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Energies renouvelables : projets et conséquences


alexandreVBCI
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Sortie nucléaire: l'AIE veut des réponses

07/09/2011 | Mise à jour : 22:55

La nouvelle directrice exécutive de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) a réclamé dans un entretien à l'AFP des "réponses" et des plans de sortie clairs aux pays renonçant au nucléaire, une énergie "qui aura sa place" selon elle malgré la catastrophe de Fukushima.

"Si vous voulez abandonner le nucléaire, ma question est: +comment allez vous faire face à la demande croissante d'énergie quand vous renoncez à l'une de vos sources?+ Tous les pays et gouvernements qui veulent abandonner le nucléaire doivent répondre à cette question", a déclaré la directrice exécutive, Maria van der Hoeven.

L'ex-ministre néerlandaise, qui a pris ses fonctions le 1er septembre, a évoqué le cas de l'Allemagne, dont l'abandon du nucléaire à l'horizon 2022 va avoir selon elle des conséquences au niveau européen, avec des importations de l'étranger et des hausses de prix.

"Vous devez répondre à la question: +Comment allez-vous faire? Comment allez-vous vous assurer que votre approvisionnement en énergie est suffisant?", a-t-elle insisté dans un entretien réalisé mercredi.

"Si votre réponse est: +on va utiliser les énergies renouvelables+, alors ma question est +comment?+. +Quelle est l'effacité-coût actuelle des renouvelables? Comment allez-vous accélérer leur développement ?+ Ce sont des questions auxquelles il faut répondre, sinon ce sont des déclarations plutôt +gratuites+", a-t-elle fait valoir.

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Selon l’enquête annuelle du magazine Photon International, réalisée auprès de 199 fabricants de cellules, la production mondiale de cellules photovoltaïques aurait plus que doublé entre 2009 et 2010, passant de12,5 GWc (Gigawatts crête) à 27 GWc, soit +118%. Dans la même période, les capacités de production seraient passées de 20,4 GWc en 2009 à 36,6 GWc en 2010.

L’essentiel de cette croissance fulgurante est asiatique (Chine, Taiwan, Japon, Corée du Sud, Malaisie…). Le continent asiatique pèse, en 2010, 80% de la production mondiale.

L’Europe qui réalisait en 2009 plus de 20% de la production mondiale voit sa part de marché tomber à environ 13% en 2010...

http://www.agenceecofin.com/solaire/1009-1199-explosion-de-la-production-asiatique-de-cellules-photovoltaiques

L’immense parking de 2.350 places réservé aux salariés de l’usine Renault de Cléon dans l’agglomération d’Elbeuf, va devenir une centrale solaire d’une capacité de production annuelle de 4.100 MWh, soit l’équivalent de la consommation électrique annuelle de 1.000 foyers.

Pas moins de 23.000 panneaux photovoltaïques, représentant une surface totale de 34.000 m2, sont actuellement en cours d’installation pour une mise en service prévue début février 2012. « Nos solutions  participent d’une démarche « d’éco conception » de l’aménagement urbain, sans nuisance, ni consommation de foncier supplémentaire », souligne Coruscant, promoteur de l’opération. La société s’est spécialisée dans la réalisation et l’exploitation de centrales en faisant des parkings des sites de production d’électricité solaire.  Après une première réalisation en région Provence-Alpes-Côte d’Azur pour une puissance de 2 MWc (mégawatt crête), Coruscant s’associe une nouvelle fois avec la Caisse des Dépôts et Consignation à travers la création d’une filiale commune (Cléon Photovoltaïque SAS) pour mener ce projet normand d’une puissance de 5 MWc. Oséo et la Société Générale participent également au financement de la centrale dont le coût s’élève à 15 M€. L’usine de Renault Cléon étant retenue pour produire le moteur du futur véhicule électrique de la marque, la centrale sera équipée de bornes de recharge pour véhicule électrique.

Avancées dans le domaine de la recherche :

- REC a annoncé aujourd'hui que ses modules photovoltaïque offraient une durée d'amortissement énergétique d'un an et une empreinte carbone légère -record de l'industrie- obtenues grâce à l'utilisation efficace d'énergie propre durant le cycle de vie complet des modules solaires. "Nous travaillons sans relâche afin de réduire les déchets dans notre design produit, d'améliorer l'efficacité de la cristallisation des lingots, de réduire l'épaisseur des tranches de silicium tout en améliorant l'efficacité des cellules, avec l'objectif d'atteindre 18 pour cent en 2012, afin d'assurer à l'énergie solaire plus durablement.". Le processus de four à lit fluidifié (FBR) de REC consomme 90 pour cent d'électricité en moins. 

- Day4 Energy Inc., un fournisseur mondial de premier plan de produits et de solutions photovoltaïques solaires (PV) et Roth & Rau (R&R), un leader mondial dans le domaine de la fabrication en série d'équipements pour la production de cellules solaires, annoncent qu'un premier module avec une efficacité de 19,3 % (zone de la cellule) a été produit avec des économies de pâte d'argent de 69 %. Par ailleurs, le processus de production comporte très peu d'étapes de production et il est totalement compatible avec la technologie des fines plaquettes et est donc très rentable.

- Pour fournir une source d'énergie absolument "propre" et potentiellement inépuisable pour alimenter en électricité notre civilisation, les cellules solaires doivent être fabriquées avec des éléments peu coûteux, des traitements chimiques moins voraces en énergie, et surtout, elles ont besoin de convertir efficacement et à moindre coût la lumière du solaire en électricité. Une équipe de chercheurs du Département américain de l'Énergie (DOE) du Lawrence Berkeley National Laboratory (Berkeley Lab) a fait la démonstration de deux des trois exigences requises, avec un début prometteur sur la troisième. Peidong Yang, un chimiste de la division Matériaux des Sciences de Berkeley Lab a conçu l'élaboration d'une technique à base de solution en nanofils pour la fabrication des cellules solaires en utilisant des semi-conducteurs en sulfure de cadmium pour le noyau et du sulfure de cuivre pour l'enveloppe. Peu coûteuses et facile à fabriquer, les cellules solaires à base de nanofils se targuent d'être en circuit ouvert et de délivrer des facteurs de remplissage supérieurs aux valeurs conventionnelles des cellules solaires (planaires).

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  • 3 weeks later...

Le groupe nucléaire Areva va implanter sur le port du Havre deux usines de fabrication de pales et de nacelles d'éoliennes off-shore qui pourraient générer jusqu'à un millier d'emplois, selon le cabinet du maire du Havre, Edouard Philippe (UMP). Révélé par les quotidiens Paris-Normandie et Les Echos, ce projet pourrait voir le jour en 2015.

Cette annonce s'inscrit dans le cadre de l'appel d'offres lancé en juillet par le gouvernement pour développer l'éolien marin le long des côtes de l'ouest de la France. Il prévoit l'implantation, à partir de 2015, de 600 éoliennes dans cinq parcs, au large du Tréport et de Fécamp (Seine-Maritime), Courseulles-sur-Mer (Calvados), Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor) et Saint-Nazaire (Loire-Atlantique). L'objectif, en plus de la création de milliers d'emplois, est de porter à 20 % la part des énergies renouvelables en France, comme prévu dans le Grenelle de l'environnement.

Avec ces usines, Areva se met en situation de servir les futurs parcs éoliens marins français, en priorité ceux situés au large de la Normandie, mais se positionne aussi sur le marché de la côte sud de l'Angleterre, où cette forme de production d'énergie est en plein développement. Les projets dans l'éolien en Grande-Bretagne totalisent 12 gigawatts, soit deux fois plus qu'en France, soulignent Les Echos.

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Une feuille artificielle reproduit la photosynthèse pour créer de l'énergie.

(AFP)

WASHINGTON — Des chercheurs américains ont créé une feuille artificielle capable de transformer la lumière du soleil directement en énergie pouvant être stockée pour être utilisée ultérieurement, selon leurs travaux publiés vendredi dans la revue américaine Science.

Cette feuille -- une cellule solaire en silice avec différent matériaux catalytiques attachés sur les deux côtés-- ne nécessite aucun branchement externe ni de circuit de contrôle pour la faire fonctionner, expliquent-ils.

Il suffit de placer cette feuille dans un récipient rempli d'eau et exposé à la lumière du soleil, précise Daniel Nocera, professeur au Massachusetts Institute of Technology (MIT), le principal auteur de cette communication datée du 30 septembre.

La feuille commence alors rapidement à produire des flots de bulles d'oxygène sur un côté et d'hydrogène sur l'autre.

Si cette feuille est mise dans un conteneur avec une paroi séparant ses deux faces, les bulles produites peuvent alors être récupérées et stockées pour être utilisées ensuite afin de produire de l'électricité.

Ainsi, en plaçant les bulles d'oxygène et d'hydrogène dans une pile à combustible elles se combinent de nouveau en eau tout en produisant de l'électricité dans ce processus, explique le professeur Nocera.

Cette feuille est entièrement composée de matériaux abondants et bon marché comme surtout la silice, le cobalt et le nickel et fonctionne dans de l'eau ordinaire, précise-t-il.

Les autres systèmes pouvant utiliser la lumière du soleil pour séparer l'oxygène de l'hydrogène formant l'eau utilisaient des solutions corrosives ou des matériaux assez rares et chers, tel le platine.

Cette dernière feuille artificielle consiste en une couche fine de semi-conducteurs en silice, le matériau utilisé dans la fabrication de la plupart des cellules solaires.

Ces semi-conducteurs transforment l'énergie solaire en un flot continu d'électricité sans fil à l'intérieur de la feuille.

Une couche de cobalt comme catalyseur qui libère l'oxygène un carburant potentiel.

L'autre face de la feuille de silice est recouverte d'une couche d'un alliage de nickel, de molybdène et de zinc qui permet de libérer l'hydrogène des molécules d'eau.

"Je pense qu'il va y avoir un vrai potentiel pour cette idée", juge, confiant le professeur Nocera.

"On ne peut pas être plus portable que cela", poursuit-il soulignant que ce système n'a pas besoin de fil, est très léger et ne requiert pas beaucoup d'équipement supplémentaire autre qu'un système pour capturer et conserver les bulles d'oxygène et d'hydrogène", explique ce chercheur.

"Il s'agit seulement de jeter la feuille artificielle dans un verre d'eau et l'oxygène et l'hydrogène commencent à émerger", insiste-t-il.

Toutefois ce nouveau système n'est pas encore prêt pour la production commerciale, puisque le système de collecte et de stockage notamment reste à développer, relève le professeur Nocera.

La création de cette feuille artificielle "est un pas" mais qui "va dans dans la bonne direction", conclut-il.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jt0hByD2LdpQH46O_yggu9f8cN4A?docId=CNG.fba648632a14cc24e57a48cd0098a2ca.81

SUISSE (LeMatin.ch) Afin de développer l'énergie solaire, le Conseil National a modifié la loi sur l'aménagement du territoire : Les installations photovoltaïques ou thermiques sur les toits ne devraient en principe plus être soumises à autorisation. Le Conseil National a clairement précisé dans la loi que l’intérêt à l’utilisation de l’énergie solaire l’emporte sur les aspects esthétiques. Pratiquement, les propriétaires gagneront du temps et économiseront quelque mille francs suisse de frais de procédure. Les installations solaires devront répondre à diverses conditions pour échapper à une demande de permis. Elles ne devront pas dépasser le faîte, la base ainsi que les côtés du toit, et leur épaisseur ne devra pas excéder 20 cm. Il suffira d’informer l’autorité compétente.

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Marrakech, ville marocaine située à (321 km au sud de Rabat, a accueilli, du 29 septembre au 1er octobre, la 10ème édition de la Convention France Maghreb, un évènement qui regroupe des hommes d'affaires des deux rives.

Dans ce cadre et afin d'accélérer la réalisation du plan solaire méditerranéen, le Maroc et la France ont dernièrement signé une déclaration conjointe pour un pacte énergétique euro-méditerranéen. Celle-ci a pour objectif d'accélérer le financement du plan solaire méditerranéen afin d'installer 20 gigawatts de capacités électriques au sud et à l'est de la Méditerranée, renforcer les interconnexions nord-sud et sud-sud afin de coupler les marchés et d'échanger l'électricité et organiser les coopérations technologiques pour créer des filières industrielles euro-méditerranéennes des énergies propres et des réseaux électriques.

Afin de parvenir à l'adoption du pacte au 1er trimestre 2012, le Maroc et la France proposent d'organiser conjointement, en 2012, une conférence des ministres de l'énergie de l'Union pour la Méditerranée (UPM).

Pour ce qui est de l'éolien, la compagnie française GDF Suez, spécialisée dans la production d'énergie, confirme son investissement de 2,2 milliards DH (environ 260 millions USD) à Tanger (278 km au nord de Rabat), pour la réalisation d'un parc de 45 éoliennes.

Situé à Jbel Haouch, près de Dar Chaoui (30 km à l'est de Tanger), le parc produira près de 135 Mégawatts d'énergie, ce qui augmentera la capacité éolienne du Maroc à 48%. Il nécessitera un investissement de 2,2 milliards DH et 15 mois de travaux. Son lancement est prévu pour décembre 2012. Ce parc éolien sera le 3ème du pays et de la région du nord du Maroc. Les deux autres sont celui de Koudia al Baida (50 MW) réalisé par LCV en 2000 près de Fnideq et celui de la cimenterie Lafarge de Tétouan d'une puissance de 10 MW.

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Il semble que le Maroc a pris de l'avance sur le reste des pays du sud ,membre de l'UPM ,dans le domaine de l'energie propre,puisque j'ai lu ces jours-ci que,en plus de ce qu'est relaté ,ici même ,la construction d'une centrale electrique affiliée au projet DESERTEC allemand sera entamée en 2012 pour une somme de 800 millions dee Dollars.

Ce projet n'a pas attiré l'attention de "ENERGIE RENOUVELABLES:PROJET ET CONSEQUENCE  ,ce qui jette le  trouble sur ce qu'avance le lien suivant :http://www.tsa-algerie.com/economie-et-business/l-algerie-victime-de-l-indecision-de-ses-gouvernants_17595.html

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Desertec est un projet à très gros risques, dans une zone instable, construit sur 40 ans... Il faut espérer que le projet dépasse la seule installation marocaine.

Espagne : une centrale solaire qui stocke l'énergie produite pour la diffuser la nuit, lissant ainsi la production électrique sur 24 heures.

http://www.batiactu.com/edito/une-centrale-solaire-qui-fonctionne-la-nuit-30158.php

Le 6 octobre la centrale solaire du Garbadan (France) a été totalement mise en service : Le parc solaire a une capacité installée totale de 67,2 mégawatts en « crête » (MWc). L’installation permet d’éviter des émissions plus de 5 000 tonnes de CO² par an et peut alimenter l’équivalent de la consommation électrique annuelle de plus de 37 000 personnes.

http://www.usinenouvelle.com/article/mise-en-service-complete-de-la-centrale-solaire-du-garbadan.N160343

A ce jour, le groupe EDF EN a développé et construit 186,3 MWc dans le solaire en France.

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Les groupes finlandais Fortum et français DCNS ont signé lundi une lettre d'intention portant sur le développement de l'énergie des vagues dans l'Hexagone. Les deux partenaires comptent lancer, d'ici la fin de l'année, une étude conjointe sur la faisabilité d'un projet de démonstration de production d'énergie des vagues en France.

La suite : http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=117433

Alors que le fort développement des énergies alternatives voit une implication grandissante des industriels, il est logique que l'enseignement et la formation suivent. Ainsi, Total, ParisTech et l'Ecole Polytechnique, avec le soutien d'EDF, PSA Peugeot Citroën, Saint Gobain et Schneider Electric, ont annoncé hier le lancement pour la rentrée universitaire 2011, d'un Master 2 intitulé « Sciences et Technologies des Energies Renouvelables ».

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=117448

Enfin ! c'est pas trop tôt !  =)

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Oui, et ça se développe de plus en plus, il faudrait pas que la France soit en retard dans ce domaine.

Sciences naturelles/écologie : http://www.masteretudes.fr/MBA-MSc-diplome-master/Sciences-naturelles/Ecologie/

Environnement / énergie :

http://www.masteretudes.fr/MBA-MSc-diplome-master/Sciences-naturelles/Sciences-de-l'environment-et-de-l'énergie/

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Il existe des exemples de formation à ce sujet à l'étranger? ( et de ce niveau bien entendu)

Depuis cette année, à l'EPFL (école polytechnique fédérale de Lausanne en Suisse), il y a un master en énergie renouvelable, partagé entre la Suisse et les Emirats (où l'EPFL a des installations "de rêve"). Il doit aussi être possible de faire un doctorat dans le domaine ensuite.

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La filière de l'éolien se développe en france :

L'industrie de l'éolien veut rebondir sur les doutes suscités par le nucléaire après le drame de Fukushima pour s'afficher comme une vraie industrie, non seulement propre mais compétitive, rentable et créatrice d'emplois. «Energie propre, respectueuse de l'environnement»: les mots ont été repris à l'envi par les 600 industriels et développeurs, qu'avaient rejoints quelques élus, réunis mardi à Dijon pour le deuxième colloque annuel de l'éolien, sur le thème «les raisons de l'engagement».

«Chaque jour nous créons des emplois non délocalisables», a lancé Nicolas Wolff, président de France énergie éolienne, branche du Syndicat des énergies renouvelables (SER). Le secteur à ce jour a créé 11.000 emplois. Comme prévu par le Grenelle pour 2020, et pourvu que l'Etat simplifie les procédures administratives, «on s'engage à 50.000 de plus», a-t-il déclaré.

Dans la foulée du colloque se tient mercredi à Dijon le 1er Forum national des métiers de l'éolien, où l'on attend 1.000 à 2.000 jeunes ou chômeurs, à qui seront proposés des métiers allant de chaudronnier à chef de projet. «Des métiers d'avenir», selon Michèle Lailler-Beaulieu, directrice du Pôle-emploi de Dijon. En deux ans, la Bourgogne a perdu pas moins de 10.000 emplois industriels. Pour la fabrication, la France est partie en retard sur plusieurs grands pays européens comme l'Allemagne ou l'Espagne, et le marché français est occupé par des industriels étrangers: le danois Vestas, les allemandes Repower, Enercon, Nordex... Cependant, nombre d'entreprises font du sous-traitement, comme Ceole, près de Dijon, qui fabrique 90 mâts d'éolienne par an et a embauché 60 personnes. Des pôles de compétitivité se créent, comme le cluster «Wind4Future», qui réunit 38 entreprises du secteur en Bourgogne, une région particulièrement pauvre en éoliennes qui cherche à développer la filière.

En France, de grands groupes s'impliquent de plus en plus dans l'éolien, comme Alstom ou Areva. Le secteur exporte et la balance commerciale de l'éolien est aujourd'hui probablement positive, se félicite Jean-Louis Dal, président du SER. En 2009, les importations étaient d'un milliard d'euros et les exportations de 950 millions d'euros, la dynamique s'étant aujourd'hui amplifiée selon lui. Le SER prévoit de publier avant la fin de l'année un livre blanc avec 60 propositions, visant à créer «des dizaines de milliers d'emplois» dans les énergies renouvelables, selon Jean-Louis Bal. «Nous construisons une nouvelle économie», se réjouit-il. (AFP)

http://www.20minutes.fr/economie/808124-eolien-affiche-comme-industrie-competitive-creatrice-emplois

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Cofely, la filiale de GDF Suez, investira 500 millions d'euros dans cinq centrales à biomasse en France. Elles ont été retenues par un appel d'offres du gouvernement, pour un chiffre d'affaires annuel attendu de 100 millions d'euros.

C'est un pas en avant vers la production d'énergie utilisant de nouvelles sources en France. Cofely, la filiale de GDF Suez vient tout juste d'annoncer son projet d'investir 500 millions d'euros dans 5 centrales à biomasse en France. Des installations qui ont été retenues par un appel d'offres du gouvernement et qui devraient apporter un chiffre d'affaires annuel de 100 millions d'euros.

Fonctionnant à bois, les centrales en question auront une puissance totale de 99 mégawatts et entraîneront la création de 100 emplois directs et 300 emplois indirects, a indiqué Cofely dans un communiqué. Elles seront ainsi capables de produire de l'électricité et de la chaleur et ce, pour une durée de vie de 20 ans. Chaque année, elles consommeront 900.000 tonnes de bois-énergie, du bois issu des plaquettes de l'industrie forestière ainsi que des parties non nobles des arbres (branches, cîmes, etc.).

D'après les informations révélées par Cofély, les futures centrales seront placées en Ile-de-France (Gennevilliers), dans les Pays de la Loire (Bessé-sur-Braye), le Limousin (Saillat-sur-Vienne) et l'Aquitaine (Lacq et Vielle-Saint-Girons), rapporte TV5monde. Le gouvernement espère grâce à ce genre d'installations que la biomasse (hors biocarburants) représente à l'horizon 2020 plus du tiers du potentiel de développement des énergies renouvelables en France. (maxisciences.com)

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et le coût en energie pour amener les 900.000 tonnes de bois a ces 5 centrales ?? il ne serait pas plus intéressant de faire des centrales plus petites, donc de fait plus nombreuses mais plus proche des lieux de production des matières premières ??

A part des solution de cogénération pour des villages isolé je suis pas sur que ce soit tres intéressant de mettre en oeuvre de central électrique plus petite que 20MW ...

Pour le transport les régions choisis semble assez boisées ... il doit y avoir suffisamment de déchet de l'industrie forestière a proximité, rien que les déchet "vert" collecté par les municipalité en RP doit suffire pour Gennevilliers :)

CE qui est étonnant c'est qu'on ne privilégie pas la méthanisation plus que la production d'électricité primaire ...

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Le Département de la Défense à encore des progrès à faire concernant les énergies renouvelables :

http://karbuz.blogspot.com/2011/08/dod-energy-consumption-in-fy2010.html

Sur les 211 milliards  British thermal unit ( voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/British_thermal_unit ) utilisé en 2010 pour 15,2 milliards de dollars, seul 5 806 millions étaient issus d'énergie renouvelable et le potentiel maximal est de 15 milliards...

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  • 2 weeks later...

http://ecologie.blog.lemonde.fr/2011/11/04/l%e2%80%99energie-tiree-des-forets-pollue-plus-que-le-charbon/

Bien sûr, les arbres sont bénéfiques à l’environnement. Ils absorbent du CO2, contribuent à la biodiversité, repoussent la désertification, régulent le cycle de l’eau et protègent les sols. Pourtant, au contraire du solaire, de l’éolien ou de la géothermie, la combustion de bois pour produire de l'énergie génère des pollutions, et pas des moindres : plus que l’utilisation d’essence ou de charbon ! Ce sont les conclusions d’un nouveau rapport de Greenpeace, intitulé De la biomasse à la biomascarade, qui conclut que la ruée vers l’or vert est néfaste tant pour les forêts que pour le climat, alors qu’une Bourse de la biomasse a ouvert à Amsterdam jeudi 3 novembre.

La biomasse, c’est l’ensemble des matières organiques d'origine végétale ou animale (arbres, arbustes, souches, racines et feuillages) qui peuvent être transformées en une source d'énergie par combustion (bois énergie), méthanisation (biogaz) ou transformations chimiques (biocarburant).

Alors que les réserves de carburants fossiles déclinent et que le prix de l’essence s’accroît, la source d’énergie tirée des arbres prend de l’ampleur, notamment au Canada. Ce pays est en effet, avec 33 usines de production de granules, le quatrième plus grand producteur après les Etats-Unis, l’Allemagne et la Suède, et le deuxième plus grand exportateur au monde (1,2 million de tonnes exportées en 2010 vers l’Europe, soit une augmentation de 700 % en huit ans). Selon la Wood pellet association of Canada la capacité de production canadienne de granules devrait encore augmenter de dix fois d’ici 2020.

Car si la bioénergie forestière servait traditionnellement à la production locale de chaleur et d’électricité afin d’alimenter les usines de sciage et de pâte et papiers en utilisant les résidus des usines, les fabriques à petite échelle ont aujourd’hui laissé place à un usage industriel à grande échelle des forêts naturelles pour la production d’énergie. Plusieurs provinces encouragent ainsi, à coup de subventions, des projets de centrales thermiques alimentées avec des copeaux de bois, comme celle de Williams Lake en Colombie-Britannique, ou de larges programmes de recherche pour produire de l'éthanol pour les véhicules avec du bois.

Le problème, pour Greenpeace, c’est que contrairement à ce que prétendent les autorités et les entreprises, la combustion des arbres n'est pas "carboneutre", autrement dit, elle ne présente pas de bilan neutre des émissions de dioxyde de carbone (CO2) et plus généralement de gaz à effet de serre.

A l’appui de ces accusations, l’ONG sort la calculatrice. Première volée de bois vert pour l’environnement : la production d'électricité et de carburant à partir d'arbres contribue à la destruction des forêts. Tous les arbres coupés en 2008 dans quatre provinces (Ontario, Québec, Manitoba et Nouveau-Brunswick), soit 47 millions de mètres cubes, ont seulement contribué à hauteur de 3,4 % de la production totale d’énergie primaire (chauffage et électricité) du pays. Et pour fournir ne serait-ce que 15 % de la production électrique canadienne, il faudrait brûler l’équivalent de tous les arbres coupés en 2008 au Canada (147 millions de m3).

Quant au biocarburant, plus de 560 000 arbres devraient être coupés chaque jour pour produire assez d'éthanol pour alimenter l’ensemble des voitures canadiennes. Au total, les nouvelles politiques en faveur de l'industrie de la biomasse auront pour effet de plus que doubler les prélèvements annuels de bois, estime l'ONG. Ce rythme réduit au final en cendres la possibilité pour la forêt boréale de totalement se régénérer.

Au-delà de la déforestation, c’est le climat mondial qui trinque. Ainsi, "les centrales électriques nord-américaines fonctionnant à la biomasse émettent jusqu’à 150 % de plus de CO2, 400 % de plus de monoxyde de carbone irritant pour les poumons, et 200 % de plus de particules fines qui causent l’asthme que celles à charbon pour produire la même quantité d’énergie", affirme le rapport. Or, les émissions provenant de la bioénergie forestière ne sont pas comptabilisées parce que les autorités la considèrent à tort comme neutre en émissions de CO2. En réalité, selon le rapport, elles s’élèvent à 40 mégatonnes par an, chiffre qui dépasse celles du parc automobile canadien en 2009.

En ce qui concerne la santé, le rapport écrit : "Bien que la technologie se soit grandement améliorée avec l’usage de filtres à air sophistiqués et de très hautes températures de combustion, la fumée de bois contient toujours au moins cinq carcinogènes humains connus et au moins 26 produits chimiques qui appartiennent à la catégorie des polluants atmosphériques dangereux."

En 2007, le CNRS avait confirmé une partie de ces résultats : l’institut de recherche affirmait ainsi que 50 à 70 % de la masse de la pollution particulaire en composés carbonés provenait de la combustion de biomasse, et ceci partout en Europe et aussi bien pour les masses d'air étudiées près du sol qu'en altitude.

En conclusion, Greenpeace ne fait bien entendu pas l'apologie du charbon ni d'aucune énergie fossile, mais estime que l'énergie tirée de la biomasse ne doit pas être considérée comme renouvelable et doit rester à petite échelle, par exemple pour fournir chaleur et vapeur à une usine de papier en brûlant de la sciure et des écorces. L’ONG demande par ailleurs un moratoire sur les nouveaux projets bioénergétiques et la révision des projets existants, l'interdiction de la récolte d'arbres entiers et l'abandon du principe de "carboneutralité" concernant la biomasse.

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Dans le cadre de l'appel d'offres sur l'éolien offshore lancé en juillet 2011 par le gouvernement français, Alstom prévoit d'implanter jusqu'à deux sites dédiés à la production des composants et à l'assemblage d'éoliennes offshores. Les projets d'implantation concernent Saint-Nazaire et Cherbourg. « Ces deux sites français seraient pour Alstom les premiers au monde entièrement dédiés à l'éolien offshore. Le dimensionnement du projet sera fonction du succès dans l'appel d'offres du consortium mené par EDF EN, dont Alstom fait partie », explique le groupe français, qui indique que ses investissements pourraient atteindre 100 millions d'euros et générer jusqu'à 1000 emplois directs et 4000 emplois indirects.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=117689

Autour du groupement Neopolia et des chantiers STX France, plus de 130 personnes provenant de 85 entreprises ligériennes se sont retrouvées fin octobre à Saint-Nazaire dans le cadre du développement d'une filière régionale dédiée aux Energies Marines Renouvelables (EMR). Alors que les industriels des Pays-de-la-Loire estiment avoir une importante carte à jouer dans ce domaine, notamment celui de l'éolien offshore avec l'actuel appel d'offres national, les différents acteurs entendent se structurer.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=117670

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  • 2 weeks later...

Après les verts et le PS, c'est au tour de l'UMP de présenter un plan pour le développement des énergies renouvelables :

«Un rendez-vous programmatique majeur». C'est Jean-François Copé qui l'affirme: le développement durable tient à cœur à l'UMP, qui compte bien s'appuyer sur les bases du Grenelle de l'environnement pour son programme 2012. La «convention développement durable» du parti présidentiel, présentée ce jeudi, accorde une large part à la création de filières industrielles vertes, notamment dans les énergies renouvelables.

Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, porte-voix du volet vert du programme de l'UMP, le développement des énergies renouvelables doit passer en premier lieu par la création de filières industrielles, «sinon cela reviendrait à importer des produits chinois», a déclaré la ministre de l'Environnement mercredi, lors de la présentation de la convention à la presse. En s'appuyant sur les marchés publics et en développant la formation d'ingénieurs spécialisés, le programme de l'UMP propose ainsi de développer des «filières vertes françaises intégrées»: «A titre d'exemple, une filière complète en matière de photovoltaïque irait de la production de panneaux en France jusqu'au recyclage des panneaux usagés.»

Une approche que Jean-Louis Bal, président du Syndicat des énergies renouvelables (SER) estime positive: «Il faut développer les énergies renouvelables chez nous, mais il faudrait aussi nous dire comment on fait, estime-t-il. Il manque une boite à outils avec les différentes procédures administratives et les moyens incitatifs nécessaires, notamment les tarifs d'achats ou les procédures d'appels d'offres.»

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Résoudre la question énergétique, la dépendance aux énergies fossiles et le non emploi :

Tout sans emploi beneficiant d'une allocation devra se rendre dans un centre communautaire de vélo dynamo où il devra s'acquitter d' un quota hebdomadaire correspondant à 35h de pédalage produisant 100W/h (une intensité modérée en vélo .

Chaque personne produirait : 3.5 kW x 44 sem annuelles soit 154 kW/an

Soit sur une base de 3 millions de chômeurs :    462 GW annuels

Sans parler du bénéfice en terme de santé ou sur le développement d' une filière vélo made in France ...

Je suis déjà parti ....O-O'

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Si cela semble progresser dans les idees, c'est dans les actes qu'il faudrait mettre du jus... le developpement durable, c'est bien, les emplois durables, c'est mieux  8)

En bonus si on pouvait faire remettre la responsabiliation des parents et des eleves au gout du jour dans l'enseignement, et en demandant aux politiques de donner l'exemple, ce serait bien, mais la, je sens qu'on s'eloigne desormais du champs des possibles...

Après les verts et le PS, c'est au tour de l'UMP de présenter un plan pour le développement des énergies renouvelables :

«Un rendez-vous programmatique majeur». C'est Jean-François Copé qui l'affirme: le développement durable tient à cœur à l'UMP, qui compte bien s'appuyer sur les bases du Grenelle de l'environnement pour son programme 2012. La «convention développement durable» du parti présidentiel, présentée ce jeudi, accorde une large part à la création de filières industrielles vertes, notamment dans les énergies renouvelables.

Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, porte-voix du volet vert du programme de l'UMP, le développement des énergies renouvelables doit passer en premier lieu par la création de filières industrielles, «sinon cela reviendrait à importer des produits chinois», a déclaré la ministre de l'Environnement mercredi, lors de la présentation de la convention à la presse. En s'appuyant sur les marchés publics et en développant la formation d'ingénieurs spécialisés, le programme de l'UMP propose ainsi de développer des «filières vertes françaises intégrées»: «A titre d'exemple, une filière complète en matière de photovoltaïque irait de la production de panneaux en France jusqu'au recyclage des panneaux usagés.»

Une approche que Jean-Louis Bal, président du Syndicat des énergies renouvelables (SER) estime positive: «Il faut développer les énergies renouvelables chez nous, mais il faudrait aussi nous dire comment on fait, estime-t-il. Il manque une boite à outils avec les différentes procédures administratives et les moyens incitatifs nécessaires, notamment les tarifs d'achats ou les procédures d'appels d'offres.»

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Plus de 13% de l'énergie européenne sera produite par des parcs éoliens en mer en 2030, assez pour subvenir aux besoins de 130 millions de foyers européens "moyens", a affirmé mardi l'Association européenne de l'énergie éolienne (EWEA).

Plus de 13% de l'énergie européenne sera produite par des parcs éoliens en mer en 2030, assez pour subvenir aux besoins de 130 millions de foyers européens "moyens", a affirmé mardi l'Association européenne de l'énergie éolienne (EWEA).

"Plus de 141 mégawatts de capacités énergétiques éoliennes en mer sont construites, en train d'être construites, consenties ou prévues en Europe : assez pour fournir en énergie 130 millions de foyers européens moyens", a assuré l'EWEA dans un communiqué.

Ce total représente plus de 35 fois la capacité de production actuelle européenne, soit 4 mégawatts, selon l'EWEA.

Avec une telle capacité, jusqu'à 562 Térawatt-heure par an pourraient être fournis entre 2020 et 2030 et ainsi éviter "315 millions de tonnes d'émissions de CO2", a soutenu l'EWEA dans un rapport publié mardi, à l'occasion d'une conférence sur l'énergie éolienne en mer à Amsterdam.

Selon la même source, 169.000 emplois seraient ainsi créés dans le secteur d'ici à 2020 en Europe, et jusqu'à 300.000 d'ici à 2030.

(20minutes.fr)

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Eh bah vas falloir en ouvrir des centrales à charbons pour pallier les 80 ou 70% du temps ou les éoliennes ne tournent pas, car là le nucléaire qui a une monté en puissance trop faible et ne peut-être stoppé ne peut rien pour les éoliennes, m'enfin ça vas faire les affaires de l’Allemagne et la Pologne, la 1ére qui vendra ces centrales et du charbon à tout le monde et la seconde qui a d’énormes réserves de charbons.

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Plus de 13% de l'énergie européenne sera produite par des parcs éoliens en mer en 2030, assez pour subvenir aux besoins de 130 millions de foyers européens "moyens", a affirmé mardi l'Association européenne de l'énergie éolienne (EWEA).

"Plus de 141 mégawatts de capacités énergétiques éoliennes en mer sont construites, en train d'être construites, consenties ou prévues en Europe : assez pour fournir en énergie 130 millions de foyers européens moyens", a assuré l'EWEA dans un communiqué.

Ce total représente plus de 35 fois la capacité de production actuelle européenne, soit 4 mégawatts, selon l'EWEA.

Avec une telle capacité, jusqu'à 562 Térawatt-heure par an pourraient être fournis entre 2020 et 2030 et ainsi éviter "315 millions de tonnes d'émissions de CO2", a soutenu l'EWEA dans un rapport publié mardi, à l'occasion d'une conférence sur l'énergie éolienne en mer à Amsterdam.

Selon la même source, 169.000 emplois seraient ainsi créés dans le secteur d'ici à 2020 en Europe, et jusqu'à 300.000 d'ici à 2030.

(20minutes.fr)

Parallèlement, avec le pic pétrole dépassé depuis une dizaine d'années, cela suppléera plus la décroissance (ou le surcout du pétrole) que le nucléaire...
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