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Le Maroc: politique interieur.


Messages recommandés

Une introduction tirée de universalis, que j'aime bien

Le Maroc, pays du soleil couchant, offre, dans l'ensemble de l'Afrique du Nord, une histoire originale. Il la doit sans doute à la puissante personnalité de ses peuples restés tout au long des siècles moins marqués des influences extérieures, notamment arabe, que l'Algérie et la Tunisie, mais tout autant à de vigoureux traits géographiques.

Le Maroc océanique est largement ouvert vers l'ouest, mais une avancée du plateau central le sépare en deux bassins communiquant malaisément par le « pont de Rabat ». Le Maroc saharien est pauvre, périodiquement surpeuplé, marqué par le contraste des oasis et des grands espaces. Entre ces deux régions se dresse la montagne qui est un écran troué de passes plus ou moins aisées, où « la liberté s'est toujours maintenue sauvage et altière ».

Ces ensembles juxtaposés, sans point de convergence, ont joué chacun leur rôle dans l'histoire du Maroc.

Entre les arcs montagneux, le désert et l'Océan, frangé par la barre, le Maroc forme comme une île aux liaisons précaires. Comme dans toute la partie méridionale du bassin méditerranéen, nomades et sédentaires se sont affrontés au cours des siècles, cependant qu'à partir de la conquête arabe l'islam a marqué de ses traits propres la vie politique et sociale avec l'importance du pouvoir d'allégeance, l'absence de règle fixe de succession, le rôle des hérésies, des réformes et des confréries religieuses.

Bien qu'elle soit originale et qu'elle comporte de nombreux traits d'insularité, l'histoire du Maroc n'est pas celle d'un pays isolé, et l'on y retrouve les fluctuations de l'histoire mondiale : formation des grands empires de l'Antiquité, islamisation de la Méditerranée méridionale, influences des grandes découvertes, de l'impérialisme européen et de la décolonisation.

Le Maroc moderne illustre bien cette situation : cadre d'une lutte pour l'indépendance, acquise en 1956, il conserve cependant la structure de pouvoir monarchique antérieure à l'établissement du protectorat français. Bien que favorisé sur le plan des richesses minières et des conditions climatiques par rapport à ses voisins maghrébins, il connaît comme eux les difficultés propres aux pays héritant de la colonisation une infrastructure industrielle orientée vers la métropole, plaquée sur une base agricole en crise.

De même lui faut-il échapper au cercle du sous-développement, rester maître de ses destinées et affirmer sa personnalité : y parviendra-t-il par la voie du libéralisme économique, présentement adoptée par ses dirigeants ou par une autre option ? Ces choix semblent commander son avenir pour une longue période.

Jean-Louis MIÈGE,

E.U.

© Encyclopædia Universalis 2010, tous droits réservés

Le Maroc est le seul pays africain à ne pas faire partie de l'Union africaine, mais il cherche à consolider ses relations avec l'Union européenne, il s'est vu octroyer en 2008 un « statut avancé » auprès de l'UE. Le 15 mai 2009, il a rejoint le Centre Nord-Sud du Conseil de l'Europe.

En juin 2004, en reconnaissance des liens étroits qui unissent les deux pays et en appréciation du soutien résolu du Maroc à la guerre contre le terrorisme, le président des États-Unis désigna le Maroc comme l'un des alliés majeurs hors-OTAN. En plus d'une invitation du CCG pour le rejoindre.

Pays pauvre mais riche en culture et Fier. Avec un peuple chaleureux généreux et travailleurs.

Le Roi Mohammed VI, SAR lalla salma et le Prince Heritier My El Hassan

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On traitera ici (si les modos le permettent) de la vie sociale, politique et économique du royaume

Edit de Fenrir: J'ai modifié le titre afin de le recadrer et éviter de faire le côté "carte touristique" qui n'a pas sa place sur le forum.

Ok pour un débat sur l'armée Marocaine, la stratégie de défense de l'Etat et la gestion de sa population mais il faudra éviter que cela vire à la carte postale.

Pas besoin de dire que toute l'équipe de ce forum garde un oeil pour éviter la 15ème guerre Algéro-Marocaine.

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Je commence par le secteur du transport, il y a quelque jour la ville de rabat vient de se doter du tramway avec 20km de longueur sur 2 lignes, le marché été rapporté par alstom avec ses wagon citadis

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Celui de casablanca est en cours, avec citadis comme voiture aussi

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Le Maroc est le seul pays africain à ne pas faire partie de l'Union africaine, mais il cherche à consolider ses relations avec l'Union européenne, il s'est vu octroyer en 2008 un « statut avancé » auprès de l'UE. Le 15 mai 2009, il a rejoint le Centre Nord-Sud du Conseil de l'Europe.

En juin 2004, en reconnaissance des liens étroits qui unissent les deux pays et en appréciation du soutien résolu du Maroc à la guerre contre le terrorisme, le président des États-Unis désigna le Maroc comme l'un des alliés majeurs hors-OTAN. En plus d'une invitation du CCG pour le rejoindre.

Pourquoi il n'est pas dans l'UA? Quelles en sont les raisons?

Volonté du pays ou refus d'autres états?

Pays pauvre mais riche en culture et Fier. Avec un peuple chaleureux généreux et travailleurs.

Bon, ça fait un peu Club Med. Je connais pas de pays inhospitalié peuplé de gros c*ns. ,)
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le réseau ferroviaire maroc dispose de l'un plus important réseau en Afrique avec 2120 KM qui sera doublé d'ici 2030 et va être rallongé de 320KM avec la venu du TGV en 2015 . L’activité Voyageurs à enregistrée 31 millions de clients transportés.

Pour les trains nous avons ceux AnsaldoBreda, A Finmeccanica Company

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Et de locomotive Prima d'Alstom

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en attendant le TGV avec un schéma directeur qui prévoit la construction d’un réseau de 1500 km à l’horizon 2030.

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Un projet de renovation des gares. l'exemple de marakech entre autres

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Pourquoi il n'est pas dans l'UA? Quelles en sont les raisons?

Volonté du pays ou refus d'autres états?

Bon, ça fait un peu Club Med. Je connais pas de pays inhospitalié peuplé de gros c*ns. ,)

apres que l'OUA, ai accepté comme membre le polisario, le Maroc s'est retiré de cette organisation. la situation perdure avec l'UA.

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Pourquoi il n'est pas dans l'UA? Quelles en sont les raisons?

Volonté du pays ou refus d'autres états?

Bon, ça fait un peu Club Med. Je connais pas de pays inhospitalié peuplé de gros c*ns. ,)

:happy:  ca existe.

J'ai ecris pauvre des le debut parce que c'est la verite, et comme ca certains me laisseront tranquil, je leur laisse la richesse  :lol:

Sinon apres le reconnaissance du polisario le Maroc s'est retiré de l'UA meme s'il été un membre fondateur de l'OUA, et à vrai dire sans repercussion sur le Royaume.

Je t'invite Serge a venir, mon pays qui est pauvre a besoin de touriste pour payer les futures Rafale  =D

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le réseau ferroviaire maroc dispose du plus important réseau en Afrique avec 2120 KM qui sera doublé d'ici 2030 et va être rallongé de 320KM avec la venu du TGV en 2015.

Je dois avoir 20ans de retard mais je croyais que c'était l'Afrique du Sud. Ils n'auraient donc plus 20% du réseau africain?
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Je dois avoir 20ans de retard mais je croyais que c'était l'Afrique du Sud. Ils n'auraient donc plus 20% du réseau africain?

je pense qu'il vaut parler du transport de passager.

société publique Transnet Freight Rail est la voie de chemin de fer et le transporteur le plus important d’Afrique australe avec un réseau ferroviaire d’environ 22 000 km, dont 1 500 km sont des voies de transport. Les infrastructures ferroviaires de la société qui relient les ports au reste de l’Afrique du Sud représentent environ 80 % du total de l’Afrique.

http://www.southafrica.info/overview/francais/transport.htm

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Je t'invite Serge a venir, mon pays qui est pauvre a besoin de touriste pour payer les futures Rafale  =D

Très sympa merci mais au delà de 10o je fond.

Pour l'argent, investissez d'abord dans vos centres universitaire, les infrastructures industriels et l'agriculture. Après achetez des F-18, c'est moins cher.

Ça y est, je vais me faire sortir du forum....

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Très sympa merci mais au delà de 10o je fond.

Pour l'argent, investissez d'abord dans vos centres universitaire, les infrastructures industriels et l'agriculture. Après achetez des F-18, c'est moins cher.

Ça y est, je vais me faire sortir du forum....

C'est ce qu'on fait

Université al akhawayene ( anglophone)  http://www.aui.ma/

L'Université Internationale de Rabat  (double diplome science po grenoble)  http://portail.uir.ma/

J'ai la mermoire defaillante je t'ai apporté que ces deux la, ils sont prestigieuses.

pour le classement en afrique on est pas mal, tu crois pas surtout pour un pays pauvre.

http://africdossier.oldiblog.com/?page=lastarticle&id=2036961

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Ah le Maroc...

Pays qui m'a profondément marqué et dont parfois j'ai un peu la nostalgie pour avoir habité Rabat et Casa...

Le Maroc a pas mal d'atouts, dont une classe moyenne bien formée ( certainement pratiquement comparable à la classe moyenne française) , une élite très cultivée et ouverte sur le monde,  un tissu industriel loin d'être négligeable, et une manne touristique bien réelle...

malheureusement dans le même temps les Marocains manquent parfois un peu d'ambition, et surtout ils ne croient pas en eux à de nombreux niveaux, cela est dommage, et se ressent sur un certain nombre de PME marocaines, et même sur de plus grands groupes à différents niveaux...

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Pour l'autoroute A ce jour, le réseau d'ADM compte 1097 km d'autoroutes en service et 492 km en construction, et 272 km en projet.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_autoroutes_du_Maroc

Pour l'agriculture, Pour les barrages nous avons une capacité de plus de 14 Milliard M3, et en reserve effectif plus de 10 milliards, pour une cinquantaine de barrage, sachant que le Maroc programme de contruction de barrage (2-3 par an jusqu'a 2020 si ma memoire est bonne)

L'industrie agroalimentaire est assez developpé au Maroc, c'est pas notre point faible en tout cas

.....

Tu sais y a bcp de chose a dire mais je suis epuisé  :-[

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J'ai passé une petite semaine à Marrakech durant ce mois de mai.

Voici le mail perso que j'ai envoyé à mes amis pour leur décrire mon ressentie durant mon séjour.

"Après une semaine passé dans la grisaille de Marrakech, me revoilà plongé dans le beau soleil de Paris !

Oui, vous avez bien lu ! Il a fait moche à Marrakech et je reviens de la piscine auquel j'ai fait un bain de soleil ! Le monde à l'envers ! lol

Sinon, ce séjour avec les potes s'est super bien passé et on a pu enfin visiter cette ville dont on m'avait dit tant de bien ..Rien à dire, Marrakech est une belle ville !

On voit que les marocains ont su conserver le patrimoine architecturale de cette ville historique et on a surtout profiter de la gastronomie marocaine et ....française !

Ca fait plaisir de manger des plats que l'on a pas l'habitude de déguster pour pas trop cher.

On a aussi fait un petit tour à Ouarzazate et visiter les fameux studios de cinema et vu les décors de Asterix, mission cleopatre, Gladiator , Kundum et Kingdom of Heaven ...

Malheureusement, on a pas fait d'activité (Quad, Buggy, chameau etc) car tout est cher mais je me suis offert quand même 2 hammams, gommage dont un avec tout les potes.

Les gros point positif, c'est le sens de l'acceuil des gens, le sens du service, la variété des resto, le charme de la ville  et ses beaux jardins, le taxi pas cher, l'ambiance de la place jemma elfna .

Les points négatifs, le délabrement des trottoires à l'extérieure des ramparts et une mendicité un peu trop insistante et voyante.

La bonne surprise est que l'on a pu se ballader au souk sans se faire harceler par les commerçants mais niveau marchandage, c'est pas la tunisie ! Ils sont durs les marocains en affaire car même un simple t-shirt, il a cherché à me le vendre hors de prix!

Il ne m'a manque que le soleil mais d'un autre côté c'est pas plus mal car cela nous a permis de visiter la ville à une température agréable.

En tout cas, c'est une ville à visiter et je pense y retourner un jour .

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:happy:  ca existe.

Je t'invite Serge a venir, mon pays qui est pauvre a besoin de touriste pour payer les futures Rafale  =D

Je suis d'accord avec Serge, Le Maroc a d'autres priorités que de se payer ces avions hors de prix avec une économie aussi faible.

M6 a eu tord de dépenser une petite fortune à crédit en F16 neuf.

Par contre, le Maroc aurait très bien pu faire respecter sa souveraineté aérienne en achetant par exemple moitié prix, les Mirage 2000-9 émirati qui sont encore de vraie pepite de technologie (au faible "kilomérage") et qui aurait pu tenir tête largement au Sukhoi 30 algérien.

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Je suis d'accord avec Serge, Le Maroc a d'autres priorités que de se payer ces avions hors de prix avec une économie aussi faible.

M6 a eu tord de dépenser une petite fortune à crédit en F16 neuf.

Par contre, le Maroc aurait très bien pu faire respecter sa souveraineté aérienne en achetant par exemple moitié prix, les Mirage 2000-9 émirati qui sont encore de vraie pepite de technologie (au faible "kilomérage") et qui aurait pu tenir tête largement au Sukhoi 30 algérien.

Avec la modernisation des mf-2000 c'été hors de question de prendre les 2000 on voulait les Rafales, Sinon pour les f16 en plus du crédit a long terme les usa ont accorde au Maroc une aide de 700 millions$ via le Millénium Challenge Corporation.

Ça donne un crédit garanti par les usa plus une aide de 700 millions$ pour 24 avions block50-52 neuf les meilleurs (après les 60 des uae) je m'excuse mais c'est vraiment une bonne affaire.

Malgré notre pauvreté le niveau d’endettement avoisine les 60% du PIB donc (on est aux Normes européennes  =D mieux que certains pays europeens), l’économie se développe est le taux de croissance sera de l'ordre de 4,5% cet année inchalah, nous avons multiplie par 3 notre pib entre 2000 et 2010 et on est a 104 milliard$ de PIB, et selon des experts on vise 200 milliard$ vers 2017 si on continu sur la meme cadence (5% de croissance minimum) , ca donne une marge de manoeuvre pour acquérir le top pas du second hand.

Le Maroc a fait sa transition démographique (selon Todd) les 20 prochaines années seront plein de défis mais surtout de croissance, on est patient et on sait ce qu'on veut et on l'aura ... tot ou tard

Clin d'oeil de nasdaq pour le Maroc

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je vais me coucher ....

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Un peu de bonnes nouvelles pour ce pauvre Maroc

Le Maroc, plateforme de production et d’exportation du savoir-faire européen

Le Maroc, conduit avec succès une politique d’économie de marché caractérisée par son ouverture et sa stratégie d’encouragement des IDE. Dans cette optique, des réformes importantes ont été réalisées afin de rendre le marché local plus attractif en termes d’opportunités d’affaires et d’investissement. Plusieurs secteurs en ont profité, soutenu par un savoir-faire reconnu et une main d’oeuvre qualifiée. La proximité avec l’Europe couplée à une politique de taxation adaptée ont fait le reste, faisant du Maroc la plateforme de production et d’exportation du savoir-faire européen dans de nombreux secteurs.

L ’industrie du cuir

L’industrie du cuir connaît depuis les années 1980 un essor considérable et tient désormais une place importante dans l’économie du pays. Le secteur du cuir c’est aujourd’hui 360 entreprises qui emploient au total 17.500 personnes, et représentent 3,48% de l’industrie de transformation. Il couvre trois activités principales : la chaussure, le vêtement et accessoires et le tannage et est fortement orienté à l’exportation. Sur le plan stratégique, l’industrie du cuir fait partie intégrante du Plan d’émergence ainsi que du Pacte national pour une industrie avancée (PNIA), à ce titre, elle est considérée comme une des huit industries marocaines dédiées à l’exportation qui devraient générer 70% de croissance industrielle à l’horizon 2015 et contribuer à stimuler la croissance économique, renforcer le secteur industriel et grossir les rentrées en devises. Dans cette perspective, le secteur du cuir a conçu un plan qualifié de Plan Export Plus dont la finalité est de rechercher une plus grande ouverture en diversifiant les produits, en améliorant la qualité et la créativité et en développant la sous-traitance. Pour y arriver, il table sur les atouts du Maroc qui sont sa situation géographique, la longue tradition marocaine du cuir, un savoir-faire mondialement reconnu et, enfin, des procédures douanières simplifiées et des accords d’échange privilégiés avec l’UE, les Etats-Unis, la Turquie, la Tunisie, l’Egypte et la Jordanie.

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L’ aéronautique

Le Maroc ambitionne de porter le chiffre d’affaires du secteur de l’aéronautique à un milliard d’euros à l’horizon 2012. Pour de nombreux analystes, le chiffre est loin d’être déraisonnable car il concerne une activité en plein développement qui profite de la dynamique de l’externalisation que connaît ce secteur à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, le Maroc compte une cinquantaine d’entreprises et un effectif de plus de 4.300 emplois qualifiés dans un secteur dont les perspectives de croissance annuelle sont de 20% et où les investissements se sont fortement accrus au cours de ces dernières années, comme en témoigne la récente instalinstallation d’une vingtaine d’entreprises, dont SMES, Matis, Labinal, Teuchos et Aircelle, au côté de grands groupes comme EADS et Lockheed Martin qui sont déjà présents au Maroc. Par ailleurs, des accords viennent d’être concrétisés avec les entreprises françaises Zodiac, ATCH et MS Composites dont l’investissement créera 380 emplois. La valeur ajoutée du Maroc se situe au niveau des activités de sous-traitance supérieure (électricité, électronique, technologie de matériaux composites, outillage aéronautique…), avec des avantages multiples tels que sa proximité géographique avec l’Europe, une main-d’oeuvre qualifiée qui coûte 70% moins que sur le vieux continent, et des exonérations d’impôt sur les sociétés.

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L’ off-shoring et les NTIC

Le secteur du off-shoring marocain a généré un chiffre d’affaires de 1,2 milliards de dirhams (USD 150 m) en 2010 et a totalisé 3.500 opportunités d’emploi en 4 ans. C’est un secteur qui est désormais caractérisé par un développement stable et constant et des investissements de plus en plus importants de la part des plus grands opérateurs mondiaux de NTIC. Ce développement a été favorisé par une loi de protection des informations personnelles, accompagnée par la mise en place d’une Commission de protection de l’information personnelle (CPIP). A ce jour, 40 entreprises sont installées à Casanearshore et 14 autres à Rabat Technopolis. Par ailleurs, 17 entreprises françaises spécialisées dans les systèmes d’information (SSII) représentant 47% du chiffre d’affaires des cinquante plus importantes entreprises du secteur en France se sont installées au Maroc. Enfin, un accord vient d’être signé entre l’Etat marocain et 4 sociétés internationales (Genpact, EDS-CDG IT, TELEPERFORMANCE et BULL) en vue de leur implantation dans le royaume avec, en perspective, 6.000 emplois promis.

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Agriculture et agro-alimentaire

Compte tenu de la richesse du sol marocain, le secteur agricole joue un rôle prédominant dans l’économie marocaine : il contribue à environ 20% du PIB et emploie plus de la moitié de la population active. C’est dire si la croissance économique du royaume est excessivement dépendante de ce secteur : la chute de 27% des récoltes en 2010, essentiellement dû à la sécheresse, lui a ainsi coûté un point de croissance. C’est pourquoi un effort considérable est consenti depuis quelques années par les autorités afin de moderniser et de diversifier le secteur agricole pour rendre le pays moins dépendant de l’agriculture. Ainsi, en 2008, le gouvernement marocain lançait le Plan Maroc Vert (PMV) pour développer une agriculture moderne, et renforcer une industrie agro-alimentaire de plus en plus performante et compétitive. Aujourd’hui, l’industrie agro-alimentaire est la deuxième branche industrielle du Maroc avec près de 30% de la production industrielle (juste après celle de la chimie avec 40%) . Avec plus de 2,6 milliards de dirhams d’exportation et 5.670 emplois permanents en 2008 (dont 53% de femmes), le secteur des fruits et légumes transformés y occupe une position de choix et participe activement à la politique de décentralisation industrielle et au développement rural. Le PMV prévoit de promouvoir ce secteur à l’exportation en ciblant 17 marchés étrangers pour des lignes de produits tels que les épices, la fraise, les produits de fermage et les plats pré-cuisinés.

Le textile

En 2009, les exportations de textile marocain ont atteint 25,8 milliards de dirhams(moins de 3 milliards $)  ventilés ainsi : 18,5 milliards de dirhams pour le prêt-à-porter, 6,5 milliards dirhams pour la bonneterie et 798 millions de dirham pour les textiles de base. L’industrie textile et de l’habillement est un des secteurs les plus dynamiques de l’économie marocaine et c’est le premier employeur du secteur de l’industrie de transformation puisqu’il en représente 41% de la main-d’oeuvre. Par ailleurs, elle compte pour 9% des investissements, 5% de la production industrielle totale, 25% des exportations et 14% de la valeur ajoutée industrielle nationale. 979 entreprises travaillent dans le prêt-à-porter, principalement dans la sous-traitance pour les grandes marques de mode internationales a forte valeur ajoutée. 71% de la production est ainsi réexportée. Les principaux clients du Maroc dans ce secteur sont la France (45%), l’Espagne (22%), le Royaume-Uni (12%) et l’Allemagne (7,6%).

L’automobile

L’industrie automobile marocaine a connu une importante croissance au cours de cette dernière décennie. Deux exemples en sont un indicateur important : sur le plan interne, d’abord, le marché de l’automobile a connu un dynamisme sans précédent avec un volume de ventes annuelles de 120.000 voitures qui laissent augurer d’un bel avenir pour le secteur ; sur le plan externe, l’indice le plus prometteur vient de la stratégie de redéploiement de Renault qui profite bien au Maroc à travers l’implantation d’une usine à Tanger pour la production annuelle de 400.000 voitures dont 90% sont destinés à l’exportation. D ’ u n e manière générale, alors que mondialement son état de santé porte à q u e l q u ’ i n - quiétude, le secteur automobile au Maroc connaît, lui, une belle embellie avec d’importantes perspectives de partenariats et d’investissements, notamment dans le domaine des équipements et des pièces détachées. Les principaux acteurs dans ce secteur sont :

Pour l’assemblage : La SOMACA qui assemble pour des marques comme Dacia, Renault, Peugeot et Citroën. Il convient de noter que la SOMACA appartient à 80% au groupe Renault. Pour les équipements : Les acteurs ici sont bien plus nombreux et se subdivisent en trois catégories : les entreprises étrangères (46%), les entreprises marocaines (38%) et les entreprises à capital mixte (16%).

Pour les pièces détachées : Ce secteur occupe des centaines d’importateurs/distributeurs, plus d’un milliers de détaillants et quelque 4.000 mécaniciens. Deux enseignes françaises émergent du lot, MIDAS et SPEEDY. En termes de croissance, les autorités marocaines s’attendent à ce que le secteur automobile génère 630 millions d’euros de PIB additionnel et crée 40.000 emplois à l’horizon 2015.

Chambre de commerce franco-arabe

France Moyen Orient

Bombardier prêt à investir au Maroc

Le 06 mai 2011 par Pierre-Olivier Rouaud

Le Maroc fait partie d’une très courte liste de pays sélectionnés par le groupe Bombardier pour accueillir un important investissement industriel. C’est ce qu’a indiqué jeudi 5 mars Guy Hachey, PDG de Bombardier Aerospace à Casablanca.

Guy Hachey s’exprimait à l’occasion des deuxièmes Assises de l’industrie, bilan d’étape du plan de développement industriel Emergence en présence du roi Mohammed VI.

Bombardier compte 9 principaux centre de production dans le monde (Canada, Mexique, Irlande du Nord…) a rappelé Guy Hachey, laissant entendre que ce futur investissement s’inscrirait dans cette ligne.

Selon les milieux industriels marocains, l’investissement de Bombardier au Maroc est, en fait, dans sa phase finale de décision. Il pourrait s’agir d’une usine de composants. Sa localisation n’a pas été précisée. Le Maroc serait en concurrence notamment avec la Turquie.

Guy Hachey a indiqué que son groupe avait trois options : une extension de ses opérations au Mexique, une implantation industrielle dans un pays émergents proche des marchés européens ou un élargissement de sa base fournisseurs dans cette zone.

Le patron de Bombardier a précisé qu’il travaillait déjà avec plusieurs entreprises implantées au Maroc, notamment SERMP (Piston français) et que d’autres contrats étaient en vue.

L’aéronautique fait partie des métiers prioritaires définis par le Royaume dans le cadre de son plan Emergenc. Le secteur représente environ 10 000 emplois aujourd’hui. Il est concentré dans la région de Casablanca et notamment dans le parc industriel de Nouaceur près de l’aéroport sur lequel sont implantés par exemple Safran, Le Piston Français ou Nexans.

C’est sur cette zone de Nouaceur que l'Institut des métiers de l'aéronautique (IMA) sera inauguré ce vendredi 6 mai par le roi Mohamed VI.

Alors que le monde arabe est en pleine ébullition, Guy Hachey a indiqué qu’il était prêt à investir "sereinement" au Maroc dont il a salué la stabilité et les réformes.

A Casablanca, Pierre-Oliiver Rouaud

L'Usine Nouvelle

Volkswagen pourrait bientôt imiter Renault et installer une usine d'automobiles au Maroc

Selon nos informations, le ministre de l'industrie et du commerce, Ahmed Reda Chami, s'est rendu en Allemagne le 10 mai pour discuter de de ce projet avec la direction du groupe. Volkswagen pourrait implanter une chaîne de montage de petites citadines (Golf ou Polo) à Kenitra Automotive City, la zone franche d'exportation qui doit voir le jour au nord de Rabat, ou bien à Tanger Med, juste à côté de l'usine Renault ! Si le projet se concrétise, il s'agirait de la seconde usine africaine de Volkswagen, après l'Afrique du Sud. Le groupe allemand, comme Renault, caresse par ailleurs l'idée de s'implanter en Algérie (MC nº959).

http://www.africaintelligence.fr/MC-/entreprises/2011/05/12/volkswagen%2C89960817-BRC-login

Secteur électronique au Maroc : 800millions d'euros à l'export en 2015

12 entreprises marocaines au CIEN de Paris. L'économie numérique sur l'agenda du G8. Objectif de 550 millions de C.A. et 14 000 supplémentaires en 2020.

Après avoir réalisé un chiffre d’affaires à l’export de 450 millions d’euros en 2010, le secteur de l’électronique marocain vise un objectif de C.A. de 800 millions en 2015, a indiqué le ministre de l’industrie, du commerce et des nouvelles technologies Ahmed Réda Chami lors de son passage au CIEN parisien, le Carrefour de l’industrie électronique et numérique qui se tient jusqu’au 26 mai. 12 entreprises marocaines participent au CIEN sur un espace de 180 m².

L’emploi devrait afficher un chiffre de 9000 postes de travail en 2015 contre 5500 actuellement et un objectif de 14 000 postes en 2020. Le secteur comprend la mécatronique, l’électronique embarquée et la fabrication des cartes à puces. Ce salon se tient au lendemain de l’ouverture du e-G8, le forum des activités Internet des acteurs américains, européens et japonais et alors que le Maroc est l’invité d‘honneur du forum de l’investissement international actuellement en cours dans la capitale française.

Le secteur de l’électronique fait partie des six MMM, les métiers mondiaux du Maroc, choisis par le gouvernement marocain pour attirer les investisseurs étrangers et doper l’activité export et les transferts de technologie. Des six MMM, Ahmed Réda Chami a reconnu à Paris que celui de l’électronique était celui qui avait le moins rempli ses objectifs depuis le lancement du plan Numéric en 2009. Les autres MMM sont l’automobile, l’aéronautique, l’offshoring, le textile-confection et l’agroalimentaire.

Dans le cadre d’une convention de partenariat entre l’Agence marocaine de développement des investissements AMDI et la FIECC française qui regroupe les industries électriques, électroniques et de la communication de l’Hexagone, une structure commerciale sera développée pour encourager les PME françaises à produire et à commander leurs intrants au Maroc. Ahmed Réda Chami a mis en avant les atouts marocains des infrastructures d’accueil dont les P2i et le guichet unique, des ressources humaines et des aides à la formation, ainsi que la croissance du marché marocain et les accords de libre-échange.

Jamal Amiar. La Vie éco

http://www.lavieeco.com/actualite/Secteur-electronique-au-Maroc--800millions-d-euros-a-l-export-en-2015-5786.html

IDE: Le Maroc mieux loti que ses voisins

Près de 37 projets recensés au 1er trimestre

Chute des investissements en Tunisie, en Egypte ou encore en Syrie  

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Le Maroc fait exception dans le monde arabe. Il cartonne en enregistrant la seule hausse significative du nombre du projet des IDE (investissement direct étranger) au premier trimestre 2011. «Le pays conserve la confiance des investisseurs confirmant ainsi la dynamique plutôt encourageante enregistrée en 2010». C’est ce qu’indique l’Observatoire des investissements et partenariats en Méditerranée ANIMA-MIPO, soutenu par le programme Invest in Med, dans son bilan au premier trimestre 2011.

Le secteur a le vent en poupe. Près de 37 annonces d’IDE ont ainsi été identifiées en un trimestre, soit un rythme similaire à celui des années record 2006 et 2007 et le deuxième meilleur score de la région après la Turquie, à égalité avec Israël. Les montants restent néanmoins nettement toujours en deçà des niveaux d’avant crise, avec moins de 500 millions d’euros (5,6 milliards de DH) annoncés entre le 1er janvier et le 31 mars 2011. L’on rappelle que 25 projets d’un montant global de près de 40 milliards de DH ont été soumis récemment à l’approbation de la Commission des investissements (cf.www.leconomiste.com, du 21/03/2011).

Comment se portent nos voisins ? Comme on pouvait s’y attendre, la Tunisie, l’Egypte et la Libye connaissent des «baisses sévères» du nombre d’annonces d’IDE. Environ -25% pour la Libye et -50% pour la Tunisie et l’Egypte par rapport au premier trimestre 2010. Le printemps arabe a engendré des conséquences économiques. Les montants annoncés diminuent même davantage (environ -70% pour l’Egypte et la Libye), hormis en Tunisie qui continue de recueillir les investissements du secteur des hydrocarbures. En Syrie, où la contestation se fait de plus en plus forte, la situation est identique : baisse de deux tiers des intentions d’investissement en nombre de projets au T1 2011 par rapport au T1 2010. La baisse est également sensible en Jordanie (moins un tiers). Des écarts subsitent avec certains pays de la région. La Turquie conserve la tête du palmarès, avec 52 projets et 4,3 milliards d’euros annoncés. A eux deux, Israël et la Turquie attirent les trois quarts des montants annoncés dans la région Med.

http://www.leconomiste.com/article/883534-ide-le-maroc-mieux-loti-que-ses-voisins

Raffineries : La Samir vise les 240.000 barils par jour

2 Projets importants sont en cours de réalisation par la Samir. Le 1er concerne une unité de distillation (Topping 4), d’une capacité de production de 4 millions de tonnes/an, qui sera opérationnelle début 2012. Elle permettra à la SAMIR de porter sa capacité de raffinage à 10 millions de tonnes/an, ce qui équivaut à 240.000 barils/jour. Le 2ème projet concerne une unité de production de bitume qui sera opérationnelle à partir d’août 2011, et qui permettra de porter la production à 600.000 tonnes/an. A noter que l’enveloppe globale des investissements consentis par la Samir pour la modernisation de la raffinerie de Mohammedia a atteint 2 milliards de dollars depuis 2004.

www.infomediaire.ma

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Il faut reconnaître que le Roi du Maroc a quand même bien commencé à moderniser le pays.  Au fait je sais que le Roi Mohammed VI a le titre de Commandeur des croyants et je voulais savoir comment ce titre s'obtient.

Au fait est-ce que le Roi parle français aussi ?

Merci !  ;)

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Le roi du Maroc est un vrai bosseur, depuis son accession au trone Le Royaume a triplé son PIB (1999 à 2010). il est polyglotte Arabe, Français, Espagnol et Anglais. Il est très "francophile" legiste de formation, il a effectué un stage de quelques mois auprès de Jacques Delors, président de la Commission européenne en 1988, Le 29 octobre 1993, il obtient, à l'université de Nice Sophia-Antipolis en France, le titre de docteur en droit suite à une thèse intitulée « La coopération entre la Communauté Économique Européenne et l’Union du Maghreb Arabe ».

Pour la commanderie, ca des racines historiques, cela remonte a la creation de l'Etat Marocain en 789 Par moulay Idriss (Idriss I) arrière-petit-fils de Al-Hassan ibn Ali (Al hassan est le petit fils du prophete) chassé par les abassides, depuis cette date celui qui gouverne le Maroc porte le titre de Commandeur des Croyants, pour marquer l'independance vis a vis de ceux qui gouverner au moyen orient (abbassides, othomans ...) qui porté aussi le titre de commandeur des croyants.

Pour faciliter un peu les choses, il y avait un etat puissant à l'Est à sa tete Le Commandeur des croyants qui gouverner tout les musulmans sauf le Maroc avec son commandeur des croyants.

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Enquête

Ménages : 84% ont des GSM, 34% un ordinateur et 25% possèdent l'Internet

98% des entreprises sont équipées d'ordinateurs et 91% ont un accès Internet.

Le Maroc marque des points dans les télécommunications. L’enquête annuelle réalisée par l’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT) montre des avancées considérables au cours des 12 mois qui se sont écoulés entre 2009 et 2010. Dans beaucoup de cas, le nombre d’utilisateurs marocains dépasse celui de sa région et peut même être comparable aux pays européens.

Le moins loti reste le téléphone fixe, mais pas si «moins loti» que cela puisque le taux de pénétration dans les foyers s’est amélioré de 4 points entre 2009 et 2010 et se stabilise à 39%.

Le mobile, en revanche, affiche un taux de pénétration de 84% dans les ménages en 2010(*) contre 67% en 2009.

...

Pour les ordinateurs, l’enquête de l’ANRT relève que 34% des foyers en sont équipés en 2010...

...Cette augmentation du taux d’équipement a eu un impact direct sur le taux de pénétration d’internet dans les foyers qui est de 25%, soit 5 points de plus qu’en 2009. Dans le même temps, la 3G intervient pour 78% du total, laissant le reste pour l’ADSL, ce qui s’inscrit dans la tendance internationale, par ailleurs.

Le cybercafé reste encore le principal point d’accès à l’internet au Maroc (76%). 39% des internautes se connectent chez une autre personne et 10 % sur leur lieu de travail. L’enquête montre que 14 millions de personnes se sont connectées en 2010 dont 48 % pour un usage quotidien.71% des internautes marocains téléchargent principalement des films, des images et de la musique. La messagerie électronique est utilisée par 69% et les réseaux sociaux 67%. L’enquête révèle que 98% des entreprises sont équipées en téléphonie fixe (le chiffre est exactement le même pour les ordinateurs) et 78% en mobile. Pour ce qui est des ordinateurs, le taux d’équipement varie fortement selon l’activité puisque si le secteur des services financiers dispose de 108 ordinateurs pour 100 employés, le chiffre tombe à 38% dans l’industrie. Dans tous les cas, l’internet est désormais un outil de travail comme les autres : 91% des entreprises sondées déclarent être connectées.

(*) A ne pas confondre avec le taux de pénétration chez la population qui était, à fin 2010, de 101,49%. Dans certains ménages on ne dispose pas de mobile alors que dans d’autres on peut en avoir plusieurs et même plus que le nombre de personnes constituant ledit ménage.

http://www.lavieeco.com/news/economie/Menages--84--ont-des-GSM-34--un-ordinateur-et-25--possedent-l-Internet-19613.html

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