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[SpaceX] Programme Starship et autres innovations


alexandreVBCI
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L'ex-DG de l'Agence spatiale européenne dit que la notion d'échec n'a pas la même valeur quand on travaille dans le public et le privé

https://www.businessinsider.fr/jean-jacques-dordain-dit-notion-echec-differences-public-prive

SpaceX a une année chargée devant elle, avec notamment un lancement majeur : la navette Crew Dragon, censée, à terme, transporter des astronautes vers la Station spatiale internationale (ISS), devrait effectuer son baptême de feu d'ici la fin de l'année 2019. 

Pour autant, Elon Musk, patron de SpaceX, a d'ailleurs d'ores et déjà prévenu que ce vol sera particulièrement "dangereux", en raison de la présence de nouveau matériel. 

Il est donc possible que ce lancement soit un échec — et ça ne serait pas une première pour SpaceX.

Selon Jean-Jacques Dordain, ancien directeur général de l'Agence spatiale européenne (ESA) de 2003 à 2015, "Elon Musk n'a pas peur des échecs car l'échec n'a pas la même valeur suivant que vous travaillez dans une agence publique (ESA ou NASA) ou dans le privé" : 

"Dans un monde où la peur du risque est grande, un échec dans le public est assimilé à un gaspillage de l'argent du contribuable. Par contre, dans le privé, la valeur est dans le progrès, même en cas d'échec."

Et peu importe si le milliardaire tech repousse la date de lancement de ses nouveaux produits.

"C'est une communication maîtrisée qui démontre sa transparence et l'ambition de ses objectifs. Il est en retard mais la révolution est au rendez-vous. C'est cette maîtrise qui fait l'attractivité d'Elon Musk vis-à-vis des investisseurs", ajoute celui qui est devenu conseiller du gouvernement luxembourgeois dans le domaine spatial.

Le patron de SpaceX a notamment annoncé que le premier voyage vers Mars sans équipage se fera en 2022 et un autre avec des astronautes à bord en 2024, mais certains experts ont affirmé que son projet était proche de la "science-fiction".

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Damned, encore raté ! :laugh:  Mais de vraiment très très peu cette fois...

 

Dernier test de récupération d’une demi-coiffe probablement larguée d’un hélicoptère à l’aide d’un bateau - Mr Steven - équipé de quatre bras supportant un filet géant surélevé :

 

Vu le résultat cette fois-ci, la prochaine sera la bonne.

Modifié par TarpTent
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il y a 27 minutes, TarpTent a dit :

Damned, encore raté ! :laugh:  Mais de vraiment très très peu cette fois...

 

Dernier test de récupération d’une demi-coiffe probablement larguée d’un hélicoptère à l’aide d’un bateau - Mr Steven - équipé de quatre bras supportant un filet géant surélevé :

 

Vu le résultat cette fois-ci, la prochaine sera la bonne.

Damned c'était vraiment pas loin!

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des infos , sur a la durée du test et délivre combien de puissance en poussée à vide

Raptor c'est 3500KN d'après wiki, la moitié d'un moteur F1 d'une saturne 5

mais j'ai entendu qu'il commencait à moitié de la puissance, meme stratégie que pour le Merlin 

un RD180 cest 4152 KN

un BE4 2400KN

un RS 2280KN 

notre petit vulcain, 1340KN

 

Modifié par zx
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il y a 57 minutes, zx a dit :

des infos , sur a la durée du test et délivre combien de puissance en poussée à vide

Raptor c'est 3500KN d'après wiki, la moitié d'un moteur F1 d'une saturne 5

mais j'ai entendu qu'il commencait à moitié de la puissance, meme stratégie que pour le Merlin 

un RD180 cest 4152 KN

un BE4 2400KN

un RS 2280KN 

notre petit vulcain, 1340KN

 

Pour la durée du test, c’est assez simple, les vidéos que j’ai postées la présentent dans sa totalité :laugh:

En clair, c’est simplement une première mise à feu. Il faudra attendre un peu quand même pour qu’ils le fassent monter en puissance et l’essayent dans la durée.

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Pas forcément, on a vu un test, de quelques secondes, un parmi une série possible avec plusieurs moteur. difficile à voir, ils ont l'air plutôt pressés. j'ai du mal à comprendre cette précipitation, comme si il voulait battre le SLS à la course.

on voit juste un fire up stop.

Citation

 Le 4 février, SpaceX a annoncé dans un compte Instagram que le moteur avait tiré à 60% de sa poussée nominale, le plus haut niveau jamais atteint par un moteur SpaceX, avec une pression de chambre de 170 bars.

ca fait 2100KN, ca serait pas mal.

Citation

Once testing in McGregor is complete, the Raptor will be shipped to the South Texas site to be installed on the Starship hopper test article there, with two other engines expected to follow. Musk said in early January that test flights there could begin in four weeks, “which probably means 8 weeks, due to unforeseen issues.”

 

Modifié par zx
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Si ArianeGroup et l'ESA envisagent une mission à destination de la Lune, lancée par Ariane 6 à l'horizon de quelques années, le Falcon 9 de SpaceX s'apprête à lancer le lander lunaire de SpaceIL Technology. Ce lander embarquera comme passager auxiliaire d'un vol commercial prévu le 18 février.

SpaceIL s'apprête à devenir la première société privée à atterrir sur la Lune !

https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/lune-spaceil-apprete-devenir-premiere-societe-privee-atterrir-lune-74910/

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La certification de SpaceX intrigue le Pentagone

Le groupe d'Elon Musk est dans la tourmente à cause de son premier client : le gouvernement américain, qui enquête sur un sésame accordé par l'US Air Force.

https://www.lepoint.fr/high-tech-internet/la-certification-de-spacex-intrigue-le-pentagone-13-02-2019-2293164_47.php#xtor=CS3-190

Citation


Elon Musk a dû perdre le sourire, au moins quelques instants, en découvrant que le Pentagone avait lancé une enquête sur la certification de son géant spatial SpaceX pour les lancements militaires américains. Le sésame donné par l'US Air Force en 2015 pourrait, selon le bureau de l'inspecteur général du ministère de la Défense, avoir été accordé en dehors des clous. « Notre objectif est de déterminer si l'US Air Force a respecté le Guide de certification des nouveaux systèmeslors de la certification des fusées Falcon 9 et Falcon Heavy », explique le bureau de l'inspecteur général dans un mémo cité par Bloomberg. Ces deux lanceurs sont les seuls actuellement mis en œuvre par SpaceX.

L'enquête doit commencer courant février et durera probablement plusieurs mois. Elle n'a pas été déclenchée par un signalement ou une dénonciation, selon le bureau de l'inspecteur général, dont la porte-parole évoque auprès de Defense News « une initiative » de ses équipes. La nouvelle a dû être amère pour SpaceX, très largement soutenue par l'administration américaine, qui non seulement lui a accordé des commandes généreuses, mais lui a aussi transmis des décennies de recherches de la Nasa pour le développement de ses moteurs, notamment.

Des contrats cruciaux pour SpaceX

La certification en 2015 de SpaceX pour les vols militaires américains a été une étape cruciale dans le développement du premier acteur privé du secteur, passé devant l'Européen Arianespace depuis 2017. Les commandes gouvernementales américaines sont une source majeure de revenus pour SpaceX, dont le modèle économique serait en péril si le Pentagone décidait de revoir sa certification.

Il est cependant peu probable que l'exécutif laisse un tel séisme se produire : Washington n'était pas satisfait de la situation de quasi-monopole dont jouissait jusqu'alors United Launch Alliance, coentreprise entre Boeing et Lockheed Martin qui met en œuvre les lanceurs Atlas V, Delta II et Delta IV. Le gouvernement a récemment confié à SpaceX ses lancements les plus stratégiques, avec, par exemple, le drone spatial X-37B en 2017 et le lancement d'un satellite GPS nouvelle génération en décembre 2018.

 

 

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SpaceX accuse son rival Arianespace de concurrence déloyale

La société spatiale d'Elon Musk estime que l'Europe, et la France en particulier, subventionne le géant de l'espace européen, le rendant «déloyalement» compétitif. Elle demande à l'administration Trump de sévir dans le cadre des négociations commerciales avec Bruxelles.

http://www.lefigaro.fr/societes/2019/02/21/20005-20190221ARTFIG00093-spacex-accuse-son-rival-arianespace-de-concurrence-deloyale.php

Citation

SpaceX ouvre un nouveau front dans la guerre de l'espace livrée contre Arianespace. La société américaine, fondée par le patron de Tesla, Elon Musk, accuse son grand rival européen de concurrence déloyale. Dans un courrier adressé au département du Commerce américain, que Les Échos révèlent ce jeudi, elle affirme que «les subventions de l'Union européenne et du gouvernement français réduisent artificiellement le prix des services de lancement d'Arianespace sur le marché international et permettent à leurs fusées d'être déloyalement compétitives». L'entreprise californienne affirme que l'Agence spatiale européenne (ESA) a versé 13,2 milliards d'euros d'aides entre 1998 et 2012. SpaceX pointe aussi du doigt les subventions versées à la base de Kourou, en Guyane.

Dans son courrier, SpaceX exhorte Washington à agir pour mettre fin à ces pratiques. L'entreprise souhaite que l'administration Trump se saisisse des négociations commerciales en cours pour passer à l'action. L'Union européenne et les États-Unis se sont en effet engagés à travailler en faveur d'un accord de libre-échange. Dans ce cadre, «il faudrait un accord qui garantisse qu'Arianespace ne reçoive pas de traitement préférentiel et que les membres de l'Union ne discriminent pas les fournisseurs non européens», précise l'entreprise américaine.

 

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Il y a 1 heure, Castor a dit :

SpaceX accuse son rival Arianespace de concurrence déloyale

La société spatiale d'Elon Musk estime que l'Europe, et la France en particulier, subventionne le géant de l'espace européen, le rendant «déloyalement» compétitif. Elle demande à l'administration Trump de sévir dans le cadre des négociations commerciales avec Bruxelles.

http://www.lefigaro.fr/societes/2019/02/21/20005-20190221ARTFIG00093-spacex-accuse-son-rival-arianespace-de-concurrence-deloyale.php

OH MON DIEU LA BLAGUE. :bloblaugh:

 

Citation

Le financement public dans le secteur de l'espace est pourtant incontournable tant cette industrie revêt des enjeux de sécurité et de défense, industriels et économiques mais aussi sociétaux et de rayonnement politique. Les financements consacrés par l'Europe à ce secteur stratégique sont d'ailleurs bien inférieurs à ceux des États-Unis, soulignait récemment la Cour des comptes dans un rapport. Les Américains disposent du plus important budget spatial civil au monde: 19,5 milliards de dollars en 2018 pour la NASA contre 5,6 milliards d'euros pour l'ESA. Ironie de l'histoire: SpaceX en est largement bénéficiaire. La Nasa, le Pentagone ou encore l'US Air Force représentent 75% de son carnet de commandes alors que pour Arianespace, les commandes institutionnelles de la Commission européenne, de l'Agence spatiale européenne (ESA) ou des agences nationales, ne pèsent que 30%.

Sacré Elon.

Ah si seulement Macron avait la même verve que Trump sur Twitter. La discussion pourrait devenir très amusante. :laugh:

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il y a 36 minutes, Patrick a dit :

OH MON DIEU LA BLAGUE. :bloblaugh:

Sacré Elon.

Ah si seulement Macron avait la même verve que Trump sur Twitter. La discussion pourrait devenir très amusante. :laugh:

C'est marrant parce que sur un autre topic espace (Mars en l’occurrence) on parlait de l'implication de Musk en politique, la il a les pieds dedans plutôt franchement.

Cela peut-il écorner d'avantage son image, c'est d'ailleurs assez peu raccord avec sa fougue et son inventivité marketing légendaire.

Modifié par Castor
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Il y a 6 heures, zx a dit :

on dirait qu'il devient nerveux le E. Musk;

Je pense que ça ne se passe pas tout a fait comme il aurait voulu oui. Du coup tenter sa chance cote Trump, y'a peu de chance que ça fonctionne mais ça coute pas grand chose d'essayer.

Il y a 5 heures, Castor a dit :

C'est marrant parce que sur un autre topic espace (Mars en l’occurrence) on parlait de l'implication de Musk en politique, la il a les pieds dedans plutôt franchement.

Cela peut-il écorner d'avantage son image, c'est d'ailleurs assez peu raccord avec sa fougue et son inventivité marketing légendaire.

Il a toujours prit soin d'avoir une présence assez importante a Washington. Si ma mémoire est bonne il avait - il y a quelques années - le plus gros budget de lobby parmi les compagnies spatiales. Ça nous rappel aussi que les gros de son argent ne vient pas du privée mais des contrats étatiques (subventions, crédit d’impôts, contrats de devs, contrats de lancements, etc.).

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Dans Popular Mechanics, E. Musk explique pourquoi il veut construire une fusée en acier:

Révélation

So SpaceX is making a huge rocket out of stainless steel. As far as we know, this marks the first time the material has been used in spacecraft construction since some early, ill-fated attempts during the Atlas program in the late 1950s. (...)
 Musk (...)  sat down with Popular Mechanics editor in chief Ryan D’Agostino at SpaceX headquarters in Hawthorne, California, for an exclusive interview in which he discussed, in great detail, the thinking behind the change. He talked about a lot more than that—we’ll be bringing you more soon. For now, here’s what he said about the big change.

Ryan D’Agostino: You’ve been busy redesigning Starship.
Elon Musk: Yes. The design of Starship and the Super Heavy rocket booster I changed to a special alloy of stainless steel. I was contemplating this for a while. And this is somewhat counterintuitive. It took me quite a bit of effort to convince the team to go in this direction. (...)
But now I believe they are convinced—well, they are convinced. We were pursuing an advanced carbon-fiber structure, but it was very slow progress, and the cost per kilogram of $135. And then there’s about a 35 percent scrap rate—you cut the fabric, and some of it you can’t use. (...)

RD: How does stainless steel compare?
EM: The thing that’s counterintuitive about the stainless steel is, it’s obviously cheap, it’s obviously fast—but it’s not obviously the lightest. But it is actually the lightest. If you look at the properties of a high-quality stainless steel, the thing that isn’t obvious is that at cryogenic temperatures, the strength is boosted by 50 percent.
Most steels, as you get to cryogenic temperatures, they become very brittle. (...)  That’s true of most steels, but not of stainless steel that has a high chrome-nickel content. That actually increases in strength, and ductility is still very high. So you have, like, 12 to 18 percent ductility at, say, minus 330 degrees Fahrenheit. Very ductile, very tough. (...)

RD: So some materials can stop their own fissures.
EM: Yeah, like for example ceramic—like a coffee cup—is bad at arresting cracks. Once the crack starts, it’s like glass. (...)
Stainless steel was something that was used in the early Atlas days. (...) . Now the flaw (...) was that the material was so thin that it would collapse under its own weight. (...)
There’s a trick here, though, which I think is quite important, when you consider this as a reentry vehicle. See, here’s the other benefit of steel: It has a high melting point. (...) . So typically aluminum or carbon fiber, for a steady-state operating temperature, you’re really limited to about 300 degrees Fahrenheit. (...)
But steel, you can do 1500, 1600 degrees Fahrenheit.

RD: Do you have a whole metallurgy team here?
EM: We do have a great materials group, but initially we will simply use high-quality 301 stainless. There’s an important other thing that makes a big difference. For ascent you want something that’s strong at cryogenic temperatures. For entry, you want something that can withstand high heat. So the mass of the heat shield is driven by the temperature at the interface between the heat shield tiles and the air frame. (...)
With steel, now you’ve got something where you can comfortably be at a 1500 F interface temperature instead of, say, a 300 F, so you have five times the temperature capability at interface point. What that means is that for a steel structure, the leeward side of the back shell does not need any heat shielding.
On the windward side, what I want to do is have the first-ever regenerative heat shield. A double-walled stainless shell—like a stainless-steel sandwich, essentially, with two layers. You just need, essentially, two layers that are joined with stringers. You flow either fuel or water in between the sandwich layer, and then you have micro-perforations on the outside—very tiny perforations—and you essentially bleed water, or you could bleed fuel, through the micro-perforations on the outside. (...) . But you use transpiration cooling to cool the windward side of the rocket. (...) But one side will be double-walled and that serves a double purpose, which is to stiffen the structure of the vehicle so it does not suffer from the fate of the Atlas. You have a heat shield that serves double duty as structure. (...)
To the best of my knowledge this has never been proposed before. (...)

RD: Where will the steel come from?
EM: It’s just 301 stainless. Let me put it this way: 304 stainless is what they make pots out of. There’s plenty of it.

RD: What will this do to your schedule?
EM: It will accelerate it.

RD: Because it’s easier to work with?
EM: Yes. Very easy to work with steel. Oh, and I forgot to mention: The carbon fiber is $135 a kilogram, 35 percent scrap, so you’re starting to approach almost $200 a kilogram. The steel is $3 a kilogram. (...)

https://www.popularmechanics.com/space/rockets/a25953663/elon-musk-spacex-bfr-stainless-steel/

Un point m'interpelle: je croyais que la future fusée de SpaceX utiliserait du méthane comme carburant. Ils pourraient aussi l'utiliser pour la refroidir?

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