont revenus pour retrouver leurs maisons. Maintenant que la stabilité du site est remise en question, il faut agir au plus vite pour éviter que la population soit à nouveau exposée à de nouvelles retombées radioactives. La gestion de ce problème préoccupe non seulement les Japonais, mais aussi la communauté internationale.

Il convient également de vérifier l'état de marche du système de refroidissement. Comme il n'est pas impossible qu'un accident similaire de criticité se soit également produit dans les réacteurs n° 1 et 3 où ont eu lieu des explosions d'hydrogène, il est urgent de procéder à des contrôles rigoureux. Les autorités espéraient un arrêt à froid des réacteurs [qui consiste à stabiliser la température à moins de 100°C] d'ici la fin de l'année, mais leur calendrier n'est plus crédible. Même si elles emploient les termes ambigüs de "situation stabilisée" pour désigner l'état du site, personne n'est dupe. Non seulement cette annonce est prématurée, mais elle ne résonne que comme un prétexte pour redémarrer le plus rapidement possible les autres centrales de l'archipel.

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Me disait bien une fission après fusion partiel et arrosage continu du combustible, ça paraissait vraiment improbable...  :P

Pour maintenir un état de fission déjà que c'est galère, car si on loupe un truc on risque la fusion (ou l'explosion), alors une entrée en fission soudaine je voyais mal comment c'était possible sans contrôle, la fission étant tout sauf un "état naturel" de la matière dans la nature.

Peut être en rajoutant encore plus de combustible nucléaire ou la température, une brusque élévation de la température qui réamorce la fission.

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Elever la temperature d'un milieu decroit au contraire la "reactivite" nucleaire (la simple dilatation du milieu fait que les neutrons ont moins de chance de rencontrer un noyau par effet de geometrie mais sutout la section apparente de capture des noyaux d'uranium decroit beaucoup avec la temperature et la vitesse des neutrons). A la louche, il vaut mieux du froid et des neutrons lents. L'enrichissement du combustible etant fixe lors du rechargement du coeur (U235 a 3 ou 4 % max), rien n'est a esperer de ce cote la. La seule solution est de ralentir les neutrons (avec de l'eau, du graphite,...) mais sans les absorber trop (bore surtout, acier et beton un peu) pour accroitre leurs chances de rencontrer un noyau. C'est une configuration delicate, que des ingenieurs mettent des annees a calculer. Mais meme si elle etait "miraculeusement" apparue quelque part dans les debrits du coeur de Fukushima, elle disparaitrait tout aussitot par simple echauffement du milieu.

Pour ce qui concerne Fukushima, on parle pour rien : Il n'y a jamais eu de reaction de fission spontannee dans les reacteurs endommages (detruits). Les traces de Xenon detectees sont issues de la desintegration radioactive normale du combustible nucleaire irradie. Le taux mesure est conforme a ce que donne le calcul theorique en fonction du taux d'usure du combustible et du temps passe depuis le 11 mars. Aucun flux de neutron n'a jamais ete detecte, ce qui serait un marqueur certain d'une reaction de fission. Les personnels Tepco continuent de travailler a l'interieur des batiments reacteurs (Ex: installation vendredi dernier d'un systeme de captation du Cesium dissous dans l'eau de la piscine du reacteur 2)... et la communication media de Tepco est toujours aussi merdique !

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  • 4 weeks later...

La compagnie japonaise Tepco publie un épais rapport

La compagnie japonaise Tepco qui exploite la centrale accidentée de Fukushima a rendu public aujourd’hui un épais rapport éclairant les causes de l'accident. Le document souligne l'insuffisance de sa préparation.

Encore inachevé, il laisse maintes questions sans réponse, compte tenu du fait qu'il est encore impossible de pénétrer au cœur des installations, huit mois après la catastrophe. Ce document de 140 pages, rédigé par des experts extérieurs et accompagné de plusieurs  annexes, décrit la séquence des événements.

Il décortique aussi la façon dont les équipes ont réagi dans des circonstances particulièrement exécrables (obscurité, sans  électricité ni moyens de communication, parmi une montagne de débris, avec des répliques du séisme incessantes et la peur au ventre).

A plusieurs reprises, les détails, en partie déjà connus, montrent que les ouvriers, pompiers et autres intervenants ont employé des moyens apparaissant parfois désespérés pour tenter de conjurer le drame après le tsunami qui, plus que le séisme, a mis en péril les installations, rompu l'alimentation électrique et rendu absolument inutilisables tous les moyens de refroidissement.

250 salariés interrogés

Le tout a entraîné une fusion du combustible dans trois des six réacteurs ainsi que des explosions d'hydrogène et d'importants rejets radioactifs. Bien que rendant hommage aux équipes, «à commencer par le directeur de la centrale» (aujourd'hui remplacé pour cause de maladie) et estimant que les décisions ont permis d'éviter une aggravation de la situation, les rapporteurs notent que la compagnie n'était pas prête à affronter une catastrophe si grave.

Le rapport note aussi que certaines réactions ont été insuffisantes, notamment vis-à-vis de la prévention des explosions d'hydrogène, lesquelles, détruisant les bâtiments des réacteurs, ont rendu encore plus difficile le travail sur le terrain.

Les experts reprochent notamment à Tepco de n'avoir pas eu un «plan de gestion d'accident» basé sur un scénario de perte totale d'électricité, de sorte que tous les procédés, exercices et moyens prévus se sont avérés inutilisables, aboutissant à cette catastrophe. Ce travail d'analyse à mi-parcours est notamment basé sur l'écoute, depuis le mois de juin, de quelque 250 salariés de Tepco, et sur l'étude de nombreux documents.

http://www.lenouvelliste.ch/fr/monde/la-compagnie-japonaise-tepco-publie-un-epais-rapport-481-207308

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Les experts reprochent notamment à Tepco de n'avoir pas eu un «plan de gestion d'accident» basé sur un scénario de perte totale d'électricité, de sorte que tous les procédés, exercices et moyens prévus se sont avérés inutilisables, aboutissant à cette catastrophe.

Ceci n'est pas propre à Tepco, c'est un standard de cette industrie. Certains cas logiquement concevables sont considérés comme impossibles et donc non pris en compte dans la gestion des risques.

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TOKYO (Reuters) - Des traces de césium radioactif ont été détectées dans du lait en poudre pour bébé fabriqué par la compagnie Meiji, a annoncé mardi le producteur de lait nippon, neuf mois après la catastrophe nucléaire de Fukushima-Daiichi.

Cette annonce, qui a fait plonger le titre de Meiji de plus de 10% à son plus bas depuis mai 2009, risque d'alimenter les inquiétudes des consommateurs après la découverte ces derniers mois de traces radioactives sur des légumes, du thé, du lait et des fruits de mer. Le groupe, qui soupçonne les substances radioactives émises par la centrale endommagée le 11 mars dernier d'être à l'origine de ces traces de césium, a annoncé le rappel de 400.000 boîtes de lait en poudre vendues uniquement au Japon.

Selon des tests réalisés par la compagnie, un taux de césium radioactif de 30,8 becquerels par kilogramme a été détecté dans le lait en poudre, soit un niveau inférieur au seuil d'alerte fixé par le gouvernement à 200 becquerels par kilogramme.

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La compagnie d'électricité japonaise de l'ouest, Kansai Electric Power, s'apprête à arrêter manuellement, dans la nuit de mercredi à jeudi, l'un de ses réacteurs nucléaires à cause d'un problème technique. Il s'agit du 46e mis hors service au Japon sur un total de 54.

Seulement huit unités seront encore en service mais deux supplémentaires doivent en outre être mises à l'arrêt avant la fin du mois, tandis que nul ne sait quand seront réactivées celles déjà stoppées.

La réduction de capacité de production électrique nucléaire force les entreprises et particuliers à minimiser leur consommation, et les compagnies à remettre en exploitation des centrales thermiques.

http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2011/12/07/japon-arret-d-un-reacteur-nucleaire-pour-cause-de-probleme-technique_1614362_3216.html#xtor=AL-32280515

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  • 2 weeks later...

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