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Inde : politique intérieure et internationale


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Et ça fait quelle que temps que j'entent plus parlé des Maoiste Indien ?

En ce moment, il y a des arrestations dans leur rang dans le district de Lohardagga (Jharkhand). Puis, leur soutien international intellectuel + des ONG (voire interdites) sont sous la surveillance de la police et de l'armée indienne.

Mais, ils peuvent encore faire des attentats ...  :-\

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Le service militaro-civil, ce n'est pas pour faire plaisir aux ultra-nationalistes mais avoir une politique de prévention et de réponse des menaces d'agression extérieures réelles et soutenues comme celle d’Israël. Les hindous, sikhs, jaïns, bouddhistes, ... ainsi que d'autres catégories étrangères parsis, baha'ies, juifs,chrétiens syro-malabars,  ... ont été persécutés et massacrés par les envahisseurs avec leurs côtés intégristes religieuses autrefois. Il faut que l'histoire ne se répète plus !   :| Même Rajiv Gandhi avait souligné qu'il fallait se protéger et prendre exemple sur Israel, et que l'Inde était faible.

Enfin, se protéger, survivre et résister : ça un coût humain et financier ! Avec les Chinois et Pakistanais + leurs alliés, les diversités religieuses, linguistiques, culturelles, ... disparaîtront à jamais en Inde.

J'aimerai bien continuer ce sujet ici.

Il faut d'abord savoir de quoi on parle, le service civil-militaire israélien qui concerne tous les jeunes de plus de 18 ans, hommes femmes, durant 2 ans où ils reçoivent une véritable formation militaire de base ou le volontariat-civil qui est plus une vitrine promotionnelle qu'autre chose sans aucune valeur militaire en terme de formation. Je suppose donc que tu parle du service civil-militaire.

Si tu veux adopter le service civil-militaire israélien, pour un pays de 1 M d'habitant, on peut faire le calcule. Le factbook de la CIA donne 18,2% de la population âgée de 14 à 25 ans, ce qui fait 219 millions et des poussières hommes et femmes. En étant TRES large et éliminant ceux qui sont pas aptes, ceux qui sont seul à subvenir aux besoins de leur familles et ceux qui arrivent à soudoyer le fonctionnaire local et ne retenant que 10% de cette tranche, ça te fera plus de 20 millions de personnes à loger, nourrir, former ( à 1 officier pour 10 appelés, tu as déjà une armée de 2 millions d'officiers ) pendant plus de 2 ans, 20 millions de personnes qui ne pourront pas faire autre chose pour contribuer à l'économie ( études universitaires, formation civile etc.). Ce n'est pas impossible, le coût peut être supporté par ce pays à croissance continue mais la question de l'opportunité et le rapport cout-bénéfice est largement en défaveur d'un tel projet.  Une armée de 2 millions d'hommes, bien formés, bien équipés, volontaires sera largement plus efficace que des paysans ou citadins des couches les plus populaires (les favorisés arrivent toujours à se faire exempter ! )  qui sont certes passés 2 ans sous les drapeaux mais qui en terme militaire ne savent souvent que nettoyer leur AK-47 ou lire une carte de manière basique sans plus.

A te lire, l'Inde n'est pas une puissance nucléaire, le Bangladesh pourrait envoyer son armée faire des razzias sur les côtes indiennes impunément et le Pakistan pourrait prendre le Chai l'après midi à New Delhi. L'Inde c'est une puissance nucléaire à même de faire passer l'envie à toute envie  d'agression (Je ne parle pas d'escarmouche ou de mouvements terroristes soutenus depuis l'étranger, je parle d'agression qui suppose une éventuelle  amputation du territoire national ). L'Israel est un pays sans aucune profondeur stratégique avec une population très faible comparé à ses ennemis et susceptible de disparaitre (en emportant ses ennemis avec cela dit, ce qui calme déjà les plus téméraires) si les choses tournent mal. Pourquoi voudrait tu adopter un système prévu pour un pays avec autant de lacunes stratégiques dans un pays qui ne présente aucune ?

J'ose quand même te demander si tu penses SERIEUSEMENT qu'un pays étranger pourrait envahir, occuper l'Inde d'aujourd'hui persécuter sa population et qu'à contrario un service militaire obligatoire empêcherait ce désastre ??

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Oui, c'est bien le service civil-militaire qui permettrait de dénicher des cerveaux dont actuellement beaucoup partent à l'étranger, ça endiguerait une certaine fuite de ces éléments promoteurs dans l'armée.

Concernant le volontariat civil, c'est plus pour la diaspora indienne qui pourrait indirectement financé les programmes militaires indiens ainsi que d'informer sur la situation géopolitique de leur environnement à l'étranger.

L'arme nucléaire indien n'est pas considéré par les extrémistes religieux pakistanais (soutenu par l'ISI) et bangladeshis comme une dissuasion et idem pour la Chine.

J'ose quand même te demander si tu penses SERIEUSEMENT qu'un pays étranger pourrait envahir, occuper l'Inde d'aujourd'hui persécuter sa population et qu'à contrario un service militaire obligatoire empêcherait ce désastre ??

L'histoire de l'Inde prouve au contraire que ce pays a subi beaucoup d'invasions, des massacres et des destructions à grande échelle contre les hindous, les sikhs, les jaïns, ... Selon certains historiens et spécialistes, les invasions musulmanes et la colonisation britannique (du 8ème siècle jusqu'à l'indépendance de 1947) ont fait dans leur ensemble un holocauste d'hindous de plus de 100 millions de morts.

Le dernier pays étranger, a avoir attaqué et envahit l'Inde, est la Chine en 1962 !

Quand j'avais lu les perspectives et les menaces de l'Inde par Rajiv Gandhi, ce dernier stipulait qu'il ne fallait pas oublier le passé et les menaces dangereuses persistantes aux frontières. Il proposait également de ne pas attendre une agression ou de rester sur la défensive (des erreurs historiques du passé), mais de prévoir des attaques ou offensives sur les ennemis.

Exemple sur la passivité indienne de la "Stratégie du collier de perles" menée par la Chine qui met en danger son existence.

Image IPB

Or, l'armée indienne peut très bien contre-carrer cette menace en intimidant ou attaquant ces voisins (Sri Lanka, Malaisie, Maldives, ...).

Pour ça, il faut préparer la population indienne à la guerre (militarisation de la société) comme l'est Israël constamment.

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L'Inde investit massivement dans la science et l'éducation

Alors que le président de la République François Hollande a visité ce qu'il est convenu d'appeler la plus grande démocratie du monde, force est de reconnaître que l'Inde reste très mal connue des Français.

Nous en avons le plus souvent qu'une vision étriquée, faite d'images d'Epinal sur la très grande pauvreté, le cinéma de Bollywood ; cette vision est au mieux enrichie de la perception des milles paradoxes de ce pays-continent grâce au film Slumdog millionaire, ou malheureusement réduite à la vision des relations que notre pays entretient avec Lakshmi Mittal.

Qui sait que l'Inde lance des satellites et a même un programme spatial lunaire ? Lors de sa visite, le président de la République était accompagné de Geneviève Fioraso, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, et c'est un signe encourageant car cela montre que nos relations avec ce pays ne peuvent se réduire à la signature de contrats commerciaux.

Cependant, alors que pour la ministre le simple rapprochement des classes préparatoires aux grandes écoles avec les universités fait figure d'une des "grandes orientations" du projet de loi sur l'enseignement supérieur et la recherche, dans le même temps, il semble bien que l'Inde ait pris la mesure de l'importance d'une vision beaucoup plus ambitieuse pour son enseignement supérieur.

Les chiffres parlent d'eux-mêmes : en Inde, le budget de l'éducation a cru de 24% en 2011-2012, et de 18% en 2012-13 (un budget qui, rapporté au PIB, est du même ordre de grandeur que celui de la France).  =) Pour la part correspondant à l'enseignement supérieur, en 2011-2012 l'augmentation a atteint 34%.

LOURDEURS ADMINISTRATIVES

L'Inde possède aujourd'hui plus de 370 universités, où on peut y entendre les mêmes critiques que celles formulées en France sur les lourdeurs administratives et la faible adéquation entre la formation et le marché du travail.

Il y a aussi en parallèle un enseignement technique sélectif avec les Indian Institutes of Technology, sorte de grandes écoles formant les meilleurs ingénieurs du pays.

Mais, ne se contentant pas du statut-quo, l'Inde a décidé d'investir massivement dans la science et l'éducation en créant cinq Indian Institutes of Science Education and Research (IISER).

Le fonctionnement de ces nouveaux instituts d'enseignement supérieur mérite que l'on s'y attarde un peu.

En premier lieu, soulignons l'importance des moyens qui ont été débloqués pour ces nouveaux instituts : le programme dans son ensemble coûte plus de 600 millions de dollars (452,1millions d'euros) sur cinq ans, soit 4 % du budget annuel de l'enseignement supérieur.

Ces moyens permettent de faire sortir de terre cinq nouveaux campus grandioses qui accueilleront chacun environ 150 étudiants par an, du niveau licence jusqu'à la thèse de doctorat.

Dans le parcours des étudiants, la pluridisciplinarité est strictement obligatoire : les étudiants doivent aborder toutes les disciplines scientifiques enseignées jusqu'au niveau master (biologie, chimie, physique, mathématiques).

De l'architecture des bâtiments jusqu'à la définition des cours, tout est conçu pour faciliter un contact permanent des étudiants avec la recherche : les enseignants-chercheurs ont peu de cours magistraux, mais ils encadrent des projets menés par les étudiants : l'apprentissage de la science par la pratique de la recherche.

UN SYSTÈME TRÈS SÉLECTIF

Les moyens dont disposent les étudiants pour ces projets sont à la mesure de l'ambition affichée avec la construction de laboratoires dotés des meilleures technologies.

Avec seulement 150 étudiants par an dans chacun des 5 instituts, il s'agit d'un système très sélectif. Le choix d'attribuer une fraction significative du budget de l'enseignement supérieur pour former une minorité sélectionnée ne s'est pas fait sans débat, mais c'est la voie qui a été choisie.

Dès lors, comme en France, se posent les questions de l'accès des étudiants issus de milieux socialement défavorisés. La méthode adoptée dans les IISER consiste à accorder à tous les étudiants un logement et une bourse.

Peu sont élus, mais ils doivent avoir les moyens correspondants à leurs aspirations et à leur talent. Pour décrire ce programme, le terme "excellence" n'est pas utilisé comme il l'est si souvent en France, mais c'est réellement ce qui est le recherché avec la formation d'une élite scientifique, avec la certitude que cet investissement bénéficiera à l'ensemble du pays.

CRÉER DU NEUF

L'Inde espère ainsi accroitre son attractivité et conserver l'élite intellectuelle dont un pays majeur du XXIème siècle ne peut se dispenser.

Enfin, il faut comprendre que la création de ces instituts résulte de la volonté de créer du neuf plutôt que de réformer l'existant.

Nous devons aussi porter un regard neuf sur ce pays. En effet, quand nos dirigeants se rendent en Inde, les objectifs de ce déplacement ne peuvent se réduire à proposer notre savoir-faire ou notre aide, vendre notre production, voire au mieux construire des usines en commun.

Nous espérons que les ministres sauront s'inspirer de se qu'ils ont vu pour proposer des évolutions et des solutions nouvelles aux problèmes de notre pays.

Au XXIe siècle l'Inde n'est plus un pays partenaire qui pourrait nous rattraper ; dans beaucoup de domaine, l'Inde file de l'avant à toute vitesse, la question n'est pas quand elle va nous rattraper mais quelles mesures nous devons prendre pour pouvoir suivre.

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Je savait pas que les maldive était en "friction" avec l'inde ,alors que normalement leur pays n'est plus la dans quelle que année !

Les Iles Maldives sont plus proches du rigorisme religieux avec les Pakistanais et les pétro-monarchies du Golfe. Évidemment, la Chine étant leur allié, les Maldives se sont rapprochés d'eux.

C'est un jeu dangereux qu'ils jouent avec les Indiens. Sans compter qu'ils sont menacés avec la montée des eaux d'où un risque de devenir des réfugiés climatiques et de s'exiler ailleurs ! L’Inde peut très bien ne pas venir en aide et de refuser ces réfugiés maldiviens.

Comme il est question de faire payer au nouveau pouvoir sa dérive anti-indienne et sa tentation prochinoise. Une intervention militaire indienne n'est pas à exclure pour protéger son espace maritime et ses intérêts.

India freezes Maldives aid as relations hit an all-time low

The "consequences" include a freeze on $25-million budgetary commitment that New Delhi had made to Male. Construction of a national police academy in Maldives has also been put on the back burner besides other infrastructural commitments that India had made to Maldives earlier. "The momentum in bilateral ties is lost," the officer added.

Les connection Inde-Iran ,son quand meme compatible avec les conection Iran-Pakistan ?

Les liens avec l'Iran sont problématiques avec le rapprochement indien vers l'Occident (commerces, achats d'armes, partenariat économique, ...)+ les attentats commis sur le sol indien contre des diplomates israéliens.

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Les Iles Maldives sont plus proches du rigorisme religieux avec les Pakistanais et les pétro-monarchies du Golfe. Évidemment, la Chine étant leur allié, les Maldives se sont rapprochés d'eux.

C'est un jeu dangereux qu'ils jouent avec les Indiens. Sans compter qu'ils sont menacés avec la montée des eaux d'où un risque de devenir des réfugiés climatiques et de s'exiler ailleurs ! L’Inde peut très bien ne pas venir en aide et de refuser ces réfugiés maldiviens.

Comme il est question de faire payer au nouveau pouvoir sa dérive anti-indienne et sa tentation prochinoise. Une intervention militaire indienne n'est pas à exclure pour protéger son espace maritime et ses intérêts.

Oui c'est sur que c'est pas un super bonne idée de mordre la main qui pourra te sauvée...

Les liens avec l'Iran sont problématiques avec le rapprochement indien vers l'Occident (commerces, achats d'armes, partenariat économique, ...)+ les attentats commis sur le sol indien contre des diplomates israéliens.

Ok je voit ,il on un port en Iran pourtant c'est ça !

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Jane's...

India defers judgement on two foreign defence joint ventures

Jon Grevatt

  Bangkok

Separate proposals by France's NSE Industries and Pipavav Defence and Offshore Engineering to finalise defence investment deals in India have failed to win approval from the Foreign Investment Promotion Board (FIPB).

The FIPB said on 27 February that it had decided to defer judgment on the two proposals, but, as is customary, did not explain its reasoning. This action is usually taken when the FIPB retains concerns over the level of foreign direct investment (FDI) flowing into the Indian entity and related issues over ownership and control. India's FDI regime limits foreign investment in local defence companies to 26%.

The FIPB said Pipavav's proposal relates to the company's attempts to "issue shares to an identified foreign investor", while NSE Industries' bid is linked to the "induction of foreign equity to undertake manufacturing and servicing of products [for] defence applications".

In mid-February Pipavav's chairman Nikhil Gandhi said the company was "a couple of weeks" away from winning approval to secure strategic investment from a "French giant". This French company, thought to be DCNS, is expected to acquire more than 10% of Pipavav's equity through the strategic investment.

The bid submitted by NSE Industries, which develops and produces C4ISR systems and devices, is linked with the company's intent, announced in late 2012, to form a defence joint venture (JV) with Hical Technologies. Bangalore-based Hical specialises in the provision of magnetics and electronic manufacturing services.

This JV will be based in Bangalore and will aim to provide the Indian defence market with a range of electronic systems related to radars, avionics, and display units. It will also provide services related to system integration, as well as repair and support for electronic systems.

COMMENT

While NSE and Pipavav are anticipated to submit further bids to win approval for their respective investment deals, the FIPB's decision to defer judgment on both is indicative of New Delhi's continuing caution over defence investment.

This caution, linked directly to concerns within the Indian Ministry of Defence about the security of domestic defence companies, has resulted in many proposals being rejected by the FIPB or being subjected to prolonged procrastination. A high profile example of this is the Mahindra group's bid to win approval for its proposed JV with Rafael, which was rejected in early 2013 following repeated deferments throughout 2012.

The difficulty in winning FIPB approval for defence JVs in tandem with the restrictive 26% FDI cap, which foreign companies argue does not incentivise investment, are two reasons why defence investment in India remains exceptionally low given the wider attractiveness of the defence market.

Statistics issued by the Indian Department of Industrial Policy and Promotion earlier in February 2013 show that during the period from 2001 (when foreign investment in Indian defence companies was first permitted) until the end of 2012 the defence sector has attracted just INR199 million (USD3.6 million) in FDI. Only the coir industry (the use of natural fibre extracted from coconuts) has attracted less FDI in India.

Copyright © IHS Global Limited, 2013

Henri K.

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'An India-Pakistan war in future would be Armageddon'

Aziz Haniffa

'Indians need to think clearly about what kind of future they are going to have with a Pakistan that has the fastest growing nuclear arsenal in the world, and more terrorists per square mile than any other place in the world.'

Erstwhile Central Intelligence Agency veteran Bruce Riedel speaks to Rediff.com's Aziz Haniffa in an exclusive interview.

Two years after the publication of his acclaimed Deadly Embrace: Pakistan, America, and the Future of the Global Jihad, Bruce Riedel -- the erstwhile Central Intelligence Agency veteran who spearheaded US President Barack Obama's strategic review on Afghanistan and Pakistan -- has published a new book, Avoiding Armageddon: America, India, and Pakistan to the Brink and Back.

Riedel, a Senior Fellow at The Brookings Institution, a leading Washington, DC think-tank, in Avoiding Armageddon -- which was released February 26 -- holds nothing back in explaining the challenge and importance of managing America's affairs with these two emerging powers and their toxic relationship.

He argues that South Asia is critical to American national security and that the volatile relationship between India and Pakistan -- two nuclear weapons-armed States that have fought four wars with each other and gone to the brink several other times -- is the crucial factor determining whether the region can ever be safe and stable.

Riedel, who has advised four American Presidents on the region, acknowledges that the horrific terrorist attacks in Mumbai on 26/11 -- to which he devotes the first chapter of his book -- is the heart of his argument.

Reidel spoke to Rediff.com's Aziz Haniffa in an eloquent and exclusive interview in Washington, DC.

>What prompted you to write this book? What would you say to critics who could ask what's new here since Deadly Embrace?

This book tries to study the American relationship with all of South Asia. Deadly Embrace focused on the US-Pakistan relation. This tries to take us a step further to the broader American relationship with both India and Pakistan and to a certain degree also with Afghanistan.

The subject of American interaction -- American engagement -- with South Asia has elicited surprisingly few in-depth studies.

The Indo-US diplomatic relationship for example, has not really been studied aside from Dennis Kux's very good book (Estranged Democracies), but that's dated now. In trying to put the two together, no one has really done an in-depth study.

Secondly, every President in the United States now, since John F Kennedy, has been confronted with an India-Pakistan crisis of one sort or another and the last four US Presidents have been confronted with an India-Pakistan crisis with a nuclear dimension.

Nowhere else in the world do you have that kind of problem and this book tries to look in-depth at each one of these crises and looks ahead to how we can avoid having another one in the future.

http://www.bharat-rakshak.com/NEWS/newsrf.php?newsid=19940

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Des millions d'Indiens menacés par une sécheresse historique

Privés d'eau potable, ruinés par la mort du bétail et le dépérissement des cultures qui les menacent de famine, des millions d'Indiens connaissent une sécheresse historique dans l'ouest du pays après deux faibles moussons, un phénomène accentué par l'incurie et la corruption.

La situation dans le centre du Maharashtra (Ouest), dont Bombay est la capitale, est plus alarmante qu'en 1972, année record pour la sécheresse, a souligné le chef du gouvernement local, Prithviraj Chavan. "Les réservoirs n'ont jamais été aussi bas et à chaque jour qui passe, ils se vident un peu plus", a-t-il ajouté, incriminant les précipitations insuffisantes tombées dans cet Etat depuis deux ans.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/03/06/des-millions-d-indiens-menaces-par-une-secheresse-historique_1843394_3244.html

Si on veut éradiquer la culture de la corruption, de la lenteur administrative, ... Il faut des politiciens, des militaires et des juges honnêtes et intègres. L'Inde est très loin  :P ou à moins, d'un homme à poigne (un régime autoritaire) ?!

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Jane's...

Indian defence budget up 5.3% over previous year

Rahul Bedi

  New Delhi

India's defence allocation of INR2.03672 trillion (USD37.03 billion) for fiscal year 2013-14 (FY13-14) was a 5.33% increase over the previous year's outlay.

However, the federal budget presented to parliament on 28 February by Finance Minister P C Chidambaram saw defence spending at just 1.79% of GDP, compared with the 1.9% defrayed in FY12 and the more than 2.5% demanded by the armed forces.

Nonetheless, Defence Minister A K Antony welcomed the allocation, stating: "Factoring in the current difficult economic situation at home and abroad, the finance minister has been fair to the defence sector by increasing the budget. He has also assured us that should there be any urgent future need, money would be provided."

In November 2012 Chidambaran cut the FY12 INR1.93408 trillion defence budget by INR100 billion - or about 12% - as a result of deficit overruns, mounting inflation and rising import costs following a 20% decline in the value of the rupee against the US dollar.

The FY13 defence budget accounts for 12.23% of the overall estimated government spending. INR867.41 billion of the defence outlay is allocated for capital expenditure or procurements: an 8.2% increase over the amount sanctioned for acquisitions in FY12.

However, a large proportion of this is committed to payments for materiel already acquired. These acquisitions include six C-130J and 10 C-17 Globemaster III military transport aircraft, 8 P-8I Poseidon maritime patrol aircraft and the Kiev-class aircraft carrier Vikramaditya (ex- Admiral Gorshkov ), which is being purchased for the cost of its refit in Russia.

INR337.76 has been earmarked for aircraft acquisition across all three services, with the Indian Air Force (IAF) unsurprisingly taking the lion's share for the USD16 billion to USD18 billion deal for 126 Dassault Rafale combat aircraft that is currently under contract negotiation.

Conversely, the Army Aviation Corps' (AAC's) share of this outlay dwindled by almost 50% to INR15.27 billion, providing limited scope for badly needed assets such as attack and light utility helicopters.

The army's overall share of the FY13 budget is INR818.33 billion, the IAF's INR182.95 billion and the navy's INR121.94 billion.

Copyright © IHS Global Limited, 2013

Henri K.

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J'aime bien la critique pertinente de Salman Rushdie sur l'Inde dans «Libération».  ^-^

Quel rapport entretenez-vous avec l’Inde aujourd’hui ?

Bien sûr je me tiens au courant de ce qui s’y passe, et je suis très inquiet de la situation politique. Le Congrès national indien, qui gouverne le pays, est corrompu et très affaibli. Le Premier ministre est un pantin, puisqu’il doit demander son avis à Sonia Gandhi pour tout.  =)

A la tête de l’opposition, le Parti du peuple indien fait les yeux doux à Narendra Modi, qui est l’homme qui s’apparente le plus à un nazi en Inde. Il est tout à fait possible que ce type devienne Premier ministre un jour et, là, il y a de quoi avoir peur pour la démocratie indienne.

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Quand l'Italie "trahit" l'Inde

Depuis lundi, rien ne va plus entre l'Italie et l'Inde. Rome refuse de renvoyer en Inde deux Marines accusés d'avoir tué deux pécheurs indiens au large du Kerala il y a un an. Ils avaient reçu la permission de la Cour suprême de Delhi de se rendre dans leur pays pour voter. L'ambassadeur d'Italie en Inde s'était porté garant de leur retour.

http://blog.lefigaro.fr/inde/2013/03/quand-litalie-trahit-linde.html

L'Inde menace si l'Italie ne renvoie pas ses soldats poursuivis pour meurtres

NEW DELHI - Le Premier ministre indien, Manmohan Singh, a menacé mercredi l'Italie de conséquences sur leurs relations bilatérales si Rome ne renvoyait pas en Inde les deux militaires italiens poursuivis pour avoir tué deux pêcheurs indiens qu'ils avaient pris pour des pirates en février 2012.

Des informations de presse faisaient toutefois état d'une possible expulsion de l'ambassadeur d'Italie en Inde.

Mais le ministère italien des Affaires étrangères a annoncé lundi qu'étant donné la controverse internationale entre les deux États, les deux marins (...) ne retourneront pas en Inde au terme de leur permission.

Cette décision a provoqué la colère en Inde, un parti de l'opposition ayant notamment estimé que Rome prenait l'Inde pour une république bananière.

J'espère que des extrémistes ne vont pas s'en prendre à des ressortissants italiens ou à des chrétiens indiens malgré que les pêcheurs tués étaient des chrétiens. Ces extrémistes profitent toujours d'une occasion pour persécuter des minorités religieuses ou dénoncer la main étrangère ...

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INDE-ITALIE • Néocolonialisme à l'italienne ?

Rien ne va plus entre l'Inde et l'Italie. L'affaire des deux soldats italiens accusés du meurtre de deux pêcheurs indiens est en train de virer à la crise diplomatique. De part et d'autre, les autorités se renvoient la responsabilité. Et les clichés vont bon train.

...

En un an, les deux pays ne sont jamais parvenus à se mettre d'accord. La justice indienne veut juger les deux soldats, tandis que le gouvernement italien estime que le cas ne relève pas de la justice indienne, les faits s'étant produits dans les eaux internationales. En attente du procès, les deux marins sont restés en liberté surveillée pendant plusieurs mois, jusqu'aux récents événements qui ont ravivé les tensions et transformé l'incident diplomatique en une mini-guerre froide.

...

L'Italie n'a pas tenu sa parole

Une opinion de plus en plus largement partagée en Italie notamment dans les journaux orientés à gauche. "Qu'on arrête de faire de nos deux soldats des héros pour nous épargner le ridicule auquel s'ajoute la tragédie de ces deux pêcheurs et la honte pour notre pays de ne pas avoir tenu sa parole", s'exclame Il Fatto quotidiano.

...

"Etait-ce vraiment le bon moment pour offenser l'Inde avec un comportement diplomatique aussi scandaleux ?" s'interroge Il Fatto quotidiano. Justement, l'hebdomadaire indien Outlook titre en Une "Basta!"

Image IPB

et rappelle que "l'Italie hante la politique indienne. Maintenant ce sont les marins récalcitrants italiens qui viennent d'administrer une gifle cinglante à notre justice et à notre exécutif. Ca suffit!". Quant au magazine Tehelka, il évoque "la perfidie du gouvernement italien qui a abasourdi la plupart des observateurs", mais appelle à une résolution raisonnable et raisonnée du malentendu italo-indien pour que la diplomatie (et les contrats industriels) ne fassent pas les frais d'orgueils nationaux blessés.

Pourquoi internationaliser ce dossier ?

Autant expulser les diplomates italiens, ... par contre, je crains des incidents ou agressions gratuites contre des ressortissants européens ou occidentaux pris pour cible pour des Italiens. Les extrémistes ont dû mal à différencier les personnes de type européenne, confondant allégrement un Italien d'un Allemand ou d'un Français ou d'un Anglais ou d'un Américain ou d'un Australien ...

Inde : l'Italie conseille à ses citoyens d'être "vigilants"

En pleine querelle diplomatique et au lendemain d'une alerte déclenchée dans les aéroports indiens pour empêcher l'ambassadeur d'Italie de quitter le pays, Rome conseille à ses ressortissants présents en Inde d'être "vigilants et prudents".

L'Italie a demandé samedi à ses ressortissants présents en Inde d'être "vigilants et prudents", tandis que s'amplifie une querelle diplomatique concernant deux fusiliers marins italiens accusés de meurtre mais rentrés dans leur pays. Cette recommandation intervient au lendemain d'une alerte déclenchée dans les aéroports indiens pour empêcher l'ambassadeur d'Italie de quitter le pays, selon des sources du ministère de l'Intérieur indien. "Concernant les manifestations ayant trait aux deux marins, particulièrement dans l'Etat de Kerala, les citoyens sont priés d'adopter une attitude vigilante et prudente et de rester à l'écart des foules", peut-on lire dans une note publiée par l'ambassade italienne sur son site Internet.

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L’UE hausse le ton. L’Inde rappelée à ses obligations internationales.

Ton un peu plus ferme de l’Union européenne aujourd’hui dans le litige entre l’Inde et l’Italie sur la traduction en justice des fusiliers marins servant sur le Enrica Lexie. Il est vrai que la ligne de langage, indiquée hier, semblait relativement faible. La Haute Représentante, Catherine Ashton a ainsi fait part – dans un communiqué publié aujourd’hui – de sa « préoccupation » sur les ordonnances du 14 et 18 Mars 2013 de la Cour suprême indienne qui oblige l’ambassadeur d’Italie à demander la permission de la Cour pour quitter le pays jusqu’à nouvel ordre.

Elle « rappelle » aussi que « la convention de Vienne de 1961 sur les relations diplomatiques est une pierre angulaire de l’ordre juridique international et doit être respectée en tout temps. Toute restriction à la liberté de mouvement de l’ambassadeur d’Italie à l’Inde serait contraire aux obligations internationales établies en vertu de la présente Convention » précise-t-elle. Le communiqué poursuit en espérant qu’une solution « mutuellement acceptable » puisse être trouvée « par le dialogue et dans le respect des règles internationales et encourage les parties à explorer toutes les voies à cet effet ».

http://www.bruxelles2.eu/piraterie-maritime/lue-hausse-le-ton-linde-rappelee-a-ses-obligations-internationales.html

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L'Italie refait marche arrière et ... renvoie finalement les deux fusiliers marins en Inde pour qu'ils y soient jugés. Pale figure du gouvernement transalpin qui justifie cet énième volte-face par le fait que les Indiens auraient garanti que les deux soldats ne seraient pas passibles de la peine de mort.

Je doute à titre personnel que les Indiens eussent pris le risque d'infliger la peine capitale à des ressortissants (soldats, en plus) d'un pays avec lequel ils ont des rapports multiples et consolidés depuis longtemps déjà.

M'enfin, c'est con pour les soldats: le lien indique pudiquement que les autorités italiennes ont mis 5 heures pour les convaincre de refaire leurs valises ...

http://www.repubblica.it/esteri/2013/03/21/news/india_mar-55078136/

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  • 3 weeks later...

Narendra Modi a été officiellement intronisé par son parti nationaliste du peuple indien. Il a demandé à la diaspora indienne son aide financière mais aussi de redorer son image à l'étranger.

Aussitôt investi, il part en compagne à travers l'Inde pour se faire connaître et s'attaquer à ses ennemis congressistes, communistes, séparatistes, ... Il dénonce la corruption, le laxisme politique (viols), fait éloge de son bilan au Gujurat (croissance +/- 10 %, développement industriel, économique, ...), ...

Ses devises :

- "J'ai de l'ambition pour l'Inde mais les autres pas (notamment Rahul Gandhi)."

- "Le peuple indien va retrouver sa fierté, sa dignité, son honneur, son respect, ..."

Image IPB

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A Berlin, le Premier ministre indien appelle l'Europe à résoudre sa crise

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En visite chez Angela Merkel, le Premier ministre indien Manmohan Singh a appelé jeudi les Européens à résoudre la crise de l'euro pour préserver la croissance mondiale et la vigueur du commerce international.

"J'ai dit à Mme Merkel que nous voulions une zone euro qui prospère, qui sorte de la crise", a déclaré le chef de gouvernement indien lors d'une conférence de presse commune avec son hôte, au terme de consultations bilatérales entre les deux gouvernements.

"Une zone euro forte est dans l'intérêt de tous les pays en développement", a-t-il ajouté, car "le commerce (international) ne peut pas rester soutenu s'il y a des problèmes dans une partie du monde comme la zone euro".

"L'Allemagne perçoit comme son devoir absolu non seulement d'assurer la stabilité de la zone euro mais aussi de garantir son avenir", a dit pour sa part la chancelière, qui ne veut pas que l'Europe soit "une source d'irritation" pour ses partenaires.

Elle en a profité pour refaire passer son message de toujours: les problèmes de l'union monétaire ne seront pas résolus "en dépensant plus d'argent, mais par des réformes structurelles".

"Le fait que l'économie allemande continue à être si forte" et l'engagement de la chancelière elle-même "me rendent confiant que la crise de la zone euro sera combattue efficacement dans les mois à venir", a dit M. Singh, louant "la grande clairvoyance" de son interlocutrice.

Accord de libre-échange UE-Inde

L'un des grands sujets évoqués pour relancer la croissance est le projet d'accord de libre-échange entre l'Inde et l'Union européenne, dont les négociations, en cours depuis plus de cinq ans, achoppent sur plusieurs points.

Parmi eux: le degré de protection de l'industrie automobile, l'ouverture du marché indien des assurances ou encore la question de la propriété intellectuelle.

Mme Merkel a décrit les négociations comme étant dans une phase "très dynamique" et a déclaré voir "une possibilité de tomber d'accord" sur le volet agricole de l'accord. Cet accord, que New Delhi espérait boucler avant fin 2011, doit faire passer le commerce entre l'Inde et l'Union européenne à 237 milliards d'euros par an d'ici 2015, contre plus de 90 milliards d'euros à l'heure actuelle.

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Chinese troops set up post 10km inside Ladakh

Times of India

NEW DELHI: In yet another deep incursion into Indian territory, Chinese troops apparently made inroads into the Daulat Beg Oldi (DBO) sector of eastern Ladakh and erected a tented post there this week.

Indian Army officials were, however, not too perturbed about the incursion, holding that it was a common occurrence. "In that area, patrols do have a face-off every now and then due to differing perceptions of where the Line of Actual Control lies. We resolve it through existing consultative border mechanisms," said a senior officer.

As per reports, a platoon-strength contingent of about 50 troops of the People's Liberation Army (PLA) came 10 km inside Indian territory in Burthe in the DBO sector, which is at an altitude of about 17,000 feet, on the night of April 15.

Troops from Indo-Tibetan Border Police(ITBP), which mans that stretch of the border, have also established a camp approximately 300 metres opposite the location, the sources said.

ITBP has asked for a flag meeting with the Chinese side but there has been no response till now.

The Ladakh Scouts, an infantry regiment of the Indian Army that specializes in mountain warfare, has also moved towards the area where the situation was described as tense.

DBO, located in northernmost Ladakh, is an historic camp site and located on an ancient trade route connecting Ladakh to Yarkand in Xinjiang, China. IAF has in recent years activated advanced landing grounds at DBO and two other places in eastern Ladakh as part of the policy to build military infrastructure along the LAC, in a belated move to counter strategic moves by China in the region.

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600 border violations by China along LAC since 2010

NEW DELHI: China's "deeper" troop incursions into Ladakh have set the alarm bells clanging in the Indian security establishment, even as defence minister A K Antony on Monday asserted that all necessary steps would be taken "to protect the country's interests" in the continuing face-off between rival soldiers in the Daulat Beg Oldie (DBO) sector.

India has recorded well over 600 "transgressions" - the government's euphemism for cross-border intrusions - all along the unresolved 4,057-km Line of Actual Control (LAC) by the People's Liberation Army over the last three years.

While the sheer number of the incidents itself is disquieting, the Indian establishment is more worried about the "brazen military assertiveness" being shown by the PLA in all the three sectors of the LAC -- western (Ladakh), middle ( Uttarakhand, Himachal) and eastern ( Sikkim, Arunachal) - in recent times.

"Ladakh in particular — in DBO and Nyoma sectors as well as Trig Heights and Pangong Tso lake — is being targeted. Though Chinese troops usually go back after marking their presence, they are increasingly coming deeper and deeper into our territory with the aim to stake claim to disputed areas," said an official.

This comes in the backdrop of a PLA platoon setting up a temporary camp, with soldiers pitching tents to coolly settle down, around 10 km inside Indian territory in Burthe area of the DBO sector last week, as was then reported by TOI.

India also moved forward a platoon of Ladakh Scouts to station them just about 500 metres from the Chinese tented position, which is at an altitude of 16,800 feet. "Our soldiers are conducting 'banner drills' (waving banners and placards at the Chinese troops to show it is Indian territory) through the day," said another officer.

"We held a brigadier-level flag meeting with the Chinese troops on April 18 to resolve the issue but nothing much came off it. We have asked for another flag meeting," he added.

India is also working the hotlines of the new bilateral boundary coordination mechanism, which became operational last year after the 15th round of border between national security advisor Shivshankar Menon and his Chinese counterpart Dai Bingguo, to resolve the stand-off.

"We are in touch and flag meetings are going on. There is more information to come. We will factor all that and then take a final view," external affairs minister Salman Khurshid said.

But the fact remains that India has become extremely wary of China's cartographic aggression, coupled with the Beijing-Islamabad nexus, in the region. Pointing this out, Antony had warned at the recent Army commanders' conference that this hardening Chinese stand on the boundary issue was "not likely" to change even with the new leadership led by Xi Jingping taking guard in Beijing.

"Therefore, there is a need to constantly develop our capability to achieve minimum credible deterrence, even while we seek a peaceful resolution of the issue," he said.

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Protection permanente pour l'homme le plus riche d'Inde

Le gouvernement indien va fournir à l'homme le plus riche du pays, à la tête du groupe énergétique Reliance Industries, une protection permanente assurée par des commandos armés, ont rapporté lundi plusieurs médias locaux.

Le ministère de l'Intérieur a donné son feu vert à cette initiative deux mois après que ce magnat industriel, Mukesh Ambani, a reçu une lettre menaçant d'attenter à sa vie, selon le quotidien Times of India.

Selon des informations de presse, cette lettre remise en mains propres à son bureau de Bombay émanerait du groupuscule islamiste des Moudjahidine Indiens (IM). Citant une source sous le couvert de l'anonymat, le Times of India rapporte que le ministre de l'Intérieur, Sushilkumar Shinde, a donné son accord pour attribuer la même sécurité rapprochée à M. Ambani que celle dont bénéficient les hommes politiques de premier plan en Inde.

L'homme d'affaires sera désormais accompagné dans tous ses déplacements par un convoi de véhicules avec à leur bord des commandos munis d'armes sophistiquées, selon l'agence Press Trust of India (PTI). La force de réserve de la police a affecté 28 de ses membres à sa protection, selon PTI.

Un porte-parole de Reliance s'est refusé à tout commentaire tandis que la police de Bombay n'était pas joignable dans l'immédiat.

Cette décision a fait grincer des dents certains observateurs. "Un homme aussi riche ne peut se payer des gardes de sécurité privés", a ainsi ironisé un militant anticorruption, Arvind Kejriwal. "Et aucun média n'a le courage ne s'interroger là-dessus ?", a-t-il dénoncé.

Selon la presse, l'organisation IM aurait menacé M. Ambani pour son soutien à un nationaliste hindou, le chef du gouvernement du Gujarat (ouest), qui rêve de devenir Premier ministre après les élections générales de 2014.

Ce nationaliste, Narendra Modi, est accusé d'avoir fermé les yeux lors de violences religieuses au Gujarat en 2002 qui firent 2.000 morts, en majorité des membres de la minorité musulmane de cet Etat où Reliance est un investisseur majeur.

Narendra Modi commence avoir le soutien de certains pays étrangers, d’industriels indiens, d'intellectuels, de féministes, ... Il va être un fameux concurrent pour ces opposants et détracteurs.

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L’Inde demande à la Chine de retirer ses troupes

Le ministère indien des Affaires étrangères a annoncé mardi avoir demandé à la Chine de retirer ses troupes après leur incursion présumée dans une zone reculée de l’Himalaya revendiquée par New Delhi.

«Nous avons demandé à la Chine de maintenir le statu quo dans ce secteur (de la frontière occidentale)», a déclaré le porte-parole du ministère, Syed Akbaruddin lors d’un point de presse. «J’entends par cela le statu quo antérieur à cet incident».

India moves in more troops, stand-off with China escalates

The Indian army has moved an infantry regiment specialising in mountain warfare to Ladakh’s Daulat Beg Oldi (DBO) sector where the Chinese army has intruded into Indian territory and set up a tent post. The ITBP has also pitched a tent post just across from the one erected by the People’s Liberation Army (PLA), after it intruded 10km inside Indian territory on April 15.

The Indian government is playing down the intrusion with external affairs minister Salman Khurshid saying flag meetings were being held, but sources in the ministry of defence revealed that the situation was tense.

The two sides are caught in a bitter face-off with the Chinese refusing to retreat, claiming the territory to be theirs. In a deep incursion, a platoon strength of the Chinese army, comprising 50 men have entrenched themselves in eastern Ladakh at a height of nearly 17,000 feet.

In the past too, the PLA has intruded into Indian territory across the line of actual control (LAC), not very well demarcated at many places.

In 2011, members of the PLA landed in Ladakh in a helicopter and broke a few bunkers before retreating but this is the first time the stand-off has continued for a week.

A senior defence ministry official confirmed to HT that the intrusions have increased over the past few months because India has moved its tanks into high-altitude areas of Ladakh and even deployed heavy armoury. Recently, India also reactivated the advanced landing ground (ALG) for troop replenishment.

“Our troops are patrolling the Chinese side of the LAC and have not trespassed the line,” China’s foreign ministry spokesperson Hua Chunying said in Beijing, adding, “China is willing to solve the boundary question through peaceful negotiations.”

In Delhi, an effort is being made to contain the confrontation especially since the new Chinese President Xi Jinping is likely to visit India. For now, Delhi is working the phone lines – a line of communication agreed upon under the recently set up Mechanism on Coordination and Consultation on Border Affairs.

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