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Energies renouvelables : projets et conséquences


alexandreVBCI
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Le 03/02/2023 à 15:08, Nemo123 a dit :

De l'énergie, tu veux dire ?

Le terme de chaleur peut recouvrir différentes choses, mais si c'est d'énergie thermique, ou énergie cinétique d'agitation microscopique dont tu parles, le mieux, pour la stocker, c'est de la transférer vers une autre forme d'énergie plus stable, parce que l'énergie thermique, dans son état naturel, c'est assez compliqué à stocker sans perdition en fonction du temps.

Oui c'est un sujet qui demande rigueur, et de toute façon c'est une forme d'énergie.

Néanmoins je parle bien de chaleur, qui est une énergie perdue dans les processus (comme la perte joule ou la température de fumée) mais qui a de la valeur pour la vie. J'entends bien transférer cette énergie vers un fluide qui aura une plus grande stabilité d'agitation microscopique et pouvoir néanmoins la restituer plus tard. C'est à dire en bref, échangeur thermique + circulation de ou des fluides + stockage (type cuve : eau, sel etc) !

Modifié par nikesfeld13
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18 juin 2022.

Jean-Baptiste Fressoz, historien, suggère que la notion de "transition" est une arnaque, parce qu'elle nous fait penser à une substituabilité d'une énergie par une autre, que mettre plus d'éolien et de panneaux solaire ici permettra de supprimer des centrales à charbon là.

Mais historiquement, ce n'est pas ce qui s'est passé. Les énergies ne se soustraient pas l'une à l'autre, mais s'additionnent. Lorsque l'Angleterre est passée au charbon, au tournant des 18e et 19e siècles, elle s'est mise à consommer non pas moins, mais plus de bois : pour étayer les galeries dans les mines de charbon, et pour faire des traverses de chemins de fer, qu'on devrait plutôt appeler des "chemins de bois".

Les ressources dont la production a été réellement substituée, au sens d'une diminution de la production, se comptent sur les doigts d'une main : l'amiante, par interdiction. La laine de mouton, substituée par les fibres synthétiques.

La voiture électrique serait un moyen de faire fonctionner les véhicules non plus au pétrole, mais au charbon : le plus grand marché du véhicule électrique à l'heure actuelle est la Chine, et l'électricité chinoise, c'est du charbon.

Note : cette vidéo a déjà été commentée par @Shorr kan ici : http://www.air-defense.net/forum/topic/12391-energies-renouvelables-projets-et-conséquences/page/79/#comment-1541045

voir aussi :

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Le 26/11/2018 à 08:19, g4lly a dit :

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Le 26/11/2018 à 12:39, Skw a dit :

J'ai trouvé ce lien, intéressant en effet : https://www.revue-ballast.fr/jean-baptiste-fressoz-desintellectualiser-la-critique-est-fondamental-pour-avancer/

>> Je n'avais pas connaissance de la mobilisation du concept en langue anglaise au milieu des années 1970, avant que ne se répande le concept d'Energiewende - avec un esprit bien différent - dans le milieu germanophone. Dommage que la/les référence(s) correspondante(s) ne soi(en)t pas donnée(s) dans l'article.

 

Modifié par Wallaby
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"Bruxelles propose de classer « vert » l'hydrogène comportant du nucléaire, une victoire pour la France."

Bon perso je ne serai pas aussi affirmatif

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/bruxelles-propose-de-classer-vert-l-hydrogene-comportant-du-nucleaire-une-victoire-pour-la-france-951697.html

La Commission européenne a proposé que l'hydrogène produit à partir d'un mix électrique comportant du nucléaire puisse, sous conditions, être considéré comme « vert », une victoire de la France qui souhaite recourir à l'atome pour atteindre les objectifs fixés par l'Union européenne. Dans ce texte, Paris, pour obtenir de précieuses subventions, voudrait défendre « l'égalité de traitement entre hydrogène bas carbone (à partir de nucléaire) et hydrogène renouvelable ». L'Espagne et l'Allemagne y sont opposés.

latribune.fr

14 Févr 2023, 7:31

La France a eu gain de cause. Bruxelles propose que l'hydrogène produit en partie avec le nucléaire puisse être considéré comme vert. Au grand dam de l'Allemagne et l'Espagne qui prônent, elles, une définition plus restrictive ne considérant comme « vert » que l'hydrogène issu de sources renouvelables.

Les critères proposés par Bruxelles, qui seront soumis pour approbation aux Etats membres et aux eurodéputés, s'inscrivent dans le cadre d'une législation européenne en cours de négociation qui fixe aux Vingt-Sept des objectifs ambitieux d'hydrogène « renouvelable » pour l'industrie et les transports d'ici 2030.

La Commission définit d'abord comme « vert » l'hydrogène fabriqué avec un électrolyseur directement connecté à une source d'électricité renouvelable nouvelle, c'est-à-dire une infrastructure supplémentaire par rapport au parc actuel, pour encourager le déploiement de nouvelles énergies renouvelables sans accaparer les infrastructures existantes.

Autre cas de figure: l'hydrogène sera « vert » si l'électrolyseur est alimenté à partir d'un réseau électrique où la part d'énergies renouvelables a atteint au moins 90% l'année précédente.

De même, il sera « vert » si la consommation électrique mobilisée équivaut à une nouvelle infrastructure renouvelable, qui fonctionne précisément dans les mêmes heures et dans la zone où cet hydrogène est fabriqué. Une période de transition est prévue pour les sites de production d'hydrogène établis avant 2028.

Enfin, l'hydrogène sera considéré « vert » si le réseau électrique utilisé est largement décarboné, avec des émissions carbone liées à la production d'électricité ne dépassant pas 18 grammes équivalent CO2/mégajoule (ce critère une fois atteint, il est considéré comme valable pendant cinq ans) --un niveau auquel satisfait actuellement la Suède et dont la France est proche (19,6 g en 2020).

Bruxelles reconnaît les efforts de décarbonation de la France

Il faudra cependant remplir d'autres conditions : outre les critères géographiques et horaires, le fabricant d'hydrogène sera tenu de conclure des « contrats d'achats » (à terme) auprès de fournisseurs d'électricité recourant à des énergies renouvelables -- mais sans obliger le pays concerné à ouvrir de nouvelles infrastructures d'éolien, de solaire ou d'hydraulique.

Cette disposition ouvre la voie à de l'hydrogène produit à partir d'un mix basé sur l'électricité nucléaire, ce que réclame avec véhémence la France dans le cadre de la législation sur les renouvelables, jugeant « absurde » de ne pas pouvoir recourir à l'atome « bas carbone » pour atteindre ses objectifs d'hydrogène vert.

In fine, Bruxelles « reconnaît nos efforts de décarbonation (...) Il faut maintenant appliquer cette logique » au texte en discussion sur les objectifs européens « d'hydrogène renouvelable », a réagi la ministre française de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher. « Nous n'y sommes pas encore ».

Les négociations s'annoncent compliquées

Les négociations entre Etats et eurodéputés sur la législation « renouvelables » s'annoncent compliquées, après de premières discussions annulées la semaine dernière.

Ce texte doit notamment imposer aux pays européens des niveaux minimaux d'hydrogène renouvelable dans l'industrie ou les transports à horizon 2030 et 2035.

Dans ce texte, Paris voudrait défendre « l'égalité de traitement entre hydrogène bas carbone (à partir de nucléaire) et hydrogène renouvelable ». Une ligne rouge pour Berlin et Madrid qui ont réaffirmé leur opposition lundi. « Nous partons du principe que les carburants bas carbone ne peuvent être équivalents à ceux issus de sources renouvelables », a insisté le ministère espagnol de la Transition écologique.

Des ONG environnementales inquiètes

Des ONG environnementales s'inquiètent, elles, que la production d'hydrogène vert entame fortement les capacités des énergies renouvelables, incitant à les remplacer par ailleurs par un recours accru au gaz et au charbon.

A l'inverse, la fédération professionnelle Hydrogen Europe a salué lundi « un coup de fouet au marché de l'hydrogène renouvelable » face aux vastes subventions des Etats-Unis dans ce secteur, tout en prévenant que « ces règles strictes rendront inévitablement les projets d'hydrogène vert plus coûteux et limiteront son potentiel d'expansion ».

« L'ennemi c'est le CO2, pas le nucléaire. C'est lamentable qu'on n'arrive pas à faire passer cette idée, alors que ce sera nécessaire pour rester dans le jeu industriel face aux Américains et aux Chinois, et pour combattre le réchauffement climatique », estimait Philippe Boucly, le président de France Hydrogène, qui fédère les acteurs de la filière française.

Modifié par herciv
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En général ce genre de cycle n'a pas un bon rendement... Ils n'expliquent pas comment arranger ça.

Quant à la séquestration... Une bâche de surface à pression atmosphérique n'a pas un très grosse capacité.

C'est un peu étonnant comme système. Ça semble bien compliqué pour une capacité et un rendement modeste.

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https://newatlas.com/energy/energy-dome-co2-sardinia/ (8 juin 2022)

Le rendement aller-retour de cette solution, selon Energy Dome, est supérieur à 75 %. À cet égard, elle ne peut pas concurrencer les grosses batteries au lithium. Mais le coût est roi dans le secteur de l'énergie, et la société a déclaré à Recharge News que le coût nivelé du stockage sera de l'ordre de 50 à 60 dollars par MWh d'ici quelques années, soit beaucoup moins que les 132 à 245 dollars par MWh que coûte l'utilisation de batteries au lithium.

La centrale de Sardaigne est raisonnablement petite, puisqu'elle ne stocke que 4 MWh d'énergie et offre une puissance maximale de 2,5 MWe, mais la société affirme qu'elle prouve que le concept fonctionne et qu'elle a été construite à l'aide d'un équipement standard disponible partout dans le monde, ce qui prouve qu'il n'y a vraiment aucun obstacle à un déploiement mondial à grande échelle.

Prochaine étape : une centrale à grande échelle stockant 200 MWh d'énergie et fournissant jusqu'à 20 MWe en cas de besoin. Energy Dome indique que sa première centrale de taille réelle devrait être opérationnelle avant la fin de l'année 2023, qu'elle a déjà vendu des centrales en Italie, en Allemagne, en Afrique et au Moyen-Orient, et qu'elle s'apprête à lever des fonds de série B pour l'aider à se développer au fur et à mesure de la commercialisation de ses activités.

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Le 14/02/2023 à 11:50, g4lly a dit :

En général ce genre de cycle n'a pas un bon rendement... Ils n'expliquent pas comment arranger ça.

Quant à la séquestration... Une bâche de surface à pression atmosphérique n'a pas un très grosse capacité.

C'est un peu étonnant comme système. Ça semble bien compliqué pour une capacité et un rendement modeste.

 

La chaleur générée par l'étape de compression, lors du passage du gazeux au liquide, est évacuée par une boucle de refroidissement liquide et est stockée sous forme latente dans un fluide lui même contenu dans un récipient isotherme (une grosse thermos quoi...). Ici de l'eau est utilisé comme on le constate sur les schémas, mais ça aurait pu aussi bien pu être de l'huile, un matériau à changement de phase solide-liquide.....ecetea, pour les basses températures.

En sens inverse, avant la détente dans la turbine, l'énergie est restituée en chauffant le CO2 sous forme liquide ; ce qui donne un rendement global très correct proche d'une STEP.

 

L'idée est pas mal et même plus que pas mal : le CO2 sous forme liquide est à température ambiante contrairement à la technologie concurrente qui utilise de l'air liquide qui lui ne peut être stocké que temporairement à cause de ses température cryogéniques, ou refroidi continument pour un usage plus prolongé.  

Mais effectivement, la vessie sous le dôme qui stock sous forme gazeuse le CO2 pour que la boucle reste fermée, me laisse un peu dubitatif là où l'air liquide peut être récupéré et relâché directement dans l'atmosphère...

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https://thechinaproject.com/2023/02/17/mini-electric-cars-are-big-in-china-will-the-rest-of-the-world-catch-on/

La berline électrique la plus vendue en Chine en 2021 et 2022 était le mini VE Hongguang (宏光), fabriqué par Wuling 五菱.

De manière révélatrice, de 2019 à 2021, la proportion des ventes de mini VE par rapport aux ventes totales de VE a augmenté de 17,7 % à 29,8 %, selon les données de la China Passenger Car Association (CPCA). En 2022, les ventes totales de VE en Chine ont toutefois bondi à 6,49 millions d'unités, et la proportion de mini VE a légèrement reculé à 19,3%. Mais cela représente tout de même 1,09 millions de mini VE vendus en Chine, soit une augmentation de 21,5 % en glissement annuel.

Malgré le volume des ventes, l'industrie des mini VE souffre du même problème que l'ensemble du secteur des VE en Chine : l'absence de bénéfices. La Hongguang représente environ 90 % des ventes totales de SAIC-GM-Wuling, et la marge bénéficiaire brute de la société ne dépasse pas 3 % par véhicule vendu.

La vitesse maximale de la Hongguang est de 96 km/h, et son autonomie maximale est d'environ 160 km. La voiture a la taille d'un cart de golf et est certifiée pour accueillir quatre personnes.

 

La Wuling Hongguang, mai 2021

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16 janvier 2023. Mark Mills

10:27 L'intensité métallique, en masse de métal par watt, est entre 1000 et 2000 fois plus grande pour le solaire et l'éolien que pour le moteur à combustion interne, selon les chiffres de l'IEA.
12:15 La "transition énergétique" revient donc à extraire en tonnes autant que tous les matériaux extraits actuellement pour tous les usages (biomasse, matériaux de construction, énergies fossiles et métaux), donc à doubler l'activité extractive.

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12 hours ago, Boule75 said:

@Wallaby : l'IEA ?

Et c'est masse de métal par Watt ou par Wh ?

Les moyens de production sont évalués en puissance nominale.

Lorsque un parc éolien ou solaire est installé... Il est annoncé 1500MW par exemple. C'est la puissance qu'il debuterait dans les conditions idéales/nominales.

Donc pour produire suffisamment de panneaux solaires pour un tel parc il faut suffisamment de "wafer" - ça dépend du rendement et de la technologie - semi-conducteurs, donc de métaux.

Le recyclage d'une telle installation n'étant évident du tout. Il faut reproduire cela tous les 10 ou 20 ans selon la durabilité et la productivité de l'installation.

Beaucoup de parc PV ou éolien sont abandonnés parce qu'ils ne sont plus rentable, une fois les subventionnement épuisé.

Le bilan global est donc pour le moment assez compliqué a établir. On a pas une vision très claire de l'évolution du cycle complet des parce PV ou éolien. La confrontation au réel économique étant assez brutale hors régime d'exception - subventionnement, rachat automatique, et obligations environnentales limitées en fin de vie -.

Pendant ce temps là le recyclage/réemploi de la chaine de propulsion des VT dans les pays développés est plutôt vertueuse. C'est beaucoup de métal massif facile à refondre - contrairement au remploi du reste du véhicule, qui fini plutôt haché menu un peu à la sauvage ce qui ne permet pas de le valoriser beaucoup -

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Il y a 1 heure, g4lly a dit :

Beaucoup de parc PV ou éolien sont abandonnés parce qu'ils ne sont plus rentable, une fois les subventionnement épuisé.

Je ne sais pas pour PV mais pour l'éolien il y a déconstruction obligatoire au moins en France et passage dans les charges d'une provision à cet effet. J'avais vu il y a quelques années de vieilles éolienne être détruite par explosion et d'autre par des broyeuses. Même le socle en béton doit être enlév". J'avais un voisin en Normandie qui s'occupait de çà.

Pa contre je confirme que quand on regarde par rapport à tous les MWH produit l'éolien sur 60 ans n'est toujours pas le plus rentable et encore moins le PV.  Surtout quand on rajoute les moyens de backup forcément à prendre en compte.

Je pense cependant que tout n'est pas mauvais. L'Eolien a clairement aidé à passer la période difficile de Décembre.

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1 hour ago, herciv said:

Je ne sais pas pour PV mais pour l'éolien il y a déconstruction obligatoire au moins en France et passage dans les charges d'une provision à cet effet. J'avais vu il y a quelques années de vieilles éolienne être détruite par explosion et d'autre par des broyeuses. Même le socle en béton doit être enlév". J'avais un voisin en Normandie qui s'occupait de çà.

Le dépot de garantie est ridicule par rapport au cout de la déconstruction remise en état.

La plupart du temps "l'exploitant" à disparu depuis longtemps avec les subventions.

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Il y a 2 heures, herciv a dit :

Je pense cependant que tout n'est pas mauvais. L'Eolien a clairement aidé à passer la période difficile de Décembre.

Le gaz importé des USA fonctionnant quand il n'y avait pas de vent, dans un contexte où il n'y en a déjà pas beaucoup, a aidé à passer la période.

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Cf cet article :

Le 16/04/2021 à 12:49, Wallaby a dit :

https://factuel.afp.com/impossible-denterrer-des-pales-deoliennes-en-france-mais-leur-recyclage-pose-probleme (14 avril 2021)

L’Etat oblige en effet les exploitants à souscrire des garanties pour financer le démantèlement et le recyclage des éoliennes en bout de cycle: 50.000 euros par machine de 2 MW, avec un ajout de 10.000 euros par MW de puissance depuis l’arrêté de 2020.

Mais "toutes les études montrent que le coût réel c’est au moins 4 fois plus que ça", a indiqué à l’AFP M. Butré, dans un entretien le 8 avril. "Cela reste dérisoire: uniquement pour l’enlèvement de l’éolienne et de ses fondations, il faut prévoir entre 100.000 et 120.000 euros. En y intégrant le coût industriel (du démantèlement et recyclage), cela représente 400.000 euros", a abondé auprès de l’AFP l’avocat qui suit le dossier, soulignant qu’en cas de faillite de l’exploitant, "c’est l’Etat et donc le contribuable qui se retrouvera avec ces éoliennes sur les bras".

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il y a une heure, Wallaby a dit :

Cf cet article :

J'avais fait une évaluation au doigt levé il y a une dizaine d'année. J'était tombé sur un chiffre le double de celui-là. Mais c'est dans tous les cas quatre à cinq fois plus que ce que les afficionados de l'éolien me soutenais.

Merci.

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https://www.20minutes.fr/societe/4025940-20230302-bretagne-moulin-vieux-plus-200-ans-devra-etre-demonte-laisser-riviere-couler (2 mars 2022)

Bretagne : Ce moulin vieux de plus de 200 ans devra être démonté pour laisser la rivière couler

Contrairement au moulin du Vicomte situé en amont, celui du Pont-Neuf ne dispose pas de « droit d’eau » qui avait été octroyé à tous les moulins construits avant la loi du 4 août 1789. Celui implanté au Vieux-Marché daterait, a priori, de 1791 et n’a donc pas « le droit » de dévier ainsi le cours du Léguer.

Porte-t-il atteinte aux poissons qui vivent dans le Léguer comme le saumon, la truite ou l’anguille ? « Oui », selon la justice française. Notamment en été, quand le niveau de la rivière est bas et que l’obstacle devient infranchissable.

  • Confus 1
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