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Marine chinoise en 2020


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Première visite de la marine de guerre chinoise en Mer Noire, à l'invitation de l'Ukraine.

La frégate Yan Tai (type 054A, code NATO Jiangkai II), fera une escale à Constanţa, un port roumain et le plus grand de la Mer Noire, entre le 31/07 et le 4/08 et quittera la Mer Noire le 9/08.

Le destroyer Qingdao sera en visite à Sebastopol

http://www.ziuaveche.ro/top-secret/armata-2/premiera-nave-militare-chineze-in-marea-neagra-fregata-yan-tai-la-constanta-110937.html

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  • 2 weeks later...

Des bâtiments de guerre chinois font escale en Israël

Trois bâtiments de la marine chinoise ont accosté le 13 aout à Haïfa (Israël) pour une escale de 5 jours.

Commandée par le contre-amiral Yang Junfei, commandant adjoint de la Flotte de la mer de Chine du Nord, la force chinoise va visiter de nombreux sites dans tout le pays, dans le cadre du 20è anniversaire des relations diplomatiques entre Jérusalem et Pékin.

En mai dernier, le Lt. Gen. Benny Gantz, chef d’état-major des armées d’Israël, a passé une semaine en Chine, à l’invitation du commandant de l’Armée Populaire de Libération, le général Chen Bindnge.

Il s’agissait de la 1ère visite en Chine d’un chef d’état-major depuis 1996. Elle était destinée à renforcer les liens entre les 2 pays dans le cadre des intérêts grandissants de la Chine en Méditerranée et dans le golfe d’Arabie.

http://www.corlobe.tk/article30030.html

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"Elle était destinée à renforcer les liens entre les 2 pays dans le cadre des intérêts grandissants de la Chine en Méditerranée et dans le golfe d’Arabie"

Mouais, je suis pas presse de voir l'harmonie chinoise debarquer en mediterranee, ils ont deja raclé la mer de chine meridionale en long en large et en travers...

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  • 2 weeks later...

http://french.ruvr.ru/2012_08_30/porte-avions-chine/

L'unique porte-avions chinois Shi Lang (ancien Variag) qui doit entrer en service en 2012 ne sera pas prêt à l'utilisation au combat avant 2017. Cela a été annoncé par le colonel Lee Jie, porte-parole de l'Académie des forces navales de Chine.

La déclaration a été faite à l'occasion du début des 10e essais en mer. Selon le colonel le navire n'a par réussi à remplir la mission en toute indépendance. Sa sécurité dans la zone des essais a été assurée par des frégates, destroyers et croiseurs chinois, ainsi que par plusieurs sous-marins.

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  • 2 weeks later...

Il y a forte à parier que ce sont ces plateformes(la version contre faite ) qui serviront à une future invasion de taiwan.

Compte tenu de la capacité d'emports et de la rapidité de celle-ci cela ne fait aucun doute.

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Livraison officielle du premier porte-avions chinois.

Sur fond de tension avec le Japon et Taïwan, le premier porte-avions Shi Lang est officiellement entré en service dans la marine chinoise.

C’est dans le port de Dalian, au nord-est de la Chine, que la cérémonie a eu lieu aujourd’hui. L’armée populaire de libération dispose ainsi d’un premier facteur important de projection navale.

http://www.infosdefense.com/2012/09/23/livraison-officielle-du-premier-porte-avions-chinois-99316/

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L'ancien porte-avions soviétique adopté par la Chine

Image IPB

Par Ilia Kramnik, pour RIA Novosti

La marine chinoise a officiellement dressé son étendard sur un nouveau bâtiment naval à la base de Dalian, sur la péninsule de Guandong (Kwantung) le 23 septembre 2012. Il s'agit de l'ancien porte-avions lourd soviétique Variag, qui a reçu le numéro 16 dans la marine chinoise et serait baptisé Liaoning, au nom de la province devenue sa demeure à Dalian. L'entrée en service de cette classe de navire acquiert une importance particulière au vu de la situation politique tendue en Asie-Pacifique.

Qui devrait commencer à avoir peur

Le transfert à la marine chinoise du porte-avions "numéro 16", comme l'a écrit la presse du pays, suscite un intérêt particulier en raison de l'évolution de la situation en Asie-Pacifique, où la rivalité entre la Chine et les Etats-Unis ou leurs alliés devient de plus en plus tendue. Le conflit autour des îles Senkaku, qui a déjà provoqué plusieurs incidents en mer japonaise - pour l'instant sans faire de victimes - n'est que l'une des manifestations de cette adversité.

Les immenses richesses des mers et du plateau ouest de l'océan Pacifique sont déjà exploitées mais le potentiel de croissance de ces activités est très important. Et la propriété nationale de toute parcelle de terre en mer, qui ouvre le droit de définir autour d'elle des eaux territoriales et une zone économique exclusive, prend une importance stratégique.

La marine moderne du Japon, créée avec l'aide et l'assistance des Etats-Unis, est pour l'instant supérieure à la flotte chinoise en termes d'équipements et de capacités opérationnelles. Pour l'instant – jusqu'à l'entrée en service du premier porte-avions chinois.

En présence d'un porte-avions – même s'il supporte seulement 20 à 25 chasseurs à son bord alors que les bâtiments américains peuvent accueillir jusqu'à 50 à 70 appareils -, la marine chinoise obtient un immense avantage de portée et de capacités défensives sur son rival, qui ne dispose pas de porte-avions.

L'alliance avec les Etats-Unis fournit évidemment au Japon certaines garanties mais Washington, qui porte le fardeau de sa domination globale, pourrait être confronté à beaucoup de tâches à la fois tandis que la marine chinoise ne se limitera certainement pas à l'ancien porte-avions soviétique. Selon certaines informations, elle devrait recevoir avant 2030 au moins deux, voire trois bâtiments de cette classe - cette fois de sa propre construction.

Bien sûr, le Japon a suffisamment de potentiel pour riposter. Ses deux porte-avions légers ayant une capacité de 19 000 tonnes - avec la modestie qu'on connaît aux Japonais, appelés "destroyers de porte-hélicoptères" – pourront transporter à terme jusqu'à 8 chasseurs F-35B chacun. A l'évidence, cet arsenal ne suffira pas pour contrer une flotte de 2 à 3 navires possédant chacun une capacité de 65 000 tonnes et pouvant transporter au moins trois fois plus de chasseurs lourds.

Il semble également évident que l'industrie de la construction navale hi-tech au Japon est capable, aujourd'hui, de bâtir rapidement des navires de toutes classes et tailles.

Si la concurrence avec la Chine continuait à grandir et que les Etats-Unis continuaient à s'enliser dans les marais de nombreuses guerres et de problèmes économiques, les paris pourraient être lancés : dans moins de 20 ans, la marine japonaise disposera de son propre navire similaire de par sa taille et sa capacité d'accueil des appareils.

Il serait aussi intéressant de savoir combien l'arsenal aujourd'hui possédé par ses voisins devrait préoccuper la Russie. La réponse paraît simple : il faudra commencer à s'inquiéter lorsque la Chine et le Japon trouveront un terrain d'entente sur leurs désaccords fondamentaux.

Il reste encore un peu de temps : actuellement, le premier porte-avions chinois fait office de navire d'entraînement et, en se référant aux rythmes soviétiques de la création d'un complexe "porte-avions – avion", on peut dire que le premier porte-avions chinois ne sera pas opérationnel avant cinq ans.

En parlant des délais d'entrée en service du nouveau porte-avions chinois, il faut également tenir compte du point commun de tous les navires du projet 1143, dont fait partie l'ex-Variag : la vulnérabilité de la propulsion chaudière-turbine. Elle a effectivement montré ses lacunes sur tous les porte-avions soviétiques, Kouznetsov y compris, et a fait une nouvelle fois des siennes lors de la défaillance de trois chaudières lors des récents essais du Vikramaditya.

La propulsion du porte-avions pourrait également rencontrer des problèmes sur le Variag, augmentant la durée et les frais de sa mise au point.

Il faut rappeler l'histoire de la création de l'ex-Variag pour comprendre pleinement ses perspectives.

Les navires aux mille et un noms

Dans les années 1990, les grands navires soviétiques - comme s'est souvent le cas lors du déclin d'un Empire - ont connu un sort difficile, impliquant une longue mise à quai, des ventes, des réparations et des changements de nom.

L'avalanche de nouveaux baptêmes avait commencé peu avant, préfigurant le malheur : l'analogue du Variag, l'Admiral Kouznetsov, rebaptisé "Union soviétique", a été mis à l'eau en 1985 sous le nom "Leonid Brejnev". Au fond de sa cale figure d'ailleurs toujours l'inscription "Riga". Il a effectué les mêmes essais que le "Tbilissi" et il est parti en mission dans le nord, en 1991, avec le nom qu'il porte aujourd'hui.

Le Vikramaditya, destiné à l'Inde, a eu trois patronymes : Bakou, Admiral Gorchkov et son nom actuel.

Le nombre de noms du Variag a coïncidé avec celui de l'acquisition de l'Inde. Lorsque le navire précédent a été baptisé au nom du secrétaire général, le suivant a commencé à être construit sous le nom de Riga, pour ne pas offenser la république alliée. En 1990, lorsque tout était clair avec la Lettonie, le navire a été rebaptisé Variag. En 1993, le ministère russe de la Défense a mis hors service 5 porte-avions à la fois : Kiev, Minsk, Novorossiïsk, ainsi que Variag et Oulianovsk qui n'avaient pas été achevés. Son nom a été pris pour baptiser une autre victime de l'effondrement de l'Empire – le croiseur lance-missiles du projet 1164 Tchervona Ukraina, vaisseau amiral actuel de la flotte du Pacifique.

Le porte-avions a pris la rouille quelques années au chantier naval Tchernomorski, avant d'être vendu au prix de la ferraille à la compagnie chinoise Chong Lot Travel Agency Ltd, pour en faire un hôtel flottant avec un casino et des établissements de divertissement.

Le 3 mars 2002, après un remorquage de 627 jours, le navire inachevé s'est retrouvé à Dalian. Il s'est rapidement avéré qu'il ne pouvait pas devenir un hôtel flottant : les travaux du navire étaient réalisés au profit du ministère chinois de la Défense.

Une université flottante de 65 000 tonnes

La situation était devenue claire dans la seconde moitié des années 2000 : la Chine comptait obtenir un nouveau navire de combat pour simuler les opérations de l'aviation embarquée, les interactions avec l'escorte et la formation du personnel pour les futures forces embarquées de la marine - dans l'armée chinoise, la marine n'est pas une armée autonome et est subordonnée à l'armée régulière.

Depuis plusieurs décennies, la Chine récolte méthodiquement à travers le monde des informations sur le fonctionnement et la tactique des porte-avions. Etant privés d'accès direct au principal "centre de compétences" – la marine des Etats-Unis et de leurs alliées -, les Chinois ont étudié de près l'expérience de l'Argentine et du Brésil, et ont évidemment recueilli un maximum d'informations dans l'espace postsoviétique.

En Ukraine, où personne ne s'était engagé à garder les secrets soviétiques, hormis celui du porte-avions, la Chine a également acheté les plans ainsi qu'un ou deux prototypes du chasseur embarqué Su-33 (Su-27K). Pékin s'est également familiarisé avec le système NITKA, simulateur terrestre d'appontage et de décollage pour l'aéronavale.

Une copie carbone de ce système, comprenant les principaux éléments d'un porte-avions dont une piste, un tremplin, des freins d'appointage, des ascenseurs et un pont, a été construite en Chine. Le développement du chasseur embarqué J-15 a commencé à partir du Su-33, dont le prototype était le J-11, la copie chinoise du Su-27.

Le J-15 a décollé pour la première fois en 2009 mais l'appareil était encore loin d'approcher le pont du Variag – les essais ont été ralentis, entre autres, parce que la Chine a mis du temps pour obtenir la technologie des freins d'appointage – les câbles qui servent à stopper un avion lors de son atterrissage sur le pont.

L'Ukraine ne dispose pas des données complètes sur ces systèmes et la Russie empêchait formellement l'accès à toute information plus ou moins détaillée sur les systèmes et les équipements du porte-avions : plusieurs personnes ont fini en prison pour avoir pris contact avec la Chine à ce sujet.

Pékin a réussi à concevoir les freins d'appointage lui-même, grâce à l'expérience obtenue lors de la visite des porte-avions d'autres pays ainsi qu'à l'examen visuel extérieur des équipements de NITKA.

Compte tenu de l'histoire du Variag et des circonstances de la mise en service du nouveau porte-avions chinois, on ne peut que répéter que la Russie a encore le temps de construire une flotte puissante dans le Pacifique.

L’opinion de l’auteur ne coïncide pas forcément avec la position de la rédaction

http://fr.rian.ru/discussion/20120926/196148858.html

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