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Frappes sur la Libye, le sujet officiel!


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L’information selon laquelle des combattants pro-Kaddafi avaient pris le contrôle de la ville de Bani Walid a été démentie par les autorités libyennes. Elles attribuent ces violences qui ont fait 5 morts et une trentaine de blessés à des "problèmes internes".

« Les informations que nous avons en provenance de l'intérieur de la ville ne disent pas qu'il y a des drapeaux verts et il n'y a rien qui soit lié à l'ancien régime », a-t-il ajouté, évoquant un différend entre habitants au sujet des compensations destinées aux personnes affectées par la guerre.

Un commandant militaire de la ville a, quant à lui, indiqué que les violences étaient à attribuer au refus de la brigade du 28 mai de libérer deux membres de la tribu des Tlatem, qu'elle avait « enlevés » quelques jours auparavant, alors qu’elle s’était engagée à le faire lundi.

« C'est alors qu'il y a eu des affrontements. Les gens encerclés dans la base ont peut-être dit qu'il s'agissait de pro-Kaddafi pour obtenir des renforts du reste des thowars » (ex-rebelles), a-t-il dit.

(AFP)

Trois mois après la mort de Muammar Kadhafi, le pays semble inexorablement sombrer dans le chaos. En à peine quatre jours, les autorités libyennes de transition ont essuyé quatre revers de taille, comme un symbole patent de leur échec. Samedi, le siège du Conseil national de transition (CNT) à Benghazi (est), pourtant berceau de la révolution, a été envahi par les manifestants, après avoir été visé par des grenades. Le lendemain, c'est le vice-président Abdelhafidh Ghoga qui a été contraint à la démission, après avoir été victime jeudi d'une agression à l'université de Ghar Younès.

(Lepoint.fr)

Le problème, c'est les bandes armées, le système clanique et la redistribution des richesses : personne ne veut rendre son arme, chacun veut faire justice soi-même et chacun estime avoir droit à plus que son voisin !  ça va pas être facile de mettre en place des élections...  >:(

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Une explication détaillée de la situation à bani walid, trés intéressant :

http://www.lefigaro.fr/international/2012/01/24/01003-20120124ARTFIG00741-situation-confuse-dans-un-ex-fief-kadhafiste.php

Cependant, tous les Warfallas n'ont pas rallié Kadhafi. Après la chute de Bani Walid, ceux d'entre eux qui avaient combattu dans les rangs rebelles se sont retrouvés de facto au pouvoir, chaque chef gardant ses hommes et ses armes pour asseoir son influence politique dans l'avenir. La brigade du colonel al-Ouaer avait adopté une politique plus conciliante envers les habitants, évitant de les stigmatiser comme «kadhafistes». L'affrontement entre les deux groupes n'était qu'une question de temps. Il aurait été déclenché par l'arrestation d'un proche de la brigade 93, laquelle a lancé un ultimatum à celle du 28-Mai. C'est ainsi que les combats auraient commencé. À cette occasion, racontent les habitants de Bani Walid, des civils nostalgiques de Kadhafi auraient sorti des drapeaux verts. Ajoutant un élément de plus à la confusion ambiante.

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Pro-khadafi veut dire la même chose que "baasiste" après 2003 en Irak, c'est un prétexte pour exclure un adversaire du champ politique.

Dans les réalité les combattants ne se battent pas pour khadafi mais pour leur région/clan, tout comme la guérilla irakienne ne battait pas pour Saddam (dont la mort n'a rien changé).

On a crée un foyer d'instabilité et de chaos durable au bord de la méditérranée avec cette initiative catastrophique d'intervenir (remontez les posts du fil à mars 2011: tout était déja dit).

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Pro-khadafi veut dire la même chose que "baasiste" après 2003 en Irak, c'est un prétexte pour exclure un adversaire du champ politique.

Dans les réalité les combattants ne se battent pas pour khadafi mais pour leur région/clan, tout comme la guérilla irakienne ne battait pas pour Saddam (dont la mort n'a rien changé).

On a crée un foyer d'instabilité et de chaos durable au bord de la méditérranée avec cette initiative catastrophique d'intervenir (remontez les posts du fil à mars 2011: tout était déja dit).

mode ironique :

on a fait mieux que les US ... ont fout le bordel sans avoir eu à occuper le pays avec des troupes au sol pendant 7 ans ...

je sors  :-[

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c'était une ou deux semaine après sa disparition, Des journalistes avaient pénétré dans les gigantesques dépôt d'armes libyens et montraient que tout le monde se servez  :P Il y avait meme des armes neuves qui étaient destinée officiellement a l'Egypte,

A la frontière entre l'Algérie et la Libye, a t'on fait de grosses prises de contrebande ?

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Ahh donc ça remonte à très longtemps.

Oui des prises se font presque chaque semaine, la plus grosse c'était ça

Ils ont même trouvés des turbines et des pales d'hélico Mi-8 chez des ferronniers à Ouargla, des pièces de rechange de missiles Scud et de SA-2 pour être fondu!! Quelque chose me dit de loué un camion et d'aller chercher un Mig-25 lol

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J'espere que tu vas pas mal le prendre, mais l'accent me fait exploser de rire, et puis la maniere d'enchainer arabe et francais :lol: :lol:  ;)

C'est tres inquietant, certaines armes vont vers l'Algerie, d'autres vers le Proche Orient, d'autres vers l'Afrique sub saharienne probablement, j'ai bien peur que ca finisse facon insurrection irakienne, avec une multitude de groupes armees atomises mais disposant chacun d'une reserve illimitee aux armes.

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Je ne sais pas si ce lien a été déjà posté, ça date un peu :

http://www.parismatch.com/Actu-Match/Monde/Actu/Libye-avec-les-pilotes-francais-de-Solenzara-265955/

"Interview" du pilote qui a détruit le Galeb à Misrata le 24 mars

Depuis 3 heures du matin, les briefings se succèdent dans la salle des opérations de la base aérienne 126 de Solenzara. Un seul étranger participe à ces réunions secret défense : le « flight lieutenant » Ian Abson. Dans la Royal Air Force, le capitaine « Abbo » est navigateur sur Tornado au sein du 15e Squadron. Détaché dans la chasse française, il vole sur Mirage 2000 D avec le capitaine Laurent, un gars souriant de Saint-Denis de La Réunion qui affiche 2 200 heures de vol après trois missions en Afghanistan. 6 h 45. L’heure de l’habillage pour un décollage à 8 heures. La pression commence à monter. Les visages sont fermés. Tous sont concentrés comme des toreros avant d’entrer dans l’arène. En guise d’habit de lumière, c’est la « glouglou » qu’ils enfilent par-dessus leur combinaison de vol à longue fermeture Eclair. Une tenue étanche, vert bouteille, qui se gonfle au contact de l’eau en cas de crash. Ensuite vient le tour du gilet de sauvetage. Dans les poches, un miroir, un téléphone satellitaire, de la poudre antirequins, une balise qui permet d’être repéré même inanimé, des cartes, un pistolet automatique avec plusieurs chargeurs. Chacun garde son bric-à-brac dans une boîte en carton. Pour se désaltérer, une bouteille d’eau de 33 centilitres et, suivant les goûts, un petit sandwich au fromage et/ou des barres protéinées. « Avant de décoller, j’ai toujours une petite boule à l’estomac. Mais quand c’est parti, elle disparaît. C’est la mission qui prime », explique le capitaine Laurent.

7 heures. Départ vers le tarmac. Mirage 2000 D et Rafale sont alignés devant les hangars. Autour s’affairent les pistards en gilet jaune et les spécialistes armement en tenue orange. La tradition est respectée, des inscriptions à la craie fleurissent sur les bombes : « Pour m’avoir gâché mon week-end ! », « Kadhafi, dans ton froc ! » Chaque pilote effectue sa check-list en faisant le tour de l’avion avec son mécano. Ce matin, le capitaine Renaud, lui, est « spare » : il se prépare au cas où un appareil chargé de la mission ne pourrait pas décoller. Comme les autres pilotes, il effectue une mission toutes les quarante-huit heures. Son dernier vol a été mouvementé. Ce jour-là, il vole vers Misrata, la ville martyre bombardée par les chars de Kadhafi. Sous les ailes de son Rafale, deux bombes de 250 kilos et deux missiles Mica antiaériens. Grâce aux caméras du pod d’observation, le capitaine et son coéquipier scrutent les mouvements militaires autour de la ville. Sur l’écran vidéo, ils voient défiler le champ de bataille à 10 kilomètres d’altitude. Descendre plus bas, c’est prendre un risque, car Kadhafi possède une panoplie de Sam, les fusées antiaériennes de l’ex-Union soviétique.

La grande crainte des pilotes est de tomber dans une zone sous contrôle ennemi

Elles ont été bombardées dès le premier jour. Mais il peut en rester encore. Soudain, l’opérateur de l’Awacs, l’avion PC bourré d’électronique, lui demande de se porter sur la piste militaire de Misrata. Un appareil de ­Kadhafi a été détecté en train de se diriger vers cette base, au mépris de la zone d’exclusion aérienne décrétée par l’Onu. Il s’agit d’un G-2E Galeb (« mouette », en français) fabriqué dans l’ex-Yougoslavie, qui permet des attaques au sol. Quand le Rafale du capitaine Renaud arrive en vue de la piste, le Galeb vient de s’immobiliser sur le parking. Le pilote entre les coordonnées dans sa bombe AASM, un long tube kaki de 250 kilos à guidage inertiel et GPS. Dans l’Awacs, un officier donne la « clearance », l’autorisation de tir validée à Paris, en un temps record, par l’état-major. Le capitaine tire sa bombe, qui ressemble à un missile. Sur son écran, il voit le Galeb libyen se désintégrer dans une gerbe jaune et noire. L’avertissement est clair. Aucun avion libyen ne doit décoller. La demi-douzaine d’autres Galeb alignés sur le parking sont laissés intacts ce jour-là.

Mais Kadhafi ne tient pas compte de l’avertissement. Voyant que les frappes des avions alliés déciment peu à peu son armée, laissant le champ libre aux rebelles pour reprendre un à un les terminaux pétroliers qu’ils avaient perdus, le Guide lance ses derniers moyens aériens dans la bataille. Il n’a plus que deux Mirage F1 et quelques Sukhoi en état de voler. Encore faut-il trouver les pilotes « kamikazes » qui accepteraient de se frotter aux appareils alliés. Restent les Galeb. En cinq minutes, ils peuvent décoller et tirer sur les insurgés de Misrata avant de retourner se poser. Kadhafi estime qu’ils pourront passer entre les mailles du filet. Mal lui en prend. Le 26 mars, la foudre s’abat à nouveau sur l’aéroport militaire de la troisième ville du pays. Au moins cinq Galeb et deux hélicoptères de combat MI-35 sont détruits par des bombes françaises. Mais les menaces ne sont pas pour autant écartées. La grande crainte des pilotes est évidemment de tomber dans une zone sous contrôle des troupes de Kadhafi. « Même là, affirme le capitaine Renaud à ses hommes, les Libyens qui soutiennent Khadafi sont minoritaires. Je ne suis pas sûr que vous serez maltraité si votre parachute vous entraîne de ce côté-là. » « L’argent peut-il jouer un rôle auprès des mercenaires ? » me demande le pilote. « Oui. La plupart des Tchadiens ou des Nigériens se sont enrôlés pour quelques dizaines de dollars par jour. Si vous en donnez plus, ce n’est pas impossible qu’ils vous laissent partir. Mais 500 dollars [350 euros environ], c’est peu », ajouté-je. Dans sa combinaison, chaque pilote emporte une petite liasse de dollars. Cinq cents en tout. En Afghanistan, l’enveloppe est de 2 000… 13 h 45. Retour de la patrouille. Les deux Mirage apparaissent en premier au-dessus de la mer. Les deux Rafale suivent quelques minutes après. Alignés devant leurs chariots, les pistards regardent en silence les avions se poser un à un, soulagés qu’ils soient tous rentrés.

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TRIPOLI (Reuters) - Deux bâtiments de la marine française sont arrivés mardi dans le port de Tripoli avec à leur bord du personnel chargé de participer à la formation de la marine libyenne et au déminage des ports pétroliers du pays, ont annoncé les autorités libyennes.

"Ces navires sont arrivés aujourd'hui à Tripoli pour entraîner nos officiers de marine et nous aider à nous équiper afin d'assurer la sécurité de nos côtes", a déclaré Ahmed Bani, porte-parole du ministère libyen de la Défense.

"Ces dragueurs de mines sont venus de France pour nous aider à nettoyer nos ports pétroliers des nombreuses mines mouillées par les forces de l'ancien régime", a-t-il ajouté.

Le port militaire de Tripoli a été bombardé par les forces de l'Otan pendant la guerre civile de l'an dernier, qui a conduit à la chute et à la mort de Mouammar Kadhafi, et le nouveau pouvoir libyen cherche à rebâtir une marine capable d'assurer le long des côtes la sécurité du trafic pétrolier.

Les pays occidentaux s'inquiètent par ailleurs du risque de voir se développer le trafic d'armes à partir de la Libye et craignent également l'arrivée par mer de migrants clandestins en Europe.

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  • 2 weeks later...

Un article sur une histoire bizarre, le Colonel à fait conservé dans une morgue à part un commando qui à essayer de l'envoyé dans l'autre monde en 1984; Celui ci avait détourné un camion poubelle pour entrer dans son QG avant de se faire abattre :

http://www.lefigaro.fr/international/2012/02/10/01003-20120210ARTFIG00611-la-morgue-secrete-de-mouammar-kadhafi.php

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Saadi Kadhafi prévient le CNT qu'un «soulèvement» est imminent

Saadi Kadhafi, l'un des fils du dirigeant déchu Mouammar Kadhafi, a prévenu vendredi qu'un «soulèvement imminent» allait se produire en Libye, et s'est dit en contact régulier avec diverses personnes mécontentes des nouvelles autorités du pays, selon un entretien diffusé par la chaîne Al Arabiya.

Joint par téléphone au Niger, où il s'est réfugié après la prise de Tripoli en août 2011, par les forces du Conseil national de transition (CNT), Saadi Kadhafi a également affirmé vouloir rentrer en Libye. «Tout d'abord, ce ne sera pas un soulèvement limité à certaines zones. Il couvrira toutes les régions de la Jamahiriya. Cette révolte existe, je la suis et j'en suis le témoin alors qu'elle grandit de jour en jour», a-t-il déclaré, employant le nom donné à la Libye sous le régime de son père, tué en octobre peu après sa capture par le CNT.

«Des contacts quotidiens avec la Libye»

«Nous devons exercer une pression pour changer la situation, et extirper le mal qui se trouve en Libye. Nous ne savons pas ce que c'est, des élections. Nous sommes une nation musulmane», a-t-il poursuivi. Ancien footballeur reconverti dans les affaires, Saadi Kadhafi s'est dit en contact avec de nombreux informateurs en Libye.

«Du Niger, j'ai des contacts quotidiens avec la Libye, et ces personnes ne se contenteront pas de lancer la révolte, elles suivent où en sont nos tribus, nos proches et le peuple», a-t-il ajouté. «La situation du peuple se détériore. Je suis en contact avec les milices, avec les tribus, avec le CNT et l'armée nationale. Je peux confirmer que plus de 70% des gens qui se trouvent en Libye, qu'ils soutiennent la révolution du 17 février ou pas, ne sont pas satisfaits du tout de la situation, et sont prêts à agir pour la changer.»

www.20minutes.fr/ledirect/877764/libye-saadi-kadhafi-previent-cnt-soulevement-imminent

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Il y avait plusieurs reportages sur la Libye hier et aujourd'hui et on voit que les "héros" de Misrata n'ont rien à envier à leurs ex-bourreaux :

- exécutions sommaires en grand nombre ( en centaines au minimum )

- des milliers de prisonniers

- torture

- racisme contre les populations noires

- destruction totale d'une ville voisine ( Tawergha je suppose )

C'est beau la démocratie post-Kadhafi ........

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Il y avait plusieurs reportages sur la Libye hier et aujourd'hui et on voit que les "héros" de Misrata n'ont rien à envier à leurs ex-bourreaux :

- exécutions sommaires en grand nombre ( en centaines au minimum )

- des milliers de prisonniers

- torture

- racisme contre les populations noires

- destruction totale d'une ville voisine ( Tawergha je suppose )

C'est beau la démocratie post-Kadhafi ........

( En me faisant l'avocat du diable) Vous connaissez d'autres révolutions qui n'ont pas débouchées sur des dérives, massacres mais sur une belle démocratie avec toutes les institutions qui vont avec? Il y a toujours un moment de flottement après une révolution, où au nom de la continuité de l'Etat on garde les mêmes institutions, dénoncées lors de la révolution, en changeant simplement le nom. Il faut laisser Darwin bosser et faire émerger un individu assez charismatique et fort pour mettre de l'ordre dans tout ça. Il faut du temps pour que la révolution enterre l'ancien régime et fonde ses institutions propres.

Le problème, pour le cas Libyen, vient de l'absence de culture démocratique dans ce pays, de leur proximité avec l'Europe et de l'influence croissante des acteurs comme le Qatar ou l'Arabie qui appuient chacun des camps d'islamistes radicaux.

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Il n'y a pas encore eu d'élection. On est toujours dans la période "épuration".

Personne n'a appris aux libyens comment régler leurs problèmes sans passer par la violence. Un état de droits ça se construit sur le long terme pas en quelques mois.

TRIPOLI (Reuters) - Les autorités libyennes ont envoyé des troupes dans l'oasis de Koufra, théâtre depuis plusieurs jours d'affrontements tribaux meurtriers, a annoncé samedi le chef des forces armées.

Les violences qui opposent depuis la semaine dernière les zwai aux toubous ont déjà fait des dizaines de morts, selon les deux parties.

Les miliciens de la tribu zwai accusent les combattants toubous de vouloir s'emparer de l'oasis avec l'appui de mercenaires venus du Tchad voisin, ce que les intéressés nient fermement.

Interrogé au téléphone par la télévision d'Etat libyenne, le chef des forces armées, Youssef al Mangoush, a lui aussi démenti la présence de forces étrangères dans cette région désertique et isolée.

"C'est un problème entre deux tribus, dont les racines plongent dans le passé. Ce n'est pas un conflit ethnique", a-t-il dit. "Nous avons déployé des troupes sur le terrain."

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