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Energies renouvelables : projets et conséquences


alexandreVBCI
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  • 1 year later...

En ce qui concerne l'électricité solaire, il semblerait qu'on retrouve aux USA les même problèmes qu'en Europe, avec une petite touche américaine: des intervenants milliardaires et un peu de démesure.

Warren Buffett controls Nevada’s legacy utility. Elon Musk is behind the solar company that’s upending the market. Let the fun begin. 
(...) Started a decade ago by Tesla Motors Chief Executive Officer Elon Musk and two of his cousins, Lyndon and Peter Rive, SolarCity has brought renewable energy to the masses in more than a dozen states, generating about $350 million in annual revenue. The company designs, installs, and leases rooftop solar systems at prices that allow homeowners to save on their monthly power bills—and fight climate change along the way. For a 20-year commitment, SolarCity will set customers up with panels for no money down (...)

SolarCity’s success is partly because the government provides subsidies and enables an arrangement called net metering, which allows homeowners with panels to sell back to the grid any solar energy they don’t use. This helps offset their cost of power when the sun’s not shining. Like more than 40 other U.S. states, Nevada forces utilities to buy the excess energy at rates set by regulators (...). In Nevada, it’s worked well. So well, in fact, that NV Energy, the state’s largest utility, is fighting it with everything it’s got.
First, NV Energy deployed its lobbyists to limit the total amount of energy homeowners and small businesses were allowed to generate to 3 percent of peak capacity (...) Then it expertly argued its case before regulators, who rewrote the rules for net-metering customers. In December it scored a major win: Nevada’s Public Utilities Commission (PUC) imposed rules that not only make it more expensive to go solar, but also make it uneconomical for those who’ve already signed up. (...)
It’s another victory for NV Energy and its owner, Berkshire Hathaway, the investment company controlled by Warren Buffett. (...)

Buffett got into utilities in 1999. While many investors chased the latest Silicon Valley IPO, he bought a nice electric company in Des Moines. Building power plants and maintaining the grid offered almost endless opportunities to reinvest cash, which he had a lot of. And, as a monopoly providing an essential service, the local power company wasn’t going away anytime soon. Owning utilities isn’t “a way to get rich,” he later said. “It’s a way to stay rich.”
By 2013 the energy unit at Berkshire had expanded to include power companies serving parts of Oregon, Washington, Idaho, Wyoming, and Utah. It had also invested billions of dollars in wind farms in Iowa and giant solar arrays in California and Arizona. (...)
Solar is booming in the U.S., in part because of a stunning drop in the price of panels. Adjusting for inflation, it cost $96 per watt for a solar module in the mid-1970s. Process improvements (...) have brought that figure down 99 percent, to 68¢ per watt today, (...) . Leasing from companies such as SolarCity has only sped up adoption. And a multiyear extension of the 30 percent federal solar tax credit in December has also helped. (...)
Power companies (...), they’re developing their own renewable energy to keep up with changing attitudes and to meet state mandates (...) Buffett’s company had committed $15 billion (...) through 2014 to all types of renewable energy. (...). Much of this money has gone to its Iowa utility, MidAmerican Energy, which can generate about 30 percent of its power from wind turbines.

Buffett’s company has also bought renewable energy through long-term contracts. Last year, NV Energy signed up to purchase power from a giant First Solar installation outside Las Vegas for $38.70 per megawatt-hour. Analysts said at the time that it was one of the cheapest rates on record. Commissioners cited projects like that for why it made no sense to continue encouraging net metering in Nevada. If the goal is to put more solar on the grid, it’d be far cheaper for NV Energy to procure it. (...) http://www.bloomberg.com/features/2016-solar-power-buffett-vs-musk/ 

Il semble qu'on amalgame souvent deux choses : la production d'électricité à l'aide d'énergies renouvelables et la production décentralisée au niveau de chaque ménages. Comme très peu de ces derniers s'avèrent autonomes, auto-suffisantes et auto-productrices, ils se reposent sur le réseau électrique classique pour absorber les écarts de production et leur fournir le courant qui viendrait à leur manquer. Sauf que, comme en France et dans une bonne partie de l'Europe, cela entraine une surcharge des lignes classiques, à cause de la versatilité de ressources comme le vent et le soleil. Et les incitations fiscales, qui constituent une forme de subvention, constituent un coût pour la collectivité. Au final, les exploitants classiques s'avèrent les plus compétents et les plus robustes, et donc les plus-à-même d'exploiter ces opportunités. Entre autres parce que les niches fiscales finissent par subir des modifications qui bouleversent l'équilibre en place et le plus souvent, seuls les gros poissons s'avèrent assez résistants à ce type de changements. Musk vs Buffet: je parierais sur le plus ancien, qui lui a vraiment fait ses preuves.

Sinon, pour le stockage d'énergie, indispensable vu le caractère aléatoire de beaucoup de ressources renouvelables, je miserais sur les stations de transfert d'énergie par pompage utilisant l'eau de mer. Un exemple des possibilités dans le nord de la France : http://www.energythic.com/usercontent/3/2010.04.12_FR_Notes_EnergyStorage_EnergyThic_Stockage_energie_electrique_dans_le_nord_de_la_France1.pdf 

 

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  • 1 month later...
il y a 3 minutes, zx a dit :

hummm, miam,  à 300000 euros la petite éolienne pour seulement décorer le paysage, pas mal, pas mal

LA MOITIÉ DES ÉOLIENNES FRANÇAISES... NE SONT PAS BRANCHÉES!

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/04/14/la-moitie-des-eoliennes-francaises-ne-sont-pas-branchees?ref=yfp

:ohmy: Quel bordel ... L’énergie française pédale dans le vide ... Merci aux politiques de tous poil pour leur démagogie, amateurisme et incompétence sur ce grave sujet et depuis des lustres ... ça va tout nous péter à la gueule, au propre comme au figuré ... :sad:

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 Sans compter les problèmes de la cuve de flamandville, qu'ilst doivent tester, une analyse révèle une proportion trop importante de carbone, ce qui pourrait entraîner la fissure de la cuve lors

des hautes température.

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Il y a 12 heures, zx a dit :

hummm, miam,  à 300000 euros la petite éolienne pour seulement décorer le paysage, pas mal, pas mal

LA MOITIÉ DES ÉOLIENNES FRANÇAISES... NE SONT PAS BRANCHÉES!

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/04/14/la-moitie-des-eoliennes-francaises-ne-sont-pas-branchees?ref=yfp

Journalistes ignares et incapables.

Les éoliennes produisent une énergie impropre à la consommation dans bien des cas et tournent en décharge bien souvent (donc pas de production électrique envoyé au réseau, la moitié visiblement au vue des données disponibles).

Les éoliennes c'est de la merde en barre et on a investie l'équivalent des dizaines d'années de recherche et de production qui aurait été bien plus utile ailleurs. 

Les chinois ne s'y trompent pas et ont récemment mis au placard l'énergie éoliennes afin de ne plus dilapider inutilement leur argent, préférant se concentrer sur d'autres moyens de production. 

 

J'espère que chez nous non plus on ne va pas continuer à perdre de l'argent et du temps avec ça et vite redéployer nos moyens sur d'autres secteurs énergétiques.

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Il y a 14 heures, zx a dit :

hummm, miam,  à 300000 euros la petite éolienne pour seulement décorer le paysage, pas mal, pas mal

LA MOITIÉ DES ÉOLIENNES FRANÇAISES... NE SONT PAS BRANCHÉES!

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/04/14/la-moitie-des-eoliennes-francaises-ne-sont-pas-branchees?ref=yfp

Y'a une confusion entre les éoliennes connectées au réseau (qui existent) et celle en file d'attente mais qui sont au stade de projet (donc qui n'existent pas physiquement). Y'aura une correction dans le prochain canard

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4 hours ago, Akhilleus said:

Y'a une confusion entre les éoliennes connectées au réseau (qui existent) et celle en file d'attente mais qui sont au stade de projet (donc qui n'existent pas physiquement). Y'aura une correction dans le prochain canard

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/04/15/en-france-la-moitie-des-eoliennes-tourne-dans-le-vide-le-canard-s-est-emballe_4902654_4355770.html

Quote

...

Une image choc, mais erronée

Pour sa démonstration, Le Canard s’est appuyé sur les chiffres d’un document d’ERDF, qui a la charge de raccorder les éoliennes au réseau électrique. On y apprend que le parc éolien raccordé au 31 décembre 2015 représente une puissance de 10 312 mégawatts (+ 999 en 2015). Or, on y lit aussi que « la file d’attente de raccordement des installations éoliennes en France continentale est de 10 748 mégawatts » à la même date. Verdict de l’hebdomadaire satirique : « Il y a en France plus d’éoliennes inactives » qu’actives.

Le problème, c’est que cette image est fausse. « Il y a eu une confusion sur l’expression “file d’attente” », assure-t-on chez ERDF au Monde. Les éoliennes en attente de raccordement seraient en réalité en grande majorité au stade des travaux, voire de simples projets. « C’est comme quand on construit une maison : on fait les démarches bien avant que les éoliennes soient construites. Et si vous voyez une éolienne qui tourne, elle est raccordée. »

Soixante-dix pour cent des aérogénérateurs seraient au bout du compte raccordés avant même d’être achevés, selon ERDF. Et une éolienne produirait de l’électricité sur le réseau en moyenne un mois après son achèvement.

Au Canard Enchaîné, on reconnaît une erreur qui devrait donner lieu à un « pan sur le bec ! » le 20 avril.

Comme le pointe par ailleurs l’hebdomadaire, il y a tout de même réellement un déficit de construction d’éoliennes en France pour atteindre l’objectif de 23 % d’énergies renouvelables auquel la France s’est engagée pour 2020. Le scénario retenu par le gouvernement prévoit un objectif de 25 000 mégawatts d’éolien, contre 10 312 aujourd’hui.

Selon le panorama d’ERDF, la montée en puissance du parc éolien en 2015 ne représente que « 62 % du volume annuel nécessaire pour atteindre l’objectif de la PPI à 2020. » La faute à des « contraintes économiques, juridiques, techniques ou environnementales. » Mais pas au fait que les éoliennes tourneraient à vide.

Adrien Sénécat
Journaliste au Monde

 

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LOL

C'est vraiment des grosses merdes ces journaleux.

Actuellement EDF est coulé par le renouvelable (rachat d’électricité aux particuliers impropre au réseau, financement des parcs éoliens, leur réseau et gestion de l'intermittence etc.) qui s'avère catastrophique et on vient nous parler de quelques petits milliards de l'EPR !

Putain mais c'est pas possible, ils savent lire, ils se renseignent des fois sur ce qui se passe dans le monde ?

L’Angleterre et l'Espagne ont clairement procédé un arrêt brutal et total de l'éolien, l’Allemagne suit la même voit, le Danemark vient aussi de rentrer dans la danse ce mois ci... Eeet chez nous on nage à contre courant car nos folliculaires sucent des glaçons plutôt que faire leur boulot !

L'EPR devrait couter 8 Milliards et produire 600 milliards de KWH au cours de sa vie, ce qui nous donne 8 / 600 = 0,0133 euros par KWH ( 13, 3 Euros par MWH ). même en doublant le coût => 16 Milliards (exploitation, maintenance, déchets et démantèlement) on arrive à 40 euros par MWH. L'éolien coûte 180 Euros par MWH pour le terrestre et 250 Euros pour le marin ou le solaire, hors maintenance et déconstruction (un panneau solaire ça meure très vite et une éolienne ne vie que 10 à 15 ans). Et nous explique que c'est l'EPR  qui coule EDF ?!!

 

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Le 15/04/2016 à 09:08, Drakene a dit :

Journalistes ignares et incapables.

Les éoliennes produisent une énergie impropre à la consommation dans bien des cas et tournent en décharge bien souvent (donc pas de production électrique envoyé au réseau, la moitié visiblement au vue des données disponibles).

Les éoliennes c'est de la merde en barre et on a investie l'équivalent des dizaines d'années de recherche et de production qui aurait été bien plus utile ailleurs. 

Les chinois ne s'y trompent pas et ont récemment mis au placard l'énergie éoliennes afin de ne plus dilapider inutilement leur argent, préférant se concentrer sur d'autres moyens de production. 

 

J'espère que chez nous non plus on ne va pas continuer à perdre de l'argent et du temps avec ça et vite redéployer nos moyens sur d'autres secteurs énergétiques.

 

   Tu veux rire quand tu parles de la Chine ? Ils ont des projets éoliens a 10MW/éoliennes qui leur pose d'ailleurs le problème intrinsèque d'impliquer une consommation de + d'1 tonne de néodyme et disprosium pour parvenir a cette échelle de puissance avec une turbine alternateur efficace (ce sont des aimants neodyme/disprosium les + couteux surtout a cause du disprosium qui est très très cher)

 

  Alors certes leurs propres projets les effrayent eux même un peu au vu des quantités gargantuesques de terres rares qu'ils vont consommer pour être réalisé, mais je les vois pas s'arrêter la ... La Chine a trop besoin d'énergie pour cracher sur la moindre capacité d'appro, mais bon c'est vrai que ces derniers mois on est entré dans une nouvelle ère de pétrole pas cher alors ça rebrasse les cartes du doute de part le monde car on est revenu a des prix pétroliers qu'on avait pas revu depuis près de 20 ans pré 11/09

 

   A moins d'annonce d'annulations de programme que j'aurais loupé, la Chine doit s'équiper des + grands champs éolien off-shore au monde avec les + grandes éoliennes du monde et ce sur des projets multiples en Mer de Chine

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J'avais justement fait ce calcul. La construction d'éoliennes consomme bien plus de béton et d'acier que des réacteurs nucléaires, à production électrique équivalente sur la durée de vie des équipements.
Et la tendance ne s'inverse pas, on tend à construire les réacteurs nucléaires pour 60 ans maintenant, alors que le socle d'une éolienne est fichu au bout d'une vingtaine d'années (fragilisé par les vibrations permanentes).
Même si la durée de retour énergétique des éoliennes parait favorable (quelques années de production pour compenser le coût énergétique de construction), il n'en reste pas moins que pour fabriquer de l'acier, il faut du charbon, et que la fabrication du béton est polluante.

 

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  • 4 weeks later...

Et oui tant qu'on soumettra toutes les énergie aux marchés, c'est à dire sans critère écolo, le renouvelable n'est pas concurentiel, le charbon est bien meilleur marché.

En Suisse depuis l'ouverture du marché électrique, les centrales nuc et les barrages sont en graves difficultés et l'on doit leur verser des subventions pour qu'il ne partent pas en faillite. Bien sûr le coût du démantellement des centrales n'est pas compris et finira par être assuré par nos impôts...

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Le plus redoutable sont les projets d'éolien off-shore en cours de démarrage en France. Il n'y a pas tant d'expérience significative dans les conditions dans lesquelles ces champs vont être installés, on n'est plus dans la mer du Nord, ces éoliennes vont se prendre dans la figure les furieuses tempêtes de l'Atlantique, ce qui n'est pas fait pour réduire coûts de maintenance...
Et le LCOE (coût de l'électricité actualisé) de l'éolien off-shore en conditions connues, la mer du Nord, est déjà de 150 à 200 EUR/MWh, deux fois plus élevé que l'éolien terrestre.

 

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  Mouais, moi je trouve çà un peu louche de faire mine de s'en apercevoir que maintenant ... Perso je pense que ça fait parti du calcul depuis le départ et que l'Atlantique n'impose pas + de tempêtes que la mer du Nord que la Baltique ... Par contre ce qui peut faire la différence c'est un niveau de houle bien + élevé dans l'Atlantique la je suis Ok : Mais ce n'est pas sans solution non plus puisqu'il est possible de briser la houle en amont via bien des méthodes notamment enrocher, endiguer ...

  Et puis bon, je suis dubitatif avec les affirmations que les socles ne dureraient que 20 ans ... Si c'était vrai, des édifices comme la tour eiffeil qui certes n'est pas en mer, mais subit le vent en permanence et donc transmet de la vibration a ses bases : Se serait cassé la gueule depuis bien longtemps

  Pour moi tout ça ressemble surtout a des derniers cris aux loups d'opposants qui trouvent toujours échos ...

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L'article technique que j'avais lu à ce sujet parlait des socles des éoliennes terrestres, je n'ai pas l'information pour les éoliennes off-shore.
Pour les éoliennes terrestres, la durée d'exploitation typique prise en compte pour les calculs de rentabilité est de 20 à 25 ans, ce n'est pas une invention de détracteurs.

 

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L'élément qui limite la durée de vie de l'éolienne c'est la génératrice. Grosso modo on arrive produire 25 ans avec la meme génératrice ... le petit souci c'est que le rendement baisse avec le temps.

Les pales s'usent a cause de l'abrasion de l'air, mais ca se change facilement.

Pour ce qui est du massif béton ou du mat, je ne vois pas en quoi leur durée de vie serait limitée ... Les massif béton ... meme hautement fissuré continue a jouer leur role de fondation "masse". Les mats métallique n'ont pas de durée de vie définir, ca dépend de l'entretien et de l'oxydation, bien entretenu c'est comme un pont métallique ca peu durer 100 ans ... sauf si le matériaux a été largement sous dimensionné et qu'une fatigue menant a la ruine se produit. Mais j'ai du mal a imaginer un constructeur faire des économie de bout de chandelle sur le mat ... ça n'a aucun intérêt. Sauf a faire exploser le cout des assurances en cas de bobo.

Le seul vrai souci c'est le démantèlement des fondation ... selon le type de fondation choisi. Les massif béton sont durable mais chiant a démanteler. Les fondation sur pieux sont chère a mettre en place, mais facile a démanteler.

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Je pense qu'on arrêtera l'exploitation d'une éolienne avant que les fissures de la base ne finissent par poser des problèmes de sécurité, même si ça parait tenir debout...
Il y a d'autant plus d'études sur le sujet que les échéances de prolongation d'exploitation des premiers parcs terrestres s'approchent, et les fondations ne se changent pas comme une turbine.

Voir ici en 4.1 pour un bestiaire des symptomes de vieillissement :
http://docs.wind-watch.org/Cracks-in-onshore-wind-turbine-foundations.pdf

Pour se faire une idée de la pertinence du sujet : google "onshore wind farm foundations cracks"

 

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1 hour ago, WizardOfLinn said:

Je pense qu'on arrêtera l'exploitation d'une éolienne avant que les fissures de la base ne finissent par poser des problèmes de sécurité, même si ça parait tenir debout...

Tu penses mal ... le béton armé fonctionne tres bien fissuré, d'ailleurs la plupart pour par dire tous les edifice en béton armé sont fissuré on les gens continue a habiter dedans :bloblaugh:

En résumé la fissuration on s'ne fout ... on a 40 ans de pathologie du béton pour savoir réparer ca si vraiment il y avait un besoin. La seule chose qui compte vraiment c'est l'état de la ferraille.

D'ailleurs la conclusion  ... le massif a été construit par des burnes ...

Quote

the cracking of the mortar grout between the connection flange and the concrete foundation. This type of cracking is caused by poor workmanship performance and inappropriate material selection

Quote

the cracks in the high pedestals, i.e. pedestals with a height of about 4 to 8 m. The cracks are caused by poor structural design.

 

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il y a 10 minutes, g4lly a dit :

Tu penses mal ... le béton armé fonctionne tres bien fissuré, d'ailleurs la plupart pour par dire tous les edifice en béton armé sont fissuré on les gens continue a habiter dedans :bloblaugh:

En résumé la fissuration on s'ne fout ... on a 40 ans de pathologie du béton pour savoir réparer ca si vraiment il y avait un besoin. La seule chose qui compte vraiment c'est l'état de la ferraille.

D'ailleurs la conclusion  ... le massif a été construit par des burnes ...

 

Tu ne vois pas la différence entre un immeuble et une éolienne de 150 m de haut soumise aux vibrations ?

A voir le nombre de thèses et études techniques sur le sujet, les constructeurs et exploitant ne paraissant pas s'en foutre tant que ça.

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