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Guerre civile en Syrie


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Sans parler de Homs, pourtant première ville "rebellée", qui a complètement disparue des radars, même sa reconquête est passée en catimini par les media.

ah bon ? alors pourquoi les bombardements continuent ? Les dernières infos parlent de la capture d'un quartier de la ville.

Syrie: l'armée syrienne capture un district d'Homs.

Des bombardements de l’armée syrienne ont lieu à Homs au lendemain de la prise de contrôle du district de Deir Ba'alba après plusieurs jours de combats contre les rebelles.

http://www.operationspaix.net/31953-details-actualite-syrie-l-armee-syrienne-capture-un-district-d-holms.html

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/01/01/l-aeroport-international-d-alep-ferme-apres-des-attaques-de-rebelles-syriens_1811834_3218.html

Les groupes d'opposition en Syrie ont déclaré que les forces gouvernementales ont tué plus de 200 personnes au cours de l'opération de capture de l'un des quartiers de la ville de Homs.

Des témoins ont affirmé qu'un grand nombre de personnes, dont des femmes et des enfants, ont été réunies dans un seul endroit et fusillées.

http://french.ruvr.ru/2012_12_30/Syrie-des-temoins-parlent-dun-massacre-a-Homs/

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Un an de plus avec Bachar al-Assad

Par Fedor Loukianov

L'année 2013 démarre comme 2012 : on parle de la guerre en Syrie en attendant un renversement du président. Toutefois aujourd'hui, plus personne n’affirme avec autant de certitude que les jours du dictateur sont comptés. En 2012, on a annoncé trois fois que la situation était sur le point d'être réglée. Assad perdait des collaborateurs haut-placés au profit de l'opposition, des explosions retentissaient à Damas, tuant des représentants du gouvernement, les rebelles annonçaient contrôler la majorité du territoire du pays, l'opposition était reconnue comme représentante légitime du peuple par les puissances européennes. Mais au final, rien ne s'est produit. Pendant les premiers jours de l'année 2013, Bachar al-Assad s'est adressé à la nation et son message laisse à penser qu'il ne se prépare pas du tout à capituler. Au contraire.

Tous les yeux sont rivés sur la Syrie et pas seulement en raison de la violente guerre civile qui secoue le pays. Ce conflit est devenu la quintessence de la politique internationale moderne, un moulage des problèmes propres à la situation globale.

Divers processus s'entrecroisent en Syrie et chacun comporte un puissant potentiel destructeur.

Les régimes autoritaires au pouvoir depuis des décennies se sont épuisés, les sociétés ont cessé de reconnaître leur droit à la répression même si cela leur assurait un niveau de vie décent et un certain niveau de développement. C'était inévitable et il est étrange d'entendre en Russie des déclarations selon lesquelles les changements au Moyen-Orient ont résulté d’opérations spéciales orchestrées par des forces extérieures.

La démocratisation a effectivement lieu mais les résultats sont toutefois loin de ce que l'Occident s'imagine.

La deuxième tendance est l'amplification des contradictions religieuses. Si la crise syrienne avait commencé par des protestations prônant la démocratie contre les autocrates affirmés, elle s’est rapidement transformée en confrontation entre la minorité dirigeante chiite - à laquelle sont forcées d'adhérer les autres minorités qui craignent davantage les changements que la situation actuelle - et la majorité sunnite, qui a longtemps fait l'objet de discriminations. La Syrie a vu se développer une grande haine moyen-orientale, qui s’est consumée en prenant progressivement de l'ampleur depuis les années 1970 avec la révolution islamique en Iran chiite mais s'est retrouvée, au cours de la dernière décennie, au centre de la politique régionale. Pourquoi une telle colère et cette obstination de la part des belligérants ? Car il n'existe pas de compromis dans une guerre religieuse, les camps luttent pour leur survie. Après la Bosnie et le Kosovo dans les années 1990, voilà un autre grand conflit où l'auto-identification passe franchement au premier plan, faisant office de bois mort pour une guerre irréconciliable. La Syrie ne sera sûrement pas le dernier exemple de ce genre.

Troisième tendance : la compétition des puissances régionales pour l'influence. L'Iran et l'Arabie saoudite personnifient deux pôles et leur concurrence se manifeste à plusieurs niveaux – la religion, l'énergie, la géopolitique, l'appartenance ethnique. Tout le monde  a ses propres alliés à l’intérieur ou à l’extérieur de la Syrie mais l'équilibre des forces ne penche pour l'instant ni d'un côté ni de l'autre.

Le dernier niveau de lecture est la lutte entre les grandes puissances, pas tant pour la présence et les intérêts que pour faire dominer leur approche conceptuelle. D'où la position inflexible de Moscou, que beaucoup tentent d'expliquer par des facteurs mercantiles ou la sympathie cordiale pour les dictateurs troglodytes. Ce n'est pourtant pas la cause principale. La Russie reste intransigeante pour empêcher que se répète le précédent libyen, devenant ainsi le modèle de règlement d'une crise locale.

Rappelons-le : selon ce modèle, les forces extérieures choisissent le "bon camp" dans un conflit civil et l'aident à remporter la victoire, allant jusqu'à une intervention militaire directe. L'opposition du Kremlin n'est donc qu'indirectement associée aux affaires moyen-orientales ou concrètement syriennes. Il est question de principes, selon lesquels fonctionnent les relations internationales.

Aujourd’hui le conflit syrien est crucial pour la politique mondiale. Un entremêlement complexe de plusieurs processus rend le scénario imprévisible et presque incalculable. Les choix stratégiques des acteurs impliqués devient pratiquement une loterie – gagnera, gagnera pas.

Il n'existe aucune solution simple. Moscou l’avait dit dès le départ. Si, comme l'espère l'Occident, le règlement du conflit se réduisait au départ d'Assad, cela ce serait déjà produit. Comme ce n'est pas le cas, l'année 2014 pourrait de nouveau commencer en compagnie de l’actuel dirigeant syrien.

L’opinion de l’auteur ne coïncide pas forcément avec la position de la rédaction

http://fr.rian.ru/tribune/20130110/197176371.html

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"Rappelons-le : selon ce modèle, les forces extérieures choisissent le "bon camp" dans un conflit civil et l'aident à remporter la victoire, allant jusqu'à une intervention militaire directe. L'opposition du Kremlin n'est donc qu'indirectement associée aux affaires moyen-orientales ou concrètement syriennes. Il est question de principes, selon lesquels fonctionnent les relations internationales."

C'est surprenant que la Russie soit aussi à cheval sur de tels principes...les géorgiens aprécieront :P O0!

Sinon, l'analyse de la complexité actuelle du conflit me parait particuliérement pertinente. Mais, j'ajouterais que la situation actuelle dérive aussi du fait que la communauté internationale a laissé pourrir ce conflit, du moins c'est mon opinion. Il aurait fallut que lorsque les manifesttions ont commencé à devenir sanglantes les puissances se soient concertées pour imposer au régime une vrai transition démocratique (comme l'a fait Washington avec son poulain egyptien) puisqu'il ne s'agissait pas d'un épi-phénomène qu'il convenait d'étouffer (comme cela semble avoir été perçu par Moscou), mais bien d'une suite logique aux soulevements contre d'autres dictatures dans ce que l'on a appellé le "Printemps Arabe", avec des spécificitées propres à chaque pays, résultantes des diversités historiques, religieuses, etniques et culturelles existantes dans chacuns d'eux.

Maintenant que la dérive sectaire est confirmée et consommée, les conséquences, tant pour le peuple syrien comme pour le reste de la région, sont et seront beaucoup plus graves, et ses répercussions pourraient bien se faire sentir jusqu'a nos portes...

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Le ministre britannique des Affaires étrangères William Hague a prévenu le Parlement que le pays pourrait commencer à armer les rebelles syriens si la situation continue de se détériorer. Il a ainsi plaidé pour des mesures plus énergiques contre le régime syrien, en particulier une levée de l'embargo sur les armes en faveur des rebelles.

Lors d’un point sur la situation en Syrie devant la Chambre des communes, William Hague a informé les députés qu’il allait demander la levée de l’embargo européen sur les armes imposé à la Syrie, lorsque l’Union européenne réévaluera les sanctions contre Damas le 1er mars prochain.

Une levée qui permettrait au gouvernement britannique de commencer à armer les rebelles syriens, même si William Hague a souligné que le soutien britannique serait destiné à des forces politiques modérées :

« Il est clair que la meilleure solution pour le peuple syrien est une percée diplomatique qui mettrait un terme à ce bain de sang et établirait un nouveau gouvernement syrien capable de restaurer la stabilité, explique-t-il. Néanmoins, nous devons considérer toutes les options pour sauver des vies en Syrie et aider les groupes d’opposition qui luttent contre l’extrémisme si la violence se poursuit. Nous devrions signifier fermement à Assad que toutes les options sont sur la table. Nous chercherons donc à modifier les sanctions de l’Union européenne pour avoir la possibilité d’accroître notre soutien. »

Londres n’exclut donc pas une aide militaire et cherche à rallier le plus de pays possibles à sa cause. Le chef de la diplomatie britannique a ainsi ajouté jeudi que si la situation en Syrie s'aggravait encore, la réponse de la communauté internationale devrait être « revue à la hausse ».

http://www.rfi.fr/moyen-orient/20130110-syrie-grande-bretagne-armement-rebelles?ns_campaign=google_choix_redactions&ns_mchannel=editors_picks&ns_source=google_actualite&ns_linkname=moyen-orient.20130110-syrie-grande-bretagne-armement-rebelles&ns_fee=0

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Le président syrien Bashar el-Assad, sa famille et ses quelques proches et parents se trouveraient la plupart du temps à bord d'un bâtiment de guerre en Méditerranée "sous surveillance russe", annoncent lundi des médias belges, se référant aux services secrets d'Arabie saoudite.

Selon leurs informations, lorsqu'Assad doit se rendre à un rendez-vous, il revient à Damas à bord d'un hélicoptère.

http://fr.rian.ru/world/20130114/197222573.html

:rolleyes:

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Sept militaires identifiés parmi les ex-otages iraniens en Syrie

Depuis leur enlèvement en Syrie, au mois d'août, on ignorait le nom des 48 "pèlerins" iraniens libérés par les rebelles le 9 janvier. Des informations relayées par certains sites iraniens permettent d'en nommer sept, et de confirmer qu'ils sont bien des membres des gardiens de la révolution.

[...]

http://keyhani.blog.lemonde.fr/2013/01/16/la-vraie-identite-de-sept-otages-iraniens-en-syrie-revelee-par-les-sites-iraniens/

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Attentat d'Alep: un "crime de guerre" (Ban Ki-moon)

Image IPB

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Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a qualifié de "crime de guerre" l'attentat qui a emporté mardi plus de 80 vies à l'université de la ville syrienne d'Alep, a annoncé mercredi à New York le porte-parole adjoint du secrétaire général, Eduardo del Buey.

"Attaquer délibérément des civils et des sites civils est un crime de guerre. Toutes les parties en conflit syriennes doivent respecter leurs engagements conformément aux normes du droit international", a indiqué M.Ban cité par le porte-parole.

Selon le bilan officiel, plus de 80 personnes ont été tuées et 160 blessées dans l'explosion qui s'est produite mardi à l'université d'Alep. Des étudiants et des réfugiés hébergés dans la cité universitaire figurent parmi les victimes.

Le secrétaire général de l'ONU insiste sur la recherche d'une solution politique au conflit syrien qui a déjà fait près de 60.000 morts depuis mars 2011, a ajouté le porte-parole.

http://fr.rian.ru/world/20130116/197248525.html

Syrie: la Russie condamne l'attentat d'Alep

http://fr.rian.ru/world/20130116/197247439.html

La Maison Blanche a démenti mardi les informations relayées par des médias américains selon lesquelles le régime syrien utiliserait des armes chimiques contre les insurgés.

http://fr.rian.ru/world/20130116/197239470.html

La Turquie a profité de la crise en Syrie pour voler des équipements industriels sur le territoire syrien, a affirmé mardi soir l'ambassadeur syrien à l'Onu Bachar Jaafari.

http://fr.rian.ru/world/20130116/197239118.html

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CIBLE – En Syrie, un homme se filme sous les feux des tanks de l’armée

Une vidéo mise en ligne mercredi sur le site LiveLeak montre un cameraman non identifié aux prises avec deux tanks de l'armée syrienne. Selon la description de la vidéo, de bonne qualité mais pas authentifiée, celle-ci a été tournée dans la ville de Darayya, tout juste au sud de Damas.

[...]

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/01/17/cible-en-syrie-un-homme-se-filme-sous-les-feux-des-tanks-de-larmee/

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Selon des infos des rebelles syriens, Yves Debay aurait été tué en Syrie  :'(

C'est confirmé  :'(

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2013/01/18/yves-debay-tue-par-un-sniper-en-syrie.html

Yves Debay tué par un sniper en Syrie

Yves Debay, né en 1954 au Congo belge, a été tué en Syrie hier. Le journaliste couvrait les combats entre les forces d'opposition et l'armée syriennes dans la ville du nord-ouest du pays.

En 1975, Yves Debay s'était engagé dans l'armée belge dans une unité de reconnaissance. Rapidement, il avait mis un terme à sa carrière dans l'armée pour rejoindre la Rhodésie puis l'Afrique du Sud, avant de se mettre à l'écriture; il avait réalisé un documentaire sur l'armée française en 1986. Il était ensuite devenu correspondant pour le nouveau magazine Raids pour lequel il avait couvert la guerre civile au Liban, les deux guerres du Golfe, la guerre en Yougoslavie et la guerre en Afghanistan de 2001. En 2005, il avait créé le magazine Assault.

http://lemamouth.blogspot.fr/2013/01/le-wildcat-tue-alep.html

Le Wildcat tué à Alep ?

L'information émane de la télévision arabe Al Arabyia : Yves Debay aurait été tué à Alep par un sniper. A ce stade, on n'a pas plus de détails.

Il venait d'avoir 58 ans, mais continuait à effectuer des reportages en zone de guerre, comme en Afghanistan cet été. Ancien militaire, il avait contribué 19 ans au magazine RAIDS, avant de créer son propre magazine. Il avait notamment couvert la guerre du Golfe, c'est là qu'il avait reçu un de ses nombreux surnoms, Wildcat, signalant les rares qui suivent les troupes en refusant les règles de l'embed.

Depuis hier soir, la nouvelle s'est répandu dans le petit groupe de journalistes qui couvrent l'actualité de défense. Un de ses compagnons de reportage, le photographe Patrick Robert décrit un "passionné, marginal mais talentueux, honnête et loyal. C'était un bon camarade avec qui il était agréable de faire équipe dans les zones de guerre. Ce n'était pas une "tête brulée" et il était très prudent et expérimenté".

Le journaliste de France 2 Gilles Jacquier avait été tué à Homs, le 11 janvier 2012. La guerre civile syrienne a fait des milliers de morts dans la population civile et généré des centaines de milliers de refugiés dans les pays riverains.

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Repose en paix Yves Debay, amoureux de l’Afrique et du Léopard d’acier. Il me semble l’avoir reconnu dans ses vidéos, je crois qu’il passait à une époque avenue de la République chez H&C avant qu’ils ne fassent les travaux et une mezzanine avec l’étage du dessus. Il avait aussi bossé pour Parabellum Media je crois.

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http://fr.rian.ru/world/20130117/197260161.html

Irak: opération armée contre les bases d'Al-Qaïda à la frontière avec la Syrie

L'Irak mène une opération armée spéciale à sa frontière avec la Syrie et la Jordanie pour liquider les bases d'Al-Qaïda par lesquelles commandos et armes affluent dans le pays du territoire syrien, rapporte jeudi le site internet Naharnet, se référant à des sources militaires à Bagdad.

"Lancée mercredi dans la province sunnite d'Anbar, une opération conjointe de l'armée et de la police se poursuit toujours. Cette opération faisant appel à des hélicoptères de combat a pour objectif de démanteler les bases où Al-Qaïda cache ses combattants et son matériel militaire", a déclaré un porte-parole du commandement de l'armée irakienne, le lieutenant-colonel Mohamed Khalaf Chalal.

Et d'ajouter qu'au cours de l'opération, dix terroristes présumés ont été tués et sept autres captivés.

Al-Qaïda utilise depuis longtemps les territoires désertiques de la province d'Anbar, limitrophe de la Syrie et de la Jordanie, pour aménager ses bases et postes d'appui, rappelle Naharnet.

En même temps, tous ces agités du djihad à leurs frontières, fallait se douter que ca commence à angoisser les pays avoisinants.

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http://fr.rian.ru/world/20130117/197260161.html

Irak: opération armée contre les bases d'Al-Qaïda à la frontière avec la Syrie

En même temps, tous ces agités du djihad à leurs frontières, fallait se douter que ca commence à angoisser les pays avoisinants.

Il faut dire que Al Qaida en Irak a repris ses attaques à travers l'Irak aussi. La crainte de contagion est largement justifié vu que les fonds à destinations de la Syrie termine en partie dans la poche des rebelles/terroristes irakiens pour leurs missions à l'intérieur de l'Irak.

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C'est au conditionnel.

Par ailleurs l'info non confirmée indique que ça serait un gaz non léthal incapacitant utiisé de façon parcimonieuse ( 2 roquettes ) selon le journal d'i-télé ce soir

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Damas va créer une nouvelle force paramilitaire. Cette armée de défense nationale serait composée d'hommes et de femmes fidèles au régime de Bachar el-Assad et déterminés à défendre leurs quartiers. Les membres de cette armée de défense nationale seraient des baassistes, alaouites, entièrement dévoués à la défense du régime de Bachar el-Assad.

http://www.rfi.fr/moyen-orient/20130121-syrie-damas-va-creer-une-nouvelle-force-paramilitaire

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Missiles Patriot : Des soldats allemands pris à partie en Turquie

Des soldats allemands récemment arrivés en Turquie pour y servir deux batteries de missiles sol-air Patriot dans le cadre d’une mission de l’Otan ont été agressés mardi soir dans le sud du pays par des manifestants nationalistes turcs, a-t-on appris de sources concordantes.

http://www.algerie1.com/flash-dactu/missiles-patriot-des-soldats-allemands-pris-a-partie-en-turquie/

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