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Guerre civile en Syrie


Messages recommandés

Confirmation de la prise de Tel Arn:
 
 
Syrie: l'armée envisage la réouverture de l'aéroport d'Alep


L'armée syrienne a sécurisé la majeure partie des abords de l'aéroport international d'Alep, qui pourrait rouvrir bientôt après une fermeture de près d'un an, a affirmé lundi à l'AFP une source militaire.

"Tout le sud-est de l'aéroport est entre les mains d'armée", a affirmé cette source, qui a assuré que la réouverture de l'aéroport était "désormais possible".

Ces déclarations interviennent au lendemain de la reconquête par l'armée de la Base 80, en charge de la sécurité de l'aéroport de la deuxième ville de Syrie et contrôlée par les rebelles depuis février.
La grande avancée de l'armée a été possible après la chute de Sfira, ville au sud-est d'Alep qui était aux mains des rebelles depuis un an.

"Après plusieurs jours de combats, l'armée contrôle désormais la portion de l'autoroute allant de Sfira à Alep", précise la source.


Selon les médias officiels et l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), l'armée a également pris le contrôle au cours des dernières heures de la localité de Tall Aarane, une des dernières entre les mains des insurgés sur la route entre Sfira et Alep.

"Les dernières opérations militaires ont permis à l'armée de resserrer l'étau définitivement sur les lignes d'approvisionnement des hommes armés (rebelles) d'Alep à partir du nord et de l'est", a assuré lundi Al-Watan, quotidien syrien proche du pouvoir.

L'ancienne capitale économique du pays est dévastée depuis l'été 2012 par des combats meurtriers. L'est de la ville est principalement contrôlé par les rebelles et l'ouest par l'armée du régime.
L'armée veut également chasser les rebelles qui assiègent depuis huit mois l'aéroport militaire de Qoueiris, plus à l'est de Sfira, selon la source militaire.

http://www.lorientlejour.com/article/841508/syrie-larmee-envisage-la-reouverture-de-laeroport-dalep.html

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Syrie : cinq enfants tués par des obus de mortier à Damas

 

 

Cinq enfants ont été tués lundi par la chute d'obus de mortier sur leur école dans un quartier à majorité chrétien dans le centre de Damas, a annoncé la télévision publique syrienne.

"Cinq enfants ont été tués et 27 autres personnes ont été blessées par des obus tirés par des terroristes (terme utilisé par le régime pour désigner les rebelles) sur l'école" à Qassaa, a précisé la chaîne syrienne.

 

 

Plus tôt, la télévision officielle al-Ikhbariya, citant le ministère de l'Intérieur, avait indiqué que 11 élèves avaient été blessés par des obus de mortier tirés par "des terroristes" sur l'école.

Cinq autres élèves ont été blessés par un autre obus qui a touché un car scolaire à Bab Charqi, un autre quartier chrétien du centre de Damas, selon al-Ikhbariya.

Depuis plusieurs mois, des obus de mortier tombent quotidiennement sur différents quartiers de la capitale. Le régime accuse les rebelles de les tirer.

 

http://www.lorientlejour.com/article/841501/syrie-cinq-enfants-tues-par-des-obus-de-mortier-a-damas.html

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Damas aurait utilisé des bombes incendiaires

L'armée de l'air syrienne a utilisé des bombes incendiaires lors de dizaines de raids au cours des 12 derniers mois, y compris un engin d'une demi-tonne qui a tué 37 personnes fin août dans une école de la province d'Alep, accuse dimanche l'ONG Human Rights Watch.

L'ONG, qui appelle la communauté internationale à condamner le recours par le régime de Damas à de telles armes, lesquelles contiennent des substances inflammables destinées à brûler objets et humains, juge nécessaire que les textes internationaux restreignant la mise au point de ces armes soient renforcés.

"La Syrie a utilisé des bombes incendiaires afin d'infliger des souffrances terribles aux civils, parmi lesquels de nombreux enfants", déclare Bonnie Docherty, de HRW, qui présentera les conclusions de son organisation devant un forum international dans les jours prochains à Genève.

De même que ces bombes incendiaires, les forces de Bachar al Assad ont utilisé des bombes à fragmentation et des armes à surpression thermobarique (ou "bombes à vide"), dit HRW. L'armée d'Assad a été accusée en outre par l'Occident et par les insurgés d'avoir tiré des roquettes bourrées de gaz sarin, un agent innervant, sur des quartiers de la banlieue de Damas en août dernier, tuant alors des centaines de personnes. "Les pays devraient condamner le recours par la Syrie de bombes incendiaires tout comme ils l'ont fait pour les armes chimiques et les bombes à fragmentation", estime Bonnie Docherty.

http://www.europe1.fr/International/Damas-aurait-utilise-des-bombes-incendiaires-1703831/

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Les commentateurs avaient bien rigolé quand le premier ministre Syrien acusait les rebelles Pakistanais d'avoir introduit la polio avec eux en Syrie. L'OMC semble confirmer que c'est bien une souche pakistanaise qui se répand en Syrie. Pour rappelle, certains groupes des Taliban combattent la campagne de vaccination de l'OMC contre la polio car "c'est un complot visant à rendre stérile les musulmans". 

 

http://news.yahoo.com/polio-virus-strain-syria-confirmed-being-pakistan-180045702.html

Modifié par Tomcat
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Les commentateurs avaient bien rigolé quand le premier ministre Syrien acusait les rebelles Pakistanais d'avoir introduit la polio avec eux en Syrie. L'OMC semble confirmer que c'est bien une souche pakistanaise qui se répand en Syrie. Pour rappelle, certains groupes des Taliban combattent la campagne de vaccination de l'OMC contre la polio car "c'est un complot visant à rendre stérile les musulmans". 

 

http://news.yahoo.com/polio-virus-strain-syria-confirmed-being-pakistan-180045702.html

J'avais pensé à la même choses en lisant l'article sur lorient le jour tout à l'heure. Ce ministre Syrien avait belle et bien raisons, comme quoi...

 

Mais des combatants pakistanais n'avait pas été aussi reporté entrain de combattre auprés des djihadistes chiites censé "protéger" le mausolé de zayneb ?

Modifié par Neikster
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J'avais pensé à la même choses en lisant l'article sur lorient le jour tout à l'heure. Ce ministre Syrien avait belle et bien raisons, comme quoi...

Mais des combatants pakistanais n'avait pas été aussi reporté entrain de combattre auprés des djihadistes chiites censé "protéger" le mausolé de zayneb ?

Je n'ai pas eu vent de la présence de chiite pakistanais dans les rangs des loyalistes.

Les cas de polio ont été surtout recensé à Deir e Zor, fief de l'EIIS qui comprend dans ses rangs des pakistanais des zones tribales.

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Je commence à comprendre l'attrait du djihadisme pour certaines personnes. C'est pas juste l'idéologie. Pakistanais, Tchétchènes, Saoudiens, Nigérians et toute sorte de nationalités sur tout les continents...c'est l'occasion pour eux de voir du pays qui les motives en fait, un tourisme de l’extrême quoi O0

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J'en viens presque à apprécier les commentaires sur LeMonde, le vent à bien tourné depuis cet été. Visiblement les combattants de liberté qui démembrent et brûlent les prisonniers ont perdu le soutient des bobos. 

 

 

Tant qu'ils ne le donnent pas à un régime "qui démembrent et brûlent les prisonniers", tout va bien.

 

Me fait toujours marrer les gens qui découvrent qu'une guerre fait des morts et que les guerres civiles sont encore pire que les autres, car elles sont des guerres de haines avant tout.

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C'est un article du Figaro censé être payant mais je vous le fait partager quand même :P
 
 
 
Jordanie :comment la CIA livre des armes aux rebelles syriens
 
 
Georges Malbrunot a enquêté pour Le Figaro sur la fourniture par les occidentaux et certains pays arabes d’armes aux groupes armés en Syrie.

Dans le plus grand secret, des convois de véhicules pénètrent la nuit en Syrie, à partir du désert de l’Est jordanien. Avec l’aide de Bédouins, les Land Cruiser des rebelles font route vers la banlieue de Damas, où la remise des armes est filmée.

On l’appelle la zone des trois frontières. Une portion de désert aux confins de la Jordanie, de la Syrie et de l’Irak où les démarcations se perdent dans les sables. De tout temps, les contrebandiers en ont fait leur royaume. Depuis bientôt un an, c’est par là que la CIA et son partenaire jordanien du GID supervisent les convois d’armes livrées clandestinement aux rebelles syriens pour les aider à affronter l’armée de Bachar el-Assad. « Nos huit voitures partent à la tombée de la nuit de Roueished, au sud de la frontière jordanienne, décrit Anwar, un cadre de l’Armée syrienne libre (ASL), alliée des Occidentaux contre Damas. Les deux premiers Land Cruiser sont occupés par des agents de la CIA. Derrière, roulent nos cinq autres véhicules, bourrés d’armes. Une huitième voiture ferme le convoi avec à bord une équipe mixte CIA-GID. »

Après trois kilomètres en territoire syrien, espions américains et jordaniens rebroussent chemin, laissant Anwar et le reste de l’équipée remonter vers la Ghouta et le Rif (la grande banlieue) de Damas. Deux cent quarante kilomètres d’un dangereux périple nocturne d’une dizaine d’heures sur la « route des Bédouins », censée leur épargner les barrages de l’armée régulière. Tous les trente kilomètres, un point de contrôle de l’ASL a été placé auprès de Bédouins que la CIA a formés au maniement des GPS en Jordanie. « Leurs fils travaillent avec la rébellion », sourit Anwar.


320 tonnes d’armes convoyées par Anwar entre février et août
 

Grâce au système de communication sécurisé que les Occidentaux leur ont fourni, les insurgés restent en permanence en contact avec les grandes oreilles américaines. « Parfois, ajoute Anwar, la CIA envoie même des drones de surveillance qui pénètrent jusqu’à 150 km en territoire syrien pour nous alerter contre des pièges que l’armée de Bachar aurait pu nous tendre. »
 

Chaque semaine, à raison de plusieurs convois, quinze tonnes d’armes ont ainsi rejoint les320 tonnes d’armes convoyées en Syrie entre février et août dépôts de l’ASL dans les banlieues de Damas. D’autres cargaisons partent vers Deraa au sud-ouest de la Syrie, toujours à partir de la zone des trois frontières. L’arsenal comprend des kalachnikovs, des lance-roquettes, des fusils d’assaut, mais aussi de l’antiaérien et de l’antichar. « On a même eu des missiles israéliens Law, affirme Anwar, mais des anciens de la première génération. » Soit quelque 320 tonnes convoyées par Anwar entre février et août. Depuis, le flux des armes s’est ralenti.
 

Financées par l’Arabie saoudite, les armes ont été achetées sur les marchés noirs d’Ukraine et de Bulgarie, avant d’être acheminées dans des C-17 saoudiens jusqu’à de discrets aéroports militaires au sud de la Jordanie. Elles sont ensuite transportées jusqu’à la base d’Azraq au nord, près de la Syrie. « Au passage, l’armée jordanienne en prélève un peu », avertit un militaire occidental. Dans les banlieues de Damas acquises à la rébellion, Anwar et ses hommes les distribuent ensuite à plusieurs bataillons non islamistes de l’ASL, sans oublier de filmer le stockage des pièces et d’envoyer la vidéo - via une communication sécurisée - à la salle des opérations d’Amman, où se réunissent leurs parrains occidentaux et arabes. Ces derniers exigent en effet d’avoir la preuve que les armes sont bien arrivées et aux bons destinataires.
 

Une quinzaine de cellules d’opérations

Autour de Damas, l’ASL dispose d’une quinzaine de cellules d’opérations. Chacune d’elles est reliée à la salle des opérations d’Amman, où est décidée en amont la répartition des armes aux rebelles. Une seconde war room est installée en Turquie pour le nord de la Syrie. Au préalable, les cellules d’opérations envoient leurs besoins à Amman. « Parfois, certaines armes sont livrées en fonction d’une opération planifiée à l’avance avec les Occidentaux », souligne le cadre de l’ASL.

L’operation room d’Amman est commandée par le prince saoudien Salman Bin Sultan, frère de Bandar, le chef des services de renseignements du royaume, ou en son absence par un Américain. S’y retrouvent, aux côtés de Jordaniens, un représentant des pays donateurs : Grande-Bretagne, France, Italie, Qatar, Émirats arabes unis, Turquie et un envoyé de Saad Hariri, le dirigeant libanais sunnite, proche de l’Arabie saoudite. « Les réunions pouvaient durer sept à huit heures, se rappelle Anwar. Et se poursuivre jusque tard dans la nuit à l’hôtel Four Seasons de la capitale. »

Au cours des six premiers mois de l’année, 600 tonnes d’armes seraient parvenues aux opposants d’Assad à partir de la Jordanie. « Ces armes nous ont permis d’avancer, assure Anwar. On était confiant : le régime allait tomber. En avril, on avait même prévu de lancer la bataille de Damas. »

Quelques semaines auparavant, après une visite en Jordanie, Barack Obama signa, non sans avoir longtemps hésité, un programme clandestin de la CIA pour armer les rebelles. « Les Américains ont été en effet très impliqués », se félicite Anwar, qui a lui-même bénéficié d’une instruction livrée par la CIA quelque part en Jordanie. « Ils le sont toujours, dit-il, mais avec la perspective d’une solution politique avec la conférence de Genève, les passages d’armes depuis septembre se font hélas plus rares. »

Damas a menacé de représailles la Jordanie

Jordaniens et Américains veulent croire à un règlement politique d’un conflit qui a déjà coûté la vie à plus de 120.000 Syriens. Depuis leur base arrière d’Amman, de nombreux rebelles sont déçus. Le royaume hachémite garde encore beaucoup d’armes qui leur sont destinées, de l’antichar notamment. « Si les Jordaniens nous les fournissaient, on pourrait faire tomber le régime en 60 jours, jure Amer, un autre cadre de l’ASL, replié à Amman. Mais le veulent-ils vraiment ? » Ce jeune originaire de Deraa ignore probablement que l’armée d’Assad a réussi à intercepter au moins un convoi d’armes. Damas a réagi en menaçant de représailles la Jordanie, qui depuis restreint les passages clandestins. « On a l’impression que la révolution a servi de prétexte aux régimes arabes pour dire à leur peuple : regardez si vous vous agitez, il vous arrivera la même chose qu’en Syrie, l’instabilité et le chaos ! », déplore Amer. Aux craintes jordaniennes s’ajoutent les contre-mesures du régime syrien qui a fermé 17 routes d’approvisionnement en armes jusqu’à la banlieue de Damas. Tout en déployant des unités, l’armée régulière a également creusé un remblai le long de certaines portions de la frontière jordanienne. « Elle cible vraiment les convois d’armes, que ce soit au sud mais aussi près de la Turquie et même au Liban », reconnaît l’expert militaire occidental.

Beaucoup de ces armes ont également été revendues, y compris par certains leaders de l’ASL. Elles ont été parfois dérobées par les groupes djihadistes, qui kidnappent des cadres de l’ASL dans certains villages où transitent les convois, avant d’exiger en échange de leur libération des munitions venues de Jordanie. Et puis, il y a l’action de certains chefs de bataillons qui profitent de leurs relations privilégiées avec des pays du Golfe pour récupérer en solo plusieurs dizaines de tonnes d’armes, qui finiront aux mains des radicaux islamistes. « Et après la chute du régime, ils les retourneront contre nous », se plaint Anwar, le modéré.

« Les Occidentaux sont hypocrites »

« Les Jordaniens et les Américains ne contrôlent pas tout ce qui passe à la frontière », avertit le militaire occidental. « Quand les avions saoudiens se posent en Jordanie, la CIA est présente d’une manière ou d’une autre, ajoute-t-il. Mais ce qui fait tiquer certains pays comme la France et la Jordanie en ce moment, c’est qu’en bout de chaîne ces armes ne vont pas là où elles devraient aller. » Les militaires du royaume ne cessent de le répéter : « Si le régime syrien tombe, raconte un de leurs interlocuteurs, les 700 salafistes jordaniens qui sont là-bas vont rappliquer ! Donc surtout ne les armez pas, nous disent-ils. Hélas, concède cette source, plusieurs pays du Golfe jouent leur propre carte. »

Écœuré par les pertes, Anwar est allé voir ses amis de la CIA pour leur dire qu’ils devaient être plus vigilants. « On a de nouveaux gars, ils sont différents, ne t’en fais pas, ça va s’arranger ! », lui ont-ils promis. Sans le convaincre : « Les Américains prétendent ne pas vouloir traiter avec les islamistes, mais sur le terrain, c’est autre chose. » Que faire ? « On est tributaire de ces pays qui ouvrent et ferment le robinet à leur guise », avoue Anwar, qui peste contre leurs promesses non tenues. « Un jour, des Français nous ont demandé ce dont on avait besoin ? » se rappelle le chef rebelle qui a répondu : des missiles Milan et des téléphones Immersat. « Hélas, on n’a rien reçu. Et après nous avoir proposé de former 120 officiers, les Français se sont rétractés. »
 

« Les Occidentaux sont hypocrites, renchérit Amer, l’autre cadre de la rébellion. Ils manipulent leur opinion publique en disant qu’ils ne nous donnent pas d’armes et, en même temps, ils se fichent de nous en en livrant qu’au compte-gouttes. Mais une chose est sûre : le peuple ne reculera jamais, il se battra jusqu’à la chute de Bachar. »

http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/10/28/10001-20131028ARTFIG00515-jordanie-comment-la-cia-livre-des-armes-aux-rebelles-syriens.php


Et bah, tout ce bordel rien que pour les livraisons venant de Jordanie, j'aimerais pas savoir comme c'est vers le Liban, irak ou Turquie (surtout depuis que les kurdes commencent à faire de leurs sienne dans le nord).  :mellow:

 

La livraison intercepté par le régime doit certainement être celle-ci pour ceux que ça intéresse (a 47s):

 

http://www.youtube.com/watch?v=E1afGS9C1C4&start=47

 

Tout les "petit" conteneur vert sont des roquettes OSA 79, on peut pas dire que la livraison était ridicule...

Modifié par Neikster
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Les Kurdes du nord-est de la Syrie ont annoncé mardi l’établissement d’une administration autonome de transition, après avoir enregistré plusieurs avancées sur le terrain face aux groupes jihadistes.

 

Ce communiqué a été publié après des discussions dans la localité de Qamishli, à majorité kurde, et quatre mois après que des dirigeants kurdes de Syrie ont annoncé leur intention de mettre en place un gouvernement provisoire.

En vertu de cette décision, la région kurde de Syrie est divisée en trois zones, chacune dotée d’une assemblée locale ainsi que de représentants au sein d’un organe exécutif régional. Le communiqué annonce la «formation d’une administration civile transitoire pour la région du Kurdistan-Occidental/Syrie.»

 

Suite : http://fr.news.yahoo.com/kurdes-syrie-annoncent-administration-autonome-transition-173540747.html

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Les Kurdes du nord-est de la Syrie ont annoncé mardi l’établissement d’une administration autonome de transition, après avoir enregistré plusieurs avancées sur le terrain face aux groupes jihadistes.

 

Ce communiqué a été publié après des discussions dans la localité de Qamishli, à majorité kurde, et quatre mois après que des dirigeants kurdes de Syrie ont annoncé leur intention de mettre en place un gouvernement provisoire.

En vertu de cette décision, la région kurde de Syrie est divisée en trois zones, chacune dotée d’une assemblée locale ainsi que de représentants au sein d’un organe exécutif régional. Le communiqué annonce la «formation d’une administration civile transitoire pour la région du Kurdistan-Occidental/Syrie.»

 

Suite : http://fr.news.yahoo.com/kurdes-syrie-annoncent-administration-autonome-transition-173540747.html

 

Les Kurdes sont juste entrain de détruire la rebellion syrienne dans le nord, avec leurs volonté d'autonomie ils écraseront ou gêneront du fait de leur prédominance dans cette région les autres membres de l'opposition. Plus on avance dans le temps, plus on remarque que l'évacuation (l'année dernière) d'une trés grande partie de l'armée et ses forces dans cette partie du pays commence à porter ses fruits: Les kurdes commencent à se sentir pousser des ailles et n'ont jamais autant été détesté par (une assez grande partie de) leur ancien alliés.

 

D'ailleurs sur le terrain vers Alep on le ressent fortement pour l'armée qui à repris du terrain assez vite face à une rébellion affaiblie par les opération du PYD dans le nord et surtout a des chef rebelles qui n'ont font qu'a leur tête. Aujourd'hui l'armée à repris plusieurs position aux rebelles dans Alep même:

 

Selon les insurgés, les troupes d'Assad appuyées par des blindés ont pris le contrôle de deux grands immeubles dans les quartiers d'Achrafieh et de Bani Zeïd, dans le nord de la ville, et ont progressé dans ce secteur après des combats au corps à corps.

Les brigades Tawhid ont envoyé des renforts dans le quartier d'Al Nakkarine, dans l'est d'Alep, où des soldats d'Assad et des miliciens chiites ont fait une incursion.

Les rebelles contrôlent la majeure partie de l'est de la ville et plusieurs quartiers de l'ouest et du centre depuis juillet 2012.

"Heureusement, le régime paraît ignorer combien les dissensions internes ont affaibli les rebelles et les forces gouvernementales avancent avec beaucoup de précautions", a dit à Reuters Tarek Abdelhamid, un opposant bien informé sur l'état des forces dans la ville.

"Chaque chef de brigade à Alep veut devenir le président de la Syrie", a-t-il ajouté pour expliquer ces dissensions.

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/industrie-lourde/actu/reuters-00563569-les-forces-pro-assad-accentuent-la-pression-sur-alep-628412.php?xtor=RSS-2053

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L'armée syrienne capture une banlieue de Damas

BEYROUTH – L’armée syrienne a capturé une banlieue contestée au sud de Damas, mercredi, dans le cadre d’une puissante offensive qui a déjà permis aux forces gouvernementales de reprendre quatre places-fortes de l’insurrection dans la région.

La ville de Hejeira est devenue mercredi la plus récente à repasser entre les mains du régime. L’agence de presse officielle SANA affirme que l’armée a repris le contrôle de la ville, mais que les combats se poursuivent en périphérie.

L’Observatoire syrien des droits de la personne, à Londres, a confirmé que l’armée contrôle presque la totalité de Hejeira, avant d’ajouter que certaines poches de résistance persistent.

La station de télévision libanaise Al-Mayadeen, dont un journaliste accompagnait les forces syriennes, a diffusé ce qui seraient des images en direct des rues de Hejeira. On a pu voir des vitrines défoncées, des sacs de sable empilés dans les rues et des édifices éventrés.

L’emprise de l’insurrection sur Hejeira était devenue intenable depuis que l’armée avait pris la ville voisine de Sabina au cours des derniers jours.

Des obus de mortier sont aussi tombés mercredi sur Bab Touma et Zablatani, deux autres banlieues de Damas, faisant deux morts et une vingtaine de blessés, selon l’agence SANA. L’Observatoire évoque plutôt trois morts.

Enfin, l’armée de l’air syrienne pilonnait les positions rebelles dans la ville de Tel Hasel, la seule que contrôlent encore les rebelles le long de l’autoroute qui mène à l’aéroport d’Alep, dans le nord du pays.

Des bombardements ont aussi fait entre six et huit victimes en banlieue d’Alep.

http://journalmetro.com/monde/402637/larmee-syrienne-capture-une-banlieue-de-damas/

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Les Kurdes du nord-est de la Syrie ont annoncé mardi l’établissement d’une administration autonome de transition, après avoir enregistré plusieurs avancées sur le terrain face aux groupes jihadistes.

 

Ce communiqué a été publié après des discussions dans la localité de Qamishli, à majorité kurde, et quatre mois après que des dirigeants kurdes de Syrie ont annoncé leur intention de mettre en place un gouvernement provisoire.

En vertu de cette décision, la région kurde de Syrie est divisée en trois zones, chacune dotée d’une assemblée locale ainsi que de représentants au sein d’un organe exécutif régional. Le communiqué annonce la «formation d’une administration civile transitoire pour la région du Kurdistan-Occidental/Syrie.»

 

Suite : http://fr.news.yahoo.com/kurdes-syrie-annoncent-administration-autonome-transition-173540747.html

 

Sans surprise la CNS considère dans un communiqué que la déclaration Kurde va à l'encontre des principes révolutionnaires Syrienne et considèrent désormais que l'YPG  est allié au régime. 

 

 

Si non l'histoire gag du moment se passe à Alep. Des combattants de l'EIIS ont décapité ce qu'il pensait être un mercenaire irakien blessé à Alep et ont rendu publique la vidéo (qu'on peut trouver en deux cliques, je ne vous épargne un lien directe). Sauf que le pauvre mec décapité était en fait un combattant islamiste et notoire de la brigade d'Ahrar al Sham. Il avait été blessé lors des combats au tour de la base 80. Se pensant capturé par le régime et sous effet de l'anesthésie, il murmurait des slogans chiites. Manque de bol, des combattants EIIS étaient présents à l'hôpital et l'ont pris pour un chiite irakien avant de lui appliquer le sort qu'il prévoit pour les autres chiites.  

 

http://www.dailystar.com.lb/News/Middle-East/2013/Nov-14/237849-isis-militants-mistakenly-decapitate-rebel.ashx#ixzz2kZD5V6Ov

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Sans surprise la CNS considère dans un communiqué que la déclaration Kurde va à l'encontre des principes révolutionnaires Syrienne et considèrent désormais que l'YPG est allié au régime.

Si non l'histoire gag du moment se passe à Alep. Des combattants de l'EIIS ont décapité ce qu'il pensait être un mercenaire irakien blessé à Alep et ont rendu publique la vidéo (qu'on peut trouver en deux cliques, je ne vous épargne un lien directe). Sauf que le pauvre mec décapité était en fait un combattant islamiste et notoire de la brigade d'Ahrar al Sham. Il avait été blessé lors des combats au tour de la base 80. Se pensant capturé par le régime et sous effet de l'anesthésie, il murmurait des slogans chiites. Manque de bol, des combattants EIIS étaient présents à l'hôpital et l'ont pris pour un chiite irakien avant de lui appliquer le sort qu'il prévoit pour les autres chiites.

http://www.dailystar.com.lb/News/Middle-East/2013/Nov-14/237849-isis-militants-mistakenly-decapitate-rebel.ashx#ixzz2kZD5V6Ov

Lol, j'avais lue ça hier sur twitter et j'avais crue a une blague au début...

Mais sinon c'est quoi cette histoire du conseil national kurde qui serait rentré dans le conseil national syrien ? J'ai lue ça sur un site pro rebelle

Mais j'ai pas vue d'autre ssource en parler.

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Lol, j'avais lue ça hier sur twitter et j'avais crue a une blague au début...

Mais sinon c'est quoi cette histoire du conseil national kurde qui serait rentré dans le conseil national syrien ? J'ai lue ça sur un site pro rebelle

Mais j'ai pas vue d'autre ssource en parler.

 

Quelques membres du conseil national Kurde, crée sous l'égide de Massoud Barzani pour contrer YPG, ont bien rejoint la coalition nationale syrienne mais au vu des concessions minimes que la CNS était prête admettre pour les kurdes (administration décentralisée + nom officiel de la Syrie passe de la république Arabe Syrienne à la république  Syrienne) leur initiative est très peu suivi sur le terrain où l'YPG s'impose comme seul maitre. 

 

Si non, un article du NY Times sur l'ampleur des fonds privés (surtout Koweitien) et les dégâts que ça provoque dans les rangs des rebelles. C'était un secret de polichinelle, les groupes les plus extrémistes sont soutenus et financés par les donateurs du Golfe Persique et les E-U sont de plus en plus gênés par cette activité qui renforce Al-Qaida en affaiblissant les rebelles mainstream

 

http://www.nytimes.com/2013/11/13/world/middleeast/private-donors-funds-add-wild-card-to-war-in-syria.html?pagewanted=1&_r=1&ref=world 

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Ceux qui doivent vraiment se frotter les mains dans un tel conflit ce sont les marchands d'armes ...

 

C'est sûr mais aussi Al-Qaida qui se retrouve renforcé par le soutient accru des pays du Golfe Persique à leur cause tant en Irak qu'en Syrie. L'article du NY Times que j'ai posté est assez révélateur du conflit sur 2 points : 

 

Pour une partie des sunnites du Golfe, le Sham est un joyeux islamique qui doit retourné dans les mains des sunnites. 

 

 

 

We seek to end Alawite rule in Syria because we consider it a Sunni country and the capital of the Islamic world,” he said.

 

Et la fin justifie les moyens : 

 

 

“Once upon a time we cooperated with the Americans in Iraq,” said Mr. Mteiri, a former soldier in the Kuwaiti Army, recalling the American role in pushing Iraq out of Kuwait in 1991. “Now we want to get Bashar out of Syria, so why not cooperate with Al Qaeda?”

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Un jeune anversois revenu de Syrie interpellé puis libéré

Belgique Jusqu'à la semaine dernière, toutes les personnes qui revenaient en Belgique après avoir combattu en Syrie étaient détenues à leur retour pour suspicion d'appartenance à une organisation terroriste.

Un jeune Anversois a été interpellé le week-end dernier alors qu'il rentrait de Syrie où il était parti combattre. Il a cependant été relâché après un bref entretien avec un juge de la jeunesse, rapporte jeudi Gazet van Antwerpen. 

 

Le jeune homme, âgé de 17 ans, aurait combattu au sein du mouvement terroriste ISIS. Jusqu'à la semaine dernière, toutes les personnes qui revenaient en Belgique après avoir combattu en Syrie étaient détenues à leur retour pour suspicion d'appartenance à une organisation terroriste. Selon le quotidien, le parquet d'Anvers se montrait très ferme dans sa position face à ces jeunes combattants mais il semble désormais que les choses aient légèrement changé.

 

D'autres jeunes âgés d'à peine quelques années de plus que le mineur d'âge libéré sont ainsi eux détenus depuis plusieurs mois alors qu'ils présentent le même profil.

 

 

Liban: le Hezbollah poursuivra son combat en Syrie contre les rebelles

Le chef du Hezbollah libanais Hassan Nasrallah, allié indéfectible du pouvoir à Damas, affirme jeudi que son puissant parti armé poursuivrait son combat contre les rebelles aux côtés de l'armée de Bachar al-Assad.

 

"Nous avons dit à plusieurs occasions que la présence de nos combattants sur le sol syrien vise à défendre (...) la Syrie qui soutient la résistance (contre Israël). Tant que cette raison existe, notre présence là-bas est justifiée", a affirmé le dirigeant chiite, apparu en public pour le deuxième jour consécutif, devant des centaines de milliers de personnes à l'occasion de la cérémonie religieuse de l'Achoura près de Beyrouth.

 

Modifié par Mani
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