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https://www.sudouest.fr/2020/12/31/pourquoi-l-australie-a-t-elle-modifiee-son-hymne-national-8242715-4803.php

La seconde phrase de l’hymne Advance Australia Fair (Avance belle et juste Australie), "nous sommes jeunes et libres", est remplacée par "nous sommes unis et libres", a annoncé le Premier ministre Scott Morrison. "L’Australie, en tant que nation moderne, est relativement jeune, mais l’histoire de notre pays est ancienne, comme le sont les histoires des Premières Nations, dont nous reconnaissons et respectons l’esprit", a-t-il écrit dans le journal The Age à la veille du Nouvel An.

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  • 1 month later...
Le 15/11/2020 à 11:08, Wallaby a dit :

https://www.tntv.pf/tntvnews/monde/australie-le-changement-climatique-va-aggraver-les-phenomenes-meteo-scientifiques/ (13 novembre 2020)

L’agence scientifique nationale australienne (CSIRO) et le service météorologique australien ont publié un rapport vendredi laissant présager ce qui attend le pays déjà ravagé en 2019-2020 par des feux de forêts d’une ampleur exceptionnelle après avoir connu l’année la plus chaude et la plus sèche jamais enregistrée.

Les températures moyennes ont augmenté de 1,44°C depuis 1910, selon les scientifiques qui rappellent l’objectif de l’accord de Paris sur le climat qui est contenir la hausse des températures à 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle. 

Les océans ont connu un réchauffement d’un degré en moyenne sur la même période, ce qui a entraîné leur acidification et des vagues de chaleur marine plus fréquentes, selon le rapport. 

La moitié des coraux de la Grande Barrière, en Australie, ont péri depuis 1995 en raison de cette hausse de la température de l’eau.

https://grist.org/climate/interview-elizabeth-kolbert-on-her-book-under-a-white-sky-and-why-well-never-stop-messing-with-nature/ (8 février 2021)

Il y a environ quatre ans, je suis allée à Hawaii pour faire un reportage sur un projet qui avait été surnommé le "super projet corallien". Il était dirigé par une scientifique très charismatique du nom de Ruth Gates, qui est malheureusement décédée il y a environ deux ans. Nous avons très radicalement modifié les océans en déversant des centaines de milliards de tonnes de CO2 dans l'air - et nous ne pouvons pas extraire cette chaleur des océans dans un délai prévisible. Nous ne pouvons pas en modifier la chimie. Et si nous voulons des récifs coralliens à l'avenir, nous allons devoir contrecarrer ce que nous avons fait aux océans en reconstruisant les récifs pour qu'ils puissent résister à des températures plus élevées. Le but du projet était de voir si l'on pouvait hybrider ou croiser les coraux pour obtenir des variétés plus vigoureuses.

Les biologistes spécialistes des coraux se sont disputés pour savoir si un tel projet devait être poursuivi. La Grande Barrière de Corail est de la taille de l'Italie. Même si vous avez des coraux de remplacement, comment allez-vous les faire sortir sur le récif ? Mais le point de vue de Gates était que nous ne reviendrons pas en arrière. Même si nous arrêtions d'émettre du CO2 demain, la Grande Barrière de Corail ne reviendrait pas comme elle l'était dans un délai prévisible.

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https://www.lepoint.fr/medias/australie-facebook-defie-le-pays-en-bloquant-les-contenus-d-actualite-18-02-2021-2414506_260.php

Le gouvernement a réagi avec colère, jeudi 18 février 2021, face au blocage de nombreux contenus d'actualité par le réseau social dans le pays, en représailles à un projet de loi qui entend forcer le géant américain à rémunérer les médias.

https://www.faz.net/aktuell/wirtschaft/australien-facebooks-blockade-von-nachrichten-sorgt-fuer-aufruhr-17203720.html (18 février 2021)

Morrison a menacé le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg : "J'ai des échanges réguliers avec les dirigeants d'autres nations sur ces questions. De telles actions ne font que confirmer les inquiétudes que de plus en plus de pays ont à propos du comportement des grandes entreprises technologiques qui se croient plus grandes que les gouvernements et auxquelles les règles ne s'appliquent pas".

Avant même la déclaration du Premier ministre, l'action de Facebook avait provoqué le plus grand mécontentement en Australie. Les commentateurs ont parlé de Facebook ayant "déclaré la guerre à l'Australie" ou "déclenché une bombe nucléaire".

L'une des critiques les plus sévères est venue des rangs de Facebook eux-mêmes, avec Stephen Scheeler, l'ancien chef des Américains pour l'Australie et la Nouvelle-Zélande qui a mis en place le réseau là-bas, appelant les Australiens à effacer la page Facebook. "Facebook a tout supprimé, y compris les pages de charité, la lutte contre les incendies en Australie occidentale et les informations sur les feux de forêt. C'est vraiment laid. Les Australiens devraient être très en colère". Parmi les sites fermés jeudi au beau milieu de la pandémie de Corona, on trouve ceux de Queensland Health ou de l'Australian Weather Service.

"Certaines entreprises atteignent une taille telle qu'elles ont alors une obligation sociale. Nous n'avons pas été assez sévères sur la législation et nous avons tout laissé aux entreprises - et c'est comme ça que ça finit", a déclaré l'exécutif, selon le journal The Australian. "Je suis un ancien homme fier de Facebook. Mais au fil des ans, je suis de plus en plus désespéré. Facebook et Mark (Zuckerberg) sont trop axés sur l'argent, le pouvoir, et non sur le fait de faire le bien. Et il n'y a pas d'élection pour éliminer Zuckerberg". Le comportement des Américains, a-t-il dit, est "une déclaration de guerre". Scheeler a demandé : "Et si une entreprise chinoise agissait ainsi ?"

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  • 2 weeks later...
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Qu'est ce qu'on s'amuse en Australie.

Après les incendies géants en 2019-2020 et  l'épidémie de Covid, voici les inondations biblique et les araignées mortelles :blink: :

Avant/Après : l'ampleur des dégâts vus du ciel après les inondations en Australie

Paris Match | Publié le 25/03/2021

https://www.parismatch.com/Actu/Environnement/Avant-Apres-avec-la-decrue-les-Australiens-decouvrent-l-ampleur-des-degats-1730657#Autour-de-la-base-de-la-Royal-Australian-Air-Force-a-RichmondnbspNouvelle-Galles-du-Sud

 

Une invasion de mygales mortelles attendue après les inondations en Australie

Par GEO avec AFP - Publié le 24/03/2021

https://www.geo.fr/environnement/une-invasion-de-mygales-mortelles-attendue-apres-les-inondations-en-australie-204161

 

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  • 2 weeks later...
il y a 37 minutes, rogue0 a dit :

Du coup, l'Australie reste dans le camp US ... mais subit des sanctions chinoises (officieuses) , qui sont extrêmement douloureuses vu la dépendance de l'Australie au client chinois... (Bien sûr les demandes australienne d'enquête sur l'origine du Covid n'ont rien arrangé).
-> par exemple boycott total du charbon australien.


et réclame un peu plus de solidarité des Cinq Yeux pour compenser les pertes commerciales en Chine :

https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/will-five-eyes-stare-down-china-s-economic-coercion (15 avril 2021)

Hélas, alors que la valeur des exportations australiennes de boissons alcoolisées - presque exclusivement du vin - vers la Chine a chuté de 98 % entre octobre 2020 et février 2021, les ventes aux États-Unis et aux autres pays du Five Eyes n'ont pas compensé. En fait, elles ont également chuté de 25 %.

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https://www.theguardian.com/australia-news/2021/apr/21/federal-government-tears-up-victorias-belt-and-road-agreements-with-china

Le gouvernement Morrison a utilisé ses nouvelles lois draconiennes sur le veto de politique étrangère pour déchirer les accords de Nouvelle Route de la Soie conclus par le Victoria avec la Chine.

La ministre des affaires étrangères, Marise Payne, a déclaré qu'elle annulerait ces deux accords, ainsi que deux autres accords plus anciens entre le gouvernement de Victoria et des entités iraniennes et syriennes, car ils sont "incompatibles avec la politique étrangère de l'Australie ou défavorables à nos relations étrangères".

Le gouvernement fédéral a introduit l'année dernière de nouvelles lois lui permettant d'examiner et d'annuler une série d'accords internationaux conclus par les États et territoires, les municipalités et les universités.

Mais Mme Payne a déclaré qu'elle avait décidé d'approuver un projet de protocole d'accord entre le gouvernement d'Australie occidentale et le ministère indonésien de l'énergie et des ressources minérales. Cet accord porte sur la coopération en matière de développement des ressources humaines dans le secteur de l'énergie et des ressources.

Des universités ont précédemment qualifié les nouvelles lois sur le veto de politique étrangère d' " abus significatif ".

Modifié par Wallaby
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https://theconversation.com/au-fin-fond-du-desert-australien-une-expedition-a-la-recherche-de-terres-rares-157158 (26 avril 2021)

L’expédition que je vais vous raconter, c’est ma dernière mission de terrain, au temps d’avant, prépandémie, lors de l’hiver austral 2019.

L’objectif de cette mission était d’étudier des roches dans un secteur proche de Nolans Bore qui sera dans les prochaines années l’une de plus grandes mines de terres rares d’Australie dans les Territoire du Nord.

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il y a une heure, Wallaby a dit :

https://theconversation.com/au-fin-fond-du-desert-australien-une-expedition-a-la-recherche-de-terres-rares-157158 (26 avril 2021)

L’expédition que je vais vous raconter, c’est ma dernière mission de terrain, au temps d’avant, prépandémie, lors de l’hiver austral 2019.

L’objectif de cette mission était d’étudier des roches dans un secteur proche de Nolans Bore qui sera dans les prochaines années l’une de plus grandes mines de terres rares d’Australie dans les Territoire du Nord.

tu es le rédacteureur (enfin... la rédactrice) ?

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https://www.lemonde.fr/international/article/2021/05/06/la-chine-suspend-un-accord-economique-avec-l-australie_6079309_3210.html

Pékin a attendu jeudi pour répliquer. Sa puissante agence de planification (NDRC) a annoncé dans un communiqué suspendre « indéfiniment » le « Dialogue économique stratégique sino-australien ».

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Un journal chinois influent évoque des frappes contre l'Australie si elle aide militairement Taïwan

Lors de l’Anzac Day, le 25 avril, le nouveau ministre de la Défense, Peter Dutton, s’était inquiété de l’éventualité d’une guerre opposant la Chine à Taïwan. Ce qui lui valut les foudres de Pékin. « On espère que la partie australienne reconnaîtra pleinement la grande sensibilité de la question de Taïwan, respectera le principe d’une seule Chine, sera prudente dans ses paroles et ses actes tout en s’abstenant d’envoyer de faux signaux aux forces séparatistes taïwanaises », lui rétorqua la diplomatie chinoise, le lendemain.

Dans la même veine, Mike Pezzullo, un responsable du gouvernement australien, évoqua les « battements de tambours de la guerre » qui se faisaient de nouveau entendre dans la région Indo-Pacifique. Et d’insister sur la nécessité de se préparer à une éventuel conflit. Mais il s’était gardé d’évoquer la Chine, alors que les relations entre Canberra et Pékin ne cessent de se dégrader, malgré leurs relations commerciales.

Ingérences dans la vie politique australienne, influence dans les universités, accusations d’espionnage et de cyberattaques, entraves à la liberté de navigation… Nombreux sont les griefs de l’Australie à l’égard de la Chine… Qui le lui rend bien, les autorités chinoises n’ayant pas digéré l’exclusion de l’équipementier Huawei dans le réseau 5G australien ou encore la demande de Canberra concernant une enquête internationale pour déterminer l’origine de la covid-19 à Wuhan [Chine].

Au niveau économique, les relations se sont davantage tendues après la décision du gouvernement fédéral australien de résilier un accord signé par l’État de Victoria [sud-est de l’Australie] avec les autorités chinoises dans le cadre des « nouvelles routes de la soie », considérant qu’il représentait une menace contre l’intérêt national. Ce qui a été perçu comme une « provocation » à Pekin, qui, en retour, a suspendu toutes les activités conduites dans le cadre du mécanisme de Dialogue économique stratégique Chine-Australie.

Jusqu’alors, la position australienne consistait à jouer sur deux tableaux : maintenir les exportations vers la Chine à un niveau élevé [un tiers des exportations brutes australiennes étaient destinées au marché chinois, ndlr] tout en s’abritant sous la parapluie sécuritaire américain.

La donne commença à changer quand une enquête mit en évidence l’influence chinoise dans la vie politique australienne. Puis, les ambitions régionales de Pékin et la pandémie firent le reste, avec notamment, s’agissant de cette dernière, la décision chinoise de limiter et/ou de taxer plus encore les importations venant d’Australie après sa demande d’une enquête internationale et indépendante sur l’origine de la covid-19.

Sur le plan militaire, l’Australie est une alliée proche des États-Unis, avec lesquels elle a co-fondé le Quad [Dialogue de sécurité quadrilatéral], qui réunit également le Japon et l’Inde, dont la raison d’être est de contrer la Chine dans la région Indo-Pacifique.

Évidemment, dans le cas où Pékin déciderait de mettre la main sur Taïwan, il y a fort à parier que Canberra se joindrait à Washington pour s’y opposer, d’autant plus que l’Australie et les États-Unis sont liés par l’ANZUS [Australia, New Zealand, United States Security Treaty], un traité signé en 1951. C’est en vertu de ce dernier que les forces australiennes participèrent aux guerres de Corée et du Vietnam, ainsi qu’aux opérations américaines en Afghanistan et en Irak.

En outre, Taipei cherche le soutien de Canberra, comme l’a affirmé Joseph Wu, le ministre taïwanais des Affaires étrangères, dans un entretien publié par l’Australian Financial Review, le 7 mai dernier. Il s’agit, a-t-il expliqué de « lutter contre l’expansionnisme du président chinois Xi Jinping dans le monde démocratique. »

Quoi qu’il en soit, un soutien de l’Australie a une opération américaine consistant à défendre taïwanan pourrait se traduire par une participation à la protection des voies maritimes, à des missions de transport, voire à des actions de combat sous certaines conditions.

Une telle perspective est évidemment inacceptable pour Pékin, qui n’a pas manquer de le faire savoir… en se servant du « Global Times », le tabloïd édité par le Quotidien du Peuple, le journal officiel du Parti communiste chinois [PCC]. L’avantage d’utiliser un tel canal est de dire tout haut ce que l’on pense tout bas, sans pour autant y donner un vernis officiel.

« Étant donné que les faucons australiens continuent à exagérer ou à laisser entendre que l’Australie aidera l’armée américaine et participera à une guerre une fois qu’elle aura éclater dans le détroit de Taiwan, et que les médias australiens ont activement promu ce sentiment, je suggère que la Chine fasse un plan pour des représailles contre l’Australie », a ainsi écrit Hu Xijin, qui n’est autre que le rédacteur en chef du Global Times.

« Le plan devrait inclure des frappes à longue portée contre les installations militaires et stratégiques sur le sol australien si l’Australie envoie réellement des troupes combattre l’Armée populaire de libération [APL] », a ajouté Hu Xijin.

« La Chine aime la paix et ne prendra pas l’initiative de se battre avec l’Australie lointaine, mais les faucons australiens doivent être lucides. S’ils sont assez audacieux pour se coordonner avec les États-Unis pour interférer militairement dans la question de Taiwan […], ils doivent savoir quels désastres ils provoqueraient dans leur pays », a conclu le rédacteur en chef du Global Times, dont le texte a été rangé dans la catégorie « point de vue ».

Plus tard, le Quotidien du Peuple n’est pas allé jusqu’à faire la même suggestion que M. Hu. Cependant, il a critiqué « l’obsession pathologique » de l’Australie concernant la guerre contre la Chine.

Canberra n’a pas réagi officiellement. Toutefois, quelques voix, comme celle du professeur de science politique Joe Siracusa a suggéré au gouvernement australien de convoquer l’ambassadeur de Chine et de lui demander de rejeter les suggestions émises par le Global Times. Et s’il ne le fait pas, de l’expulser d’Australie.

En tout cas, on verra si les autorités australiennes prennent de telles menaces au sérieux dans les prochains mois… si elles décident de se procurer des systèmes Patriot ou THAAD auprès des États-Unis. Ce qui n’était pas au programme de l’actualisation du livre blanc australien sur la défense, publiée l’an passé. L’accent était en effet mis sur les capacités de frappe à des fins de dissuasion. Actuellement, la défense antimissile est assuré par la Royal Australian Navy [RAN], avec des systèmes AEGIS installé à bord de ses frégates.

http://www.opex360.com/2021/05/12/un-journal-chinois-influent-evoque-des-frappes-contre-laustralie-si-elle-aide-militairement-taiwan/

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  • 4 weeks later...

https://theconversation.com/friday-essay-reckoning-with-an-animal-that-sees-us-as-prey-living-and-working-in-crocodile-country-160260 (4 juin 2021)

Qu'est-ce que cela fait de vivre sur des côtes infestées de crocodiles marins, le seul animal au monde qui considère l'être humain adulte comme une source de nourriture ? Le FNQ (l'extrême nord du Queensland), c'est Jurassic Park.

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  • 3 weeks later...

https://theconversation.com/australian-government-was-blindsided-by-un-recommendation-to-list-great-barrier-reef-as-in-danger-but-its-no-great-surprise-163159 (23 juin 2021)

[commentaires des internautes]

 Peter Redshaw

Mettons les choses au clair.  La seule raison pour laquelle le gouvernement Morrison peut être surpris par la déclaration de l'UNESCO et de l'UICN selon laquelle la Grande Barrière de Corail est en danger est qu'il est toujours dans le déni du changement climatique et du réchauffement de la planète.

Tant que le gouvernement Morrison continuera à faire passer le charbon avant la Grande Barrière de Corail, celle-ci sera de plus en plus menacée par l'augmentation des températures mondiales.

Peter Redshaw

En réponse à Terence Mills

Bonjour Terence, le problème est que tout cet argent, même s'il est bien dépensé, ce qui est très douteux avec ce gouvernement, ne signifie rien si vous n'agissez pas sur le changement climatique et le réchauffement global de nos océans, dont les océans du sud se réchauffent à un rythme plus rapide que ceux de l'hémisphère nord.

Si les océans continuent à se réchauffer et à s'acidifier, comme ils le feront si nous ne passons pas rapidement à des émissions de gaz à effet de serre nulles, la Grande Barrière de Corail aura de sérieux problèmes. Grâce à la recherche, nous pouvons identifier et développer des polypes coralliens pour qu'ils survivent au réchauffement des eaux, mais cela ne permet pas de faire face à l'impact de l'acidification sur nos océans.

Henry Jorden

Si l'industrie touristique se plaint de la recommandation de l'UNESCO, alors personne ne devrait se soucier de l'industrie touristique.
C'est l'un des pires secteurs d'activité en Australie, avec une destruction de l'environnement effrénée, des salaires bas et une absence de sécurité de l'emploi.

Peter Forrest

Hier, au Parlement, Joyce a parlé de la protection des emplois des mineurs de charbon dans le nord du Queensland, mais il n'a pas mentionné les milliers d'emplois que lui et le gouvernement devraient essayer de protéger le long de la Grande Barrière de Corail.

Dr Ed Wensing
  Chargé de recherche honoraire, Centre de recherche sur les politiques économiques aborigènes, ANU, Université nationale australienne

Demandez à n'importe quel propriétaire traditionnel du récif, où qu'il se trouve, et il vous dira que le récif est en train de mourir d'une mort lente et douloureuse.  Ce qui s'est passé au cours de la dernière décennie est presque irréversible.  Et l'Australie n'a personne d'autre à blâmer qu'elle-même.  L'absence persistante d'action concertée en matière de changement climatique tuera le GBR et les autres récifs australiens. Ningaloo [récif d'Australie Occidentale] n'est pas en bon état non plus, et souffre également.  Je pleure pour le manque de leadership de notre pays en matière de changement climatique.

Brian Bycroft

Une grande partie des médias a repris les tactiques d'il y a plus d'un siècle en accusant la Chine de la plupart des maux du pays.

https://www.hindustantimes.com/world-news/unesco-recommends-great-barrier-reef-be-listed-in-danger-irks-australia-101624354493692-amp.html (22 juin 2021)

"Cette décision était défectueuse. Il est clair qu'il y avait de la politique derrière tout cela... il est clair que cette politique a subverti un processus approprié et que le Comité du patrimoine mondial n'ait même pas anticipé cette inscription est, je pense, consternant", a déclaré Ley, faisant apparemment allusion à la Chine qui préside le comité de l'Unesco.

Si Ley n'a pas nommé Pékin, un responsable gouvernemental a déclaré à l'agence de presse Reuters que la Chine était responsable de la position du comité. "Nous ferons appel, mais c'est la Chine qui est aux commandes", a déclaré Reuters en citant le responsable gouvernemental anonyme.

https://www.skynews.com.au/details/_6260511711001 (23 juin 2021)

Le sénateur libéral James Paterson affirme qu'il est difficile de tirer une autre conclusion que la Chine est impliquée dans l'ingérence dans la Grande Barrière de Corail.

"L'Australie n'accepte de recevoir de leçons sur le changement climatique de la part d'aucun autre pays, mais nous n'acceptons surtout pas d'en recevoir de la part du plus grand émetteur du monde", a déclaré M. Paterson à Sky News.

 

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https://www.lemonde.fr/series-d-ete/article/2021/08/23/une-controverse-australienne-sur-les-aborigenes_6092150_3451060.html

Comment vivaient les Aborigènes avant l’arrivée de colons britanniques en 1788 ? Etaient-ils des chasseurs-cueilleurs ou des agriculteurs ? La question n’a rien d’anodin dans un pays où la colonisation a été justifiée par le principe de la Terra nullius, un « territoire sans maître » dès lors qu’il n’est pas exploité. En 2014, Bruce Pascoe avait déchaîné les passions en affirmant dans son ouvrage Dark Emu (...) que les Aborigènes possédaient les signes d’une société agricole.

La polémique vient de rebondir avec le livre Farmers or Hunter-Gatherers ? The Dark Emu Debate (« agriculteurs ou chasseurs-cueilleurs ? Dark Emu en débat », Melbourne University Press, non traduit), de l’anthropologue Peter Sutton et de l’archéologue Keryn Walshe.

https://theconversation.com/book-review-farmers-or-hunter-gatherers-the-dark-emu-debate-rigorously-critiques-bruce-pascoes-argument-161877 (13 juin 2021)

Pour beaucoup d'Australiens, le livre de Pascoe est un "must read", disant ses quatre vérités au pouvoir. Pour ces lecteurs, Dark Emu semble être un texte révolutionnaire. Ce n'est pas le cas, selon Sutton et Walshe. Ni selon moi.

L'objectif rhétorique de l'auteur est au cœur de Dark Emu. Cette démarche prosélyte est en partie réalisée grâce à un "sollicitation" minutieuse de ses sources, une pratique examinée de manière approfondie par Walshe et Sutton.

Elle a conduit à des conversions à la proposition douteuse de Pascoe. Mais cette volonté d'accepter l'argument de Pascoe révèle un dysfonctionnement systémique du système éducatif australien.

Comme l'atteste Sutton, des graines ont été et sont parfois délibérément dispersées. Mais dans les sociétés aborigènes classiques, elles n'étaient jamais plantées ni arrosées à des fins agricoles. Les rituels susmentionnés sont collectivement appelés "cérémonies d'accroissement". Le terme alternatif de Sutton, "cérémonies d'entretien", évoque la propagation spirituelle par opposition à la surproduction.

Alors que certains ont qualifié Dark Emu de falsification, Sutton et Walshe sont plus mesurés. Ils montrent méthodiquement que dans Dark Emu, Pascoe a supprimé des passages importants de publications qui contredisent ses principaux objectifs.

« [L'explorateur Charles Sturt] est cité [par Pascoe] à propos de la découverte par son groupe d'un grand puits et d'un "village" de 19 huttes quelque part au nord du lac Torrens en Australie-Méridionale ». Ce concept de "village" est issu des archives coloniales, et est encore parfois utilisé dans des articles récents.

Au mieux, c'est trompeur, car le journal de Sturt révèle que les Aborigènes ne vivaient pas dans des "maisons" sur un seul site toute l'année.

Les chasseurs-cueilleurs ont modifié le pays de manière significative - la plupart des Australiens connaissent l'ancienne pratique de brûlage du pays, récemment discutée en profondeur en raison de nos feux de brousse de plus en plus dévastateurs. Cela impliquait un pouvoir décisionnel et des prouesses écologiques. Mais le brûlage exécuté avec expertise n'est pas une pratique agricole comme l'affirme Pascoe.

La saison venue, les bâtons d'excavation en bois étaient également utilisés pour briser la terre afin d'extraire les ignames, et non pour "labourer" le sol en vue de planter des graines.

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https://www.smh.com.au/national/debunking-dark-emu-did-the-publishing-phenomenon-get-it-wrong-20210507-p57pyl.html (12 juin 2021)

Inconfortablement, le livre de Sutton et Walshe est publié par la maison d'édition de l'université qui, l'année dernière, a nommé Pascoe au poste de professeur d'agriculture indigène.

Ce n'est qu'en 2019, lorsque Dark Emu a acquis un statut célèbre, que Sutton lui a accordé toute son attention.

Rien dans les 50 années de recherche de Sutton auprès d'Aborigènes âgés ne lui a suggéré que Pascoe avait raison. Il a été "troublé" par le fait que les descriptions de la vie des Aborigènes faites par Pascoe étaient basées sur - et, à son avis, prenaient des libertés avec - "les journaux des explorateurs européens, des hommes qui ignoraient les langues et les cultures de ceux qu'ils rencontraient", plutôt que sur les Aborigènes, dont les connaissances sont enregistrées depuis au moins cent ans.

Il a été "déçu" qu'en tentant de décrire l'utilisation des terres par les autochtones, Pascoe ait ignoré l'importance des traditions spirituelles et des rituels. Il a été "stupéfait" que le livre soit "truffé d'erreurs de fait, de citations sélectives, d'utilisation sélective de preuves et d'exagération de preuves faibles", y compris l'idée que les Aborigènes occupent l'Australie depuis 120 000 ans. Il s'est dit "outré" que les programmes scolaires aient été modifiés pour se conformer au récit de Dark Emu, en adoptant les descriptions de Pascoe d'une société agricole primitive.

Avant tout, il estime que Pascoe a rendu un mauvais service aux Anciens - comme Sutton les appelle - en ressuscitant des idées longtemps discréditées de l'évolutionnisme social qui plaçait les chasseurs-cueilleurs plus bas sur l'échelle de l'évolution que les agriculteurs. Pour Sutton, il s'agit d'une résurgence de la philosophie coloniale utilisée pour justifier la dépossession des Aborigènes : les gens qui vivaient légèrement sur la terre n'avaient aucun droit sur celle-ci, les agriculteurs méritaient plus de dignité et de respect que les chasseurs-cueilleurs.

Comme Sutton, Walshe a également été consternée par le fait qu'en tentant de présenter les Aborigènes comme plus "avancés" que ce que l'on savait, Pascoe avait utilisé des termes péjoratifs, tels que "primitif", "simple" et "simple" pour décrire l'éclat et la complexité de la vie des chasseurs-cueilleurs. "J'ai encore du mal à croire que cela s'est produit", dit-elle à Good Weekend.

Dans Dark Emu, ainsi que dans la version pour enfants du livre, Young Dark Emu, et dans une ressource pédagogique, Dark Emu in the Classroom, une photographie montre une grande "maison à dôme pointu", que l'on suppose être aborigène. Ce n'est pas le cas. Elle provient de la région mélanésienne de l'est du détroit de Torres. Dark Emu in the Classroom affirme également que les peuples aborigènes et insulaires du détroit de Torres avaient "une économie agricole dans laquelle les graines étaient propagées, irriguées, récoltées, stockées et échangées d'une région à l'autre", et que les Aborigènes "avaient des systèmes d'agriculture, d'aquaculture, d'habitation, de stockage de la nourriture et de gestion des terres, incompatibles avec les sociétés de chasseurs-cueilleurs". Sutton affirme que ce document devrait être retiré des salles de classe et réécrit.

Sutton critique vivement Pascoe pour les voix qui ne sont pas entendues dans Dark Emu, qu'elles soient blanches ou noires. Il s'étonne de l'absence de l'anthropologue Norman Tindale, qui a enregistré en 1932 les voyages d'un jeune homme Warlpiri, Pariparu, qui a nommé 332 endroits désertiques qu'il avait visités à pied au cours des 11 mois précédents ; ou d'Athol Chase, qui a enregistré que pour les Umpila, Kuuku Ya'u et d'autres peuples du nord-est du Cap York, les pratiques agricoles étaient considérées comme "une activité gaspilleuse et illégitime dans le paysage".

Il se demande pourquoi il n'y a aucune mention des missionnaires Francis Xavier Gsell et Wilbur Chaseling, qui se sont tous deux rappelés qu'on leur avait dit que planter de la nourriture dans le sol était pitoyable et ridicule. Ou des femmes Warlpiri qui ont consigné leurs récits de la vie dans le désert et du traumatisme des premiers contacts avec les Européens, sans aucune mention de l'agriculture. Ou encore les "naufragés" coloniaux qui ont vécu au sein des communautés aborigènes traditionnelles, notamment le bagnard William Buckley, qui a écrit au sujet d'un peuple qui "continuait à vagabonder comme autrefois", et le naufragé Narcisse Pelletier, qui a vécu avec les habitants du Cap York au-delà de la frontière pendant 17 ans et qui a déclaré : "Personne ne plante et personne ne sème" ; "Ils restent rarement longtemps au même endroit" ; et "Il semblerait que ces tribus passent leur vie à chasser, à pêcher et à se battre, et ne tentent jamais aucune forme de culture".

Et si les Aborigènes étaient des agriculteurs comme le prétend Pascoe, demande Sutton, où en trouve-t-on la preuve dans les langues aborigènes, comme il en existe dans les langues du détroit de Torres ? "Si, comme il le dit, ils ont traditionnellement biné et labouré la terre, fait des jardins, sélectionné et semé des graines ou planté des tubercules, irrigué leurs cultures, récolté les résultats et les ont stockés, et qu'ils étaient donc des agriculteurs dans des fermes faisant de l'agriculture, n'aurait-il pas dû essayer de démontrer que ces catégories et ces termes étaient présents dans au moins quelques-unes des quelque 260 langues distinctes de l'Australie en 1788 ?"

"Contrairement à l'image véhiculée par Dark Emu, la plupart des méthodes traditionnelles aborigènes de reproduction des espèces végétales et animales ne reposaient pas sur la culture ou la conservation physique, mais sur la propagation spirituelle", écrit Sutton. "Cela consistait à parler aux esprits des ancêtres sur les sites de ressources, à effectuer des 'rituels d'augmentation' sur des sites spéciaux liés aux espèces, à chanter des chants d'espèces de ressources lors de cérémonies, à entretenir de riches systèmes de totems pour diverses espèces qui se trouvaient dans les pays des détenteurs de totems, et à manipuler les ressources alimentaires avec révérence... Une notion sécularisée de la culture aborigène, dépourvue de dimensions spirituelles, n'existait pas en Australie avant la conquête."

La décision de ne pas adopter l'horticulture et l'agriculture n'était pas un manque d'imagination, écrit Sutton, "mais une défense et une protection actives de leur propre mode de vie et, au contact d'étrangers, une résistance à un modèle économique étranger".

S'interrogeant sur les raisons pour lesquelles Dark Emu a été si bien accueilli, Sutton et Walshe écrivent que son succès semble indiquer une profonde méconnaissance des peuples et de l'histoire aborigènes, "ou un manque d'intérêt pour les faits et la vérité eux-mêmes, ou une combinaison de ces éléments". Quoi qu'il en soit, disent-ils, "la situation est troublante". Sutton déclare à Good Weekend qu'il pense que la lecture et l'acceptation de Dark Emu est devenue une recherche de "récupération morale" pour certains Australiens blancs de bonne volonté. Walshe dit que c'est devenu quelque chose comme "un pèlerinage". Ils se demandent également pourquoi personne n'a demandé aux Aborigènes encore liés aux pratiques traditionnelles, ou aux anthropologues, si Pascoe avait raison.

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  • 3 weeks later...

Annonce prochaine d'une alliance renforcée Australie - USA - UK (AUKUS), avec partage de technologie (dont les technologies de propulsion nucléaire).

L'annonce sera probablement faite aux USA, à la prochaine réunion du "Quad".
L'adversaire visé par cette alliance n'est pas nommé... mais est certainement la Chine.

Il y a des rumeurs insistantes sur l'annulation du contrat de sous marin Attack avec Naval Group français, au profit de la vente ou location de sous marins US à l'Australie.

https://www.politico.com/news/2021/09/15/biden-deal-uk-australia-defense-tech-sharing-511877

https://thehill.com/homenews/administration/572415-us-to-help-australia-acquire-nuclear-powered-submarines

 

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Bon, je me suis trompé.

L'alliance vient d'avoir lieu lors d'une visioconférence à 3 , avec les "3 Eyes". A UK USA

https://www.reuters.com/world/us/biden-announce-alliance-with-britain-australia-tech-cyber-defense-politico-2021-09-15/

https://www.afr.com/world/north-america/aukus-alliance-brings-nuclear-subs-to-australia-20210916-p58s07

Les échanges de technologie sont plus larges que prévu : cyber, renseignement, frappes longue portée (missile de croisière et/ou arme hypersonique?), informatique quantique, drones, et propulsion nucléaire pour les sous-marin.

Visiblement, tout reste à discuter dans cette affaire ...
Sauf:

  • la cible de l'alliance: Chine
  • l'annulation du contrat Naval Group
  • l'affirmation qu'il n'y aurait pas d'export d'arme nucléaire
    (Concernant les assurances sur le respect du TNP de non-prolifération nucléaire, et la non création d'industrie nucléaire en Australie, je les prend avec de grosses pincettes ).

L'annonce a été programmée pour le 70ème anniversaire de l'ANZUS ...
Mais tombe aussi la veille de la publication de la stratégie Indo-Pacifique pour l'UE (dommage pour l'UE...)

Lors de la conférence de presse, les observateurs ont noté que le PM australien n'a pas dit un mot de la France ...
C'est Biden qui aurait fait le SAV en saluant brièvement la France alliée.

Selon les fuites, la suite envisagée du programme serait :

  • Définir en 18 mois le nouveau programme de soum nucléaire (fabrication sous licence de Virginia ou Astute, variante locale ... ou simplement achat/location sur étagère)
  • A court terme, de baser des sous-marin US en Australie (coopération, entraînement, renforcement de la sécurité)
  • Si construction locale, alors il faudrait (aussi) une dizaine d'année pour construire l'infrastructure.
     

-------------------------

Personnellement, s'il n'y avait pas eu la probable rupture du contrat Naval Group, et le pied de nez fait aux efforts diplomatiques français, ça semble être un bon accord pour la défense de l'Australie.
Ils auront probablement moins de souveraineté, de base industrielle ou de transfert de technologie qu'avec le contrat Naval Group ...
Mais en contrepartie, ils restent dans le club Five-Eyes (bientôt 4 avec la mise en retrait de la nouvelle zélande), et ils pourraient avoir rapidement plusieurs sous marins nuke avancés basés en Australie pour dissuader la marine chinoise (ou mener des frappes sur des avant poste chinois).

Ce qui pourrait être utile en cas d'urgence (type blocus de Taiwan vers 2025) ... et c'est une capacité que la France est incapable de fournir (12 rafales d'occasion OK: 3 suffren pas possible...)
Aucun problème pour l'US Navy de "prêter" 5 Virginia à l'Australie, ou augmenter la cadence de la chaîne d'assemblage aux USA.

----------------------------

il n'y a plus qu'à voir les compensations qu'on peut récupérer : les compensations financières pour l'annulation du contrat avec Naval Group ...
Et si Biden / Morrisson sont prêt à lâcher du lard pour ne pas trop pourrir les relations avec la France.
(et si on n'obtient rien, alors oui, je suis 100% pour des conséquences ... sans aller jusqu'à s'allier avec la Chine :biggrin:)

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